dimanche 31 octobre 2021

Quand on voit comment notre justice laxiste fonctionne quand de tels individus lâches ce comportent de cette façon et qu'ils sont jugés quand ont les arrêtent ?! (Bravo nos bien pensants pleutres qui nous gouvernent)

 

Seine-et-Marne : des dealeurs offrent des primes pour décapiter et violer des policiers

Des tags antipolice ont été découverts vendredi sur les murs d'un hall d'immeuble de Savigny-le-Temple, révèle « Le Parisien » dimanche.

 

Les grands murs blancs d'un hall d'immeuble de Savigny-le-Temple (Seine-et-Marne), point de deal bien connu de la région, ont été souillés d'un « tableau de prime » macabre, offrant monnaie sonnante et trébuchante à quiconque violentera un policier, comme le relatent nos confrères du Parisien, dimanche 31 octobre 2021. Le tag promet ainsi 500 000 euros à celui qui « coupe[ra] la tête d'un policier », ou 200 euros pour un « jet de boule de pétanque sur la police », « rafaler la police à coups de kalachnikov » ou « rentrer une barre de fer dans l'utérus d'une femme policière » à l'auteur des faits.

Ces inscriptions, découvertes par une patrouille dans la soirée de vendredi, inquiètent en haut lieu les forces de l'ordre qui évoluent au quotidien dans cette commune classée en Zone de sécurité prioritaire (ZSP). « Nous constatons une recrudescence de ce genre de tags avec parfois les noms ou les photos Facebook des collègues qui apparaissent », s'est alarmé dans les colonnes du quotidien francilien Julien Constant, délégué départemental du syndicat en Seine-et-Marne.

Des tirs « faits pour tuer » : la police prise pour cible à Lyon

« Ordures »

Ces tags ont également suscité l'ire de Linda Kebbab, déléguée nationale du syndicat Unité-SGP. « Ces ordures ont la chance que les policiers soient bridés par les instructions. Sinon, ça fait longtemps qu’on aurait fait le ménage », a-t-elle fulminé sur Twitter. Selon les informations de BFMTV, citant une source policière, une enquête a d'ores et déjà été ouverte, confiée au commissariat de Melun.

Ce n'est pas la première fois que les murs d'une cité sont utilisés pour cibler les forces de l'ordre. Le 14 avril 2021, les photos de deux policiers du commissariat d'Épinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis), volées sur les réseaux sociaux, avaient été placardées dans une cité de cette ville. Les images – un selfie et une photo de mariage – avaient été « récupérées sur leurs comptes Facebook », selon une source.

À Trappes, le commissariat à nouveau ciblé par des tirs de mortier d’artifice

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On n'est plus très loin d'une anarchie rampante que nos autorités bien pensantes donneuses de leçons ne veulent pas voir, car ayant peur en bons bourgeois offusqués bienpensant qu'elle ne déborde près de chez eux voire dans leurs quartiers ou rues de leurs villes bien propres !

Car il est possible de nettoyer ces zones de non droits avec extrême rigueur mais pour cela on préfère laisser ces lieux en l’état et son économie souterraine perdurer en se fichant de la population qui y vit car se sont justement des jeunes de ces quartiers qui y vivent avec leur famille qui ont peur n’ayant plus aucune autorité sur eux !

Alors en plus au sujet de ces tags meurtriers envers la police qui ne leur fait pas beaucoup de mal, mais qui les gênent (un peu) ces voyous dans leurs trafics de stupéfiants ou autres avec pour ces délinquants dangereux violents ou tout est codifié dans leurs organisations les guetteurs les dealers, fabricants, pourvoyeurs etc.

Que la police, connait bien sûr mais qui ne peut agir fermement, car corseté par notre justice déplorable et un code pénal inadapté et des gouvernements de tous bords qui laissent aller depuis des décennies avec des ministres justice ou intérieur totalement inefficaces au point qu’on se demande pourquoi on les nomme à ces postes et pour la justice certains magistrats qui diront que ce ne sont que des tags anti-police menaçant, mais qu’il ne faut pas prendre au 1er degré !?

Dans peu de temps (on y est presque) toutes grandes villes ou moyennes voir petites de France seront touchées par ce problème qui ne peut être régler quand faisant un grand ménage drastique partout il le faut !

Car c’est aussi une question de sécurité élémentaire !

On n’est plus protégés correctement dans notre pays c'est cela la réalité (car il y a deux types de français et ils ne sont pas égaux !)

Jdeclef 31/10/2021 13h58LP


S'il gène les journalistes tant mieux car les médias qui les font vivre les transforme en bonimenteurs de foire ! (Commentaire censuré par d'autres journalistes nommés modérateurs qui ne respectent pas la liberté d'expression )

 

Michel Richard – Michel Barnier, l’homme qui dérange les journalistes

CHRONIQUE. Peu importe qu’il gagne ou perde son combat présidentiel. Sans le savoir, il est le symptôme d’une maladie médiatique.

Qu’il nous soit permis, pour une fois, de battre notre coulpe et, tant qu’à faire, celle aussi d’autres confrères des médias comme nous coupables du même travers. L’homme qui nous pousse à cette rare démarche – il en sera le premier étonné –, c’est Michel Barnier. Il ne le sait pas, mais son nom nous vient le premier à l’esprit quand, lors d’un exercice d’introspection professionnelle, quelques remords nous agitent.

Peu importe que Michel Barnier soit ou non l’élu des Républicains le 4 décembre ou mangé par les petits cochons de son parti, en l’occurrence Valérie Pécresse et Xavier Bertrand. Quel que soit le verdict, et sans l’attendre, il restera comme le meilleur symbole et la constante victime d’une détestable attitude des médias.

Barnier imprime-t-il ?

Laquelle ? C’est tout simple : les journalistes, analystes, éditorialistes politiques (nous-mêmes, donc) aiment à donner des leçons à tout-va. Ils s’affligent volontiers de l’amateurisme des politiques, de leur dilettantisme sinon de leur fumisterie, relèvent leurs approximations, se moquent de leurs improvisations, condamnent leurs contradictions. À juste titre souvent, la critique est bienvenue, mais là où ça cloche, c’est quand, dans le même temps, ils fuient les sérieux, les austères, les ennuyeux qui font bâiller. Ceux-là, présumés laborieux, catalogués tâcherons sans charme ni esprit, ne suscitent qu’un intérêt forcé, pour peu qu’il ne soit pas arrogant ou méprisant. Que viennent-ils donc faire dans cette cour des puissants ?

Laurent Wauquiez, l’antidote à Éric Zemmour ?

Ainsi, les médias, souvent, snobent et desservent ce qu’ils disent apprécier, le sérieux, et chérissent ce qu’ils disent mépriser, le spectacle. Voilà de quoi, sans le savoir, Michel Barnier est le symbole et la victime. Non pas, dans son seul camp, que Xavier Bertrand et Valérie Pécresse soient follement aguichants, ou des bêtes de scène avérées. Ils peuvent aussi lasser les commentateurs faute de discours qui « impriment ». Au moins parvient-on à leur trouver quelque aspérité ou singularité. Au malheureux Barnier, aucune. Une carrière longue comme un jour sans pain, irréprochable, un professionnalisme sans faille, mais des succès trop lointain (les JO d’Albertville) ou complexe (la négociation du Brexit) pour pimenter son parcours. Pas un article de presse, pas un éditorial, pas une analyse qui lui soient consacrés qui oublie de pointer son ton monocorde, sa voix blanche, son absence de charisme.

