mardi 26 octobre 2021

Il a géré cette crise sanitaire comme il a pu, mais a commis des erreurs c'est normal : Mais ne disons pas qu'il l'a bien géré :

 

Coignard – Emmanuel Macron, la rengaine du président-candidat

CHRONIQUE. C’est à chaque fois la même accusation : le président sortant, candidat à sa réélection, joue sur les deux tableaux. Mais comment faire autrement ?

Pour échapper aux accusations de duplicité, quand on est président de la République, il faut achever son second mandat, qui interdit toute candidature. Ou, comme François Hollande, être si impopulaire qu’il semble raisonnable de jeter l’éponge.

Emmanuel Macron se trouve donc dans une situation qu’ont connue avant lui deux chefs de l’État seulement : Valéry Giscard d’Estaing et Nicolas Sarkozy. François Mitterrand et Jacques Chirac avaient quant à eux l’avantage d’être des présidents sans bilan à défendre, puisqu’ils sortaient respectivement de deux et cinq ans de cohabitation. Sinon, tout sortant est suspecté d’utiliser ses hautes fonctions à des fins électorales.

Dès lors, six mois avant le scrutin, aucun des déplacements d’Emmanuel Macron, aucune de ses décisions ne peut échapper au soupçon d’électoralisme. L'« indemnité inflation », qui coûtera quelque 3,8 milliards d’euros aux finances publiques, en est une des dernières illustrations. Mais pas la seule. S’il se rend à Marseille avec un chéquier largement ouvert, et des ambitions aussi démesurées qu’un poisson qui boucherait l’entrée du Vieux-Port, il est catalogué en président clientéliste. S’il lance depuis l’Élysée un grand plan d’investissement pour les dix années à venir, il se transforme, aux yeux de ses opposants, en démiurge prêt à hypothéquer l’avenir économique du pays pour satisfaire ses ambitions personnelles. Les pêcheurs, les sages-femmes, les policiers, les agriculteurs, les travailleurs indépendants ? Tous ont bénéficié, ces dernières semaines, de ses prodigalités.

« Indemnité inflation » : l’État grand ordonnateur du pouvoir d’achat

Vieux comme la Ve République !

Feindre de s’en indigner, comme le font les oppositions, est de bonne guerre mais d’une relative mauvaise foi. Dans des circonstances analogues de hausse des prix de l’énergie, le gouvernement n’aurait-il pas instauré une indemnité inflation, même dans une période éloignée de l’échéance présidentielle ? Bien sûr que si ! La crainte d’un désordre comparable à celui des Gilets jaunes aurait suffi à le motiver. À l’issue de la crise sanitaire, l’exécutif aurait-il pu s’exonérer d’un plan de relance ? Difficilement, surtout quand les milliards arrivent directement de l’Union européenne. Se lancerait-il dans l’aventure des petits cadeaux catégoriels ? Peut-être pas, ou pas autant.

Zemmour, Philippe, 2022… Enquête sur le candidat Macron

Mais notre monarchie républicaine, avec ses flous artistiques, favorise ces comportements. D’autant que tous les chefs d’État déclarent leur candidature le plus tard possible, parce qu’il n’y a tout simplement pas d’autre choix. Giscard s’était réinventé, sans grand succès, en « citoyen-candidat ». Sarkozy avait voulu montrer, sans plus de réussite, qu’il n’était pas adepte de l’« abandon de poste ». Macron n’a pas encore trouvé son positionnement. Il est déterminant.

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Il a trop tergiversé et hésité en voulant comme d’habitude essayer de plaire à tout le monde mais çà c’est de la politique politicienne bien française avec arrière-pensée électorale !

Car il s'est entouré de scientifiques champions des plateaux télé (dits émérites avec leurs titres pompeux pas toujours mérités) car trop nombreux incapables de se mettre d'accord entre eux pour combattre efficacement cette COVID jusqu'à maintenant, ou une reprise des contaminations a, lieu partout en Europe et dans le monde ce qui n'est pas étonnant et qu'on va appeler 5 eme vague et où il avait encore lâché du lest en été comme en 2020 croyant que la pandémie se tassait car semble-t-il loin d’être terminée!?

Avec la cerise empoisonnée du gâteau vaccinal : le pass sanitaire sujet hyper polémique pour forcer les plus réticents de ce faire vacciner, car il n’a pas été capable de se comporter en dirigeant monarque absolu et décider la vaccination obligatoire pas encore terminée et ou on en est encore à courir pour la 3 eme injection des personnes âgées de plus de 65 ans alors que certaines de plus de 80 ans ne sont pas encore vaccinées des premières injections !

Moi qui suis âgé et donc a eu tous les vaccins possibles, car à mon époque on n’avait pas le choix j’ai du mal à comprendre les opposants qui crient au manque de liberté qui sont déjà mal encadrées trop nombreuses et pour le coté économique Mr MACRON en période électorale fait comme tous ces prédécesseurs des plans sur la comète et multiples promesses fumeuses !

Ça plait aux gogos de français lambda incurables qui avalent tout et n’importe quoi, bon public cette mascarade, alors il a raison notre président il connait la musique qu’il faut jouer pour les endormir moi je suis en fin de vie alors….

Qu’ils ne se plaignent pas après en 2022 !?

Jdeclef 26/10/2021 12h24LP


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