samedi 31 décembre 2022

Arrêtons de dire que le président prend des risques (même sur les retraites) il a été réélu jusqu’en 2027 et indéboulonnable par des Français stupides qui aiment les coups de pied au cul !?

 

Vœux présidentiels : Macron va-t-il rallumer le feu des retraites ?

CHRONIQUE. Il n’a pas évoqué le sujet depuis son allocution du 31 décembre 2019. Le faire ou ne pas le faire ce soir, telle est la question.

Qu’il le fasse ou non il connait le résultat d’avance et attendre en bon procrastinateur maladif c’est reculer pour mieux sauter !

 

En parler ce soir dans son allocution de vœux ? C'est prendre le risque, alors même que la Coupe du monde de foot a boosté sa popularité (entre 36 % et 46 % selon les sondages ) et que les Français, voyant la guerre flamber de l'Ukraine à l'Iran et s'inquiétant de nouvelles hausses de prix de l'énergie, aspirent à un moment de répit, de réveiller d'un coup toutes leurs angoisses et leurs colères. Ne pas en parler, au prétexte que la concertation n'est pas achevée ?

Certes, le nouveau chef des Républicains, Éric Ciotti, reçu la veille de Noël à Matignon, où il a défendu la cause des petits retraités et des femmes et plaidé pour un objectif 64 ans, « 65 ans étant d'une brutalité sans doute trop forte », semble pouvoir être amadoué. Cela, au moment où les tonitruants dirigeants de La France insoumise sont affaiblis par l'affaire Quatennens. Mais le syndicat le plus réformiste, la CFDT de Laurent Berger, ne veut toujours pas reculer d'un pouce.

Dans la fabrique des vœux présidentiels

Alors, se contenter de rappeler que la Première ministre Élisabeth Borne devrait relancer le débat au Parlement le 10 janvier ? Cela passerait pour un nouveau recul, humiliant. Impossible pour l'orgueilleux jeune président qui, à peine élu, déclarait lors de ses premiers vœux de bonne année aux Français, le 31 décembre 2017, assis à une table en marbre le dos à une fenêtre sur le parc de l'Élysée : « Demandez-vous chaque matin ce que vous pouvez faire pour le pays » et promettait « toujours, j'écouterai, j'expliquerai, je respecterai… mais toujours, à la fin, je ferai ce que vous attendez de moi, car c'est ce dont le pays a besoin ».

Le Covid a chassé les réformes

Deux ans, déjà, que le sujet des retraites n'a pas été abordé lors de la traditionnelle allocution de vœux télévisée. Il y avait de bonnes raisons pour cela : la crise du Covid. Le 31 décembre 2020, assis au coin du feu, un Macron paternel nous invitait à penser aux 64 000 premières victimes officielles du virus mais rappelait que « l'esprit collectif avait sauvé tant de vies ». « Pleinement conscient des sacrifices » demandés à ses compatriotes, il promettait « un nouveau matin français » et citait Marie-Corentine, une infirmière de 24 ans, qui avait tout quitté la veille de Noël pour venir en renfort à l'hôpital de Créteil ; Romain, gendarme qui avait fait évacuer au péril de sa vie 60 pensionnaires d'une maison de retraite ; Mehdi, prof d'histoire, qui avait fait un cours sur la laïcité après l'assassinat de Samuel Paty et Mauricette, 78 ans, première vaccinée devant les caméras de télévision. « Tous ces visages sont ceux de l'espérance de la France ». Jamais, d'ailleurs, « le chômage n'avait été aussi bas ».

Les vœux minimalistes d'Emmanuel Macron

Hélas, le 31 décembre 2021, le président de la République, debout, cette fois, devant la fenêtre du parc, devait commencer son allocution par « une pensée pour les 123 000 compatriotes à qui le virus a ôté la vie ». Mais, rappelait-il après avoir exprimé sa reconnaissance au personnel soignant et aux pompiers, « plus de 53 millions de Français ont été vaccinés… La France, malgré les épreuves, est plus forte qu'il y a deux ans ». En 2022, « quelles que soient ma place et les circonstances » (Macron n'avait pas encore annoncé son intention de se représenter), le président en fin de mandat continuerait à servir. Car « de la France, notre patrie, nul ne saura déraciner mon cœur ». Car 2022 allait être l'année d'un « tournant pour l'Europe ». Mais le 24 février, les chars russes allaient franchir la frontière ukrainienne…

La guerre en Europe. La guerre des Gilets jaunes sur nos ronds-points… Chaque fois, une actualité violente a reporté les projets de réforme. Il faut remonter au 31 décembre 2019 pour trouver le mot « retraite » dans la rituelle allocution présidentielle de fin d'année. Après s'être félicité de la création de 500 000 emplois, Macron s'interroge : « Des décisions peuvent heurter. Faut-il pour autant renoncer à changer le pays ? Non ! Ce serait trahir nos enfants, leurs enfants et leurs enfants après eux ! C'est pour cela que la réforme des retraites, à laquelle je me suis engagé devant vous, sera menée à son terme. Parce qu'il s'agit d'un projet de justice et d'un progrès social ! » Et d'ajouter cette phrase que tous lui réclament aujourd'hui : « Nous voulons que chacun puisse bénéficier d'une pension digne… notamment les oubliés du système actuel, les femmes, dont les retraites sont presque deux fois inférieures à celles des hommes. »

Les modèles Mitterrand et Chirac

C'était il y a trois ans. Est-il trop tard aujourd'hui pour reprendre le même discours ? Beaucoup le pensent, car la peur a gagné les Français, et pas seulement les plus fragiles. Alors, pourquoi, dans un souci d'apaisement, ne pas repousser à nouveau cette réforme ? Certains évoquent le souvenir de François Mitterrand : le 12 juillet 1984, prenant acte de la détermination de millions de manifestants contre la nationalisation de l'école privée, le président socialiste retire ce projet de loi… sans même prévenir son Premier ministre Pierre Mauroy !

Réforme des retraites : le sucré avant le salé

D'autres citent son successeur : en 2006, après quatre mois de manifestations croissantes contre le « contrat première embauche » imaginé par son Premier ministre Dominique de Villepin, pour faciliter l'emploi des jeunes, Jacques Chirac ne retire pas la réforme, déjà votée… mais décide de ne pas l'appliquer !

Dans les deux cas, les présidents, dont la popularité avait soudain plongé, évitèrent des émeutes, voire une révolution. Certes, il ne s'agissait alors que de renier quelques grands principes. Tandis qu'aujourd'hui, il s'agit de milliards d'euros. Et de la crédibilité de la France aux yeux de l'Europe. Pourtant, arguent les partisans d'un compromis, tels François Bayrou, l'enjeu est autrement grave : au moment où la guerre menace partout, la paix sociale n'a-t-elle pas le plus grand prix ? Le pari, pour Emmanuel Macron et sa Première ministre Élisabeth Borne, est maintenant de trouver une porte de sortie intelligente. Avec un semblant de panache.

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Discours de vœux alambiqué inutile dont il ne pense pas un mot qu'il va nous distiller comme à chaque fin d'année car parler pour ne rien dire d'utile il en est le champion de cette spécialité désuète (comme pour toute diplomatie hypocrite utilisée en matière internationale !?)

En ce qui concerne la fameuse réforme des retraites serpent de mer bien Français il pourrait s'épargner cela pour éviter la contestation immédiate de cette bombe à retardement qui de toute façon éclatera qu'il ne pourra empêcher !?

Il a voulu être réélu jusqu'en 2027 donc on n'en n'a pas fini avec ses vœux pendant 4 ans alors qu'il assume et se taise très vite en faisant court si possible car çà devient vraiment lassant !

Jdeclef 31/12/2022 13h11

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De toute façon nos autorités dites régaliennes ne prévoient rien à l’image de nos dirigeants de tous bords en matière de terrorisme ou autres violences lâches diverses depuis + de 20 ans !?

 

À Paris, deux SDF arrêtés pour « apologie du terrorisme » gare Montparnasse

Les hommes, un Français et un Libyen, étaient en possession de neuf bouteilles de gaz sans système de mise à feu et disaient vouloir « tout faire sauter ».

NOTRE PAYS EST INFESTE PAR DES KYRIELLES D’ILLUMINES DEJANTES OU AUTRES QUI SURNAGENT DANS NOTRE SOCIETE QUOTIDIENNE DEVENUE INSECURITAIRE QUE NOS AUTORITES JUSTICE POLICE ET GOUVERNEMENTS SONT INCAPABLES DE GERER POUR PROTEGER LES FRANÇAIS LAMBDA !

Deux hommes « en possession de neuf bouteilles de gaz inoffensives » ont été interpellés vendredi 30 décembre au matin gare Montparnasse à Paris et placés en garde à vue pour « apologie du terrorisme », a-t-on appris de sources policières. Les deux individus, sans domicile fixe, un Français de 51 ans et un Libyen de 29 ans, ont été arrêtés peu avant 8 heures alors qu'ils disaient vouloir « tout faire sauter », a précisé une des sources, confirmant une information du Figaro.