Pierre Mazeaud : « Michel Barnier, le Kennedy français »

Arbitres des élégances, vigies scrupuleuses de la vie publique et jury impitoyable des postulants et des impétrants, les médias veulent du buzz et des bosses, du répondant, de la répartie et le moins possible de rébarbatif, d’exigeant ou de plombant. Du sérieux Cour de comptes, soit, s’il en faut, mais mâtiné de Moulin-Rouge.

Sérieux

Que Michel Barnier nous pardonne encore de l’avoir pris comme symptôme de notre maladie médiatique. Mais c’est un trop beau spécimen d’antimirobolant, tous partis confondus, pour ne pas être appelé à la barre de notre autoprocès.

Engagé aujourd’hui dans la compétition présidentielle, la seule fantaisie qu’il se soit permise jusqu’alors est d’avoir un jour posé sans cravate ! Et à la question que pose Le Point aux candidats LR, cette semaine : « À quel péché ne résistez-vous pas ? », là où tous les autres répondent : « La gourmandise », lui dit : « Le sérieux ». Désespérant, n’est-ce pas ? dira le frivole qu’il y a en chaque chroniqueur.

Influences, idée de la France, passions… Le grand oral des candidats LR

Mais voilà que, contre toute attente, Michel Barnier apparaît comme le favori des adhérents LR. Les médias n’en reviennent pas, eux qui en faisaient si peu de cas. Certains en sont même à juger vieillots pareils électeurs favorables à pareil candidat. Certes, cette faveur militante peut encore changer de camp, Pécresse et Bertrand s’y emploient. Mais l’avertissement est déjà là, cruel pour les médias, qui dément leur parti pris et révèle leur déconnexion de la réalité politique. Leçon de la fable Barnier : toujours prendre le sérieux au sérieux.

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Car ces « journaleux » que l’on m’excuse de ce mot trivial pour les désigner sont inféodés pour la majorité d’entre eux à des rédactions de médias orientés selon leurs les idées politiques sans compter ceux étiquetés par certains journaux pour ou contre le pouvoir en place ou carrément par certains courants politiques !

Lors de ses confrontations électorales en France et notamment de celle pour la campagne de l’élection présidentielle, ils oublient leur rôle qui est d’informer et de rapporter des faits les plus précis si possible, mais ils ne font qu’être des portes paroles notamment télévisuelles sur nos nombreuses chaines télés de soi-disant d’informations, mais toutes orientées politiquement et même pour certaines par le pouvoir en place qui s’en sert pour apporter la bonne parole ou information concernant la vie quotidienne des français souvent gogos qui avalent tout et n’importe quoi !?

Mr BARNIER bien sur gène les journalistes, car ce politicien très chevronné par sa carrière passée ne fait pas de cinéma, ne pérore pas pour ne rien dire et déroule son chemin raisonnablement, donc n’a pas de prise sur les commentaires journalistiques divers à son encontre !

Qu’il soit élu ou non n’a pas plus d’importance que d’autres (peut-être, bien que ce ne soit pas si sur ?)

Mais je me permets encore une fois de dire que les français lambda réfléchissent (« enfin ») car ce Monsieur n’est pas le plus mauvais loin de là, parmi la kyrielle de prétendants qui se présentent à cette élection présidentielle et peut être la nouveauté que demandent les électeurs (sans forcément chercher ces défauts, car tous les autres en ont et peut être plus que lui !?)

Jdeclef 31/10/2021 10h07


samedi 30 octobre 2021

Les Français passent leur temps à dire qu'ils veulent des changements à la tête de notre pays mais ils ne changent rien tant ils votent mal !?

 

Pierre Mazeaud : « Emmanuel Macron sera réélu d’extrême justesse »

ENTRETIEN. L’ancien président du Conseil constitutionnel et figure du gaullisme regrette l’absence d’hommes d’État et dresse un bilan du quinquennat.

Aller voir Pierre Mazeaud, c’est ouvrir les premières pages de la Ve République. L’ancien député de Haute-Savoie a un CV long comme le bras, considère Michel Debré comme son père spirituel, raconte ses deux entrevues avec le général de Gaulle, ses engueulades homériques avec son copain Jacques Chirac, son travail au sein de la Commission des lois ou son attachement viscéral à la Constitution. Rentrer chez lui, c’est admirer les photos de ses exploits en alpinisme, mais aussi des documents historiques, comme une lettre griffonnée par le général de Gaulle indiquant ses futurs choix pour le gouvernement.

À 92 ans, Pierre Mazeaud ne vit pas dans le passé. Au sol, Le Monde ouvert sur un article consacré à la souveraineté ; Le Point – saine lecture – dédié au Général. Sur le bureau, un petit livre : La Constitution de la Ve République, dont il a surligné un article « très important ». Jusqu’au bout, l’ancien président du Conseil constitutionnel défendra la souveraineté française et portera un regard exigeant sur la politique française. Entretien avec un passionné.

Le Point : Emmanuel Macron achève dans quelques mois son quinquennat. Quel bilan faites-vous de ses quatre ans et demi à l’Élysée ?

Pierre Mazeaud : Il a saisi une occasion. Il a compris en 2017 que les partis politiques ne fonctionnaient plus. Il est intelligent, il a foncé et il a été élu. Être intelligent ne fait pas de vous un bon président. Il faut de l’expérience. Il n’avait jamais vécu une élection avant et n’avait pas de parti politique, il n’avait rien sauf quelques amis qui lui ont été fidèles, mais qui n’ont pas une très grande valeur politique. Son erreur a été de les garder. Quand tous les hommes de la France libre, même des héros !, voulaient entrer au gouvernement, de Gaulle leur a dit : « Il n’en est pas question. Soyez députés, on verra après. » Je n’attaque pas les hommes, mais il n’a personne. Il est seul. Parce qu’il est seul, il considère qu’il a raison. Il m’a emmené à Colombey-les-Deux-Églises. Dans l'hélicoptère, il me parlait beaucoup de la justice et des réformes qu’il voulait mettre en place. Je lui ai dit ce que je pensais – je suis un peu dur parfois : « Il ne faut pas faire ceci, il ne faut pas faire cela. » Emmanuel Macron m’a répondu : « Comment se fait-il que mes collaborateurs ne m’aient pas dit ça ? » Et là, j’ai compris : il est entouré d’énarques de valeur, mais qui ignorent tout de la politique et sont incapables de dire « non » à leur patron. De Gaulle avait des gens qui savaient lui parler. Michel Debré lui disait « non », ce qui n’empêchait pas la fidélité. Lorsqu’il a voulu mettre en place l’élection du président au suffrage universel, Michel Debré et moi nous nous y sommes opposés. On a dit « non ». Et quand le Général a maintenu sa décision, nous l’avons suivi, car la fidélité l’imposait. Mais de Gaulle avait pris une décision en écoutant des avis opposés. De plus, Emmanuel Macron est très éloigné de l’Assemblée et du Sénat.

