jeudi 28 septembre 2023

Quand on est gouverné par des dirigeants imprévoyants qui croyaient que le monde était plein de bisounours et qu’il n’y aurait jamais plus de guerres après celles mondiales sont des incompétents dangereux qui ne protègent pas leurs peuples c’est cela la réalité !!!

 

Livraison d’armes : la nouvelle stratégie franco-ukrainienne ?!

Pour tenir dans la durée, Kiev veut nouer des partenariats industriels avec des fabricants occidentaux. Des entreprises françaises accompagnaient le ministre des Armées, ce jeudi, à Kiev.

Par Julien Peyron, envoyé spécial à Kiev

QUELLE STRATEGIE ? L’UKRAINE DEMANDE DES ARMES POUR SE DEFENDRE ET AUSSI INDIRECTEMENT L’E.U. MAIS LA FRANCE N’A PAS ASSEZ D’ARGENT POUR LES FABRIQUER C’EST CELA LA REALITE ET LE PAYS AGRESSE PAR CETTE GUERRE DU A UN DICTATEUR DEJANTE QUI SE MOQUE D’EUX EN PLUS ?!

le cortège traverse la place Saint-Michel sans prêter attention à la statue d'Olga. Depuis deux semaines environ, la sainte patronne de Kiev a revêtu un gilet pare-balles sur lequel est écrit « Elle a besoin d'armure ». Olga est habituée aux manifestations, elle a vu passer sous ses pieds les premiers opposants du mouvement Euromaïdan en 2013. Ce jeudi 28 septembre, cependant, ce ne sont pas des jeunes épris de liberté qui défilent devant elle, mais une délégation de militaires en tenue d'apparat et d'hommes d'affaires en costume cravate. La troupe est emmenée par Sébastien Lecornu, le ministre français des Armées.

Devant le « Mur des héros », sur le parvis de l'église Saint-Michel, le ministre s'immobilise, dépose une gerbe et contemple les photos des combattants tués à la guerre. L'hommage aux morts n'est toutefois pas le but de sa visite. Escorté de représentants du secteur de l'armement et de hauts gradés, il est ici en mission. Son objectif : permettre aux industriels français de nouer un maximum de partenariats avec des acteurs ukrainiens.

En matière d'aide militaire à l'Ukraine, la France tourne une page. Elle veut en finir avec l'ère des dons, rythmée par les annonces d'envoi de canons ou de véhicules blindés. « Les cessions doivent devenir l'exception », annonce Sébastien Lecornu. « Cette guerre va durer. […] Pour tenir, il faut mettre en lien direct les industriels français et le secteur ukrainien de la Défense. C'est ainsi que la France peut continuer d'être un partenaire fiable. Nous sommes le premier pays à tenter cette voie-là », se réjouit-il, assurant qu'il s'agit là d'une demande des autorités de Kiev.

La France en queue de peloton

« On va arrêter de simplement donner puis réparer », confirme, derrière lui, Emmanuel Chiva, le délégué général pour l'armement. « Pour reprendre une formule connue, on ne veut plus leur offrir des poissons, mais leur apprendre à pêcher », abonde le sénateur Ludovic Haye (Rassemblement des démocrates, progressistes et indépendants, Haut-Rhin) venu à Kiev avec quatre députés.

Une façon de faire oublier la maigreur de l'aide militaire apportée aux Ukrainiens, pour laquelle la France est toujours en queue de peloton ? « Ce n'est pas un concours de beauté, on n'est pas là pour annoncer le plus gros chèque », rétorque un conseiller de Lecornu, qui estime que les annonces les plus retentissantes des alliés « ne sont pas toujours suivies dans les faits ».

Guerre en Ukraine : ce qu'il faut savoir sur les chars Abrams bientôt livrés par Washington

Preuve de la pertinence de la démarche française, selon le ministre, certaines sociétés tricolores ont été sollicitées directement par les Ukrainiens. C'est le cas de Delaire, un fabricant de drones basé à Toulouse. « Les Ukrainiens nous ont contactés lors d'un salon en France, raconte le PDG de l'entreprise, Bastien Mancini. Ils ont tenu à tester eux-mêmes la résistance de nos drones aux systèmes de brouillage utilisés par les Russes. Voyant qu'on était bons dans ce domaine, ils en ont acheté 150. »

Bastien Mancini est l'un des représentants français les plus en vue à Kiev, car le partenariat entre sa société et les autorités ukrainiennes est appelé à s'approfondir. La construction d'un centre de maintenance pour ses drones sur le territoire ukrainien est à l'étude. Et il n'exclut pas que certaines pièces soient fabriquées un jour ou l'autre dans cette usine.

Pièces de rechange de haute technologie

L'effervescence règne à Kiev en ce moment. Avant de s'entretenir avec Sébastien Lecornu, le président ukrainien a reçu Jens Stoltenberg. Par le truchement du secrétaire général de l'Otan, Volodymyr Zelensky a réclamé à ses partenaires occidentaux plus de systèmes de défense antiaériens, alors que Moscou multiple les raids en représailles aux frappes de missiles ukrainiens en Crimée.

La guerre va bientôt entrer dans son vingtième mois et les livraisons d'armes sont toujours aussi centrales. L'industrie ukrainienne de défense a une production limitée, tandis que les livraisons occidentales peinent à couvrir les besoins d'une contre-offensive aussi capitale en termes stratégiques que coûteuse en hommes et en armement.

 Ukraine : ces armes de longue portée que demande KievLes chars allemands Leopard 2, les systèmes de missiles américains Himars, les canons français Caesar… tous sont à l'œuvre sur le front où ils démontrent leur efficacité. Mais eux aussi subissent des pertes et la maintenance de ces armements de pointe requiert un savoir-faire et des pièces de rechange de haute technologie.

Les industries de défense occidentales ont, elles aussi, du mal à suivre le rythme de cette guerre d'usure. Certains stocks ont été bien entamés. « Concernant les Caesar, la France ne peut pas se découvrir plus pour l'instant, confirme un gradé français. On ne peut pas abîmer notre propre système de défense. »

Soutien américain en berne

Conscient de la difficulté des alliés à tenir dans la durée, le pouvoir ukrainien a organisé un « forum des industries de défense » qui se tient ces jours prochains dans la capitale ukrainienne. Il doit réunir « plus de 150 sociétés de 26 pays », selon le président Zelensky. Il s'agit d'informer précisément les industriels occidentaux des besoins. Kiev souhaite profiter de l'occasion pour voir des partenariats se nouer entre des fabricants d'armes occidentaux et des sociétés ukrainiennes.

Pourquoi la Pologne lâche l'UkraineCes prochains mois s'annoncent décisifs, car le soutien américain, toujours aussi important, pourrait diminuer, voire prendre fin en cas d'élection de Donald Trump en 2024. Même au sein du camp démocrate, quelques voix réclament une pause dans l'aide à Kiev. Idem en Europe, où des pays remettent en question le fait de livrer des armes aux Ukrainiens. Kiev veut développer son propre savoir-faire pour moins dépendre de ses alliés.

En attendant, des urgences demeurent, comme le rappelle un officier ukrainien qui interpelle Sébastien Lecornu sur la place Saint-Michel. « Les missiles Scalp sont très efficaces, mais nous en voulons plus ! » Le ministre endosse son rôle d'entremetteur et le met en relation avec le représentant de MBDA, le fabricant du missile longue portée qui fait des ravages derrière les lignes russes.

