vendredi 31 mars 2017

Ce n’est pas impossible du fait de la déception des français pour le monde politique et leurs élus médiocres !

Elections

Présidentielle: Les électeurs indécis peuvent-ils faire basculer l'élection?

VOTE A trois semaines du premier tour de la présidentielle, deux électeurs sur cinq affirment que leur choix de candidat peut encore changer...

« Ça n’a jamais été aussi difficile de trouver celui qui est censé nous représenter !!! » A trois semaines du premier tour de l’élection présidentielle, Marie-Do ne sait pas encore quel bulletin choisir. « Pour l’instant je n’ai aucune idée de vote », renchérit Thomas qui se rendra aux urnes pour la première fois le 23 avril prochain.
Comme ces deux internautes qui affirment à 20 Minutes être indécis, les électeurs incertains d’aller voter seraient nombreux pour ce scrutin, à en croire sondeurs, médias et candidats aux petits soins pour ces potentielles voix, sans parler de la multiplication des sites et applis destinés à vous aider à trouver le candidat le plus proche de vous.
Selon une enquête publiée le 20 mars dernier par le Cevipof, un électeur sur trois n’est pas sûr d’aller voter au premier tour de la présidentielle. Quant à ceux qui sont certains d’y aller, ils sont 59 % à affirmer que leur choix de candidat est définitif. Il resterait donc 41 % de votants capables de changer d’avis dans les trois prochaines semaines. Une étude Ipsos donne le même pourcentage d’hésitants. Ces indécis pourraient donc faire basculer le scrutin.

« Un quart des électeurs se décident dans la dernière ligne droite »

Pour Bruno Cautrès, chercheur au CNRS et Cevipof et auteur en 2007 d’une étude intitulée L’(in) décision électorale et la temporalité du vote, « l’incertitude et l’indécision électorale ne sont pas des phénomènes nouveaux. Depuis plusieurs élections, on constate qu’une part significative des électeurs sont à la fois incertains d’aller voter et indécis ou hésitants entre plusieurs candidats. Davantage d’électeurs que dans les années 1970 ou 1980 expriment aujourd’hui une « gamme des possibles » pouvant comprendre deux ou trois choix de candidats ».
Et le chercheur de rappeler qu’en 2007 et en 2012, « un peu plus d’un électeur sur deux disait avoir fait son choix très longtemps avant l’élection tandis que près d’un quart disait que le choix s’était figé pendant la campagne et un autre quart dans la dernière ligne droite ». Une tendance observée par le Cevipof, qui a mesuré que les électeurs sûrs de leur choix de candidat sont passés de 50 % à 59 % entre février et mars. Ce taux pourrait encore augmenter après le débat entre les 11 candidats le 4 avril prochain.
En 2007, Alain Garrigou, professeur de science politique à Paris-X-Nanterre, expliquait dans Le Monde que l’indécision est « en partie une création des sondeurs, qui par peur de se tromper dans leurs estimations, et après la mésaventure de 2002, ont ouvert un grand parapluie : ils demandent désormais aux sondés s’ils sont sûrs de leur choix, ce qui encourage une réponse négative ».

Nouveaux candidats, affaires et électeurs de gauche « déboussolés »

L’élection présidentielle de 2017 ne serait donc guère différente ? Si, selon Bruno Cautrè, qui observe un « sentiment d’une élection qui flotte, où tout est possible ». Ces phénomènes d’indécision « ont pris un relief et une ampleur certaines », notamment car « l’offre politique a été renouvelée avec des candidats que les Français connaissent encore mal, par exemple Benoît Hamon ou même Emmanuel Macron malgré sa rapide ascension ».
D’autres facteurs peuvent être source d’indécision chez les électeurs de gauche comme de droite. D’une part, « la gauche affronte une contradiction dont elle a du mal à se sortir : Elle vient de gouverner pendant 5 ans et ses candidats expliquent aux électeurs de 2012 qu’elle avait fait fausse route, un argumentaire qui n’est pas totalement simple à expliquer », d’où des électeurs parfois « déboussolés ». En outre, « l’offre politique que représente Emmanuel Macron a perturbé aussi les repères de nombreux électeurs car son programme est compatible à la fois avec les aspirations des électeurs de gauche et de droite ». D’autre part, l’affaire Fillon a selon le chercheur « perturbé l’électorat de droite et plus encore du centre droit ».
Comment cette indécision électorale peut-elle se traduire ? Les internautes ayant répondu à 20 Minutes évoquent plusieurs possibilités. Certains, comme Marie, dont l’indécision s’approche plus d’un rejet des candidats, affirment qu’ils n’iront pas voter. « Je ne vais certainement pas me déplacer pour des hommes qui nous prennent pour des imbéciles », écrit-elle. D’autres, comme Aurore, qui « ne peut pas se forcer à voter pour un candidat qu' [elle] n’approuve pas et ne veut pas ne pas aller voter », comptent voter blanc. Il leur reste trois semaines pour changer d’avis et choisir un candidat d’avis, ou pas.
---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Les français sont un peuple versatile et fantasque et comme les affaires ou magouilles de nos politiciens alimentent leur doute et manque de confiance, sans compter les sondages médiatiques orientés et aléatoires !

De plus la déliquescence de ces partis ringards qui ne veulent plus rien dire, sans vraiment de leaders charismatiques alimente cette déception en forte augmentation et ne donne pas de choix aux électeurs qui peuvent changer d’avis à la dernière minute tant la qualité des candidats est médiocre !

Et certains des candidats sont loin d’être nets et trop donneurs de leçons qu’ils n’appliquent pas ensuite !

Cela résume bien la demande de « vrais » changements des français, mais c’est à eux de le faire en ne se laissant pas manœuvrer comme des idiots comme d’habitude par des professionnels de l’enfumage politique, car des gogos qui s’y laissent prendre il y en a encore beaucoup hélas  !


Si MELENCHON arrive à éliminer définitivement FILLON, il aura été très utile :

Jean-Luc Mélenchon : Hamon dépassé, objectif Fillon !

VIDÉO. En meeting au Havre mercredi, le candidat de La France insoumise a rejeté les "tambouilles" politiciennes et souhaite désormais dépasser François Fillon.


Il n'y a pas que dans les sondages que Jean-Luc Mélenchon fait mieux que Benoît Hamon. Une heure trente avant son entrée sur scène mercredi 29 mars, une immense queue s'étire déjà devant les docks du Havre. Cinq mille personnes sont venues assister au meeting de leur champion, quand le candidat socialiste peinait le mois dernier à en rassembler mille cinq cents. « C'est une démonstration de force, mais surtout une démonstration politique ! » clame le candidat en arrivant devant ses supporteurs. Pour lui, Hamon n'est même plus un problème. Il dit non à son appel à le rejoindre et préfère se concentrer sur ses autres adversaires. Le Pen, Macron, et surtout Fillon, qu'il veut dépasser. Son équipe croit en sa dynamique, alors il s'autorise à rêver : nouveau leader de la gauche ? Et pourquoi pas le troisième homme ?
« Nous avons un bon horoscope. La dynamique est en notre faveur. » Manuel Bompard, directeur de campagne, récite les éléments de langage : les 130 000 participants à la grande marche, la « belle prestation au débat télévisé », les 340 000 adhésions sur le site, le « camion insoumis » qui va parcourir 27 villes de France… « Nous allons lancer d'autres initiatives qui vont surprendre », promet-il. Et cerise sur le gâteau, Jean-Luc Mélenchon dépasse maintenant Benoît Hamon dans les intentions de vote.