Ils étaient « en possession de neuf bouteilles de gaz inoffensives » et « n'avaient aucun système de mise à feu », a précisé à l'Agence France-Presse une autre source policière. Il s'agissait de bouteilles de type réchaud de camping, selon le parquet de Paris.

Gérald Darmanin fait renforcer la sécurité dans les gares parisiennes

Le Français, qui a crié qu'il allait se faire exploser, était alcoolisé au moment des faits, et il est de santé mentale possiblement fragile, selon cette source. Sa garde à vue a été levée en soirée et il a été transféré à l'infirmerie psychiatrique de la préfecture de police, a indiqué le ministère public. Il est inconnu des services de police, tandis que l'autre homme ne l'est que pour des infractions à la législation sur les étrangers.

Les démineurs du laboratoire central de la préfecture de police de Paris ont été dépêchés sur place. La brigade des réseaux ferrés a été saisie des investigations. Le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, a demandé au préfet de police de Paris, Laurent Nuñez, de renforcer la sécurisation des gares de la capitale, a indiqué l'entourage du ministre.

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Encore une information déjà imprécise et incomplète style pétards mouillés remontée par les médias en quitte de scoop très vite qui parlait déjà hier d'un syrien et d'un libyen pour effrayer le bon peuple lambda blasé qui n'a plus peur de rien tant ces informations de faits divers variés pleuvent sur leur tètes comme les pluies de l'hiver à défaut de neige ou les missiles Russes qui tombent sur l'Ukraine et ses pauvres habitants innocents !

Résultât avec ces profusions de mauvaises nouvelles les Français lambda ne croient plus à rien devenant fatalistes car commençant peut être à comprendre qu'il ne sont pas protégés par nos dirigeants bavards donneurs de leçon bienpensants hypocrites et leurs gouvernements incapables de régler nos problèmes sociétaux ou internationaux et ou notre président monarque réélu par les Français lambda qui ne savent plus pour qui voter depuis 40 ans et qui donne trop de pouvoir à leur chef d'état actuel procrastinateur !?

Alors ils en sont réduits à vivre au jour le jour sans vraiment d'avenir défini ce qui est triste pour beaucoup d'entre eux !?

Néanmoins bonne année 2023 qui ne se présente pas mieux que celle de 2022 qui se termine !

Jdeclef 31/12/2022 12h03

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vendredi 30 décembre 2022

Il ne doute de rien V.POUTINE et ne manque pas d’air se croyant à l’abri des pays démocratiques libres trop pleutres pour agir mais qui s’oppose à lui à cause de sa guerre à l’Ukraine avec ses vœux au reste du monde qui souffre indirectement des crises induites qu’il a causé !?

 

Nouvel An : Macron, Biden et Scholz privés des vœux de Poutine…

Le Kremlin a d’ores et déjà prévenu que Vladimir Poutine n’adresserait pas de vœux de bonne année à ses homologues français, américain et allemand.

ON SE DEMANDE POURQUOI LE MONDE VA MAL AVEC DE TELS DIRIGEANTS FOUS ET DANGEREUX IL FAUDRAIT ENFIN EN PRENDRE CONSCIENCE CHEZ NOS CHEFS D’ETATS SANS AMOUR PROPRE QUE CET INDIVIDU INSULTE SANS VERGOGNE ?!

Les voilà prévenus. En cette fin d'année, les présidents Joe Biden et Emmanuel Macron, ainsi que le chancelier Olaf Scholz, ne devront pas s'attendre à recevoir de carte de vœux de leur homologue russe, Vladimir Poutine. Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a en effet déclaré à la presse que, « compte tenu des actes inamicaux » de ces chefs d'État et de gouvernement vis-à-vis de la Russie, ils ne recevraient pas de vœux de la part du président russe. D'anciens dirigeants européens, en revanche, ont déjà reçu leur carte.

« Ces homologues ne nous envoient pas de vœux. De fait, nous n'avons aucun contact avec eux. Et compte tenu des actes inamicaux qu'ils entreprennent en permanence, le président ne leur enverra pas de vœux », a expliqué à la presse Dmitri Peskov.

Silvio Berlusconi et Gerhard Schröder ont reçu les vœux de Poutine

À l'inverse, Vladimir Poutine a déjà envoyé des vœux de bonne année 2023 à plusieurs dirigeants plus proches du Kremlin. Selon une liste publiée vendredi par la présidence russe, Vladimir Poutine a félicité notamment les présidents chinois Xi Jinping, turc Recep Tayyip Erdogan, syrien Bachar al-Assad, vénézuélien Nicolas Maduro, ainsi que le Premier ministre indien Narendra Modi.

Selon le Kremlin, il a également envoyé des vœux à deux anciens dirigeants occidentaux, l'Italien Silvio Berlusconi et l'Allemand Gerhard Schröder.

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Un homme de son âge qui joue à l'enfant capricieux mal aimé démontre vraiment sa bassesse et sa fourberie maladive alors qu'il tue comme un criminel des milliers de pauvres gens innocents en Ukraine par sa guerre !?

Cela n'obligera pas les chefs d'états concernés de lui répondre et surtout à notre président si bavard de ne pas présenter les siens (il l'aurait peut-être fait va savoir notre donneur de leçons bienpensant ?!)

Puisqu'il est un des rares dirigeants qui lui ont parlé pour ne rien dire depuis le début de cette guerre Russo Ukrainienne car POUTINE s'est moqué de lui ouvertement !

Pauvre diplomatie mondiale hypocrite lamentable !

Jdeclef 30/12/2022 16h10

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En France on ne peut se débarrasser de cette classe politique de tous bords et ses partis ringards de cette Vème république qui pousse notre pays vers le fond dont on ne pourra se sortir jusqu’en 2027 (peut-être !?)

 

Coignard – Entre Martinez et Mélenchon, la prime au plus « sectaire »

CHRONIQUE. Le leader de la CGT et celui des Insoumis ont échangé quelques « amabilités » alors que les dissonances au sein de la Nupes se font plus que jamais entendre.

PAUVRES CLOWNS TRISTES QUE CES POLITICIENS D’OPPOSITION PITOYABLE DE MEDIOCRITE INCURABLES (Ces deux préretraités !?)   

Philippe Martinez a affublé Jean-Luc Mélenchon de qualificatifs plus choisis les uns que les autres, dimanche 13 novembre, sur RTL. Le patron de la CGT a jugé celui de LFI « parfois outrancier, peut-être sectaire aussi ». Que d'amabilités de la part d'un homme qui n'a de leçons à recevoir de personne en matière d'outrance et de sectarisme, comme en témoigne l'ensemble de son œuvre !

Mais c'est là une riposte graduée, rien de plus, aux propos tenus par Jean-Luc Mélenchon sur son blog après sa « marche contre la vie chère » du 16 octobre, événement peu suivi, dont Philippe Martinez a été un absent remarqué.

Dans ce texte, le leader Insoumis refuse de se « faire promener de réunion en réunion, qui retardent pour rien l'action et la mettent en danger », et se propose de continuer son chemin révolutionnaire malgré « des propos aussi sectaires que ceux de Philippe Martinez ».

Coignard – Grèves : exercices d'arithmétique à l'usage de LFI

Parmi d'autres, Fabien Roussel avait été choqué par ces propos. Le numéro un du Parti communiste n'avait pas tardé à apporter son soutien à son camarade de la CGT dans un courrier dont Le Journal du dimanche a révélé le contenu.

Le communiste y « condamne les propos injurieux dont [Philippe Martinez a] fait l'objet de la part d'un responsable politique de gauche ». « Nous avons, au contraire, besoin de nous respecter et de respecter le rôle de chacun dans son engagement politique ou syndical. »

De quoi rendre le climat plus amical que jamais au sein de la Nupes, où les dissonances risquent de s'accentuer encore cette semaine avec l'examen du projet de loi d'orientation et de programmation du ministère de l'Intérieur (Lopmi). Ce texte prévoit d'investir 15 milliards d'euros d'ici à 2027, notamment pour recruter 8 500 policiers. LFI votera contre, évidemment, mais le PS, pas forcément…

L'obsession de Matignon

Ce lundi, Jean-Luc Mélenchon s'active loin de Paris. Il tient meeting en soirée à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme) pour le lancement de sa « campagne nationale contre la vie chère ». L'éternel battu à la présidentielle n'a pas renoncé à jouer un rôle de première importance au sein de l'exécutif.

