LES FRANCAIS NE VEULENT PAS
OUVRIR LES YEUX ILS EN SUBIRONT LES CONSEQUENCES TANT PIS POUR EUX !?
Dans les rues glaciales de Romans-sur-Isère, ils avancent d'un pas
déterminé, en tenant un fumigène rouge. « La rue, la France nous
appartient ! » hurle la centaine de militants d'ultradroite.
Barres de fer, battes de base-ball et mortiers d'artifice en main, le groupe
marche vers le quartier sensible de la Monnaie. Il en est empêché par une
rangée de CRS qui interpellent une quinzaine
de militants, originaires de toute la France. L'un d'eux, resté dans sa voiture, a
été déshabillé et tabassé par des jeunes du quartier. L'expédition punitive
a tourné court. Elle venait venger Thomas, 16 ans, tué lors d'un bal de
village à Crépol le
Deux jours plus tôt, dans un restaurant de Margès, un village à cinq minutes
de Crépol, le service du déjeuner s'achève. Pendant que le fils essuie les
verres, la mère range les tasses. Derrière le comptoir, Valérie*
fixe la salle. Elle pense à Thomas. « Ce genre de choses, ça nous rend
racistes. » Les deux familles se ressemblent un peu : un fils
proche de la majorité, serveur, qui aide ses parents restaurateurs. Il était
présent au bal. On l'apercevra le lendemain, dévasté, aux obsèques de son
copain. « Il y a beaucoup de larmes dans notre vallée, car nous sommes
tristes, nous n'acceptons pas ce qui s'est passé », résume le prêtre,
dont l'homélie résonne dans la Drôme des collines. Impossible d'accepter.
Dans cette vallée, les routes sinueuses longent des parois rocheuses pour
redescendre sur des zones commerciales en tôle grise. L'automne tombe sur les
coteaux de Crozes-Hermitage, surplombant Romans-sur-Isère, aux portes du massif
du Vercors. Dans les villages, tout le monde connaît la Monnaie. Un lieu vide,
dégradé, gris. « Une prison à ciel ouvert », estime l'un de
ses habitants, assumant une référence douteuse à Gaza. C'est là où traînait le
meurtrier de Thomas.
Colère. Au restaurant, le drame est au cœur de toutes les
conversations, celles des ouvriers en tenue orange fluo qui cassent la croûte,
celles des petits patrons de PME qui parlent habituellement compta, celles des
retraités venus boire un café en lisant Le Dauphiné, le quotidien
régional. La colère sourde, étouffée, émerge au fil des échanges. Une rancœur
immense jaillit envers la bande de la Monnaie. Cette colère s'étend. Aux
médias, aux « racailles », à la justice « laxiste »,
aux meurtriers « qui finiront en prison avec une PlayStation ».
Elle vise aussi les silences d'une partie de la classe politique. « Plus
que certains politiques soient en boucle, ce qui m'embête c'est qu'une partie
d'entre eux n'en parlent pas, regrette une mère croisée à la marche
blanche. Qu'est-ce qui les en empêche ? »
La Drôme des collines n'est – jusqu'ici – pas un bastion affirmé du
Rassemblement national. Marine Le Pen y arrive souvent en tête, comme au
premier tour de la présidentielle de 2022, mais perd systématiquement au
second. À l'écart du tumulte politique, la famille de Thomas a appelé à une
marche blanche « apolitique ». Près de
6 000 personnes ont défilé en silence à Romans. On connaît à peine le
visage des parents de Thomas. Les obsèques se sont déroulées dans la même
solennité. Certains Drômois évoquent spontanément l'attitude de la mère de
Nahel M., tué par un policier en juin. Exubérante, vrombissante sur une
motocross pendant une marche blanche qui a dégénéré en émeutes. « Aucune
école, bibliothèque ou Abribus dégradé », fait remarquer Nicolas, un
proche de la famille.
Désœuvrement. La bibliothèque de Crépol est en effet
intacte. Pour rejoindre le village, il faut parfois prendre son mal en patience
derrière un tracteur. La salle des fêtes au crépi beige, devant laquelle Thomas
s'est effondré, accueille les bals du coin. On s'y amuse pour 4 euros
l'entrée. En fin de soirée se nouent les premières histoires d'amour, les
premières cuites. « On n'oubliera pas les journées piscine, les
sorties à moto ou à la mer », saluent les amis de Thomas à ses
obsèques. Casque de motocross à la main, doudoune sans manches et bas de
survêtement, ils tapent sur les épaules de rugbymen cintrés dans des vestes
d'entraînement du club Romans-Péage. « C'était un mec bien »,
a envoyé par SMS un dirigeant du club au grand-père de Thomas. Digne, mais
remonté, celui-ci fustige une « bande de loubards » avec « un
couteau à la place du cœur », qui « doivent être mis à
l'écart de notre société ». Les Perotto sont des gens simples. Une
famille de cinq enfants qui s'offre de temps en temps un séjour au ski.
À la Monnaie, les séjours au ski paraissent un lointain souvenir. « On
en faisait à l'époque, c'était organisé par la mairie, se souvient
Morcine, un ancien du quartier surnommé “Jack Morcine” en référence à Jacques
Mesrine. Ça n'existe plus, c'est dommage. On n'a plus rien pour les
jeunes. » Selon lui, les gars « du quartier » se
sont toujours battus avec des rugbymen dans les bals. « On se mettait
deux ou trois marrons dehors et on n'osait pas se regarder dans les yeux quand
on se recroisait au Leclerc. Un jour, j'ai tapé un mec dans un bal, je
l'ai recroisé sur la route, il m'a arrêté parce qu'il était flic. Il m'a dit :
“Tu tapes fort toi !” Et il m'a épargné l'amende… » Morcine
s'avoue « dégoûté » de la mort de Thomas, mais tente
d'expliquer le désœuvrement de la jeunesse. « Y a pas de boulot à
Romans pour les Maghrébins. Les gens sont éboueurs, ouvriers sur des
chantiers… » Un ami qui le rejoint travaille comme grutier hors de
l'Isère. « En ville, dans les boutiques, y a pas de vendeurs arabes.
Je peux t'en citer trois, je les connais. » On s'en ouvre auprès de
la restauratrice de Margès. « D'accord, mais le racisme existe de tous
les côtés. Où est SOS Racisme quand c'est contre les Blancs ? »
Il serait temps que (les vrais
Français…) Enfin ceux nés en FRANCE qui réfléchissent et ne veulent pas dire ce
qu’ils pensent vraiment de la situation de leurs villes ou quartiers et des habitants et résidents dans notre pays car
ayant peur de leur opinion qu’on leur reprocheraient en les traitant de racistes
voir en plus antisémitisme quand il s’agit des juifs français et de cette bienpensante
politique hypocrite de nos dirigeants donneurs de leçons dans leur tour d’ivoire
qui bien sûr sont loin de vivre près de communautés d’immigrés devenus trop importantes
dans certaines grandes villes ou régions de France depuis + de 60 ans de la décolonisation
de nos empires coloniaux que tous nos gouvernements de tous bords n’ont pas su gérer !?