Un missile à un million d'euros

Lecornu appelle l'officier ukrainien à la patience. « La production prend du temps », dit-il, demandant au commandant et à ses hommes de bien choisir leurs cibles quand ils tirent un Scalp à plus d'un million d'euros. Certains sont utilisés pour abattre des drones à moins de 20 000 euros, déplore-t-il.

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« Et les Mirages 2000, on en aurait bien besoin aussi », le relance l'officier ukrainien. Gène du ministre qui promet d'en parler avec son homologue ukrainien, Roustem Oumerov. Dans la délégation, on indique que le sujet est clos, ou presque. La France n'a pas jugé utile de fournir des Mirage 2000 à l'Ukraine, prétextant le peu d'exemplaires disponibles.

C'est l'avion de combat F-16 de fabrication américaine, que la France ne possède pas, qui doit venir combler les besoins ukrainiens. Les premiers appareils doivent être livrés dans les mois qui viennent par les Pays-Bas et le Danemark notamment. Preuve que la politique de cession est encore bien utile.

Il faut savoir ce que l’on veut du coté européen et surtout de la France championne des donneurs de leçons de bien-pensant de notre président bavard qui en donne à tout le monde car obliger de réarmer ?!

Car avec cette guerre en UKRAINE qui coute cher à tout le monde et qui a déclenché indirectement notre situation économique inflationniste qui ne s’améliore pas et considérer que l’UKRAINE est vraiment le dernier bouclier face à la RUSSIE vindicative et surtout dangereuse avec son dictateur déjanté POUTINE que ces mêmes dirigeants de cette Union Européenne pas tout à fait unie dans les méthodes ou fournitures de matériels militaires à fournir aux Ukrainiens et n’ont pas réussi à éliminer qui semble se bien porter dans son Kremlin et les USA avec leur épouvantail virtuel de cette association OTAN bouclier association virtuelle défensive qui commence à penser que leur aide militaire leur coute bien cher et donc ralentisse celle-ci !?

Car bien sur la petite armée ukrainienne même avec cette aide piétine logiquement et notre ministre des Armées Lecornu n’est qu’un pion de plus des gouvernements macronien qui obéissent servilement à notre président lui-même pas forcement compètent et tout cela ressemblant à un concours de gros sous comme on en voit au salon de l’armement pour vendre notre armement fabriqué par nos usines qui les fabriquent et dont les dons gratuitement ne sont plus peut être dans les moyens de notre état et son imprévoyance déplorable et avec notre dette qui ne cesse d’augmenter gouffre devenant sans fond 3 013,4 milliards d'euros le 31 mars 2023  98% du PIB !?

Donc pour résumer la France n’ayant plus assez d’argent traine des pieds mais préférait vendre à l’Ukraine qui n’a pas les moyens de s’armer que donner à perte car elle n’en n’a pas les moyens encore une tare que l’on traine de nos dirigeants passés et présents imprévoyants (mettant en exergue l’arrogance de bienpensant quelquefois hypocrite lanterne rouge de l’U.E. et qui même ne protège pas assez notre pays !?)

Jdeclef 28/09/2023 17h15

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La CORSE c’est 339178 habitants (en 2019) soit la population d’une grande ville de France alors si l’état républicain et notre petit président bourgeois pseudo monarque ne sait pas gérer quelques trublions à tendance mafieuse indépendantistes depuis des lustres cela confirme sont inutilité (mais cela ne date pas d’hier car d’autres avant lui n’ont pas fait mieux !?)

 

Un moment historique » : Macron dévoile ses propositions pour une « autonomie de la Corse » ?!

Le président de la République est en déplacement sur l’île, ce jeudi, pour une visite très politique. Attendu de longue date, il a multiplié les annonces sur le futur statut de la Corse.

RIEN DE NOUVEAU MAIS C’EST LA COUPE DU MONDE DE RUGBY ALORS POUR LA CORSE NOTRE PRESIDENT BOTTE EN TOUCHE (lol) !?

Dans un discours très attendu du président Emmanuel Macron à Ajaccio sur le statut de la Corse, le chef de l'État s'est dit, ce jeudi 28 septembre, « convaincu que nous sommes à un moment historique ». « La Corse est enracinée dans la France et dans la République », mais « elle a aujourd'hui besoin de davantage de libertés ».

« Le moment impose une véritable reconnaissance », poursuit-il, « pour sortir du face-à-face ». « Nous devons avancer et il faut pour cela l'entrée de la Corse dans notre Constitution. L'inscription dans un texte est ce geste de reconnaissance indispensable », affirme le président. « Ayons l'audace de bâtir une autonomie pour la Corse et dans la République », ajoute Emmanuel Macron.

Le président Emmanuel Macron a donné « six mois » aux groupes politiques et à l'Assemblée territoriale corse pour arriver à un « accord » avec le gouvernement sur un « texte constitutionnel et organique » modifiant le statut de la Corse. « Je souhaite donc que le travail avec le gouvernement puisse mener à un texte constitutionnel et organique ainsi soumis à votre accord d'ici six mois », a déclaré jeudi le chef de l'État à Ajaccio, insistant sur le fait qu' « il n'y a pas de ligne rouge, il y a l'idéal de la République ».
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« La Corse retient son souffle », lui avait lancé juste avant la présidente autonomiste de l'Assemblée de Corse, Marie-Antoinette Maupertuis. « La Corse doit rester la Corse et devenir le territoire autonome qu'elle doit être », avait-elle exhorté, soulignant notamment le « ressenti de dépossession immense » de la jeunesse dans l'île.

« Le statut d'autonomie que nous appelons de nos vœux s'inscrit au sein de la République française », a promis de son côté Gilles Simeoni, président autonomiste de l'exécutif de Corse, citant « cinq enjeux », « historique de reconnaissance », « sociétal », « économique et social » et « démocratique avec le refus de toute logique de pression ou de dérive mafieuse ».


Notre président à son habitude botte en touche en ayant du mal à décider de ce qu’il veut faire car : donner l’autonomie totale de la CORSE c’est le chemin vers l’indépendance mais le pays cette ile ne peut vivre économiquement sans l’apport de la république Française (à moins de se rapprocher peut-être de sa voisine la SARDAIGNE italienne !?)

Car pour l’instant bénéficiant des subsides de l’UNION EUROPEENNE et si notre petit monarque sans couronne et sans idées habituelles ne fera que donner plus d’indépendance car déjà ayant un statut particulier à cette « mafiosi » indélébile d’une partie de sa population qui contribuera encore plus à augmenter insécurité pour devenir une province de notre république qui s’additionnera avec d’autres en France avec ses zones dites de non droit que l’état Français n’arrive pas réguler au point que l’on ne les compte mêmes plus et avec l’exemple de leur voisine méditerranéenne MARSEILLE qui depuis les années trente défraie la chronique !?

La France de notre président qui ne sait pas quoi inventer car il ne sait pas diriger et même protéger son pays car en plus réélu par des Français aussi naïfs que lui qui traine une procrastination pathologique maladive et ayant peur du régalien utile car là il faut décider dans une république comme la nôtre car donner plus de liberté à la Corse à qui penser vous qu’elle demandera encore de l’aide si elle obtient cela de la France ?!