Batailles pour prendre en main la « maison commune » de Macron

La critique qu’on lui fait également est celle de la distance avec les Français…

Car il n’avait aucune compétence politique ! Ce n’est pas parce qu’il est passé chez Rothschild qu’il a appris la politique. Il ne l’a pas apprise à l’inspection des Finances. Il avait de bonnes intuitions. Il lui manque un mandat local. Alors oui, dans ses déplacements, il voit les Français, il serre des mains. Mais serrer des mains, ce n’est pas voir les gens. Le président est beaucoup trop important dans la démocratie française. Dans la Constitution, je le rappelle, il y a un article qui précise que c’est le gouvernement qui détermine et conduit la politique du pays. Le candidat fait connaître ce qu’il veut faire ; le président donne les grandes orientations. On ne voyait pas le général de Gaulle aux côtés de son ministre de l’Industrie dans une usine pour demander ce dont ont besoin les ouvriers et le leur donner. Revenons à la Constitution. Il faut trouver des politiques sages et raisonnables, il n’y en a plus. Ses amis de LREM s’ennuient au Parlement. Certains me disent qu’ils sont là pour lever la main. Il n’y a plus de débat. Quand je vais à l’Assemblée, je vois que les députés ne se parlent pas, ils ne connaissent pas, ils ne se disent pas « bonjour ». Nous, c’était la marrade. On rigolait avec les communistes. Ce qui ne nous empêchait pas d’être ancrés sur nos grands principes. Il y avait une ambiance des plus sympathiques. Là, il y a de la haine au Parlement… Ça fausse tout débat et ça amène de la médiocrité en politique. L’exécutif a pris un poids considérable. C’était déjà le cas sous Nicolas Sarkozy qui avait réuni le Congrès pour faire passer le traité de Lisbonne qui avait été rejeté par les Français en 2005.

Le premier qui a méprisé le Parlement, c’est le général de Gaulle en 1962 en faisant une dissolution de l’Assemblée après une motion de censure votée contre Georges Pompidou…

Oui, mais le Général a remporté le référendum par la suite… Relisez l’article de Georges Vedel, la forfaiture a été lavée.

Connaissez-vous personnellement le président de la République ?

Il m’avait invité quand il a été nommé ministre des Finances. Nous avons dîné ensemble. Il m’a parlé de sa conception de la France, je n’étais pas contre. Il m’avait bluffé sur des problèmes où je suis totalement incompétent, par paresse, sur l’informatique et le poids des nouvelles technologies. C’est d’ailleurs l’un des enjeux des années à venir : je suis très inquiet par les Gafa qui dirigent le monde. Les hommes politiques se sont suicidés en accordant trop de pouvoir à ces entreprises. Mais vous savez, il n’y a plus d’homme politique de valeur dans le monde : j’étais content que Donald Trump soit battu, bien sûr, mais regardez Biden, il fait la même chose ! Voire pire avec ses propos sur Taïwan ! Quand je dis ça, je fais preuve de nostalgique, et je ne devrais pas. Le général de Gaulle avait une vision, entouré par des hommes d’État. Ce n’est plus le cas aujourd’hui.

Jacques Chirac et Pierre Mazeaud, ici en 1984 à Saint-Julien-en-Genevois. © LUC NOVOVITCH / AFP

Quel regard portez-vous sur la course à la désignation de LR ?

Je les connais bien. Valérie Pécresse, je l’aime bien, car je l’avais connue au Conseil d’État. C’est une très bonne juriste et c’est une bonne présidente de région. Elle est intelligente et elle a de l’expérience. Xavier Bertrand, c’est un homme qui connaît le terrain et qui a réussi dans les Hauts de France. C’est un travailleur et qui sait parler avec les gens. Il connaît la France. Je ne vois pas Michel Barnier, le Kennedy français, être élu. On dit qu’il a réussi le Brexit. Il a totalement échoué : les Anglais continuent leur politique millénaire. Il a un argument énorme : les Jeux olympiques d’Albertville. Mais c’est un peu loin… Je pense qu’aucun des candidats LR ne sera élu président de la République. Emmanuel Macron sera réélu d’extrême justesse avec une grande abstention. Mais il ne pourra rien faire, car il aura une Assemblée contraire. Il y aura une sorte d’alliance entre la gauche et la droite qui veulent la revanche et qu’ils ne voteront aucun texte.

Les sondages…

(Il nous coupe.) Ça, c’est un vrai problème. Il y en a trop. Et la presse ne parle que de ça. On en fait trop avec Éric Zemmour. La presse recommence la petite musique que les médias ont fait pour le père Le Pen et qui lui a permis de monter dans l’opinion. On l’attaque, mais on veut qu’il vienne nous voir. La presse est en train de faire l’image de M. Zemmour. Je m’excuse de le dire à un journaliste, mais je suis très remonté.

Zemmour avant Zemmour – La fabrique d’un candidat

N’y a-t-il pas dans sa candidature un peu de politique à l’ancienne avec un grand « P », où l’on parle de la France et non de cotisations sociales ?

Oui et non. Il répond à une forme de populisme. Il n’est pas bête. Mais quand il parle du Général… Vous avez en face de vous un gaulliste et quand M. Zemmour vient expliquer que Pétain aurait sauvé des Juifs… Pétain, c’est quand même la rencontre de Montoire ! Quand il se prétend gaulliste, de Gaulle a envie dans sa tombe de lui filer une claque. Mais il va faire des voix. C’est peut-être lui qui peut se trouver face à Macron. Il sera sauvé par sa gestion du Covid, où il a fait preuve d’autorité face au comité scientifique.

L’Europe n’est pas une nation.

Aujourd’hui, tout le monde se revendique gaulliste…

Le général de Gaulle l’avait dit : « Ils parleront tous de moi. » Les Français sont comme ça : ils l’ont chassé en 1969, mais face à la situation actuelle, qui est désespérante et tragique, on revient à ces grandes périodes, ces grands hommes. Il a su dire non. Et puis l’appel du 18 Juin, c’est quand même une aventure ! Cela a de la gueule ! Vous savez, droite ou gauche, chacun choisit son de Gaulle.

« De Gaulle, le Mozart du double jeu » : les extraits du livre choc de FOG

L’Europe doit-elle être au cœur de la campagne ?

Je n’ai jamais été très Européen, mais une fois que c’est décidé et qu’on est monté dans le train, il ne faut pas reculer. Depuis que l’Europe existe, il y a eu de nombreuses erreurs, notamment des élargissements trop importants sans prêter attention à la solidité des pays intégrés. Quand l’Europe s’est retrouvée face à de grandes difficultés, elle n’a pas su réagir. Elle a été divisée, notamment sur la question de Poutine. Il n’y a pas d’union : regardez, nous sommes pratiquement les seuls à gérer la crise au Sahel. L’Europe n’est rien. Elle a des divergences avec le Brexit et la Pologne. Sur ce dernier point, si je ne suis pas un fan du gouvernement polonais, composé de gens d’extrême droite, mais en l’espèce il a raison : la Constitution des nations l’emporte sur la loi européenne. L’Europe n’est pas une nation. Je vois qu’Emmanuel Macron est plutôt sur la tendance de von der Leyen : attention à ne pas diviser les Français ! Sauf que le président de la République est dans une contradiction : sur la querelle de la pêche, que fait-il avec les Britanniques ? Il exerce sa souveraineté.

La politique vous passionne encore !

Oui, mais de loin. Je regarde, je vois quelques vieux copains et des moins vieux. J’essaie de suivre un peu. Ce qui me frappe, c’est la chute du niveau du personnel politique et le manque criant d’hommes d’État. Quand vous pensez que le général de Gaulle passait une journée par semaine – le vendredi, il allait à Colombey – à réfléchir. Il ne recevait personne et ne prenait aucun coup de fil. Il passait le vendredi à se balader dans les jardins pour construire sa vision. Et soixante ans après, on dit : « Quel visionnaire ! » Il a pris le temps d’être visionnaire ! Aujourd’hui, c’est fini. Ils sont toujours en mouvement. Le tout étant aggravé par la présidentielle. La présidentielle, c’est du rock’n’roll tous les cinq ans. Si seulement on pouvait en finir avec cette élection…

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Ils ont cru pour certains au changement avec le jeune E. MACRON mais en fait il est sorti du même moule de cette classe politique médiocre, d'ailleurs il faisait partie du gouvernement de F.HOLLANDE !

