lundi 31 décembre 2018

Qui ment le plus BENALLA ou le président qui se tait par omission ?!


Alexandre Benalla accuse l'Élysée de le faire passer pour « un escroc »

L'ancien conseiller de l'Élysée affirme avoir conservé la preuve de ces échanges sur son téléphone portable. L'Élysée dénonce une vengeance.


Le contact n'aurait pas été rompu entre Emmanuel Macron et Alexandre Benalla, loin de là. C'est ce dernier qui l'a affirmé dimanche à Mediapart. Il a expliqué qu'il continuait à échanger régulièrement avec le chef de l'État via la messagerie Telegram, depuis son licenciement de l'Élysée, précisant avoir conservé la preuve de ces échanges sur son téléphone portable. La présidence avait assuré ne plus entretenir aucun contact avec l'ancien chargé de mission depuis son licenciement cet été après sa mise en cause pour des violences le 1er mai. Et dénonce une vengeance faite de « contrevérités ». Alexandre Benalla n'a pas tardé à réagir de nouveau, sur BFM TV cette fois-ci, accusant l'Élysée de le « faire passer pour un escroc ».
 « Ça va être très dur de le démentir parce que tous ces échanges sont sur mon téléphone portable », déclare Alexandre Benalla à propos de ses échanges avec Emmanuel Macron, dans l'entretien mis en ligne dans la nuit de dimanche à lundi par Mediapart. « Nous échangeons sur des thématiques diverses. C'est souvent sur le mode comment tu vois les choses ? Cela peut aussi bien concerner les Gilets jaunes, des considérations sur untel ou sur untel ou sur des questions de sécurité », des échanges du type qu'il avait déjà avec le chef de l'État quand il était son homme de confiance à l'Élysée. Il ajoute qu'il échange aussi de manière régulière avec d'autres membres de la présidence, comme il l'avait déjà affirmé ces derniers jours dans un courrier adressé à l'Élysée.

Le président de la République « informé en direct »

Ces échanges ont eu lieu jusqu'aux récentes révélations de Mediapart sur son utilisation d'un passeport diplomatique pour des voyages d'affaires en Afrique. « Là, le lien est coupé », selon lui. Après ces révélations, le ministère des Affaires étrangères a saisi le procureur de la République qui a ouvert une enquête pour « usage sans droit » de passeports diplomatiques. Alexandre Benalla, qui a récemment effectué plusieurs voyages en Afrique et rencontré des dirigeants, affirme aussi avoir toujours rendu compte au président ou à son entourage de ses faits et gestes. « J'explique que j'ai vu telle personne, je détaille les propos qui m'ont été rapportés et de quelle nature ils sont. Après, ils en font ce qu'ils veulent. Y compris le président de la République, qui est informé en direct », dit-il.
L'Élysée avait insisté, mardi, sur le fait qu'Alexandre Benalla n'était « pas un émissaire officiel ou officieux » de la présidence. « Je suis un élément extérieur qui veut du bien au mec [Emmanuel Macron] qui lui a fait confiance ». « J'aurais pu claquer la porte et passer à autre chose. Mais on continue à me solliciter, alors, je continue à répondre. » « Cela dérange un certain nombre de personnes, qui sont puissantes et qui font comme si le président était sous curatelle. Ils lui font faire des conneries phénoménales », accuse l'ex-chargé de mission.

« Tu ne fais pas de bêtises avec »

Il raconte enfin que, début octobre, une personne de l'Élysée lui a rendu des effets personnels et ses passeports diplomatiques dans une rue près du Palais avec pour seule consigne « tu ne fais pas de bêtises avec ». « Si on ne veut pas que j'utilise ces passeports, il n'y a qu'à les désactiver et les inscrire à des fichiers », plaide-t-il, précisant les avoir utilisés pour entrer dans « une dizaine de pays » depuis l'automne. « Quand vous voyagez à l'étranger avec un passeport diplomatique, l'ambassade de France est au courant que vous arrivez », assure-t-il. L'Élysée et le Quai d'Orsay ont affirmé n'avoir pas été informés de l'utilisation de ces passeports et avoir réclamé à Alexandre Benalla leur restitution.
 « J'ai peut-être eu tort de me servir de ces passeports. Mais je tiens à dire que je ne l'ai fait que par confort personnel, pour faciliter mon passage dans les aéroports. En aucun cas je ne les ai utilisés pour mes affaires. Je ne vois d'ailleurs pas à quoi ils auraient pu me servir », explique Alexandre Benalla dans une interview au  Journal du dimanche. Difficile de savoir pour l'heure si cette restitution, effectuée, selon le JDD, dans une rue proche de l'Élysée, relève de l'erreur ou de la faveur. Mais cette chronologie des faits lui permet aussi d'affirmer qu'il n'a pas menti à la commission sénatoriale puisque, le 19 septembre, les passeports se trouvaient encore à l'Élysée.

L'Élysée accuse

De son côté, l'Élysée accuse Alexandre Benalla lundi d'entretenir pour se venger «  tout un faisceau de contrevérités et d'approximations ». « Nous ne souhaitons pas poursuivre un dialogue par presse interposée avec Alexandre Benalla qui se venge de son licenciement pour faute grave en entretenant tout un faisceau de contrevérités et d'approximations », a déclaré l'Élysée à l'Agence France-Presse. Souhaitant en revenir « aux faits », le palais présidentiel a assuré de nouveau lundi qu'Alexandre Benalla « n'a tenu l'Élysée au courant d'une partie de ses déplacements que le 20 décembre, c'est-à-dire après que des journalistes ont appris l'existence de son déplacement au Tchad ».
À propos des passeports diplomatiques qu'une personne de l'Élysée aurait remis en octobre à Alexandre Benalla, selon les déclarations de l'ex-chargé de mission, l'Élysée a assuré n'avoir pas détenu ces documents et donc n'avoir pu les lui remettre, laissant entendre que l'ex-chargé de mission ne les avait jamais rendus. « L'Élysée a procédé depuis son licenciement à toutes les diligences pour récupérer les passeports et autres titres de l'intéressé. Il revient à la justice de donner suite à l'éventuelle utilisation de ces passeports diplomatiques par Alexandre Benalla depuis son départ de l'Élysée, utilisation dont l'Élysée n'avait pas connaissance avant que la presse ne la révèle », a insisté le palais présidentiel.

