dimanche 31 janvier 2021

Arrêtons dans les médias hypocrites d'employer le mot « présumé » pour un Individu qui a tué délibérément des personnes devant témoins !

 

Le tireur présumé de Pôle emploi mis en examen pour « assassinats » et écroué

Gabriel F., ingénieur sans emploi, est le principal suspect de l'enquête sur le double meurtre d'une employée d'une agence Pôle emploi et d'une DRH.

L'enquête avance. Gabriel F., ingénieur sans emploi de 45 ans, a été mis en examen samedi 30 janvier pour « assassinats » dans l'enquête sur le double meurtre, jeudi dans la Drôme et l'Ardèche, d'une employée d'une agence Pôle emploi et de la DRH d'une entreprise dont il avait été licencié, a indiqué le parquet de Valence. « Il a été présenté à un juge d'instruction et mis en examen pour assassinats », a indiqué à l'Agence France-Presse le procureur de la République de Valence, Alex Perrin, précisant que le suspect restait muet et qu'il avait été incarcéré.

La veille, une source proche de l'enquête avait déclaré que ces deux meurtres étaient liés à un précédent homicide par arme à feu commis mardi 26 janvier dans le Haut-Rhin, selon une source proche de l'enquête. « Le lien avec les faits de l'Est est désormais confirmé », mais « le suspect ne parle pas pour l'instant », a déclaré cette source vendredi à l'Agence France-Presse, sans préciser comment le lien avait été formellement établi. « Il est mutique, il ne parle pas du tout sur les faits, ne répond pas aux questions », a confirmé à l'Agence France-Presse le procureur de la République à Valence, Alex Perrin, précisant que la garde à vue de Gabriel F., 45 ans, avait été prolongée de 24 heures vendredi matin. « Les faits du Haut-Rhin sont traités par les parquets de Mulhouse et de Colmar, on essaye de voir s'il y a un lien à faire. Ce n'est pas improbable, des vérifications sont en cours », a ajouté le magistrat.

Deux des victimes liées à un plan social dans les années 2000

Jeudi matin, le suspect domicilié à Nancy a tué par balle une conseillère dans une agence de Pôle emploi à Valence, où il avait été inscrit jusqu'en 2013. Il a ensuite abattu la DRH d'une entreprise en Ardèche dont il s'était fait licencier dans le passé, avant d'être interpellé par la police. Très vite, les enquêteurs ont fait le rapprochement avec une autre affaire : le meurtre d'une DRH survenu mardi dans le Haut-Rhin, suivi de l'agression d'un homme travaillant lui aussi dans les ressources humaines dans le même département. Selon la presse alsacienne, ces deux personnes sont liées à un plan social ayant touché, dans les années 2000, une entreprise d'Eure-et-Loir dont le suspect de Valence était salarié à l'époque.

L'agresseur qui a pris la fuite mardi à Wattwiller (Haut-Rhin) était au volant d'une voiture rouge, de la même couleur que celle utilisée par l'homme arrêté dans la Drôme. Des expertises ont par ailleurs été réalisées sur les armes retrouvées dans son véhicule et sur le site de l'entreprise ardéchoise, et les douilles retrouvées en Alsace.

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C'est un criminel, car il a tué, ce qui semblait prémédité, car ces actes étaient dirigés sur des personnes exerçant la profession de DRH et dans différents endroits avec qui il avait eu maille à partir suite à son licenciement !?

En espérant que notre justice laxiste et ses juges qui vont avec, ne lui trouve pas des circonstances atténuantes ou bien qu'il le considère comme un déséquilibré pas responsable de ces actes par des psychiatres ou avocats spécialisés qui privilégie les coupables plutôt que les victimes qui se trouvaient là, au mauvais moment ou mauvais endroit !?

Il est vrai que régler ses comptes violemment jusqu’au crime devient de plus en commun dans notre société qui se dégrade, car sans garde-fou pour encadrer nos libertés !

Il n’y a qu’à lire ou voir, chaque semaine en ouvrant la rubrique des faits divers sur nos médias pour juger de la progression de l’insécurité diverse dans notre pays !?

Jdeclef 31/01/2021 13h19


Ce (Monsieur) dit tout et n'importe quoi, qu'il s'achète une boule de cristal !?

 

Covid : comment Véran espère « pouvoir éviter » une nouvelle vague

Le ministre de la Santé est revenu dans « Le Journal du dimanche » sur la décision annoncée vendredi par Jean Castex de ne pas décréter de nouveau confinement.

Une nouvelle vague de l'épidémie de Covid-19 est à craindre, notamment en raison des effets possibles du variant anglais, mais « peut-être pourrons-nous l'éviter », espère ce dimanche le ministre de la Santé, Olivier Véran, dans une interview au JDD, notant « une légère décélération » des contaminations. Lorsque la décision de ne pas reconfiner « a été prise vendredi en conseil de défense, l'incidence, c'est-à-dire le nombre de nouveaux cas quotidiens, avait peu augmenté depuis quatre jours. C'est encore le cas aujourd'hui », souligne le ministre.

Par ailleurs, « les traces de virus dans les eaux usées, signal indirect, baissent en Île-de-France. Plusieurs semaines après sa généralisation, ça peut signifier que l'effet maximal du couvre-feu se fait sentir », poursuit-il. Enfin, les résultats de la deuxième enquête flash sur les variants, anglais notamment, que le ministre a reçus vendredi, « montrent que sa circulation s'intensifie – de 50 % chaque semaine – mais de manière moins intense qu'à l'étranger où des hausses de 70 à 100 % ont été relevées ».

« L'idée, c'est de gagner du temps, de limiter la casse »

Cela signifie que « le danger auquel nous faisons face est possible, voire probable. Mais il n'est pas certain », explique Olivier Véran, justifiant la décision de l'exécutif de ne pas imposer à ce stade de troisième confinement. « La légère décélération des contaminations peut nous permettre d'observer, durant quelques jours, ce qu'il va se passer. »

Stéphane Séjourné : « Il y a en France un populisme sanitaire »

« Tout laisse à penser qu'une nouvelle vague pourrait se profiler à cause du variant ; mais peut-être pourra-t-on l'éviter grâce aux mesures que nous avons décidées tôt, et que les Français respectent », poursuit Olivier Véran, pour qui « l'idée, c'est de gagner du temps, de limiter la casse ». Mais, ajoute-t-il, « si l'incidence repartait à la hausse, nous n'hésiterions pas. Nous n'avons jamais dit que nous ne reconfinerions pas dans les quinze jours à venir si c'était nécessaire ».

