mercredi 30 septembre 2015

N.SARKOZY n’a jamais su choisir ces (« collaborateurs ») quand il était au pouvoir, cela se vérifie avec cette politicienne vindicative, rancunière et mal élevée de son parti LR !

Politique

«Pays de race blanche»: Nicolas Sarkozy lâche Nadine Morano


POLITIQUE Le chef des Républicains a demandé aux instances nationales d'écarter Nadine Morano de la course aux régionales dans le Grand Est...
Nadine Morano a franchi la ligne rouge. Nicolas Sarkozy a saisi les instances des Républicains pour leur «proposer de retirer l'investiture en Meurthe-et-Moselle à Nadine Morano» pour les régionales de décembre.
«Ses derniers propos ne correspondent ni à la réalité de ce qu'est la France ni aux valeurs défendues par les Républicains. Que tous ceux qui cherchent par leur déclaration à s'assurer une publicité qui nuit à la crédibilité des Républicains comprennent que cela ne peut pas rester sans conséquence», écrit aussi le parti.

Nadine Morano s'étonne

Après ses propos controversés sur la supposée « race blanche » originelle de la France, le chef de file des Républicains dans le Grand Est, Philippe Richert, avait demandé aux instances nationales du parti de l’exclure de la tête de liste départementale.
Sur Twitter, Nadine Morano a regretté que la commission nationale d’investiture n’ait pas été consultée.
Contactée par nos confrères du Point, Nadine Morano ne se laisse pas impressionnée par la pression subie. «Quant à Nicolas Sarkozy, ce n'est même pas la peine qu'il songe à se présenter à la présidentielle, je le dézinguerai», a-t-elle réagi.


Oui mais, pour répondre à un titre d’article (sur un média) totalement inconcevable intellectuellement quand le monde est attaqué par des fous fanatiques :

Monde

Les frappes françaises contre Daesh en Syrie sont-elles illégales?


ARMÉES Le président d’honneur de la FIDH estime que l’intervention militaire française ne peut être justifiée par la légitime défense…
Au lendemain des premières frappes militaires françaises en Syrie, Patrick Baudouin, président d’honneur de la Fédération internationale des droits de l’homme (FIDH), a soulevé l’épineuse question de la légalité de l’intervention militaire française dans une interview au journal Le Monde, relançant au passage le débat sur la notion de légitime défense et d’ingérence.

Sur quelle base juridique s’appuie la France pour justifier les frappes en Syrie ?

François Hollande, qui avait refusé il y a un an que la France participe aux bombardements menés par la coalition anti-Daesh en Syrie, justifie ce volte-face au nom de la « légitime défense ». «​C’est depuis la Syrie - nous en avons la preuve - que sont organisées des attaques contre plusieurs pays et notamment le nôtre », a-t-il déclaré le 7 septembre dernier. Le président a précisé dimanche à New York que la cible des premières frappes était « un camp d’entraînement de ce groupe terroriste Daesh qui menaçait la sécurité de notre pays ». D’où la nécessité de « protéger notre territoire, prévenir des actions terroristes, agir en légitime défense », affirme le chef de l’Etat.
Un pays est autorisé à faire usage de son « droit naturel de légitime défense » lorsqu’il « est l’objet d’une agression armée », et ce même en dehors d’une action concertée à l’échelle internationale. Cette exception est prévue par la charte des Nations unies (article 51, chapitre VII). Mais Patrick Baudouin estime que la France est « à la limite du détournement de procédure ».

Peut-on parler de légitime défense dans ce cas ?

Qui dit « légitime défense », dit « agression armée ». Or Paris évoque le risque de futurs attentats. « Il s’agit d’une conception extrêmement large du concept de légitime défense », explique Olivier Corten, professeur de droit international à l’Université Libre de Bruxelles. « C’est un argument très dangereux susceptible de créer un précédent. La France va au-delà de la doctrine Bush utilisée en 2003 pour justifier l’intervention américaine en Irak », insiste-t-il.
« L’argumentation juridique est un peu faible car il ne s’agit pas d’une attaque imminente », abonde Bruno Tertrais, maître de recherches à la Fondation pour la recherche stratégique (FRS).