Et cela peut encore donner des idées à d’autres de nos provinces (mais voyons aussi l’exemple de l’ANGLETERRE avec ses provinces pays de GALLES ECOSSE et IRLANDE DU NORD et leur désir d’indépendance et leur cerise sur leur gâteau empoisonné BREXIT qu’il regrette déjà ou même la Belgique avec leurs WALLONS ET FLAMANDS qui ne s’entendent pas si bien que çà depuis toujours ?!

(Et aussi demander l'avis aux Corses et aussi des Français car c'est une province de notre pays par référendum d'autodétermination usine à gaz difficile à organiser !?)

(Petite parenthèse et coïncidence anecdotique pour faire une comparaison avec la Corse : je rentre d’un séjour merveilleux effectue en CRETE :

Elle est la plus grande des îles grecques et la cinquième de la mer Méditerranée en superficie. Elle a été rattachée en 1913 à la Grèce

L'île possède une forme étirée : elle s'étend sur 255 km d'est en ouest et, dans sa plus grande largeur, sur 55 km du nord au sud. D'une superficie de 8 336 km2, et d'une périphérie d'environ 1 000 km, elle est la cinquième île de Méditerranée après la Sicile, la SardaigneChypre et la Corse.

Elle est habitée par 621300 habitants extrêmement sympathiques accueillants travailleurs agriculteurs pécheurs mais surtout travaillant intensément pour le tourisme de leur ile qu’ils ont su mettre en valeur de façon remarquable par une géographie montagneuse assez similaire à notre CORSE !

HISTOIRE (résumée): 

La Crète appartient à l'Empire romainGortyne devient capitale de la Crète et de la province qui comprend la Cyrénaïque.

1204-1669 : après la prise de Constantinople par les croisés, Candie (la Crète) devient vénitienne.

1669 : la Crète est conquise par les Ottomans.

1822-1868 : après l'échec de l'insurrection dans l'île dans le cadre de la guerre d'indépendance grecque, la Crète est rattachée à l'Égypte.

1866-1868 : révolte des Crétois contre l'Empire ottoman, réprimée dans le sang.

1897-1898 : nouvelle révolte, débouchant sur une guerre entre la Grèce et l'empire ottoman et sur un statut d'autonomie sous tutelle internationale (Crète autonome).

1913 : la Crète est rattachée à la Grèce après sa victoire lors de la première guerre balkanique.

1922-1923 : dans le cadre du traité de Lausanne, échange des 25 000 musulmans de Crète contre 50 000 orthodoxes de Cilicie

De plus c’est une ile très moderne dans ces équipements et infrastructures de tous ordres dignes de nos sociétés européennes actuelles !?

POUR RESUMER QUAND ON VOIT LA CORSE ET SES HABITANTS SE REGARDER LE NOMBRIL ET LA FRANCE DE NOTRE V EME REMPUBLIQUE DEVENUE PSEUDO MONARCHIQUE DIRIGE PAR DES DIRIGEANTS ET POLITICIENS MEDIOCRES DONNEURS DE LECONS BIEN PENSANT QUE NOUS ELISONS OU REELISONS DEPUIS + DE 40 ANS IL N’Y A PAS DE QUOI ETRE FIER !?

JDeclef 28/09/2023 14h54


mardi 19 septembre 2023

Faire des économies les maitres mots utilisés sans cessent mais quand on se sert mal de celles-ci (quand il y en a) par nos dirigeants bienpensant donneurs de leçons hyper bavards cela ne peut marcher et correspond à (« des chiens courant après leurs queues tournant comme des toupies sans fin ») pauvre France qui continue à couler…


Du haut en bas de la hiérarchie, les armées peinent à recruter ?!

LETTRE DES ARMÉES. Les jeunes Français auraient-ils moins d’appétence pour les armées ? C’est le constat des états-majors, qui peinent aussi bien à recruter les jeunes militaires du rang qu’à conserver leurs officiers. Revue de détail.

NOS DIRIGEANTS ET POLITICIENS DE TOUS BORDS NE SAVENT QUE PLEURNICHER OU PERORER SANS CESSE CE N’EST PAS CELA QU’IL FAUT POUR REDRESSER LA FRANCE ET AIDER LES FRANÇAIS !?

Les armées comptent 272 571 personnels militaires et civils en 2023 et doivent renouveler chaque année une grande partie des contrats de ses militaires du rang. Mais il est beaucoup plus difficile qu'auparavant de recruter de nouveaux « primo contractuels » pour remplacer les partants, de moins en moins nombreux à atteindre le terme de leurs huit ans de service. Les départs de ces militaires du rang, qui ne sont donc ni sous-officiers, ni officiers, interviennent le plus souvent peu après leur cinquième année sous les drapeaux.

Pourquoi ce manque de continuité ? Bien des raisons sont analysées par les services de ressources humaines, qui vont d'un « sentiment diffus de déclassement » par rapport à la société civile, à une « perception différente de la carrière professionnelle », notait un rapport sénatorial publié au printemps : « Sans remettre en cause leur engagement au sein de l'armée, une proportion croissante des militaires envisage désormais leur passage au sein de l'institution militaire comme une étape de leur parcours professionnel, voire comme un tremplin vers une activité civile plus rémunératrice. »Le service militaire, cette idée morte. Vraiment ?

La société militaire évolue elle aussi : ses sujétions autrefois acceptées, comme la forte disponibilité, les absences fréquentes pour des missions ou des manœuvres, les mutations d'une ville à l'autre, sont de plus en plus mal vécues par les familles. Le même rapport poursuit : « De nombreux départs des forces armées s'expliquent moins par la volonté de quitter l'institution militaire que par le poids que les sujétions militaires font peser sur la vie personnelle et familiale des militaires. L'exigence de disponibilité et la fréquence des mobilités associées au statut militaire sont un facteur important. »

Primes nouvelles

Dans la marine nationale, les derniers chiffres disponibles indiquent que le taux annuel de mutation avec changement de résidence s'élève à 17 %, contre 4 % dans la fonction publique civile. Les conjoints rencontrent aussi de grandes difficultés à retrouver sur travail : 32 % se retrouvent au chômage dans l'année suivant la mutation. Alors que les armées en général, mais surtout l'armée de terre, sont orientées par la prochaine loi de programmation militaire 2024-2030 vers la cyberguerre, le grand défi est celui des rémunérations. Comment faire face à la forte concurrence du secteur privé et de ses salaires élevés, qui peine déjà à recruter ? Le seul vrai atout des armées réside dans la spécificité – illégale dans le monde civil – de l'organisation par l'État de capacités cyber offensives et d'influence. Pour ces spécialistes comme pour l'ensemble du personnel, elles vont devoir améliorer les rémunérations.