Couper les ponts

Les affirmations de l'Élysée n'ont pas laissé de marbre l'ancien chargé de mission qui, auprès de BFM TV, se dit étonné : « Je ne comprends pas toute cette histoire, ils me font passer pour un escroc. » Et Alexandre Benalla de confirmer auprès de la chaîne ses déclarations dans Mediapart : « Mon dernier échange avec le président de la République date du 24 décembre. » Mais devant la polémique et la ligne de défense adoptée par le palais présidentiel, l'ancien chargé de mission fait savoir que « c'est maintenant terminé, je coupe les ponts, je ne veux plus rien avoir à faire avec ces gens-là ».
Le ministère français des Affaires étrangères a de son côté dénoncé lundi dans un communiqué des propos « faux » et « fantaisistes » de l'ex-collaborateur du président français, Alexandre Benalla, au centre d'une controverse sur la restitution de passeports diplomatiques. Le Quai d'Orsay affirme également que l'ancien conseiller présidentiel n'a « bénéficié d'aucune indulgence particulière » de sa part et que « plusieurs démarches » ont été effectuées par le ministère pour obtenir la restitution des passeports diplomatiques de l'ex-collaborateur du président Emmanuel Macron.
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Voire les services de la présidence aussi.. ?!

Pensez donc, ils avaient tous les deux, tant de chose à se dire ?!

Maintenant on y est dans le scandale d'état !

Car si un BENALLA sorti de nul part tient la dragée haute à ce nouveau jeune président de la république E.MACRON lui aussi en fait sorti de nul part, il y a du soucis à se faire !?

Pauvre FRANCE et pauvres français forcés de jouer aux gilets jaunes pour se faire entendre d'un président vraiment pas net avec ses relations douteuses qui ne sait plus quoi répondre de censé et incapable de se débarrasser de cet individu !

Avec bien sur une justice aux abonnés absents ?!

Non content d'avoir honte de tels dirigeants, car c'est de plus en plus déplorable, il y a cette affaire digne d'un mauvais feuilleton de série B que les français doivent subir alors que notre pays va mal !

Merci Mr le président et BONNE ANNÉE 2019 !

Jdeclef 31/12/2018 17h08

Que pourrait-il dire en vingt minutes plus ou moins, notre président parvenu qui ne connait pas les français qui ne sont pas de son monde ..?!


Vœux du nouvel an : Macron en quête de mots

Pour le président, la traditionnelle allocution du 31 décembre est une occasion de reconquérir l'opinion qui lui est très hostile.


Lundi à 20 heures, Emmanuel Macron s'adressera aux Français pour la dernière fois d'une année éprouvante pour le président, contraint plus que jamais de retracer des perspectives claires pour la suite de son quinquennat. Confronté à la crise sans précédent des Gilets jaunes, le chef de l'État devrait, comme dimanche dernier, appeler à « l'ordre et la concorde » pour tenter d'apaiser les colères et relancer les réformes. Son allocution sera retransmise sur toutes les grandes chaînes de télévision. Sa dernière prise de parole à grande échelle date du 10 décembre, lorsque, pressé par les revendications des Gilets jaunes, il a promis 10 milliards d'euros d'aides en faveur du pouvoir d'achat. Pour la première fois, il a dû reculer sur des décisions antérieures, comme la hausse des taxes sur les carburants. Plus de 23 millions de personnes l'avaient regardé, un record pour une intervention politique.
Cette fois, plus question d'annonces. L'enjeu est de trouver des mots capables de marquer « autorité et rassemblement », selon un de ses proches. Emmanuel Macron planchera certainement sur son texte jusqu'au dernier moment. Il a prévu d'enregistrer son message lundi en fin d'après-midi. Il s'adressera à des Français qui, dans une immense majorité, lui sont aujourd'hui hostiles – sa cote de popularité est à 27 %, selon le dernier sondage BVA – et certains ouvertement haineux, comme l'ont montré les simulacres de décapitation sur des ronds-points tenus par des Gilets jaunes. Il doit donc les convaincre qu'il est capable de montrer davantage d'écoute et de bienveillance, lui dont certaines phrases cassantes cette année continuent à choquer une partie de l'opinion, du « pognon de dingue » aux « Gaulois réfractaires ».

Un président très discret

«  L'acte VII » des Gilets jaunes samedi a montré un essoufflement de la mobilisation, mais les slogans – « Macron démission » – continuent de le viser personnellement. Emmanuel Macron s'est fait extrêmement discret en décembre, dans ses rares sorties comme dans les médias. Sa destination de vacances a été tenue secrète par l'Élysée, mais il a fait une apparition samedi dans les rues de Saint-Tropez et Port-Grimaud. Il n'a pas non plus durant ses congés, comme il l'avait fait cet été, pris son téléphone pour organiser une répartition entre pays européens des migrants en errance du bateau de l'ONG Proactiva Open Arms, refoulés par l'Italie et qui ont finalement pu accoster en Espagne.




Les vœux à la nation, cette tradition républicaine qu'il a maintenue, lui donnent enfin l'occasion de parler de l'avenir, des réformes annoncées pour 2019, qui restent sa priorité, en particulier celle des retraites et de la fonction publique, mais aussi des nouvelles initiatives, à commencer par ce « grand débat national » prévu de janvier à mars avec lequel l'exécutif espère apaiser la colère des Gilets jaunes. Le président pourrait rappeler lundi soir les limites de cet exercice, comme il l'avait déjà fait le 10 décembre : pas question de rejouer la présidentielle de 2017 ni de « détricoter » ce que le gouvernement et le Parlement ont mis en place depuis 18 mois. Ces lignes rouges ne sont pas sans risque. Faute de résultats concrets, le « grand débat » pourrait entraîner de nouvelles frustrations et contestations. Quant à l'opportunité de lancer des référendums d'initiative citoyenne, réclamés par une partie des Gilets jaunes et par l'opposition, le président ne s'est pas encore prononcé. Jusqu'à la fin du grand débat, qui abordera le sujet, Emmanuel Macron devra en tout cas retarder la réforme constitutionnelle à laquelle il reste très attaché.