Alors s'ils reprennent le même en 2022 jusqu'en 2027 (heureusement pas plus loin, du fait de la constitution qui n'autorise que deux quinquennats !)

Ils seront vraiment incurables, car dans les prétendants à l’élection présidentielle il y a des nouveaux, il suffit de choisir le bon et ils existent, mais çà les Français ne sont pas très doués pour choisir plutôt nuls comme ils l’ont prouvé mainte fois depuis les derniers quinquennats et avant !?

Et avec cette élection à 2 tours qui est le plus grand piège à électeurs de cette Vème république faite pour des politiciens chevronnés pas pour les Français lambda niais, si MACRON se retrouve opposé à un extrémiste aboyeur de foire quel qu’il soit, il l’avalera tout cru et sera réélu !

Et si MACRON est réélu ce sera par les gogos pleutres français les plus mauvais électeurs que l’on trouve en Europe qui se disent « on sait ce qu’on perd, pas que l’on gagnerait en changeant » !

Ils rejoueront le mauvais scenario de la réélection de F. MITTERAND de 1981 et de ces deux septennats un fiasco retentissant pour les Français et la France pour ceux qui s’en souviennent !

Et cela ne fera qu’augmenter l’abstention grandissante, surtout si les sondages d’avant élection donnent MACRON vainqueur !

Jdeclef 30/10/2021 15h04

Un petit complément à mon commentaire de 9h31 SVP : Du à une désespérante gestion de notre pays dans bien des domaines et même à l'international !

 

Affaire des sous-marins : avec Macron, Biden reconnaît une maladresse

Le président américain a évoqué une maladresse dans l’affaire des sous-marins qui a ébranlé les relations diplomatiques entre les États-Unis et la France.

SUITE POUR TERMINER CET EPISODE INTERNATIONAL MEDIOCRE !

E.MACRON ridiculisé (surement) bien que son égo habituel de président a dû prendre le dessus comme tous ceux de nos présidents passés sans amour propre depuis les derniers quinquennats de ces dernières décennies !

Mais en fait notre président monarque sans couronne est comme tout les Français lambda, il avale tout, car n’ayant pas le choix par « le pot de fer contre le pot de terre » !

Et a perdu la face comme le peuple français qui se fait rouler continuellement depuis des décennies par des promesses rarement tenues par leurs élus et de la mauvaise politique politicienne de nos dirigeants de tous bords !

Car les Français s’y dynamiques dans le passé ont perdu leur volonté de se battre préférant se contenter de leurs petits conforts et leur « chacun pour soi » en se plaignant sans cesse et s’en remettre à des dirigeants qui ne sont plus de vrais chefs d’états à qui ils ont donné trop de pouvoir qu’ils utilisent mal, ce prenant pour des pseudo monarques de l’ancien régime dans cette V eme république obsolète qui ne remplit plus son rôle pour le peuple et le pays !

Jdeclef 30/10/2021 10h39


Et alors ça nous fait une belle jambe ces fausses excuses de Joe Biden !? (Les américains influence et dirige encore le monde occidental hérité des dernières guerres mondiales depuis plus de 75 ans !)

 

Affaire des sous-marins : avec Macron, Biden reconnaît une maladresse

Le président américain a évoqué une maladresse dans l’affaire des sous-marins qui a ébranlé les relations diplomatiques entre les États-Unis et la France.

Les États-Unis ont été « maladroits » dans l’affaire du contrat de sous-marins qui leur a valu la colère de la France, ce partenaire « d’une extrême valeur », a dit Joe Biden, vendredi, à Rome, en rencontrant le président français Emmanuel Macron.

« Ce que nous avons fait était maladroit et n’a pas été fait avec beaucoup d’élégance », a déclaré le président américain, ajoutant que la France était à ses yeux « un partenaire d’une extrême valeur ».

Processus de confiance renouvelé

De son côté, Emmanuel Macron a salué devant le président américain Joe Biden « les décisions concrètes » prises après la crise des sous-marins australiens qui « amorcent un processus de confiance » renouvelé entre la France et les États-Unis.

Michel Duclos : « Rompre avec l’Amérique ne résoudrait pas nos problèmes »

Citant les consultations des deux pays menées ces dernières semaines sur le climat, la défense ou encore l’innovation, Emmanuel Macron a estimé qu’il s’agissait de « décisions extrêmement concrètes qui viennent en soutien d’actions et d’initiatives communes que nous menons sur ces différents champs, ce qui est pour moi vraiment l’amorce d’un processus de confiance ».

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Un contrat financier important au niveau économique de perdu et un camouflet de faux jeton des USA et de son président si gentil affable qui fait la même politique que son prédécesseur si décrié avec son America first d’abord !

Car le mal est fait et le mot allié voir ami de la France semble comme ces accords invalidés des chiffons de papiers !

Et notre président pseudo monarque sans couronne car petit pays d’Europe comme d’autres dont la puissance économique et militaire s’est effritée depuis les dernières guerres mondiales se contente de cela ?!

Alors que les USA  décident de tout par des chantages divers économiques ou militaires pour leurs protections occidentales bien qu’ils ont maintenant une puissance la Chine vindicative qui les a rattrapé et notamment dans la zone pacifique asiatique de la mer de Chine avec TAIWAN qu’ils considèrent toujours faisant partie de leur pays depuis 1947 et les alliances US de cette zone Australie, Corée du sud, Thaïlande, Japon qu’ils devraient protéger en cas de conflit avec l’empire du milieu qui vient de renaitre (« et fait trembler le monde occidental » !?)

Jdeclef 30/10/2021 09h24


vendredi 29 octobre 2021

L'état ne peut faire rien de plus ce qui était déjà peu et subir cette 5 eme vague épidémique qui se répand en Europe et dans le monde !

 

Nouvelle vague de Covid : la France sur le fil

DÉCRYPTAGE. L’épidémie repart en France. Si la situation sanitaire reste meilleure qu’ailleurs en Europe, l’entrée dans l’hiver est à haut risque.

Il y a en France un léger rebond de l’épidémie. Pour l’instant, on ne peut pas parler de cinquième vague. Mais, évidemment, cela veut dire qu’il faut continuer à être vigilant », mettait en garde, mardi 26 octobre, Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement, sur Europe 1. Médecins, épidémiologistes et responsables politiques surveillent les chiffres du Covid en France comme le lait sur le feu. D’autant plus que le lait commence à frémir : les chiffres français reflètent en effet une légère reprise de l’épidémie, dans un contexte de dégradation sanitaire à l’échelle européenne.

La France a de nouveau officiellement franchi la barre des 5 000 cas quotidiens de Covid-19 et les derniers chiffres de Santé publique France confirment que les contaminations repartent à la hausse depuis une dizaine de jours. Cette barre des 5 000 cas, c’est Emmanuel Macron qui l’avait retenue en novembre 2020 comme la limite au-dessus de laquelle il n’était pas possible de suivre finement l’évolution de la maladie.

Covid-19 : faut-il craindre une cinquième vague ?

Des chiffres qui sont « la partie immergée de l’iceberg »

Cependant, les nombres de cas détectés chaque jour sous-estiment largement la circulation du virus, beaucoup de personnes contaminées n’ayant jamais été testées. « Nous n’avons jamais eu de stratégie de tests en France, on a testé n’importe qui, déplore l’épidémiologiste Catherine Hill. Les chiffres avancés ne représentent que la partie immergée de l’iceberg. »

D’autres données, plus robustes, retiennent davantage l’attention des épidémiologistes. Le taux de reproduction R – qui donne une indication sur la dynamique de l’épidémie – est repassé au-dessus de 1, marquant une progression. Et le nombre d’hospitalisations par jour, 224 en moyenne au 26 octobre dernier (+ 13,13 % en 7 jours), est également en augmentation.