À l'Assemblée nationale, la Nupes se lézarde mais tient

À défaut de l'Élysée – qu'il pourrait briguer pour la quatrième fois en 2027, à l'âge tendre de 76 ans –, Matignon semble l'obséder plus que jamais. Moyennant quoi tout est bon pour obtenir la dissolution dans laquelle son camp risque pourtant de perdre des plumes. Une évidence qui ne semble nullement le décourager : les motions de censure pleuvent à l'Assemblée nationale et l'agitation, aussi forte que possible, persiste dans la rue. Avec ou sans la CGT, peu lui importe du moment qu'il est le chef !

C'est là une différence notable entre Martinez et Mélenchon : le premier se retirera de ses fonctions en mars 2023, à 62 ans ; le second s'accroche tant et plus à un pouvoir que les Français lui refusent avec constance.

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L'archétype de deux  vieux politicards nantis aboyeurs de foire semeurs de trouble dans la classe politique française et syndicaliste avec le leader de la CGT anachronique P.MARTINEZ  resté figé dans la lutte des classes anachroniques d'après guerres et l'autre élu JL MELENCHON d'extrême gauche créateur de son parti LFI extrémiste et ses adhérents leaders mal élevés voire quelque fois violents associés à un reste de partis de cette gauche moribonde la NUPES agrégat d'ex partis en déconfiture PS PC ECOLOS etc. et autres de partis marginaux d'extrême gauche !

Qui a abouti par les mauvais choix des Français lambda qui ne savent plus voter et pour qui et ça fait 40 ans que ça dure ?!

Bien sûr aux dernières élections législatives et après la réélection par défaut de notre monarque président ils ont protestés par leurs votes en n'accordant qu'une majorité relative à notre chef d'état procrastinateur donc insuffisant pour gouverner correctement le pays ce qui oblige notre 1ere ministre servile et inféodée obéissante à son patron d'utiliser ce fameux article 49/3 pour faire passer les lois diverses de ce gouvernement Macronien (mesure déjà maintes fois utilisée dans le passé) sous cette Veme république monarchique obsolète qu'il faudrait changer et ses institutions kafkaïennes mais pour cela il faut de la volonté de la part d'une majorité de Français lambda en se débarrassant de ces partis politiques ringards qu'ils n'aiment plus ce dont ils ont raison car d'une médiocrité lamentable qui ne profite qu'à des politiciens de tous bords inutiles car connus depuis des décennies d'élections présidentielles qui donnent trop de pouvoir au président élu (jusqu'en 2027 !)

Car on se dit dans un pays démocratique libre mais à la limite d'une démocrature qui ne peut pas dire ce nom car ce n'est pas politiquement correct et des Français qui pratiquent le chacun pour soi en regardant la France sombrer depuis + de 40 ans !?

Jdeclef 30/12/2022 11h11

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jeudi 29 décembre 2022

Les hommes n’arrivent pas à se débarrasser des brebis galeuses dans leur rangs même si elles sont dangereuses depuis des siècles !?

 



Vladimir Poutine offre de mystérieux anneaux à huit dirigeants étrangers

Le président russe a offert huit anneaux aux dirigeants de la CEI et beaucoup y ont vu une référence au « Seigneur des Anneaux » de Tolkien.

CE FOU DE RUSSE VA TROP AU CINEMA À GRAND SPECTACLE D’OÙ SE DANGER PUBLIC DEVENANT MONDIAL MAIS MALGRE NOS DERNIERES GUERRES MONDIALES (ET AUTRES) LES HOMMES ET LEURS DIRIGEANTS QUI NE LES PROTEGENT PAS ASSEZ N’ONT PAS ENCORE COMPRIS ?!

Vladimir Poutine a réuni les dirigeants de la Communauté des États indépendants (CEI) pour le traditionnel rendez-vous annuel ce 26 décembre à Saint-Pétersbourg, et leur a offert un cadeau qui a marqué les plus fins observateurs. Le dirigeant russe a organisé la remise à chaque chef d'État (lui compris) un anneau d'or, sur lequel est gravé le symbole de la CEI, « Bonne année 2023 » et « Russie » en russe. Ce groupe de neuf pays sous forte influence politique de Moscou comprend la Biélorussie de Loukachenko (l'allié le plus fidèle de la Russie) mais aussi l'Arménie, l'Azerbaïdjan, le Kazakhstan, le Kirghizistan, la Moldavie, l'Ouzbékistan et le Tadjikistan, tous des anciennes républiques soviétiques.

Neuf anneaux… L'image est vite devenue, pour beaucoup, une référence évidente à la saga Seigneur des Anneaux et son univers fantasy, imaginés par J. R. R. Tolkien, un véritable phénomène culturel depuis les années 1960 qui a donné lieu à des adaptations cultes au cinéma et en séries. Dans sa mythologie, Tolkien fait intervenir un ennemi du monde libre, Sauron, qui forge un anneau magique pour chacun des neuf rois des hommes et ainsi les lier à son destin, par la force de sa sorcellerie.

La création de ces anneaux fait d'ailleurs l'objet d'une série produite par Amazon, décrétée apocryphe par les membres de la famille de Tolkien, dont la première saison est sortie en décembre 2022.


Mythologie

Reprise même par certains officiels ukrainiens, la théorie a de quoi faire sourire, mais s'inscrit dans une forme de cohérence : depuis le début du conflit, les soutiens de l'Ukraine aiment comparer le conflit à une guerre épique entre le Bien et le Mal que Tolkien aurait pu écrire, Vladimir Poutine constituant le parfait Sauron. Les combattants ukrainiens désignent souvent les soldats russes comme les « Orcs », ces brutaux servants du Mal dans la fantasy. Certains ont même créé des cartes dans le style de celles de Tolkien, reprenant les toponymes de son univers pour les adapter à l'Europe de l'Est.

Le cadeau offre de quoi spéculer aux internautes, qui se demandent ironiquement si le président russe tiendra l'unité de la CEI grâce à la magie noire qu'il a insufflée dans les anneaux, comme. Ce n'est pas la première fois que la magie intervient dans le conflit puisque les médias d'État russes comparent régulièrement le conflit à une guerre contre des forces démoniaques en Ukraine, le président ukrainien étant décrit comme l'antéchrist, voire Satan lui-même.

Ukraine : Zelensky, l'acteur devenu chef de guerre

Le présent a toutefois fait long feu puisque selon les observateurs, seul Alexandre Loukachenko, le dirigeant de la CEI le plus proche de Poutine, l'a porté. Il est à noter que la plupart des autres dirigeants sont musulmans, et leur religion interdit le port de bijoux en or aux hommes. Cette façade d'unité ne suffit pas à cacher les fortes dissensions qui animent la communauté, qui n'a pas le statut d'organisation internationale : l'Arménie et l'Azerbaïdjan sont par exemple en conflit frontalier quasi ouvert depuis la guerre du Haut-Karabakh qui a opposé les deux pays en 2020. L'Ukraine était membre de la CEI jusqu'à ce qu'elle la quitte en 2018, suite à l'invasion russe de la Crimée en 2015. La Géorgie a elle aussi quitté l'organisation en 2008 après l'invasion d'une partie de son territoire par la Russie.

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C'est vraiment un grand malade cet individu mais le problème étant que nos dirigeants bienpensant donneurs de leçons hypocrites ne se sont pas capables de nous en débarrasser ou de nous en protéger efficacement comme notamment pour l'UKRAINE qui souffre depuis février 2022 car lui a déclenché une guerre sur un peuple innocent hommes femmes enfants civils qui essaient de se défendre contre cet agresseur sans pitié !

Et le risque que cela puisse donner des idées de revanches à d'autres tout aussi malfaisants !

Si bien que c'est le monde entier qui souffre indirectement de ses situations de crises qui se répande aussi vite que les virus du COVID !

En fait les hommes quels qu'ils soient qui nous gouvernent sont incontrôlables il faut simplement pour les peuples être né dans des pays encore libres en principe démocratiques encore en paix mais même là ce n'est pas garanti à l'échelle de la vie humaine de 80 ans en moyenne car ils n'arrivent pas à se supporter depuis des millénaires !?

Car ce sont des égoïstes incurables ou le chacun pour soi prime voire la raison du plus fort !

En prouvant s'il le faut que tous les hommes ne sont pas si beaux et gentils que çà et trainent leurs tares et défauts qu'ils n'arrivent pas régler faiblesse de cette race dit humaine faisant partie des plus évoluées dans l'échelle des espèces qui essaient de survivre sur terre qui ont une propension à se détruire depuis la création (mystique biblique !)

BONNE ANNEE 2023 que l’on va entamer comme celle de 2022 que l’on a raté !?

Jdeclef 29/12/2022 10h43

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mercredi 28 décembre 2022

Illusions perdues (peut etre) chez ces tristes sires plus médiatiques que d'autres grâce aux médias qui leur font de la publicité indirecte pour faire peur aux peuples mais il y en d'autres qui vont bien et tout aussi imminemment dangereux !

