mercredi 27 mars 2024

Malheureusement les Français lambda avalent tout ce que nos dirigeants et gouvernements à qui ils donnent trop de pouvoir leur servent car beaucoup n’y comprennent rien de cette mauvaise politique politicienne !?

 

À l’Assemblée nationale, les tartuffes de la vertu budgétaire ?! (Typiquement Français ces méthodes de gouvernements malhonnêtes pour mieux rouler les Français que l’on met devant les faits accomplis !?)

LA CHRONIQUE DE SOPHIE COIGNARD. Face aux mauvaises nouvelles, le gouvernement comme les oppositions se livrent à un concours d’hypocrisie confondant.

Par Sophie Coignard

Publié le 27/03/2024 à 07h05

Olivier Marleix , des Républicains, lors de la session de questions au gouvernement le mardi 26 mars 2024 à l'Assemblée nationale. © Isa Harsin - Sipa

Au théâtre, le double comique de situation et de répétition ferait rire. Mais, dans la vraie vie, celle de la politique française, il donne aussi envie de pleurer. L'Insee a confirmé, mardi aux aurores, ce que tout le monde soupçonnait déjà : le déficit budgétaire pour 2023 est plus élevé que prévu ; il représente non pas 4,9 mais 5,5 % du PIB, avec un trou supplémentaire de 15,8 milliards d'euros. Le ministre de l'Économie et des Finances avait préparé les esprits, mais, annoncée de manière officielle, la mauvaise nouvelle a fait l'effet d'une petite bombe.

 « Ça va faire très mal » : les options de l'exécutif pour réduire le déficit publicTous trois jouent les matamores mais sont embarrassés. Il leur devient difficile de revendiquer le monopole de la compétence gestionnaire, qualité dont s'est toujours prévalue la macronie, notamment face à Marine Le Pen et au RN. Alors ils éludent. Gabriel Attal entonne le vieux refrain de l'héritage, et rappelle la situation financière dégradée qu'ont laissée les prédécesseurs d'Emmanuel Macron.

« Depuis dix-sept ans, le déficit public de la France ne s'est trouvé qu'une seule fois sous la barre des 3 % du PIB, à savoir sous la présidence d'Emmanuel Macron, grâce à l'action de sa majorité au début de son premier mandat », ajoute-t-il à l'adresse d'Olivier Marleix, président du groupe LR.

La faute au Covid-19... Vraiment ?

La crise du Covid-19 est aussi invoquée, mais les autres pays européens ne l'ont-ils pas affrontée eux aussi ? Et sur les 1 000 milliards de dette supplémentaire accumulés depuis 2017, seul un quart environ est imputable à la gestion de la pandémie, comme le leur fait remarquer un député.

Thomas Cazenave assure que les autres pays européens ont eux aussi connu une baisse de leurs recettes fiscales liée au ralentissement de l'activité économique. Pourtant, le Portugal affiche un excédent, et le déficit public moyen dans la zone euro, estimé à 3,2 % du PIB, est bien inférieur à celui de la France.

 De Gaulle, reviens, ils sont devenus fous ! Bruno Le Maire s'en prend à la droite, qui donne des leçons de redressement des comptes mais qui n'a pas voté la réforme des retraites et qui a voulu « introduire 127 milliards d'euros de dépenses supplémentaires dans le projet de loi de finances pour 2024 ».

Accuser les autres n'est jamais glorieux. Mais sur ces deux sujets, il n'a pas tort. Les discours outragés de la droite sur la dépense publique ressemblent aux envolées de Tartuffe sur la vertu du dévot.

Un député RN vante quant à lui les propositions économiques et financières de son parti pour sortir de l'ornière. Il oublie de mentionner la nationalisation des autoroutes, la retraite à 62 ans, l'exonération de l'impôt sur le revenu pour les moins de 30 ans, mesures qui coûtent à elles seules 75 milliards d'euros.

Des impôts, des impôts, des impôts !

Socialistes et Insoumis se trouvent de nouveau unis pour défendre leur cause éternelle : l'augmentation des impôts. « C'est de recettes que nous manquons », clame le représentant des premiers, tandis que celle des seconds reproche les « cadeaux fiscaux aux plus riches et aux multinationales ».

Le plus raisonnable, en apparence, est le vétéran de cette Assemblée, le centriste Charles de Courson, qui s'exprime au nom du groupe Liot. Fin spécialiste des finances publiques, il prononce un réquisitoire articulé. Puis il s'indigne que les réductions de dépenses ne fassent pas l'objet d'une loi de finances rectificative, avec débat et vote parlementaire. En théorie, il a raison. Dans les faits, il est le dernier à pouvoir formuler une telle revendication. N'est-ce pas lui qui a porté la motion de censure contre la réforme des retraites en mars 2023 ? Une motion de censure votée allègrement, dans son sillage, par LFI et par le RN. La réponse à M. de Courson est donc dans la question qu'il a posée. Lui qui siège dans l'hémicycle sans discontinuer depuis 1993 ne peut l'ignorer.

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Si les français n’ont pas encore compris ce que valent leurs classes politiques de tous bords au pouvoir qu’ils ont élu et réélu ou dans l’opposition presque inexistante qui ne sait pas où elle va comme cette droite classique ou même cette extrême droite lepéniste RN avec la cerise sur ce gâteau faisandé empoisonné cette extrême gauche mélenchoniste LFI et cette gauche PS moribonde sans oublier ces écolos verts politiques illuminés devenus extrémistes pour certains trublions !?