« Le PS vient d'éclater sous nos yeux »

Autant dire que, quand ce dernier, lâché par Manuel Valls, a appelé Mélenchon à le rallier lors de sa conférence de presse mercredi 29 mars, les « insoumis » ont dû sourire. Le mot d'ordre était donné à l'entourage : ne rien dire sur ce sujet avant « Jean-Luc ». Tiens, le voilà qui arrive. « Asseyez-vous, ça va être long. » Le candidat calme son public qui ne s'arrêtait plus de l'acclamer. Après quelques minutes sur Le Havre, cette « capitale de la résistance contre la loi travail », le tribun met fin au suspense et livre sa réponse : « J'ai marché mon chemin, sans ne céder à rien. Je ne vais pas commencer aujourd'hui à m'engager dans je ne sais quel improbable arrangement qu'on me suggère de faire. » Benoît Hamon peut aller se rhabiller. Mélenchon a maintenant « envie de faire du Molière » : « mais qu'allaient-ils faire dans cette primaire ? » Il jubile : « Je n'y suis pas allé et je n'en ai pas de regrets. Je me faisais traiter de tous les noms par des gens qui, aujourd'hui, ne respectent pas leur parole. » Il ajoute : « Je ne dépends que de vous. Je ne négocierai rien avec personne. »
Mélenchon accuse à demi-mot le candidat de PS de ne pas avoir respecté le pacte de non-agression établi entre eux : « Je ne change pas ma parole quand je la donne. J'ai dit à Hamon que je m'engageais sur un code de bonne conduite. Quoi qu'il arrive, je le respecterai, moi. » Mais il tient quand même à répondre à l'accusation de proximité avec le régime russe : « Je ne suis lié en aucune manière à monsieur Poutine. »
En réalité, son esprit est ailleurs. En effet, ce qui se déroule sous ses yeux – le déchirement du PS entre Hamon et Macron – est l'avènement de son objectif depuis son départ du parti en 2008. « Le PS vient d'éclater sous nos yeux. C'est un événement considérable qui ne se ramène pas seulement à la dispute de quelques personnes. » Il décrit un parti « réduit à l'emballage, contenant des matériaux confus et finalement assez explosifs quand on les rapproche ». Benoît Hamon ? « Un malheureux candidat que l'on dépouille chaque jour de son équipage » pendant que certains arrangent « une future majorité » avec Macron qui « traîne dans son fourgon onze anciens ministres de Jacques Chirac ». Cette querelle représente ce qu'il pouvait lui arriver de mieux. Une chance d'incarner le nouvel élan de la gauche. « Notre tâche est de regrouper et fédérer ce qui peut l'être. (…) Nous devons, d'une façon ou d'une autre, combler le trou qui vient d'être créé », tout en rejetant les « tambouilles ».

« Maintenant, mon étape est de rattraper Fillon »

Éric Coquerel, coordinateur du Parti de gauche, considère qu'il observe « la fin du PS ». « Cela veut dire que c'est la fin du vote utile, et que l'on a la possibilité de reconstituer une vraie force politique, construite autour du refus de l'austérité et de la prédominance de l'intérêt général. » Le conseiller régional d'Île-de-France ne voit pas « comment Hamon pourrait s'en remettre » : « Il chute dans les sondages. Et ceux qui aspirent vraiment aux valeurs de gauche vont aller vers Jean-Luc. J'ai rencontré beaucoup de gens qui ont voté Hamon à la primaire en pensant qu'il était le plus à même d'aller au second tour et qui, aujourd'hui, basculent vers Mélenchon. »
L'objectif est alors de gonfler le score. Pour devenir le troisième homme. « Je ne suis pas en compétition avec Benoît Hamon, affirme Mélenchon. Maintenant, mon étape est de rattraper Fillon et, une fois qu'on l'aura rattrapé, c'est de rattraper le suivant. » Il s'évertue donc à attaquer les trois candidats qui le précèdent dans les intentions de vote. « Moi, ma tribu, et périssent les autres : ça, c'est Mme Le Pen. » Macron ? Le candidat « de droite » qui « encourage la finance à faire de la finance » et pour qui « seul le marché peut organiser la société ». Fillon ? « Il va vous faire une guerre éclair pour vous enlever la durée légale du travail. »

Omniprésence

Il répète son obsession : « Il faut qu'on lui passe devant. On a dix jours ! » Pour cela, l'idée est de se concentrer sur les indécis. « C'est notre objectif stratégique, confirme le directeur de campagne Manuel Bompard. Dans les 40-50 % d'indécis, il y a des gens à convaincre. » Une caravane des « insoumis » va donc sillonner le pays dans les quartiers populaires « pour appeler à la participation ». À cela s'ajoute l'hyperactivité du candidat : deux meetings par semaine, à chaque fois accompagnés de visites de terrain. Marseille le 9 avril, Lille le 12, Toulouse le 16… Il sera aussi dans l'émission On n'est pas couché, diffusée le 8 avril. Occuper l'espace pour grappiller des voix. Pendant son discours, Mélenchon appelle ses troupes à « convaincre un par un ceux qui ne savent pas pour qui voter ». Après plus d'une heure trente de monologue presque sans un coup d'œil à ses notes, l'« insoumis » choisit de clore la soirée par un poème de Baudelaire, L'Albatros. Il conclut : « Allez, c'est le moment de s'envoler. »
---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Il rendra service aux français lambda, car cette caste de nantis qui ne sait que pressurer les français pour s’en mettre plein les poches depuis des lustres qui ne connaissent que çà et qui ne fait pas progresser le pays depuis 30 ans, çà c’est une réalité, car il ne se servent du peuple gogos que pour voter pour eux en promettant monts et  merveilles, tout en demandant qu’il se serre la ceinture comme d’habitude (ce qu’il n’applique pas à eux-mêmes bien sûr) et après les oublie jusqu’à la prochaine élection dans 5 ans !

Car Il aura effectué une mesure de salubrité publique et sanctionnera pour l’exemple par ce succès, les magouilleurs, profiteurs et donneurs de leçon encore trop nombreux dans le monde politique français !

Pour le reste, il est trop vieux et utopique notre aboyeur de foire national et rétrograde d’un autre âge dommage !

C’est bien pour cela, qu’il faut changer enfin pour ne pas reprendre les mêmes, c’est possible en 2017, il faut saisir cette chance, sinon nos concitoyens souffriront bien plus que maintenant dans l’avenir en reprenant les mêmes (Mais pas eux bien sûr avec leurs avantages et privilèges !)

Cette élection et sa campagne déplorable nous montrera si les français ont compris ou s’ils sont restés niais, comme des moutons de Panurge !


Jdeclef 31/03/2017 09h20

jeudi 30 mars 2017

Tout le monde a le droit de défendre F.FILLON là, n’est pas la question, mais :

En Charente-Maritime, les résistants du fillonisme s'accrochent

Les militants de base refusent de lâcher leur candidat, malgré la pression juridico-médiatique et le retrait des ténors locaux LR.