La France peut-elle être sanctionnée ?

Cela semble très peu probable. « C’est assez surréaliste. Le régime syrien n’a pas été consulté par la coalition internationale, contrairement au gouvernement irakien. Mais tant que Damas, qui combat aussi Daesh, donne son accord tacite à ces frappes, il n’y aura probablement pas de sanction ni même de débat sur la question à l’ONU », observe Olivier Corten. 
Le président de la FIDH « a juridiquement raison et stratégiquement tort », résume Bruno Tertrais, qui ajoute que la charte de l’ONU, adoptée en 1945, évolue en pratique depuis des années. Mais le texte n’est pas toujours adapté aux conflits modernes. Ainsi le terme d'«agression armée», désignant généralement un conflit aux frontières, une invasion du territoire ou un mouvement de forces étrangères, n'inclut pas « les cas de cyberattaques massives ».
Un cas pourrait toutefois poser problème. Si des ressortissants français sont délibérément tués par des frappes françaises, l’Etat pourrait être poursuivi, notamment par les familles des victimes. En août, des frappes britanniques ont tué deux djihadistes anglais. Un acte qualifié d'« exécution sommaire depuis les airs » par l’ONG Amnesty International, et qui pourrait donner lieu à une enquête indépendante.







mardi 29 septembre 2015

Que ce soit à OBAMA ou POUTINE à choisir sur ce conflit syrien et cette lutte contre DAESH s’il faut en sortir, il faut laisser de côté les fibres moralistes bien pensantes de F.HOLLANDE qui ne sont plus maintenant de bons alois pour la France !

Le président américain Barack Obama trinque avec son homologue russe Vladimir Poutine lors d'un déjeuner organisé par le secrétaire général de l'ONU, le 28 septembre 2015 au siège new-yorkais de l'organisation
Monde

ONU: Poutine s'en prend à Obama et Hollande sur le dossier syrien


MONDE Le président russe n'a pas exclu lundi de frapper Daesh...
Il est de retour. Le président russe Vladimir Poutine n'a pas exclu lundi de frapper Daesh (groupe État islamique) en Syrie, en appui à son allié Bachar al-Assad, et il a accusé ses homologues américain et français de vouloir décider qui doit diriger ce pays ravagé par la guerre.
La Syrie monopolise l'Assemblée générale des Nations unies à New York et a été l'objet lundi d'une confrontation entre Vladimir Poutine et Barack Obama, qui se sont entretenus pendant une heure et demie au siège de l'organisation internationale.

Première rencontre depuis 2013

Cette rencontre officielle, la première depuis plus de deux entre les deux hommes, a été «constructive et (...) étonnamment ouverte», a confié Poutine lors d'une conférence de presse. «Selon moi, il existe une base de coopération sur nos problèmes communs», a-t-il dit, en russe. Il est ensuite revenu sur sa stratégie militaire et diplomatique pour la Syrie.
Interrogé sur les récentes frappes menées par la France et l'Australie, il a refusé de balayer une telle éventualité par ses forces armées qui renforcent leur présence depuis des semaines dans ce pays. «Nous y réfléchissons. Nous n'excluons rien. Mais si nous devons agir, ce sera uniquement en respectant complètement les normes de droit international», a déclaré le chef du Kremlin qui s'est replacé au centre du jeu diplomatique sur le conflit syrien.