Une nouvelle politique est progressivement mise en place et sera complète dès le 1er octobre prochain, avec la réforme ou la création de primes : indemnité de sujétions d'absence opérationnelle (ISAO), prime de commandement et de responsabilité militaire (PCRM) et prime de performance (PERF). En sus, une nouvelle indemnité de garnison (IGAR) compensera le fait de ne pas pouvoir choisir son lieu ni sa durée d'affectation. Selon le ministère, « cela permet d'apporter un complément de solde à tous les militaires pour traiter la question centrale du logement. Il s'agit d'une réponse forte à des attentes exprimées de longue date par la communauté militaire. »La France fait face à un manque criant de munitions

Les effets de telles mesures ne pourront se mesurer que sur le long terme, et sur l'amélioration du recrutement. Alors que la LPM a créé 6 000 nouveaux postes, les politiques et les états-majors vont devoir convaincre qu'un passage sous les drapeaux demeure un vrai outil de promotion sociale, comme veut s'en convaincre Thibaut de Vanssay, directeur des ressources humaines du ministère, dans sa préface au dernier rapport social unique publié le mois dernier : « La fidélisation du personnel représente également un enjeu fondamental. L'égalité des chances constitue un principe très fort et nos armées tiennent la promesse républicaine de permettre à ceux qui le souhaitent de progresser. Tout le monde peut faire carrière au sein du ministère, l'escalier social existe et fonctionne dans les armées. »

Le spleen des officiers

Le problème, c'est que ceux qui ont posé le pied sur les marches du haut, ne sont pas satisfaits non plus. Chez les officiers, au nombre de 40 000 environ, soit 13 % des militaires, les griefs ne sont pas exactement semblables à ceux du personnel du rang, bien qu'ils s'en rapprochent. Ce phénomène assez nouveau vient d'être examiné dans un rapport fouillé par le Haut comité d'évaluation de la condition militaire, dont les membres indépendants sont nommés par le président de la République. Ces membres du personnel d'encadrement, surtout quand ils sont officiers supérieurs (quatre galons et plus), ont le sentiment d'être devenus « invisibles » au sein de la société française, et le rapport exprime une forme d'amertume : « L'officier constate une indifférence au mieux bienveillante à son égard au sein de la société civile.

 Armée française : l'urgente nécessité de s'adapter

La réduction du format des armées, le mouvement de périphérisation des emprises militaires et l'éloignement des théâtres d'opérations appellent l'officier à se recentrer sur le métier militaire en abandonnant les fonctions qui lui donnaient de la visibilité et fondaient la reconnaissance dont il bénéficiait au sein de la communauté nationale. » Le rapport relève que le moral des officiers, pris par les opérations ou leur préparation, est affecté et les éloigne du métier qu'ils ont choisi : « La professionnalisation des forces […] identifie le militaire à un domaine et à un mode de vie, notamment grâce aux opérations extérieures, sans pour autant permettre aux civils d'en distinguer les nuances. Face à cette singularité de l'état militaire, qui n'a assurément jamais été autant marquée par rapport à la société civile, il est nécessaire d'engager un travail d'adaptation de la condition juridique des officiers. »

La fin des opérations extérieures

Le fait que leur métier attire moins les officiers durant la seconde partie de carrière, celle qui suit le passage, ou pas, par l'École supérieure de guerre, n'est pas nouveau. Mais il s'accentue, manifestant une « une érosion lente mais constante entre 0 et 15 ans de services avec un pic modéré des départs entre 12 et 16 ans de services, surtout pour l'armée de terre et la marine nationale, période qui correspond à la réussite de l'enseignement militaire du 2e niveau (EMS2) et à l'entrée dans la deuxième partie de carrière. » Les insatisfactions sur la rémunération sont-elles vraiment différentes de celles prévalant dans le reste de la haute fonction publique ? Ce n'est pas certain. Ce qui l'est en revanche, c'est que la fin programmée des opérations extérieures en Afrique, puissant facteur d'attractivité dans l'armée de terre, ne va pas arranger les problèmes de recrutement. Si les armées françaises veulent continuer à tenir leur rang en embauchant du personnel de qualité, il faudra bien qu'elles trouvent des solutions !

Malgré que notre monde devient si instable voir dangereux qui a forcé indirectement les dirigeants et gouvernements actuels à réarmer notre pays pour sa défense bien qu’on utilise majoritairement notre armée et nos soldats en opérations extérieures ou là ils risquent leurs vies et dont certains sont déjà tombés inutilement car ce type d’intervention a été souvent un fiasco (et est pour souvent soutenir notamment de vieux dictateurs en AFRIQUE  et avec un président qui ne s’intéresse pas au régalien préférant pérorer avec des discours creux car ne sachant pas gouverner ni nous protéger de ce monde de l’étranger quelque fois dangereux comme par exemple cette Russie vindicative poutinienne !?

Alors pourquoi une certaine jeunesse (de trublion divers) voudrait s’engager car là pour ceux qui le ferait cela serait de servir avec discipline obéissance et rigueur et respect de notre pays la France qu’il ne semble pas aimer !?

Parallèlement le métier des armes et ses fonctionnaires sont mal payés (peut être par ce qu’ils sont logés blanchis nourris par l’état) dans cette catégorie de fonctionnaires qui dépend d’un ministère géré par de multiples ministres qui se succèdent plus nuls les uns que les autres comme on change de sous-vêtements si souvent comme cette Veme république obsolète qui part à vau l’eau depuis + de 40 ans !?

Et bien sûr la cerise empoisonnée de nos dirigeants comme CHIRAC qui n’a rien trouvé de mieux que de supprimer le service militaire obligatoire en fermant les casernes par souci d’économies qui sont parties au fil du temps rapidement dans le gouffre des dettes sans fond de notre pays hyper endetté !?

Car bien sur il faut se défendre avec se risque à nos frontières européennes avec ce dictateur russe déjanté qui lui vit bien et le reste du monde en ébullition dangereuse continuelle !?

Pendant ce temps-là dans notre pays de nos dirigeants grands donneurs de leçons bienpensant hypocrites des familles hommes femmes et même enfants vivent dans la rue ne mange pas à leur faim ou le froid va arriver car l’automne est là et l’hiver qui suivra sans compter l’inflation pas prête de diminuer car nous sommes mal gouvernés mal protégés par des médiocres de tous bords que nous avons élus et réélu (en plus !?)

Moi vieux Français qui aime mon pays j’ai honte pour eux !?

(Car il n’y a pas plus  sourd ou aveugle que ceux qui ne veulent pas entendre ou voir !?)

Jdeclef 19/04/2023 10h45

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lundi 18 septembre 2023

Bien qu’étant chrétien baptisé marié à l’église etc. mais non pratiquant il faut admettre enfin que les religions et croyances diverses par leur mysticisme religieux divisent les hommes depuis la nuit des temps c’est cela la réalité et la faiblesse des hommes !?

 

Au Vatican, le pape François ne lâche rien !?

LE POUVOIR DU PAPE (1/4). À bientôt 87 ans et quoiqu’affaibli, le chef de l’Église catholique réforme et continue de parler au monde. Reportage.

Il est comme nos dirigeants donneurs de leçons bienpensant donneurs de leçons qu’ils n’appliquent pas à eux-mêmes mais lui à l’avantage d’avoir aucun pouvoir politique et faire de la morale à ceux qui avalent ses bonnes paroles mais qui restent de fait sans lendemain car les décisions ne peuvent être appliquées que si elles sont suivies que par les chefs d’état de religion chrétienne (ce qui est très rarement le cas dans nos pays ou « l’argent roi » est la seule pseudo religion semble-t-il !?)

Sous le cagnard romain, la foule se presse sur la place Saint-Pierre. C'est ainsi quasiment chaque mercredi sur ce parvis – ou bien dans la vaste salle Paul VI, quand le temps ne le permet pas – pour l'audience générale hebdomadaire du pape François. Ce sera aussi le cas lors de la visite ces 22 et 23 septembre du chef de l'Église catholique à Marseille, pour une grande messe dans le stade Vélodrome et au passage de la « papamobile » sur le Prado.