Une soirée de réveillon sous surveillance

Les débuts de 2019 recèlent d'autres embûches. Il faudra, par exemple, mettre en place la prime d'activité d'une centaine d'euros pour les petits salaires qui, contrairement à ce qu'annonçait le président, ne sera pas versée à tous les smicards. Ceux qui sont en couple avec quelqu'un gagnant bien sa vie n'y auront pas droit. L'effet de l'entrée en vigueur du prélèvement à la source, visible pour la première fois sur les feuilles de paie de fin janvier, est une autre inconnue. En pleine jacquerie fiscale, quel en sera l'impact sur l'état d'esprit des ménages, voire sur la consommation ?
Une partie des Gilets jaunes, toujours mobilisés – certains ont tenté d'entrer dans le fort de Brégançon, croyant y trouver le président –, compte se faire entendre juste au moment des vœux présidentiels : un appel est lancé sur Facebook pour un rassemblement « festif et non violent » sur les Champs-Élysées à 20 heures. Plus de 8 000 personnes annoncent déjà vouloir y participer. La sécurité sera donc renforcée à Paris comme dans d'autres grandes villes où des appels ont été lancés, notamment sur le pont d'Aquitaine à Bordeaux, théâtre régulier d'affrontements avec les forces de l'ordre.
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Depuis la mi-année 2018, tout ce qui est arrivé de par sa faute n'a fait qu'augmenter le manque de confiance des français envers lui, son 1er ministre et le gouvernement !

Et ce n’est pas son discours alambiqué habituel ou ses faux méa culpa qui changeront la donne de la suite de son quinquennat dont il a grillé les dernières cartouches !?

Car il a accumulé tant de déconvenues ou erreurs impardonnables qu’il faudrait un miracle politique pour que cela change !

Il manque d’amour propre comme ses prédécesseurs, alors qu’il fasse comme eux, en souhaitant une bonne année aux français (qui se sont trompés une fois de plus), dont il ne pense rien, ces gens de peu, comme c’est la tradition en bon faux monarque sans couronne républicain...

Jdeclef 31/12/2018 11h04LP

Ce dictateur à fait tuer 400000 syriens et a réduit son pays à un tas de ruine !


Syrie : Bachar el-Assad, de nouveau fréquentable ?

Bachar el-Assad pourrait faire son retour dans la communauté internationale après avoir chassé rebelles et djihadistes de la plupart du pays.


BACHAR AL HASSAD voit-il la fin du tunnel ? Le dirigeant syrien, longtemps mis au ban de la communauté internationale, est sur le point de faire un retour en force en Syrie et en grâce de la région. Une conclusion qui arrive après huit ans d'une guerre dévastatrice aux répercussions mondiales, selon les experts. Cette guerre, qui s'est complexifiée au fil des ans avec l'implication de puissances régionales et étrangères ainsi que de groupes djihadistes, a fait depuis mars 2011 plus de 360 000 morts, des millions de réfugiés et a morcelé la Syrie. En 2012, l'ancien président américain Barack Obama   affirmait que « les jours d'Assad » étaient « comptés » et les Occidentaux et leurs alliés arabes mettaient tout leur poids dans l'opposition au président syrien.
Mais, six ans plus tard et grâce à l'intervention militaire cruciale de l'allié russe depuis 2015, ses forces, aidées également par l'Iran et le Hezbollah libanais, contrôlent près des deux tiers du pays après en avoir chassé rebelles ou djihadistes. Et elles semblent bien parties pour reprendre le contrôle du tiers restant, dans le nord, sous domination de la minorité kurde qui a instauré une autonomie de facto dans plusieurs régions.
Le 19 décembre et à la surprise générale, le président Donald Trump annonçait le retrait prochain des forces américaines de Syrie, où elles aidaient les forces kurdes face au groupe djihadiste État islamique (EI). Les Kurdes ont alors appelé à l'aide l'armée syrienne, qui s'est déployée pour la première fois en six ans autour de Minbej (nord), face aux menaces d'une offensive de la Turquie voisine, pour qui certains groupes armés kurdes sont des « terroristes ».

Le fait que les Kurdes cherchent une alliance avec le régime constitue un nouveau succès pour Bachar el-Assad, estime Mutlu Civiroglu, spécialiste de la politique kurde. Le président syrien « consolide chaque jour son pouvoir, diplomatiquement et militairement ». Bachar el-Assad avait menacé de reprendre les zones, riches en pétrole, tenues par les forces kurdes. Or « le gouvernement est aujourd'hui invité à revenir dans la région », souligne M. Civiroglu à l'Agence France-Presse. « Il n'y a pas mieux pour Assad. »

Un « signal »

Outre les secteurs kurdes, la région d'Idleb (nord-ouest) échappe au contrôle du régime. Elle est aux mains de groupes rebelles et djihadistes et un accord russo-turc y a permis une trêve. Dans l'Est syrien, près de la frontière irakienne, les forces kurdes poursuivent une bataille pour déloger l'EI, qui contrôle encore des poches dans le désert s'étendant au centre du pays. Jusqu'au retrait annoncé par Donald Trump, elles sont soutenues par l'aviation américaine et des soldats au sol.
« La décision de retirer les forces américaines a envoyé un signal aux pays arabes comme quoi ils pouvaient discuter avec Assad selon leurs propres conditions », estime Nicholas Heras, analyste au Centre pour une nouvelle sécurité américaine. Mis à l'écart de la scène diplomatique régionale, Bachar el-Assad semble bénéficier aujourd'hui d'un retour en grâce. En décembre, les Émirats arabes unis ont rouvert leur ambassade à Damas, Bahreïn a fait état de la reprise du travail dans sa chancellerie et le Soudanais Omar el-Béchir a effectué la première visite à Damas d'un chef d'État arabe depuis 2011. Les Emirats et Bahreïn sont des proches alliés de l'Arabie saoudite, qui fut l'un des principaux détracteurs de Bachar el-Assad et a soutenu la rébellion pendant des années.