Proposition de coalition

A la tribune des Nations unies, Poutine avait proposé lundi matin une coalition internationale élargie pour vaincre l'État islamique, en soutien à l'armée de Damas. Il avait aussi affiché son unité avec le président iranien Hassan Rohani, autre allié du régime syrien.
En revanche, le président Poutine a exclu d'envoyer en Syrie des troupes de combat au sol. «Nous réfléchissons à la manière d'aider davantage l'armée syrienne. (Mais) en ce qui concerne des troupes au sol (...) une implication russe ne peut pas faire l'objet de discussions», a déclaré le président russe, dont les propos étaient traduits en anglais.

Piques contre Obama et Hollande

Il ne s'est toutefois pas privé pour critiquer Barack Obama et François Hollande, qui appellent régulièrement au départ du président Assad, seule solution selon eux pour mettre sur pied une transition politique dans ce pays détruit par quatre ans et demi de chaos qui a fait plus de 240.000 morts.
«J'ai le plus grand respect pour mes homologues américain et français mais ils ne sont pas des ressortissants syriens et ne doivent donc pas être impliqués dans le choix des dirigeants d'un autre pays», a taclé M. Poutine devant la presse. Obama et Poutine ont étalé lundi leurs divergences sur la Syrie: l'Américain estimant que le président Assad est un «tyran», le Russe jugeant qu'il représente la seule autorité légitime pour lutter contre le groupe État islamique.





lundi 28 septembre 2015

Une évolution peut être utopique de nos sociétés demanderesses de plus de libertés (un printemps arabe à l’européenne plus démocratique ?) Après 250 ans en moyenne de révolutions diverses en Europe et occident ?!

Monde

Catalogne: «Nous avons gagné», clame le leader séparatiste Artur Mas


REACTIONS «A l'État espagnol, sans rancœur, adieu», a réagi Antonio Baños, chef du petit parti indépendantiste de la gauche anticapitaliste CUP...
Le président sortant de la Catalogne (nord-est de l’Espagne), l’indépendantiste Artur Mas a revendiqué la victoire de son camp dimanche, après la publication de résultats partiels des élections régionales faisant état d’une majorité absolue en sièges pour les séparatistes.
« Nous avons gagné », a clamé Artur Mas (conservateur) en quatre langues - catalan, espagnol, anglais, français - devant près de 2.000 partisans rassemblés au centre de Barcelone, qui scandaient « un seul peuple » et ont ensuite dansé au rythme de tubes des années 1980, Jackson Five compris, en agitant des drapeaux séparatistes.

« Nous avons un mandat démocratique »

« Nous avons un mandat démocratique (…) nous avons une énorme légitimité pour aller de l’avant avec notre projet », a assuré Artur Mas. Il avait annoncé avant le scrutin que si les indépendantistes obtenaient une majorité absolue en sièges, ils lanceraient un processus devant conduire à la sécession d’ici 2017.
« Le oui l’a emporté, mais c’est aussi la démocratie qui a gagné », a clamé le président sortant du gouvernement régional, se félicitant du taux de participation, plus de 77 % selon lui, soit un record absolu pour ce type de scrutin en Catalogne.

« A l’Etat espagnol, sans rancœur, adieu »

Selon des résultats partiels portant sur plus de 80 % des bulletins dépouillés, sa coalition (allant du centre droit à la gauche) a obtenu 63 sièges et la liste de la CUP (extrême gauche, indépendantiste) dix sièges, ce qui leur permettrait d’avoir à elles deux une majorité absolue, de 73 sièges sur 135.
« A l’Etat espagnol, sans rancœur, adieu », a lancé sur son compte twitter Antonio Baños, chef du petit parti indépendantiste de la gauche anticapitaliste CUP.





dimanche 27 septembre 2015

Parfait on a envoyé nos quelques « bombinettes » sur des cibles hypothétiques en Syrie c’est bien, que va-t-on faire maintenant, attendre que DAESH réagisse ?