Les caciques ont pris du champ... Dominique Bussereau, l'influent président du conseil départemental de Charente-Maritime, soutien indéfectible d'Alain Juppé, a dit qu'il voterait Fillon, mais il s'est mis en retrait de la campagne. Tout comme Jean-Louis Léonard, le maire de Châtelaillon et président de la fédération LR du département. « J'avais dit clairement que je ne faisais pas campagne, précise celui-ci. J'ai voté Fillon, je défends son projet sur Facebook et les réseaux sociaux, je sais qu'il a la stature. Mais on ne va pas se balader avec des affiches Fillon dans les rues. Les médias ont pris le pas sur le reste. Je crois dans le programme de Fillon, mais le candidat est plombé par les affaires politico-médiatiques. »

Ces retraits n'altèrent pas la motivation de Jean Reine, un retraité du secteur bancaire, jamais encarté dans un parti, qui se présente comme « gaulliste historique » et qui préside le comité de soutien à François Fillon sur un secteur englobant l'agglomération de La Rochelle et l'île de Ré. À la primaire, rappelle-t-il, tous les élus du département dans le sillage de Dominique Bussereau – sauf le maire de Gémozac, Loïc Girard – ont soutenu Juppé. Et c'est Fillon qui est sorti en tête, « largement, avec 70 % des voix au second tour, une grande surprise pour tous les maires », se souvient Jean Reine.

Même configuration que pendant la primaire
Alors, l'homme et ses troupes – une petite centaine de militants, dit-il – continuent leur petit bonhomme de chemin. «  Une partie des Républicains qui devraient être les chevilles ouvrières de la campagne ne sont pas là, soupire Jean Reine. Tant pis, on fait sans. Nous voici revenus à la même configuration que pendant la primaire. Ce sont les fillonistes pur sucre qui font campagne. De simples citoyens qui n'ont pas de fonctions électives, qui ne cherchent pas à faire carrière, qui ne guignent pas un poste, qui ne rêvent pas d'honneurs... »
La plupart d'entre eux sont des retraités – même s'il y a parmi eux quelques jeunes actifs – et sont accros aux débats des éditorialistes de C dans l'air, sur France 5. « Nous n'avons eu aucune défection dans nos rangs », assure Jean Reine, qui dépeint ces militants comme « des personnes engagées qui recadrent le débat dans une perspective historique et qui sont essentiellement motivées par la qualité du projet, le sérieux et l'expérience du candidat ».
Malgré les affaires ? « Dire que ceci ne nous gêne pas, ce serait nier l'évidence, avoue l'homme. Quand on est comme moi un adepte du général de Gaulle qui avait fait installer un compteur électrique dans son appartement de l'Élysée pour payer sa consommation personnelle et réglait ses frais de bouche, ce n'est pas un plaisir fort que d'apprendre toutes ces affaires concernant notre candidat. L'image est sérieusement altérée. Mais quand on fait le point, il n'y a plus qu'une question qui vaille : le projet, le partage-t-on ? Comment faire face au délabrement du pays qui, chaque jour, s'accentue un peu plus dans un contexte international tendu ? »
Tourner la page Hollande
Artisan désintéressé d'une campagne impossible, ce filloniste de la première heure ne se laisse pas dominer ni par l'amertume ni par la vindicte. « Je suis hostile à ceux qui en veulent à la presse, précise même Jean Reine. Les journalistes font leur boulot, on est dans un pays libre. Je n'en veux pas plus à la justice, à condition que les règles soient respectées, ce qui n'est pas le cas actuellement avec le secret de l'instruction... »
Pour cet ancien banquier, Emmanuel Macron ne peut être la solution. « C'est peu ou prou la continuation de la politique de la gauche, affirme Jean Reine. Avec Macron, on reviendrait à la IVe République : un peu de MRP, un peu d'indépendants, un peu de socialistes et des groupes charnières qui font et défont les majorités. Ingouvernable. »
Responsable des Républicains à La Rochelle et chef de file de la droite au conseil municipal, Bruno Léal, professeur d'histoire à l'université, veut lui aussi croire encore en la victoire. « Il faut être réaliste : les sondages ne sont pas très bons, admet-il. Mais c'était déjà le cas lors de la primaire. Rappelez-vous qu'à un moment François Fillon fut même derrière Bruno Le Maire ! Mais beaucoup de Français n'ont pas arrêté leur choix. Et sur le terrain, on ressent vraiment une envie de tourner la page Hollande, une soif d'alternance. Je pense que nous pouvons être au second tour. »
Un optimisme que partage aussi Jean Reine. Parce qu'il croit qu'« un certain nombre de personnes, notamment des élus, ne veulent plus dire publiquement qu'elles soutiennent Fillon par peur que cela leur porte préjudice ». « Ce n'est pas médiatiquement correct, ajoute-t-il. Mais le jour du scrutin, ils mettront un bulletin dans l'urne. » Mais ce qui fait le plus tenir ce militant filloniste, c'est le souvenir de son père. « Il a passé cinq ans de sa vie prisonnier en Allemagne en 40 parce que les responsables politiques de l'époque n'étaient pas à la hauteur », lâche-t-il.
---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
S’il n’arrive pas à solder rapidement les zones d’ombres dans ses affaires, il perdra cette élection donc :

L'arrogance de ce Mr pourrait lui revenir dans la figure comme un boomerang, car qui a déclenché cette déplorable campagne présidentielle ou tout le monde veut régler ces comptes, sinon lui, car s'il avait voulu y mettre fin, quoi de plus simple que de donner des preuves de son innocence est-ce trop compliqué ?

Ce monsieur « donneur de leçons plein de probité et sans avoir rien à se reprocher »?

A question simple, réponse simple semble-t-il, posons-nous la question ?!

N'est-ce pas Mr FILLON ?!


Jdeclef 30/03/2017 16h33

F.FILLON devient fatiguant avec ses affirmations contre les juges et la justice :

Emplois fictifs : "Cette accusation était fausse", pour François Fillon

VIDÉO. Le candidat de la droite à l'élection présidentielle assure "dans les yeux" : "Jamais les juges ne pourront démontrer que l'emploi de mon épouse était fictif."

Alors qu'il ne parvient pas à redémarrer dans les sondages, François Fillon continue sa campagne toujours empêtré dans les affaires. Mardi soir, c'est son épouse Penelope Fillon qui a été mise en examen dans l'affaire de ses emplois présumés fictifs à l'Assemblée nationale et à La Revue des deux mondes. François Fillon a assuré jeudi sur RTL que « jamais les juges ne pourront démontrer que l'emploi de [son] épouse était fictif ». « La démonstration a été faite que cette accusation était fausse. Il y a un nombre de témoignages considérables. Des preuves matérielles, des témoignages. Et je vous le dis dans les yeux : jamais les juges ne pourront démontrer que l'emploi de mon épouse était fictif. Jamais », a déclaré le candidat des Républicains (LR) à l'élection présidentielle.
L'ancien Premier ministre a de nouveau demandé que « la justice enquête » sur les révélations du livre Bienvenue Place Beauvau , sur lequel il s'appuie pour dénoncer l'existence d'un « cabinet noir » à l'Élysée. « La question de savoir si ma femme a travaillé pour moi ou pas est une question intéressante, mais qui ne met pas en cause les libertés publiques », a-t-il plaidé. « La question de savoir si un candidat à l'élection présidentielle, en ce moment même, est sous écoutes judiciaires et si M. Hollande a accès aux écoutes judiciaires d'un candidat (...), c'est très possible », a martelé François Fillon.