Cela lui sera plus utile que de nous souler de ses prédictions utopiques de ministre, de la Santé qu'il ne maitrise pas !

Car dépassé par les réalités de la situation de cette crise sanitaire française de cette pandémie mondiale !

Car quand on n'a rien à dire d'utile, il est préférable de se taire !

Jdeclef 31/01/2021 12h34


Ces footeux sont des grands malades dans cette partie de gens de peu :


 

Ligue 1 : l’OM dénonce « un déchaînement de violence injustifiable »

Des fumigènes et des pétards ont été lancés dans le centre d’entraînement du club, samedi. Des arbres ont pris feu avant que le calme ne revienne.

La rencontre de Ligue 1 opposant Marseille à Rennes, initialement prévue samedi à 21 heures, a été reportée sine die après des échauffourées survenues dans la journée au centre d'entraînement de l'OM, a annoncé la Ligue de football professionnel (LFP) à trois heures du match. La date de reprogrammation de la rencontre n'a pas été arrêtée par la Ligue.

Les faits ont eu lieu en début d'après-midi. Arrivés en cortège derrière une immense banderole sur laquelle on pouvait lire « Cassez-vous » et portant des drapeaux « Dirigeants dehors », quelque 300 supporteurs se sont massés devant les grilles du centre d'entraînement de La Commanderie et ont immédiatement allumé pétards, feux d'artifice et fumigènes. Ils en ont lancé un grand nombre au-delà des murs d'enceinte et trois arbres plantés juste à l'entrée du centre ont fini calcinés. En passant par le côté droit du site, par des champs appartenant à une communauté religieuse, une partie de ces supporteurs sont ensuite entrés dans l'enceinte du centre « y compris dans le bâtiment du groupe professionnel », selon l'OM.

« C'est la sidération pour nous tous, salariés, staff, joueurs. On ne s'attendait pas à voir toute cette horde sauvage arriver et tout détruire. Je crois qu'on a aussi évité le pire. Ce que j'ai vu fait peur, très peur. Un drame aurait pu se produire », a déclaré dans la soirée le président du club marseillais, Jacques-Henri Eyraud, interrogé par Canal+.

Des « plaintes seront déposées »

« Malgré l'intervention des forces de l'ordre, un déchaînement de violence injustifiable a mis en danger la vie des personnes présentes sur place (joueurs, staff, forces de l'ordre, agents de sécurité, salariés) », écrit le club dans un communiqué et chiffre les dégâts à « plusieurs centaines de milliers d'euros ». « Ces agissements irresponsables et inacceptables doivent être condamnés avec la plus grande sévérité. L'Olympique de Marseille possède tous les éléments de preuve. Ils ont été immédiatement transmis aux enquêteurs. Les plaintes seront déposées dans les prochaines heures pour faire valoir les droits du club à l'encontre de cette barbarie », ajoute l'OM.

Le tacle du lundi – Combien vaut (vraiment) la Ligue 1 ?

La police a de son côté annoncé 25 interpellations parmi les supporteurs, ainsi que des blessures légères pour sept policiers et des dégradations sur trois véhicules des forces de l'ordre. « Ce qui s'est passé cet après-midi appelle la plus grande sévérité pour ces fauteurs de troubles qui se prétendent supporteurs, mais détruisent des installations et menacent les salariés et les joueurs », a écrit le président du club Jacques-Henri Eyraud dans le communiqué de l'OM. Le capitaine de l'équipe, Steve Mandanda, a pour sa part estimé qu'une « crise sportive ne pouvait en aucun cas justifier un tel déferlement de violence » et a ajouté que l'heure était « à l'apaisement ».

« Rendez-nous l'OM »

Depuis plusieurs semaines, des opérations de contestation sont organisées par des supporteurs de l'OM avant les matchs à domicile. Ce samedi, le déploiement de banderoles a été particulièrement massif avec des dizaines de messages apparus un peu partout dans la ville et largement repris sur les réseaux sociaux. « Suivez AVB, cassez-vous tous », « Les Parisiens, cassez-vous », « Rendez-nous l'OM », « Les Olympiens vous haïssent » ou « Direction, c'est la fin », pouvait-on notamment lire sur ces banderoles installées sur des ponts autoroutiers, des ronds-points ou jusque sur la Corniche qui surplombe la Méditerranée.

EXCLUSIF. Les coulisses du rachat de l'OM

Plusieurs de ces messages visent directement le président Eyraud, très impopulaire parmi les supporteurs de l'OM, particulièrement remontés contre lui après une intervention dans une conférence sur le management lors de laquelle il avait évoqué le danger à avoir trop de Marseillais ou de supporteurs de l'OM au sein du club. « JHE : Pas de Marseillais à l'OM ? Dégage d'ici », pouvait-on ainsi lire sur une banderole déployée au-dessus d'une voie rapide, et « JHE, Marseille te vomit » sur une autre installée rond-point du Prado, à quelques mètres du stade Vélodrome. L'OM est actuellement seulement sixième de Ligue 1 après trois défaites consécutives en championnat.

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Comme les appelle le président de la république !

Pour un sport sclérosé par l'argent roi auquel ils n'ont pas accès devenu, jeux du cirque moderne, mais à qui on enlève l'accès aux stades ou ils ne peuvent se défouler à cause du Covid 19 !

Malgré la pandémie qui augmente dont ils n'ont rien à faire se croyant peut être à l'abri car protégé par une couche de bêtise dangereuse, tout comme ceux qui font des fêtes interdites et qui se fichent de se contaminer ainsi que les autres!

Trop de liberté mal encadrée sans garde-fou donne ce résultat dans notre pays libre !

Que l'on ne vienne pas se plaindre, si ont fini dans un état policier plus dur à cause de ces trublions ingérables connus, car on sait d’où ils viennent et où ils vivent dans nos villes qui polluent la vie des français encore raisonnables !

D'ailleurs le président n'a pas fait de confinement plus dur, car il a peur de ces genres d'individus de plus en plus nombreux incontrôlables !

Cet épiphénomène n’est pas nouveau, mais notre état dit régalien et ses dirigeants bienpensants ne savent pas le gérer comme d’autres problèmes de société devenant nombreux !

