Un an
après sa création, la Nupe au bord de l’explosion ?!
Le fragile
édifice érigé en un temps record avant les élections législatives de 2022
menace déjà de s’effondrer. À un an des européennes.
MAIS COMME
LES FRANCAIS NE SAVENT PLUS POUR QUI VOTER OU CHOISIR LEURS DIRIGEANTS POLITIQUES
DE TOUS CONNUS ISSUS DE PARTIS RINGARDS PLUS NULS LES UNS QUE LES AUTRES CE N’EST
PAS ETONNANT ILS EN ONT JUSQU’EN 2027 ET APRES ..?!
On a connu des premiers anniversaires plus festifs… Mardi 2 mai, les
représentants des quatre composantes de la Nupes – LFI, EELV, PS et PCF – ne se
retrouvaient pas pour « fêter » le premier anniversaire de cet
attelage composite, mais pour dresser le bilan de ces mois difficiles. Les
échanges ont été, selon plusieurs participants, « francs, parfois rugueux
mais respectueux ».
Le ton est toutefois monté lorsque le secrétaire national du PCF, Fabien
Roussel, a estimé que l'alliance de gauche était « un boulet, une
camisole », reprenant les termes qu'il a récemment distillés dans la
presse, ulcérant les Insoumis. Échaudé, le coordinateur national de LFI, Manuel
Bompard, lui avait pourtant intimé, avant la réunion, d'arrêter de « tirer
sur son camp ». En vain.
Roussel, qui aime titiller les Insoumis, répète sur tous les tons qu'il
n'est pas opposé à la Nupes mais qu'il souhaite l'élargir à l'ensemble de la
gauche. Y compris à la gauche anti-Nupes et à l'un de ses opposants les
plus résolus : Bernard Cazeneuve.
Un tel affront, auquel se mêle le souvenir désagréable du soir du premier
tour de l'élection présidentielle – les Insoumis en veulent toujours au
communiste d'avoir, selon eux, empêché Mélenchon d'accéder au second tour –, ne
passe pas. Mais ce turbulent « frondeur », qui estime que l'alliance
est « dépassée », n'est pas isolé, tant s'en faut. De nombreuses voix
appellent, avec insistance, à un « acte II » de la Nupes, sans
en préciser les contours.
« Mélenchon
réalise son rêve : il a tué le PS et le PC »
« Le problème, c'est que tout le monde veut passer à autre chose mais
personne ne sait où aller, relève un député socialiste. Jusqu'à maintenant, le
ciment des retraites tenait la maison debout, mais,
sans stratégie commune, l'édifice risque de s'effondrer. »
Le fragile « édifice », érigé en un temps record au lendemain de
l'élection présidentielle, est bardé de fissures depuis la rentrée
parlementaire. L'affaire Bayou, ancien patron d'EELV, et la récente
réintégration d'Adrien Quatennens, condamné à quatre mois de prison avec sursis
pour violences conjugales, au sein du groupe LFI à l'Assemblée nationale, ont
provoqué de nombreux remous. Mais il s'agissait encore de problèmes de
personnes, moins graves, sans doute, pour l'avenir d'un mouvement politique,
que de profonds différends sur le fond.
« Non, c'est non ! »
Or, les différends sur l'Europe, par exemple, n'ont pas vraiment été
surmontés et risquent de réapparaître à l'occasion des prochaines élections
européennes, en 2024. Bien que la campagne n'ait pas encore commencé, les
leaders des composantes de la Nupes s'écharpent déjà sur l'idée d'une
hypothétique liste commune.
Alors que la direction de LFI veut ouvrir une discussion sur le sujet avant
l'été, la secrétaire nationale d'EELV, Marine Tondelier, ne veut pas en
entendre parler. « Non, c'est non ! Il faut arrêter de faire les
forceurs », leur répondait-elle déjà en décembre, rappelant que son parti
défendait, à l'inverse de LFI, une « Europe forte et fédérale ». On
ne saurait être plus clair. Pourtant, au sein même d'EELV, d'autres, à
l'instar de Sandrine Rousseau ou Julien Bayou, plaident en faveur de
« l'union ».