« Une remontée des hospitalisations n’est jamais le fruit du hasard, d’un changement de comportement ponctuel ou d’un biais d’observation. C’est toujours la signature, un peu tardive – 10 à 15 jours après l’infection –, d’une hausse de la circulation du virus et donc d’une perte de contrôle de l’épidémie », rappelle Pascal Crépey, enseignant-chercheur à l’École des hautes études en santé publique. À noter, cependant, que le nombre de malades actuellement dans les services de soins critiques (1 038) est parmi les plus bas depuis le début de la pandémie.

Des chiffres qui « appellent à la vigilance »

Pour les épidémiologistes, l’heure n’est donc pas encore à l’alarmisme. « Les chiffres ne sont pas inquiétants, mais incitent à la vigilance. Ils nous rappellent surtout que l’histoire de cette épidémie n’est pas encore finie », continue Pascal Crépey.

« La France connaît des signes avant-coureurs d’un rebond possible, mais les niveaux de circulation du virus restent faibles et la mortalité par Covid, très basse, rassure quant à lui Antoine Flahault, épidémiologiste et directeur de l’Institut de santé globale de l’université de Genève. Si l’épidémie repart indéniablement, la situation est sans commune mesure avec celle que nous avons connue l’année dernière à la même époque : l’augmentation des cas, bien réelle, est freinée par la couverture vaccinale.

Grippe et Covid : « Plusieurs événements se précipitent cette année »

Les pays de l’Est submergés

Le continent européen fait face depuis début octobre à un rebond épidémique en nombre tant de cas que de décès. Les pays de l’Est paient un tribut particulièrement lourd. « La Bulgarie, la Roumanie, l’Ukraine, la Russie, les pays baltes : toute cette région connaît une vague épidémique d’une ampleur sans précédent depuis le début de la pandémie, avec une mortalité à un niveau alarmant qui continue à grimper, indique Antoine Flahault. La couverture vaccinale n’y est pas optimale et le système hospitalier est en très forte tension. »

Certains pays d’Europe de l’Ouest – Irlande, Danemark, Pays-Bas, Belgique, Autriche – subissent également une recrudescence des cas. « La mortalité y reste limitée, mais on a l’impression de revivre la situation de l’an dernier à la même époque, malgré une couverture vaccinale de plus de 75 % de la population », continue le directeur de l’institut genevois.

Situation critique au Royaume-Uni

Le Royaume-Uni fait face à une flambée des cas. Avec 50 000 nouvelles contaminations et 140 décès chaque jour, la stratégie adoptée par le pays semble montrer ses limites. La population y est, certes, un peu moins vaccinée qu’en France – 79,3 % des habitants ont reçu deux doses de vaccin, contre 86,4 % en France –, mais l’explication de la situation ne se trouve probablement pas dans ce petit écart de chiffres.

« Comparer la couverture vaccinale de deux pays peut être trompeur, il faut regarder la couverture chez les plus à risqueUne personne de plus de 80 ans sur sept n’est pas vaccinée en France », souligne Catherine Hill. Le recours important, outre-Manche, au vaccin AstraZeneca, moins efficace que les vaccins à ARN messager (Pfizer et Moderna) contre le variant Delta, pourrait aussi être une clé de compréhension.

« Saturday Night Pfizer » : à Londres, on vaccine en boîte de nuit

Au-delà de la stratégie vaccinale, ce sont surtout les choix politiques du gouvernement britannique qui expliqueraient le décalage actuel entre nos deux pays. Le 19 juillet dernier, le Premier ministre britannique décrétait le Freedom Day (« le jour de la libération »), soit la levée de toutes les restrictions, y compris le port du masque dans les lieux clos. « Le Royaume-Uni a fait, cet été, le choix que nous avions fait en début d’année : garder un haut niveau de circulation du virus plutôt que prendre des mesures pour faire baisser l’incidence », indique Pascal Crépey.

Le pays a beau être très proche de nous, tant géographiquement qu’en matière de population, avoir les yeux rivés sur le match France-Royaume-Uni a de toute façon ses limites en termes scientifiques. « Cela n’a pas vraiment de sens de comparer la situation de deux pays à un moment t, parce que les vagues peuvent se présenter à des moments différents », nuance Catherine Hill.

La France, « havre de tranquillité » en Europe

« La France, la Suisse, l’Espagne, le Portugal et l’Italie semblent, en comparaison avec les autres pays européens, être les derniers havres de tranquillité en cette fin octobre », résume Antoine Flahault. Tous partagent une forte couverture vaccinale en association avec des gestes barrières et, dans la plupart des cas, un usage étendu du pass sanitaire – en cours ou jusqu’ici.

Pourquoi les « soixante-huitards » sont les plus vaccinés contre le Covid

« Les Français ont massivement choisi de se faire vacciner, parfois contraints par le pass sanitaire, ce qui a permis d’étouffer la vague estivale et de nous amener à un niveau de circulation virale très faible. Nous ne sommes donc pas sur le même chemin qu’un pays comme le Royaume-Uni. Mais cela ne veut pas dire que celui que nous avons devant nous sera forcément une simple promenade de santé », prévient Pascal Crépey.

Mettre le paquet sur la ventilation

Loin de la balade de santé, les mois de novembre et de décembre pourraient, au contraire, s’avérer éreintants pour notre système hospitalier. Les vacances de la Toussaint devraient avoir le même effet que toutes les vacances scolaires de ces 18 derniers mois sur le Covid : stabiliser la remontée, mais seulement de façon transitoire. L’impact saisonnier sur les courbes du coronavirus ainsi que sur celles de la grippe et de la bronchiolite sera croissant alors même que la campagne de rappel vaccinal Covid ne décolle pas.

Pour freiner le redémarrage, tous les efforts n’ont pas été faits. « Il est urgent de sécuriser davantage les hauts lieux de transmission où se produit l’essentiel des contaminations : les lieux clos, bondés et mal ventilés où l’on séjourne plusieurs heures, comme les classes, amphithéâtres, open spaces d’entreprises ou encore transports publics, martèle Antoine Flahault. Il faut y assurer une ventilation appropriée et contrôlée en continu par des capteurs de CO2 et des normes européennes, qui tardent à venir pour indiquer les seuils au-dessus desquels il est dangereux de séjourner longtemps. » En Europe, les virus circulent décidément plus facilement que les normes sanitaires.

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Soyons sérieux et surtout pragmatiques à part les confinements stricts de début de cette crise sanitaire qui ont montré une certaine efficacité :

Le reste : les fameuses mesures barrières, port des masques, gel hydro alcoolique, lavage de mains, distanciations entre tous les Français pas d’embrassade ou poignées de mains sans compter la fermeture d’établissements publics pas essentiels !

Mais hélas l’affreuse politique politicienne est venue se greffer sur cette pandémie bien plus dangereuse, car l’épisode des variants divers ont ajouté des risques supplémentaires !

Notre président monarque grand organisateur de tout, parce qu’on lui a donné tous pouvoirs a pour faire plaisir aux français avec leurs loisirs d’été en 2020 de diminuer drastiquement ces contraintes et a cru après en commettant à ce jour les mêmes erreurs en lâchant encore du lest grâce à la vaccination qu’il n’a pas voulu rendre obligatoire, mais en créant le fameux pass sanitaire pour obliger ceux qui ne voulaient pas des vaccins ou se faire vacciner en augmentant les polémiques et manifestations de Français qui sont frondeurs dans l’âme criant au manque de libertés mal encadrées, car ils en ont trop en fait ! 