Jdeclef 31/01/2021 09h36


samedi 30 janvier 2021

Pour répondre plus largement à Mr François de CLOSET qui se permet de discriminer les vieux dont il fait partie, mais sentant supérieure à eux !

François de Closets : « C’est la jeunesse qui compte, ce n’est pas les vieux ! »(suite !)


je ne me plains pas je ne fais que relater un fait :

Je subis comme d'autres de mon âge, c'est tout et le dit, car le taire c'est tout accepter sans rien dire, nous sommes quand même au XXI siècle soi-disant à la pointe des progrès de la science, mais hélas nous dépendons d'ignorants qui nous dirigent et se permettent de nous donner des leçons, alors ça suffit !

Car ce journaliste qui a eu son heure de gloire médiatique devrait se souvenir que vouloir discriminer une partie de la population notamment les plus âgés devenus inutiles voire dangereux à ses yeux pour les autres, pour qui se prend-il, puisqu'il en fait partie lui-même ?!

Car quand on commence à faire du tri dans les peuples comme certain dictateur connu ont fait et voulu le faire à grande échelle, avant et surtout pendant la dernière mondiale, car ne rentrant pas dans certaines cases définies par leurs doctrines totalitaires ou pire encore, il faut s'en souvenir !

Au moyen-âge, on jetait des pierres aux lépreux par ignorance ou peur, mais on a appris depuis à soigner cette maladie, ainsi que la peste !

Mais pour cela, il faut s'unir, et ne pas écarter ceux qui gênent semble-t-il, certains que l'on dit érudit en plus plutôt petits esprit étriqués!?

Car les donneurs de leçons vieillissants, on en a déjà trop en magasin qui se font mousser, pour ne pas se faire oublier ce journaleux aigri désespérant !


TERGIVERSER : c'est tout ce que fait toujours notre gouvernement et nos Dirigeants, le président en tête en cas de problèmes graves !

 

Covid-19 : le gouvernement n’annonce pas de nouveau confinement… pour l’instant

VIDÉO. Le Premier ministre Jean Castex a pris la parole ce vendredi soir, à l’issue d’un conseil de défense. Le confinement n’est pas encore d’actualité.

L'exécutif lève le voile. Un conseil de défense s'est tenu vendredi 29 janvier, à partir de 18 heures, et le Premier ministre Jean Castex s'est exprimé dans la foulée. Alors qu'un nouveau confinement était attendu, le Premier ministre a déclaré que « nous pouvons encore nous donner une chance » de l'éviter. « La question d'un confinement se pose légitimement » en raison d'un « fort risque d'accélération » de l'épidémie, a reconnu le chef du gouvernement en soulignant que « les prochains jours seront déterminants » pour prendre d'éventuelles nouvelles mesures.

Pour le moment, le gouvernement ferme la frontière nationale avec les pays extérieurs à l'Union européenne dès dimanche, « sauf motif impérieux ». Un test PCR négatif sera demandé pour toute entrée en France en provenance d'un pays de l'Union européenne, « à l'exception des travailleurs transfrontaliers ». Cette mesure, déjà en vigueur depuis dimanche dernier pour le transport maritime et aérien, doit donc être étendue au transport terrestre. « Tous les déplacements en provenance et en direction de tous nos territoires ultramarins seront également soumis désormais à la production de motif impérieux à compter de ce dimanche », a ajouté le chef du gouvernement.

Fermeture des centres commerciaux non alimentaires

Par ailleurs, les centres commerciaux non alimentaires de plus de 20 000 m2 devront fermer leurs portes à partir de dimanche. Dès lundi, les jauges de fréquentation « seront renforcées dans toutes les grandes surfaces ». Il s'agirait de passer d'un client pour 8 m2 à un client pour 10 m2. « Le « quoi qu'il en coûte » (prêts garantis par l'État, fonds de solidarité, chômage partiel, NDLR) s'appliquera bien sûr pour tous les salariés et les entreprises concernés », a-t-il ajouté. « Dans toutes les entreprises où c'est possible, le recours au télétravail sera renforcé », a déclaré Jean Castex. Une mesure qui s'applique aussi aux administrations publiques.

Covid-19 : ces départements qui inquiètent

Le chef du gouvernement a en outre haussé le ton contre « les dérives de quelques-uns » en promettant un renforcement des contrôles du couvre-feu de 18 heures et des fêtes clandestines et « l'ouverture illégale » des restaurants. Une « consigne de particulière fermeté sera appliquée pour ceux qui fraudent les règles en vigueur », a souligné Jean Castex.

Cette série de nouvelles restrictions a aussitôt été jugée trop faible par certains dans l'opposition, comme le chef de file de La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon, qui estime que le gouvernement perd du temps, tout comme Marine Le Pen (Rassemblement national). Le président du groupe Les Républicains à l'Assemblée nationale, Damien Abad, lui, s'exclame : « Tout ça pour ça ! » Le secrétaire national du parti Europe Écologie-Les Verts, Julien Bayou, estime que le gouvernement choisit « l'économie au lieu de la santé ». À l'inverse, le chef de file des députés MoDem, Patrick Mignola, a salué des « mesures sérieuses et équilibrées ». Satisfecit également de la part du maire de Nice Christian Estrosi.

Tout ça pour ça ! Je trouve particulièrement dangereux de jouer sur la corde psychologique des Français en faisant monter la menace du confinement ces derniers jours pour finalement envoyer à la volée un Premier ministre embarrassé faire des annonces mineures. #Castex #COVID19

— Damien Abad (@damienabad) January 29, 2021

Que de temps perdu pour se décider finalement, en catastrophe, à la maîtrise des frontières et à des contrôles renforcés...

Depuis le début, sans être écoutés, nous disons que c’est l’un des moyens les plus efficaces pour ralentir l’épidémie. MLP #Castex #Covid19

— Marine Le Pen (@MLP_officiel) January 29, 2021

Que chacun juge des annonces de #Castex. Le graph ci-dessous a été remis hier aux pdts de Gpe : sans coup de frein début avril nous serons à 250 000 #COVID19 /jour, 1,8 million/sem! « Se donner une chance » c’est retarder la diffusion du #Variant pas différer les décisions. pic.twitter.com/mnG5vUo7Io

— Olivier Faure (@faureolivier) January 29, 2021

La pression épidémique liée au Covid-19 restait forte vendredi en France, avec au total 22 858 nouveaux cas d'infection par le coronavirus enregistrés au cours des 24 dernières heures, contre 23 292 vendredi dernier, selon Santé publique France. La semaine dernière, un peu plus de 141 000 personnes ont été testées positives, soit une moyenne d'environ 20 100 par jour, contre 128 000 la semaine précédente, soit une moyenne quotidienne de 18 300. Le taux de positivité des personnes testées a très légèrement régressé, à 7 %, contre 7,1 % les six derniers jours. Avec 356 nouveaux décès recensés à l'hôpital en 24 heures, la maladie a désormais tué 75 620 personnes, dont 52 917 à l'hôpital, depuis le début de l'épidémie.