 

Trump, Bolsonaro, Poutine, Zemmour… 2022, Ies illusions perdues du populisme ?!

CHRONIQUE. L’ère de violence rhétorique, verbale et physique, où les factions et les factieux ont prospéré, s’est essoufflée en 2022.

LA DIPLOMATIE DE FACADE PIRE MESQUINERIE HUMAINE QUI EXISTE POUR CACHER LES AUTRES DEPLORABLES DE TOUTES NOS SOCIETES MONDIALES DONT CERTAINES EN PLUS DONNEUSES DE LECONS COMME FONT NOS DIRIGEANTS DIVERS BIEN PENSANTS HYPOCRITES !

La noblesse a sa part de mesquinerie ; et il suffit d'un peu d'égoïsme et de beaucoup de malhonnêteté pour détourner un principe vertueux. D'inspiration crapuleuse, la grève de la SNCF à Noël a achevé le cycle commencé par le mouvement des Gilets jaunes. Celui des petites épopées prétendument sociales, menées par des tartarins, en dehors de toutes les formes de représentation, y compris syndicales. Les raisons de leurs échecs sont multiples, mais la principale est connue : elles sont impopulaires, c'est-à-dire, dans une démocratie, minoritaire du point de vue de l'opinion. Elles incarnent l'impuissance d'une stratégie inspirée par les populismes de toutes les sortes : la simplification et la brutalisation.

Cette ère de violence rhétorique, verbale, physique, où les factions et les factieux ont prospéré, s'est essoufflée en 2022. De grands bandits ont été démasqués, à l'image de Donald Trump, d'autres chassés, comme Jair Bolsonaro ; de fameux tyrans se sont mués en illustres meurtriers, Vladimir Poutine y prend sa part. Quant à la France, Éric Zemmour a été le héros d'une aventure flamboyante mais marginale, et Jean-Luc Mélenchon a confirmé son talent pour jouer son rôle favori, celui de l'éternel prometteur.

Affaire Quatennens : le coup de grâce porté par Annie Ernaux à MélenchonBref, les populistes ont, en un an, pris un coup de vieux. La chose est d'autant plus spectaculaire que leurs adversaires libéraux n'avaient à proposer qu'une inflation record, une crise de l'énergie, une Union européenne dont l'autoritarisme croît à mesure que s'effondre sa légitimité. Le porte-avions libéral aura finalement mieux traversé la tempête que la frégate populiste. Les premiers se sont montrés plus pragmatiques que les seconds, en gardant à l'esprit que, dans un pays où la majorité décide, le premier objectif est justement de constituer une majorité, et non, comme d'autres l'ont cru, de radicaliser une minorité.

Le tout implique des compromis, de la nuance, de la modération. On pourrait répondre que Marine Le Pen a battu des records aux élections législatives, et que Giorgia Meloni a pris le pouvoir en Italie. C'est oublier que l'une comme l'autre représente des partis dont la doctrine a, du moins en apparence, radicalement changé. Le Rassemblement national est prêt à inscrire l'IVG dans la Constitution quand Fratelli d'Italia condamne Vladimir Poutine et se montre constructif avec l'Union européenne. Autrement dit, pour de bonnes ou de mauvaises raisons, sincèrement ou pas, l'extrême droite soigne son apparence, renonce, chaque jour un peu plus, à la méthode du coup de poing. C'est probablement dangereux d'un point de vue politique, mais c'est efficace.

La comparaison entre notre époque et les années 1920 n'est pas pertinente tant les contextes diffèrent. Subsiste un point commun et paradoxal : ce qui est inhumain provoque le rejet, ce qui apparaît comme malicieux n'est pas accueilli comme juste, ce qui est méchant est soutenu par les méchants. Aucun totalitarisme du XXe siècle n'est advenu dans la bonne humeur, la plupart d'entre eux, y compris le nazisme et le communisme, ont, à un moment ou à un autre, changé les règles du jeu pour remporter la partie, en s'appuyant sur la violence et le meurtre. Le nihilisme, Dieu merci, est une tentation de crétin ; et c'est naturellement que les individus civilisés refusent de s'y intéresser. Les citoyens sont les meilleurs experts de leurs propres pays, ils ont un instinct supérieur pour débusquer les canailles. La démocratie ne se porte pas si mal, ceux qui ont voulu donner sa chance au chaos en sont pour leurs frais ; ils ont oublié la maxime attribuée à Talleyrand : « Tout ce qui est excessif est insignifiant. » Le phénomène n'est pas nouveau. La théocratie chrétienne de Savonarole à Florence aura duré à peine cinq ans. La Ligue catholique, en France, après des décennies de guerre, n'aura pas empêché l'avènement de Henri IV. La Fronde était ridicule ; la Terreur, inhumaine, par conséquent brève ; la Commune, morte de son idéalisme. L'extravagance en politique ne fait pas recette et dure, en général, quelques années, certes de trop, à l'exception remarquable de la Russie communiste.

L'Occident a échappé de façon miraculeuse à l'emprise des paltoquets, et au climat séditieux qu'ils essayaient d'instaurer. Elle est restée, tant bien que mal, sourde à ces discours ineptes selon lesquels la colère pouvait devenir une légitimité alternative à celle de la légalité. En profitant de la frustration et de la misère, des idéologues forcenés ont rêvé de transformer des citoyens en militants armés, la nation en champ de bataille. Désavoués par un peuple qu'ils croyaient détenir, les détracteurs de la démocratie apparaissent tels qu'en eux-mêmes, des révoltés du Mickey Club.

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Mais pour tous ces individus peu recommandables instables et malfaisants (et pas qu'en parole) nos dirigeants bienpensant donneurs de leçons censés protéger leurs peuples dans leurs pays démocratiques (encore libres) enfermés dans leurs pleutreries lamentables de diplomaties de façade hypocrites que font-ils : RIEN pour éviter des drames voire des guerres depuis la nuit des temps que ce soit sous nos ex-monarchies de l'ancien régime ou nos républiques démocratiques actuelles !?

Car ce ne sont que des baudruches gonflées d'air vicié que seuls quelque fois les peuples arrivent à percer dans les histoires ancestrales de leurs pays instables dans le monde entier et cela dure depuis + de 2000 ans à l'échelle de l'ère chrétienne car comptabilisée par les religions qui divisent les hommes et êtres humains depuis des siècles car englués par ses autres tares mystiques parmi d'autres !

Et faire comprendre cela à l'humanité si différente c'est mission impossible et causera sa perte si elle ne devient pas raisonnable un vœu pieux lointain !?

Pour les hommes seul le chacun pour soi compte ne voulant rien partager et tant pis pour les autres c'est pitoyable mais surement notre principal défaut incurable !

Jdeclef 28/12/2022 12h24


La culture des fastes dorures de l’Élysée ou maison de repos à la lanterne et farniente à Brégançon font partie de la panoplie de tous bons présidents de cette Veme république monarchique et ses pseudo monarques digne de l’ancien régime dont ont ne peut se débarrasser !?

 

Depuis le fort de Brégançon, Emmanuel Macron « prépare la rentrée »

Le président de la République se trouve au fort de Brégançon « d’où il suit les dossiers » avant de revenir à Paris samedi pour les vœux aux Français.

C’EST VRAI IL FAUT QU’IL SE RESSOURCE APRES CES VOYAGES DIVERS ET SURTOUT SES ALLER RETOUR A LA COUPE DU MONDE DE FOOTBALL ?!

MAIS SURTOUT FAIRE SEMBLANT DE COMMENCER À TRAVAILLER SANS TROP SE FATIGUER NOTRE JEUNE PRESIDENT ?!

Emmanuel Macron profite de la fin d'année pour se ressourcer dans la résidence présidentielle. Le chef de l'État passe quelques jours sur la Côte d'Azur, au fort de Brégançon, « d'où il suit les dossiers et prépare la rentrée », a appris l'Agence France-Presse mardi 27 décembre auprès de la présidence. « Brégançon, tout comme l'Élysée, est un lieu de travail et de gestion des crises », ont tenu à souligner les services du président de la République, qui avait déjà passé les fêtes de fin d'année dans cette résidence varoise les années précédentes.

L'Élysée n'a pas précisé où Emmanuel Macron avait passé le week-end de Noël ni quand il était arrivé à Bormes-les-Mimosas, la commune du Var où se trouve la célèbre forteresse. Le chef de l'État devrait être de retour à Paris d'ici à samedi, pour les traditionnels vœux télévisés aux Français, au cours desquels il pourrait aborder les chantiers de l'année à venir, à commencer par la réforme hautement sensible des retraites, dont le gouvernement doit dévoiler le contenu le 10 janvier.

Parmi les dossiers de la rentrée figurent aussi la menace de coupures d'électricité en raison de la crise énergétique liée à la guerre en Ukraine, l'inflation qui continue de peser sur les ménages et les entreprises, la poursuite des réformes du marché du travail, la réflexion autour de la fin de vie et celles autour du système de santé et de l'Éducation nationale.