Monde

Syrie: La France a lancé ses premières frappes aériennes


SYRIE Les frappes ont eu lieu dimanche matin, a annoncé l'Élysée...
La France « a frappé en Syrie » ce dimanche, sur la base des renseignements collectés lors des vols de reconnaissance aérien engagés depuis plus de deux semaines, a annoncé l’Elysée dans un communiqué, qui ne donne aucune précision sur le type de cible ni la zone visées. Une annonce qui intervient alors que le président François Hollande est à New York dimanche et lundi pour la 70e Assemblée générale de l’ONU.

« Nous frapperons à chaque fois que notre sécurité nationale sera en jeu »

Ces frappes, les premières en Syrie, ont été faites « dans le respect de notre autonomie d’action, en coordination avec nos partenaires de la région ». Elles confirment la détermination à « lutter contre la menace terroriste que constitue Daesh », souligne la présidence de la République, sans plus de précisions sur l’opération intervenue.
>> A lire aussi : François Hollande juge « nécessaires » des frappes françaises contre Daesh en Syrie
« Nous frapperons à chaque fois que notre sécurité nationale sera en jeu », ajoute la présidence, alors que l’exécutif avait invoqué la légitime défense pour justifier son intention de mener des frappes aériennes en Syrie. François Hollande avait ouvert la voie à des frappes françaises en Syrie contre le groupe Etat islamique le 7 septembre, tout en excluant une intervention terrestre. La France, avait-il argumenté lors d’une conférence de presse, veut connaître « ce qui se prépare contre elle et ce qui se fait contre la population syrienne », dans une allusion aux menaces d’attentats sur le territoire hexagonal.
La France « choisira seule » les objectifs à frapper, avait affirmé le Premier ministre Manuel Valls lors d’un débat à l’Assemblée nationale, excluant de nouveau toute intervention terrestre occidentale même si la France « soutiendrait » celle d’une coalition de « pays de la région ».
Jusqu’alors, la France s’était interdit d’intervenir militairement en Syrie au motif qu’elle craignait que cela ne serve les intérêts du président syrien Bachar al-Assad dont Paris réclame le départ, le jugeant principal responsable de la guerre dans son pays. Mais « la donne a changé et nous ne pouvons plus nous permettre de laisser la Syrie, principal repaire de Daesh, demeurer un angle mort de notre politique au Levant », a argumenté le 14 septembre le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, pour justifier ce changement stratégique.

« Transition politique »

Considérant que « le chaos syrien doit trouver une réponse globale » et que « les populations civiles doivent être protégées contre toutes les formes de violences » émanant de Daesh mais aussi des « bombardements meurtriers de Bachar al-Assad », l’Elysée a souligné dimanche que « plus que jamais, l’urgence est à la mise en place d’une transition politique ». Ce gouvernement de transition inclurait des « éléments du régime et de l’opposition modérée ».
Bachar al-Assad ne peut pas diriger éternellement la Syrie mais l’essentiel pour le moment est d’engager une négociation sur une transition politique, a estimé samedi le chef de la diplomatie française Laurent Fabius lors d’une conférence de presse à New York. La relance d’une solution politique en Syrie sera au centre d’une série de contacts que Laurent Fabius va avoir à New York avec ses homologues américain, russe, iranien, émirati, saoudien, turc et irakien.
La stratégie occidentale pour tenter de résoudre le conflit syrien donnait samedi l’impression de patiner de plus en plus, face à la montée en puissance russe et au dernier fiasco du programme de rebelles syriens formés par le Pentagone. Le président français a appelé mercredi à Bruxelles à l’organisation d’une nouvelle conférence de l’Onu sur la Syrie, à la suite de celles de juin 2012 et février 2014, dites de « Genève I et II ». Quatre ans et demi de conflit en Syrie ont fait plus de 240 000 morts et chassé des millions de Syriens.
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Coïncidence : de qui parle-t-on partout dans notre monde occidental des événements retentissants d’une religion, de ces lieux saints, de ces lieux de cultes, de ses guerres et du terrorisme lié indirectement à celle-ci ?!