« Je vais gagner cette élection »

L'ancien Premier ministre avait, dans un premier temps, dénoncé « l'ensemble du système médiatique ». « Ça fait deux mois que vous alimentez cette chronique. Ça fait deux mois qu'on ne parle que de ça. Ça fait deux mois que les Français sont privés d'une campagne présidentielle. Je suis venu ici pour parler du chômage record de M. Hollande, je suis venu ici pour parler des déficits record de M. Hollande, je suis venu ici pour parler du terrorisme qui menace notre pays, je suis venu ici pour parler de l'alternance. Donc vous pouvez me poser toutes les questions que vous voulez sur les affaires pour alimenter la chronique, continuer à alimenter la chronique, je ne vous répondrai pas », a-t-il dit.
« Non seulement je suis serein, mais je pense que je vais gagner cette élection », a lancé le candidat de la droite. « Malgré deux mois de démolition intensive, ce n'est pas vous qui allez choisir le président de la République, c'est les Français », a-t-il insisté. « Je suis le seul à proposer aux Français une alternance. Ils ont le choix entre le chaos de M. Mélenchon ou de Mme Le Pen, avec 175, 150 milliards de dépenses supplémentaires, la sortie de la monnaie européenne et quelques autres folies, et la poursuite de la politique de François Hollande, symbolisée encore hier (mercredi) par le ralliement de Manuel Valls à Emmanuel Macron », a défendu François Fillon. A-t-il envisagé de renoncer ? « Pardon, on est à trois semaines de l'élection présidentielle. Cette question-là n'a aucun sens, elle n'a aucun intérêt », a-t-il lâché
---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Faisons simple :

Peut-être ? Mais pourquoi ne peut-il prouver ses dires, surtout que cela lui fait du tort à lui et son épouse ainsi que pour sa campagne présidentielle et a justifié une mise en examen ?!

Est-il masochiste ou partisan d’une victimisation à outrance ?!

Alors ! Mr FILLON pour employer une de ses réflexions SVP on vous attend avec de vraies réponses qui se tiennent ?!


JDECLEF 30/03/2017 10H54

Et alors ! Pour reprendre l’expression favorite de défense de FILLON :

La page 17 du livre Bienvenue Place Beauvau. - J.Laloye
Elections

Présidentielle: Un passage passé inaperçu de «Bienvenue Place Beauvau» n’arrange pas vraiment Fillon

POLITIQUE Le livre que tous Les Républicains s’arrachent évoque l’existence fantasmée (ou pas) d’un cabinet noir à l’Elysée…

« On n’a jamais vu ça, c’est un truc proprement exceptionnel. On vient de réimprimer 40.000 exemplaires, je ne sais pas si vous vous rendez compte ». Aux éditions Robert Laffont, c’est champagne tous les jours depuis que François Fillon a fait une pub d’enfer à Bienvenue Place Beauvau en prime time sur France 2. En une petite semaine, l’ouvrage s’est transformé un véritable carton littéraire (numéro 1 des ventes chez Amazon) qu’on n’avait pas eu le temps de décortiquer. Chose faite entre lundi et mardi, le temps de se dégager un peu de temps libre.
Il nous semble y avoir déniché un truc (presque) totalement passé sous les radars, page 17, écrit noir sur blanc. « Le scandale du Penelopegate vient d’éclater et le parquet national financier a diligenté, à la lecture de l’hebdomadaire satirique paraissant le mercredi, une enquête sur l’emploi présumé fictif de Madame Fillon, comme assistante parlementaire de son mari. Mais cette fois, le supposé cabinet noir de l’Elysée n’y est pour rien ». WHAT ??? MAIS WHAT ??? (réaction primaire). Pour tout vous dire, on a cru à un rajout à la réimpression histoire de clore le débat, mais non. C’est la seule et unique version que nous tenons entre les mains, information confirmée à la source. 
Donc,François Fillon balance une bombe en direct à la télé pour dire qu’un livre confirme la théorie du complot que son camp avance depuis des semaines… et en fait le même ouvrage indique clairement que dans son cas, il n’y a pas l’ombre du commencement du début de l’esquisse d’un complot. Enfin, ça, on n’en sait rien. Mais quitte à se fier à un bouquin aux hypothèses croustillantes, autant le faire jusqu’au bout, hein. A condition de l’avoir lu réellement.
Pas comme le député des Alpes-Maritimes Lionnel Luca, qui s’étonne sur Twitter « de la discrétion médiatique sur les activités de la "structure clandestine" citée dans Bienvenue Place Beauvau », avant de nous avouer un peu plus tard qu’il n’en a lu que des extraits : « Le livre est d’ailleurs introuvable bizarrement personne ne veut en recommander ». Petite astuce pour Lionnel au passage : on a trouvé le livre en cinq minutes dans deux librairies du XVe arrondissement, même si bon on travaille à Montparnasse donc c’était facile.

Contre-attaque du clan Fillon

Pour défendre les arguments du député de Paris, Isabelle Le Callenec, membre de l’équipe rapprochée de François Fillon, commence par les éléments de langage habituels : « Le candidat a demandé l’ouverture d’une enquête car le livre évoque des pratiques condamnables si elles étaient avérées. Une demande a été adressée par courrier au parquet de Paris et au parquet national financier sans réponse à ce stade des deux juridictions. N’y aurait-il pas là deux poids, deux mesures ? » En somme, on retrouve ici la séquence répétée depuis jeudi dernier : un contre-feu de toute beauté, il faut le reconnaître.
  • 1. Ce sont des journalistes du Canard enchaîné qui ont pris la plume, on ne peut pas les soupçonner de rouler pour Fillon
  • 2. Les auteurs parlent bien d’une « mécanique aussi redoutable qu’efficace pour orchestrer les affaires judiciaires », (p.24, si on veut être précis).
  • 3. Une affaire impliquant un représentant de la droite est assez caractérisée (Valérie Pécresse et l’arrestation de son fils pour consommation de cannabis) pour générer une indignation collective et demander la saisine du Parquet national financier dans une lettre signée par six tauliers du parti, dont NKM et Christian Jacob.
Et concernant la fameuse page 17 ? Isabelle Le Callenec a lu le passage incriminé : « Que le cabinet noir n’y soit pour rien dans le Penelopegate reste à prouver. D’où la nécessité d’une enquête ». Une ligne de défense qui se tient ? Les auteurs, eux, ne cessent de dénoncer « une instrumentalisation » à tout bout de champ, même s’ils se font aligner par certains confrères pour la supposée légèreté de leur travail, y compris le Canard enchaîné, qui écrit ce mercredi : « un reproche qu’on peut faire aux auteurs, outre leur vision policière de la politique, c’est de ne pas avoir suffisamment étayé leurs accusations ».
« La réaction de François Fillon montre bien qu’il n’a pas lu le livre ou qu’on lui a mal fait ses fiches », tranche l’éditeur. « Mais on ne lui en veut pas, on n’a jamais vu un homme politique faire autant de publicité à un ouvrage ». Une publicité un peu précipitée, avec le recul.
--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Ce politicien devenu arrogant, parce qu’attaqué, car il l’a bien cherché, c’est servi de ce bouquin pour lancer l’idée d’un cabinet noir HOLLANDAIS par l’Elysée à son encontre ou pour d’autres ?!

