mercredi 28 février 2024

Quel malheur pour les Français lambda si mal gouverné par un président qui ne sait pas où il va et qui lui ont donné trop de pouvoir !?

 

Emmanuel Macron, le cirque du Roi-Soleil ne joue qu’au cabotin théâtreux bavard !?

Qui comprend encore Emmanuel Macron ? À force de contradictions et d’entêtement, le président s’enlise dans un quinquennat sans boussole.

Emmanuel Macron, l’homme sans politique (c’est hélas vrai !?)

Depuis 2017, le président décide en dépit de toute cohérence. Trois dossiers souffrent de cette instabilité : l’énergie, le logement et l’agriculture.

Par Géraldine Woessner

Publié le 28/02/2024 à 12h00

PAUVRES FRANCAIS LAMBDA QUI N’ONT PAS ENCORE COMPRIS QUI  ONT DONNE LEUR DESTIN A UN PRESIDENT HORS SOL COMME DANS CE MAUVAIS JEU DE LA ROULETTE RUSSO UKRAINIENNE ?!

 Et maintenant, ils rament… Depuis l'annonce surprise par Emmanuel Macron, samedi 24 février, de l'instauration de « prix planchers » pour protéger les revenus des agriculteurs – lâchée depuis le Salon de l'agriculture lors d'une rencontre houleuse avec les syndicats, tandis qu'au pied de l'escalier menant à la salle où le chef de l'État s'était retranché les agriculteurs en colère l'attendaient avec une lance à eau –, les ministres chargés du dossier pataugent dans la semoule. Pressés de questions, Bercy comme l'Agriculture se perdent en explications incompréhensibles. Comment seront constitués ces prix, forcément différents selon les territoires, les exploitations ? Comment éviter de faire exploser les importations, le marché commun interdisant les taxes à l'intérieur de l'Europe ? Et de tirer les prix vers le bas ? Quid des exportations ?

« Pas un économiste académique n'a été consulté, ni à AgroParisTech ni à l'Inrae », s'étonne l'agroéconomiste Jean-Marie Séronie, sidéré de la légèreté avec laquelle le président a sorti cette idée du chapeau. « Le président nous a donné deux semaines pour trouver un schéma qui tienne la route », s'affole une petite main du ministère de l'Agriculture, dont les équipes, comme celles de Matignon, ont travaillé d'arrache-pied pour résoudre la crise. Car, en réalité, Emmanuel Macron n'a lui-même pas la moindre idée de la forme que ces « prix planchers » – qui ressemblent furieusement à des prix administrés – pourraient prendre.

Emmanuel Macron : après la boulette, la pirouette

Une « sucrerie » donnée aux syndicats

Acculé par la crise provoquée par la perspective d'un nouveau « grand débat » façon Convention citoyenne, alors que les paysans attendaient du président qu'il leur donne un cap et sa vision pour les dix ans à venir, « il a voulu s'en sortir en faisant diversion », analyse l'un de ses interlocuteurs réguliers. En « donnant une sucrerie » aux syndicats les plus turbulents : « La Coordination rurale a eu le recensement des fermes en difficulté, et la Confédération paysanne, les fameux prix planchers poussés par LFI. Cela va occuper des groupes de travail et calmer les esprits, le temps que l'élection européenne se passe… »

Emmanuel Macron au Salon de l'Agriculture : récit d'une journée chaotique

Cynisme, ou espoir sincère de renverser la table ? « On ne sait jamais, avec le président, s'il fait un coup politique ou s'il croit vraiment pouvoir plier le réel à sa volonté », glisse un conseiller, d'un ton légèrement résigné. « Un système est peut-être possible pour la filière bovine, que la loi Egalim 2 autorise déjà à expérimenter des prix planchers. Mais elle ne s'en saisit pas », avance Alessandra Kirsch, directrice des études du laboratoire d'idées Agriculture Stratégies. Seule certitude : une promesse lancée trop vite fera des déçus. Car le réel, bête retorse, ne plie jamais… Et Emmanuel Macron, enfermé dans une toile théorique tissée par des conseillers sans expérience du terrain, a tendance, sur un nombre croissant de sujets, à le prendre en frontal.

La victoire des zadistes. Les opposants à la construction d’un aéroport à Notre-Dame-des-Landes (Loire-Atlantique) fêtent l’abandon du projet, en février 2018. © Jean Claude MOSCHETTI/REA

Pas d'étude d'impact

Ce tourbillon programmatique est le dernier d'une longue série de revirements stratégiques sur l'agriculture – dossier sur lequel Emmanuel Macron, depuis 2017, n'a cessé de souffler le chaud et le froid… Comme sur ceux de l'énergie, du logement ou de la transition écologique. « Plus personne ne comprend sa politique », soupire l'économiste Erwann Tison, directeur d'études de l'institut Sapiens. « Quelle est la ligne d'Emmanuel Macron ? Celle du candidat de 2017 ? De la période Covid du “quoi qu'il en coûte” ? Celle du président qui, depuis la guerre en Ukraine, promet la souveraineté mais sans la définir ? On a souvent le sentiment qu'il répond à la dictature de l'instant pour en récolter un gain politique, mais sans évaluer ce que ses décisions vont donner. »

Élu sans réel programme en 2017, le jeune ministre de l'Économie reprend la ligne suivie par son prédécesseur, et recrute, pour s'occuper d'agriculture, d'énergie et d'environnement, dans les cabinets du transfuge EELV Pascal Canfin et de Ségolène Royal. Nicolas Hulot, qui appelle alors à « libérer la société des diktats d'un mode de production et de consommation contaminé par l'illusion de la croissance », le rejoint. C'est le temps des espoirs, le « champion du climat » va rendre la planète « great again ».

 Fiasco du Salon de l'agriculture : deux conseillers de Macron sur le gril

Ses mots d'ordre sont « sobriété », « transitions », « révolution » et « croissance verte ». Et les totems sont dressés, au grand bonheur des ONG, sans la moindre étude d'impact. La France sortira du glyphosate, même si l'Europe ne suit pas. Elle interdira les insecticides néonicotinoïdes, quoi qu'il en coûte, et la vente des passoires thermiques – même si l'Europe ne le demande pas. Elle rendra contraignant l'objectif de « zéro artificialisation nette » des sols. Et même si le pays a « besoin de plus en plus de production d'électricité » pour décarboner son économie, admet-il en 2018 dans un discours qui fera date, il fermera quand même « 14 réacteurs nucléaires d'ici à 2035. Je m'y engage ! »

 Nucléaire : le site de construction du premier SMR suscite le débat

« Montée du bio »

Le fracas des applaudissements des ONG décroissantes, poussées par son entourage, étouffe les premières critiques. Comme en octobre 2017, à Rungis, lorsque le président dessine, devant les agriculteurs, sa « vision » pour l'avenir. Le virage écologique doit être accéléré et, pour garantir des prix corrects aux paysans, Emmanuel Macron milite pour « un changement de modèle » axé sur « la montée en gamme, la montée du bio ». La décroissance agricole est alors assumée : il faudra « arrêter des productions, qu'il s'agisse de la volaille ou du porc […] qui font que nous allons lancer la concurrence sur des marchés internationaux face à des pays contre lesquels nous ne pouvons rien et nous ne pourrons rien », lance-t-il.