 

INCENDIE A LA GRANDE MOSQUEE DE LONDRES
FAITS DIVERS Personne ne se trouvait dans la mosquée lorsque l'incendie s'est déclaré...






samedi 26 septembre 2015

Un épisode de plus dans ce monde du football, sport sclérosé par l’argent et magouilles diverses

Sport

Fifa: Manuel Valls a «entièrement confiance» en Platini


FOOTBALL Le président de l'UEFA est soupçonné par la justice suisse d'avoir perçu 1,82 M EUR du président de la Fifa Sepp Blatter...
Manuel Valls fait «entièrement confiance» à Michel Platini, en pleine tourmente. Le Premier ministre a apporté vendredi soir son soutien au président de l'UEFA, soupçonné par la justice suisse d'avoir perçu 1,82 M EUR du président de la Fifa Sepp Blatter.
S'exprimant brièvement sur France Info, Manuel Valls a estimé que c'était «à la justice de faire son travail». «Mais nous avons, nous, la chance d'avoir Michel Platini, qui a été un grand sportif, qui est un grand dirigeant sportif à la tête de l'UEFA et moi je lui fais entièrement confiance», a insisté le chef du gouvernement à propos de l'ancien numéro 10 des Bleus.
Une procédure pénale suisse vise le président démissionnaire de la Fifa, Sepp Blatter, soupçonné notamment d'un versement illégal de 2 millions de francs suisses (1,8 M EUR) en faveur de Michel Platini, président en exercice de l'UEFA et favori jusqu'ici à sa succession. Les deux hommes ont été entendus vendredi par des enquêteurs, Sepp Blatter «en qualité de prévenu» et Michel Platini «en qualité de personne appelée à donner des renseignements», de témoin donc, selon un communiqué du ministère public suisse.



Les USA préfèrent armer les autres (soit disant moins mauvais) plutôt que de s’impliquer directement, erreur qui se retourne contre eux, (et ses alliés) qui coute cher et est contre-productive !

Monde

Syrie: Des rebelles formés par les Américains remettent des munitions à Al-Qaïda


SYRIE Les rebelles auraient remis «25% de leur équipement» au Front al-Nosra, branche syrienne d'Al-Qaïda, «en échange de leur passage»...
Un nouveau coup porté à la crédibilité du programme américain de formation. Des rebelles syriens, entraînés par l'armée américaine, ont remis une partie de leur équipement et munitions au Front al-Nosra, la branche syrienne d'Al-Qaïda, a reconnu vendredi le commandement des forces américaines au Moyen-Orient (Centcom).
Les rebelles ont indiqué à l'armée américaine qu'ils avaient remis «six pick-ups et une partie de leurs munitions à un intermédiaire soupçonné d'appartenir au Front al-Nosra, soit à peu près 25% de leur équipement», apparemment «en échange de leur passage», a indiqué le Centcom dans un communiqué.
S'il est confirmé, ce comportement «est très préoccupant et constitue une violation des règles» du programme de formation et d'équipement des rebelles, a indiqué dans le communiqué le colonel Patrick Ryder, un porte-parole du Centcom. Ce programme, lancé au début de l'année, était censé former et équiper environ 5.000 rebelles par an pendant trois ans, pour se battre en Syrie contre Daesh. Mais il n'a pour l'instant permis que de former deux groupes de 54 et 70 combattants, selon les chiffres du Pentagone.




vendredi 25 septembre 2015

M.AUBRY pique son fard et se fâche, parce qu’elle n’est plus dans le coup et une passéiste invétérée !