« Démarrer la reconstruction »

La Syrie de Bachar el-Assad avait été suspendue de la Ligue arabe en novembre 2011, mais un diplomate arabe à Beyrouth évoque aujourd'hui une inédite « ouverture en direction de Damas ». Selon lui, les « Émirats ont reçu le feu vert du royaume saoudien pour rouvrir leur ambassade », signe que Riyad pourrait s'engager dans cette voie. Et, selon un haut responsable irakien, Bagdad joue les médiateurs pour le rétablissement des liens entre Damas et le Qatar.
Une participation de la Syrie à un sommet économique de la Ligue arabe, les 19 et 20 janvier à Beyrouth, est en outre en cours de négociation, à trois mois du sommet annuel arabe. D'après une source diplomatique libanaise, l'Égypte, où le haut responsable des services de sécurité syriens Ali Mamlouk s'est rendu le 22 décembre, « soutient » un retour de la Syrie à l'organisation panarabe. Pour Nicholas Heras, « Assad cherchera à capitaliser sur ses succès en 2018 en concluant des accords avec les pays arabes, surtout ceux du Golfe, pour démarrer la reconstruction de la Syrie », où le coût des destructions est estimé par l'ONU à quelque 400 milliards de dollars (quelque 350 milliards d'euros).
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Et ses prisons avec chambres de torture sont encore bien pleines...

Naturellement cela fait moins que les 5 ans de guerres mondiales et ses horreurs d’un autre dictateur passé, mais avec d'autres...

Sans compter ceux qui restent, de ces nouveaux dictateurs connus...

Et on parle des droits de l'homme (et de la femme ou enfants) dans nos pays de bienpensant hypocrite pour se donner bonne conscience en tournant la tête pour ne pas voir ces horreurs passées ou encore présentes avec notamment cette ONU assemblée de bavards inutiles sans pouvoir par exemple !

Dans le monde humain, seul compte la loi du plus fort et son pouvoir, du plus riche, du profit et de son argent roi !

Et hélas tant pis aux peuples de la terre lambda dont certains essaient simplement de survivre pour ne pas mourir de faim !

Les hommes ou humains sont ceux les plus évolués et intelligents dans l’échelle des espèces sur terre, mais qui ne les empêchent pas d’asservir certains de leurs congénères à leur profit ou pour des motifs religieux obscurantistes divers !

Il n’y a pas de quoi être fier malgré la kyrielle de ceux qu’on dit intellectuels qui se regardent le nombril en se soûlant de paroles moralistes creuses avec lesquelles pour certains qui s’enrichissent en plus par leurs écrits !

Car ils vivent sur une belle planète, mais qu’ils dégradent à petit feu égoïstement en ne ce souciant que d’eux-mêmes personnellement, avant de s’auto détruire pour continuer leurs guerres sans fin !

Ce tableau est peut-être triste, mais assez réaliste !

Bonne année tout de même, à l’année prochaine ou cela continuera bien sûr...

Jdeclef 31/12/2018 08h24LP

dimanche 30 décembre 2018

Gabegie inqualifiable de la présidence qui s'enfonce dans cette affaire douteuse ! Suite et peut être pas fin d'une histoire touchant de près le président...


Benalla affirme qu'un membre de la présidence lui a rendu ses passeports

Dans le « JDD », l'ex-collaborateur de l'Élysée explique qu'on lui a rendu ses affaires en octobre, dont les passeports utilisés pour son « confort personnel ».


Nouvel épisode de l'acte II de l'affaire Benalla : l'ancien conseiller d'Emmanuel Macron semble chercher à désamorcer la crise et annonce dans une interview au Journal du dimanche qu'il rendra les passeports au Quai d'Orsay dans les prochains jours. Selon lui, cette affaire se résume à « beaucoup de bruit pour rien » puisqu'il juge la controverse « complètement disproportionnée ».
Depuis plusieurs jours, Alexandre Benalla et, avec lui, l'Élysée sont au cœur d'une nouvelle polémique. L'ancien collaborateur du cabinet présidentiel a en effet conservé deux passeports diplomatiques après son départ de l'Élysée. Mis à pied le 3 mai, limogé le 23 juillet, il a continué à utiliser ces documents délivrés par le ministère des Affaires étrangères pour des voyages d'affaires à l'étranger. Une situation remontée à la surface après son voyage au Tchad peu avant le président de la République. L'heure est donc aux explications pour celui qui annonce qu'il les rendra dans les prochains jours. « J'ai peut-être eu tort de me servir de ces passeports. Mais je tiens à dire que je ne l'ai fait que par confort personnel, pour faciliter mon passage dans les aéroports. En aucun cas je ne les ai utilisés pour mes affaires. Je ne vois d'ailleurs pas à quoi ils auraient pu me servir », confie Alexandre Benalla à l'hebdomadaire.

Rendus en octobre

Quelques heures avant cette annonce, le parquet de Paris annonçait l'ouverture d'une enquête pour abus de confiance et « usage sans droit d'un document justificatif d'une qualité professionnelle ». Si Alexandre Benalla réclame en premier lieu d'être traité comme « un justiciable ordinaire, ni plus ni moins », il cherche aussi à se dédouaner de toute responsabilité. Ainsi, il précise avoir bel et bien rendu les documents fin août - interrogé par la commission d'enquête du Sénat, il avait expliqué aux sénateurs que ces passeports étaient restés à son bureau. Il déclare aujourd'hui que ceux-ci lui auraient été remis par un « membre de la présidence » début octobre avec le reste de ses effets personnels. « Dans la mesure où on me les a rendus, je n'ai pas vu de raison de ne pas les utiliser », se défend-il.
Difficile de savoir pour l'heure si cette restitution, effectuée, selon le JDD, dans une rue proche de l'Élysée, relève de l'erreur ou de la faveur. Mais cette chronologie des faits lui permet aussi d'affirmer qu'il n'a pas menti à la commission sénatoriale puisque, le 19 septembre, les passeports se trouvaient encore à l'Élysée.