Dialogue de sourds
à la tête du PS Les socialistes ne sont pas davantage
d'accord entre eux. Le premier secrétaire, Olivier Faure, y est plutôt
favorable, tandis que le premier secrétaire délégué du parti, Nicolas
Mayer-Rossignol, y est fermement opposé. Et, ne se parlant plus, trois mois après
le congrès du PS à Marseille, ils ne risquent pas de s'entendre…
Enfin, Fabien Roussel, pour les raisons déjà évoquées, n'est pas vraiment un
farouche partisan d'une liste commune. Au congrès du PCF, dissipant les
derniers doutes, il déclarait : « Nous participerons à cette élection
et y défendrons notre vision de la construction européenne. » Le PCF est
d'ailleurs le seul parti qui envisage de faire également bande à part aux
élections nationales, ce qui fait dire à quelques députés que les communistes
quitteront bientôt l'alliance, ou s'en feront éjecter.
Un « acte II » sans Mélenchon ?
« Tout va très bien, madame la marquise », semblent pourtant
répéter en chœur les Insoumis, certains de parvenir à convaincre leurs frileux
partenaires de la nécessité de l'union. « En réalité, ils n'ont aucune
prise sur les choix des autres composantes de l'intergroupes. Leur menace
voilée, qui consiste à dire “si on fait une parenthèse aux européennes, il n'y
a plus de Nupes”, témoigne d'une certaine fébrilité », estime une députée
écologiste. « Ils savent qu'avant les européennes, c'était de la parlote
et que, là, on rentre dans le dur. C'est forcément anxiogène », abonde un
élu socialiste.
Roussel et les
communistes ripostent aux « donneurs de leçons » de la NupesD'aucuns
avancent qu'il faudrait surtout, pour que le mariage ait une chance de durer, que
la Nupes prenne ses distances avec son père fondateur, Jean-Luc Mélenchon. Ironie
de l'histoire : celui qui a imaginé et rendu possible la formation de cet
attelage est aujourd'hui accusé d'en être le fossoyeur.
Sa défense inconditionnelle d'Adrien Quatennens, qui fut longtemps son
héritier putatif, ses fréquentes sorties au canon – encore récemment sur
la « mauvaise République » – et les critiques de ses alliés ont
fragilisé la cohésion de l'ensemble de la Nupes.
« Une alliance pérenne avec quelqu'un qui assume de “tout
conflictualiser”, y compris ses rapports avec ses amis de gauche, est
impossible », regrette un jeune député PS. Sur la forme et sur le fond,
donc, pour ne pas éclater en plein vol, ce curieux attelage n'échappera pas à
quelques sérieuses mises à jour…
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Il
faut être Français lambda critiqueurs avec sa fronde ancienne et râleurs voire
indisciplinés historiquement depuis le 17 eme siècle nous colle à la peau comme
l’histoire de la France et son régime monarchique
ancien dont on arrive pas à se débarrasser pour accepter et notamment dans cette
Vème république devenue monarchique ou nos présidents se prennent pour des
monarques sans couronnes à qui nos citoyens nonne trop de pouvoirs presque
absolu ce qui fait qu’ils n’écoutent plus le peuple malgré un parlement
coquille vide divisé difficilement gouvernable !?
Un
gâchis confirmé créé par un ancien politicien ex-ministre de gauche ex PS JL
MELENCHON mal élevé trublion aboyeur de foire patenté extrémiste qui dit vouloir
lutter contre ceux-ci notamment de droite RN lui-même n’étant plus élu puisque
l’on passe notre temps à mettre de ses étiquettes politiques sur nos partis
ringards et ses politiciens si médiocres que nous élisons et réélisons qui
pousse la France vers le fond des pays de seconde zone marginaux !?
Avec
un président hors sol opportuniste qui a profité de la défection de son prédécesseur
élu et réélu par défaut surtout par des Français perdus qui se sont trompés en
le réélisant mais ne réfléchissant pas assez et un « Mr » que l’on
croyait bien élevé mais dont le vernis à craqué par les réflexions insultantes impardonnables
envers ces Français lambda !?
Ce
bilan actuel montre notre pays qui n’avance plus et glisse vers une anarchie rampante
voire dangereuse et ce sont les Français qui en veulent à leur président pour
tout ce qu’il n’a pas fait et cette reforme des retraites qu’ils ne voulaient
pas sous cette forme et qui devrons le supporter jusqu’en 2027 par leur faute !?
Jdeclef
06/05/2023 10h18
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