Encore une défense stupide de plus de sa part qui risque de lui couter plus cher que cela ne lui rapportera et qui montre qu’il est « dos au mur » et ne convainc pas pour autant les français qui en ont ras le bol de ses affaires à épisodes dont on les bassine depuis le début de cette campagne !

Ce qui dégoûte beaucoup d’électeurs qui auraient quand même votés pour lui malgré son programme trop rigide et injuste pour une majorité de français lambda alors que favorisant les gens de sa caste en priorité !

Et leur fait dire, qu’il ne mérite pas d’être élu, de par sa méprisante opinion des français lambda qu’il n’aime pas en leur faisant la leçon en plus, c’est un fait et qui en plus va augmenter indirectement l’abstention ou dérives vers les extrêmes, ce dont il sera responsable !


Il n'y a pas que le PS qui est fractionné : c’est les grands partis qui se désagrègent !

Présidentielle : le peloton PS fractionné

Les tiraillements générés par la présidentielle mettent le Parti socialiste en danger d'explosion. Un fractionnement en trois groupes se dessine.

Présidentielle : le peloton PS fractionné

Les tiraillements générés par la présidentielle mettent le Parti socialiste en danger d'explosion. Un fractionnement en trois groupes se dessine.

Le PS se présente sur les pavés de la présidentielle en trois groupes distincts et antagonistes. Comme en cyclisme, lorsque souffle fort un vent latéral, trois bordures se sont formées. Dans la première, on retrouve ceux qui voudraient profiter de l'aspiration d'Emmanuel Macron, leader d'en marche !, donné par les sondages comme le meilleur challenger de Marine Le Pen.
Certains ont rejoint Macron depuis l'origine, tels Gérard Collomb ou Richard Ferrand, d'autres sont de conversion plus récente, comme Manuel Valls qui dit voter Macron sans rallier sa structure. Jean-Yves Le Drian, le ministre de la Défense, l'avait précédé en indiquant qu'il voterait socialiste aux législatives. Proche de Valls, Jean-Marie Le Guen, secrétaire d'État chargé des Relations avec le Parlement, avait indiqué, dès le lendemain de la primaire, qu'on pouvait « être socialiste et appeler à voter Macron ». Le pôle des réformateurs du PS, l'aile droite du parti, a en effet plus d'accointances avec l'ancien ministre de l'Économie qu'avec Benoît Hamon, le frondeur de François Hollande. Il n'est donc guère étonnant que les députés vallsistes Christophe Caresche et Gilles Savary annoncent leur vote en faveur de Macron. Mais d'autres vallsistes font de la résistance et ne cèdent pas aux sirènes d'En marche !. C'est ainsi que Carlos Da Silva ou Philippe Doucet, deux soutiens du Catalan, restent blottis dans les roues du PS en attendant que l'orage passe.
 Macron, Hamon et le PS : la nouvelle rupture de Manuel Valls

Cazeneuve et Cambadélis jouent le coup d'après

Car la deuxième bordure, celle emmenée conjointement par Bernard Cazeneuve, à Matignon, et Jean-Christophe Cambadélis, à la tête du PS, mène la chasse derrière le groupe macroniste. Ils ne sont pas hamonistes pour un sou, mais ils soutiennent le candidat désigné par la primaire en attendant des jours meilleurs. Bernard Cazeneuve est à la tête d'un groupe de treize ministres (Matthias Fekl, Juliette Méadel, Thierry Mandon...) en soutien du candidat Hamon. On y retrouve d'ailleurs ceux qui ont soutenu Manuel Valls à la primaire, comme Laurence Rossignol, Najat Vallaud-Belkacem ou Ericka Bareigts... Dire que de tels soutiens sont francs et enthousiastes, ce serait exagéré. Mais enfin, ils jouent la règle de la primaire, considérant plus important de protéger les intérêts supérieurs de la famille socialiste pour ménager l'avenir. Or, pour eux, la présidentielle n'est pas l'alpha et l'oméga de la politique. Ils considèrent que les législatives seront l'occasion de revenir dans le jeu, notamment face à des candidats En marche ! sans ancrage local ancien. En somme, dans ce deuxième groupe, on pédale groupé, la tête dans les épaules, en attendant la fin de la tempête Macron...
Dans la troisième bordure, ce sont les partisans de Benoît Hamon qui sont les plus farouches. Eux ont détesté le quinquennat Hollande, vécu comme une « trahison » du discours du Bourget. Leurs regards ne sont plus tournés vers la rue de Solférino, un hôtel particulier dont ils entendent déloger les socialistes réformistes. Leur stratégie : installer Hamon le plus haut possible dans la présidentielle pour revendiquer la prise de Solférino au congrès de la fin d'année. Ils visent un dépassement du PS par sa gauche en créant un « grand rassemblement » avec les écologistes (type Duflot, Jadot) et les communistes de Pierre Laurent (qui échapperait ainsi à la férule de Mélenchon).

Les orphelins de Hollande se cherchent

Entre ces trois groupes, quelques éléments sont isolés en « chasse-patate », selon l'expression cycliste. Ainsi, le ministre de l'Agriculture Stéphane Le Foll, l'ancien bras droit de François Hollande au PS. Orphelin de son ancien leader, il n'a pas retrouvé d'équipe qui lui convienne. Valls, par ses trahisons successives, l'écoeure. Hamon, par ses outrances gauchistes, le navre. Il hésite à rejoindre le groupe Cazeneuve et se donne le « temps de réfléchir », assez « heureux » d'être libre de ses choix. Difficile également de dire pour qui roule Michel Sapin, un hollandiste qui ne croit pas une seconde au programme de Hamon mais qui n'a pas non plus une profonde sympathie pour Emmanuel Macron, avec qui la cohabitation à Bercy n'a pas été tendre.
Marisol Touraine aurait pu passer à son compte au moment de la primaire en présentant sa candidature. Elle a renoncé en dépit des sollicitations. Depuis, la ministre de la Santé se cherche. Elle s'est permis d'ironiser sur le programme santé de son ancien collègue de gouvernement soit parce qu'il lui paraissait en deçà de la main, soit parce qu'il était déjà réalisé... De la même façon, elle a mis en garde Hamon contre un programme trop irréaliste.
Tout cela est assez triste, en définitive. Le vent latéral qui souffle pourrait bien faire le jeu de Marine Le Pen, contre qui toute opposition a ses fragilités. Si Macron est qualifié face à elle, une partie importante des électeurs Fillon iront voter FN par rage. Marine Le Pen pourrait aussi recevoir le secours d'une partie des électeurs de l'extrême gauche qui se reconnaîtront dans sa vision étatiste contre un candidat d'essence libérale. François Fillon n'est pas plus rassurant face à Le Pen : avec les affaires, c'est une partie de l'électorat de gauche qui s'abstiendra de voter pour lui en dépit des appels au front républicain. L'électorat de la gauche extrême sera, lui aussi, tenté de voter FN contre le candidat libéral conservateur. Si bien que Marine Le Pen, si elle creuse l'écart au premier tour, peut tout à faire bénéficier d'une généreuse abstention qui la conforte.
--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
La droite « LR » ne va guère mieux, mais tout cela montre le caractère individualiste français et le chacun pour soi de nos concitoyens qui ramènent tout à leurs vies personnelles !