Quant au pouvoir en place avec notre ministre de l’économie super menteur aux ordres de son patron et sa « macronie fantôme » et le  président qui gouverne mal enfin essaie avec sa majorité relative à l’Assemblée nationale en serrant les fesses suite à ces attentats islamistes de ce DAESH EI et les J.O. qui arrivent dans 4 mois à venir qui n’avait pas été éliminé depuis 2001 et 2013 jusqu’au dernier à MOSCOU par une coalition internationale inefficace qui n’avait pas terminé le travail du passé car préférant bavarder ce qui est leur habitude comme notre chef d’état petit bourgeois parvenu et sans oublier cet héritage de cette guerre Russo ukrainienne de ce dictateur déséquilibré Poutine à nos portes qui s’en moque en plus et qui fait ce qu’il veut !?

Alors avec notre économie qui va mal en plus (car on leur avait caché la vraie situation où se trouvait le pays à nos concitoyens) cela ne fait que voir la France glisser un peu plus vite vers le fond mais les Français sont naïfs et quand nos dirigeants vont vraiment leur serrer la ceinture cela risque de mal se passer !?

Mais hélas c’est de leur faute ils votent et réélisent toujours les mêmes politiciens de tous bords depuis + de 40 ans et c’est désesperant !?

Jdeclef 27/03/2024 14h52

POUR LES HOMMES C’EST : « PLUS BETE JE MEURS » ou alors ALLAH AKBAR et INCH ALLAH à vous de choisir votre PAUVRE MONDE MYSTIQUE !?

 

Italie : une école fermée pour la fin du ramadan crée la polémique ?! En Italie TRES RELIGIEUSE CE N’EST PAS BANAL ?!

Face au risque d’absence des élèves, un établissement scolaire de la métropole milanaise a décidé de fermer ses portes le 10 avril, provoquant la colère de la droite italienne.

De notre correspondant à Rome, Quentin Raverdy

Publié le 26/03/2024 à 17h00, mis à jour le 27/03/2024 à 08h36

QUAND LES RELIGIONS ESSAIENT DE PRENDRE LE PAS SUR LES DEMOCRATIES LIBRES ET DEMOCRATIQUES C’EST LE PIRE DES VIRUS SUR TERRE IL SERAIT TEMPS D’EN PRENDRE CONSCIENCE CHEZ LES HOMMES DE TOUS PAYS  ?!

La polémique est désormais nationale et ne devrait pas retomber de sitôt. Sûrement pas d'ici le 10 avril prochain, date choisie par une école de l'est de Milan pour fermer ses portes à l'occasion de l'Aïd-el-Fitr, jour marquant la fin du ramadan. Une décision prise à l'unanimité par le conseil scolaire de l'Istituto Comprensivo Iqbal Masih de Pioltello, il y a de cela dix mois. Et confirmée lundi 25 mars par les représentants des professeurs, des parents d'élèves et du personnel administratif. Un « choix éducatif et non religieux », veut-on rassurer du côté de la direction de cet établissement de près de 1 300 élèves, rassemblant des classes de la maternelle jusqu'au début du secondaire.

« À Pioltello, nous avons des classes où, les années précédentes, à la fin du ramadan, ils n'étaient que trois ou quatre à venir à l'école », raconte dans les colonnes du Fatto Quotidiano Alessandro Fanfoni, directeur de l'Institut Masih – du nom de ce jeune Pakistanais vendu par ses parents à 4 ans et assassiné en 1995 à 12 ans après des mois passés à défendre la cause des enfants esclaves.

Dans cette structure éducative de la grande périphérie milanaise, plus de 40 % des élèves sont d'origine immigrée : en majorité d'Égypte, du Maroc et du Pakistan. Au-dessus du niveau recommandé par les « directives d'inclusion », fait remarquer le chef d'établissement. « Nous ne pouvons pas fermer les yeux sur ces chiffres et sur la réalité », estime-t-il.

L'extrême droite s'empare du sujet

Si ces dérogations dans le calendrier régional sont permises aux établissements scolaires, Alessandro Fanfoni rappelle bien au journaliste du Corriere qu'aucun cours ne sera perdu : cette année, les élèves ont repris le chemin de l'école un jour plus tôt. Et surtout que l'identité culturelle de l'Institut n'est en rien menacée : « Il y a des crucifix dans les salles et aucun élève ne demande à prier pendant le ramadan, tout le monde suit le cours. La fermeture n'est pas un geste visant à gagner les faveurs de la communauté arabe, c'est simplement une reconnaissance de la spécificité de notre contexte », conclut-il. Loin de l'avis de certains internautes qui ont déclenché, sur les réseaux sociaux, une vague de haine et de menace contre le directeur lombard.