Et ses lâchés de l’est ont induit indirectement une baisse de précautions que prenaient les Français, cela se voit aujourd’hui au quotidien !

Alors que l’on ne dise pas qu’il a bien géré cette crise sanitaire ?!

Il a trop tergiversé avant d’agir plus rapidement comme d’habitude, car pensant à sa réélection et donc espérons que surtout les contaminations n’augmentent pas plus, car là on se retrouvera à la case départ !

Ne parlons pas du coté économique avec l’inflation qui augmente ainsi que les couts des produits courants pour les Français !

Jdeclef 29/10/2021 14h15LP


Y.JADOT est bien un illuminé de EELV les verts ce parti d'empêcheurs de tourner en rond utopistes voire extrémistes !


 

COP26 : Jadot propose un « traité international de non-prolifération des énergies fossiles »

Ce traité vise à interdire toute exploration et toute exploitation d’énergies fossiles qui doivent, selon le candidat écologiste, « rester dans le sol ».

Le candidat écologiste à la présidentielle, Yannick Jadot, a proposé, ce vendredi 29 octobre, « un traité international de non-prolifération des énergies fossiles » pour être « à la hauteur du défi climatique », à deux jours de l’ouverture de la COP26 à Glasgow (Écosse).

« Ce traité vise à interdire toute exploration et toute nouvelle exploitation d’énergies fossiles » qui doivent « rester dans le sol si nous voulons atteindre les objectifs de l’accord de Paris », a-t-il indiqué à des journalistes. « Il n’y a pas de fatalité », a-t-il affirmé. « Il faut sortir du conformisme, de la complaisance vis-à-vis des lobbys qui nous empêchent d’avoir des réponses à la hauteur du défi climatique. »

Basé sur le modèle du traité de non-prolifération des armes nucléaires (TNP) signé en pleine guerre froide, il initierait ainsi un « changement radical » dans le monde, a fait valoir le député Europe Écologie-Les Verts (EELV) Matthieu Orphelin, qui a précisé qu’une résolution « invitant notre pays à s’engager dans la mise en œuvre et la promotion de ce traité » sera déposée « dès aujourd’hui » à l’Assemblée nationale.

Passer des discours aux actes

Le candidat à la présidentielle a dit vouloir être « très dur » sur le charbon, le gaz et le pétrole, qualifiant d'« enfumage » les propositions des partisans du nucléaire : « C’est aujourd’hui qu’il faut agir sur les économies, la maîtrise, l’efficacité et le déploiement des énergies », a-t-il lancé, alors qu’Emmanuel Macron a annoncé qu’il prévoyait d’investir dans de petits réacteurs nucléaires, dits SMR (« small modular reactors »)

Il a ensuite fustigé face à la presse les « effets de tribune » de certains dirigeants politiques, qu’il a appelés pour la COP26 à « cesser de faire des discours » et à « agir à la hauteur de nos responsabilités ».

Outre le traité de non-prolifération des énergies fossiles, le candidat écologiste a proposé la fin des subventions publiques aux énergies fossiles, en principe « actée depuis tant d’années, mais toujours pas mise en œuvre sérieusement », selon lui.

Yannick Jadot lance son OPA sur la gauche

À cela s’ajouteront également un « ISF climatique » et l'« accompagnement des ménages les plus fragiles dans la sortie des fossiles », en « rendant du pouvoir d’achat aux Français, créant de l’emploi, du confort dans nos habitations et en protégeant la santé ».

Les députés écologistes déposeront, par ailleurs, « en début de semaine prochaine » à l’Assemblée nationale, une proposition de création de commission parlementaire « sur l’imbrication des liens potentiels entre l’État et le groupe Total », accusé récemment d’avoir tenté de saper les efforts de limitation du recours aux énergies fossiles, alors qu’il savait ses effets néfastes sur le climat.

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L'écologie la lutte contre le changement climatique ou la pollution voire la gestion des énergies fossiles et aussi nucléaires voire naturelles éoliennes ou solaire n'est pas inutile, loin de là mais il faut que ce ne soit pas de la politique politicienne bornée extrémiste rigide qui fera souffrir les Français plutôt que de leur améliorer la vie !

Ces écologistes politiques courent après le pouvoir comme les autres politiciens des partis classiques gauche ou droite, voire celui du président la REM fantôme !

Mais si ces verts EELV de Y.JADOT veulent tout révolutionner à marche forcée ce sera une catastrophe, on a déjà vu avec N.HULOT le médiatique télévisuel écolo et ces beaux documentaires clinquants qui faisaient rêver les gogos  qui voulait aller trop vite en utopiste irréaliste, mais en n’appliquant pas ses directives à lui-même ou comme les divers ministres de l’écologies qui se sont succédés sous tous les gouvernements de tous bords sans compter certains maires de municipalités élus pendant la pandémie ( qui renait avec le spectre de la 5eme vague ) car le président a encore lâché trop tôt du lest sur les mesures de protections contre la Covid !?

On a eu la révolution industrielle qui a fait décoller notre pays au IXX eme siècle et en Europe et notre empire colonial que nous avons perdu, mais tout ça est loin derrière nous bien qu’on le traine encore comme un boulet dans l’AFRIQUE francophone !

Ce n’est pas l’écologie extrémiste à outrance qui nous sortira de l’ornière ou on est, car il nous faut nous réindustrialiser en remettant des entreprises en place que l’on avait délocalisé (en plus vers la CHINE) devenue la 1ere puissance économique voire militaire du monde, la crise sanitaire de cette Covid nous a montré les faiblesses de notre pays !

(On manque toujours de bon sens ou les Français l’ont-ils perdu ?!)

Jdeclef 29/10/2021 16h43LP

Notre justice (encore laxiste) n'a pas eu le courage d'aller jusqu'au bout de Ses réquisitions de départ avant appel ! (On a beau rabâcher cela à nos gouvernants de tous bords ils sont bornés à tête dure !)

 

Attentat raté de Villejuif : Sid-Ahmed Ghlam condamné à perpétuité en appel

L'étudiant algérien avait déjà été condamné à la réclusion à perpétuité en première instance. Il a refusé de se présenter à l'audience. 

La réclusion criminelle à perpétuité a été confirmée jeudi à l'encontre de l'étudiant algérien Sid-Ahmed Ghlam, jugé en appel pour le meurtre d'une jeune femme et un attentat avorté contre une église de Villejuif (Val-de-Marne) en avril 2015. L'étudiant, « en état de stress », selon la présidente de la cour d'assises spéciale Emmanuelle Bessone, a refusé de se présenté à l'audience pour l'énoncé du jugement.

Il a refusé de sortir de sa cellule du Palais de justice pour entendre le verdict obligeant la cour d'assises spéciale de Paris à envoyer un huissier lui notifier son jugement.

La cour s'est finalement montrée moins sévère que les réquisitions des avocats généraux du parquet national antiterroriste (PNAT) qui avait réclamé la peine maximum prévue par la loi à l'encontre de l'accusé. Si Ghlam écope, comme en première instance, de la perpétuité, il n'est plus soumis à une peine de sûreté de 22 ans. En revanche, son interdiction de territoire à l'issue de son emprisonnement a été confirmée.

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Cette justice (ou les juges) bienpensant donneurs de leçon en fait semble ne pas craindre assez le terrorisme islamique et ses criminels illuminés fanatiques !?

Une interdiction de territoire français pendant 22 ans faut-il encore pouvoir l’expulser d’ici là on l’aura oublié ?!

Notre justice n’est pas à la hauteur, elle devrait être d’exception pour ces crimes de terrorismes islamiques barbares car ces individus n’ont aucun respect de la vie humaine car fanatisés à l’extrême par les mouvements extrémistes moyenâgeux obscurantistes de cette religion qui ne veut que supplanter toutes les autres qui vivent en bonne intelligence en occident et dans le monde pour prendre le pouvoir !