Et la liste s’alonge dans notre
pays ou il faisait bon vivre mais c’était avant le passé car ayant connu tous nos
dirigeants passés de tous bords depuis de Gaulle car l’insécurité est en augmentation
perpétuelle ainsi que la violence citons les : Région d’IDF et sa couronne
de PARIS et aussi bien sur en Province à LYON MARSEILLE TOULOUSE NANTES BORDEAUX
NIMES ETC. Et cet incident grave dans ce petit village MORANS SUR ISERE 500 habitants
avec cette rixe meurtrière sans compter les maires de ses communes qui risquent
aussi des agressions d’individus qui veulent régler leurs comptes ou plus graves
imposer leurs cultures ou religions obscurantistes moyenâgeuses extrémistes charia
ou autres et ou on cache les prénoms des agresseurs pour ne pas stigmatiser
les auteurs par cette hypocrisie lâche !?
Merci à Mr le président si inutile
bienpensant procrastinateur qui va peut-être faire un mini remaniement ministériel
de plus pour ripoliner sa mauvaise gouvernance politicienne creuse qui ne protègera
pas les Français !?
Et cette loi sur l’immigration
qui ne sera qu’un pétard mouillé de plus car ayant déjà subi des amendements de
trop tant pis si la France VA MAL CAR C'EST DE NOTRE FAUTE A TOUS ?!
Une attaque à Jérusalem
fait 2 morts et 8 blessés, dont 5 grièvement ?!
L’une des
deux personnes tuées a été identifiée comme « une jeune femme de
24 ans » par le Magen David Adom, équivalent israélien de la
Croix-Rouge.
Par M.P.
avec AFP
CELA NE PEUT QUE DONNER DU GRAIN
A MOUDRE POUR LE 1ER MINISTRE ISRELIEN NETANYAOU POUR INTENSIFIER SON
ACTION MILITAIRE POUR TENTER D’ERADIQUER CE HAMAS EMINEMENT DANGEREUX TERRORISTE
ISLAMISTE QUI POUSSE ISRAEL A LA FORCE POUR ETRE MIS A L’INDEX DE LA COMMUNAUTE
MONDIALE MALADE DE SA BIEN PENSANTE HYPOCRITE DE DONNEUSE DE LECON (COMME LA FRANCE
ET NOS DIRIGEANTS QUI NE NOUS PROTEGENT PAS ASSEZ OU LES ALERTES ATTENTATS ISLAMISTE
PERDURE !?)
Deux personnes ont été tuées jeudi matin, et huit autres blessées, dont cinq
grièvement, dans une attaque à l'arme à feu contre un arrêt de bus dans l'ouest
de Jérusalem,
selon un nouveau bilan de la police israélienne. Cette attaque survient
alors que la trêve entre Israël
et le mouvement islamiste palestinien Hamas a été reconduite in extremis jeudi
matin pour un septième jour.
« Deux terroristes venus en voiture et armés l'un d'un
M-16 et l'autre d'un pistolet » ont ouvert le feu vers
7 h 40 (5 h 40 GMT), a déclaré le directeur de la police de
Jérusalem, Doron Torgeman, à la presse sur les lieux de l'attaque. Le Magen
David Adom (Mada), équivalent israélien de la Croix-Rouge, a identifié l'un des
deux morts comme étant « une jeune femme de 24 ans ». Le Mada
avait d'abord situé l'attaque à Jérusalem-Est, occupée et annexée par Israël,
avant de préciser qu'elle a eu lieu « à l'entrée de Jérusalem »
(Ouest).
« Les deux suspects impliqués dans les coups de feu ont été neutralisés
sur place », a précisé la police.
Il y a deux semaines, un soldat
israélien avait été tué et cinq membres des forces de sécurité israéliennes
blessés dans une attaque à un barrage séparant Jérusalem de la Cisjordanie
occupée, attaque revendiquée par les brigades Ezzedine al-Qassam, la branche
armée du Hamas. Les trois assaillants avaient été abattus.
HELAS !? Une preuve s’il
le fallait que cette région de Palestine n’est pas près de retrouver la paix entre
c’est ISRAELIENS Juifs qui se défendent depuis 1948 date de l’indépendance de leur
pays pour leur survie qui leur avait été attribué au milieu d’une région arabe islamique
par les EUROPEENS Anglo Français (bienpensants grands donneurs de leçons) après
la chute de l’ex empire OTTOMAN Turc dont par exemple le président de la Turquie
actuelle ERDOGAN voudrait la renaissance et ses arabo/musulmans de cette cis Jordanie
palestinienne et cet HAMAS terroriste islamique de cette bande de GAZA qui veut
la perte totale des juifs et de l’état Hébreu partout !?
Ce conflit à consonance religieuse
et terroriste n’est pas près de cesser même si ISRAEL rasait la totalité de cette
bande de GAZA car ISRAEL est implanté depuis sa création au milieu de ces pays du
moyen orient à majorité islamiste et les israéliens n’ont pas voulu gérer cette
enclave frontalière de leur pays éminemment dangereuse pour eux ce qui les met en
éternelle guerre contre ce terrorisme islamiste de ce HAMAS terroriste (qui
ne veut pas deux états distincts !)
Les juifs sont détestés par une
majorité d’arabes musulmans (et autres) depuis la nuit des temps remontant à + de
4000 ans et à l’histoire ancienne biblique de l’EGYPTE pharaonique qui les avait
mis en esclavage du temps de MOISE !?
Les USA les protègent car leur
communauté à NEW-YORK est plus importante qu’en ISRAEL suite à une forte immigration
due à la dernière guerre mondiale et au nazisme mais cette situation peut changer
en fonction du locataire de la maison blanche et du peuple américain lui-même ?!
Car ce moyen ORIENT est une poudrière
et donc les pays encore libres et civilisés démocratiques Européens et U.S. doivent
absolument regarder la réalité en face car cette nouvelle fausse guerre froide
est maintenant (entre orient et occident qui semble de plus en plus vilipendé par
d’autres pays !?)
Emmanuel Macron,
funambule sur la courbe du chômage
LA CHRONIQUE
DE SOPHIE COIGNARD. Contrairement à son prédécesseur, le président n’a pas
lié son sort politique à celui de cette courbe facétieuse. Encore que…
MAIS QUE LES FRANCAIS ENFIN
NE S’OCCUPE PAS DU SORT POLITIQUE DE CE PRESIDENT INCOMPETENT ET COMMENCE A PENSER
A LA FRANCE ET A EUX-MEMES POUR MIEUX VIVRE QUE DE SURVIVRE COMME FONT LES PLUS
PAUVRES DE NOS CONCITOYENS SVP !?