 Italie : à Florence, la réunion de famille du souverainisme européen

Sans surprise, l'extrême droite italienne n'a pas manqué de s'emparer de cette affaire, un cas minoritaire pour ne pas dire unique dans la Péninsule, où l'islam est la deuxième religion la plus répandue, forte de plus de deux millions de fidèles. Il y a une semaine, un groupe radical milanais déployait ainsi, sur les grilles de l'établissement, une banderole au message on ne peut plus clair : « École italienne, jamais musulmane ! Interdit de fermer ! »

La Ligue de Matteo Salvini, lancée sur un cap « à droite toute » pour la campagne des européennes, s'est également invitée dans le débat. L'eurodéputée milanaise Silvia Sardone a estimé que le choix de l'Institut Masih donnait « encore plus de force au processus d'islamisation » de l'Europe. Quand le patron leghiste et actuel vice-Premier ministre dénonçait, lui, un « choix inacceptable, contraire aux valeurs, à l'identité et aux traditions [du] pays ». « Ce n'est pas le "modèle" de l'Italie et de l'Europe que nous voulons », prévenait Matteo Salvini.

Les syndicats dénoncent une polémique électoraliste

Le dossier est arrivé jusque sur le bureau de son collègue et camarade de parti Giuseppe Valditara. Le ministre de l'Éducation a notamment pointé du doigt des irrégularités administratives concernant les justifications de fermeture du 10 avril prochain. « Les écoles ne peuvent pas établir de nouveaux jours fériés », a-t-il ainsi rappelé, avant que l'affaire ne soit évaluée par le bureau scolaire régional de Lombardie.

Lacune finalement comblée lundi soir après la réunion du conseil d'établissement, qui a souligné, dans un communiqué, une fermeture au seul motif pédagogique. Maigre consolation pour le ministre Valditara, qui espère encore que l'école garde ses portes ouvertes pour la fin du ramadan, estimant que « l'inclusion se fait en investissant dans l'enseignement et non en arrêtant les cours ».

Plongée au cœur de l'Europe nationalisteCôté soutien, l'Istituto Comprensivo Iqbal Masih a pu en revanche compter sur l'appui du syndicat CGIL (la CGT italienne) qui, lors d'une manifestation devant l'établissement, a dénoncé la politisation à outrance de l'affaire : « L'école est sous pression et en procès, les enseignants et les directeurs peinent à préserver la sérénité des enfants alors qu'ils sont attaqués par certains partis en quête de voix supplémentaires. »

Soutien également venu de plusieurs prêtres des paroisses de Pioltello ainsi que du corps enseignant. Deux cents professeurs de l'Institut sont ainsi sortis du silence. Dans une lettre, ils revendiquent leur choix, « fait sans aucune intention politique », et leur engagement dans les écoles de Pioltello « pour ne pas faire fuir les Italiens, éviter les classes ghettos et créer l'harmonie et l'interaction entre les différentes cultures, sans jamais que l'une ne détruise ou ne soumette l'autre ».

C’est quand même inquiétant dans cette Italie siège du pape chef de l’église catholique chrétienne et de son Vatican son petit état indépendant bien que religieux implanté à ROME leur capitale et surtout depuis son histoire ancienne remontant à l’empire roman qui a duré 400 ans !?

Car cette hégémonie ou suprématie d'une religion ou d'un mysticisme obscurantiste à consonance hélas extrémiste par certains côtés de ces mouvements terroristes envahissants qui vient de se réveiller car seulement endormi avec ces nouveaux attentats car mal surveillés ou mal éradiqués depuis 2001 2013/2015 etc avec ce DAESH EI que l’on peut lister notamment les plus importants comme ce dernier a MOSCOU et cacher les autres isolés par nos autorités bien pensantes donneuses de leçons pour ne pas affoler les populations de nos pays libres démocratiques ?!

 

Donc c’est nos pays libres et democratiques qui sont en danger car cet Islam veut prendre sa revanche et le pouvoir sur cet occident judéo chrétien libre trop arrogant qu’elle veut détruire comme elle l’a fait pour ISRAEL dans la bande de GAZA le 7 octobre contre les juifs avec ce Hamas terroriste !?

 

Cette fermeture d’école milanaise est un symbole politique mais réaliste que même en France car l’ITALIE est notre voisin historique de par nos histoires anciennes communes qu’on devrait prendre en compte avant d’être débordé !?

 

Car depuis 60 ans et la fin de nos empires coloniaux Indochine Maghreb et Afrique d’après la fin de la 2 eme guerre mondiale à cause des immigrations importantes et mauvaises gouvernances de nos autorités qui ne veulent pas regarder la réalité en face et qui nous protègent mal !?

 

C’est pareil pour cette hypothétique de 3eme guerre mondiale en filigrane car certains de nos bienpensants n’y croient pas car croyant à une paix éternelle alors que l’on se bat partout dans ce monde instable indirectement !?

 

Alors attendons « avant que le ciel nous tombe sur la tête » comme les gaulois nos ancêtres car les Français n’ont pas évolué en bon sens !?

 

Jdeclef 27/03/2024 11h07LP

Hormis le risque d’attentats évidents ne parlons pas des nuisances diverses subit par les parisiens et habitants d’IDF qui eux travaillent et circulent dans et vers PARIS et sa couronne dans leur vie quotidienne d’ailleurs pour les transports insuffisants Mme PECRESSE a dit que les franciliens et autres n’auront qu’a marcher alors tout va bien…

 

Gilles Kepel : « Les JO peuvent apparaître comme une cible de choix pour les terroristes » (d’ailleurs la France semble déjà ciblée !?)

Le spécialiste du monde arabo-musulman analyse les causes et conséquences de l’attentat de Moscou, et le risque réel pour la France, à l’approche des JO 2024.