« On ne s'attendait pas à ce qu'il reprenne autant de nos positionnements », s'émerveille alors, sur le site Reporterre, l'ex-membre de la Confédération paysanne Nicolas Girod, devenu l'un des leaders du mouvement ultraradical des Soulèvements de la Terre (un mouvement créé, ironie de l'histoire, par les anciens zadistes de Notre-Dame-des-Landes, devant lesquels Emmanuel Macron cédera dès le début de son quinquennat).

Mégabassines de Sainte-Soline : le procureur réclame « des peines mesurées et dissuasives »

Six ans plus tard, le bilan est douloureux… Les agriculteurs français, toujours plombés de charges et constamment soumis à de nouvelles normes, se sont recentrés sur des marchés de niche de haute qualité, mais ils ont perdu les marchés de masse – avalés par les importations étrangères, aux normes environnementales moins élevées. Les importations de fruits, de légumes, de poulets… s'envolent. Des vergers sont arrachés, les cheptels s'amenuisent, poulaillers et abattoirs ferment. Les Français, dont le pouvoir d'achat stagne, n'ont pas les moyens de s'adapter à cette nouvelle offre. Les lois Egalim permettent, pour les agriculteurs concernés, d'atténuer le choc – et de compenser l'absence de réformes de fond sur la compétitivité des fermes… Mais la crise du Covid puis la guerre en Ukraine font voler en éclats le fragile équilibre.

Face à la réalité de l'inflation et du risque d'affaiblissement de la « ferme France », Emmanuel Macron vire à nouveau de bord : la « souveraineté alimentaire » devient le nouveau mantra. Il promet d'en finir avec les sur-transpositions de normes environnementales, encourage à « produire », à construire des retenues d'eau… En 2022, il lance de nouvelles grandes concertations. Des groupes de travail se réunissent pendant des mois, impliquant professionnels, filières, ONG, pour écrire une « grande loi » qui « va tout changer ».

 Les dessous de la mise en « pause » du plan Ecophyto

Mais, sur le terrain, les agriculteurs ne voient rien venir, et bataillent toujours avec l'administration. La loi est reportée. Emmanuel Macron, lui, est déjà ailleurs, promettant, deux ans après la fermeture d'une centrale de Fessenheim en parfait état de marche, la construction de 6 EPR, « peut-être même 14 », des centaines de gigawatts d'éolien maritime et de solaire… Sans qu'on sache où ils seront construits, ni que les budgets soient sécurisés.

Débranchée. La centrale nucléaire de Fessenheim (Haut-Rhin) a été mise à l’arrêt en juin 2020. Depuis, Emmanuel Macron a annoncé la construction d’au moins 6 EPR. © Seeger Patrick/DPA/ABACA

Les aberrations du DPE

« La politique menée est instable, et la rationalité de ses décisions devient de plus en plus difficile à saisir », confie un professionnel du logement, excédé des revirements incessants de l'exécutif sur un autre dossier majeur, en passe de dégénérer, prévient-il, en profonde crise politique. Élu sur la promesse, en 2017, de résoudre la crise du mal-logement en sortant en six mois tous les SDF de la rue, le président mise sur « un choc de l'offre ». Puis il dénonce les « rentes immobilières » et met en place l'IFI. En même temps, il inonde de normes un secteur pesant 25 % des émissions de gaz à effet de serre du pays. Quatre lois seront votées depuis 2019, pour se passer des énergies fossiles, inciter à la rénovation thermique ou ne plus artificialiser les sols.

Sur le papier, le plan est parfait. Mais sur le terrain, les acteurs dénoncent une politique « incohérente », « illisible »… Et la machine se grippe. Entre 2016 et 2023, la construction de logements plonge de 32 %. Et le pire est à venir : la loi énergie-climat organise la sortie du marché de 4,8 millions de logements d'ici à 2028, désignés comme « passoires thermiques », selon une méthodologie aberrante conçue par l'Ademe, pénalisant fortement le chauffage électrique. « Le DPE ne sanctionne pas les émissions de CO2, mais la consommation d'énergie », dénonce Erwann Tison. L'objectif est de pousser d'abord à la sobriété… Qui est aussi un moyen d'atteindre les objectifs climatiques.

 L'isolation des logements, chère et peu efficace ?

L'évaluation du coût de cette politique (représentant un effort de 182 milliards d'euros pour les ménages, selon le rapport Sichel) ne sera publiée que deux ans après la mise en œuvre de la loi. « L'inefficacité du DPE a été démontrée… Pourtant il n'est pas remis en cause, pas plus que le rôle de ces agences fortement idéologisées, qui ne sohnt ni démocratiques ni transparentes, auxquelles l'État délègue sa politique. Un algorithme emmène le président dans le mur… Et aucune décision n'est prise ! »

Pour calmer les angoisses et les frondes, le président multiplie les cénacles de discussions : « grand débat » et ses « cahiers de doléances », Convention citoyenne, Conseil national de la rénovation (CNR), états généraux… aux résultats souvent décevants, mais terrains propices à l'expression des positions les plus radicales, débattues jusqu'à l'ivresse, occupant l'espace médiatique à la recherche d'un impossible « en même temps ». Jusqu'à ce que le réel plie ? 

C’est exact ce président théâtreux grand discoureur hyper bavard s’écoutant parler n’a pas de politique définie que ce soit pour les problèmes de l’agriculture Française et autres de notre société intérieure dans la vie de nos concitoyens qui s’accumulent ?!

Et même dans sa politique étrangère extérieure européenne par cette guerre Russo ukrainienne et ses bavardages avec ce dictateur qui se porte au mieux ce Poutine qui marque des points contre ce pays qui souffre depuis 2022 et qui est maintenant sur la défensive pour ne pas périr ou disparaitre en attendant des renforts de matériel promis par l’U.E qui n’arrive pas assez vite et maintenant en plus d’actualité par le grand frère USA Otanien qui dit semble-t-il avoir déjà donné ce qui était possible à l’UKRAINE car maintenant occupé par son élection présidentielle entre les 2 vieux et ex présidents BIDEN le futur sortant et TRUMP sur le retour avec sa revanche  !?

Surtout après un scenario ancien que l’on revoit déplorable de 1939 contre cet autre dictateur HITLER qui avait soi-disant négocié des traités de non-agression avec l’ANGLETERRE et la France qu’il n’a pas respecté et en plus qui n’en croyait pas ses yeux d’avoir envahi la France s’y facilement soi-disant la meilleure armée du monde à cette époque !?

Il ne manque pas d’air en plus notre petit monarque sans couronne en évoquant un possible soutien militaire de troupe occidentale de cette U.E pour l’UKRAINE. Qui dans sa majorité là rejetée car sans consensus des Européens !?

Ce Mr président de notre France hélas élu et réélu par certains gogos de nos concitoyens a attrapé la grosse tête mais gouverne mal et ne nous protège pas dans tous les domaines çà c’est une certitude que les Français du peuple devraient comprendre avant qu’il ne soit trop tard !?

Jdeclef 28/02/2023 16h08

+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

 

 

 

mardi 27 février 2024

COMPLEMENT à mon commentaire de 10h01 à cause de ce président qui ne sait rien dire d’utile en bavardant pour se faire encore remarquer mais fait fausse route car il faut le dire c’est le devoir de tous les Français et européens de tous bords qui sont si mal protégé par notre chef d’état !?