Toute cette semaine, la présidence avait plaidé l'ignorance, déclarant ne disposer d'« aucune information remontée par les services de l'État concernés sur l'utilisation par M. Benalla des passeports diplomatiques qui lui avaient été attribués dans le cadre exclusif de ses fonctions à la présidence de la République ». Le directeur de cabinet d'Emmanuel Macron, Patrick Strzoda, l'avait aussi sommé en début de semaine de s'expliquer sur « d'éventuelles missions personnelles et privées » menées « comme consultant » alors qu'il était « en fonction à l'Élysée ». Ce à quoi Alexandre Benalla avait répondu n'avoir « jamais effectué de missions personnelles et privées » durant ses fonctions à la présidence.
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Ah bon ?! Il promet de rendre ses passeports ?!

Alors pourquoi la préfecture n'envoie pas chez lui des gendarmes pour saisir ces passeports chez ce Monsieur plus que douteux, est-il au-dessus des lois et intouchable, comme son ex patron le président de la république ?!


Bravo ! Pour notre république bananière gouvernée par un pseudo monarque sans couronne !


Une honte inqualifiable de plus pour un président sans amour propre, à croire que cela devient courant dans cette V eme république obsolète vieillissante !

Désolé de le dire, mais pour E.MACRON « que se sent morveux se mouche »

Jdeclef 30/12/2018 13h18

Un de plus parmi ceux nombreux qui le dépassent déjà Mr le président...Bonne année 2019 ?...


Les trois défis d'Emmanuel Macron pour 2019

Après une deuxième année catastrophique, Emmanuel Macron, en chute dans les sondages, doit redresser la barre. Trois chantiers apparaissent prioritaires.


Si six mois ne suffisent pas pour réussir un quinquennat, ils sont, en revanche, largement suffisants pour le plomber. Emmanuel Macron en a fait l'amère expérience en 2018. Au sortir d'une première année durant laquelle le président de la République s'est employé à multiplier les réformes compliquées sans trop de casse – ordonnances sur le droit du travail, SNCF –, ponctuée par une victoire en Coupe du monde en guise de cerise sur la gâteau, la machine d'État macronienne s'est enrayée. « L'affaire Benalla », que l'Élysée a été incapable de déminer à temps, a ouvert le bal des tuiles et continue encore aujourd'hui de miner l'exécutif.
Dans la foulée, le ministre de la Transition écologique, Nicolas Hulot, puis celui de l'Interieur, Gérard Collomb, démissionnent, critiquant chacun à sa manière la politique du chef de l'État. « On a quand même perdu nos deux ministres d'État en l'espace de deux mois, et qui portaient chacun un dossier hypersensible : la taxation écologique pour l'un, la sécurité intérieure et donc la lutte contre le terrorisme pour l'autre. Il faut se rendre compte du caractère inédit du truc », reconnaît un proche d'Édouard Philippe, presque étonné qu'analystes et journalistes ne l'aient pas davantage relevé. Enfin, les Gilets jaunes ont fait exploser une colère latente mais profonde, parfois violente, forçant Emmanuel Macron à prendre des mesures d'urgence pour le pouvoir d'achat et de revoir son mode de gouvernance. Et passons sur les atermoiements au sujet de l'impôt prélevé à la source... Descendu en décembre à 20 % d'opinions favorables selon notre baromètre Ipsos-Le Point , le chef de l'État entamera dans quelques jours l'année 2019 avec l'objectif – la nécessité ? – de redresser la barre. Trois défis majeurs l'attendent.

1. Assurer aux européennes

Les élections européennes devaient constituer le scrutin le plus favorable au nouveau pouvoir en place, favorisé de surcroît par la réinstauration des listes nationales. Avec une ligne proeuropéenne vivement défendue pendant la campagne présidentielle et, en face d'elle, des oppositions classiques qui peinent à se positionner clairement sur cette question, La République en marche a joué à plein le rôle de rempart face aux populismes nationalistes. Seulement, sans tête de liste identifiée et pénalisé par le contexte national, le mouvement présidentiel est régulièrement placé derrière le Rassemblement national dans les récents sondages. « Si on continue comme ça, on va faire 13 % aux européennes », s'inquiétait un ministre majeur du gouvernement devant un député de la majorité il y a quelques semaines, à la veille de la première grande manifestation des Gilets jaunes.
Peu probable. Cependant, un revers en mai prochain fragiliserait non seulement grandement l'exécutif, mais également l'influence du chef de l'État dans les rapports de force à l'échelle du continent. En novembre 2017, le magazine Time affichait Emmanuel Macron à sa une, titrant avec grandiloquence : « The next leader of Europe ». Un an plus tard, la grande idée de « progressisme » mis en avant par LREM est de plus en plus mise à mal à l'échelle de l'Union : le chef de l'État aura donc besoin d'une délégation – ainsi que d'une coalition – la plus large possible au Parlement pour peser. Un motif d'espoir subsiste néanmoins : rien de tel qu'une élection pour mobiliser ses soutiens, surtout autour d'une idée aussi centrale dans l'électorat macronien que le projet européen. Et, qui sait, une ou plusieurs listes de Gilets jaunes viendront peut-être affaiblir les rivaux lepénistes et Insoumis. Ce n'est pas un hasard si les leaders de La République en marche appellent cette démarche de leurs vœux...

2. Réussir à réformer

Sur le plan économique, l'horizon s'assombrit pour Emmanuel Macron et la crise des Gilets jaunes n'y est pas tout à fait étrangère. Les mesures d'urgence annoncées par le président de la République pour redonner du pouvoir d'achat aux Français coûteront approximativement 10 milliards d'euros à l'État et creuseront le déficit public à hauteur de 3,2 % du PIB. Au-delà, donc, de la ligne jaune – arbitraire mais établie – des 3 % préconisés par la Commission européenne. En parallèle, les indicateurs et prévisions pour 2019 n'encouragent pas à l'optimisme : l'Insee et la Banque de France prévoient une croissance pour 2018 de 1,5 %, soit 0,2 point de moins que ce qu'attendait le gouvernement. Et celle de 2019 pourrait être encore plus faible, de quoi faire encore plus transpirer les administrations de Bercy... Une conjoncture qui s'apparente à un casse-tête pour le président de la République, dont le mantra a toujours été une réduction du déficit public pour pouvoir mieux redistribuer dans un second temps, surtout si la croissance est au rendez-vous. Raté.
De quelles marges de manœuvre dispose donc aujourd'hui le président de la République pour continuer les réformes profondes qu'il souhaitait engager, maintenant que les voyants économiques sont à l'orange, que sa popularité est largement atténuée, tout comme son projet initial ? Emmanuel Macron devra trouver les ressources et les mots pour se confronter aux deux grands chantiers qu'il avait prévu de commencer en 2019 : la réforme de l'assurance chômage ainsi que celle, explosive, des retraites, sur lesquelles se démènent les économistes de la Dares (Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques) depuis maintenant des mois. Tellement explosive que certains dans la majorité soufflent, inquiets, qu'elle pourrait finalement ne pas voir le jour...