Propos recueillis par Luc de Barochez

Publié le 27/03/2024 à 08h00

*      Gilles Kepel  © Abd Rabbo Ammar/POOL/SIPA / SIPA / Abd Rabbo Ammar/POOL/SIPA

AVEC NOTRE PRESIDENT IL FAUT SAVOIR RAISON GARDER CAR LUI IL NE SAIT PAS NI GOUVERNER NI NOUS PROTEGER !?

Que signifie le massacre perpétré à Moscou le 22 mars dernier ? Gilles Kepel, spécialiste du monde arabo-musulman, revient sur ce drame pour en analyser les causes et jauger les conséquences. L'occasion aussi de cerner au mieux les risques courus par la France à l'approche des Jeux olympiques 2024.

Gilles Kepel : Dans ce cas d'espèce, les djihadistes ont frappé un concert de rock du groupe Piknik, à la manière dont ils ont ciblé le festival Supernova en Israël ou le Bataclan en France : ils s'en sont pris, dans des régimes qu'ils haïssent, non pas à des représentants de l'État anathématisé par leur fanatisme religieux, mais à la société civile, afin de la terroriser.

Par ailleurs, l'affaire doit être replacée dans son contexte. L'État islamique au Khorassan (EI-K) est composé de sunnites radicalisés en provenance de l'Asie centrale, entre les anciennes républiques musulmanes soviétiques (Tchétchènes, Ouzbeks, Ingouches, Tadjiks…), l'Afghanistan et l'est de l'Iran. Beaucoup étaient allés rejoindre le djihad de Daech en Syrie. Ils y ont combattu les Russes et l'Iran : ils exècrent autant les Russes infidèles que les chiites hérétiques.

Avant Moscou, le dernier attentat spectaculaire du groupe EI-K a eu lieu le 3 janvier à Kerman, en Iran, et a causé une centaine de morts parmi les pèlerins commémorant le décès de Qassem Soleimani, le chef charismatique des Gardiens de la révolution (Pasdaran) iraniens, tué quatre ans plus tôt à Bagdad par un drone américain. La République islamique, théocratie fondée par les mollahs, est en effet devenue de plus en plus une dictature militaire des Pasdaran, très liée à Poutine, à l'armée duquel elle fournit les drones Shahed qui font des ravages dans les populations civiles en Ukraine.

Les tueries perpétrées par l’EI-K, en Russie et en Iran, révèlent les failles de ce pseudo-Sud global nullement unifié.

La recrudescence d'attentats revendiqués par l'État islamique est-elle liée à la guerre à Gaza, par le biais d'une rivalité avec le Hamas, après le carnage du 7 octobre ?

Il y a une émulation de la violence terroriste islamiste comme mode d'action universel, mais ces attentats concurrentiels illustrent les contradictions intrinsèques dans le « Sud global » – comme le nomment les idéologues qui s'en réclament –, qui serait tout uniment dressé contre le « Nord », ex-colonialiste européen. En Russie comme en Iran, les deux tueries perpétrées par l'EI-K visent des États appartenant à la coalition anti-occidentale des Brics +. Ce faisant, elles révèlent les failles de ce pseudo-Sud global qui n'est nullement unifié. Bien plutôt, elles soulignent les défauts militaires de sa cuirasse idéologique : l'Iran n'a pas été capable de répliquer à l'attentat de Kerman.

De même, Poutine a minimisé le caractère islamiste de l'attaque, puisque cela exposerait les contradictions de sa politique de soutien au Hamas. Il a dû botter en touche en accusant les Ukrainiens d'y être mêlés, sans guère apporter de preuves. En réalité, les services de renseignements russes, occupés à pourchasser ceux qui fleurissent la tombe de Navalny, ont été pris en défaut majeur de vigilance par rapport au danger djihadiste interne alors que les Américains les avaient prévenus, de même que les Égyptiens avaient alerté les Israéliens avant le 7 octobre.

 Comment l'Iran a pris la tête de l'islamisme mondial

Vous décrivez dans votre livre « Holocaustes », le « concept » idéologique de Benyamin Netanyahou, qui a contribué à son aveuglement et à la surprise stratégique du 7 octobre. Y a-t-il un « concept » intellectuel identique côté russe, qui obture la menace djihadiste ?

Poutine, comme Netanyahou, a cru qu'il pouvait instrumentaliser l'islamisme radical. Or il est toujours complexe de manipuler le fanatisme religieux. Ainsi, le maître du Kremlin, après avoir réduit la Tchétchénie par la violence – il voulait « buter les terroristes jusque dans les chiottes » – utilise maintenant les régiments de Ramzan Kadyrov, représentants de l'islamisme le plus fanatique, pour orienter leur djihad contre l'Ukraine. Il lui faudra en payer le prix…

Qu'est-ce que le djihadisme tadjik, que l'on découvre aujourd'hui ?

Tout comme le djihadisme tchétchène – qui a fait irruption en France avec l'attentat contre Samuel Paty – ou ingouche – peuple dont était issu l'auteur de l'attentat contre le professeur Dominique Bernard à Arras –, les islamistes d'Asie centrale sont issus des guerres des années 1990. En même temps que le djihad en Algérie, en Bosnie et en Égypte, il y en avait un quatrième en Tchétchénie, réprimé avec une violence terrible – par Moscou. En France, nous avons accordé l'asile politique à des anciens combattants de Tchétchénie. Un certain nombre d'entre eux ont ensuite mordu le sein dans lequel ils s'étaient réchauffés, comme on l'a vu avec l'assassin de Samuel Paty, issu de cette filière.