 

Guerre en Ukraine : ce qu’a réellement déclaré Emmanuel Macron sur les « troupes au sol » (bis)

NOTRE PRESIDENT FAT NE SAIT PAS QUOI INVENTER POUR JETER DE L’HUILE SUR LE FEU DE CETTE MALHEUREUSE GUERRE RUSSO UKRAINIENNE A NOS PORTES POUR EXITER POUTINE QUI N’A PAS BESOIN DE CELA POUR DETESTER L’OCCIDENT !?

Vingt-cinq dirigeants occidentaux se sont réunis, ce lundi 26 février, au palais de l'Élysée. L'objet de la rencontre : le soutien à l'Ukraine, deux ans après le début de l'invasion russe. La fourniture de munitions – « la priorité des priorités », d'après Emmanuel Macron – a été évoquée ainsi que les besoins ukrainiens en missile et bombe à moyenne portée. Sur ce dernier point, la création « d'une coalition capacitaire » a été officialisée, comme il en existe pour l'artillerie ou la défense sol-air. L'idée d'envoyer des troupes occidentales en Ukraine a principalement retenu l'attention au terme de cette conférence, suscitant de très nombreuses réactions. Des propos à nuancer et recontextualiser. L'occasion de revenir sur cette séquence, et de s'attarder plus précisément sur les propos du président de la République.

Tout est parti d'une question d'Ania Nussbaum, journaliste politique pour Bloomberg, une agence de presse américaine. « Sur les propos du Premier ministre slovaque, qui, avant cette conférence, évoquait la possibilité d'envoyer des troupes occidentales au sol en Ukraine, est-ce que cela a été discuté aujourd'hui, qu'en pensez-vous et qu'en est-il ? »

À I Invasion russe en Ukraine : ce qu'il faut retenir du conseil de guerre de Macron

La journaliste fait ici référence à une déclaration de Robert Fico, Premier ministre de la Slovaquie depuis octobre 2023. Ce dernier a expliqué avant la conférence à l'Élysée que « plusieurs États membres de l'Otan et de l'UE envisagent d'envoyer leurs soldats sur le territoire de l'Ukraine sur une base bilatérale ». Par le passé, Robert Fico a remis en cause à plusieurs reprises la souveraineté de l'Ukraine et s'oppose aux sanctions contre la Russie. « Nous voyons d'énormes risques pour la sécurité dans les accords bilatéraux qui seront probablement conclus prochainement avec les États membres de l'Otan et de l'UE qui veulent envoyer leurs troupes en Ukraine », a poursuivi le dirigeant slovaque.

« Tout a été évoqué de manière libre et directe ce soir »

De son côté, Emmanuel Macron a été beaucoup plus nuancé que son homologue slovaque. « Tout a été évoqué de manière libre et directe, ce soir. Il n'y a pas de consensus pour envoyer de manière officielle assumée des troupes au sol. Mais, en dynamique, rien ne doit être exclu. Nous ferons tout ce qu'il faut pour que la Russie ne puisse pas gagner cette guerre. »

Le président a poursuivi son propos en rappelant l'accroissement du soutien occidental à l'Ukraine depuis février 2022. « Beaucoup de gens qui disent “jamais, jamais !” aujourd'hui étaient les mêmes qui disaient “jamais, jamais des tanks, jamais, jamais des avions, jamais, jamais des missiles de longue portée”, il y a deux ans. Je vous rappelle qu'il y a deux ans, beaucoup autour de cette table disaient que nous allions proposer des sacs de couchage et des casques. Et aujourd'hui ils disent : “Il faut faire plus vite et plus fort pour avoir des missiles et des tanks.” »

Depuis l'invasion russe de l'Ukraine, l'idée « d'une ligne rouge » dans le soutien à l'Ukraine a du plomb dans l'aile. En réalité, les Occidentaux ont livré à Kiev des chars, des armes de longue portée et bientôt des avions de combat alors que cela semblait inimaginable.

Malgré que sa parole de chef d’état procrastinateur pathologique qui ne sait pas décider son défaut principal   « et qui  ne vaut pas plus qu’un pet sur une toile cirée » qu’il veuille excuser ma grivoiserie facile et sans malice car ce président petit bourgeois parvenu se prend pour un monarque de l’ancien régime mais ne peut s’empêcher de donner des leçons au monde entier il ferait mieux de se taire plutôt que de mettre indirectement en danger la population Française et indirectement de l’Union européenne en voulant jouer au matamore comme par exemple ce TRUMP qui risque d’être réélu aux USA !?

Car bien sur le KREMLIN a réagit à cette diatribe inutile car notre président est là pour protéger les Français et la France en ne jouant pas les va-t’en guerre dont il n’a pas les moyens pour l’instant et surtout ce souvenir de l’histoire passée dont il est féru semble-t-il mais qu’il semble avoir oublié par les erreurs passées commises en 1939 et cette débâcle militaire face à un autre dictateur nazi que l’on croyait  pouvoir raisonner en négociant qui n’a pas respecté les traités ( de chiffons de papiers comme il s’était vanté )  de l’époque ou l’arrêter militairement avec une armée plus puissante que soit disant celle des Allemands qui a été balayé comme un fétu de paille en très peu de temps !?

Alors moi vieux français qui est subi déjà cette guerre coloniale inutile d’ALGERIE et mes deux grands pères le 1er en 1917 militaire de carrière officier d’artillerie tombé en TURQUIE aux Dardanelles mon second ayant subi le chemin des dames décoré à VERDUN ayant survécu et enterré avec les honneurs militaires plus tard avec la paix retrouvée et un père qui a fui en 1940 la défaite à vélo en traversant toute la France pour ne PAS etre fait prisonnier !?

Résumons Mr notre président a encore fait une bourde de plus et est contredit pour cette guerre en Ukraine : Londres, Berlin et Madrid contredisent Emmanuel Macron sur l’envoi de troupes occidentales sur le sol ukrainien !?

Jdeclef 27/02/2024 14h02

+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

 

 

 

 

 

 


 

Invasion russe en Ukraine : ce qu'il faut retenir du conseil de guerre de Macron

Par Emmanuel Berretta

Emmanuel Macron a évoqué toutes les initiatives possibles pour empêcher la victoire de Vladimir Poutine en Ukraine. Y compris, à terme et s’il le faut, l’envoi de troupes au sol.

Notre président bavard ne peut évoquer n’importe quelles initiatives car il est incapable d’en prendre depuis 2017 avec le trop de pouvoir que certains Français gogos lui ont donné qu’il utilise mal ou pas du tout (pauvre de nous petits Français lambda et notre France à la traine depuis longtemps !?)

Rarement le ton aura été aussi martial que lundi soir, à l'issue du conseil de guerre des Européens qui s'est tenu à l'Élysée. La plupart des dirigeants européens ont fait le déplacement, dont le chancelier Olaf Scholz et le Premier ministre néerlandais Mark Rutte (très probablement le futur secrétaire général de l'Otan). Ni l'Union européenne ni l'Otan n'étaient représentées.