Ce mardi 14 novembre, le projet de loi « pour le
plein-emploi » était définitivement adopté par l'Assemblée nationale. Par
un cruel hasard de calendrier, l'Insee annonçait, le lendemain, que le taux de
chômage, en baisse continue jusqu'alors, avait augmenté de 0,2 point au
troisième trimestre, passant de 7,2 à
7,4 %. Faux plat ou inversion malvenue ? C'est toute la
question.
Contrairement à François Hollande, Emmanuel Macron
n'a pas commis l'imprudence de lier son sort politique à la courbe du
chômage. Il a toutefois fait du retour au plein-emploi,
longtemps considéré comme un doux rêve, le marqueur de son second quinquennat.
N'a-t-il pas tenu à ajouter au titre du ministre du Travail celui du
« Plein-emploi » ? N'a-t-il pas dit et répété qu'il souhaitait
ramener le taux de chômage à 5 % en 2025 ?
Ce n'est pas son avenir politique à moyen terme qui est en jeu,
mais la trace qui restera de son quinquennat. Avec, en filigrane, l'idée
qu'obtenir des résultats éloquents en la matière serait la meilleure manière
d'endiguer la montée de l'extrême droite.
Les mirages du plein-emploiMais
le climat économique mondial morose, conjugué à la hausse des taux d'intérêt,
rend le pari difficile, pour ne pas dire la mission impossible. La Banque de
France comme les instituts de conjoncture prévoient une légère hausse
du taux de chômage l'an prochain, pour atteindre entre 5,8 et 5,9 % de la
population active. Face à ce défi, l'exécutif se déploie tous azimuts.
C'est actuellement la Semaine de l'industrie, événement récurrent qui prend
une dimension particulière cette année avec le double objectif de
réindustrialisation du pays et de création d'emplois. Problème : des
emplois, l'industrie en crée peu, pour cause de robotisation notamment. Mais
aucun gisement ne doit être ignoré.
Se « secouer les puces »
Mardi 21 novembre, le président recevait à l'Élysée une centaine de
patrons de PME pour leur présenter le programme ETIncelles, destiné à les aider
à devenir des ETI, entreprises de taille intermédiaire. Objectif :
exporter et… créer de l'emploi. « Réveillez-vous ! Je vous le dis en
toute sincérité, réveillez-vous ! », leur a-t-il dit.
La séquence en cours pourrait laisser entrevoir une pointe d'agitation. Bruno Le Maire
veut aligner la durée d'indemnisation des séniors à celle des autres
salariés du privé : « Si vous avez plus de 55 ans, la durée
d'indemnisation, c'est 27 mois, alors qu'aujourd'hui, le lot commun,
c'est 18 mois. Pourquoi ? » a-t-il demandé sur France Info jeudi
23 novembre avant de déclarer : « Si on ne se secoue pas les
puces, il n'y aura pas 5 % de taux de chômage. »
Élisabeth Borne entend pour sa part réduire le nombre de ruptures
conventionnelles, en forte hausse depuis cinq ans, qui permettent à un salarié
de toucher les indemnités de chômage après avoir divorcé à l'amiable de son
employeur. Gabriel Attal et sa ministre déléguée Carole Grandjean sont priés
d'accélérer sur la réforme du lycée professionnel, grand pourvoyeur de jeunes
peu qualifiés donc difficilement employables. Bercy a dû renoncer à faire
700 millions d'économies sur les aides à l'apprentissage, car le cap du
million d'apprentis doit être franchi coûte que coûte avant la fin du
quinquennat…
Nul n'ignore que la courbe du chômage sera scrutée quand sonnera l'heure du
bilan. Emmanuel
Macron n'a certes pas eu l'inconscience de lier son sort à elle. Il
a néanmoins indexé son héritage sur elle.
Amusant le titre de l’article
de Mme COIGNARD car dejà le bilan de son 1er quinquennat est nul et le
2eme entamé prend le même chemin jusqu’en 2027 ?!
Et s’il est sur un fil bien qu’il
ne soit pas dejà tombé cette image n’est même pas la réalité car il n’a même
pas décollé du sol avec sa politiqué inexistante de président procrastinateur pathologique
qui n’arrive pas à décider quoi que soit pour le présent jusqu’en 2027 de positif
pour les Français et la France qui continue à décliner que ce soit à l’intérieur
ou à l’international !?
Mais tout cela à cause de pauvres
gogos naïfs de Français lambda ayant peut-être peur du lendemain qui l’ont réélu
que pourtant il n’est même pas capable de protéger car ne sachant pas ou il va en
tant que chef d’état petit bourgeois bon chic bon genre se prenant pour un monarque
sans couronne rappelant nos rois fainéants (dénomination qui a été attribuée, a posteriori, aux rois
francs mérovingiens, succédant, à partir de 639, à Dagobert Iᵉʳ Cette
appellation a été forgée par Eginhard, biographe de Charlemagne !?)
Mais à cette époque ancienne les Français de ce moyennage (« gens de
peu ») ou gueux comme s’est plu à dire notre président qui les dédaigne ne
faisant pas partie de son monde ne votaient et ne choisissaient pas leurs dirigeants
de cet ancien régime et cette V eme république devenue indirectement monarchique
avec trop de pouvoir que ces Français lambda lui ont donné !?
Conclusion : il se noie en discours fumeux non suivi d’effet car bavardant
en s’écoutant parler pour ne rien dire d’utile aux Français qui ont perdu depuis
longtemps leur amour propre révolutionnaire de 1789 et qui chantent encore leur
hymne national la « Marseillaise » lors des matchs sportifs des équipes
de France (avec l’espoir des J.O de PARIS réussi !?)
Mais pour les changements utiles politiques qu’ils réclament depuis + de
40 ans (même après 2027 il ne faut même pas rêver !?)
Immigration : des
lois mais pas de vision (mais lesquelles ?! )
TRIBUNE. La
France n’a jamais cherché à développer une véritable politique nationale
d’immigration. L’actuelle loi débattue à l’Assemblée ne déroge pas à la
règle.
Smaïn
Laacher*
Publié le 28/11/2023 à
15h27, mis à jour le 28/11/2023 à 17h01 Immigration : des lois mais
pas de vision
TRIBUNE. La
France n’a jamais cherché à développer une véritable politique nationale
d’immigration. L’actuelle loi débattue à l’Assemblée ne déroge pas à la
règle.
Smaïn
Laacher*
Publié le 28/11/2023 à
15h27, mis à jour le 28/11/2023 à 17h01
PLUS BETE QUE LES FRANCAIS JE MEURT CAR LES PLUS MAUVAIS ELECTEURS DE LEURS
DIRIGEANTS ET GOUVERNEMENTS DE TOUS BORDS DEPUIS + DE 40 ANS ET ETANT FRANÇAIS MOI-MEME
J’AI HONTE NOTRE EGOISME ET VERSATILITE NOUS POUSSENT DANS LE FOND COMME LA FRANCE !?
