jeudi 30 avril 2015

LA FRANCE A BESOIN D'ARGENT MAIS ATTENTION A QUI ON VEND SES AVIONS POUR FAIRE LA GUERRE !


Société

ARMEMENT Le contrat pourrait rapporter plus de trois milliards et demi d'euros...

VIDEO. Le Qatar va acheter 24 avions de chasse Rafale à la France

Comment le Rafale a convaincu les acheteurs de sortir le carnet de chèques
Selon la radio Europe 1, le contrat pourrait rapporter plus de 3 milliards et demi d'euros. Cet accord porte sur une commande ferme de 24 appareils, avec une option sur 12 appareils supplémentaires.
François Hollande se rendra à Doha le 4 mai prochain pour assister à la signature des contrats entre Dassault et l'Etat du Qatar.

Trois contrats en trois mois?

L'Elysée a reconnu être «tout proche d'un accord». Les discussions avec la France durent depuis deux ans mais elles ont été suspendues à de nombreuses fois. Le Qatar a besoin de renouveler sa force aérienne et a pu voir les Rafale à l'œuvre lors de la guerre de Libye en 2011.
Cinq choses que vous ignoriez (peut-être) sur le Rafale
Après l'Egypte en février, l'Inde ce mois-ci, Dassault est sur le point de signer trois contrats en trois mois. D'autres discussions sont en cours avec le Koweït ou l'Indonésie.

LA FILLETTE AURA 17 ANS QUAND IL SORTIRA DE PRISON C'EST PEUT ÊTRE ÇA LE PLUS INQUIÉTANT !


Société

JUSTICE Confondu par son ADN, il a reconnu l'enlèvement...

Enlèvement de Berenyss: Le ravisseur présumé mis en examen et écroué

«Il a reconnu les faits d'enlèvement mais il conteste les faits d'agression sexuelle», a révélé le procureur de Briey (Meurthe-et-Moselle), Yves Le Clair. Le ravisseur présumé de Berenyss a été mis en examen et écroué ce mercredi soir. Il a été confondu par son ADN retrouvé sur des sous-vêtements de la fillette et par le récit de sa victime. «Il s'excuse auprès des parents», a fait savoir Me Caroline Pelas-Renoir, l’avocate du suspect.
Un suspect d'une «violence incommensurable»
Cet agriculteur de 48 ans, père de trois enfants, a été mis en examen pour «enlèvement, séquestration et agression sexuelle sur mineure». Des faits  passibles de dix ans de prison et 150.000 euros d'amende.

«Il est très affecté par ce qu'il a fait»

Arrêté tôt mardi matin, il était resté prostré et avait refusé de collaborer avec les gendarmes. Il a fini par donner «de vraies explications au juge d'instruction, il prend conscience de ce qui se passe et des conséquences. Il regrette de ne pas avoir parlé en garde à vue et il est très affecté par ce qu'il a fait», a précisé son avocate.
Après l'interpellation de l'agriculteur dans sa ferme de Montzéville (Meuse) les enquêteurs ont  ratissé la bâtisse afin de recueillir un maximum de prélèvements. L’objectif est de comparer d'éventuelles traces ADN avec celles d'enfants disparus ou ayant dénoncé des agressions sexuelles. Les résultats de ces prélèvements ne seront pas connus avant plusieurs jours.


IL FAUT ÊTRE FERME SI ON SE LAISSE DÉBORDER PAR DE SIMPLE DÉROGATION RELIGIEUSE DANS LES LIEUX OU ÉTABLISSEMENTS PUBLICS S'EN SERA FINI DE NOS LIBERTÉS ET LAÏCITÉ LES RELIGIONS PRENDRONT LE DESSUS!


Société

EDUCATION La jeune fille avait été interdite de cours pour une jupe assimilée à un signe religieux...

Jupe trop longue: La mère de la collégienne assure que sa fille se conformera aux règles

La mère de la collégienne musulmane interdite de cours à Charleville-Mézières (Ardennes) en raison du port d'une longue jupe noire, jugée comme un signe religieux ostentatoire concerté avec d'autres élèves, demandera à sa fille de se conformer aux directives de l'Education nationale, a-t-elle indiqué mercredi à l'AFP.
«C'est une jupe simple sans signe particulier, ce n'est pas religieux mais si l'école refuse que ma fille la porte en cours, elle ne la mettra pas», a expliqué la mère de la collégienne, en vacances scolaire depuis vendredi. «On ne cherche pas de problème; l'important c'est que ma fille continue ses études mais on ne comprend pas pourquoi l'école a réagi comme ça: quand il fait chaud elle met une jupe, sinon, elle met un pantalon, c'est tout», a-t-elle poursuivi.
L'élève de 15 ans, en classe de troisième au collège Léo-Lagrange dans le quartier de la Ronde Couture à Charleville-Mézières, avait été empêchée d'accéder aux cours à deux reprises au mois d'avril par la principale de l'établissement, qui estimait que sa longue jupe noire était un signe ostentatoire contraire aux principes de laïcité.