Le président Zelensky a réitéré par vidéo son appel à l'aide, à l'heure où – amer constat – l'Union européenne n'a pas été en mesure de tenir sa promesse de fournir un million d'obus aux forces ukrainiennes. Seulement trois cent mille ont été livrés… De manière générale, les financements européens de cette guerre en Ukraine représentent à peine 30 % de l'ensemble.

La newsletter international

Tous les mardis à 11h

Recevez le meilleur de l’actualité internationale.


En vous inscrivant, vous acceptez les conditions générales d’utilisations et notre politique de confidentialité.

Cette guerre est européenne et il s'agit d'anticiper un retrait américain, tôt ou tard. « On a la chance d'avoir des gens au bout du monde qui sont prêts à nous aider, mais on aurait tort de penser qu'on doit se reposer sur eux », a prévenu Emmanuel Macron, qui se dit « stoïcien » s'agissant de l'éventuel retour de Donald Trump à la Maison-Blanche. « Est-ce que nous devons déléguer notre avenir à l'électeur américain ? Ma réponse est non, quel que soit son vote, tranche-t-il. Donc on n'a pas à attendre le résultat. C'était le but de cette réunion d'aujourd'hui. »

Une coalition pour les missiles de longue portée

« Nous devons faire davantage, » a rappelé le président français, qui vient de s'engager à fournir jusqu'à 3 milliards d'euros d'aides militaires de manière bilatérale à l'Ukraine. À Vilnius en juillet 2023, au sommet de l'Otan, trente-deux pays s'étaient engagés à signer de tels accords bilatéraux de sécurité. À ce jour, seuls six les ont réellement conclus. « Il est important de poursuivre ce mouvement et d'accroître les financements qui sont les nôtres », a rappelé le président français.

Jusqu'ici, huit coalitions capacitaires se sont formées pour doter l'Ukraine : dont une sur les F16 (avec la formation des pilotes ukrainiens) et une sur l'artillerie (dirigée par la France). À l'issue de la réunion de lundi, il a été décidé de former une neuvième coalition « pour les frappes dans la profondeur », avec des missiles et bombes de moyenne et longue portée.

« Nous allons organiser cette coalition à partir de ce [lundi] soir pour mobiliser toutes les bonnes volontés et les États qui ont des capacités, qui ont commencé ou sont prêts à livrer des équipements nouveaux », a indiqué le président français, sans trop entrer dans les détails. On connaît les réticences du chancelier allemand à livrer les missiles Taurus alors que ses deux partenaires de la coalition, les écologistes et les libéraux, y sont favorables.

Les alarmes de Robert Fico

Les Européens sont tombés d'accord pour aller plus loin et plus fort dans cinq domaines : « le cyberdéfensif, la coproduction d'armements, de capacités militaires, de munitions en Ukraine, la défense de pays menacés directement par l'offensive russe en Ukraine, en particulier la Moldavie, la capacité de soutenir l'Ukraine à sa frontière biélorusse avec des forces non militaires, et les opérations de déminage », a précisé le président français.

Les ministres français de la Défense (Sébastien Lecornu) et des Affaires étrangères (Stéphane Séjourné) poursuivraient alors le travail de mise en place avec leurs collègues ainsi qu'avec des partenaires potentiels pour décliner opérationnellement les initiatives du sommet de Paris.

À LIRE AUSSI Munitions en Ukraine : la Commission agite la carotte devant les obusiersLe Premier ministre slovaque, Robert Fico, avait levé un coin du voile sur la nature des discussions entre les alliés. « Plusieurs États membres de l'Otan et de l'UE envisagent d'envoyer leurs soldats sur le territoire de l'Ukraine sur une base bilatérale », avait-il confié avant de se rendre à Paris. Nous voyons d'énormes risques pour la sécurité dans les accords bilatéraux qui seront probablement conclus prochainement avec les États membres de l'Otan et de l'UE qui veulent envoyer leurs troupes en Ukraine. » Robert Fico s'est fait élire, en octobre 2023, sur la promesse d'un arrêt de l'aide militaire à l'Ukraine, une promesse qu'il a tenue.

Soldats européens en Ukraine, Macron cultive « l'ambiguïté stratégique »

Emmanuel Macron a confirmé ses dires. « Tout a été évoqué ce soir de manière très libre et directe. Il n'y a pas de consensus aujourd'hui pour envoyer de manière officielle, assumer et endosser des troupes au sol. Mais en dynamique, rien ne doit être exclu. Nous ferons tout ce qu'il faut pour que la Russie ne puisse pas gagner cette guerre », a répondu le chef de l'État, laissant ainsi planer une « ambiguïté stratégique ».

Un message de mise en garde à l'adresse de Vladimir Poutine qui, de son côté, ne s'est pas non plus privé de hausser le ton en déclarant, lors d'une conférence de presse : «  Si l'Ukraine rejoint l'Otan et tente de ramener la Crimée par la force militaire, cela signifie que les pays en Europe seront automatiquement entraînés dans un conflit de guerre avec la Russie. »

La Première ministre estonienne Kaja Kallas a mis sur la table une proposition de grand emprunt européen pour soutenir la guerre en Ukraine et donner de la visibilité aux industriels de l'armement, à l'image du grand emprunt qui a été scellé par les vingt-sept au moment de la crise du Covid-19. Le chancelier Olaf Scholz et les pays frugaux n'y sont pas favorables. C'est une pierre d'achoppement entre Paris et Berlin que le président français n'a pas éludée.

Macron règle quelques comptes avec Scholz

« J'ai connu un monde où l'Allemagne et la France se mettaient d'accord pour convaincre les frugaux. Et dans ce monde-là, d'ailleurs, l'Allemagne n'était pas considérée comme un pays frugal à proprement parler », a-t-il lancé, comme une façon de dire qu'il regrettait le temps où la chancelière Merkel se montrait plus coopérative que l'actuel chancelier SPD. […] Je crois qu'aucun pays européen ne peut dire que l'attitude russe aujourd'hui et la guerre d'agression en Ukraine ne le touchent pas. Et donc je pense que c'est exactement une situation de ce qu'on appellerait un choc géopolitique totalement symétrique qui justifie des mesures d'exception. Je soutiens donc la proposition de la Première ministre estonienne. »

À LIRE AUSSI Peut-on et doit-on négocier avec Poutine ?Le président Macron en a aussi profité pour régler un compte avec l'Allemagne, qui, depuis janvier, fait la leçon aux Européens (et à la France en particulier) en exhortant tous ses partenaires à livrer plus d'armes à l'Ukraine. Une tribune parue dans le Financial Times n'a pas été du goût de Paris… « La France, depuis le premier jour, nous avons très longtemps été plus discrets que les autres, à chaque fois qu'on s'est engagés sur des capacités à une date, on les a tenues parce que, derrière, il y a une guerre. Vous ne nous avez pas, nous, entendus nous engager sur des millions, des milliards qu'on ne savait pas tenir. »

Le message s'adresse directement au chancelier Olaf Scholz. Cette querelle des chiffres entre Paris et Berlin, entretenue par les chiffres contestés d'un Institut allemand, a installé un climat délétère entre les deux capitales à un moment où l'Ukraine n'a vraiment pas besoin de ça. Emmanuel Macron et Olaf Scholz s'en sont du reste directement expliqués lors du dernier Conseil européen.