Et revoilà l'immigration en débat
à l'Assemblée nationale. On négocie, on marchande, on bombe le torse
et on désigne les lignes rouges à ne pas dépasser. Sinon, on verra ce que l'on
verra. On ne plaisante pas avec les rappels à l'ordre et les mises en garde,
toujours énoncés sur un ton comminatoire que les politiques affectionnent
particulièrement.
Est-ce que la nouvelle loi
va modifier le statut des immigrés et les perceptions sur les phénomènes
migratoires ? Est-ce qu'après le vote final, nous serons en présence d'une
autre façon de traiter ce fait historique ? Il est permis d'en douter,
sans pessimisme injustifié. Je me fonde simplement sur ce qu'apporte une
connaissance de l'histoire de l'immigration.
Bien entendu, il y aura quelques
aménagements et transformations à la marge. C'est le moins que
puisse produire le droit. Mais la configuration générale restera inchangée.
Au cours de cette longue temporalité, il n'y a eu ni politiques publiques
dignes de ce nom ni évaluation des multiples actions de l'État et de ses
institutions. L'immigration a toujours fait l'objet d'une
« administration » en fonction de la conjoncture du moment, des
circonstances politiques et des rapports de force électoraux. Lesquels se sont
traduits soit œuvrant à une plus grande fermeté, soit une plus grande avancée
en matière de droits. C'est là une constante historique, et c'est aussi une
singularité française.
Gestion migratoire
Ce qui est frappant, c'est l'absence permanente d'une capacité à construire,
à l'aide d'une stratégie à long terme, une politique nationale d'immigration.
La raison est la suivante. Trois catégories ont structuré la vision du monde de
l'État et de la société civile à l'égard de l'immigration depuis le début du XXe siècle :
la conjoncture (socio-économique), le provisoire (la condition ontologique de
l'immigré comme être de passage), et le droit des étrangers (comme dispositif
d'encadrement et de limitations).
Entre 1945 et 1980, point de loi. La régulation des flux
migratoires par le droit n'est pas une préoccupation du législateur ni de
l'exécutif. C'est seulement vers la fin des années 1990 que l'État
pense la gouvernementalité des populations immigrées par la loi et, surtout,
par l'usage abondant d'ordonnances, d'arrêtés, de circulaires et de décrets. Ce
qui engendre une véritable hyperactivité législative.
La vision générale sur ces populations n'est pas bouleversée. L'immigration
ne fait pas l'objet d'intention à long terme. Ainsi, ne parle-t-on pas de
politique publique lorsqu'il s'agit d'immigration, mais exclusivement de
« gestion » (de l'entrée, du séjour, de l'expulsion des étrangers en
situation irrégulière). Le droit des étrangers réglemente, autorise et
catégorise ; et, on l'oublie trop souvent, la partie liée à la notion de souveraineté
de l'État-nation.
Plus encore, la construction de ce droit
et ses évolutions sont profondément dépendantes de facteurs économiques,
sociaux et politiques, tels que le besoin de main-d'œuvre, la protection des
demandeurs d'asile, les relations avec les États anciennement colonisés ou
encore la construction de l'Union européenne. Mais l'important, que l'on
soit de droite ou de gauche, n'est-il pas de laisser son
« empreinte » avant de quitter la Place Beauvau ?
L’immigration galopante qui touche
les pays libres fortunés développés attirent les autres habitants qui fuient des
pays totalitaires ou d’autres touchés par la misère pour simplement manger à leur
faim ou se loger décemment ou fuir des guerres et par le manque de liberté de faire
tout ce que l’ont veut ou tout dire car sans garde-fou et pas gouvernés dans des
dictatures ou l’on peut être asservi et jeté en prison voire pire au nom de religions
obscurantistes moyenâgeuses ou par des potentats extrémistes barbares qui règnent
par la force ou la peur pour leur simple profit ou pouvoir absolu hérité depuis
+ de 2000 ans de nos anciens régimes monarchiques avec toujours plus de puissance
pour eux et qui nous élisons et réélisons malgré notre révolution de 1789 et nos
empires et républiques dans nos démocraties par nous naïfs en France qui ne pensons
qu’à « notre chacun pour soi » individualiste et versatile et nos petits
avantages étriqués semés par nos dirigeants de tous bords depuis + de 65 ans dans
cette Veme république gaullienne usée pseudo monarchique ou nous avons mis en place
une clique de bienpensant donneurs de leçons hypocrites que personne n’écoute dans
ce monde entier malade !?
Pour les migrants c’est déjà
trop tard ils sont déjà là depuis + de 60 ans avec la fin de la décolonisation de
nos empires coloniaux et le flux ne cesse pas !?
Nos ressortissants ou migrants
d’ailleurs manifestent quelque fois par manque de liberté mais qu’ils aillent voire
ailleurs là ils verront ce qu’est le totalitarisme j’ai voyagé de par le monde (quand
on le pouvait encore en pseudo sécurité !?)
Ou qu’ils acceptent les démocratures
ou dictatures à la poutinienne ou autres qui perdurent dans le monde dans des pays
connus car nos dirigeants depuis des décennies par ces problemes migratoires et
ces lois « serpent de mer » sur cette immigration dont ils n’arrivent
même pas à accoucher car ne sachant pas gouverner à cause de Français qui ne savent
pas choisir et voter pour leurs élus !?
C’est cela la vérité mais il
faut la regarder en face et agir !?
Mais moi étant âgé je n’y crois
plus ( même après 2027 !?)
Le ministre du Travail,
Olivier Dussopt, jugé pour favoritisme ET ALORS ?!
Soupçonné de
favoritisme en 2009 alors qu’il était député-maire d’Annonay
(Ardèche), le ministre du Travail est jugé à partir de ce lundi.
Par V.D.
avec AFP
Publié le 27/11/2023 à
07h51
DANS NOTRE PAYS DE « LA
MAGOUILLE » DEMOCRATIQUE LIBRE DE BIEN PENSANT DONNEURS DE LECONS HYPOCRITES QUE
NOUS ELISONS ET REELISONT COMME DES NAIFS ON NE COMPTE PLUS CEUX QUI ONT MIS LES
MAINS DANS LE POT DE CONFITURE (C’EST SI FACILE DE NE PAS SE FAIRE PINCER CAR BIEN
SUR IL Y EN A D’AUTRES PROTEGE PAR LEURS STATUTS D’ELUS …. ?!)
Après celui d'Éric Dupond-Moretti,
le procès d'un autre membre du gouvernement en exercice s'ouvre ce lundi
27 novembre : celui d'Olivier Dussopt,
appelé à s'expliquer sur des soupçons de
favoritisme dans un marché public passé en 2009, qu'il conteste. Le
ministre du Travail est cité à comparaître (jusqu'à jeudi) devant le tribunal
correctionnel de Paris
pour communication d'informations privilégiées concernant un appel d'offres, au
profit du groupe de traitement de l'eau Saur, lorsqu'il était député et maire
PS d'Annonay (Ardèche).