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Car ils sont perdus par cette crise sanitaire qui les dépasse et en plus ont aussi un métro de retard sur toutes actions à mener, la vaccination en est un exemple !

Pourtant notre pays et autres ont traversé des crises sanitaires très importantes dans notre passé contemporain, poliomyélite, tétanos, tuberculose, typhoïde, grippe espagnole, grippe de Hong-Kong, grippe HNN1 canicule de 2003 et virus SRAS etc...

A croire que malgré les progrès de la médecine et de la science on n’a pas avancé et même qu’on régresse, malgré les satisfactions de nos scientifiques émérites à cerveaux gonflés par leurs égos démesurés qui disent qu’ils ont réussit à faire des vaccins dans des délais courts, qu’ils n’arrivent pas, de par les laboratoires qui les fabriquent à diffuser rapidement pour vacciner le maximum des populations pour diverses raisons économiques ou de logistiques de fabrications !

On est dans un brouillard qui s'épaissit plutôt que de se lever, ce qui est préoccupant !

Le reste n'étant que des blablas stériles de nos dirigeants qui ne rassurent pas les français en produisant l'effet contraire qui eux comptent les décès de leurs proches !

Pour la crise financière induite, c’est à peu près pareil, car faire des chèques en blanc pour soutenir l’économie, n’est qu’un pis-aller qui a ses limites !

Alors, il ne faut pas en demander trop aux français lambda qui ne voient que leur moral baisser !

Jdeclef 30/01/2021 12h48


Il ferait mieux de se taire ce personnage médiatique qui a eu son temps !

 

François de Closets : « C’est la jeunesse qui compte, ce n’est pas les vieux ! »

Le journaliste anti-langue de bois refuse que l’on « sacrifie » la jeunesse plus longtemps et plaide pour l’isolement des personnes âgées.

 

« On arrête ! » Le journaliste François de Closets, 87 ans, a mis les pieds dans le plat en tenant un discours en opposition avec la politique gouvernementale sur la crise du Covid. « Est-il normal de ficher en l'air la vie des futures générations pour les plus de 80 ans ? » s'est-il interrogé sans détour sur le plateau de RMC, mercredi dernier, alors que la menace d'un troisième confinement se précise. Il se dit ainsi favorable au confinement des personnes âgées, soutenant que la vie n'a pas le même prix selon que l'on soit jeune ou plus âgé, les premiers étant plus que jamais prioritaires à ses yeux. « Il est évident que, quand vous arrivez à la fin de votre vie, votre vie n'a pas du tout le même prix que celle d'un jeune qui a 20 ans et qui a sa vie devant lui, soutient de Closets. S'il faut faire des sacrifices, il faut que ce soit le passé au profit de l'avenir. »

Et de partager son inquiétude sur un troisième confinement qui fragilise la situation économique des plus jeunes, handicape leurs études et bloque un peu plus leur entrée dans la vie active. « Je trouve honteux la façon dont on ne tient pas compte de ce qui va se passer si on fait un troisième confinement, s'agace-t-il. Comment vont-ils trouver du travail ? Comment vont-ils vivre ? C'est ça qui compte, et pas de savoir si l'espérance de vie va reculer de six mois… »

Les vies n'ont pas le même prix

Le journaliste se dit prêt à donner l'exemple et à s'autoconfiner au profit de la nouvelle génération. « Que je vive un peu moins ou un peu plus longtemps, ça n'a aucune importance, confie-t-il. En revanche, la vie de mes petits-enfants, de mes enfants et de toutes ces générations, cela importe. […] Je n'ai pas la solution précise sur ce qu'il faut faire, quel type de confinement, des ségrégations selon l'âge, etc. Je m'interroge simplement sur les principes de base. On est parti sur l'idée que la vie n'a pas de prix mais que toutes les vies ont le même prix. Moi, je vous dis que la vie a un prix et que toutes les vies n'ont pas le même prix ! »

L'idée d'un confinement imposé aux plus fragiles ou aux plus âgés avait été envisagée en mai dernier, mais le gouvernement avait vite fait machine arrière face aux problèmes éthiques, juridiques et sociaux que cette obligation administrative aurait pu engendrer. La mesure reste cependant toujours sur la table, soutenue par certains scientifiques, rejetée par d'autres, plus favorables à un autoconfinement sur la base du volontariat ou la mise en place d'un passeport vaccinal.

Déconfinement : le grand tabou de l'âge

Caprice des baby-boomers

Pour François de Closets, ces hésitations sont le signe d'une capitulation devant la toute-puissance de l'ancienne génération « gâtée » des baby-boomers. « Les plus de 80 ans, ils ont sacrifié la jeunesse en accumulant des dettes alors qu'ils ont vécu cinquante ans, ce qui n'était jamais arrivé, dans une France sans guerre, alors qu'ils ont vraiment saccagé la nature, poursuit-il sur RMC. Et maintenant, ils disent aux enfants : "Bah, oui, il faudra aussi sacrifier votre vie sur le plan économique parce qu'on voudrait vivre un peu plus longtemps." Je dis non ! » Un coup de gueule dans le droit fil de celui qu'il avait poussé en mai dernier dans Le Monde contre ce qu'il appelait déjà une « génération prédatrice » : « N'éprouvent-ils pas de la gêne, pour ne pas dire de la honte, en regardant leurs enfants et petits-enfants ? »

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Qu'il se confine lui-même au lieu de monter les générations les uns contre les autres, moi à 73 ans je me suis enfermé chez moi depuis mars 2020 !

Je ne peux même pas me faire vacciner, étant pourtant à risque, car pas assez de doses de vaccins, et ne rentrant pas exactement dans les cases décidées par ce gouvernement de « j'en-foutre » complètement dépassé par l'ampleur de cette pandémie !