Politique

Martine Aubry «ne retire rien de ce qu'elle a dit» sur Emmanuel Macron


POLEMIQUE Il y a deux jours, la maire socialiste de Lille (Nord) avait clamé son «ras-le-bol» du ministre de l’Economie…
Calmée depuis plusieurs jours par certains de ses collègues après ses déclarations sur Emmanuel Macron, Martine Aubry persiste et signe. « Je ne retire rien de ce que j’ai dit, ni dans le positif, ni dans le ras-le-bol. Il y a des moments où il faut savoir dire ce qui est utile et important », clame la maire socialiste de Lille (Nord), vendredi matin sur France Inter.
Il y a deux jours, elle s’en était prise au ministre de l’Économie, avec qui elle partage tout de même la carte d’adhérente du PS : « Macron… Comment vous dire ? Ras le bol ! Ras le bol, voilà ! (…) Qu’il s’occupe de son ministère, ce serait déjà très bien ! ». De son côté, le ministre de l’Économie a réagi en affirmant ne pas être intéressé par « les petites polémiques ».

« Je n’aurais jamais changé ma ville sans les fonctionnaires »

Martine Aubry fait notamment référence à la phrase de son collègue sur le statut des fonctionnaires, il y a une semaine. Pour Macron, celui-ci ne serait plus adapté au monde réel. Mais elle n’a pas non plus digéré la dernière sortie du ministre, jeudi à Londres (« Les jeunes générations veulent devenir entrepreneurs, pas fonctionnaires »)
« J’aurais pu l’amener dans ma mairie pour lui montrer que les fonctionnaires sont des entrepreneurs. Je n’aurais jamais changé ma ville sans les fonctionnaires, rétorque la maire de Lille. Je n’accepte pas qu’on ait l’air de dire que certains sont des entrepreneurs, des créatifs et que les autres ne le sont pas. »




Chacun est libre de mourir même indirectement à cause de croyance religieuse, mais est-ce raisonnable, c’est difficilement concevable, ces mouvements de foule incontrôlables ?

Monde

VIDEO. Drame à la Mecque: Ryad promet une enquête «rapide et transparente»


ARABIE SAOUDITE Selon un dernier bilan, le mouvement de foule a fait plus de 700 morts...
Après la bousculade meurtrière qui selon un dernier bilan a fait 717 morts et 863 blessés jeudi à Mina, près de la Mecque, les autorités saoudiennes ont promis une enquête «rapide et transparente».
Cette bousculade, survenue lors d'un rituel du hajj, le grand pèlerinage dans le premier lieu saint de l'islam, est la tragédie la plus meurtrière à endeuiller le hajj depuis 25 ans en Arabie saoudite où deux millions de pèlerins sont rassemblés cette année. Elle s'est produite lors du rituel de la lapidation de Satan qui consiste, pour les pèlerins, à jeter des cailloux vers trois stèles le représentant. Un choc entre une marée humaine quittant l'une des stèles et une foule venant en sens inverse a provoqué le drame, selon un responsable du ministère de la Santé.

Enquête «rapide et transparente»

Le roi Salmane, qui a reçu en soirée les responsables du hajj, a dit attendre «au plus tôt» les résultats de l'enquête, ajoutant avoir ordonné «une révision des plans» d'organisation du pèlerinage pour que les fidèles «accomplissent leurs rituels en toute sécurité». Le ministre saoudien de la Santé Khaled al-Faleh a lui promis une enquête «rapide et transparente» sur l'accident qu'il a attribué à un manque de discipline des pèlerins.
Désormais plus de 450 morts dans la dramatique bousculade de Mina, près de La Mecque.  
Plus prudent, le porte-parole du ministère de l'Intérieur, le général Mansour Turki, a ensuite recommandé de «ne pas devancer les conclusions de l'enquête», indiquant que «la grande chaleur et l'état de fatigue des pèlerins ont contribué au nombre important des victimes». Il a indiqué par ailleurs que l'identification des morts et des blessés avait commencé et que les nationalités des victimes seraient annoncées ultérieurement.