Ce qui rend notre pays si difficile à gérer, mais pas seulement, car ces politiciens de tous bords et leurs partis en sont responsables en abusant et divisant le peuple à leur profit en divisant pour régner en mettant un leader quel qu’il soi, faux monarque républicain avec trop de pouvoir pendant 5 ans que l’on change par de fausses alternances pernicieuses ou ses politiciens toujours à peu près les mêmes profitent des multiples avantages et privilèges qu’ils s’accordent !

Mais justement les français gogos que se sont fait rouler depuis des décennies, ne sont plus d’accord semble-t-il, surtout après les magouilles ou affaires diverses de gros sous de nos élus, goutte qui a fait déborder le vase trop plein !

Et la venue de l’électron libre MACRON sans grand parti, mais jeune et nouveau peut bousculer ces partis ringards poussiéreux inutiles et leurs élus et comme les français que l’on n’écoute plus depuis trop longtemps, vont peut-être enfin opter pour ce changement dont notre pays a besoin (plutôt que reprendre les mêmes élus usés qui ne pensent qu’à eux en n’oubliant pas de leur demander toujours plus depuis 30 ans!)


Jdeclef 30/03/2017 09h32 LP

mercredi 29 mars 2017

VALLS logiquement ne veut pas aider un perdant, HAMON n’était-il pas frondeur déjà sous son gouvernement ?!

Elections

«Fossoyeur de la gauche», «minable»… Valls lâche Hamon pour Macron et les critiques pleuvent

PRESIDENTIELLE Plusieurs élus du PS ont taclé l’ancien Premier ministre le qualifiant d'«homme sans honneur»… 

Le soutien de Manuel Valls à Emmanuel Macron, officialisé par l’ancien Premier ministre ce mercredi, a-t-il allumé la mèche de l’explosif qui va dynamiter le  Parti socialiste ?
Moins de deux heures après l’annonce de Manuel Valls au micro de RMC/BFMTV, les réactions de socialistes ont commencé à pleuvoir.

« Un homme sans honneur », un comportement « minable »

La première d’entre elles a été celle du député des Bouches-du-Rhône Patrick Mennucci, qui a lancé à l’ancien locataire de Matignon : « Tu nous fais honte ».
Pierre Moscovici a fait dans la poésie, sans jamais nommer Manuel Valls. Mais il est facile de lire entre les lignes de cette citation de Léon Blum choisie par le commissaire européen.
On reste dans la poésie avec le député Sébastien Denaja, qui a soutenu Benoît Hamon dès la primaire. Manuel Valls « observe les règles de l’honneur comme on observe les étoiles, de loin… », a-t-il estimé, citant Victor Hugo.
Arnaud Montebourg non plus n’a pas pris de gants. « Chacun sait désormais ce que vaut un engagement signé sur l’honneur d’un homme comme Manuel Valls : rien. Ce que vaut un homme sans honneur ».
Le député de Seine-et-Marne Olivier Faure s’est lui interrogé sur le crédit que l’on pouvait dès lors accorder à Manuel Valls. « Pour un élu, le vote est sacré. S’il ne le respecte pas, qui le respectera ? », a-t-il interrogé.
Pour la députée des Hautes-Alpes Karine Berger, le « comportement de Manuel Valls est minable », ni plus ni moins. Son collègue Philippe Baumel a parlé d'« un dernier 49-3 médiatique pour casser la gauche ».
l’élu du Cher et membre de l’équipe de campagne de la gauche Yann Galut, « jusqu’au bout Valls aura été le fossoyeur de la gauche ».

Indignation chez Hamon

En baisse dans les sondages, autour de 10 à 11 %, Benoît Hamon avait anticipé cette défection dès dimanche, en dénonçant à l’avance un « ralliement » en forme de tentative de « mise à mort ».
Mercredi matin sur France 2, peu avant la déclaration de l’ex-Premier ministre, le candidat PS a déploré « une sorte de feuilleton destiné à (l)'affaiblir ».
Dans une tribune dans Le Monde signée ce mercredi par des soutiens importants de Benoît Hamon, comme l’économiste Thomas Piketty et la sociologue Dominique Méda, un collectif d’intellectuels et d’artistes a dénoncé « le silence assourdissant » de la direction du PS et de Jean-Christophe Cambadélis face aux défections.
Ce dernier a réagi ce mercredi peu avant 10 heures, se disant « triste » du soutien de Valls à Macron et appelant les socialistes « au calme ». « Je suis triste de ne pas avoir réussi à convaincre Manuel Valls de ne pas soutenir Emmanuel Macron. Je combats cette position. »
Qui a fait le choix de ne pas occuper une position centrale après la primaire, de ne pas rassembler toute la gauche progressiste ? », s’est défendu Manuel Valls. « Qui dans le dernier débat (…) s’en est pris d’abord sur les questions d’argent, à Emmanuel Macron, plutôt qu’à Marine Le Pen ou François Fillon ? », a-t-il critiqué.
Ce n’est pas un ralliement. C’est une prise de position responsable », a martelé l’ancien locataire de Matignon, précisant qu’il ne participerait pas à la campagne du fondateur d’En Marche !. Ce dernier a affirmé qu’il ne comptait pas installer d’anciens ministres au sein de son futur gouvernement car il « prône le renouveau des visages ».
--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

De plus les gauches ne peuvent s’unir à l’image de MELENCHON/HAMON (bornés !)
Parallèlement à cela, ce pauvre HAMON qui n’a fait que passer dans son gouvernement comme ministre de l’éducation nationale pendant 4 mois et 23 jours car médiocre et indiscipliné !

Et pour les gogos qui ont voté pour lui, pour éliminer VALLS de la primaire qui avait surement plus stature pour être président et pour le PS et tout simplement pour réformer et bien, ils ont tout gâché !

Mais remarquons en passant que les gogos de droite on fait pareil pour éliminer SARKOZY et qui avec FILLON vont peut-être faire capoter ce LR !

Le FN ne fait pas mieux avec M.LE PEN que l’on s’habitue à voir à chaque fois comme un épouvantail (rien d’autre !)

Il serait temps que les français qui veulent le changement le fassent enfin, car ils en ont l’opportunité pour ne pas reprendre les mêmes, comme à chaque fois depuis des décennies, ces affaires lamentables sont une chance à saisir pour ne pas recommencer les mêmes erreurs !

Il faut déjà éliminer ces « traineurs de casseroles » trop nombreux qui exploitent et enfument les français lambda et essayer autre chose, sinon à quoi cela sert-il de voter pour des alternances stériles pour reprendre les mêmes qui en profitent depuis trop longtemps, un peu de bon sens si possible !


Logique judiciaire pour le couple FILLON dans cette lamentable affaire de gros sous !

Politique

Affaire Fillon: Penelope Fillon mise en examen pour recel de détournement de fonds publics et recel d'escroquerie aggravée

JUSTICE L'épouse du candidat LR a été à son tour mise en examen, ce mardi soir, pour « recel de détournement de fonds publics et recel d'escroquerie aggravée »...