 Daech : sexe, esclaves et califat

A-t-on gravement sous-estimé le djihadisme tchétchène ?

Pas seulement tchétchène ! Ceux qui ont essayé d'analyser l'ampleur du phénomène islamiste, dans ses dimensions multiples, n'ont jamais été qu'écoutés poliment, au mieux… Désormais, notre connaissance du phénomène est en chute libre. Je l'observe dans mon propre cas : après avoir été interdit d'amphithéâtre Boutmy à Sciences Po (renommé « amphi Gaza » par ses occupants), j'ai été mis à la retraite d'office par l'École normale supérieure, où mes cours ont été fermés afin de laisser la place à l'exaltation du « Sud global ». Aujourd'hui, ce sont les doctrines du décolonialisme et du wokisme qui exercent une emprise croissante sur l'université, et bientôt sur les politiques publiques.

A-t-on raison de s'inquiéter en France à l'approche des Jeux olympiques d'été, qui coïncident d'ailleurs avec les 10 ans de la proclamation du califat par l'État islamique à Mossoul ?

Les Jeux olympiques sont la vitrine par excellence d'un univers idéalisé par le sport. Et une occasion de « publiciser » au maximum une cause, en les faisant dérailler. Ainsi des Jeux de Munich, en 1972, quand le groupe palestinien Septembre noir avait pris en otage des athlètes israéliens, ce qui s'était terminé en carnage. Et Daech, en 2015, avait planifié un attentat au Stade de France [qui a partiellement échoué mais a fait un mort et 63 blessés, NDLR] lors du match de football amical France-Allemagne, dans cette même Seine-Saint-Denis où vont se dérouler de nombreuses épreuves, département que les mouvements islamistes présentent comme « le premier à majorité musulmane de France ».

 Gilles Kepel : « Les salafistes font du contrôle des femmes la clé de la logique séparatiste »

Le projet gouvernemental, qui consiste, grâce aux infrastructures des Jeux, à accélérer le développement du « 9-3 » pour favoriser l'intégration et l'ascension sociale des populations qui y vivent, est combattu par les militants islamistes, qui souhaitent y perpétuer toutes les formes de ghettoïsation possibles afin de renforcer le séparatisme pour abattre la France « impie ». La multiplication de ces défis trouvera des prétextes et une résonance d'autant plus grande si la situation à Gaza empire encore. Or elle ne prend pas le chemin d'une résorption rapide.

En dépit du vote d'une résolution de cessez-le-feu à l'ONU le 25 mars, Netanyahou ne veut pas l'appliquer avant d'avoir réalisé son principal objectif politique, cautériser le traumatisme obsédant du 7 octobre, pour la société israélienne, en ayant exécuté Yahya Sinouar, le chef du Hamas à Gaza.

Quel rôle l'idéologie wokiste et décolonialiste joue-t-elle dans la propagation des thèses islamistes ?

Les États dits du Sud global, dont l'Afrique du Sud s'est faite le champion à la Cour internationale de justice en incriminant Israël pour génocide, veulent imposer la lutte contre le colonialisme et l'apartheid comme le nouveau fondement moral de l'ordre du monde, ce qui place les Occidentaux, et notamment les Européens, en position de coupables structurels. L'État hébreu, du fait de l'hécatombe des Palestiniens à Gaza depuis la fin octobre, a été érigé en repoussoir par excellence de ce « Nord » exécré.

Or les Jeux olympiques, qui ont une dimension de communion mondiale et aspirent à un idéal où s'effacent frontières et discriminations, peuvent apparaître comme une cible de choix dès lors qu'ils se déroulent dans un pays du « Nord », la France, laïque qui plus est. Certains activistes islamistes exigent que les athlètes femmes puissent être voilées, que les hommes puissent porter des shorts longs pour respecter la « pudeur », etc. Ils cherchent à imposer leur normativité dans cet événement universel. Ce recodage du monde est un enjeu majeur que le 7 octobre et ses suites ont exacerbé, ce qu'analyse mon livre. Le principe des Jeux olympiques, c'est que le meilleur gagne avec des règles communes où personne ne triche. Mais, dans le monde aujourd'hui, la remise en cause des règles communes établies par le « Nord » est à l'ordre du jour.

Personnellement j’aime beaucoup les jeux olympiques et j’y assiste aimant voire ces multiples sports et athlètes s’affronter via la télévision ou médias car ils se déroulaient avant dans d’autres pays autres que la France après l’échec de la candidature de 2012 à cause de ce nul de maire de PARIS DELANOE !?

Etant donné mon vieil âge je me souviens ceux de MUNICH et cet attentat terroriste de 1972 j’avais 15 ans à l’époque ou le 5 septembre 1972, onze athlètes israéliens sont pris en otage par un commando palestinien. 