Voilà ce que donne les tergiversations discours creux ou bavardages de notre président procrastinateur en plus et aussi d’autres dirigeants des pays encore libres et démocratiques avec ce dictateur dérangé qui n’a aucun respect de la vie humaine qu’il aurait fallu des le début stopper dans sa soit disant « opération militaire spéciale » en fait la destruction totale de cette UKRAINE Européenne qu’il voulait rayer de la carte occidentale notamment pour montrer qu’il déteste les occidentaux dans leur totalité et montrer sa force car nostalgique de ses empires russes tzaristes et faire renaitre cette URSS soviétique perdue en 1989 avec la chute du mur de BERLIN qui a permit à certains pays près de cette Russie de retrouver une liberté méritée qu’ils avaient perdu depuis les dernières guerres mondiales !?

Plus encore avec certains chroniqueurs ou autres bien-pensant donneurs de leçon bavards en mal d’informations hasardeuses qui se demande s’il ne faudrait pas négocier avec cet individu dangereux c’est-à-dire commettre la même erreur qu’en 1939 avec cet autre dictateur HITLER qui bien sûr n’a pas respecté les traités signés avec notamment la France et l’Angleterre de l’époque qui nous a mené à cette guerre mondiale et dont certains âgés mais toujours là se souviennent !?

Par sa réflexion de chef d’état Français (qui pourtant à l’habitude de ne rien décider) en donnant la responsabilité aux autres et en jouant au conseilleur mais pas au payeur c’est lui « qui marche sur sa tête » par son expression creuse favorite en bottant en touche jusqu’à peut-être nous faire entrer dans une guerre Russo européenne pouvant devenir mondiale et qui en fait ne nous protège pas mais ferait le contraire !?

Alors il faut que les citoyens Français lambda réfléchissent (çà les changera) car ils votent et choisissent avant QU’IL NE SOIT TROP TARD ?!

Jdeclef 27/02/2024 10h01 CLP

++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

 

 

 

lundi 26 février 2024

A croire depuis la nuit des temps que les hommes aiment se faire la guerre pour tout et n’importe quoi pouvoir richesses religions possessions sans oublier le racisme et l’orgueil de certains bienpensant donneurs de leçons bien à l’abri dans leurs tours d’ivoire car ils sont incurables comme certaines maladies ou pandémies périodiques qui touche l’humanité !?

 

Guerre en Ukraine : combien de soldats ukrainiens et russes sont morts ?

31 000 soldats du côté des Ukrainiens, 75 000 chez les Russes, ce sont les chiffres des pertes en effectif militaire depuis le début de la guerre, dévoilés ce week-end.

Par Marie Guermeur pour Le Point avec AFP

Publié le 25/02/2024 à 19h18, mis à jour le 26/02/2024 à 06h18

LE PIRE CHEZ LES HUMAINS C’EST QU’ILS NE SAVENT PAS QUOI INVENTER DE NOUVEAU POUR SE DETRUIRE EN MASSE depuis + de 2000 ans !?

C'est la première fois que l'Ukraine dévoile un bilan officiel du nombre de soldats ukrainiens décédés depuis le début de l'offensive russe, il y a 2 ans. Ce dimanche, l'Ukraine recevait le sommet virtuel européen G7 présidé par la cheffe du gouvernement italien, Giorgia Meloni, au cours duquel Kiev a rappelé à ses alliés occidentaux l'importance de tenir leurs engagements pour aider à leur défense.

« 31 000 soldats ukrainiens sont morts dans cette guerre. Pas 300 000 ni 150 000, comme le disent Poutine et son cercle de menteurs. Mais chacune de ces pertes est une grande perte pour nous », a déclaré le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, lors d'une conférence de presse.

Comment les Ukrainiens comptent-ils regagner la Crimée par la mer Noire ? De son côté, le média russe en exil Meduza, cité par Courrier international, a publié, ce samedi 24 février, son estimation du nombre de soldats russes morts en Ukraine entre le premier jour de l'invasion et la fin 2023. La méthode du site russe basée sur la comparaison entre les listes officielles des pertes russes et des données provenant d'organisations civiles enregistrant les successions, aboutit à un total de « 75 000 hommes » qui seraient morts au sein des troupes militaires de Vladimir Poutine.

Au cours des deux années d'invasion, les pertes de troupes ont été l'un des sujets les plus tabous en Russie.

Selon le média russe Meduza. Si environ 24 000 soldats russes sont morts en 2022, près du double aurait perdu la vie en 2023. Les pertes les plus importantes ont eu lieu lors de la bataille de Bakhmout, entre janvier et mars 2023. « Jusqu'à 2 000 hommes sont morts chaque semaine pendant cette période, et la plupart de ces soldats étaient d'anciens détenus recrutés hors de prison. »

 En deux ans de guerre, l'armée ukrainienne s'est-elle « occidentalisée » ?

Selon les informations de The Kyiv Independent, l'état-major des forces armées ukrainiennes a déclaré le 24 février 2024 que la Russie avait subi la perte de 409 010 soldats en Ukraine au cours des deux dernières années. Ce chiffre englobe à la fois les soldats décédés et ceux rendus incapables de combattre.

Quelle honte pour l’Occident et les USA Otaniens incapables d’arrêter ce dictateur criminel de Poutine et pour reprendre une expression chère à notre président de : « Marcher sur la tête » qu’il utilise pour tout et n’importe quoi !?

En s’opposant à nos agriculteurs dans ce salon organisé pour eux ou il palabre comme d’habitude sans fin !?

Alors que c’est l’anniversaire terrible de cette guerre Russo ukrainienne qui se poursuit pour le malheur d’un peuple qui ne voulait que sa liberté dans cette Europe soit disant unie aidée des USA occidentaux grand frère protecteur mais qui ne veut plus pour l’instant financer celle-ci car trop occupée par ses élections prochaines de ces 2 vieux présidents et surtout TRUMP autre excité qui fait tout pour être réélu et qui semble sur la bonne voie pour le malheur de ces occidentaux encore libres et démocratiques ?!

Car les promesses d’aides et armements sont toujours en gestation en Europe moins de la moitié ayant été livrée à ce jour et dont nos peuples Français ou autres de ses états démocratiques ne se soucient peu malgré que cette guerre soit aux portes de notre Europe encore libre !?

Par nos dirigeants comme notre président et gouvernements de tous bords pérore  bavarde et n’agit pas plus rapidement en ne nous protégeant pas assez car quand ces pays n’arrivent déjà pas SEULEMENT à fournir assez  d’obus à cette UKRAINE qui souffre alors que notre societé mondiale à dejà subi 2 guerres mondiales ou autres coloniales et que la Russie par cet autocrate dangereux n’a aucun problème pour approvisionner son armée qu’il fallait stopper comme ce POUTINE (alors que l’on l’avait vue venir dès le début) et que certains disent qu’il faudrait négocier avec ce menteur alors que l’on a fait la même erreur en 1939 avec HITLER !?

On est vraiment mal protégé et mal gouverné dans cette Europe occidentale et on se demande si on ne tient pas la palme de l’incompétence de nos dirigeants en France pas de quoi être fier (mais aussi de la part des Français qui votent et les choisissent si mal en les réélisant en plus !? )

Jdeclef 26/02/2024 14h48

++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

 

dimanche 25 février 2024

La question est déjà une ineptie journalistique de chroniqueur en mal d’articles sans fond utopique car nos dirigeants de nos pays libres encore démocratiques libres doivent défendre et protéger leurs peuples avant qu’il ne soit trop tard c’est leurs devoirs car ils ont été élus voire réélus pour ça !?