Mais depuis des décennies dans notre pays nous sommes gouvernés et dirigés par des bienpensants donneurs de leçons (hypocrites) car çà fait bien le politiquement correct, ce qui est pire et donc font preuve de trop de tolérance dans tous les domaines délinquance, violences, crimes trafics exacerbés voyoucraties diverses pour tout et n’importe quoi et même le chacun pour soi ou mêmes certains dans des zones connues font leurs lois dites religieuses avec le mysticisme moyenâgeux obscurantistes de certaines religions qui lavent le cerveaux des plus faibles !

Comme notre république et nos présidents de tous bords que nous élisons depuis des décennies ne font rien en nous protégeant pas se drapant dans leur bonne conscience morale de bienpensant ce problème est assimilable à un virus depuis + de 40 ans, mais pour celui-ci on n’est loin d’avoir un vaccin efficace !

D’ailleurs nous verrons l’issue de ce procès des attentats de 2015 on verra les verdicts ne rêvons pas trop sur les rigueurs de notre justice !?

Jdeclef 29/10/2021 12h04


jeudi 28 octobre 2021

Cela fait un peu penser « au vote utile » sémantique électorale qui ne veut rien dire et surtout pas utile !?

 

Les électeurs de gauche prêts à voter Macron au premier tour en 2022 ?

Selon une étude, une partie des électeurs de Yannick Jadot, Anne Hidalgo et Jean-Luc Mélenchon pourrait choisir Macron dès le premier tour du scrutin.

 

Emmanuel Macron ne s’est pas encore déclaré officiellement candidat. Mais tous les sondages l’annoncent pourtant déjà au second tour, face à Marine Le Pen dans la plupart des scénarios. Au milieu de tout ça, la gauche a du mal à tirer son épingle du jeu. Les différentes enquêtes d’opinion ne créditent pas les candidats de gauche, d’extrême gauche et écologiste de beaucoup de points. Une nouvelle étude, publiée par la fondation Jean-Jaurès jeudi 28 octobre, indique même que plus de la moitié des potentiels électeurs de Yannick Jadot (EELV), Anne Hidalgo (PS) et 41 % des sympathisants LFI envisagent de voter Emmanuel Macron dès le premier tour pour faire barrage à l’extrême droite.

Pour son étude, Adélaïde Zulfikarpasic, directrice de BVA Opinion, s’est appuyée sur les résultats d’un sondage de cet institut publié fin septembre. Dans un contexte de fortes intentions de vote pour l’extrême droite, explique-t-elle, ce qui se joue aux yeux de nombreux électeurs de gauche est non pas « la présence pour le moment très improbable d’un candidat de la gauche au second tour, mais la présence même d’un candidat garant du système et des institutions (pour ne pas dire de la démocratie) ». De plus, sa « gestion de la crise » et « son accompagnement sur le plan économique » jouent également en faveur d’Emmanuel Macron, selon Adélaïde Zulfikarpasic.

Le président idéal ? Un improbable patchwork…

Les sympathisants PS et LFI pessimistes sur les chances de la gauche

Le vote utile en faveur d’Emmanuel Macron dès le premier tour, « pour faire barrage à l’extrême droite » en cas de candidature du polémiste Éric Zemmour, est envisagé par 54 % des électeurs se déclarant pour Yannick Jadot et par 57 % de ceux penchant pour Anne Hidalgo.

Cotta – Présidentielle : l’inquiétante candidature d’Anne Hidalgo pour le PS

Chez les sympathisants LFI, pourtant a priori plus à gauche, elle atteint aussi un niveau élevé, 41 %. L’étude souligne en outre que 49 % des électeurs de Benoît Hamon (alors PS) en 2017 envisagent un vote pour le président sortant. Pour Adélaïde Zulfikarpasic, cette mécanique est « fondée sur une idée centrale : celle que la gauche ne pourra pas – en l’état actuel des choses – figurer au second tour de cette élection présidentielle ».

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Ces électeurs qui se refugieraient derrière des partis EELV les verts parce que ça fait bien et à la mode dans ce monde de petits bourgeois ou une gauche moribonde du PS en fait ne veulent que le politiquement correct et pas le changement qu’ils réclament depuis des décennies !?

Ils font partie de cette catégorie de français lambda bienpensants pleutres qui se disent en pensant au président : « on sait ce qu’on perd, mais on ne sait pas ce qu’on gagnera » donc autant garder celui là jusqu’en 2027 de toute façon il ne fera pas un quinquennat de plus selon la constitution, cela ressemble à la réélection de Mitterrand pendant 14 ans et ensuite son décès à cause de sa maladie !

Surtout pour ceux qui ont peur des extrêmes droites ou gauches et des épouvantails médiatiques télévisuels nouveaux !

Les Français ne changent pas en fait ne pouvant tourner la page de leur monarchie ancien régime qu’ils ont renversé avec fracas en 1789 pour avoir après des empereurs et ensuite des républiques (interrompues par des guerres mondiales) pour maintenant revenir à des quinquennats ou ils mettent des pseudos monarques sans couronne à qui ils donnent trop de pouvoir comme dans cette V eme république qui devenue obsolète ne profitent qu’aux politiciens de tous bords professionnels !

Jdeclef 28/10/2021 12h09LP


Que la justice arrête de tergiverser avec des arguties judiciaires pour ce crime horrible !

 

Affaire Mireille Knoll : la cour détaille toute l’horreur du lieu du crime

Alors que les deux accusés se renvoient toujours la responsabilité du crime, la cour tente de reconstituer petit à petit le jour où Mireille Knoll a été tuée.

C’est un immeuble tout gris et assez imposant. Onze étages, deux appartements par palier, vingt-deux logements en tout. Il est situé au 30, avenue Philippe-Auguste, dans le 11e arrondissement de Paris, à quelques rues de la place de la Nation. C’est ici que Mireille Knoll vit depuis une soixantaine d’années. C’est ici, aussi, que son corps sera retrouvé, le 23 mars 2018, lardé de coups de couteau et en partie calciné.

Il est 21 h 30, ce jour-là, quand un brigadier de la préfecture de police de Paris arrive sur place. Sur l’écran de la salle d’audience sont projetées des images de l’immeuble. Il fait nuit, mais la rue déserte baigne dans la lumière jaune des réverbères. L’enquêteur nous fait alors pénétrer avec lui dans le modeste appartement HLM de 50 mètres carrés, photos à l’appui. L’entrée d’abord, puis le salon. La pièce a presque entièrement brûlé. Il ne reste quasiment rien du fauteuil médicalisé de Mireille Knoll. Une chaise est renversée près de la table où l’on distingue encore une nappe en dentelle blanche. Dans cet appartement à la décoration surannée, c’est comme si le temps s’était arrêté.

Dans le fond, on voit le canapé d’angle en velours rouge. Il est carbonisé. D’ailleurs, c’est ici qu’ont été recensés deux des cinq départs de feu. Sur les murs, noircis par la suie, les souvenirs ont disparu. « On peut voir la violence de l’incendie avec ce pan de fenêtre qui est complément retombé sur la table », note l’enquêteur à la barre.

Un peu plus loin sur la gauche, on entre dans la cuisine. Près de l’évier, une tache noirâtre macule le sol, à côté de deux couteaux de cuisine tombés par terre. « Nous en avons déduit que c’est la combustion du porte-couvert en plastique qui a fait chuter les couteaux », précise l’enquêteur à la demande du président. Juste à côté, un petit cavalier jaune est dessiné. Ce sont ces petits pictogrammes qui signalent la présence d’un indice. En dessous, un torchon brûlé. Il sera expertisé comme un autre départ de feu.