Comme quoi rien n’a changé avec les mêmes acteurs de cette insécurité latente mais présente et après avoir subi multiples autres attentats depuis 2001/2013/2015 et le dernier en date à MOSCOU sur fond de guerre Russo ukrainienne avec son dictateur menaçant tout le monde etc. et comme la situation actuelle mondiale est hyper tendue notre pays et ses autorités et notre petit président bavard ne sachant plus ou il va et ce qu’il y a lieu de faire ne pouvant annuler ces J.O. pour  ne pas perdre la face car il reste  environ une centaine de jours pour débuter…

J’espère comme tout le monde qu’ils se déroulerons bien car gérer une foule dans notre capitale en sécurité n’est pas une mince affaire c’est même cela le pire car moi par exemple je ne me risque déjà pas à aller aux feux d’artifices des 14 juillets sur nos Champs Elysées car les mouvements de foules surtout s’il y a panique à cause de problèmes d’insécurités cela peut tourner à la catastrophe surtout avec ce défilé aquatique sur la Seine ou d’ailleurs les athlètes en dernier lieu ne seront pas présents et cela peut encore évoluer !?

Tout ça pour montrer l’arrogance de cette France de nos bienpensant donneurs de leçon à tout le monde comme notre chef d’état et ses gouvernements nuls et son 1er ministre petit minet bon chic bon genre marionnette inféodé à son patron !?

Aux jeux de LONDRES les anglais n’ont fait défiler personne sur la Tamise et ils n’ont pas eu de problèmes car plus prudent !?

Jdeclef 27/03/2024 13h13

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mardi 26 mars 2024

Le capitaine du navire ne devait pas avoir les yeux ouverts en face des trous... faits divers US qui sort de l’ordinaire !?

 



États-Unis : un pont s’effondre à Baltimore après avoir été heurté par un navire ?! PAS BANAL MAIS AMERICAIN….

POUR LES EMBOUTEILLAGES LES ATOMOBILISTES N’ONT PAS FINIS DE FAIRE LA QUEUE A BALTIMORE !?

Au moins neuf personnes et des véhicules sont tombés à l’eau lors de l’effondrement du pont Francis Scott Key. L’état d’urgence a été déclaré alors que les secours recherchent des survivants.

Par Jé. M. et A.B.

Publié le 26/03/2024 à 08h55, mis à jour le 26/03/2024 à 13h11

Les images font craindre le pire. Un pont routier long de plusieurs kilomètres, le Francis Scott Key, s'est effondré à Baltimore, dans le Maryland aux États-Unis, dans la nuit de lundi à mardi 26 mars 2024. Au moins sept personnes sont portées disparues et deux ont déjà été tirées hors de l'eau. L'une a refusé l'assistance médicale, tandis que l'autre a été transportée dans un centre de traumatologie dans un état grave.

La newsletter international

Une responsable du centre a déclaré au Baltimore Sun que l'hôpital avait admis plusieurs patients blessés par l'effondrement, sans en connaître le nombre exact. Ils ont été transportés par hélicoptère entre 2 h 30 et 3 heures du matin heure locale. On sait que des ouvriers effectuaient des réparations sur le pont lors de l'accident. Les vingt-deux membres d'équipage ainsi que les deux pilotes du navire sont sains et saufs.

Le gouverneur de l'État américain du Maryland, Wes Moore, a déclaré l'état d'urgence. Dans une publication sur le réseau social X, l'élu a indiqué travailler avec plusieurs agences pour déployer rapidement les ressources fédérales de l'administration Biden.

Des circonstances encore floues

C'est un porte-conteneurs battant pavillon de Singapour, le Dali, qui a percuté l'un des piliers de l'ouvrage, causant sa destruction immédiate. Le navire entamait un périple de 27 jours jusqu'au Sri Lanka, où il devait arriver le 22 avril. Sur les images de l'accident, on voit la majeure partie des lumières du bateau s'éteindre puis se rallumer deux fois avant l'impact.


« Je peux confirmer qu'à 1 h 25 du matin, la police de Baltimore a été prévenue de l'effondrement partiel du pont, avec des ouvriers qui se trouveraient dans l'eau, au pont Francis Scott Key », ont fait savoir les forces de l'ordre locales, citées par plusieurs médias américains. Des sonars sont utilisés pour détecter les véhicules tombés à l'eau. Les secours quadrillent aussi la zone à la recherche d'éventuels survivants, à l'aide de petites embarcations et d'un hélicoptère des garde-côtes.

Une eau à seulement 9 °C

Selon l'Agence américaine d'observation océanique et atmosphérique, l'eau du port de Baltimore était à seulement 9 °C au moment de l'accident, faisant craindre un risque d'hypothermie pour les personnes tombées.


Le pont traverse la rivière Patapsco, et fait partie de l'autoroute Interstate 695, qui emprunte l'ouvrage pour traverser le port. La voie a été fermée ainsi que les autres menant à Baltimore. Le Francis Scott Key avait été construit en 1977 pour 141 millions de dollars de l'époque afin d'éviter aux automobilistes des embouteillages dans le port de la ville.

Que se soit pour des accidents ou catastrophes diverses voir faits divers de tous ordres les USA ce grand pays et ses 50 états ne font rien dans la dentelle tout est démesuré !?

D’ailleurs c’est digne de leurs films hollywoodiens à grands spectacles !?

Il faut simplement espérer que les victimes aient pu être sauvées ?!