 

Peut-on et doit-on négocier avec Poutine ?!

Gérard Araud
Journaliste

Peut-on – et surtout doit-on – négocier avec Poutine ? Voilà une question à laquelle la tentation est forte de répondre par la négative. Ce n'est pas seulement que la liste est déjà longue de ses opposants assassinés en Russie sans que la lumière n'ait jamais été faite sur le moindre coupable mais, à l'étranger, les éliminations d'émigrés, réussies ou tentées, n'ont pas manqué avec, à chaque fois, une piste conduisant inévitablement à Moscou.

Par ailleurs, qu'il s'empare de la Crimée ou suscite, arme et encadre une insurrection dans le Donbass, il le fait avec une ostentation qui n'essaie même de conférer la moindre crédibilité aux démentis qu'oppose son ministre des Affaires étrangères aux inévitables protestations de la communauté internationale. Enfin, envahit-il l'Ukraine, en février 2022, qu'il ne le fait qu'après avoir fait mine de se prêter aux tentatives de négociation des Occidentaux alors que sa décision était déjà prise.

Le lecteur y verra peut-être une sensibilité de diplomate, mais, en relations internationales comme ailleurs, « les convenances sont les convenances », pour citer La Règle du jeu de Jean Renoir. On ment mais avec modération et décence en s'abritant derrière un déni plausible.

Comment discuter avec un adversaire dont la parole ne compte pas ?

Ce qui me frappe, c'est que Poutine, lui, tue sans se soucier des apparences et ment sans le cacher. Certains y verront sans doute l'audace de l'aventurier. J'y décèle, pour ma part, la suffisance du dictateur et l'ombre de l'officier supérieur du KGB qu'il fut et reste, au moins dans son comportement. En tout cas, rien de stratégique dans des opérations de basse police pour se débarrasser d'opposants dont aucun ne présentait de réel danger pour le régime ; rien d'habile dans des manœuvres qui interdisent désormais toute confiance dans sa parole. Les chantres de son supposé génie géopolitique confondent impudence et intelligence.

Navalny, chronique d'un crime annoncé

Toujours est-il que Poutine dirige la Russie. Comme nous ne pouvons pas éliminer le premier et faire comme si la seconde n'existait pas, la question se pose de savoir comment traiter les deux. En tout cas, le cadre de ces relations, puisque relations inévitablement il doit y avoir, est clair : nous faisons face à un adversaire déterminé, dont la parole ne compte pas et qui est toujours prêt à recourir à l'agression, quelle qu'en soit la forme.

Nous devons donc nous tenir sur nos gardes. Militairement pour être en mesure de dissuader cette puissance hostile à nos portes, mais aussi politiquement pour réagir à ses manœuvres à l'encontre de nos intérêts. L'Otan ou, à défaut en cas de défaillance de l'allié américain, l'UE doit adapter sa posture de défense à cette réalité. Une augmentation des budgets de la défense en Europe est inévitable.

Par ailleurs, Poutine reste un officier des services qui n'a pas fait sa mue. Tant qu'il est au pouvoir à Moscou, nous devons nous attendre à de mauvais coups, en particulier dans cette « zone grise » que permet la désinformation sur les réseaux sociaux. Et dans ce cas, que ce soit en Afrique ou ailleurs, une réaction est indispensable : contrairement aux Évangiles, en politique étrangère, quand on reçoit une gifle, il faut immédiatement la rendre avant éventuellement de négocier.

Négocier avec un gros bâton dans le dos

Car, négocier, il faudra bien en arriver là. En effet, la politique étrangère, ce n'est pas combattre le Mal et promouvoir le Bien, sauf à nous engager dans une croisade permanente, c'est de limiter le mal que peut nous faire le Mal. Dans ce contexte, je ne vois pas, par exemple, comment mettre un terme à la guerre en Ukraine, ce qui est évidemment notre intérêt, sans parler à l'agresseur. L'erreur que nous avons commise, en février 2022, fut d'essayer de convaincre la Russie de ne pas envahir son voisin au lieu de la dissuader de le tenter en l'avertissant des conséquences concrètes de cet acte.

Avec un pays comme la Russie, aucune négociation qui vaille sans un gros bâton derrière le dos et sans la menace implicite et crédible d'y recourir si nécessaire ; aucune négociation ne repose sur la conclusion qu'elle doit atteindre que c'est son intérêt : ce qui signifie qu'aujourd'hui plus nous voulons rétablir la paix, plus nous devons prouver notre détermination à soutenir l'Ukraine jusqu'au bout et aussi longtemps que nécessaire. Ce n'est pas par amour de la paix que Moscou négociera sur une base raisonnable avec Kiev mais par obligation.

Guerre en Ukraine : si Poutine gagne…

La paix, un armistice avec Poutine ? Comment lui faire confiance ? Il n'est évidemment pas question de lui « faire confiance », mais, le lendemain même de la signature de l'accord, de tout en mettre en œuvre pour le dissuader de rompre ses engagements. La seule paix concevable avec la Russie de Poutine, c'est une paix armée avec une forte défense ukrainienne qui puisse se reposer sur un réseau d'alliances crédibles, que ce soit dans le cadre de l'Otan ou pas.

Oui, Poutine est un dictateur qui ne recule devant aucune violence et qui restera une menace potentielle tant qu'il sera au pouvoir. Mais, dans ce monde sans juge ni gendarme, nous n'avons d'autre choix que de le tuer ou de lui parler. Nous lui parlerons donc de nouveau, tôt ou tard. Avec les précautions nécessaires. Ce ne sont pas seulement nos forces que nous devons réarmer mais également notre diplomatie.

Mais c’est de la stupidité ou de la bêtise totale d’illuminé déjà de simplement penser à cela car les hommes de notre époque sont-ils ignares ou d’un abrutissement maladif sans mémoire alors que nos anciens ont subi nos guerres mondiales inutiles avec les conséquences induites et horreurs qui ont suivies ?!

Surtout après l’exemple de ce qui a eu lieu en 1939 avec HITLER avec lequel on avait tenté de négocier par des traités qui sont devenus des chiffons de papiers comme il avait dit et qu’il n’a pas respecté en envahissant la France et toute l’Europe pas encore unie et qui même actuellement n’est pas assez solidaire par une guerre devenue mondiale épouvantable de 5 ans !?

Ce qu’il fallait faire après les exactions russes déjà en 2014 en Tchétchénie Géorgie alors que tout se voyait de par la couverture satellitaire de cet OTAN US et aussi après cette annexion de la Crimée, et avec cette date anniversaire de la guerre Russo UKRAINIENE de ce dictateur déjanté POUTINE qui voudrait reconstituer cet empire russe tsariste ou l’ex URSS  et qui lui reprend du « poil de la bête » en profitant de la faiblesse dans les soutiens de cette UNION EUROPEENNE et même de cet OTAN US car trop occupé par la prochaine élection présidentielle américaine entre BIDEN et TRUMP vieux dirigeants usés !?