Mais il y a surtout cette gazinière, qu’on voit maintenant en gros plan. Les quatre boutons sont tournés vers le haut, en position ouverte. « Fort heureusement, l’arrivée du gaz n’était pas ouverte », souligne le brigadier avant d’ajouter : « On peut imaginer les conséquences désastreuses si ça avait été le cas. » Pas de départ de feu dans la petite salle d’eau aux tons bleus. Mais les murs ont noirci. « La suie s’est déposée partout », commente l’enquêteur pour donner la mesure de la gravité de l’incendie. On arrive ensuite dans la chambre « numéro 2 », où dormait l’ancienne aide-ménagère de Mireille Knoll. La pièce est en désordre. Ici, des tiroirs ouverts, là, une fourrure jetée sur une chaise. Et un peu partout, du linge sorti des placards. « On peut imaginer que la chambre a été fouillée », avance l’enquêteur.

Affaire Mireille Knoll : « Je reconnais l’incendie, mais pas le meurtre aggravé »

Le visage calciné de Mireille Knoll

Puis il faut entrer dans la chambre de Mireille Knoll. Le président de la cour hésite à tout montrer. « Il faut que tout le monde voie ! » s’élève une voix sur le banc des parties civiles. C’est un des fils de Mireille Knoll. On voit alors sa mère allongée de travers sur son lit médicalisé, les bras recroquevillés. « Regardez ! Regardez ! » lance le fils de la victime à l’endroit des accusés. Couchée au bout du lit, Mireille Knoll a une grande partie du corps brûlé. Ses pieds chaussés d’élégantes chaussures dorées touchent à peine le sol.

Pendant l’enquête, tous ses proches expliqueront de manière formelle qu’atteinte de la maladie de Parkinson, Mireille Knoll ne pouvait pratiquement plus se déplacer et encore moins se coucher seule sur son lit, qui sera identifié comme un autre départ de feu. Le matelas sur lequel elle gît est d’ailleurs entièrement carbonisé, comme les murs au-dessus d’elle. Son visage projeté en gros plan est à moitié calciné. Ses yeux sont fermés et sa petite main toute serrée. On imagine, à cet instant, la détresse et la peur qui ont dû se saisir de Mireille Knoll.

Puis vient la photo des coups de couteau. Quatre plaies d’environ quatre centimètres. Le policier à la barre se souvient du choc à la lecture du rapport d’autopsie, qui faisait état de onze plaies : « ça a été un moment difficile pour nous, parce qu’on ne les avait pas constatés dès le début ». Et un avocat de la partie civile d’interroger l’enquêteur : « À votre avis, pour quelle raison ces incendies ont été allumés ? Est-ce pour effacer les traces d’un acte odieux ? Vous ne voyez pas immédiatement les onze plaies… N’était-ce pas le but, en réalité ? » La question restera en suspens.

Dans le box, Yacine Mihoub n’a pas jeté un regard aux photos de l’appartement et du corps de la victime. Son coaccusé, Alex Carrimbacus, lui, regardait parfois en direction de l’écran qui projetait les images. Tous deux accusés d’avoir tué cette femme de 85 ans, avec la circonstance aggravante de l’antisémitisme, ils se rejettent la responsabilité du crime. « Je reconnais l’incendie mais pas les faits de vol et de meurtre aggravé », a lancé mardi Yacine Mihoub, au premier jour du procès. « Il sait très bien ce qu’il a fait […] Je reconnais la participation au vol et avoir donné mon briquet », lui a rétorqué Alex Carrimbacus, qui explique depuis le début s’être rendu chez Mireille Knoll après que Mihoub l’a appelé en lui proposant un « plan thune ». Comprendre : un cambriolage. Ces deux marginaux se connaissaient depuis peu, ils s’étaient rencontrés à Fleury-Mérogis où ils étaient incarcérés entre février et juillet 2017.

Le choc et l’euphorie

Ce mercredi, la cour les a aussi observés, tous les deux, dans la foulée des faits. Partis de chez Mireille Knoll après avoir déclenché l’incendie, ils se sont d’abord réfugiés au 7e étage de l’immeuble, chez la mère de Yacine Mihoub, qui comparait également au procès pour « destruction de preuves ». C’est d’ailleurs le seul point sur lequel ces deux-là s’accordent. Vers 20 heures, ils quitteront l’appartement pour se rendre dans un bar où Yacine Mihoub a ses habitudes, mais où il n’est plus vraiment le bienvenu. La cour projette alors les images de vidéosurveillance de ce bar. Sous la lumière rose des néons, on voit au loin Alex Carrimbacus avachi sur une table, comme endormi. Un des serveurs qui lui demandera de sortir, lui expliquant qu’il ne peut pas dormir là, dira qu’il avait comme un air « choqué ».

Meurtre de Mireille Knoll : deux accusés, plusieurs versions et des zones d’ombre

Mais celui qu’on voit le plus, c’est Yacine Mihoub. Il est euphorique, gesticule dans tous les sens, commande des verres au serveur, qui le somme de quitter les lieux. Il sera même contraint de contacter la gérante du bar, qui a donné consigne de ne plus l’accepter dans l’établissement. Le film n’a pas de son, mais donne une idée des états respectifs des deux accusés dans les heures qui ont suivi les faits. Sur d’autres images, figées cette fois, on verra ensuite Alex Carrimbacus repartir en métro direction Crimée. Il tient alors dans sa main un petit sac en plastique blanc. Ce sac ne sera jamais retrouvé. Yacine Mihoub, lui, se rendra chez son frère à La Courneuve pour y passer la nuit. C’est dans cet appartement qu’a récemment été retrouvé un couteau de cuisine dissimulé sous une machine à laver.

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Puisque les deux accusés lâches se sont acharnés sur cette pauvre femme handicapée sans défense ont participé à ce crime lâche d’une barbarie insoutenable !

Et qu’ils ne sont pas capables ou ne veulent pas de dire qui a fait quoi lors de cet assassinat commis en commun entre eux deux en rejetant leurs actes criminels de l’un sur l’autre, ils méritent le maximum de peine prévue la perpétuité incompressible !

Car ils veulent minimiser l’importance et l’horreur de leurs actions violentes et barbares et çà ne mérite aucun aménagement des peines encourues, il faut que la justice applique avec une extrême rigueur pour ce type de crimes en plus à consonance antisémite en filigrane du fait de la religion de cette victime !

Il faut enfin que la justice et code pénal inadapté soit revu pour sanctionner avec plus de rigueur sans possibilité d’appel, car il ne peut y avoir de circonstances attenantes pour ce type de violences criminelles qui augmentent en intensité dans nos sociétés, il y a des individus qui se comportent comme des bêtes féroces par plaisir ou lâcheté ce que les animaux ne font pas !

Il faut arrêter cette culture de bienpensant donneurs de leçons hypocrites et leur moralité, car ce type d’individus ne respecte pas la vie humaine et ne mérite qu’un enfermement à vie pour ne plus nuire et ces sauvages doivent craindre les sanctions, cela devrait d’ailleurs être le cas pour tous crimes et violences diverses et faits divers insupportable relatés quotidiennement dans les unes de nos médias comme dans des blogs booster de films d’horreurs !

(inutile de censurer ce commentaire SVP il sera de toute façon diffusé sur d'autres médias car la censure est inefficace dans notre pays qui se doit de respecter la liberté d'expression malgré que certains la bafoue !)

Jdeclef 28/10/2021 10h14LP