Je n'ai qu'une seule chance, car étant valide, c'est celle de ne pas être dans un EPADH, mouroir ou on enferme de pauvres personnes âgées de grand âge qui en fait ne sont pas protégés, car regroupées dans de fausses prisons sanitaires avec des soignants ou personnels de celles-ci qui s’infectent aussi !

Un de mes voisins, plus âgé que moi 87 ans, a perdu sa femme à cause du Covid 19 en 2020 !

Alors lui, comme moi, on ne demande qu'une chose que l'on nous fiche la paix et nous laisse mourir, quand ce sera notre heure et que notre jeune président qui n'ose plus parler, ce qui ne nous manque pas, car il dit souvent des inepties, continue à nous laisser en paix, car à nos âges ont l'a mérité !

Car cette jeunesse qu'il privilégie, elle continue à sortir ou faire la fête en nombre, rien qu'hier soir dans mon immeuble des fêtards trop nombreux l'ont fait, se fichant du virus et se sont défoulés très tard dans la nuit !

Nos dirigeants feraient mieux de se remuer, plus qu'ils ne le font pour obtenir des vaccins manquant à cause de leur imprévoyance lamentable au lieu de palabrer, comme ils le font depuis le début de cette pandémie !

Jdeclef 30/01/2021 10h56LP


vendredi 29 janvier 2021

Il est vrai que l'on souffre de l'islamiste extrémiste depuis plus de 20 ans Qui n'a cessé de monter dans la société française !

 

Comment Marine Le Pen veut mettre l’islamisme hors la loi

En réponse au texte du gouvernement contre « le séparatisme » qu’il accuse de manquer sa cible, le RN présente sa contre-proposition de loi. 

Peut-on se promener en tenue SS dans les rues ? Non ? Eh bien, on ne doit pas non plus pouvoir se promener en tenue salafiste. » Nommer les choses, quitte à en rajouter : en présentant ce vendredi leur contre-proposition de loi « visant à combattre les idéologies islamistes », les élus du Rassemblement national entendent appuyer lourdement le contraste. Le projet gouvernemental « confortant le respect des principes de la République », qui sera débattu la semaine prochaine à l'Assemblée, ne contient pas le mot « islamisme » – la loi de 1905 interdisant, selon l'exécutif, de désigner nommément une religion ? Leur contre-proposition le cite 24 fois. « Il n'y a rien de pire que de se lancer dans un débat qu'on ne maîtrise pas », confie Marine Le Pen au Point. «  L'Islamisme n'est pas une religion, c'est une idéologie qui veut s'emparer de la République. Le gouvernement, en s'en prenant à toutes les religions dans l'espoir de toucher celle qu'il ne nomme pas, amalgame croyants et extrémistes. Il est complètement à côté de la plaque. […] Je pense qu'ils n'ont pas saisi l'urgence de la situation, alors, ils font de la communication en essayant de flatter tous les électorats. Cela risque de leur sauter à la figure, comme le débat sur l'identité nationale avait sauté à la figure de Nicolas Sarkozy… »

Ils y ont cru, pourtant. « Quand le président a déclaré, en octobre aux Mureaux, qu'on devait s'attaquer au “séparatisme islamiste”, on a été agréablement surpris », se souvient Philippe Olivier, le premier conseiller de Marine Le Pen. « Nous étions prêts à travailler avec eux. Puis on a vu au fil des semaines, de concessions en abandons sémantiques, la résolution du pouvoir s'effilocher… » Amender le texte du gouvernement pour le renforcer ? « À quoi bon ? » constate le député RN du Nord Sébastien Chenu. « Le règlement de l'Assemblée nous octroie pour l'ensemble de la discussion 15 minutes de temps de parole, pas une de plus. À quoi ça sert ? Nous ne pourrons pas ouvrir la bouche. » Le débat se tiendra donc hors des murs de l'hémicycle, sur les réseaux sociaux, les sites Internet, les forums de discussion… au cœur de cette « opinion » déboussolée que l'exécutif, se persuade Marine Le Pen, ne sait plus saisir. Galvanisée par un récent sondage Harris la donnant au coude-à-coude avec Emmanuel Macron au second tour de la prochaine présidentielle, à 48 % contre 52 % pour l'actuel président, la patronne du Rassemblement national pousse calmement ses pions. Elle connaît le plan de la partie – cela fait vingt ans qu'elle la joue. Mais cette fois, alors que la dernière marche paraît réellement accessible, elle travaille. Soigne les détails, la technique. L'ancien magistrat Jean-Paul Garraud, ex-rapporteur (pour l'UMP, à l'époque) de la loi sur l'interdiction du voile intégral en 2010, l'a aidée à rédiger un texte « opérationnel », dit-il. « Si ce projet était appliqué, c'en serait fini de l'islamisme. »

L'« idéologie islamiste » définie, et interdite

Car si l'exécutif a échoué, après des mois de querelles juridiques, à définir dans les textes la nature du « séparatisme » contre lequel il espère lutter, le RN s'y atèle. Seraient « interdites sur le territoire » toutes les « idéologies » caractérisées par l'un au moins des six traits suivants : incompatibilité avec les « droits, libertés et principes reconnus par la Constitution » ; refus de la laïcité et du respect de la loi commune ; menaces graves pour l'unité ou l'indépendance de la nation ; liens avec des entités étrangères « de nature à faire naître les doutes les plus sérieux sur la loyauté envers la France et la soumission à ses lois » ; « le soutien, la minoration ou la banalisation » des crimes contre l'humanité, des assassinats ou des actes de torture « commis au nom d'une de ces idéologies » ; la contrainte physique ou psychologique à embrasser une religion.

Une définition particulièrement large (et n'excluant pas le risque d'arbitraire) qui permettrait à toute entité, civile ou étatique, de faire cesser immédiatement la « pratique, manifestation ou diffusion publique » de ces idéologies. Les 38 articles suivants de la loi ratissent absolument tous les champs de la vie collective. Censure de ces idées au cinéma, dans les publications jeunesse, dans la presse, les bibliothèques. L'administration aurait le pouvoir de refuser un avantage (on pense aux logements sociaux, aux allocations…) aux personnes les « manifestant ou diffusant de façon habituelle ». Le licenciement pour islamisme deviendrait possible, pour les employeurs privés comme publics, comme le retrait pour ce motif de la nationalité française acquise, ou l'expulsion des étrangers, « quels que soient les éléments de (leur) situation personnelle ou familiale ».