La seule solution en cessant ces bavardages creux inutiles comme ceux de notre président Français bienpensant donneur de leçons (ou d’autres) c’est d’empêcher de nuire définitivement ce criminel russe car s’en est un qui depuis février 2022 a assez fait de mal à L’UKRAINE qui ne voulait que sa liberté et indirectement à l’UNION EUROPENNE par ses dirigeants qui en ont les moyens par ses pays libres et encore démocratiques (Mais qui continue à tergiverser par l’inertie des pays de l’U.E. et ses dirigeants occidentaux y compris les USA et son épouvantail  OTAN  !?)

Car depuis 1989 avec la chute du mur de BERLIN V. POUTINE murit sa revanche guerrière de pouvoir absolu ex soviétique sans retenue alors il serait temps pour nos dirigeants de tous bords enfin de VRAIMENT protéger leurs pays dit libres et populations de ce personnage dangereux malfaisant !?

Jdeclef 25/02/2023 13h51

+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

 

 


vendredi 23 février 2024

Surtout un épouvantail pour moineaux de petits Français agité par un président qui n’a que çà dans sa besace au lieu de travailler à améliorer la situation de la France (ce qui est en passant son travail car élu et réélu pour çà par des Français lambda dont il se moque !?)

 

Emmanuel Macron-Jordan Bardella, le tango mortel de jeunes hommes sans intérêt (surtout a egos démesurés !?)

LA LETTRE DU PALAIS. S’il proclame que le RN n’est pas un parti républicain, le président joue un jeu périlleux, à l’approche de chaque scrutin, en le désignant comme unique adversaire. Et seule alternative demain ?

Par Nathalie Schuck et Mathilde Siraud

Publié le 23/02/2024 à 09h01

*      Et si le président Macron cherchait à flatter le président du RN Jordan Bardella pour lui donner de hautes ambitions qui viendraient contrarier les plans de Marine Le Pen pour la présidentielle ? © Eric Tschaen/Abaca; Kahn Renaud pour « Le Point »

 

DE TOUTE FACON LES FRANCAIS VOTENT COMME DES PIEDS ET NE SAVENT PLUS CHOISIR LEURS DIRIGEANTS DEPUIS + DE 40 ANS DANS UNE FRANCE OU LES BAVARDAGES ET DISCOURS CREUX TIENNENT LE HAUT DU PAVE POLITIQUE !?

Par quel mystère des très rigoureuses règles protocolaires Jordan Bardella s'est-il retrouvé le 7 février dans la cour des Invalides au premier rang de la cérémonie d'hommage aux victimes françaises des attaques terroristes du Hamas en Israël ? L'image a tant piqué la curiosité du patron des députés Les Républicains, Olivier Marleix, ancien conseiller de l'Élysée sous Nicolas Sarkozy, qu'il s'est replongé dans le décret du 13 septembre 1989 édictant les règles de préséance officielles, héritées de Napoléon Bonaparte.
Surprise : les chefs de parti n'y figurent point. Et les parlementaires européens n'émargent qu'à la 14e place, derrière les hautes figures de la République – présidents du Sénat et de l'Assemblée, ministres actuels et anciens, etc. Réponse évasive de l'entourage présidentiel : « Parfois, certains invités ne respectent pas leur place. » Elles sont pourtant dûment étiquetées.

Fâcheux télescopage de calendrier

« Emmanuel Macron se transforme en homme-sandwich de Jordan Bardella ! Depuis les rencontres de Saint-Denis, il fait sa campagne », accuse Olivier Marleix. Le chef de l'État l'a pourtant martelé de la façon la plus nette qui soit dans les colonnes de L'Humanité lundi 19 février : le RN ne s'inscrit pas, à ses yeux, dans l'arc républicain. Et de décréter Marine Le Pen persona non grata de la panthéonisation de Missak et Mélinée Manouchian, jugeant qu'elle aurait été mieux inspirée de ne pas y participer.

L'« arc républicain », selon Macron : une figure à géométrie très variableD'autant que, par un fâcheux télescopage de calendrier, elle venait de déjeuner, mardi, sans s'en vanter, en compagnie de Jordan Bardella, avec Alice Weidel, coprésidente du parti d'extrême droite allemand AfD, récemment impliqué dans un scandale pour avoir imaginé un projet de « remigration » aux relents puissamment xénophobes.

Un sacré coup de canif dans la stratégie de banalisation. Dans l'antre des grands hommes, le président a remarqué que Marine Le Pen s'était installée au deuxième rang pour suivre la cérémonie, laissant la place devant elle à Sébastien Chenu, vice-président de l'Assemblée. « Comme si elle n'assumait pas d'être là », interprète-t-on au Château. Ce qui n'a pas empêché le locataire de l'Élysée, à plusieurs reprises, de fixer volontairement sa rivale en prononçant son discours, se faisant le chantre de « l'idéal communiste »…

« C'était le meilleur de tous »

Autant Emmanuel Macron méprise avec ostentation la fille de Jean-Marie Le Pen, qu'il a écrasée par deux fois dans les urnes et en débat télévisé, autant il joue une étrange partition avec Jordan Bardella. Dans quel dessein ? Pourquoi, si le RN n'est pas un parti républicain, avoir offert à son président un brevet de normalisation inespéré en l'invitant en août et novembre aux rencontres de Saint-Denis, qui devaient initialement être réservées aux partis dits de gouvernement ?

Dans la foulée de la première réunion, des indiscrétions avaient même fuité, faisant état de l'agréable surprise du président face au travail fourni par Bardella. « C'était le meilleur de tous », soufflait à l'issue un invité, fâché de devoir l'avouer.

 François Bayrou : « Il n'y a pas de démocratie si on ne comprend pas où l'on va »

Si le RN ne s'inscrit pas dans l'arc républicain, pourquoi avoir de même toléré, sans s'en émouvoir, que deux de ses députés soient bombardés vice-présidents de l'Assemblée à l'été 2022 – un précédent historique – avec les voix d'élus Renaissance ? Et pourquoi avoir consenti à ce que le parti macroniste entaille le « cordon sanitaire » en refusant de retirer ses listes au second tour des régionales de 2021, au risque de favoriser la victoire du RN à la tête d'une région ? Sans parler des liens non avoués – ou non avouables – qu'entretiennent certains membres du gouvernement ou de cabinets ministériels avec des responsables du parti à la flamme…

Le parti de « l'appauvrissement collectif »

Si Gabriel Attal a été propulsé à Matignon, à cinq mois des européennes, c'est aussi – surtout ? – parce que Jordan Bardella obsède le président. Dès sa nomination, le trentenaire macroniste était ainsi présenté par le Château comme « une arme anti-Bardella ». À cinq mois des européennes, ce choix finit donc d'installer un duel avec la figure de proue du parti nationaliste, au risque de phagocyter le débat électoral, dans des jeux du cirque modernes opposant deux jeunes gladiateurs. « On se focalise sur Bardella, alors que le vrai problème, c'est qu'une partie de la population ne croit plus en nous, se désole une tête d'affiche de la majorité présidentielle. La réalité, c'est que quand tu gagnes moins de 2 000 euros en France, tu votes RN. »

Avant, la règle était de parler à tout le monde sauf au RN. Désormais, c’est l’inverse : Emmanuel Macron ne parle qu’au RN et que du RNUn eurodéputé LR

Désigner, dans sa conférence de presse du 16 janvier, le RN comme le parti du « mensonge » et de « l'appauvrissement collectif », sans évoquer les autres formations en lice, c'était aussi placer l'adversaire sur un piédestal. Au clivage gauche-droite jugé dépassé, et au face-à-face entre « nationalistes » et « progressistes » déjà activé lors de la campagne des européennes de 2019, est désormais préférée une nouvelle frontière entre « humanistes » et « populistes ». Les oppositions classiques de gauche comme de droite sont niées, symboliquement effacées. Tout se passe comme si le parti à la flamme était devenu l'obsession, le seul rival qui vaille.