Il est aussi soupçonné d'avoir fait modifier les critères d'évaluation de cet
appel d'offres, portant sur un marché de 5,6 millions d'euros, en
diminuant l'importance accordée au prix afin de favoriser cette société,
détentrice d'une délégation de service public pour gérer l'eau de la commune
depuis 1994, mais plus chère que les entreprises concurrentes.
Perquisition
L'affaire avait débuté par un article de Mediapart, en mai 2020,
révélant qu'un dirigeant local de la Saur avait offert à l'élu ardéchois deux
lithographies du peintre Gérard Garouste, en 2017, alors qu'un nouveau contrat
était sur le point d'être conclu entre Annonay et cette entreprise. Le Parquet
national financier (PNF) avait ouvert une enquête préliminaire pour
favoritisme, mais également corruption, prise illégale d'intérêt, complicité et
recel de ces délits. Ces derniers griefs ont été classés sans suite : les
lithographies se sont révélées de faible valeur – quelques centaines d'euros –,
le cadeau est apparu comme une initiative non sollicitée et Olivier Dussopt
n'est pas intervenu dans le processus d'attribution du marché de 2017, a
précisé une source judiciaire.
En revanche, une perquisition en août 2020 au domicile ardéchois du
député-maire avait permis de saisir le compte rendu d'un entretien avec le
directeur général de la Saur Olivier Brousse, en juillet 2009, évoquant le
montant du marché et les critères de l'appel d'offres, et un e-mail de l'élu
envoyé trois semaines après à ses services, demandant de faire évoluer
plusieurs de ces critères.
Confiance d'Élisabeth Borne
Lorsque la perspective d'un procès a été rendue publique, en
février 2023, le ministre était sur le devant de la scène médiatique,
portant la réforme des retraites, texte emblématique et contesté du second
quinquennat d'Emmanuel Macron. La Première ministre Élisabeth Borne lui avait
alors renouvelé sa confiance. Depuis la rentrée, le ministre, âgé de
45 ans, s'est fait discret à l'approche de son procès, qu'il refuse de
commenter avec les journalistes.
Tout juste le 5 novembre a-t-il répété sur France 3 sa ligne
de défense, la même depuis février : « On parle d'une enquête qui a
été classée pour 80 %. Quatre points sur cinq ont été classés, il en reste
un, sur un marché de 2009, il y a 14 ans. Je vais au tribunal pour
convaincre de ma bonne foi. J'ai convaincu le parquet sur les quatre premiers
points, je souhaite le convaincre sur le cinquième. »
Plaider la prescription
Olivier Brousse, 58 ans, aujourd'hui dirigeant d'une entreprise de
paysagisme, comparaîtra pour complicité de favoritisme. « Il conteste les
faits » et « s'expliquera devant le tribunal », a indiqué son
avocate à l'AFP. Tous deux encourent 2 ans de prison et
30 000 euros d'amende. Saur, troisième grande entreprise de l'eau en
France, poursuivie pour recel de favoritisme, risque une amende de
1 875 000 euros.
En février, la société avait indiqué à l'AFP qu'elle considérait « que
cette action résiduelle à son encontre, près de quinze ans après les faits,
n'(était) pas justifiée ». Certains prévenus devraient plaider la
prescription des faits, selon une source judiciaire, une analyse contestée par
l'accusation qui estime que l'infraction était « dissimulée » jusqu'à
la perquisition d'août 2020.
Le problème de plus parmi tant d’autres de cette gouvernance politique française
déplorable c’est de trouver des ministres de tous bords qui ne trainent pas de casseroles
diverses dans notre pays de si donneurs de leçons de nos dirigeants bienpensant qu’ils n’appliquent pas à eux-mêmes
se prenant pour des monarques (presque absolus) car ayant obtenus trop de pouvoir
des français lambda naïfs qui ne s’en sont mêmes pas rendu compte ne comprenant
rien à la politique intérieure française pour la majorité d’entre eux ou simplement
ne s’y intéressant pas ou ne votant pas ne sachant plus choisir tant ils sont désabusés
préférant cultiver « leur chacun pour soi » dévastateur et leurs petits
avantages étriqués (n’ayant même pas le courage de leurs opinions quand on les interroge
se contentant de dire le fameux « moi je n’ai pas voté pour eux » ?!)
Quand un président petit bourgeois procrastinateur pathologique que l’on
a réélu en plus malgré des protestations ou manifestations diverses depuis 2018
qui ne fait rien ne sachant pas décider même en politique internationale désespérante
qui est de « l’hébreu » pour lui sans mauvais jeux de mots pour cet Israël
et ses malheureux juifs si détestés dans le monde entier depuis la nuit des temps
par cet antisémitisme autre forme de racisme parmi tant d’autres tares que traine
les hommes incapables de s’entendre et même vivre entre eux en bonne intelligence
malgré leur passé et leurs guerres mondiales et leurs mysticismes religieux souvent
obscurantistes qui causera mieux leur perte que leurs armes de destruction massive
car cela fait + de 2000 ans sur nos calendriers judéo chrétien que ça dure ?!
Le pire naturellement c’est les plus faibles qui vivent dans la rue et ne
mangent pas à leur fin en France UNE HONTE et cette Europe dite unie ou chacun tire
la couverture à LUI !?
Car en France on n’est pas assez malheureux ce dimanche je suis sorti à PARIS
et fait une promenade aux CHAMPS ELYSES ou de nombreux passants pas que des touristes
remplissaient tous les bars ou restaurants moi et ma fille nous étions allez voir
le film « NAPOLEON » avant pour terminer notre sortie parisienne ?!
Nadine Morano :
« Macron est prisonnier de son indécision » ?!
L’ENTRETIEN
POLITIQUE DU WEEK-END. L’eurodéputée LR s’alarme du climat de
« danger » qui règne en France, attisé par LFI, et établit un
parallèle entre « immigration de masse » et montée de
l'« insécurité ».
LA STUPIDITE DE L’ELECTORAT
DES FRANCAIS LAMBDA DU PEUPLE N’A AUCUNE LIMITE CAR ILS SONT INCURABLES CAR N’Y
COMPRENANT RIEN POUR LA MAJORITE D’ENTRE EUX EN POLITIQUE INTERIEURE ET INTERNATIONALE
DE LA FRANCE CE QUI FAIT LE BONHEUR DE LA POIGNEE DE NOS POLITICIENS DE TOUS BORDS !?
Nadine Morano s'est rendue
il y a quelques jours en Israël, à proximité de la bande de Gaza, avec une
délégation de parlementaires européens et nationaux. Elle y a visionné
« les images d'horreur filmées par les barbares du Hamas », raconte
l'eurodéputée LR, très marquée par ce qu'elle a vu. Elle a ensuite
accueilli à Paris la famille de Mia Schem, une jeune Franco-Israélienne de
21 ans enlevée lors du festival de musique Nova, dont le Hamas a diffusé
en vidéo des preuves de vie. « Tous les médias audiovisuels devraient
rappeler que nous avons huit Français retenus dans des conditions
absolument terrifiantes pour que la pression en vue de leur libération reste au
maximum ! » plaide Nadine Morano.