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Ah bon !?

Il prépare sa rentrée on ne s'en est pas rendu compte qu’il était sorti depuis sa réélection par défaut par trop de Français incertains indécis comme lui sans courage perdus et en manque de choix dans une classe politique lamentable de tous bords pour élire un vrai chef d'état autre qu'un petit bourgeois bon chic bon genre se prenant pour un monarque sans couronne dans cette Vème république usée obsolète monarchique!?

Car il n'a rien fait de probant sinon subir les crises sociétales sanitaires économiques inflationnistes avec risques de guerres aux portes de l’Europe occidentale donc près de la FRANCE !

Dont il est incapable de nous protéger en pérorant sans cesse en s'écoutant parler pour ne rien dire d'utile ce Monsieur fat qui veut donner des leçons de bienpensant hypocrites au monde entier que personne n'écoute se moquant de lui et de la France et ces ressortissants !

Mais comme il n'a aucun amour propre comme d'autres de ses prédécesseurs avant lui défaut inhérent à ces présidents à qui nous mauvais électeurs lambda avons donnés trop de pouvoir le pire sera de le supporter jusqu'en 2027 !

On pourrait au moins nous épargner ces informations sur ses petites vacances à BREGANCON digne de star que l'on voit dans les magazines people !?

Et il faudra se distiller ses vœux alambiqués pour 2023 mais les Français sont bon public !

Mais ils ont ce qu'ils méritent alors qu'ils ne se plaignent pas !

BONNE ANNEE 2023 que l’on espère meilleure que celle passée sans croire aux miracles notre gouvernement et sa 1ere ministre a déjà prévenue pour qu’on ne lui reproche pas de ne pas l’avoir dit en bon fusible du président !?

Jdeclef 28/12/2022 10h33


mardi 27 décembre 2022

Les médecins ils manquaient dans l’addition des grévistes pathologiques car l’argent n’a pas d’odeur toute peine méritant salaires (corrects !)

 

Les médecins libéraux appelés à la grève à partir de lundi

Malgré la triple épidémie de Covid, de grippe et de bronchiolite, les médecins libéraux, qui réclament une hausse du tarif de la consultation, veulent faire grève.

QUAND ON EST UN MEDECIN ET QUE L’ON CHOISI SA VIE A SOIGNER LES GENS (MEME CEUX DE PEU) ON ACCEPTE LA DIFFICULTE DE CE METIER MAIS FAUT-IL QU’ILS SOIENT REMUNERES A SA JUSTE VALEUR (Ou alors accepter d’être fonctionnaires du service public comme dans d’autres métiers régaliens avec ne plus avoir le droit de faire grève !?)

Malgré l'appel des autorités sanitaires à « l'union sacrée », face à la pression hospitalière liée à la triple épidémie Covid-grippe-bronchiolite, les médecins libéraux sont de nouveau appelés à fermer leurs cabinets à partir de lundi, et ce, jusqu'au 2 janvier pour réclamer une hausse du tarif de la consultation et une amélioration de leurs conditions d'exercice, un mouvement qui s'annonce toutefois moins suivi que celui de début décembre.

Le collectif Médecins pour demain n'a pas renoncé après l'appel à « l'union sacrée ». Ce jeune collectif, créé à la fin de l'été, a signé un coup d'éclat les 1er et 2 décembre : son mot d'ordre de fermeture des cabinets médicaux a entraîné une baisse d'activité d'environ 30 % chez les généralistes, selon l'Assurance maladie.

Un « ultime cri d'alarme »

Une nouvelle grève était alors déjà annoncée entre Noël et le jour de l'an. L'appel a été maintenu depuis, avec le soutien de plusieurs syndicats (UFML, FMF, SML, Jeunes Médecins). « C'est l'ultime cri d'alarme des médecins libéraux devant l'effondrement du système de santé dans sa globalité », a déclaré Noëlle Cariclet lundi sur France Info. Porte-parole de Médecins pour demain, cette psychiatre francilienne a déploré que les praticiens soient « contraints de fermer leurs cabinets pour se faire entendre ».

Sa consœur Christelle Audigier, généraliste lyonnaise et fondatrice du collectif, prédit toutefois que la mobilisation « sera un peu moindre, mais malgré tout importante », tout en se projetant vers une manifestation nationale prévue à Paris le 5 janvier.

Kervasdoué – La santé après l'épidémieLa revendication centrale demeure le doublement du tarif de la consultation de base (de 25 à 50 euros) pour créer un « choc d'attractivité » vers une médecine de ville en manque criant d'effectifs, écrasée par les tâches administratives et qui n'attire plus les jeunes.

Les organisations de médecins s'inquiètent aussi pour leur liberté d'installation, remise en question par des propositions de loi sur les déserts médicaux, et redoutent que d'autres soignants puissent être autorisés à faire des prescriptions, notamment les infirmières en pratique avancée (IPA).

Des négociations en cours avec l'Assurance maladie

Cette grève tombe également en plein milieu de négociations avec l'Assurance maladie, en vue d'un accord pour les cinq prochaines années avec la profession. Certains en profitent pour faire monter les enchères, comme l'UFML qui a estimé lundi dans un communiqué que « l'investissement doit être à la hauteur du besoin », soit « de 6 à 10 milliards par an ».

Mais les principaux syndicats (MG France, CSMF, Avenir Spé) estiment que les discussions ouvertes cet automne ont produit des « avancées » et n'appellent pas à fermer les cabinets durant les fêtes. Le ministre de la Santé, François Braun, a salué leur « responsabilité », au vu de la « situation critique » des urgences hospitalières.

« Cela me semble une très mauvaise période pour ne pas répondre présent face aux besoins de soins de la population », a fait valoir la directrice générale de l'agence régionale de santé (ARS) Île-de-France, Amélie Verdier, qui comme les autres ARS pourra procéder à des réquisitions de grévistes pour assurer les gardes de nuit et du week-end.

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Pourquoi pas ? Mais même les médecins libéraux font partie du service au public déontologiquement et tenus par leur serment d’Hippocrate ?!)

La grève devient une maladie pandémique virale que l'on n'est plus capable de soigner et qui revient périodiquement ce n'est qu'une variante de nos systèmes de santé en pleine déconfiture mal gérée par des comptables en manches de lustrine datant du milieu du XX eme siècle à cause de l'argent qui pourri tout par notre sécurité sociale monceau de paperasserie kafkaïenne usine à gaz de fonctionnaires comme on les aiment tant alors que tous les domaines de santé concernant tous les Français devrait être un dû prioritaire car ils les paient sur leurs revenus par leurs cotisations à la sécurité sociale !?

Quant aux médecins et en plus dont on manque pourquoi ne feraient ils pas grève cela devient un sport national en France dans un état ou une majorité de Français sont mal payés malgré leurs qualifications et ou soi-disant les gouvernements ne peuvent pas agir ni indexer les salaires sur l'inflation qui perdure et les augmentations d'énergies et autres charges obligatoires vont aussi augmenter en 2023 !

Mais c'est aux Français qui votent encore dans un pays libre démocratique ayant réélu un président monarque de montrer en demandant ce dont ils ont besoin car c'est eux qui travaillent au quotidien pour que la France cesse de sombrer dans l'inaction de nos dirigeants incompétents comme on le constate depuis des décennies, quinquennats ou autres depuis 40 ans et peut être pas à un seul homme à qui ils ont donné trop de pouvoir qu'il utilise mal !?

Jdeclef 27/12/2022 16h36

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Attendre et tergiverser comme le fait notre dirigeant et son gouvernement n’est jamais bon car il faut agir et se préparer à la guerre en se protégeant efficacement ce que la France doit faire car elle est déjà en retard comme dans bien d’autres domaines sociétaux et la protection des Français dans leurs vies quotidiennes !

 

Otan : à l’est, du nouveau

LE MONDE QUI VIENT. À proximité de la frontière russe, la France et ses alliés se préparent à la guerre à haute intensité… et au grand froid.

EN ESPERANT QU’ELLE N’AURA PAS LIEU ALORS QU’IL EST PLUS QUE TEMPS DE S’Y PREPARER CAR S’Y L’ON ATTEND LA CHUTE DE POUTINE QUE LES ALLIES N’ARRIVENT PAS A STOPPER OU A ELIMINER CELA RISQUE D’ETRE LONG !?

Chacun sa technique pour tenter de se réchauffer. Entre deux relevés de position sur des cartes géographiques, le capitaine Jean-Baptiste glisse ses mains dégantées entre son uniforme et son gilet pare-balles. Il vient de passer la nuit dans une forêt glacée du nord de l'Estonie, à une centaine de kilomètres du lac Peïpous, qui marque la frontière avec la Russie. Il est à peine 7 heures du matin, le soleil n'est pas encore levé et le thermomètre affiche – 4 degrés. « – 8 en ressenti », précise un de ses hommes, une cagoule relevée sur le haut du crâne.