3. Reconstruire un récit

Il n'est pas impossible que la réussite des deux premiers points dépende en partie de celle de ce troisième. Érigés à l'origine en champions de la communication et du « storytelling », les membres de l'exécutif, et plus globalement de la majorité présidentielle, ont péché ces derniers mois par manque de pédagogie et de clarté. Quand bien même, comme le disait Gilles Legendre, patron du groupe LREM à l'Assemblée nationale, l'erreur aurait été d'être « trop intelligents, trop subtils, trop techniques »... « Il faut expliquer, et expliquer clairement. Au début du mandat, ça a été très bien fait, de l'élection jusqu'à mai dernier : globalement, les gens comprenaient pourquoi on réformait le Code du travail, la SNCF, on voyait les syndicats, les Français savaient ce qui allait se passer. Aujourd'hui, personne ne sait clairement ce qu'on a prévu de faire et comment on allait le faire », analyse un député LREM venu de la droite.
Un langage trop technocratique, des décisions prises à contretemps : voilà les reproches faits à la macronie au cœur de cette première grande tempête. Et bien souvent par les responsables politiques de la majorité eux-mêmes, qui pointaient du doigt les directeurs de cabinet du président de la République et du Premier ministre, Alexis Kohler et Benoît Ribadeau-Dumas, aux esprits trop souvent fixés sur une feuille Excel et pas assez sur la réalité du quotidien des Français. Alors, ils sont plusieurs à réclamer une meilleure écoute des députés, qui ont eu le sentiment d'être aphones quand ils remontaient les inquiétudes de leur circonscription. Plusieurs à espérer que la fameuse « vision », que le fameux « cap » gouvernemental, soit décrite avec des mots plus intelligibles que « moratoire » ou « prélèvements obligatoires ». « Dire, c'est faire », écrivait le philosophe anglais John Austin. Encore faut-il se faire comprendre. Emmanuel Macron devra résoudre cette équation originelle, et cela commence par les traditionnels vœux du nouvel an, lundi prochain.
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Se débarrasser de ce BENALLA qui pollue son quinquennat ?!

En recouvrant la confiance des français, mais pour ça, c'est déjà trop tard !

Car il a fait tout le contraire, ce président bobo qui n'est pas du même monde des français lambda qu'il veut gouverner et le montre en plus, mais ,ce qu'il fait si mal !

Jdeclef 30/12/2018 09h17LP

samedi 29 décembre 2018

Une enquête de plus qui n'aboutira à rien avec notre justice laxiste aux ordres...(suite de ce mauvais feuilleton à la française...)


Affaire Benalla : une enquête ouverte pour « abus de confiance »

Le parquet de Paris a confié les investigations sur les deux passeports diplomatiques à la brigade de répression de la délinquance contre la personne.


Le parquet de Paris a ouvert, samedi, une enquête préliminaire, notamment pour « abus de confiance », concernant les deux passeports diplomatiques qu'Alexandre Benalla est soupçonné d'avoir utilisés après avoir quitté ses fonctions à l'Élysée, selon un communiqué du procureur Rémy Heitz. Ce dernier avait été saisi vendredi par le ministre des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, après des informations de presse relatives à l'utilisation récente d'un passeport diplomatique par l'ancien collaborateur d'Emmanuel Macron, licencié cet été. L'entourage d'Alexandre Benalla a affirmé que ces passeports lui avaient été restitués « début octobre ».
L'enquête a également été ouverte pour « usage sans droit d'un document justificatif d'une qualité professionnelle » et « exercice d'une activité dans des conditions de nature à créer dans l'esprit du public une confusion avec l'exercice d'une fonction publique ou d'une activité réservée aux officiers publics ou ministériels », a précisé le procureur de la République de Paris. Les investigations ont été confiées à la brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP).
« Alexandre Benalla rendait compte de ses déplacements à l'Élysée »

Passe d'armes

Déjà au cœur de plusieurs enquêtes, concernant notamment des violences lors des manifestations du 1er Mai quand il était en poste à l'Élysée, Alexandra Benalla a utilisé ces dernières semaines ces passeports pour aller rencontrer des dirigeants en Afrique, selon Mediapart et Le Monde. La présidence, dans un communiqué, a plaidé l'ignorance : elle dit ne disposer d'« aucune information remontée par les services de l'État concernés sur l'utilisation par M. Benalla des passeports diplomatiques qui lui avaient été attribués dans le cadre exclusif de ses fonctions à la présidence de la République ». Cette dernière avait repoussé sur le Quai d'Orsay, disant avoir, dès le renvoi de son collaborateur en juillet, « demandé aux administrations compétentes » de récupérer les passeports, entraînant dans la foulée la saisine du procureur par le ministre vendredi.



Une passe d'armes s'est engagée ces derniers jours entre Alexandre Benalla et l'Élysée. Le directeur de cabinet d'Emmanuel Macron, Patrick Strzoda, l'avait d'abord sommé de s'expliquer sur « d'éventuelles missions personnelles et privées » menées « comme consultant » alors qu'il était « en fonction à l'Élysée », à la suite des informations de presse sur ses voyages en Afrique. Ce à quoi Alexandre Benalla a répondu dans un courrier à l'Élysée, dont l'Agence France-Presse a obtenu copie, qu'il n'avait « jamais effectué de missions personnelles et privées » durant ses fonctions à la présidence et n'avoir, « a fortiori, jamais reçu directement ni indirectement de rémunérations en résultant ». En outre, dans ses activités actuelles, il affirme ne s'être « jamais prévalu d'une quelconque recommandation ou d'un appui de la présidence de la République dans le cadre de (s)es nouvelles activités, et le prétendre serait purement mensonger » et « diffamatoire ».
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Mais quand est-ce que ce pouvoir lamentable, cessera de se moquer des français sans vergogne ?!