L'ex-ministre de Nicolas Sarkozy juge que l'Union européenne a
bien agi en condamnant « clairement et immédiatement » les massacres
du Hamas, classé comme organisation terroriste. L'UE, dit-elle, doit
« continuer de soutenir Israël pour lui permettre d'éliminer tous les
terroristes à Gaza, dans le respect du droit de la guerre et du droit
humanitaire. À plus long terme, elle devra poursuivre ses efforts en vue de
l'élaboration d'une solution politique fondée sur deux États souverains,
qui coexistent dans la paix et la sécurité. Sans cela, le conflit
israélo-palestinien ne connaîtra jamais d'issue ».
Nadine Morano est nettement plus sévère lorsqu'il s'agit d'évoquer la
politique d'Emmanuel Macron. Le « en même temps » n'est pas son truc.
De la diplomatie macronienne à l'immigration en passant par l'Europe,
l'eurodéputée ne trouve aucune circonstance atténuante au chef de l'État,
qu'elle accuse de vivre dans un « monde virtuel ».
Le
Point : Comprenez-vous la position du chef de l'État,
qui a dans un premier temps soutenu fermement l'État d'Israël, avant de
mettre en garde contre une réplique disproportionnée à Gaza ? Plusieurs
diplomates français s'en sont d'ailleurs alarmés dans une lettre…
Nadine Morano : En matière de diplomatie comme dans
les autres domaines, Emmanuel Macron est prisonnier de son indécision et
du « en même temps ». Ses revirements ne mènent nulle part, mais
affaiblissent considérablement la crédibilité et l'influence de la France sur
la scène internationale. Que ce soit en Afrique, au Liban ou en Israël, la
voix de la France ne porte plus. Notre pays est déconsidéré.
Scandaleuses et tellement indignes. Jean-Luc Mélenchon et les députés de LFI
sont les complices et les porte-voix des islamistes, qui constituent leur
électorat. Chacune de leurs déclarations depuis les attaques du 7 octobre
relève de l'abjection. Incapables de reconnaître le caractère terroriste du
Hamas, qu'ils ont osé qualifier de « groupe militant palestinien »
dans une résolution déposée par leur groupe au Parlement européen, leur
comportement anti-France, et parfois ouvertement antisémite, met en danger les
Juifs de France et l'ensemble de nos compatriotes. Aux prochaines échéances
électorales, aucune voix ne doit aller à LFI, qui vient de montrer une nouvelle
fois son terrible visage islamo-gauchiste.
En participant à la marche contre l'antisémitisme, le
RN vous paraît-il sincère ou cynique ?
La lutte contre l'antisémitisme nécessite l'union de la nation et non des
cordons de division. Je considère que tous ceux qui ont pris position
publiquement contre l'antisémitisme et ont dénoncé clairement les actes
terroristes du Hamas avaient leur place dans cette marche, quelle que soit leur
étiquette politique.
Si nous voulons réduire massivement
l’immigration, nous devons prendre des mesures de fermetéNadine Morano
Le projet de loi Immigration
sera examiné à partir de lundi à l'Assemblée nationale. Quel regard portez-vous
sur la valse-hésitation de LR sur ce texte ? L'approche des sénateurs
Républicains semble différente de celle orchestrée par le groupe présidé par
Olivier Marleix, ainsi que celle imprimée par Éric Ciotti…
Avec Éric Ciotti, la position de LR en matière d'immigration a
toujours été claire ! Nous considérons qu'il y a trop d'immigration en
France et qu'une immigration subie, incontrôlée, ne peut pas être assimilée.
Plus de deux millions de titres de séjour ont été délivrés depuis l'élection
d'Emmanuel Macron, c'est un triste record. Si nous voulons réduire massivement
l'immigration, nous devons envoyer un message clair et prendre des mesures de
fermeté. Nos sénateurs ont considérablement durci par amendements le projet de
loi immigration : suppression de l'aide médicale
d'État (AME), qui nous coûte 1,2 milliard d'euros par an, mise en
place de quotas migratoires votés chaque année par le Parlement, resserrement
des critères du regroupement familial, etc. À l'Assemblée nationale, qui
aura le dernier mot sur le contenu de la loi immigration, la majorité de
monsieur Macron, soutenue par la gauche et l'extrême gauche, supprimera
vraisemblablement ces mesures de bon sens. Ils ont déjà annoncé notamment
qu'ils rétabliraient l'AME… Je ne vois pas comment notre groupe, présidé par
Olivier Marleix, pourrait soutenir un tel texte.
Elle contient quelques mesures utiles, en particulier pour simplifier
et accélérer les procédures de reconduite des clandestins, et faciliter les
expulsions d'étrangers qui sont une menace à l'ordre public. Mais elle présente
de graves lacunes : par exemple, elle ne s'attaque pas au problème des
mineurs non accompagnés (MNA). Ils sont plus de 40 000, et la France
refuse de les expulser alors que le droit de l'Union européenne le lui permet.
Pire encore, en prévoyant l'octroi d'un titre de séjour aux clandestins qui
travaillent dans les métiers en tension, ce qui équivaut à les régulariser, à
leur ouvrir la porte du regroupement familial et des prestations sociales, elle
est un encouragement à l'immigration illégale, qui serait ainsi acceptable dans
certaines circonstances. C'est intolérable. Pour moi, l'immigration illégale
est, par nature, et en toutes circonstances, inacceptable.
Si vous étiez députée nationale, vous ne voteriez donc pas la loi en
l'état ?
Non. J'ajoute que sur le sujet migratoire, qui est pourtant au cœur des
préoccupations des Français, Emmanuel Macron a une nouvelle fois fait la
preuve de tout son mépris, en balayant d'un revers de main notre proposition
d'organiser un référendum pour donner la parole à nos compatriotes sur cette
question vitale dont dépend l'avenir de notre cohésion nationale et de notre
civilisation. Par ailleurs, le gouvernement ne fait rien pour remettre en cause
les accords bilatéraux, notamment celui avec l'Algérie, qui accordent à trop
d'étrangers des dispositions favorables qui n'ont plus lieu d'être en matière
d'immigration vers la France. Ni même pour conditionner nos aides au
développement à la nécessaire coopération migratoire des États d'origine et de
transit de l'immigration irrégulière. Ou encore pour empêcher les demandeurs
d'asile de circuler librement sur notre territoire pendant toute la durée de
l'instruction de leur demande.
Quelle peut être la voie de sortie des Républicains, coincés entre
Renaissance et le RN, afin d'affirmer une ligne claire ?