C'était attendu. Penelope Fillon  a été mise en examen ce mardi soir à l'issue de son audition par les juges d'instruction qui enquêtent sur ses possibles emplois fictifs à l'Assemblée nationale et à La Revue des deux mondes, a-t-on appris de source judiciaire.
A moins d'un mois de la présidentielle, l'épouse du candidat de la droite François Fillon a été mise en examen pour « complicité et recel de détournement de fonds publics », « complicité et recel d'abus de biens sociaux » et « recel d'escroquerie aggravée », a précisé la source. Il s'agit de la troisième mise en examen dans cette enquête après celles de François Fillon et de son ancien suppléant à l'Assemblée, Marc Joulaud

De possibles abus de biens sociaux

La discrète Galloise, âgée de 61 ans, a été entendue pendant plusieurs heures par les juges d'instruction, a indiqué une source proche de l'enquête, sans plus de précisions. Au coeur de l'affaire qui plombe la campagne de François Fillon, l'emploi de son épouse comme assistante parlementaire de son mari et de Marc Joulaud, de 1986 à 2013 avec plusieurs interruptions, et un contrat à La Revue des deux mondes de mai 2012 à décembre 2013.
Les juges cherchent à savoir si ces emplois, aux contours flous, étaient effectifs. Les investigations portent aussi sur de possibles abus de biens sociaux alors que le propriétaire de La Revue des deux mondes, l'homme d'affaires Marc Ladreit de Lacharrière, est un proche du candidat Les Républicains. Elles ont également été élargies par le parquet national financier (PNF) à des suspicions de faux et d'usage de faux et d'escroquerie aggravée.
Les juges n'ont toutefois pas retenu le chef de faux et d'usage de faux dans la convocation qu'ils ont adressée à Penelope Fillon, selon des sources proches du dossier. Le délit d'escroquerie aggravée vise des documents saisis à l'Assemblée nationale, notamment une fiche de renseignements sur laquelle l'épouse du candidat a déclaré en juillet 2012 un travail mensuel de 14 heures à La Revue des deux mondes, d'après ces sources.
Les enquêteurs se demandent si ce nombre d'heures aurait été minimisé pour respecter la limite légale du temps de travail cumulé alors qu'elle était à la même époque, entre juillet 2012 et novembre 2013, employée à l'Assemblée nationale.
---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
En fait, c’est la principale accusée de ce gros soupçon de travail fictif, mais surement instrumentalisée pas son mari « Mr fric toujours plus », grand trésorier de cette famille de bourgeois nantis sarthois, dont le seigneur du clan n’avait semble-t-il pas assez, tant est, que même il ne se souvenait pas de tout en n’en oubliant quelque fois au passage ?!

Et ce F.FILLON pétri d’orgueil hobereau sarthois qui se voyant déjà en monarque absolu de cette V eme république et son système obsolète et usé donneur de leçon de moralité et probité, en plus, tout en pressurant plus le bon peuple de France lambda (recette éculée) mais pas nouvelle ciblant les français lambda bien plus nombreux et surtout en favorisant sa caste de bourgeois et très riches !

Pour se retrouver comme au IXX eme siècle et creuser encore plus le fossé séparant les riches toujours plus riches du reste de la population majoritaire des français qui ne travaillent pas assez selon Mr FILLON et ne font pas de politique facile comme certains politiciens élus pour s’engraisser et profiter d’avantages d’un autre âge que l’on applique toujours !

Les français on peut être une partie de la solution pour en finir et changer cela, pour une fois alors qu’ils en profitent, car s’ils sont encore trop niais pout revoter pour les mêmes en ne se débarrassant pas de cette clique qui perdure depuis 30 ans, ils le paieront très chers !


mardi 28 mars 2017

Résultat d’une élection ratée par une campagne déplorable à causes des affaires !

Présidentielle : Fillon toujours nettement distancé par Le Pen et Macron, selon un sondage Ipsos pour France Télévisions

Si le premier tour de l'élection avait lieu dimanche, Marine Le Pen et Emmanuel Macron seraient tous les deux qualifiés pour le second tour. 

A vingt-six jours de l'élection présidentielle, l'hypothèse d'un duel entre Marine Le Pen et Emmanuel Macron au second tour se renforce un peu plus. Selon un sondage Ipsos-Sopra Steria pour France Télévisions et Radio France, publié mardi 28 mars, les deux candidats font la course en tête, avec respectivement 25% et 24% des intentions de vote. Si le premier tour avait lieu dimanche, le candidat de la droite, François Fillon, serait nettement distancé, avec seulement 18% des voix. A gauche, Jean-Luc Mélenchon (14%) devancerait Benoît Hamon (12%). 
Aucun autre candidat n'atteindrait la barre des 5% : le souverainiste Nicolas Dupont-Aignan obtiendrait 3,5% des voix ; le député Jean Lassalle recueillerait 1% des voix, tout comme les deux candidats d'extrême gauche, Philippe Poutou et Nathalie Arthaud. François Asselineau obtiendrait 0,5% des voix, et Jacques Cheminade moins de 0,5% des voix.

Le spectre d'une abstention record

Mais les choses pourraient encore évoluer. D'abord parce que, selon cette même enquête, seuls 65% des électeurs ont l'intention d'aller voter le 23 avril, laissant planer le spectre d'une participation très faible. Le record d'abstention du 21 avril 2002 (28,4%) serait en effet largement battu. 
L'issue du scrutin est d'autant plus incertaine que 41% des personnes interrogées et certaines d'aller voter affirment que leur choix pourrait encore changer d'ici au jour J. Si les électeurs de Marine Le Pen et de François Fillon semblent les plus convaincus (plus de 80% assurent que leur choix est définitif), ceux de Benoît Hamon et d'Emmanuel Macron paraissent nettement plus indécis (près d'un sur deux affirmant que son vote peut encore changer).
Aux yeux des sondés, et parmi les cinq candidats dépassant la barre des 10%, Jean-Luc Mélenchon est jugé le plus honnête (58%), quand seuls 13% estiment que ce qualificatif s'applique bien à François Fillon. De même, 53% des sondés estiment que le candidat de la France insoumise comprend bien les problèmes des Français, alors que le candidat de la droite arrive en bas du classement (18%). Mais Emmanuel Macron est considéré comme le mieux placé lorsqu'il s'agit de renouveler positivement la façon de faire de la politique (47%), de faire un bon président de la République (41%) et de proposer le programme le plus crédible (40%). 

Macron largement favori au second tour

Au regard des intentions de vote du premier tour, une seule hypothèse a été testée pour le second tour : celle d'un duel opposant Marine Le Pen à Emmanuel Macron. Dans cette configuration, l'ancien ministre de l'Economie l'emporterait largement, avec 62% des voix. Il profiterait notamment de bons reports de la part de l'électorat de Benoît Hamon (77%) et de Jean-Luc Mélenchon (54%). Les électeurs de François Fillon, eux, seraient nettement plus partagés : 38% voteraient Macron, 26% voteraient Le Pen, et 36% s'abstiendraient ou voteraient blanc.
---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Avec la versatilité des français les indécis et des sondages médiatiques orientés aléatoires selon ceux qui les font et leurs idées politiques tordues on pourrait bien retrouver en final un duel MACRON/FILLON  tant les français votent si mal depuis 30 ans !

Car en 26 jours qui restent, il peut se passer encore pas mal de choses et l'abstention jouera un rôle peut être plus important que d'habitude quant à l'épouvantail FN/LE PEN comme d'habitude elle sèmera le trouble et ne sera pas élue, mais risque de mettre encore les mêmes sur les rails et çà s'est déplorable !


Jdeclef 28/08/2017 15h12

La Guyane est un petit département d’outremer délaissé car loin de la métropole !

Guyane : journée morte annoncée, Taubira appelle au dialogue

VIDÉOS. Des marches se tiendront en parallèle à Cayenne et à Saint-Laurent-du-Maroni. L'ancienne ministre de la Justice réclame la reprise du dialogue.