Plus qu'une prohibition : un nettoyage

Prévoyant de possibles réticences des administrations locales à appliquer la loi, le texte encourage et prévoit la protection des « lanceurs d'alerte », un représentant de l'État (le préfet, ou même le recteur) pouvant se substituer aux organes ou collectivités qui auraient « refusé de prendre une mesure nécessaire à l'application de la loi ». Le texte traite également de l'environnement social, lui aussi encadré : l'enseignement public devra « faire naître » et « affermir les sentiments patriotiques et la conscience de l'unité nationale » ; l'architecture des bâtiments « voués à l'exercice du culte » devra s'insérer « harmonieusement » sans l'environnement local, sans éléments (un minaret, par exemple) de dimension « ostentatoire » ; les « tenues islamistes » seront interdites dans un espace public élargi, englobant les rues et tous les lieux accueillant du public.

Plus qu'une prohibition, un nettoyage. « On met l'islamisme hors la loi », résume Jean-Paul Garraud, convaincu que les dispositions de son texte « sont parfaitement conformes à notre Constitution, puisqu'il s'agit d'interdire toute manifestation publique d'une idéologie qui constitue, par elle-même, un trouble grave à l'ordre public. C'est ce qui fonde la prohibition du nazisme – une idéologie monstrueuse. » Et « demande-t-on aux nazis de signer une charte pour prouver qu'ils ne le sont plus ? » ironise Marine Le Pen, faisant référence au « contrat d'engagement républicain » que le gouvernement entend faire signer, désormais, aux associations. Après l'assassinat de Samuel Paty, la campagne s'ouvre par une loi de temps de guerre – un état d'urgence perpétuel.

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Subrepticement en s'infiltrant parmi nous et dans des communautés connues de la population française lambda en voulant quelques fois imposer parmi elles des lois islamistes contraires aux lois et valeur de notre république !

Vouloir le nier, n’est que de l’hypocrisie politicienne de certains bien-pensant donneurs de leçon qui nous gouvernent, car pratiquant le politiquement correct pleutre !

Malgré des drames très graves causés par ce terrorisme qui se réclament de cet islamisme extrémiste jusqu’à ce jour, nos gouvernements divers ont repoussé le problème sous le tapis en tolérant des pratiques, même dans le domaine public, moyenâgeuses voir discriminatives ou non-respect des autres notamment pour les femmes pour ne parler que d’elles, avec cette religion qui se dit tolérante, mais qui ne l’est pas pour les autres pratiquées dans notre pays laïque justement !

Le mysticisme religieux est une plaie qui divise les hommes et donc les humains depuis la nuit des temps et il grandit dans ce XXI eme siècle n’en déplaisent à ceux qui ne veulent pas voir ou entendre !

Mais en ce qui concerne M.LE PEN qui semble monter dans les sondages médiatiques, elle fait feu de tout bois comme candidate à la présidentielle voyant le désarroi du pouvoir en place et du reste de la classe politique médiocre !

Ceci étant, la censure arbitraire des modérateurs divers sur les médias va passer, malgré notre liberté d’expression de notre pays libre ou toute vérité n’est pas bonne à dire ?!

jdeclef 29/01/2021 14h29

Quelque fois le bon sens prend le dessus sur les règlements appliqués à La lettre par des fonctionnaires bornés !?

 

États-Unis : coincés par la neige, des soignants vaccinent au hasard

Leur voiture immobilisée, ils ont injecté le vaccin qu’ils transportaient aux autres automobilistes pour ne pas le gâcher, raconte « Courrier international ».

Une situation ubuesque que seule la pandémie peut nous offrir. Aux États-Unis, dans l'Oregon, une équipe de soignants s'est retrouvée bloquée sur la route, dans sa voiture, à cause de la neige et d'un accident. Après une journée passée à vacciner contre le coronavirus, ils avaient encore des doses en stock qui seraient bientôt inutilisables, raconte le Washington Post, relayé par Courrier international. Sachant qu'ils resteraient immobilisés pendant plusieurs heures et que les vaccins allaient être gâchés, les travailleurs de la santé ont alors décidé… d'offrir des injections aux autres automobilistes !

L'équipe était encore en possession de six doses du vaccin Moderna, et comme l'explique le quotidien de la capitale, il doit être injecté dans les six heures suivant le moment où la dose a été retirée de son lieu de stockage, où la température se situe en dessous de 0 °C. Un délai qui allait certainement être dépassé.

« Trouver six personnes n'a pas été facile »

Michael Weber, directeur de la santé publique du comté de Josephine présent dans la voiture, a alors eu une idée. « J'ai décidé d'aller offrir le vaccin à chaque conducteur », confie-t-il au Washington Post. Mais aussi surprenant que cela puisse paraître, « trouver six personnes qui acceptent l'injection n'a pas été si facile », témoigne David Candelaria, un autre membre de l'équipe. Finalement, Michael Weber est ses collègues ont dû faire du porte-à-porte pendant plus de 45 minutes pour trouver les « six bras chanceux ».

Au Raincy, un centre de vaccination… sans vaccins

Certains ont affiché leur scepticisme face à cette demande incongrue, mais « ceux qui ont dit oui ont eu du mal à cacher leur excitation », plaisante le directeur de la santé publique. Il raconte même que l'un des heureux élus était « si enthousiaste qu'il a sauté hors de sa voiture et a enlevé son tee-shirt au milieu de la tempête de neige pour se faire administrer le vaccin ». Une autre a pu être vaccinée alors qu'elle n'avait pas réussi à arriver à temps à son rendez-vous plus tôt dans la journée. « C'était le destin que cette dose lui revienne », ironise David Candelaria auprès du Washington Post. Cette opération improvisée n'en était pas moins des plus sécurisées, puisqu'une ambulance qui accompagnait l'équipe de soignants se tenait prête à recevoir les patients qui réagiraient mal à l'injection.

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Surtout comme chez nous, dans notre administration kafkaïenne et ses kyrielles de fonctionnaires obtus à tous les étages de nos états et de nos gouvernements de tous bords donneurs de leçons qui s'écoutent parler pour ne rien dire de positif !

Sauf à effrayer le peuple lambda inutilement !

Jdeclef 29/01/2021 11h28LP


Boris Johnson est bien un anglais pur jus de cette perfide Albion !

 

AstraZeneca : Londres refuse de partager ses vaccins avec l’UE

Pour Michael Gove, ministre de Boris Johnson, hors de question de livrer aux Européens les vaccins des usines AstraZeneca situées en territoire britannique.