C'est une question de crédibilité, il n'y a pas d'alternative, les
Républicains doivent continuer d'assumer leur fermeté en matière d'immigration,
en n'hésitant pas à rejeter une loi qui ne répondrait pas à nos priorités, à
savoir : réduire massivement l'immigration, augmenter drastiquement les
retours de clandestins, décourager clairement l'immigration illégale à
destination de la France. Si Emmanuel Macron et son gouvernement continuent
d'être sourds à nos propositions, qui vont dans le sens de ce que veulent les
Français, qui sont légitimement les seuls à pouvoir dire qui ils souhaitent
accueillir ou non chez eux, le dépôt et le vote d'une motion de
censure ne sont pas à exclure…
Vous vous êtes récemment rendue sur l'île de Lampedusa, qui fait
face à un afflux de migrants. Quels enseignements en avez-vous tirés ?
Je suis déjà allée dans les camps de réfugiés au Liban et en Jordanie, mais
également en Grèce sur l'île de Samos. Ce que j'ai vu à Lampedusa, où je me
suis rendue en mission parlementaire, ne relève pas de l'afflux ni de la
submersion migratoire. Il s'agit d'une véritable invasion ! 128 000
personnes sont arrivées en six mois sur les côtes italiennes. En trois
jours, plus de 11 000 migrants, quasi exclusivement de jeunes hommes qui
viennent d'Afrique subsaharienne, ont débarqué sur cette île de 6 000
habitants, qui dispose d'un centre d'enregistrement des migrants
de 385 places ! Il faut que ça cesse !
L'Union africaine doit être mise devant ses responsabilités. La Méditerranée
a deux rives, les Européens n'ont pas à subir ce choc migratoire. Le maire
de Lampedusa, que j'ai rencontré, m'a expliqué qu'avec cette immigration de
masse toutes les infrastructures de l'île étaient saturées : les services
de santé, le traitement de l'eau et des déchets, la morgue, le cimetière…
Lorsque j'ai accompagné les garde-côtes sur leur bateau lors d'une patrouille,
ils m'ont raconté qu'une grande partie de ces jeunes hommes étaient armés de
couteaux, qu'ils devaient leur confisquer à l'arrivée. Nous devons mettre un
coup d'arrêt à cette situation.
Vous avez été frappée, dites-vous, par la proportion d'hommes parmi
ces migrants. Quel est le sens de cette remarque ?
Cet afflux massif de jeunes hommes, issus de pays qui ne partagent ni notre
culture, ni nos valeurs, au sein desquels l'égalité entre les hommes et les
femmes n'existe pas, où jusqu'à 90 % des filles ont subi des mutilations
génitales, est un danger pour le continent européen. Les femmes sont les
premières victimes de cette immigration de masse. Les Français sont inquiets et
révoltés face à l'explosion du nombre de viols et d'agressions sexuelles, sur
des jeunes filles comme sur des personnes âgées de plus de 90 ans, commis
dans notre pays par des étrangers, souvent en situation irrégulière et frappés
d'OQTF [obligation de quitter le territoire français, NDLR]. À Paris, en
matière de délinquance, un mis en cause sur deux est étranger !
L'immigration de masse et l'insécurité sont étroitement liées, plus personne ne
peut le nier.
À copier les primaires des socialistes, nous
nous sommes effondrésNadine Morano
Alors que le RN et Reconquête ont déjà désigné leur tête de liste,
votre parti semble hésitant sur la constitution de la liste aux européennes,
notamment sur le nom de celui ou celle qui la mènera. Êtes-vous candidate à
être tête de liste ?
Ne voyez ni hésitation, ni faiblesse, ni même retard. Nous avons un agenda
parlementaire extrêmement chargé, tant au niveau national qu'européen. Notre
travail et nos résultats sont nos priorités. Avec François-Xavier Bellamy et
notre délégation française au Parlement européen, nous avons un vrai bilan à
défendre et nous travaillons à proposer un projet solide. Nous respectons
simplement notre calendrier d'actions ! Le RN et Reconquête ont été
inexistants lors des élections sénatoriales sur lesquelles nous étions
concentrés et que nous avons remportées. Ils ne disposent que de peu d'élus
locaux et n'ont aucun poids au Sénat. Contrairement à eux, nous sommes à la
fois une force politique parlementaire et territoriale, c'est important et
c'est ce qui nous différencie de nos adversaires. Ce dimanche, tous nos
adhérents sont invités à voter pour renouveler nos instances
départementales lors des élections internes, dont sortira la composition du
nouveau Conseil national qui validera notre liste aux élections européennes.
J'ai déjà assumé la tête de liste en 2014. Je m'engagerai pleinement dans ce
combat pour servir les intérêts de la France en Europe.
Seriez-vous favorable à une alliance électorale et gouvernementale
avec Renaissance, comme l'ont suggéré Nicolas Sarkozy et Jean-François
Copé ?
Lorsque je vois au Parlement européen les votes des députés Renaissance de
M. Macron, qui soutiennent par exemple la répartition des migrants dans les
États membres, ou encore une Europe fédérale au détriment d'une Europe des
Nations, je considère que nos visions de l'Europe sont incompatibles, que nous
n'avons rien en commun et qu'aucune alliance n'aura lieu avec eux. Quant à
travailler à un projet rassembleur pour sortir la France de sa fracturation, je
pense qu'Emmanuel Macron n'en a jamais montré la moindre envie.
LR souffre-t-elle d'un trop-plein de leaders capables d'emmener le
parti jusqu'à la présidentielle, ou d'une carence ?
Les Républicains disposent d'un fort vivier de personnalités d'expérience.
Mais c'est la méthode de désignation qui nous a été fatale… À copier les
primaires des socialistes, nous nous sommes effondrés, exclus du jeu par des
divisions d'écuries mortifères ! Pour gagner les élections
présidentielles, il faut une solide préparation. Sortir du lot, être le
meilleur, incarner un leadership incontestable et rassembler ! Laurent
Wauquiez, fort de son expérience parlementaire, ministérielle, mais aussi d'élu
local, a annoncé qu'il se préparait à cette échéance sur le terrain avec un
souci d'une vraie proximité avec les Français. On est loin du nouveau monde
virtuel annoncé par Macron, mais dans une volonté d'emmener le pays avec une
vision claire de bon sens tant attendu, pour en finir avec un « en même
temps » qui n'aboutit à rien.
La droite LR n’a PAS supporté la non
réélection de N.SARKOZY par ses divisions intestines dans ce parti de cette droite
classique médiocre par ces vieux politiciens
usés que les Français ont connus quand ils étaient aux affaires ce qui nous a donné HOLLANDE le pleutre et notre
président actuel et sa « macronnie ou plutôt maconnerie » pour employer
un mot plus grivois qui correspond mieux
à ce qu’elle est réellement et qui commence trop tard à s’inquiéter malgré
sa réélection par des Français naïfs incurables râleurs pétards mouillés de ce qui
reste de l’opposition morte née avec un gouvernement 1ere ministre et ses ministres inféodés au pouvoir
mais d’une nullité remarquable !?