Ce pape de bientôt 87 ans – il les aura le 17 décembre 1936 –, handicapé par des douleurs qui le font souffrir – au poumon (il lui manque un lobe), à la hanche et au genou – et qui l'obligent désormais à se déplacer en chaise roulante, à la tête d'une Église minée par les scandales, déplace les foules. « Je ne vois aucun signe de fin de pontificat, assure un (très) proche, Andrea Tornielli, le directeur éditorial de Vatican News. Le pape voyage, et il fait de son mieux pour faire passer au monde un message de miséricorde et défendre la paix ». Plus étonnant, Sandro Magister, le « pape » des journalistes vaticanistes italiens, qui par ailleurs ne ménage pas ses critiques sur un « pontificat de confusions et de contradictions », abonde : « À part ses problèmes d'articulation, l'état de santé du pape reste bon pour son âge. Il travaille sans cesse, tous les jours, il suit personnellement une quantité de dossiers. Il pourrait très bien prolonger le pontificat durant des années. »

Un pape qui n'arrête jamais

Avant Marseille, François était dans la lointaine Mongolie et au milieu de plus d'un million de jeunes catholiques à Lisbonne, après la Hongrie et un déplacement sous tension en République démocratique du Congo et au Soudan du Sud. Il enchaîne les rendez-vous et les prises de parole. Il s'apprête à publier, le 5 octobre, la suite de son encyclique Laudato si' sur l'écologie intégrale, qui a connu un fort succès en 2015 et continue d'inspirer nombre de décideurs et de jeunes, une « mise à jour » très attendue.

Au même moment, François réunira à Rome le grand synode rassemblant 300 évêques et experts laïcs pour plancher pendant un mois sur « sa » grande réforme pour l'avenir de l'Église. Il a profondément remodelé la curie romaine à sa main, créant, le 10 juillet, 21 nouveaux cardinaux – dont 2 Français – qui entreront en fonction le 30 septembre : aujourd'hui, 72 % des cardinaux électeurs – ceux qui sont âgés de moins de 80 ans – ont été nommés par le pape François. La promotion récente à la tête de la très stratégique Congrégation pour la doctrine de la foi – gardienne de la doctrine, à la tête de laquelle Joseph Ratzinger, futur Benoît XVI, officia plus de vingt ans – de l'Argentin Mgr Victor Manuel Fernandez marque aussi un tournant.

« L'image d'un pape parmi les loups, comme ça l'était au début du pontificat, ne correspond plus à la réalité », remarque une vaticaniste. François semble vouloir garder le contrôle pour imposer un successeur qui poursuive l'action dans la ligne qu'il a fixée. Même si cela sera compliqué. « Les oppositions et résistances dans la hiérarchie des évêques et cardinaux sont sourdes, très diversifiées, de gauche et de droite, et, au moment du conclave pour désigner le successeur, elles apparaîtront en pleine lumière », soutient Sandro Magister, qui, après avoir été le chroniqueur « religions » de l'hebdomadaire L'Espresso, continue de suivre le Vatican sur son blog Septième Ciel, traduit en quatre langues.

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La voix puissante des « sans-voix »

Drôle d'ambiance à Rome. Ce pape très politique ne lâche rien. Il reste une autorité morale dans un monde à la géopolitique bousculée, la voix puissante des « sans-voix », des individus exclus – les migrants, en priorité – et des petites nations isolées. Mais son action n'est pas toujours lisible sur plusieurs points chauds. S'il continue à prendre des positions courageuses – voyage en Irak, admonestations répétées contre les mafias, « organisations du péché »… –, son ménagement de la Russie dans le conflit ukrainien – pour favoriser « un chemin de paix », soulignent ses proches – et ses silences sur l'Arménie, notamment, pèsent lourd, pour l'instant.

Tout comme, ce qui est à cette heure une tache sombre du pontificat, sa politique de lutte contre les abus sexuels, jugée en deçà de celle menée par son prédécesseur Benoît XVI. Son soutien indéfectible à son ami jésuite le père Marko Rupnik, malgré la multiplication à son encontre des accusations abus sexuels et spirituels de la part de femmes et d'hommes, choque. Ça tangue beaucoup au Vatican sur ce sujet, comme l'a récemment souligné la démission du jésuite allemand Hans Zollner, qui y siégeait depuis 2014, de la Commission pontificale pour la protection des mineurs en invoquant des « questions structurelles et pratiques ».

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François le réformateur poursuit la mission qui est la sienne de restructurer en profondeur la gouvernance de l'Église pour ouvrir davantage le dialogue, donner plus de place aux femmes et aux laïcs, en essayant de libérer le « mammouth » vaticanesque entravé par une machinerie lourde, figée et conservatrice. Tout, évidemment, ne se fait pas sans heurts. « François a rééquilibré beaucoup d'injustices, il a repris en main des dossiers ouverts, il a encouragé des communautés, remarque Giovanni Maria Vian, qui a dirigé (et profondément remanié) pendant onze ans L'Osservatore romano, le quotidien du Vatican. Mais il veut tout faire, tout contrôler, tout voir. Quand il a été élu, le gouvernement de l'Église était très faible, et il l'a repris en main, dans les dernières années de façon de plus en plus personnaliste et brutale. Résultat, il divise. »

En début d'année, après la mort de Benoît XVI et l'hospitalisation du pape François pour une « infection pulmonaire », les rumeurs de l'ouverture de sa succession avaient repris de plus belle. Et les listes de papabili – candidats potentiels au trône de Saint-Pierre – commençaient à tourner dans Rome. « Je suis vivant », a lancé dans un grand sourire l'intéressé. Et il veut le montrer chaque jour, s'épuisant à la tâche, ainsi que ses collaborateurs. Beaucoup de témoignages de l'intérieur parlent ainsi du climat d'angoisse, voire de peur, que son exigence et son management sans ménagement imposent. « Il est clair qu'il y a moins de sérénité, remarque un prélat. Avant, on pouvait s'installer ad vitam aeternam ; maintenant, François a inventé un temps limite pour servir le Saint-Siège : un mandat de cinq ans renouvelable une fois. Il n'y a plus de positions établies. »

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Ce qui rejaillit sur le contexte. « Le pape se répète sur ces thèmes de prédilection, il y a une fatigue avec un discours qui se renouvelle assez peu et des gestes qu'on a l'habitude de voir, observe le même prélat. Mais le pape François reste une “machine de guerre” : quand il se met sur un texte, il le reprend ligne à ligne. Il n'a pas l'habitude de peser ses paroles au trébuchet de la diplomatie, ce sont des mots du cœur, les phrases d'un grand-père qui peut se permettre de dire à ses petits-enfants ce qu'il pense… » Un chef spirituel dont les paroles et les gestes à Marseille seront captés – encore et toujours – sur tous les continents. Car vaille que vaille, malgré l'âge, la fatigue, les scandales, les attaques et les chamboulements politiques, l'homme en blanc reste le grand-père du monde.

Ramenons à la réalité ce titre accrocheur intitulé : « le Pape ne lâche rien » mais que peut-il faire à part apporter la bonne parole bienpensante car bien sûr il a une aura médiatique par ce pseudo chef d’un tout petit état pontifical dans le sein de cette Italie romaine qui n’a pas forcément les mêmes idées politiques et change de gouvernement tous les 18 mois en moyenne depuis l’après-guerre et l’épisode dictatorial mussolinien !?