E.MACRON à l’origine de cette affaire BENALLA depuis qu'il a engagé cet individu à son service n'est bien sûr pas capable, n'y tenu de répondre ?!

Mais de toute façon que pourrait-il dire ?

Son chargé de mission occulte en poursuivant dans son attitude menaçante risque vraiment de le faire peut-être tomber dans une affaire d'état pas nette !

Pauvre FRANCE qui continue à glisser dans l'anarchie à cause de dirigeants « qui courent après leur queue » comme des chiens aux abois !

Les français qui voulaient du changement n'ont vraiment pas de chance, car ils croyaient avoir trouvé un homme neuf, jeune, dynamique bien sur tout rapport, mais ils ont encore raté leur coup, par leurs votes, mais pas tous bien sûr, ceux qui ont voté, car quand même élu par défaut du fait de notre système électoral de notre V eme république obsolète !

Jdeclef 29/12/2018 15h52

15/16/17 ans, il faut revoir l’âge limite de majorité pénale la justice des mineurs drastiquement !


Marseille : un mineur de 16 ans arrêté après un meurtre au couteau

Les faits ont eu lieu mi-décembre, près du Vieux-Port à Marseille. Le mobile de ce meurtre est encore inconnu des forces de l'ordre.


À Marseille, un jeune homme mineur âgé de 16 ans a été mis en examen pour meurtre et placé en détention provisoire, selon une annonce du parquet. Il est accusé d'avoir poignardé à plusieurs reprises un homme de 20 ans mi-décembre à Marseille. «  Le mobile de cet acte n'est pas encore établi à ce stade des investigations  », a précisé à l'Agence France-Presse le procureur de la République de Marseille, Xavier Tarabeux, confirmant une information du quotidien La Provence.
La victime, connue des services de police «  pour des problèmes de stupéfiants  », avait été frappée de plusieurs coups de couteau, dont un coup fatal à l'artère fémorale, le 13 décembre, vers 22 h 15, tout près du Vieux-Port, au cœur de la cité phocéenne. Elle était décédée presque immédiatement.
Il y a une semaine, le 22 décembre, un autre adolescent, âgé de 18 ans, avait également été mis en examen pour meurtre et placé en détention provisoire, pour la mort d'un autre jeune de 18 ans, là encore à coups de couteau, deux jours plus tôt, dans les quartiers nord de la ville. Cette altercation, qui avait eu lieu à la sortie de la station de métro Bougainville, peu après midi, serait liée à une dette de stupéfiants, avait précisé M. Tarabeux à l'Agence France-Presse. La victime avait été tuée le jour même de ses 18 ans.

L’année finie comme elle a commencé à MARSEILLE....

Car à ces âges-là ces jeunes sont adultes physiquement et psychologiquement pour être hélas des criminels pour commettre des délits graves allant jusqu’à la mort d’autrui !

Le reste ne sont que des arguties juridiques obsolètes par des lois qui les protègent et un code pénal inadapté !

Dans notre pays dirigé par des bien-pensant donneurs de leçon hypocrite, pays des droits de l’homme, que tout le monde ne respecte pas d’ailleurs, considérant que tout le monde est beau et gentil, on se contente de bavarder sans décider des mesures ou lois en matière de sanctions plus sévères qui fassent réfléchir ces apprentis criminels étant donné que les parents de ces jeunes sont souvent aux abonnés absents !

Jdeclef 29/12/2018 09h55LP

Ce BENALLA est un personnage nuisible pour E.MACRON et notre pays !


Passeports diplomatiques de Benalla : l'Élysée sort du silence

VIDÉO. Le ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian a annoncé qu'il allait saisir le procureur de la République à propos des passeports non restitués.


E.MACRON se serait sans doute bien passé de la nouvelle polémique qui prend forme autour des passeports diplomatiques non restitués par Alexandre Benalla. Dans un communiqué diffusé vendredi après-midi, le palais de l'Élysée a finalement réagi. La « présidence de la République » commence par rappeler « qu'elle ne dispose à ce stade d'aucune information remontée par les services de l'État concernés sur l'utilisation par M. Benalla des passeports diplomatiques qui lui avaient été attribués dans le cadre exclusif de ses fonctions à la présidence de la République ». Mais aussi que, dès le licenciement de M. Benalla, « la présidence de la République a demandé aux administrations compétentes de procéder aux démarches nécessaires afin que ces passeports soient restitués et ne puissent plus être utilisés ».
Le ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian va saisir le procureur de la République, a annoncé vendredi son ministère. « Le ministre a décidé de saisir le procureur de la République sur le fondement de l'article 40 du Code de procédure pénale » qui enjoint à tout représentant des autorités de le faire s'il a connaissance d'un crime ou d'un délit, selon le communiqué du ministère, qui précise avoir demandé à deux reprises la restitution des deux passeports diplomatiques délivrés à Alexandre Benalla.
De vives critiques sont apparues dans l'opposition, mais aussi au sein de La République en marche à propos de ces passeports. La députée LREM Cendra Motin a déploré ce vendredi « une faute » et un « dysfonctionnement » des services de l'Élysée » à propos des passeports diplomatiques non restitués par l'ex-collaborateur du chef de l'État Alexandre Benalla après sa mise à pied en mai. « Il y a une faute des services de l'Élysée (...), il y a un dysfonctionnement grave », a-t-elle déclaré sur France info, car « ce n'est pas normal que deux passeports diplomatiques ne soient pas trouvables ». « Cette remise en question de l'Élysée, qui est en cours depuis plusieurs mois, est importante », a ajouté la députée de l'Isère. « Une action plus forte aurait été nécessaire », « il faut renforcer la procédure », car « personne n'avait besoin que cette affaire ressurgisse ».