Quant au pont métallique cela ressemble à jeu de mécano gigantesque à reconstruire et comme leurs infrastructures sont déjà vétustes car anciennes aux USA cela n’arrange pas la santé financière de se pays fédéral en pleine pré-élection présidentielle de leurs deux vieux ex présidents candidats BIDEN/TRUMP !?

JDeclef 26/03/2024 16h28

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Macron, ce président qui parle trop ALORS QU’IL SE TAISE !?

 

TF1 et France 2, « Le Parisien », « Le Figaro », « Le Journal du dimanche ». En dix jours, le chef de l’État a multiplié entretiens et vraies-fausses confidences. Comme s’il craignait de se faire oublier.

Par Mathilde Siraud

Publié le 26/03/2024 à 08h05, mis à jour le 26/03/2024 à 12h40

*      Emmanuel Macron, ici en 2022, multiplie les interviews et vraies-fausses confidences. © Gerard Bottino / Starface

LA LES CAROTTES DU POT AU FEU PRESIDENTIEL SONT BIEN TROP CUITES ET DEVIENNENT INDIGESTES !?

CAR LE PRESIDENT C’EST MOQUE DES FRANÇAIS QU’IL PREND POUR DES IMBECILES EN LES DEDAIGNANT UNE FOIS DE PLUS ET DE TROP ?!

Emmanuel Macron se trouve à plus de 7 000 kilomètres de Paris. Lundi matin, à peine le président a-t-il foulé le sol de la Guyane – une première depuis octobre 2017 – qu'il se précipite devant les caméras et les micros. Depuis le tarmac, les moteurs de l'Airbus encore allumés, les ministres encore en train de descendre de l'avion, le chef de l'État évoque les tentatives d'attentats initiées par l'État islamique au Khorasan et déjouées sur notre sol, la décision de porter au niveau maximal le plan Vigipirate.

En moins de dix jours, une interview télévisée et trois « confidences »

Après ses déclarations fracassantes – « rien n'est exclu » – sur l'envoi de troupes au sol en Ukraine, Emmanuel Macron s'est justifié jeudi 14 mars lors d'une interview dans les journaux télévisés de TF1 et France 2. Un exercice de conviction unanimement salué par les commentateurs et acteurs de la vie politique, à l'exception de ses opposants les plus farouches. Une prise de parole qui a rassemblé une large audience, près de neuf millions de téléspectateurs. Objectif rempli.

C’est le président Gillette. La première lame coupe le poil, la deuxième l’arrache.Un cadre de la majorité

Le président aurait pu s'en contenter. Mais trois jours plus tard, dans Le Parisien Dimanche daté du 17 mars, il juge utile de s'exprimer à nouveau, sur le même sujet. « Peut-être qu'à un moment donné – je ne le souhaite pas, n'en prendrai pas l'initiative –, il faudra avoir des opérations sur le terrain, quelles qu'elles soient, pour contrer les forces russes. La force de la France, c'est que nous pouvons le faire », dit-il au journaliste qui l'accompagne à bord du Falcon présidentiel, de retour de Berlin. « Notre devoir est de nous préparer à tous les scénarios. Ce serait une erreur, une faute, de ne pas le faire », poursuit-il, bombant le torse vis-à-vis de Vladimir Poutine.

Le propos vise-t-il à corriger ceux tenus à la télévision ? À les compléter ? Les experts en discours macronien se perdent en conjectures. « C'est le président Gillette [du nom de la marque de rasoirs, NDLR]. La première lame coupe le poil, la deuxième l'arrache », ironise un cadre de la majorité.

Face à la menace terroriste, l'art difficile du « en même temps » Le 20 mars, c'est Le Figaro, à son tour, qui narre dans ses colonnes les « confidences » du chef de l'État. Toujours à bord de l'avion présidentiel, mais cette fois de retour de la cité phocéenne, le président déplore que son plan « Marseille en grand » ne se déploie pas assez vite, promet de régler les problèmes de gouvernance qui persistent entre les collectivités. Le même jour, le quotidien régional La Provence titre « En force », avec une photo de la visite présidentielle à la cité de La Castellane, son opération antidrogue « Place nette XXL ». L'Élysée exulte. C'était sans savoir que dès le lendemain, le même journal choisissait d'inscrire en une cette citation d'un habitant, à propos du président : « Il est parti et, nous, on est toujours là… » Provoquant l'ire de l'actionnaire et une grève de la rédaction.

Dimanche, enfin, au terme d'une semaine durant laquelle le chef de l'État a saturé tout l'espace médiatique façon carpet bombing, c'est cette fois le JDD qui a eu droit à ses « confidences », une nouvelle fois sur le conflit russo-ukrainien, et aux « coulisses » du sommet européen qui s'est tenu à Bruxelles. « Il fallait un sursaut. C'est ce qu'on fait en changeant de cadre et en donnant de la visibilité à notre détermination », s'explique-t-il une nouvelle fois, sans craindre de se répéter. Emmanuel Macron, commentateur de sa propre action ? Toujours à bord de son Falcon, on le découvre aussi volontiers badin. « Ce sont les Allemands qui sont devant nous ? Allez-y, les gars ! Mettez les gaz ! Tout droit ! » Presque désinvolte.