Jean-Baptiste sourit, le froid ne lui fait pas peur. Il est chasseur alpin et a l'habitude de s'entraîner dans les montagnes autour de sa caserne à Chambéry. « Ici, c'est plat, mais la neige, la glace et les nuits au frais, on connaît », dit-il en pointant son menton en direction du véhicule de l'avant blindé (VAB) dans lequel il a bivouaqué. Il y a quelques mois, le jeune officier était au Mali, où il a participé au démontage des camps de Tessalit et de Kidal. « Obligé de boire 10 litres d'eau par jour tellement je transpirais, se remémore-t-il. Je préfère le froid. »

Le changement de décor a été aussi radical que bienvenu pour le capitaine et son bataillon. Après la contre-insurrection et la traque des groupes terroristes au Sahel, ils réapprennent à mener des guerres conventionnelles sous un climat continental, à l'image de celle qui se déroule en Ukraine. Les chasseurs alpins français, spécialisés dans le combat en milieu difficile et en conditions hivernales, sont devenus une des pièces maîtresses du dispositif censé décourager les ambitions expansionnistes de Vladimir Poutine dans le Grand Nord. Les chenilles souples de leurs petits blindés articulés sont idéales pour se déplacer sur les sols glacés. Skis et raquettes sont empaquetés sur le toit, prêts à l'emploi quand le manteau neigeux, encore mince fin novembre, sera plus dense. « Nos VHM [véhicules haute mobilité, NDLR] sont parfaits pour ce type d'environnement et ils continueront de fonctionner au printemps, après le dégel, car ils ne craignent pas non plus la boue. On les utilise même dans la jungle guyanaise », explique un mécanicien affairé à réparer un vérin endommagé.

Sur le front ukrainien, l'hiver de tous les dangers

Guerre « à l'ancienne »

À l'instar du bataillon de Jean-Baptiste, c'est toute l'armée française qui semble avoir opéré une bascule, tant sur le plan géographique que sur le plan tactique. Poussée vers la sortie dans de nombreux pays d'Afrique par des pouvoirs toujours plus hostiles, la France en a profité pour renforcer sa présence sur le « flanc est » de l'Otan. Elle est « nation cadre » de l'alliance en Roumanie et compte de plus en plus de troupes dans les pays Baltes, riverains de la Russie et de la Biélorussie. Quelque 300 soldats sont déployés sur la base estonienne de Tapa et quatre Rafale viennent d'arriver en Lituanie afin d'assurer une meilleure protection de l'espace aérien. « C'est une bascule qui est progressive et qui date en réalité d'avant le début de la guerre en Ukraine », explique le général Frédéric Chiffot, selon qui la réorientation remonte à la revue stratégique de 2017, mise à jour en 2021. « Guerre en Ossétie en 2008, annexion de la Crimée en 2014, conflit entre l'Arménie et l'Azerbaïdjan en 2020… L'armée française s'adapte à l'évolution géopolitique du monde », analyse-t-il.

Au ministère de la Défense à Paris, on reconnaît un changement de paradigme (« On réapprend la guerre à l'ancienne »), mais un proche du ministre Sébastien Lecornu refuse de mettre en concurrence les différentes zones où opère l'armée française. « Le conflit en Ukraine ne doit pas nous aveugler sur ce qui se passe au Sahel et la nouvelle montée en force des groupes djihadistes. La haute intensité, on l'a expérimentée là-bas aussi, entre les embuscades, les attaques à la roquette, les IED [l'acronyme anglais pour désigner des engins explosifs improvisés, NDLR]. N'oublions pas les 59 soldats français morts au Mali. »

EXCLUSIF. Avec les derniers soldats français au Mali

Les patrouilles à Gao paraissent un lointain souvenir au capitaine Jean-Baptiste dans la plaine glacée estonienne. Le ciel a fini par s'éclaircir au-dessus du détachement français, dévoilant, autour de celui-ci, une multitude de chars et de véhicules. D'un côté, des tanks britanniques entourés de petites tentes noires. De l'autre, des Leopard II de l'armée danoise camouflés sous des branches de pins et que gardent deux soldats au visage barbouillé de noir. « Silence ! » Danois et Britanniques dorment encore… Les Français, incrédules, partagent un café et font chauffer les plats cuisinés de leurs rations à l'aide d'allume-feu.

On se réchauffe comme on peut en attendant que le commandant britannique émerge. Le Royaume-Uni étant nation cadre en Estonie, il lui revient de diriger l'ensemble des troupes de l'Otan dans le pays. Les chasseurs alpins français, qui ont somnolé à peine trois heures, découvrent que la doctrine britannique d'évaluation des risques (risk assessment) impose aux conducteurs de chars de sa majesté de dormir six heures au minimum par nuit. Tous les pays de l'Otan n'ont pas les mêmes critères en ce qui concerne la préparation de la guerre… « Si les Russes attaquent, on attend que le commandant se réveille ? » ironise un tireur d'élite français.

« Ce genre d'exercices entre différentes nations doit nous permettre de mieux nous connaître et de mieux coopérer », corrige le lieutenant-colonel Lefèvre, plus haut gradé français en Estonie, qui rappelle le but premier de ces exercices communs : une meilleure interopérabilité. « Cela n'empêche pas de se jauger et de se comparer aux autres. L'armée française n'a pas à rougir, elle est prête à la guerre », lance-t-il fièrement les mains sur les hanches. Malgré le froid, il ne porte ni casque ni bonnet, mais une tarte, le béret traditionnel des chasseurs alpins, ajustée en biais sur son crâne. Le couvre-chef suscite des regards amusés de la part des tankistes britanniques qui s'activent enfin sur leur machine.

« Il gèle ! Si on était en Angleterre, le pays entier serait à l'arrêt ! » Posté sur la tourelle de son Challenger II, le sergent Mark, 34 ans, n'a jamais connu un tel froid dans son Gloucestershire natal. Il confie que l'état-major britannique lui a fait parvenir de nouveaux gants et des tentes plus hermétiques. Mais l'armée anglaise semble mal préparée aux basses températures. Contrairement à leurs homologues français, tous passés par le centre d'aguerrissement de Modane, dans les Alpes, seul un groupement de la Royal Navy a l'expérience des conditions extrêmes. Il est attendu prochainement en Estonie pour former le contingent britannique.

Il n'y a pas que les hommes qui souffrent. Le matériel est lui aussi mis à rude épreuve. À peine ont-ils fait démarrer leur moteur que deux tanks britanniques laissent échapper une épaisse fumée blanche. Ils seront laissés sur le bord de la route et ne prendront pas part aux manœuvres.

Armée française : l'urgente nécessité de s'adapter

« La Russie peut tester notre détermination à tout moment »

L'exercice auquel se livrent Britanniques, Danois et Français doit durer trois jours et trois nuits. Les Estoniens n'y participent pas, mais on entend leurs artilleurs s'entraîner dans le lointain. Le pays est en état d'alerte maximale depuis le 24 février 2022. Indépendante depuis l'effondrement de l'URSS en 1991, l'Estonie a rejoint l'Union européenne et l'Otan en 2004. À Tallinn, la capitale, le rejet de la Russie est affiché. Des monuments datant de l'ère soviétique sont démontés et la plupart des bâtiments officiels sont désormais drapés de bleu et de jaune, les couleurs de l'Ukraine.

Au ministère de la Défense, situé dans le centre de la ville, la sous-secrétaire d'État, Tuuli Duneton, regrette l'« aveuglement » dont ont longtemps fait preuve les Européens. « Jusqu'au bout, certains dirigeants ont douté des intentions de Vladimir Poutine. Ils nous disaient : “On est en 2022, il ne va quand même pas lancer une guerre conventionnelle en Europe. Ce n'est pas possible.” Mais nous, Estoniens, sommes bien placés pour savoir de quoi il est capable », explique la jeune femme dans un français parfait.