L'Iran dénonce des failles dans la sécurité

Alors que la majorité des pèlerins sont des étrangers, l'Iran chiite, grand rival de l'Arabie saoudite sunnite, a dénoncé des failles dans la sécurité. Faisant état d'un bilan de 90 morts parmi ses ressortissants, le guide suprême, l'ayatollah Ali Khamenei, a imputé aux autorités saoudiennes la responsabilité de la bousculade, dénonçant une «mauvaise gestion» de Ryad.
A l'étranger, la Maison Blanche, le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon, l'Allemagne, la France, le président du Conseil européen Donald Tusk et la Turquie ont fait part de leur tristesse et présenté leurs condoléances. Le pape François a exprimé sa solidarité avec les musulmans, au début d'une prière du soir à la cathédrale Saint Patrick à New York, où il venait d'arriver pour la deuxième étape de son voyage aux Etats-Unis.







Le bla-bla du 1er ministre au sujet de l’immigration en France ne convainc plus personne !

Politique

Migrants: La France n'accueillera «pas plus que 30.000» réfugiés, annonce Manuel Valls


IMMIGRATION Le Premier ministre intervenait ce jeudi soir sur France2...
Le Premier ministre Manuel Valls a affirmé ce jeudi soir sur France 2 que la France n’accueillerait « pas plus de 30.000 » demandeurs d’asile dans le cadre du plan européen de relocalisation de ceux-ci.
« La Commission européenne a proposé des centres d’accueil de 160.000 demandeurs d’asile, ceux qui fuient la guerre et la torture. La France (…) a proposé d’en accueillir 30.000. Ça ne sera pas plus », a affirmé M. Valls.
« Il y a un double message très important à faire passer. Il y a cette tradition d’accueil, le droit d’asile. C’est un droit constitutionnel, international, inscrit au cœur même des valeurs de notre pays, de la République, de la France », a-t-il dit.

« Il faut s’organiser et s’attaquer à la source au problème »

« En même temps, il y a quelque chose d’important. Nous ne pourrons pas en Europe accueillir tous ceux qui fuient la dictature en Syrie. Il y a 20 millions de Syriens, neuf millions de Syriens déplacés dans leur propre pays, cinq millions qui pour beaucoup sont en Jordanie, en Turquie, en Libye, souvent dans des camps de réfugiés mais aussi parfois dans des villages vivant dans des conditions précaires », a poursuivi le locataire de Matignon.
« Est-ce qu’on peut aller au-delà, dire " Venez tous en Europe ? " Ce n’est pas possible. C’est pour cela qu’il faut s’organiser et s’attaquer à la source au problème », a-t-il ajouté.
D’après lui, il est « essentiel qu’il y ait ces centres d’accueil, d’identification, pour tous ceux qui demain viendront, pour distinguer ceux qui ont le droit à l’asile, et ceux qui n’ont pas le droit à l’asile, des migrants économiques qu’il faut respecter mais qu’il faudra reconduire dans leurs pays respectifs ».

Distinguer « le demandeur d’asile du migrant économique »

« Il faut faire preuve de solidarité, de générosité, d’humanité, faire vivre ce droit qu’est le droit d’asile, mais en même temps il faut maîtriser, car il y a des peurs, des fantasmes, donc c’est l’idée de la maîtrise, du sérieux, de la responsabilité », a affirmé l’ancien maire d’Evry (Essonne).
« Encore une fois, je le répète, ce sont les vues, le plan français qui se sont imposés » au niveau de l’UE lors de l’accord entre les Etats membres de l’UE mardi sur la répartition des réfugiés, a assuré le Premier ministre.
« Si tout le monde vient, on crée les conditions d’un drame humanitaire. Si nous ne distinguons pas le demandeur d’asile du migrant économique, c’est le droit d’asile qui meurt », a ajouté Manuel Valls, interpellé par une militante associative de Nice qui réclamait que la France ouvre ses frontières.
Le chef du gouvernement a également eu un échange houleux avec un ouvrier, ancien candidat UMP aux municipales à Loudun (Vienne), qui reprochait à l’inverse au gouvernement d’être trop accueillant.