Car il est le chef de l’église catholique chrétienne une des religions monothéistes encore la plus grande dans le monde mais qui n’a pas été sans faute loin de là dans son histoire et a beaucoup à se faire pardonner et même avec d’autre papes remontant jusqu’à la 2eme guerre mondiale et surtout avec de nos guerres de religions remontant à nos croisades et à nos histoires européennes de + de 2000 ANS ?!

Pour le reste on n’a jamais cesser de s’entretuer dans le monde notamment à cause de ses religions et par ce mysticisme religieux souvent moyenâgeux car remontant à la nuit des temps et  est un des principal défauts des hommes leurs croyances et aussi leurs prêtres pas toujours très recommandables (ce qu’il ne faut parler ou développer dans cette église catholique qui en déjà beaucoup à se reprocher car ces guerres de religions que tous nos dirigeants ne veulent pas regarder en face perdure ou qui continue avec des attentats divers au nom de dieu ( car les hommes en ont plusieurs de ces dieux…)

Alors dans cette époque instable que ce prélat prêche à ses ouailles croyantes ce n’est pas mauvais loin de là mais dans ce monde devenu si dangereux il faut cesser de donner des leçons que personne n’écoute et qui ne serve à rien hélas et même produisant le contraire qu’espéré (d’ailleurs nos dirigeants s’en charge dejà assez !?)

Cet homme est surement bon mais c’est un dirigeant comme les autres sauf que lui n’a aucun pouvoir et cela peut donner confiance aux plus faibles !?

MAIS CELA N’OCCULTE PAS QUE LES HOMMES SONT INCAPABLES DE S’ENTENDRE ENTRE EUX POUR DE MULTIPLES RAISONS INNOMBRABLES DEPUIS QU’ILS SONT SUR CETTE TERRE PLANETE QU’ILS N’ARRIVENT MEME PAS SE PARTAGER EN COURANT A LEUR PERTE !?

(Je suis allé à ROME fin mai 2023 c'est extraordinaire le nombre de touristes se pressant pour visiter le Vatican !?)

Jdeclef 18/09/2023 15h29


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dimanche 17 septembre 2023

Quand on un dirigeant comme le nôtre qui ne comprend rien à la décolonisation remontant à 60 ans cela ne peut être compris par ces pays du MAGHREB qui ne veulent plus recevoir de leçons de dirigeants larmoyants hypocrites ancien colonisateurs !?

 

Le Maghreb est son pire ennemi !?

LETTRE DU MAGHREB. Les cinq pays du Maghreb sont incapables de s’entendre, ne serait-ce que pour lutter contre les catastrophes naturelles.

MAIS SURTOUT DES EX POSSESSIONS COLONIALES EUROPENNES LIBYE (ex ITALIENNE) MAURITANIE TUNISIE ALGERIE MAROC (ex FRANCAISE)

Derna (Libye), sous le joug de la tempête prénommée Daniel, le désert est devenu un océan. L'eau est montée jusqu'au quatrième étage des immeubles, transformant les appartements en aquariums meurtriers. En se retirant, elle a embarqué des centaines de cadavres en Méditerranée. Samedi soir, on comptait 11 300 morts, plus de 9 000 disparus.

Plus à l'ouest, au Maroc, à Amizmiz, ville de 20 000 habitants nichée au pied du Haut-Atlas, le tremblement de terre a zébré les édifices, les brisant d'une secousse sismique de magnitude 6,8, transformant les logis en sarcophages. Au 8e jour, le bilan provisoire fait état de 2 956 morts. En quelques jours, l'Afrique du Nord a subi deux catastrophes naturelles de très grande ampleur. À un mois des premières pluies et du frimas, 300 000 Marocains et près de 100 000 Libyens n'ont plus de logement. Face à ces deux drames, le Maghreb affiche son visage de toujours, celui de la désunion.

Explications.

Gérard Araud : France, Maroc, Algérie, ce délicat jeu à trois

Cinq pays, trois conflits et demi

Pourtant, le Maghreb, sur le papier, c'est un rêve. Cinq pays (cinq pays et demi avec une Libye scindée) partageant la même langue, la même religion et la même histoire. La Mauritanie, le Maroc, l'Algérie, la Tunisie et la Libye. Une zone de 100 millions d'habitants, placée entre le Nord et le Sud, l'Europe et l'Afrique. Dans son sous-sol, des piscines de devises, des rivières de dollars découlant des prodigieuses réserves en gaz et pétrole de l'Algérie et de la Libye. Concernant le commerce maritime – qui bat des records – ce sont 8 239 kilomètres de côtes qui s'offrent depuis l'Atlantique jusqu'à la frontière ouest de l'Égypte (à portée du canal de Suez, de l'Arabie saoudite). Un emplacement rêvé au bord de la Méditerranée. Un hub extraordinaire entre les deux continents. Sur le papier, il ne manque au Maghreb qu'une monnaie commune et un marché unique pour en faire l'une des zones les plus intégrées au monde.

En 2023, l'Union du Maghreb arabe existe toujours depuis sa création en 1986, date du rêve d'un équivalent de l'Union européenne (UE) en Afrique du Nord. Dotée d'une administration, elle fait semblant d'exister. Selon l'ONU, le Maghreb est actuellement la région « la moins intégrée au monde ». Le Maroc et l'Algérie sont en état de guerre froide, la Tunisie est en froid avec le Maroc et la Libye est un pays « aux deux pays ». Imaginez les deux puissances régionales, Alger et Rabat, qui devraient être les moteurs de la région, et qui n'ont plus de relations diplomatiques, leurs frontières terrestres, maritimes et aériennes étant closes. Rideau de fer, « on ne passe pas ». Quand un vacancier s'égare sur sa planche, il risque la mitraille des garde-côtes. Imaginez l'Union européenne avec Berlin et Paris sans ambassades, frontières hermétiquement bouclées, sans échanges commerciaux, s'invectivant à qui mieux mieux. Quant à la Libye, Tripoli, à l'ouest, accueille le gouvernement Dbeibah, ainsi que la Banque centrale et le siège de la NOC (National Oil Corporation), la compagnie pétrolière nationale ; à l'est, des forces qui ne reconnaissent pas le gouvernement. Une désunion totale qui devient une plaie béante lorsque l'aide internationale arrive à Benghazi et qu'on craint que les seigneurs de guerres se l'approprient.

 Séisme au Maroc : Rabat décline l'offre d'aide d'Alger

L'inutile polémique française

Pendant qu'on sauvait des rescapés dans les décombres du Maroc et les flots en Libye, alors que les victimes attendaient le réconfort des secours (couvertures, nourriture, soins), la France en a profité pour s'offrir une polémique déplacée. Question d'habitude. Sur certains plateaux télé dédiés à la polémique perpétuelle, on a alimenté les flammes du ressentiment, glosant sur les pays dont l'aide n'a pas été immédiatement acceptée par le Maroc. Une longue liste comprenant la Turquie, Israël, le Japon, la France… Des « experts », capables d'analyser un fait divers en Bretagne tout en apportant une considération géopolitique sur le séisme, ont attisé un inutile procès, alors qu'on comptait les morts. Précisons que sur les routes du Haut-Atlas, il suffisait de dix voitures non coordonnées pour créer un embouteillage, bloquant ambulances et camions de ravitaillement. Entre un éboulis et un ravin, effectuer un demi-tour relève du tour de force. Accepter l'intégralité de la générosité mondiale revenait à créer un double chaos, depuis l'aéroport de Marrakech – dont l'espace aérien est restreint pour permettre aux secours de voler – jusqu'aux infrastructures routières. Question de priorités.