Malgré une inflation galopante dans le pays (21,4 % en novembre 2022, la plus forte d'Europe), elle assure que le budget de la Défense dépassera bientôt 3 % du produit intérieur brut, loin devant la part accordée par les grands pays de l'UE. « Malheureusement, quel que soit le budget que nous consacrons à notre sécurité, nous savons que nous ne pourrons jamais battre seuls l'armée russe. Nous avons besoin de nos alliés, nous avons besoin qu'ils reconstituent leurs stocks. Malgré ses difficultés en Ukraine, nous restons convaincus que la Russie peut tester notre détermination à tout moment. »

D'une superficie équivalente à celle d'un département français, l'Estonie ne dispose que de deux brigades, dont une composée de réservistes. C'est bien peu comparé au voisin russe, qui possède des bases militaires juste de l'autre côté de la frontière. « Au début de la guerre en Ukraine, il a fallu moins de 24 heures aux Russes pour s'emparer de l'équivalent du territoire estonien, rappelle un diplomate occidental en poste dans le pays. Si je devais résumer la situation sur place, je dirais que l'Estonie a peur et qu'elle a de bonnes raisons. Dans certains cercles du pouvoir, on estime que le pays aurait déjà été envahi s'il ne faisait pas partie de l'Otan. Voilà pourquoi l'Estonie et les pays Baltes accueillent de plus en plus de troupes occidentales sur leur sol. »

L'armée s'entraîne aussi au tir de mortier. © Julien Peyron / Le Point

Après une journée d'exercices ponctuée par une simulation d'embuscade sur un chemin forestier, le capitaine Jean-Baptiste et ses hommes vont passer une nouvelle nuit dans les bois gelés. Les guetteurs prennent leur poste, équipés de lunettes infrarouge, tandis que le reste de la troupe va chercher un peu de chaleur au fond des véhicules. Une mise à l'épreuve que les chasseurs alpins français acceptent sans broncher. « L'Estonie est un terrain d'entraînement parfait, résume l'un d'eux en avalant une partie de sa ration boostée en calories. Et il faut reconnaître qu'on est moins indésirables qu'au Mali. 

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Il serait intéressant que notre président qui n'y connait rien en matière militaire bien que chef de nos armées parle autrement que pour ne rien dire dans ces discours creux habituels profite de ses vœux surement hypocrites pour vraiment informer les Français qui l'ont réélu par défaut !?

Car il s'agit de leur vie future en plein contexte de guerre larvée Russo Ukrainienne mais aux portes de l'Europe occidentale depuis février 2022 qui concerne indirectement le monde entier !?

Le problème étant que notre chef d'état pseudo monarque est un procrastinateur qui n'arrive pas à décider à qui cette V eme république monarchique obsolète a donné trop de pouvoir par les votes de certains Français déboussolés !

C'est le plus préoccupant dans ce début d'année 2023 jusqu'en 2027 la fin de son mandat s'il est toujours présent (car pas rééligible ce qui est mieux car ayant raté son 1er quinquennat et entamé le 2eme sous les mêmes hospices d'échecs !?)

Jdeclef 27/12/2022 12h45 LP

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Le trop plein d’immigration diverse incontrôlée sans rigueur donne ces drames dans la vie courante des Français par nos gouvernements de tous bords dépassés depuis des années !?

 

À Roubaix, un client d'origine turque blesse son coiffeur d'origine kurde

Un homme d'une quarantaine d'années, d'origine turque, a blessé son coiffeur de 27 ans, d'origine kurde, à coups de ciseaux, à Roubaix, dimanche.

LE CAS TYPIQUE D’ANTAGONISME ENTRE TURC ET KURDE SUITE DE CETTE AGRESSION A PARIS PAR CET INDIVIDU FRANÇAIS DESEQUILIBRE RACISTE COMME IL S’EST QUALIFIE LUI-MÊME !?

La communauté kurde une nouvelle fois agressée. Dimanche 25 décembre, un individu d'origine turque s'est rendu dans un salon de coiffure tenu par un homme d'origine kurde à Roubaix (Nord). Une altercation liée à la diffusion de musique kurde, qu'il ne semblait pas apprécier, a eu lieu, et la situation a dégénéré. Le client – un quadragénaire – a blessé le coiffeur à coups de ciseaux. Il a été placé en garde à vue ce mardi.

« Un différend a eu lieu dimanche 25 décembre après-midi à Roubaix dans un salon de coiffure entre un client et un coiffeur, victime d'une plaie au thorax, dont le pronostic vital n'est plus engagé », a indiqué à l'AFP la procureure de Lille, Carole Étienne. Le client, âgé de 47 ans, légèrement blessé, a été placé en garde à vue pour « tentative d'homicide ».

L'enquête, confiée à la police judiciaire, « est en cours afin de déterminer très exactement les circonstances des faits », a ajouté la procureure.

Selon la source proche de l'enquête, l'altercation a commencé dans le salon de coiffure et s'est poursuivie à l'extérieur, entre le client « d'origine turque » et le coiffeur d'origine « irakienne kurde ».

Le coiffeur d'origine kurde a dû être opéré

Le pronostic vital a pu être levé après une opération chirurgicale de ce jeune homme de 27 ans, blessé de plusieurs coups de ciseaux par le client.

D'après cette source, le client aurait été « agacé » par la musique kurde diffusée au sein du salon, ce qui aurait entraîné l'altercation. Le gardé à vue est déjà connu de la police, tandis que la victime ne l'est pas, a indiqué cette source.

Coups de feu à Paris : heurts entre policiers et manifestants, 5 agents blessésLa nouvelle de l'agression, survenue après le passage à l'acte d'un retraité français qui a tué trois Kurdes vendredi à Paris, a été relayée sur les réseaux sociaux au sein de la communauté kurde.

Des organisations kurdes ont appelé à un rassemblement mardi après-midi sur la place de la République à Lille pour « soutenir le peuple kurde », après cette agression et les événements de Paris.

lundi 26 décembre 2022

Logiquement les FRANÇAIS en ont marre à juste titre de ces grèves de trains de la SNCF à répétition qui dure revenant périodiquement depuis des années !

 

SNCF : pourquoi la grève nous met en colère

LES CARNETS DU DIMANCHE. Le mouvement inique des contrôleurs est un déraillement de plus à la SNCF, et l’illustration d’un fantasme qui monte dans le pays : le gouvernement par les minorités.

DANS LES TRANSPORTS EN COMMUN PUBLICS LE SNCF TIENT LA PALME DES GREVES A TOUT VA POUR TOUT ET N’IMPORTE QUOI REPRESENTANT UNE PARTIE DE CETTE FRANCE INDISCIPLINEE FRONDEUSE ?

Noël en famille devant la cheminée ou Noël en furie à cause des cheminots ? Il aura fallu choisir, hélas, pour des milliers de Français, pris au dépourvu (sinon « en otage », il paraît que l'expression est irrespectueuse du droit de grève) devant un blocage de dernière heure que nul n'avait anticipé. Enfin, « choisir » n'est pas le bon mot puisqu'on ne leur a pas laissé le choix. Certes, la grève n'aura concerné « que » 200 000 personnes, mais elle en aura ulcéré bien davantage : ceux qui espéraient se retrouver le temps d'un réveillon et que l'un des leurs n'aura pas pu rejoindre faute de train ; ceux qui ont observé, médusés et impuissants, un collectif de 3 574 contrôleurs de la SNCF perturber grandement le trafic ferroviaire français le week-end le plus crucial de l'année et immobiliser injustement tant de voyageurs.

Cela vaut bien qu'on y revienne – même si la direction de l'entreprise a fini par lâcher assez de lest pour que le second préavis, déposé pour la Saint-Sylvestre, soit levé vendredi. La fête n'aura été gâchée qu'en partie.

Des revendications purement corporatistes

Disons-le sans tourner autour du pot : le blocage des trains à la veille de Noël est inique, illégitime et irresponsable. Pourquoi inique ? Parce que ses auteurs – un peu plus d'un tiers des agents commerciaux, que la SNCF dénomme « chefs de bord » – revendiquent des avantages financiers et statutaires purement corporatistes, quoique camouflés sous des appels à la défense du service public. Outre des augmentations (ils trouvent que les 12 % accordés en 2022 sous forme de salaire et de primes ne sont pas suffisants, combien de salariés en aimeraient autant ?), les contrôleurs veulent peu ou prou être logés à la même enseigne que les conducteurs. Pourtant, la différence de formation et de responsabilités entre les deux métiers saute aux yeux. Seulement voilà, la règle à la SNCF impose qu'un train ne puisse rouler qu'avec un contrôleur à bord – c'est donner à celui-ci le pouvoir de l'immobiliser à quai…

Grève : les « Gilets jaunes » de la SNCFDe fait, les conducteurs ne sont que moyennement solidaires avec les « chefs de bord ». Eux n'ont pas appelé au blocage, pas plus que les grandes confédérations. D'où la question de la légitimité du mouvement. Si le droit de grève est constitutionnel, la loi dispose que seuls les syndicats « représentatifs » (dont la liste est établie selon les résultats enregistrés aux élections professionnelles) peuvent déposer des préavis de grève, à condition de respecter certaines formes et de respecter un délai pour permettre à l'entreprise de s'organiser. Tel n'est évidemment pas le cas du collectif à l'origine de cette grève-ci, né spontanément sur Facebook à la manière de Gilets jaunes du rail.

Qui bafoue les règles du dialogue social ? Les grévistes !