Donc pour cette opposition au pouvoir en place on réentend Mme MORANO aboyeuse
de foire très mal élevée sa marque caractérielle défaut inhérent à une opposition
récente de droite LR depuis l’élection et réélection du président à qui les Français
lambda ont donné trop de pouvoir mais insuffisante pour contre carrer le gouvernement !?
Sans oublier l’épouvantail RN de M.LE PEN autre pétard mouillé qui fera pschitt
piège à gogos pour Français lambda qui s’y
laisse prendre !?
Néanmoins il reste encore ce vieux politicien MELENCHON déjanté d’extrême
gauche tribun extrémiste non élu mais qui tire les ficelles de la discorde et malfaisance
et dangereux pour semer le souk son seul plaisir PERSONNEL !?
Le problème étant que la « macronnie »est au pouvoir jusqu’en 2027
et c’est encore loin !?
Et si les Français qui votent et choisissent si mal nos dirigeants pour les
protéger ou les diriger depuis + de 40 ans ( « et qui ne sorte pas le nez de
leurs culs en disant que ça pue » excuser mon langage populaire que tout le
monde peut comprendre !?)
Car le monde change et donc la France aussi qui est moquée ou ignorée par
la communauté mondiale et même des pays libres et démocratiques dont nous devenons
la lanterne rouge !?
LA CHRONIQUE
DE SOPHIE COIGNARD. Elle veut se débarrasser de cette étiquette sulfureuse
mais félicite le Néerlandais Geert Wilders qui s’en réclame. Incohérence ?
L’étiquette d’un parti ne fait pas sa qualité
ou sa faiblesse le leader doit se renouveler et doit savoir le reformer en profondeur
M.LE PEN a eu le temps de le faire mais n’a pas su saisir la balle au bon et tourner
la page FN/RN car trop lente à agir !?
Trente-sept sièges aux élections législatives contre
vingt-cinq pour la coalition de gauche et vingt-quatre pour les
libéraux qui étaient jusqu'alors au pouvoir : Geert Wilders, le
« Trump néerlandais », exultait mercredi soir
à l'annonce des résultats et se félicitait d'incarner le
premier parti du pays. Sa biographie est peut-être moins connue que son
physique détonnant, mais elle peut se résumer en un adjectif : extrémiste.
Condamné par la justice de son pays pour des propos collectivement insultants
pour les Marocains – qu'il avait traités de « racailles » –,
promoteur de solutions expéditives telle l'interdiction du Coran ou des
mosquées, opposé à tout soutien à l'Ukraine et admirateur de Poutine, il n'a
jamais renié son appartenance à l'extrême droite.
Marine Le Pen s'emploie depuis plusieurs années et
singulièrement depuis les législatives de 2022, à une entreprise de
« dédiabolisation » qui exige de gratter l'étiquette
d'extrême droite collée à l'image de son
parti. Ainsi, à l'occasion des récentes élections sénatoriales, le
Rassemblement national avait-il saisi le Conseil d'État en référé pour demander
la suspension d'une circulaire du ministère de l'Intérieur qui attribuait
la nuance politique « extrême droite » à tout candidat se réclamant
de lui. En vain, d'ailleurs. La plus haute juridiction administrative a
confirmé la circulaire.
Le sujet épineux du « Nexit »
Après toutes ces années d'efforts à la poursuite de la respectabilité,
jusqu'au recours au Conseil d'État, Marine Le Pen
s'est publiquement félicitée de la victoire de l'extrême droite
néerlandaise. Elle a salué une « performance spectaculaire » qui
« confirme l'attachement croissant à la défense des identités
nationales ».
Au micro de France Inter, hier matin, elle a redit son enthousiasme :
« Geert Wilders et son mouvement sont des alliés du Rassemblement
national. » Des alliés extrémistes ? « Je n'ai pas à
cautionner ou non. Moi, je cherche en Europe des alliés, pas des clones.
[…] Pour se faire entendre, parfois, quand on est un mouvement qui n'a pas
encore l'audience nécessaire, certains croient qu'il est utile, justement, de
choquer. » Ce serait donc une question d'audience…
Interrogée sur ce point, elle apporte
une réponse inquiétante : « C'est au peuple néerlandais de choisir
son destin, comme l'a fait d'ailleurs le peuple
britannique. » Étrange analogie quand on connaît les multiples
différences entre les deux pays. Les Pays-Bas sont un des pays fondateurs
de l'Union européenne. Pas le Royaume-Uni. Ils appartiennent à la zone
euro et à l'espace Schengen. Le Royaume-Uni n'en a jamais fait partie. Trois
caractéristiques fondamentales que Marine Le Pen ne peut ignorer. Si ce n'est
pas de l'ignorance, ce serait donc, dans le meilleur des cas, de l'incohérence.
M.LE PEN a un nom hérité de son
père J.M. LE PEN était extrémiste de droite qui lui a créé ce parti Front National
en 1970 qui a semé le souk dans la classe politique médiocre française qui n’a pas
évolué ce qu’il avait réussi à faire en son temps avec ses diatribes déjantées irrévérencieuses
mais qui ne voulait pas le pouvoir !?
Elle MARINE LE PEN a essayé de
ripoliner ce parti pour essayer de se donner une notoriété et dédiaboliser cette
extrême droite pour devenir comme ces partis de droite classique ou certains de
ses leaders sont aussi à la limite de l’extrémisme en changeant le nom de son parti
en RN ( méthode éculée des partis de droite LR et autres qui en ont changé maintes
fois depuis que cette Veme république Gaullienne usée de 65 ans devenue monarchique
existe (à la limite de pseudo démocrature) que l’ont voit de plus en plus fleurir
dans des pays connus du fait que les Français lambda naïfs et gogos incurables incapables
de choisir ou d’élire des dirigeants et politiciens et qui ne pensent qu’à eux et
à leurs avantages divers plutôt qu’à la France et ces citoyens lambdas « gens
de peu « comme dit notre président dédaigneux qu’ils ont élu et réélu car
n’y comprenant rien à par vociférer ou manifester depuis 2018 pour tout car plus
rien ne marche correctement dans notre petite France que nous contribuons à pousser
vers un trou sans fond !?
Sans oublier cette extrême gauche
LFI/NUPES et son VIEUX leader charismatique tribun aboyeur de foire J.L.MELENCHON
voir dangereux par ses diatribes haineuses qui sème le trouble pour son plaisir
personnel !?
Alors comme nous sommes encore
dans un pays (encore) dit libre et démocratique remercions ces citoyens enfin ceux
qui votent ou choisissent si mal de regarder la France tomber mais dont la chute
les entrainera avec elle jusqu’en 2027 (et peut être après !?)
Car quand on rencontre ces français
lambda au comptoir du café de commerce ces dégonflés comme des baudruches crevées
disent toujours (« moi je n’ai pas voté pour eux ?!)