Le choix du royaume marocain relève du pragmatisme, de la diplomatie des brancards et du long terme. En triant sur le volet les pays aidants (Royaume-Uni, Espagne, Qatar, Émirats arabes unis), le Maroc exprime ses choix, gère son drame. Les deux pays du Golfe pourraient avoir un rôle financier important pour la reconstruction du pays.

Algérie-Maroc : la solidarité entre les « frères » au-delà de la guerre larvée

Mutualiser les besoins pour contrer les catastrophes

Le Maghreb peut être son pire ennemi. Les drames de la semaine passée, ainsi que leurs conséquences (des dizaines de milliers de sans-logis, une crise sanitaire larvée, des centaines d'écoles détruites, de colossales reconstructions à planifier), sonnent comme une alerte régionale. Il faudrait que les pays mutualisent leurs équipements, se réunissent pour des investissements permettant de lutter contre toute la panoplie des catastrophes naturelles (séismes, incendies, inondations, sécheresses…). Le réchauffement de la Méditerranée anticipe de sérieux coups de griffes météorologiques. La « bombe sismique » qui a tué au Maroc, les barrages qui ont cédé sur Derna (Libye), faute d'entretien, montrent le besoin d'un Maghreb uni.

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Ce n’est pas une nouveauté leurs différents malgré une décolonisation européenne depuis + de 60 ans car en fait ce n’est qu’une partie de l’AFRIQUE ex coloniale ou française entre autre remontant aux IXX eme siècle et donc celles du nord appelé Maghreb par leurs différences territoriales héritées du découpage artificiel de leurs frontières et leurs ethnies nombreuses et par ces 2 guerres mondiales européennes que se sont partagés les européens par certains de ces pays bordant la méditerranée et aussi que la fin de l’empire ottoman musulman en 1920 et leur religion dominante musulmane pour certains de ces pays sans compter l’islamiste extrémiste ce qui a amené a créer l’EI DAESH et le terrorisme islamiste mondial et la lutte contre djihadisme toujours d’actualité avec en plus cette ineptie de nos pays donneurs de leçons bienpensant d’avoir voulu créer des printemps arabes pour contre carrer leurs cultures ancestrales un fiasco retentissant logique !?

Et prouve s’il le fallait qu’il faut les laisser régler leurs problèmes entre eux quels qu’ils soient comme le roi du MAROC l’a montré en n’acceptant pas l’aide de la France pour cette catastrophe naturelle car quand la France se mêle des affaires post africaines ou d’autres pays car ceux-ci sont maitres chez eux logiquement et notre président bienpensant donneur de leçon qui n’y comprend rien d’ailleurs cesse ses initiatives considérées hypocrites par ses pays çà nous évitera d’être vilipendé voire moqué par des pays qui ne veulent plus de la France qui se  mêle (encore) de ce qui ne la regarde pas et c’est normal !?

Jdeclef 17/09/2023 13h38

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Quoi de plus simple que de faire peur aux Français lambda bienpensant en agitant la crainte de l’extrême droite (mais surtout en oubliant l’extrême gauche bien pire alors qu’elles sont à mettre dans le même sac du totalitarisme et que le pouvoir est en place jusqu’en 2027 ?!)

 

Christine Clerc : Marine Le Pen, l’irrésistible ascension ? (Ou l’épouvantail habituel pour les gogos qui croient en elle ?!)

CHRONIQUE. La cheffe du RN surfe sur les thèmes du moment, notamment l’immigration, tandis que ses adversaires ne sont plus audibles. Résultat : elle caracole en tête des enquêtes d’opinion.

LES ELECTEURS FRANCAIS SONT D’INCURABLES NIAIS NE SACHANT PLUS VOTER OU CHOISIR LEURS DIRIGEANTS DEPUIS + DE 40 ANS DONC POUR L’AVENIR JUSQU’EN 2027 LES CAROTTES SONT CUITES EN ESPERANT PAS LE PIRE AVEC CE PRESIDENT D’UNE INCOMPETENCE REMARQUABLE ?!

LA FRANCE DEVIENT UN PAYS DE PERDANTS ET CA C’EST DESESPERANT !?

On la croyait en vacances prolongées. Pendant que le tout jeune président de son parti, Jordan Bardella, 28 ans hier, se rendait à l'Élysée pour participer à l'interminable réunion organisée par Emmanuel Macron, elle disait s'occuper de ses douze chats. Surtout, Marine Le Pen, 53 ans depuis le 5 août, mariait sa fille Mathilde, 24 ans, la jumelle de son fils, Louis, et la cadette de son aînée, Jeanne.

Cela se passait au cœur de l'été en Bretagne, dans la maison familiale de Perros-Guirec où elle recevait son père, dit « le Menhir », très affaibli à 95 ans après un accident cardiaque. Elle repensait à cette période folle de sa vie, où, mère de trois enfants en moins de vingt mois et bientôt divorcée, la future avocate qu'elle était devait, sur injonction de ce père impérieux, Jean-Marie Le Pen, s'initier aux débats télévisés. Après avoir connu, alors qu'elle n'avait pas 8 ans, un attentat qui avait laissé sa chambre au-dessus du vide, elle devait affronter menaces et insultes.

Que d'années terribles avant de pouvoir, enfin, afficher la sérénité ! Trois semaines de vacances, sans doute en compagnie de son amie Ingrid, loin du bruit et de la fureur des combats dits « virils ». Puis, jeudi, dans son fief d'Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais) de premières retrouvailles avec ses partisans, en prononçant un discours dédié à « cette formidable jeunesse de France ! ». Et, soudain, comme un double coup de gong, un, deux sondages, sortis deux jours avant qu'elle ne fasse son éclatante rentrée politique aux journées RN organisées ce week-end dans la ville de Beaucaire – 16 000 habitants, dont le maire, Julien Sanchez, 40 ans à peine, est RN.

Un afflux de migrants la propulse au sommet

Selon le baromètre Elabe-BFM, un Français sur deux la jugerait désormais « capable de rassembler » et 67 % la qualifieraient de « courageuse ». Selon Le Figaro-Odoxa, 72 % des Français voudraient supprimer l'aide médicale d'État pour la remplacer, comme elle le réclame, par une simple aide en cas d'urgence, et 82 % réclameraient l'inscription des étrangers entrés sans visa… Le porte-parole du gouvernement, Olivier Véran, a bien tenté, ce vendredi, à la veille du congrès RN, de faire une apparition à Beaucaire pour « prouver qu'il n'y a pas de territoire interdit au sein de la République », on ne parlera que d'elle.

Réforme des retraites : quand Marine Le Pen joue avec le feu

Marine Le Pen, sa rentrée, les sondages en hausse pour elle, tandis que sa nièce Marion, hier l'étoile montante auprès de l'ex-candidat Éric Zemmour, en est réduite, comme future tête de liste aux élections européennes du mouvement Reconquête !, à prêcher pour une alliance familiale en tentant de multiplier les « coups », comme son aller-retour jeudi à Lampedusa. On ne parlera que de « Queen Marine », et surtout, des événements qui la servent tellement qu'ils semblent parfois organisés par une main étrangère pour la propulser à la première place : ces arrivées massives d'immigrés sur les côtes européennes, et en particulier ce chiffre : 7 000 personnes débarquées de centaines d'embarcations africaines dans la petite île italienne de Lampedusa dont le camp d'accueil de 600 places est depuis longtemps débordé. Des Africains affamés, accompagnés de femmes souvent voilées et de bébés secoués de pleurs. Quelque 7 000 malheureux endormis sous le soleil de la petite île refuge, mais se relevant soudain pour se bagarrer à l'arrivée des vivres distribuées par la Croix-Rouge… Tandis que la presse européenne publie ce chiffre : 165 669 arrivées de migrants en 2023.