La Guyane s'invite une journée de plus dans le débat présidentiel. Ce mardi doit être une « journée morte » en Guyane après un démarrage timide de la « grève générale illimitée ».
Des marches se tiendront en parallèle à Cayenne et Saint-Laurent-du-Maroni, à l'appel du collectif « Pou la Gwiyann dékolé » (pour que la Guyane décolle). Ce sera « la première démonstration de rue au-delà des barrages », a affirmé l'un des porteurs du mouvement. Air France, dont les avions ne desservent plus Cayenne depuis dimanche, a annulé son vol pour mardi.
Lundi à Cayenne, pour le premier jour de « grève générale illimitée », les commerces étaient ouverts. Une myriade de drapeaux indépendantistes vert, jaune et rouge flottait sur les voitures, scooters et ronds-points. Des banderoles « nous bon ké sa » (« ça suffit » en créole guyanais) étaient visibles partout sur le territoire. Mais la mobilisation était bien inférieure à celle des jours précédents. Alors que des centaines de manifestants se tenaient autour des barrages routiers dans Cayenne ce week-end, ils n'étaient que quelques dizaines lundi à empêcher les voitures d'entrer ou sortir de la ville. Quelques centaines de personnes se sont rassemblées devant le rectorat, avant de former une chaîne humaine. « Ceux qui sont hors Cayenne n'ont pas pu passer les barrages », selon un professeur de sport gréviste, qui s'« attendait à plus de monde ».

« On attend la ministre »

Le collectif « Pou la Gwiyann dékolé », très majoritaire, a édifié une plateforme de revendications communes, de la construction d'écoles à l'intensification de la lutte contre l'orpaillage, en passant par le paiement des arriérés aux fournisseurs de l'hôpital de Cayenne. « La première priorité, c'est la lutte contre l'insécurité, le renforcement des moyens », a toutefois déclaré le président François Hollande depuis Singapour.
« Une délégation ministérielle sera sur place avant la fin de la semaine » pour conclure les discussions engagées par la mission de hauts fonctionnaires dépêchée samedi, avait annoncé Bernard Cazeneuve, au côté de la ministre des Outre-mer Ericka Bareigts. « Si toutefois les conditions du respect (...) et de l'ordre républicain sont réunies », a-t-il précisé. « On attend la ministre », a répliqué lundi soir Jean-Hubert François, président du syndicat des Jeunes Agriculteurs, membre du collectif.

Taubira demande aux élus locaux de s'impliquer

Le Premier ministre a annoncé notamment qu'un « centre pénitentiaire et un tribunal de grande instance » seraient « construits à Saint-Laurent-du-Maroni ». « On ne dialogue pas en cagoule. On dialogue le visage découvert. Il faut que la confiance soit présente », a de son côté insisté le nouveau ministre de l'Intérieur Matthias Fekl, depuis Bruxelles. « On a l'impression que le gouvernement ne perçoit pas le ras-le-bol de la population », dont « encore 30 % (...) n'a pas accès à l'eau potable ou à l'électricité », a déploré le sénateur PS de Guyane, Antoine Karam, sur BFM TV.
Christiane Taubira, ancienne ministre de la Justice, appelle au « dialogue, sinon le blocage va durer ». « C'est la responsabilité de tous, y compris des élus, malgré le climat de défiance. Les élus locaux y sont trop peu impliqués, ils doivent s'en mêler », a-t-elle déclaré sur RTL ce mardi 28 mars. D'origine guyanaise, Christiane Taubira défend l'action du gouvernement qui, « incontestablement (...), a agi puisqu'il a augmenté les forces de police et de gendarmerie, ce qui est demandé explicitement. Mais il y a toute une série de sujets qui sont traités, soit au compte-gouttes, soit à des doses homéopathiques depuis des années ». « La question de la sécurité est liée aux loupés de l'éducation, de la formation professionnelle, au taux de chômage qui touche 50 à 60 % de la jeunesse, à l'enclavement du territoire, à l'activité illégale en orpaillage et en pêche maritime », a-t-elle détaillé. « Il faut que cette négociation survive à la fin de la législature. On peut tromper les gens, on peut leur faire une tournée de ministres qui ne seront plus là dans un mois », a-t-elle expliqué. Elle a estimé que si le collectif des 500 Frères, un groupe qui manifeste cagoulé, veut participer aux discussions, « il n'est pas concevable qu'ils ne soient pas à visage découvert ».

Démagogie et électoralisme

Dès dimanche, des barrages de poids lourds arboraient des slogans explicites : « Hollande, il est où ton pacte d'avenir ? Pas de routes, pas de développement. » Le Premier ministre, qui a appelé « encore une fois solennellement au dialogue, à la responsabilité et à l'apaisement », a affirmé vouloir signer ce « pacte d'avenir » dans « les meilleurs délais ».
La mission interministérielle, pilotée par l'ancien préfet de Guyane Jean-François Cordet, a fait dimanche plusieurs annonces visant à désamorcer le mouvement social. Mais, a souligné une source gouvernementale, « les revendications sont éparses et les collectifs ne sont pas d'accord entre eux ». Jean-François Cordet a notamment annoncé le renfort de « 25 policiers, 23 gendarmes », ou « la fidélisation d'un escadron de gendarmes mobiles à Cayenne », mais aussi une enveloppe d'urgence de « 60 millions d'euros supplémentaires » pour le centre hospitalier de Cayenne, fortement endetté.
La situation en Guyane a trouvé un écho dans la campagne présidentielle, à quatre semaines du premier tour. Marine Le Pen (FN) a dénoncé le « service cruellement minimum » du gouvernement, François Fillon (LR) y voyant « la conséquence de l'échec de la politique de François Hollande ». Bernard Cazeneuve s'en est pris, lui, à ceux qui cèdent à « la démagogie » et « l'électoralisme ».
--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

S’il n’y avait pas le centre spatial base de lancement des fusées Ariane espace de kourou créé en 1964 et un régiment de légion étrangère qui relancera l’économe de cette région sud-américaine après la suppression dans les années 50 du triste bagne de CAYENNE de mauvaise réputation, cette enclave française séparé entre le Surinam et le BRESIL et son immigration galopante et chômage important ainsi qu’insécurité et délinquance !

(Elle serait encore plus qu’oubliée qu’elle n’est !)

Cette région est peu peuplée 244000 habitants au regard de sa superficie 83846 KM² couvert en majorité d’une grande forêt amazonienne !

Mme TAUBIRA ex indépendantiste de cette région de sa naissance dans sa jeunesse mais surtout ministre de LA JUSTICE dans les gouvernements de J.M. AYRAULT /M.VALLS n’a rien fait de probant pour diminuer l’insécurité et délinquance la plus forte de France !

Mais cette dame est bien trop occupée avec ses discours alambiqués dont elle a le secret en s’écoutant parler à soutenir le coté frondeur du PS de B.HAMON plutôt que sa Guyane ou elle devrait-elle en ce moment !

Alors elle se décide enfin difficilement et bien timidement à faire un commentaire « bateau » hypocrite creux de bien-pensant pour la Guyane !

Ça n’étonnera personne de la part de cette ex ministre, une des plus médiocres du quinquennat de F.HOLLANDE !


Jdeclef 28/03/2017 11h41