LR demande une saisie de la justice

Selon Mediapart, dans un article publié jeudi, Alexandre Benalla continue de voyager avec un passeport diplomatique renouvelé le 24 mai, après sa mise à pied liée aux violences du 1er Mai. Ce passeport a été « utilisé ces dernières semaines pour entrer dans différents pays africains ainsi qu'en Israël », selon le média en ligne qui cite « des sources sécuritaires ». De son côté, le député LREM Bruno Questel a indiqué qu'il fallait « une enquête administrative du ministère des Affaires étrangères ». « Je crois que M. Benalla, qui n'a pas 30 ans, a touché la lumière ou le ciel (...). Il a connu les sommets de l'État et je pense qu'il est en train de se brûler tout simplement », a-t-il ajouté.
se serait sans doute bien passé de la nouvelle polémique qui prend forme autour des passeports diplomatiques non restitués par Alexandre Benalla. Dans un communiqué diffusé vendredi après-midi, le palais de l'Élysée a finalement réagi. La « présidence de la République » commence par rappeler « qu'elle ne dispose à ce stade d'aucune information remontée par les services de l'État concernés sur l'utilisation par M. Benalla des passeports diplomatiques qui lui avaient été attribués dans le cadre exclusif de ses fonctions à la présidence de la République ». Mais aussi que, dès le licenciement de M. Benalla, « la présidence de la République a demandé aux administrations compétentes de procéder aux démarches nécessaires afin que ces passeports soient restitués et ne puissent plus être utilisés ».
Le ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian va saisir le procureur de la République, a annoncé vendredi son ministère. « Le ministre a décidé de saisir le procureur de la République sur le fondement de l'article 40 du Code de procédure pénale » qui enjoint à tout représentant des autorités de le faire s'il a connaissance d'un crime ou d'un délit, selon le communiqué du ministère, qui précise avoir demandé à deux reprises la restitution des deux passeports diplomatiques délivrés à Alexandre Benalla.
Passeport diplomatique de Benalla : un mensonge sous serment  ?
De vives critiques sont apparues dans l'opposition, mais aussi au sein de La République en marche à propos de ces passeports. La députée LREM Cendra Motin a déploré ce vendredi « une faute » et un « dysfonctionnement » des services de l'Élysée » à propos des passeports diplomatiques non restitués par l'ex-collaborateur du chef de l'État Alexandre Benalla après sa mise à pied en mai. « Il y a une faute des services de l'Élysée (...), il y a un dysfonctionnement grave », a-t-elle déclaré sur France info, car « ce n'est pas normal que deux passeports diplomatiques ne soient pas trouvables ». « Cette remise en question de l'Élysée, qui est en cours depuis plusieurs mois, est importante », a ajouté la députée de l'Isère. « Une action plus forte aurait été nécessaire », « il faut renforcer la procédure », car « personne n'avait besoin que cette affaire ressurgisse ».


LR demande une saisie de la justice

Selon Mediapart, dans un article publié jeudi, Alexandre Benalla continue de voyager avec un passeport diplomatique renouvelé le 24 mai, après sa mise à pied liée aux violences du 1er Mai. Ce passeport a été « utilisé ces dernières semaines pour entrer dans différents pays africains ainsi qu'en Israël », selon le média en ligne qui cite « des sources sécuritaires ». De son côté, le député LREM Bruno Questel a indiqué qu'il fallait « une enquête administrative du ministère des Affaires étrangères ». « Je crois que M. Benalla, qui n'a pas 30 ans, a touché la lumière ou le ciel (...). Il a connu les sommets de l'État et je pense qu'il est en train de se brûler tout simplement », a-t-il ajouté.
« Cela peut devenir un danger pour la République », a lancé Olivier Faure sur Europe 1, évoquant une implication de l'ancien chargé de mission à l'Élysée « dans des affaires de ventes d'armes un peu partout dans le monde ». « Le pouvoir a cherché à relativiser l'importance de l'affaire Benalla au mois de juillet, mais tout indique que cet individu n'était pas un homme comme les autres », a-t-il affirmé. Pour le député PS, Alexandre Benalla « fait un tourisme d'un genre particulier, visite exclusivement les régimes autoritaires », tout en se demandant « dans quelle mesure la parole de la France peut être entamée par celui qui continu à être vu comme l'un des protégés du président de la République ». « Il est de notoriété publique qu'il continue de se balader dans l'Afrique entière et, malgré cela, l'Élysée ne vérifie pas qu'il a bien rendu ses passeports diplomatiques qui lui donnent une sorte de sésame », a déploré le premier secrétaire du PS. « C'est profondément inquiétant, soit sur l'amateurisme de cette présidence, soit sur le double langage qu'elle continue d'avoir. »
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Pour E.MACRON il l’a bien cherché car il l’a choisi cet individu venu de nulle part genre Raspoutine douteux !

Mais le pire, c’est pour la France qu’il a mis à l’arrêt pendant quelque mois par la divulgation de ses frasques ayant déclenchées des commissions d’enquêtes parlementaires inutiles car incompétentes dont il s’est moqué, comme du président de la république !

Avec comme d’habitude une justice médiocre incompétente et laxiste qui n’a rien fait pour l’arrêter et le mettre sur la touche dans l’attente des éventuels procès après enquêtes judiciaires qui traînent, car touchant indirectement des proches du pouvoir hyper protégés par des règlement faits pour eux comme nos ex élus dont on essaie d’enterrer les affaires douteuses quand c’est le cas !

Nous sommes vraiment dans une république bananière dirigée par un pseudo monarque républicain à qui on a donné trop de pouvoir comme ses prédécesseurs de cette V eme république vieillissante devenue obsolète !  

Comme je le disais hier dans un précédent post, moi qui suis vieux j’aime mon pays, mais j’ai honte de nos dirigeants !

Et en plus qui dit que cet individu « qui ment comme en arracheur de dents » ne s’en sortira pas et continuera à polluer notre société, car depuis mai il continue, c’est déplorable et désespérant ?!

Jdeclef 29/12/2018 09h18LP