La situation se complique dans l'affaire AstraZeneca. Michael Gove, ministre d'État britannique, a clairement fermé la porte à un partage avec l'Union européenne des doses issues des deux usines situées au Royaume-Uni. « Ce qui est essentiel, c'est que nous devons nous assurer que le calendrier qui a été convenu et sur lequel notre programme de vaccination a été basé et planifié aille de l'avant, a-t-il déclaré à la BBC Radio 4. Les fournitures qui ont été planifiées, payées et prévues devraient absolument se poursuivre. Il n'y aura pas d'interruption. » Selon AstraZeneca, le gouvernement Johnson a signé, dès juin 2020, une clause de priorité pour bénéficier de manière privilégiée du vaccin conçu par l'université d'Oxford.

Problème : l'UE a signé trois mois plus tard un contrat qui portait sur les mêmes usines, en ignorant la préférence britannique. Pour appuyer ses dires, la Commission souhaite publier ce contrat, mais doit obtenir l'accord de son partenaire en raison d'une clause de confidentialité qui ne peut être levée qu'avec l'accord des deux parties.

Une inspection sur le site belge

Interrogée, la Commission n'a pas souhaité entrer dans la polémique avec le gouvernement britannique. Les autorités bruxelloises persistent à dire que le groupe AstraZeneca doit remplir les obligations contenues dans son contrat d'approvisionnement et que celui-ci comprend les deux usines situées au Royaume-Uni. La réunion qui s'est tenue jeudi soir entre les dirigeants du groupe pharmaceutiques et Stella Kyriakides, la commissaire à la Santé, n'a pas abouti à grand-chose, même si la « tonalité » a été plus « constructive ». « Nous regrettons l'absence de clarté sur le calendrier et nous réclamons un plan clair de la part d'AstraZeneca pour une livraison rapide des quantités de vaccins réservées au premier trimestre, » a précisé la commissaire chypriote.

AstraZeneca : pour l'UE, les Britanniques ne sont pas prioritaires

Les autorités belges ont, de leur côté, lancé une inspection du site belge d'AstraZeneca qui a été désigné comme défaillant par Pascal Soriot, le PDG du groupe. Le groupe déplore que les sites européens de production soient moins performants par rapport aux sites britanniques et annonce un retard de livraison correspondant à 60 millions de doses en moins par rapport au programme prévu (soit 75 % de pertes de rendement).

Des doutes sur la pertinence du vaccin AstraZeneca chez les plus de 65 ans

Le vaccin AstraZeneca devrait faire l'objet d'une homologation par l'Agence européenne du médicament vendredi après-midi. Toutefois, des doutes ont été soulevés sur la pertinence de ce vaccin auprès des plus de 65 ans. Si ces doutes étaient avérés, l'enjeu autour des doses du vaccin AstraZeneca retomberait en pression. La stratégie vaccinale est en effet tout entière bâtie sur l'immunité des personnes les plus âgées, les plus sujettes à subir les formes les plus graves de la maladie et donc à surmobiliser les hôpitaux.

Retard de vaccin : le patron d'AstraZeneca se défend de favoriser les Britanniques

Enfin, la Commission va mettre en place dans les jours qui viennent un mécanisme de surveillance des exportations de vaccins produits dans le marché unique. « Il ne s'agit en aucun cas d'empêcher les exportations, prévient-on à Bruxelles. Il s'agit d'un instrument de transparence afin de savoir où sont produits les vaccins et à qui ils sont livrés. » Michael Gove, de son côté, a tout de même fait un geste envers l'Europe : « Je suis sûr que nous voulons tous faire tout notre possible pour nous assurer que le plus grand nombre de personnes dans les pays amis et voisins soient vaccinées et je pense que nous y parviendrons au mieux par le dialogue, la coopération et l'amitié. » À ce stade, une conversation amicale entre Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission, et Boris Johnson, le Premier ministre, paraît le seul moyen de débloquer la situation. Mais rien n'a été confirmé en ce sens pour l'heure…

La Commission maintient son objectif ambitieux visant à vacciner, d'ici fin mars, 80 % des personnels soignants et des personnes âgées de 80 ans, soit 64 millions de personnes en Europe. « Nos calculs reposaient sur deux vaccins homologués, le Pfizer/BioNTech et le Moderna, et non sur le vaccin AstraZeneca », explique-t-on à Bruxelles.

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Il a négocié, contraint et forcé à contre cœur ce Brexit que l'Angleterre a voulu après 3 ans de tergiversations laborieuses pour essayer d'obtenir « le beurre et l'argent du beurre » comme lors de l'entrée des britanniques dans l'Union Européenne le 1er janvier 1973 qui avait obtenu de nombreux avantages et dérogations sur les règlements de celle-ci, incombant aux autres membres !

Peut-être une petite revanche mesquine !?

Il marque de ce fait son indépendance, bien britannique issue de cette nostalgie de leur grand empire colonial Commonwealth au sommet de sa puissance au IXX eme siècle, du temps de leur grande reine Victoria et leur royauté qui s’essouffle et a vieilli, qui font la notoriété de ce pays, qui se désagrège petit à petit par certaines régions de leurs iles qui voulaient rester dans l’Union Européenne comme d’autres pays d’ailleurs, car cet épi phénomène indépendantiste fait école, dans d’autres pays pourtant déjà dans l’union !?

Toutefois l’Angleterre pour en revenir à ce nouveau virus Covid variant souche appelée anglaise aurait fait déjà 100000 morts au royaume encore uni, alors il préfère le garder pour eux ce vaccin en priorité, car pas tenu de le partager avec cette Europe qu’ils ont quitté !?

Jdeclef 29/01/2021 11h08LP


jeudi 28 janvier 2021

Désolé de faire partie des râleurs, mais avec les informations imprécises :

 

Vaccinations en France : la course contre la montre continue

INFOGRAPHIE. Alors qu’un troisième confinement se profile et que la vaccination accélère, notre pays n’est que 33e en nombre de vaccinés par habitant.

 

L'exécutif avait promis une accélération dans le rythme des vaccinations. A-t-il tenu ses engagements ? Sur les dernières 24 heures, un peu plus de 90 000 personnes ont reçu une première dose, ce qui porte le nombre de personnes vaccinées à 1,18 million, au 27 janvier, comme on peut le voir dans la carte ci-dessous que nous actualisons en permanence. Une belle accélération donc, mais pas suffisante pour rassurer alors que les variants du coronavirus, britannique d'abord, mais aussi sud-africain, ou encore brésilien, apparaissent plus conquérants que jamais. La proportion du variant britannique, qui concernait mi-janvier près de 1 % des personnes testées positives au coronavirus « se rapproche des 4 % » a ainsi expliqué le directeur de l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) Martin Hirsch le 20 janvier sur France Info.