Un président trop bavard

Bien sûr, l'échéance des élections européennes qui approche pousse le président europhile à occuper le terrain, au risque de se montrer trop bavard. Qu'il est loin le temps de la « parole rare », éphémère stratégie de communication d'Emmanuel Macron à son arrivée à l'Élysée, en 2017. « Le président a décidé de ne pas être un commentateur, mais un acteur », faisait alors savoir Christophe Castaner, à l'époque porte-parole du gouvernement.
À LIRE AUSSI « Ça contribue peu, ça commente beaucoup… » : le coup de gueule de Macron sur les européennesCette posture « jupitérienne » a largement vécu, laissant progressivement place à une présidence volubile et à l'art de la mise en scène, comme un certain Nicolas Sarkozy avant lui. Quitte à lasser aujourd'hui, après sept ans d'exercice du pouvoir. « Ce type de comportement, ses embardées, son show permanent ne passent plus, y compris chez ses soutiens de la première heure, confie une figure du Parlement, pourtant encartée Renaissance. Il fixe sur lui une détestation, il électrise. » Ce que montrent les enquêtes d'opinion, dans lesquelles le président reste largement englué dans l'impopularité.

On doit laisser la main à Gabriel Attal.Un conseiller du président

La nomination de Gabriel Attal à Matignon aurait normalement dû provoquer une prise de distance du chef de l'État. « Maintenant que tu as choisi un Premier ministre connu et populaire, il faut prendre du champ et se concentrer sur les sujets structurants, changer de posture », lui avaient conseillé ses stratèges élyséens. « On doit laisser la main à Gabriel Attal. Lui doit être dans l'action, et dans la mise en œuvre. Nous, dans les grands choix qui engagent la Nation. On a quelque chose de nouveau à inventer, entre des moments très verticaux (les hommages) et horizontaux (avec les Français) », exposait un conseiller début février.

Une règle que le président n'a jusqu'à maintenant jamais su s'appliquer. Bien au contraire. Tout se passe, à l'inverse, comme si plus Gabriel Attal se montrait visible, plus Emmanuel Macron surenchérissait, laissant s'installer l'impression d'une concurrence malsaine et précoce entre les deux têtes de l'exécutif. Pis, comme « militant de l'Europe », le président a déjà annoncé en petit comité qu'il prendrait part à la campagne des européennes, pourquoi pas dans le cadre d'un meeting… Une suractivité qui vire à l'agitation et inspire « de la tristesse » à cet ancien fidèle. 

Comment Emmanuel Macron embrouille les FrançaisUn compagnon de route de Nicolas Sarkozy, qui l'a accompagné au crépuscule de son règne, nous avait livré cette analyse, au début de l'année : « Le pire qu'Emmanuel Macron a à affronter ces prochaines années, c'est le désintérêt, et l'effacement. » Nous y voilà. De peur de disparaître de l'image, le président se démultiplie, non sans laisser percevoir une certaine fébrilité. Beaucoup se demandent ce qu'il fera après l'Élysée – certains dans son gouvernement (Bruno Le Maire) accélèrent pour préparer l'après.

Interrogé sur France 5 en décembre sur les « trois dernières années » de sa présidence, Emmanuel Macron avait tenu à corriger : « Trois ans et demi. » Révélateur. Regardez-moi, écoutez-moi, semble nous dire ce jeune chef de l'État qui rêve de repousser le terme de son mandat, refuse d'admettre que la suite de l'Histoire s'écrira sans lui. La photo de lui en pleine séance de boxe, le biceps bandé, ne dit pas autre chose. « La fin de règne crée chez lui une forme de panique. Il refuse d'admettre qu'il ne sera bientôt plus aux commandes », décode un interlocuteur.

Il est certain qu’il parle trop pour ne rien dire d’utile car perdu et dépassé par des évènements divers et variés qui le dépasse !?

Ce qui prouve son incompétence car n’est pas président de La France qui veut ou qui peut car il a été élu par défaut par la non candidature de son prédécesseur qui n’a pas voulu se représenter et des Français qui croyaient avoir trouvé un jeune président jeune dynamique qui pouvait changer l’inertie de cette classe politique usée que l’on trainait depuis de +40 ans et qui a été opportuniste en saisissant la balle au bond !?

Mais ces mêmes français lambda l’ont réélu peut-être par erreur ayant peut-être peur du lendemain ou ne sachant pas qui choisir dans notre classe politique si médiocre et ses partis ringards pour son 2eme quinquennat qui prend un chemin plus chaotique car là on voit son incompétence apparaitre plus clairement !?

Car le lendemain : il est là présent avec cette guerre Russo ukrainienne de son dictateur Russe Poutine qui reprend du poil de la bête et semble lui ne pas avoir peur malgré cet attentat islamiste terroriste à MOSCOU ?!

Car en plus la menace de ces terroristes islamistes serait dirigée vers la France donc un retour vers le passé avant 2015 et il est difficile de croire que notre petit président parvenu bon chic bon genre soit à même de nous protégez efficacement car il ne sait pas où il va ?!

Depuis qu’il est au pouvoir qu’on lui a trop donné mais il gouverne mal dirige mal ne décide pas ne nous protège pas assez et procrastine en plus alors s’il passait la main à quelqu’un ou à quelques spécialistes efficaces on ne lui en voudrait pas mais comme il a un égo démesuré comme d’autres dirigeants passés avant lui on est très mal parti pour la suite jusqu’en 2027 et peut être même après !?

Jdeclef 26/03/2026 14h34

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