 Colère des agriculteurs : Emmanuel Macron face au danger des demi-mesuresAvec le risque d'en faire pour la suite l'unique alternative, au moment où le Parti socialiste et Les Républicains luttent pour leur survie politique. « Le chef de l'État doit arrêter de travailler pour le RN !, s'emporte un eurodéputé de droite. Avant, la règle était de parler à tout le monde sauf au RN. Désormais, c'est l'inverse : il ne parle qu'au RN et que du RN. En 2019, Nathalie Loiseau [à l'époque tête de liste macroniste pour les européennes, NDLR] voulait uniquement débattre face à Jordan Bardella. Aujourd'hui, Jordan Bardella souhaite débattre exclusivement face à Gabriel Attal. Ce ne sont que des coups de billard à trois bandes pour que rien n'existe entre la macronie et le RN. »

Incarner la « résistance »

À quoi diable joue Emmanuel Macron, se demande de plus en plus bruyamment la classe politique, jusque dans son camp ? Lors du dernier bureau politique des Républicains, Jean-François Copé a clamé tout haut ce que nombre d'élus murmurent tout bas : « Il se dit peut-être qu'il a intérêt à ce que Marine Le Pen gagne en 2027 pour revenir dans cinq ans. »

À ceux qui le mettent en garde contre le risque de rester dans l'Histoire comme celui qui aura laissé les clés du pays à Marine Le Pen, Emmanuel Macron s'en va répétant, tel Ponce Pilate, qu'il l'a vaincue deux fois et qu'il reviendra à d'autres à l'avenir de relever le gant.

Et que si l'un de ses successeurs autoproclamé venait à échouer, c'est bien la preuve que lui seul est capable de faire rempart à la vague brune… « Qu'il ait autant mis Marine Le Pen en avant dans son premier quinquennat n'était pas étonnant, c'était son assurance-vie pour sa réélection. Mais s'il continue ce petit jeu, c'est parce qu'il veut lui laisser les clés pour incarner la résistance après », tempête un responsable de la droite.

 Les Républicains : les coulisses d'un dépeçageÀ moins que la fameuse « pensée complexe » ne soit à l'œuvre. Et si le président cherchait en vérité à gonfler Jordan Bardella à l'hélium à force de flatteries pour mieux le pousser à la faute et lui donner de hautes ambitions qui viendraient contrarier les plans de Marine Le Pen pour la présidentielle ? Depuis les rencontres de Saint-Denis, le chef de l'État est persuadé que l'eurodéputé vise 2027.

« Il est en embuscade », répète-t-il à sa garde rapprochée. « Bardella a la grosse tête, il est en voie de mégrétisation », acquiesce un ténor du PS. Il est de fait permis de se demander si le président du RN, à qui Marine Le Pen a promis de le désigner Premier ministre si elle était élue en 2027, l'avait consultée avant de réclamer une dissolution de l'Assemblée, dans l'espoir transparent d'accéder à Matignon. Pas sûr que cela ferait les affaires de la candidate proclamée du RN. Parier sur une désunion des deux têtes du parti nationaliste serait toutefois bien audacieux.

« Le bouclier qui nous manquait »

Sur la manière la plus adéquate de combattre le RN aussi, souvent le président varie. C'est, professe-t-il désormais, en s'attaquant aux racines du mal et en obtenant des résultats dans la lutte contre le chômage et la désindustrialisation que le vote extrême refluera. Lionel Jospin, balayé au second tour de la présidentielle de 2002 par Le Pen père, est bien placé pour savoir qu'on ne l'emporte pas sur un bilan, si brillant qu'il soit. Nul besoin de leçons de morale, considère-t-il encore. Ainsi a-t-il chapitré sa Première ministre Élisabeth Borne pour avoir brandi des « arguments moraux » en qualifiant le RN d'« héritier de Pétain ».

 Attal à Macron : « C'est quoi, la feuille de route ? » Début 2017, le candidat Macron le considérait pourtant comme le parti de « la haine, de l'exclusion et du repli ». Il expliquait alors que ce n'était pas en marchant sur les plates-bandes de l'extrême droite qu'on l'asphyxiait. Avant de présenter la loi sur l'immigration comme « le bouclier qui nous manquait » et d'autoriser Gérald Darmanin à proposer ces derniers jours une dérogation au droit du sol à Mayotte, une marotte du RN. Quant au Premier ministre Gabriel Attal, le voilà recadré, lui qui considérait que l'arc républicain correspondait à l'Hémicycle de l'Assemblée, incluant donc les 88 députés RN. Et prié dans L'Humanité de ne faire à l'avenir passer aucun « texte important » grâce à leurs voix.

Comprenne donc qui pourra. Au soir de son sacre de 2017, le jeune président promettait de tout faire pour que les Français n'aient « plus aucune raison de voter pour les extrêmes ». Sept ans plus tard, les voici prêts à accorder près de 30 % le 9 juin à la liste Bardella.

En fait ce qui semble se confirmer au fil des gouvernements « macroniens » qui se succèdent à cause de Français indécis qui ont réélu par défaut ce président par erreur sans vraiment réfléchir aux conséquences induites dans la population des Français lambda pauvre ou même classes dites moyennes qui font la majorité des Français qui en fait ne l’aime plus (même s’ils y ont cru un temps court à sa jeunesse et sa possible nouveauté) environ jusqu’en 2018 avant la crise des gilets jaunes qui a fini de dégrader sa cote instable en baisse constante dans l’esprit de ce peuple déjà frondeur qui a déjà eu à supporter ces dirigeants de tous bords depuis + de 40 ans !?

Ce dirigeant fat qui lui aussi n’aime pas les français qu’il dédaigne en plus (et qui maintenant lui rendent bien) en manifestant vociférant quelque fois violemment et utilisant des grèves diverses dans tous les corps de métiers car ce dirigeant bienpensant veut leur donner des leçons de bienpensant hypocrite ainsi qu’au reste du monde en plus qui ne l’écoute plus laissant la France qui régresse en queue des pays libres et démocratiques dans un monde déjà instable et malade !?

Car Maintenant la situation de la société française dans tous les corps de métiers et dans leurs vies quotidiennes s’aggrave chaque jour qui passe et ses discours alambiqués ne produisent aucun effet car procrastinant et ne décidant rien d’utile depuis qu’il est président par ses Français en plus qui lui ont donné trop de pouvoir (sans même sans rendre compte) presque absolu digne héritier de l’ancien régime monarchique de cette Veme république usée vieille de 65 ans et qui ne s’améliorera pas jusqu’en 2027 car elle marche à reculons !?

JDECLEF 23/02/2024 16H39

+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++