Comme on peut le voir dans la carte ci-dessous, en valeur absolue, la France se rapproche de l'Espagne (1,29 million de personnes ayant reçu au moins une des deux doses nécessaires), l'Italie (1,53 million), l'Allemagne (1,92 million), l'Inde (2,03 millions), mais est encore loin derrière Israël (4,15 millions), ou encore le Royaume-Uni (7,33 millions). Israël a aussi un rythme de vaccination plus poussé, autour de 150 000 injections par jour.

Variants du Sars-CoV-2 : la génomique à notre secours

Cependant, il est de plus en plus pertinent de rapporter ces chiffres à l'importance de la population. Ainsi, en données relatives, c'est-à-dire si on s'intéresse aux doses administrées pour 100 personnes, Israël arrive en tête, avec plus de 47 habitants ayant déjà reçu une dose, suivi des Émirats arabes unis (27 habitants / 100) et des Seychelles (20 habitants / 100). Sur ce critère, la France n'arrive qu'en 33e position, avec moins de deux personnes sur 100 qui ont eu droit à la première injection.

Course-poursuite

Attention, cependant, à ne pas tomber dans le mirage de la solution miracle. Le vaccin pose encore de nombreuses questions, comme l'expliquait au Point début décembre le professeur Bernard Bégaud, un expert de la pharmacovigilance. On ne sait pas combien de temps il protège la personne à qui on l'a inoculé, ni surtout, à quel point il empêche la transmission du virus. Dans cette course-poursuite, le séquençage du génome peut s'avérer être d'un précieux secours. Mais tout de même, alors que la quasi-totalité des pays de l'Union européenne (à l'exception notable des Pays-Bas) ont commencé leur campagne le même jour, pourquoi une telle différence dans le déploiement ?

Vaccin anti-Covid : « C'est un pari, il ne va pas falloir faire d'erreur »

La France a-t-elle adopté la stratégie la plus efficace ? « Comparons ce qui est comparable : la France n'a pas adopté la même stratégie que ses voisins européens, qui ont, dans un premier temps, choisi de vacciner les professionnels de santé. La stratégie française consiste à vacciner en priorité les personnes âgées qui sont les plus à risque : je rappelle que les personnes âgées de plus de 80 ans ont 8 % de risque de décéder lorsqu'elles contractent l'infection », expliquait le 30 décembre au Point le cabinet d'Alain Fischer, le professeur d'immunologie pédiatrique nommé début décembre pour coordonner la stratégie vaccinale de l'État contre la pandémie de Covid-19. Certes, depuis, la France a « élargi » le profil des personnes qui peuvent se faire vacciner.

Vaccination anti-Covid : « Il faut élargir dès maintenant le profil des personnes concernées »

Une vaccination « massue »

On peut se demander par contre si elle n'aurait pas pu aller un peu plus vite. Mais là encore, ça ne signifie pas forcément la fin des ennuis. C'est ce que vit en ce moment Israël qui a commencé sa campagne de vaccination sur les chapeaux de roues, mais continue d'affronter de plein fouet la montée exponentielle des nouveaux variants du virus. Car, comme l'explique la chercheuse Els Torreele, « la vaccination doit s'accompagner de la disparition du virus, et ne doit pas en être un substitut. Un bon plan vaccinal n'aura que peu d'impact pour un pays si ce dernier devient un creuset pour les variants résistants ». 

Comme l'explique la virologue Mylène Ogliastro, « il est peu probable que ce variant échappe totalement aux vaccins, au moins à court terme ». En revanche, explique-t-elle, s'il n'y a pas assez de personnes vaccinées, et vite, les choses pourraient très mal tourner. « Si on met trois ans à vacciner tout le monde, c'est le pire des scénarios. On va laisser circuler le virus et augmenter la pression de sélection, donc la probabilité d'émergence de nouveaux variants. Pour l'éviter, il faudrait une vaccination massue. »

Un avis que partage le chercheur Étienne Decroly : « On est stratégiquement très mauvais, il est temps qu'on accélère la vaccination. Nous avons plusieurs semaines de retard. Avec un virus qui est plus transmissible, il faut éteindre le feu, et vite. La situation va être très compliquée avec une potentielle troisième vague, la pire qu'on n'ait jamais vue. » Des points de vue qui rejoignent celui de l'Académie de médecine, qui, dès le 31 décembre, expliquait que la France devait accélérer.

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Du gouvernement et de nos dirigeants, souvent donneur de leçons !

Et d'un président qui n'arrive pas à prendre des décisions sur le ou les confinements totaux ou partiels et ce même, s'il a le droit de ne pas tout savoir n'étant ni scientifique ou médecin, car ne rien faire est la pire des attitudes de la part d'un chef d'état !

Car on peut excuser ses erreurs bien qu'entouré soi-disant de spécialistes peut être trop, mais surtout de politiciens inutiles qui n'en savent pas plus que lui !

La vaccination en France avance à la vitesse d'un escargot, même pas d'une tortue, loin du lièvre de LA FONTAINE....

Et le tri des âges pour les français pouvant être vaccinés est une ineptie car dans les EPADH prioritaires 50 % des résidents n'ont pas voulu l'être et tout dernièrement un EPADH de province vient de subir 70 contaminations de ses résidents être positifs au virus sans compter le personnel de l’établissement !

Car ces lieux regroupant des personnes âgées en fin de vie sont déjà à risque !

Mais moi par exemple qui suis âgé de 73 ans confiné, depuis mars 2020 dans ma chambre ou j’y prend seul mes repas dans mon appartement avec pourtant des facteurs à risque, ne peut l’être, car n’entrant pas exactement dans les cases de ceux prioritaires, de toute façon le centre de vaccination dans ma commune n’a déjà plus de doses, alors j’attends stoïque, le jour où je serais rattrapé par cette saloperie, mais j’ai plus de chance de me protéger chez moi, que ceux en EPADH en fait !?

On est dans un pays libre, mais tous ces habitants ne sont pas traités à égalité ce n’est pas une nouveauté !

Jdeclef 28/01/2021 15h13