Comment le blocage a-t-il donc été possible ? Grâce à la complicité de la CGT et de SUD-Rail, qui ont déposé des préavis de grève pour le week-end de Noël… tout en s'abstenant d'appeler à l'arrêt du travail. Les contrôleurs en colère ont fait le reste. On nage ici en pleine hypocrisie. Osera-t-on dire cette fois que le gouvernement bafoue les règles du dialogue social, refrain si souvent entonné par les représentants syndicaux ? La réalité est exactement inverse. Dans cette affaire, l'usage du droit de grève aura été détourné pour permettre à un groupe d'agents ultra-minoritaires d'imposer leurs exigences au moyen du chantage.

Pourquoi les syndicats précités ont-ils accepté de jouer le jeu ? Par peur d'être débordés par la base, ce qui prouve qu'ils le sont déjà. Début décembre, des discussions ont eu lieu entre les grandes confédérations et la direction de la SNCF. Elles ont abouti à la signature d'accords « majoritaires » qui incluaient des revalorisations et des primes. Le collectif des conducteurs énervés s'est empressé de les déchirer. Pour se dissocier de ce mouvement devenu illégitime, l'UNSA a alors retiré son préavis (la CFDT, elle, n'en avait pas déposé). La CGT et SUD, eux, ont maintenu les leurs. S'ils ne l'avaient pas fait, la grève du 23 décembre aurait été hors la loi : ses organisateurs auraient pu être sanctionnés, et il y a fort à parier que le trafic n'aurait pas été perturbé (ou très faiblement). En leur laissant la main, ils ont pris la responsabilité du blocage.

De l'abus de langage à l'abus de pouvoir

« Les syndicats sont comme les partis politiques, ils vivent dans la peur d'être coupés de la base, ce qui renforce les tentations démagogiques : pour ne pas avoir un train de retard, ils montent dans le premier qui part, qu'importe la destination », m'expliquait hier avec ironie un conseiller ministériel rompu aux négociations sociales. De ce point de vue, ce conflit de fin d'année révèle une fois encore la crise de la représentativité qui taraude notre pays en profondeur. Le nombre de protestataires a beau être faible, c'est leur radicalité qui finit par s'imposer.

Qu'on le veuille ou non, c'est ce que l'aventure des Gilets jaunes a imprimé dans la mémoire collective des Français. Jour après jour, c'est ainsi la tentation du gouvernement minoritaire qui prospère. Les discours de Jean-Luc Mélenchon – ou de Marine Le Pen, dans une version plus policée – pour faire croire qu'Emmanuel Macron aurait « perdu les élections » législatives parce qu'il n'y a pas obtenu la majorité absolue des sièges à l'Assemblée nationale procède du même illusionnisme. Si la politique du président réélu ne dispose pas de l'onction incontestable des citoyens, celles des opposants qu'il a battus l'ont encore moins, il faut bien en convenir. De l'abus de langage à l'abus de pouvoir, il n'y a qu'un pas.

Le mythe de la loi Sarkozy

À ce propos, il est utile de revenir sur la notion de « service public ». Si les contrôleurs en pétard veulent en défendre la qualité dans le transport ferroviaire, la logique voudrait qu'ils acceptent le principe d'un service minimum. Les jours de grève, un nombre de trains serait garanti aux usagers, au titre de la continuité du service délégué par l'État à la SNCF. Les contrôleurs aériens ou les salariés des chaînes de radio et de télévision publiques obéissent à de telles règles, fixées par la loi. Les personnels hospitaliers y ont été contraints par la jurisprudence. Les employés de la RATP, eux, y sont astreints en vertu d'une convention signée avec l'établissement régional Île-de-France Mobilités. D'évidence, il pourrait en être de même à la SNCF. D'autant que l'État a décidé, en 2018, de reprendre une partie (35 milliards d'euros quand même) de la dette colossale de l'entreprise publique – avec l'argent des Français, donc.

Emmanuel Macron, qui a la colère facile pour se mettre du côté de la population plutôt que des décideurs (on se souvient de son coup de gueule tardif mais salutaire sur la vaccination), a demandé à ses ministres de réfléchir au plus vite à un « nouveau cadre » pour le droit de grève dans les transports. Chiche ? En 2007, Nicolas Sarkozy avait prétendu instaurer un service minimum. « Maintenant, quand il y a une grève, plus personne ne s'en aperçoit », claironnait-il. On ne l'a pas entendu ces jours-ci. En réalité, la loi votée sous son impulsion n'a fait qu'obliger les grévistes à se déclarer – c'est la contrainte qui était minimale, pas le service… Espérons que cette fois, l'incantation présidentielle ne parte pas sur une voie de garage.

Mieux que le service minimum : la concurrence !

Que faire pour y parvenir ? Le modèle italien est efficace : il interdit purement et simplement les arrêts de travail les jours fériés. Encore faudrait-il que le Conseil constitutionnel ne voie pas dans une telle mesure une restriction du droit de grève – c'en est une, mais la liberté de circulation aussi est garantie par la Constitution, non ? Autre piste à explorer : la faculté de faire circuler les trains sans contrôleur. L'automatisation du contrôle des billets est déjà avancée, elle pourrait devenir la norme à l'entrée de tous les quais et de toutes les voitures ; quant à la sécurité à bord, viendra forcément le temps où on envisagera de la déléguer au secteur privé – c'est déjà le cas dans beaucoup de gares et bien d'autres lieux publics.

L'appel au privé devrait être facilité, à l'avenir, par l'ouverture progressive à la concurrence du marché ferroviaire. Peut-être le collectif des contrôleurs grévistes l'a-t-il oublié, la SNCF n'est plus seule au monde sur les voies ferrées depuis 2019 (2020 pour les lignes à grande vitesse). Leur mouvement intempestif n'aura fait qu'attirer l'attention sur cette possibilité alternative, certes encore embryonnaire mais appelée à se développer, surtout si les grèves continuent dans l'entreprise publique. Ainsi, les voyageurs qui ont acheté un billet sur la ligne Paris-Lyon auprès de la compagnie italienne Trenitalia, rivale de la SNCF sur ce trajet, ont été entièrement épargnés par les blocages – mieux que le service minimum, la concurrence !

Active depuis 2021, cette liaison a vu le nombre de ses utilisateurs tripler l'année dernière. Dans le même temps, ses prix ont diminué de 8 %, et de 17 % sur le trajet Paris-Milan – alors que ceux de la SNCF, eux, ont globalement augmenté et que la qualité du service a continué de se dégrader (retards fréquents, pannes, sécurité). Dans toute l'Europe, la réputation des trains français est entachée par le spectre des grèves à répétition. Hélas, ce n'est pas complètement à tort. Ces conflits sociaux ont en outre un coût exorbitant, qui grève (c'est le cas de le dire) les comptes de la SNCF. S'il est une nouvelle marque de dédain pour les clients-contribuables qui paient cher leurs billets et renflouent la dette de l'entreprise avec leurs impôts, le mouvement inique des conducteurs est aussi, pour la concurrence, un merveilleux cadeau de Noël.

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Parce que ces grèves à répétitions à l'origine de syndicats rétrogrades et de corporatisme d'après-guerre qui faisaient de la politique politicienne étaient cycliques et revenaient à chaque années souvent à le même période qui étaient souvent après les congés d'été et à la rentrée en automne, moi qui ai travaillé pendant 44 ans dans une grande entreprise on était arrivé à les prévoir pour organiser nos équipes de salariés qui ne pouvaient venir par manque de trains de banlieues en IDF par exemple mais là cela irrite bien plus les Français car là cela touche beaucoup de nos concitoyens en période de congés de grands départs sur les grandes lignes pour les congés scolaires ou fêtes Paques NOEL et fin d'années quand en plus quand ils veulent rendre visites à leur familles !

Et qui prennent en otages comme on dit les usagers et en abusent auprès de la SNCF avec ses salariés pas malheureux avec leur multiple avantage !

Car ses mouvements sociaux à répétitions pour ce type de transport en commun populaire deviennent ingérables et c'est toujours les usagers qui en subissent les conséquences et cela coutent en plus à l'entreprise NATIONALE SNCF et donc indirectement à l'état et aux Français en tant que service public mal rendu à cause de quelques poignées d'agents irréductibles trublions qui bloquent son fonctionnement toujours en demandant plus !

Le droit de grève est un acquit mais quand il est dévoyé et abusé par certains il doit être régulé par un vrai service minimum efficace voir réquisition d'une partie du personnel obligatoire d’office prévu à l'avance !

Surtout quand ces grèves tombent dans des périodes ou les trains sont plus qu'utiles à la population des Français lambda pour se déplacer dans toute la France !

Et arrêter de penser que toute personne peut faire sa loi dans notre pays de libertés mal encadrées surtout quand les agents SNCF ont une garantie de l'emploi assurée en cessant ce chacun pour soi !

Cela étant on en devient à dire que la France est le pays de la grève comme une culture ancestrale vue de l’étranger pas de quoi être fier !

Jdeclef 26/12/2022 17h02

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