Le directeur y voit une action «concertée»

«Depuis plusieurs semaines, quelques jeunes filles portent une tenue avec voile et longue robe ou jupe et arrivent devant l'établissement avec une affirmation identitaire et cultuelle, tout à fait respectable au demeurant mais en dehors de l'établissement», a expliqué à l'AFP Patrice Dutot, l'inspecteur académique des Ardennes «On n'a rien contre une jupe évidemment, quelle que soit sa longueur, le problème est qu'(...)on est en face d'une action concertée avec une tenue qui en l'occurrence relève symboliquement de l'ostentatoire», a-t-il souligné.
Selon lui, «ce sont des adolescentes qui sont dans le tutoiement des règles et dans la confrontation comme beaucoup de jeunes de cet âge, et l'équipe pédagogique doit leur rappeler les principes de l'école de la République: la neutralité et le respect de l'autre». La jeune fille se défend, elle, de toute provocation. «Une jupe c'est un style vestimentaire, ce n'est pas un signe ostentatoire», a-t-elle dit à l'AFP.



LA FRANCE N'AVAIT PAS BESOIN DE CELA POUR ÊTRE DISCRÉDITÉE A L'ÉTRANGER !


Monde

AFRIQUE Une enquête a été ouverte en France en juillet 2014...

Centrafrique: Des soldats français soupçonnés de viols sur des enfants

L'ONU a-t-elle voulu enterrer un rapport interne sur des viols commis par des soldats français sur des enfants en Centrafrique? The Guardian a déclenché la polémique, ce mercredi, en évoquant la suspension d'un cadre de l'organisation qui avait transmis le document aux autorités françaises.
Selon le journal, le rapport en question a pour objet des abus sexuels commis par des Français appartenant aux troupes de maintien de la paix en Centrafrique sur des enfants. Ces agressions se seraient déroulées entre décembre 2013 et juin 2014 dans le cadre de la Minusca, la mission onusienne en République centrafricaine. Parmi les dizaines de milliers d’enfants déplacés par les affrontements dans le pays, certains se seraient plaints à un membre du Haut-Commissariat aux droits de l’homme et à un spécialiste de l’Unicef, qui les interviewaient, d’avoir été violés par des soldats français censés les protéger dans un centre de réfugiés à Bangui, la capitale.

Des abus qui «retournent l'estomac»

Les victimes, dont une partie sont orphelins, accusent leurs agresseurs de leur avoir proposé de l’argent et de la nourriture en échange de faveurs sexuels. Le plus jeune, âgé de neuf ans, raconte notamment avoir été abusé sexuellement avec un ami par deux soldats français alors qu’ils se trouvaient à un checkpoint, où ils cherchaient quelque chose à manger. Terrorisé, il a ensuite quitté le camp.
«Les abus sexuels réguliers par le personnel de la mission de maintien de la paix et le mépris flagrant des Nations unies retournent l’estomac», explique Paula Donovan, de l’organisation Aids Free World, qui a fourni le rapport au Guardian. «Mais l’horrible vérité, c’est qu’il ne s’agit pas de cas isolés», ajoute-t-elle aussi, pour dénoncer le déni et la dissimulation dont font l’objet, selon elle, les affaires de violence sexuelle aux Nations unies. Par le passé, l’organisation a notamment fait face à des scandales de pédophilie en République démocratique du Congo, au Kosovo et en Bosnie, et de soupçons d’agressions sexuelles en Haïti, au Burundi et au Liberia.

Une enquête ouverte en France

Selon The Guardian, le rapport aurait été confié durant l’été 2014 à des cadres de Haut-Commissariat aux droits de l’homme, à Genève. Voyant que sa hiérarchie ne bougeait pas, Anders Kompass aurait alors envoyé le document aux autorités françaises. Celui-ci a ensuite été transmis par le ministère de la Défense au parquet de Paris. Une enquête préliminaire a finalement été ouverte en juillet 2014, a indiqué l'AFP, confirmant une information du site FTV Info. Les «sanctions les plus fermes» seront prises si les abus sexuels sont «avérés», ont indiqué à l'AFP les autorités françaises.
Prises dans la polémique, les Nations unies ont elles aussi réagi ce mercredi soir, par la voix d'un porte-parole adjoint. L'organisation confirme avoir mené au printemps 2014 une enquête sur des «accusations graves d'exploitation sexuelle et d'abus commis sur des enfants par des militaires français» en RCA avant le déploiement de sa mission dans ce pays. Et selon ce porte-parole adjoint, Farhan Haq, un responsable de l'ONU a bien été suspendu pour avoir transmis en juillet 2014 les résultats de cette enquête aux autorités françaises au mépris des procédures. «Notre conclusion préliminaire est qu'une telle conduite ne peut pas être considérée comme celle d'un lanceur d'alerte», a-t-il souligné.


Anders Kompass a été suspendu le 17 avril et fait actuellement l'objet d'une enquête de l'ONU, a indiqué mercredi le conseiller juridique du ministère suédois de la Justice.