Un moment, on crut que ses liens avec les banques russes de Poutine, qui lui prêtèrent de quoi financer sa campagne, allaient desservir la candidate RN en temps d'invasion russe en Ukraine. Mais Marine Le Pen sut prendre ses distances en expliquant qu'elle n'avait pas eu le choix, puisque les banques françaises n'avaient pas voulu lui faire crédit. D'ailleurs – quelle aubaine ! – Nicolas Sarkozy la lavait des accusations de « russophilie » en plaidant lui-même, dans son dernier livre, Le Temps descombats ( Fayard ), pour le retour à de meilleures relations avec Vladimir Poutine, « faute de quoi nous serions, avec certitude, les deux grands perdants au profit des deux habituels gagnants des grandes affaires du monde : les États-Unis et la Chine ».

Pourquoi ses adversaires ratent leur cible

Comme si, depuis 17 mois – depuis son troisième échec à la présidentielle, qui fut aussi sa seconde défaite face à Emmanuel Macron ( mais cette fois avec 41,45 % des suffrages au second tour, soit 8 points de mieux qu'après l'accablant débat télé de 2017) tout servait Marine Le Pen ! À commencer par le discours de ceux qui ont prétendu lui barrer la route. On se souvient d'Éric Dupond-Moretti, l'ex-avocat célèbre devenu ministre de la Justice et si sûr de son éloquence et convaincu de sa supériorité morale qu'il alla braver la fille Le Pen, candidate d'un RN (Rassemblement national) qu'il s'obstinait à appeler « FN » ( Front national ) sur ses terres du Nord-Pas-de-Calais en attaquant « un demi-siècle de déclarations antisémites, racistes et xénophobes ».

Comme si Marine n'avait pas pris ses distances avec son père au point de l'exclure de son propre mouvement. Comme si elle ne s'affichait pas avec des amis juifs. Et comme si des départements entiers, naguère socialo-communistes, comme la Seine-Saint-Denis, n'avaient pas remplacé le vote « rouge » par un vote pro-RN ! Avec un minable résultat de 9 % des voix pour le candidat LREM (le parti présidentiel, rebaptisé depuis « Renaissance ») qu'il soutenait, Dupond-Moretti dut apprendre l'humilité. Son collègue le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, aussi. Pas seulement à cause du nombre d'agressions en hausse, sur un territoire français qu'il parcourt en tous sens en promettant chaque fois des renforts policiers. Mais parce que son propre discours, notamment sur « le séparatisme islamiste » (également le titre de son livre publié en 2021 aux éditions de l'Observatoire) reprend, mot pour mot, celui de l'adversaire désignée.

Des thèmes qui se sont imposés

Il s'agit de « rompre avec la naïveté », car « l'islamisme s'introduit dans la société, en occupant tous les pans des activités humaines pour séparer, littéralement, de la communauté nationale, des femmes et des hommes souhaitant vivre désormais intégralement selon des normes particulières, et réclamant que celles-ci s'imposent aux règles dictées par nos institutions ». Marine Le Pen pourrait s'amuser à citer, dans son discours de rentrée, ce couplet d'un prétendu adversaire de choc. Elle pourrait, au passage, épingler aussi Jean-Luc Mélenchon qui répète : « En plus d'être raciste, elle est alliée au capital ! » et tente de ressaisir ses propres électeurs – dont de 15 % à 20 % s'avouent sensibles au discours « mariniste » – en leur criant : « Je vous en supplie ! Dites-le autour de vous : la fibre sociale du RN n'existe pas ! » La candidate la mieux placée, derrière Édouard Philippe, pour la succession de Macron à l'Élysée, pourrait enfin se moquer de la Première ministre, Élisabeth Borne, qui la qualifie d'« héritière de Pétain » mais qui aurait tant voulu repousser le débat prévu à l'Assemblée sur l'immigration…

Marine Le Pen et le « traumatisme » des régionales 2021

Mais désormais, elle a mieux à faire : constater que ses prévisions étaient justes. Citer l'entretien au Point dans lequel, le 24 août, le président de la République promettait de « réduire significativement l'immigration par une meilleure protection des frontières européennes » Et ouvrir grands les bras pour annoncer des jours meilleurs. Secrètement, elle se réjouit : rivalisant de zèle antifasciste, ses adversaires de gauche comme de droite et du centre ont oublié de souligner son inexpérience, au moins égale à celle de la Première ministre italienne « mussolinienne » Giorgia Meloni, en matière de gestion comme dans les domaines d'économie mondiale, de politique internationale… et de maîtrise de l'immigration ! Le tout est de leur redonner espoir. En dénonçant ardemment « l'angélisme migratoire ».

 

Que ce soit M.LE PEN ou son excessif père JM LE PEN qui a créé le FN devenu RN qui a changé de nom par les vieilles habitudes de ses droites qui se nomme actuellement « LR » et avant moult noms de partis pas différents depuis que de Gaulle a créé cette VEME REPUBLIQUE devenue pseudo monarchique  mais pas forcement pas d’idées extrémistes bien que cela n’en gênerait pas certains dans ces kyrielles de politiciens de tous bords qui ne pensent qu’à eux et à leurs avantages et privilèges si lucratif hérité de l’ancien régime dont on arrive pas à se débarrasser depuis des millénaires bien qu’on ait fait une révolution vite oubliée avec nos empires napoléoniens pour finir par des républiques de petits bourgeois ou l’on revoit un ou des présidents se prenant pour des monarques sans couronne a qui des FRANÇAIS lambda ont donné trop de pouvoir et qu’ils élisent et réélisent en naïfs incurables comme notre dernier dirigeant qui peut se permettre de les dédaigner « ses gens de peu ou d’en bas » car étant là jusqu’en 2027 !?

Alors que les problèmes de notre société se trouve chez les FRANÇAIS eux-mêmes ou on agite devant eux les drapeaux noirs ou rouges de l’extrême droite usée lepeniste mais surtout l’extrême gauche étant nettement plus dangereuse mélenchoniste (et son ex leader vieillissant même plus élu ?) Aboyeur de foire tribun mal élevé comme les cadres de son parti LFI et cet agrégat de partis de gauche et écologiste politique cette NUPES qui ont basculé dans l’extrémisme si à la mode dans notre société française malade qui dérape !?

La question qu’il faut poser au peuple et savoir s’il reste encore des Français dans ce monde politique sclérosé chez ces femmes et hommes de bonne volonté (qui existe ?) Pour ouvrir les yeux de ses français lambda et leur dire enfin de réfléchir ET S’ILS VEULENT UN VRAI CHANGEMENT (avant que l’on leur colle une démocrature comme on voit dans le monde devenu risqué et belliqueux voir dangereux car 2027 c’est loin à cause d’eux !?)

Jdeclef 17/09/202312h12 LP 

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