lundi 31 juillet 2023

Oui ! Mr le président « dit » chef des armées Française l’heure n’est plus à bavasser il faut réagir fermement et y aller sur le front des trublions intérieurs et mêmes maintenant extérieurs des nos ex colonies africaines issus de notre ex empire colonial et plier ses gaules en évacuant rapidement tous les Français expatriés la pèche est finie et le poisson devient trop cher ?!

 

Niger : la France accusée de vouloir intervenir militairement ?!

Cinq jours après le coup d'État, les militaires nigériens accusent la France de chercher à obtenir des autorisations politiques et militaires afin d'intervenir.

DE TOUTE FACON CES AFRIQUES ex AOF AEF et Maghreb SONT DES BOULETS TROP LOURDS A TRAINER AVEC EN PLUS UNE IMMIGRATION ENCORE TROP IMPORTANTE ET DES AUTOCTONES QUI N’AIMENT PLUS LA FRANCE !?

La France est accusée, par les militaires nigériens, de vouloir « intervenir militairement » pour rétablir le président élu Mohamed Bazoum, renversé par un coup d'État, mercredi 26 juillet.

« Dans sa ligne de conduite, allant dans le sens de la recherche des voies et moyens pour intervenir militairement au Niger, la France, avec la complicité de certains Nigériens, a tenu une réunion à l'état-major de la Garde nationale du Niger, pour obtenir des autorisations politiques et militaires nécessaires », affirment les putschistes dans un communiqué lu ce lundi 31 juillet à la télévision nationale.

Niger : qui est Abdourahamane Tchiani, le nouvel homme fort du pays ?Dans un autre communiqué, ils accusent « les services de sécurité » d'une « chancellerie occidentale », sans préciser laquelle, d'avoir tiré, dimanche, à Niamey, du gaz lacrymogène sur des manifestants soutenant la junte, avec « pour conséquence six blessés, pris en charge par les hôpitaux » de la capitale.

Un ultimatum lancé par les pays d'Afrique de l'Ouest

Le président français Emmanuel Macron a menacé dimanche de répliquer « de manière immédiate et intraitable » à toute attaque contre les ressortissants de la France et ses intérêts au Niger, où des milliers de manifestants favorables au putsch militaire ont ciblé son ambassade à Niamey. Certains ont voulu y entrer, avant d'être dispersés par des tirs de grenades lacrymogènes. 

Le Niger est un partenaire stratégique de la France qui compte actuellement quelque 1 500 militaires dans ce pays-clé dans la lutte antidjihadiste.

Niger : la France suspend son aide au développement et son appui budgétaireLes pays d'Afrique de l'Ouest ont fixé, dimanche, un ultimatum d'une semaine à la junte militaire au Niger pour un « retour complet à l'ordre constitutionnel », affirmant ne pas exclure un « recours à la force » si ce n'était pas le cas. La France a salué « les décisions prises par les chefs d'État » de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (Cedeao) réunis à Abuja. 

la FRANCE est accusée, par les militaires nigériens, de vouloir « intervenir militairement » pour rétablir le président élu Mohamed Bazoum, renversé par un coup d'État, mercredi 26 juillet.

« Dans sa ligne de conduite, allant dans le sens de la recherche des voies et moyens pour intervenir militairement au Niger, la France, avec la complicité de certains Nigériens, a tenu une réunion à l'état-major de la Garde nationale du Niger, pour obtenir des autorisations politiques et militaires nécessaires », affirment les putschistes dans un communiqué lu ce lundi 31 juillet à la télévision nationale.

Niger : qui est Abdourahamane Tchiani, le nouvel homme fort du pays ?Dans un autre communiqué, ils accusent « les services de sécurité » d'une « chancellerie occidentale », sans préciser laquelle, d'avoir tiré, dimanche, à Niamey, du gaz lacrymogène sur des manifestants soutenant la junte, avec « pour conséquence six blessés, pris en charge par les hôpitaux » de la capitale.

Un ultimatum lancé par les pays d'Afrique de l'Ouest

Le président français Emmanuel Macron a menacé dimanche de répliquer « de manière immédiate et intraitable » à toute attaque contre les ressortissants de la France et ses intérêts au Niger, où des milliers de manifestants favorables au putsch militaire ont ciblé son ambassade à Niamey. Certains ont voulu y entrer, avant d'être dispersés par des tirs de grenades lacrymogènes. 

Le Niger est un partenaire stratégique de la France qui compte actuellement quelque 1 500 militaires dans ce pays-clé dans la lutte antidjihadiste.

Niger : la France suspend son aide au développement et son appui budgétaireLes pays d'Afrique de l'Ouest ont fixé, dimanche, un ultimatum d'une semaine à la junte militaire au Niger pour un « retour complet à l'ordre constitutionnel », affirmant ne pas exclure un « recours à la force » si ce n'était pas le cas. La France a salué « les décisions prises par les chefs d'État » de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (Cedeao) réunis à Abuja. 

Là : pas de soucis avec nos dernières émeutes en France notre gouvernement de pattes cassées macronien est rodé et puis il y a la légion étrangère spécialiste de ces sautes d’humeurs militaro africaines utilisons là rappelons-nous quand elle avait « sauté sur KOLWEZI en mai 1978 » pour protéger et évacuer les ressortissants français et belges européens de l’époque en république du Congo (mais notre président actuel a cette époque n'etait qu'un bébé d'un an (lol?!)

Sauf que là c’est plus facile notre président grand parleur invétéré a pour une fois essayé de protester en menaçant d’agir fermement ce qui n’est pas son habitude et là l’armée française est présente avec ses 1500 soldats sur place et même supérieur en nombre avec armements par rapport aux assaillants de l’ambassade de France !?

Pour cela faut-il que notre président soi-disant chef de nos armées ne tergiverse pas et agisse vraiment se serait une vraie nouveauté et cela ne peut qu’être que bénéfique pour lui pour redorer son aura ternie auprès des Français de métropole de plus en plus nombreux qui ne lui font plus confiance jusqu’en 2027 !?

Jdeclef 31/07/2023 14h40

+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

 


dimanche 30 juillet 2023

Il faut enfin laisser les Afriques s’assumer et balayer devant notre porte en cessant de vouloir donner des leçons comme nos bienpensants hypocrites de présidents passés car les dirigeants ALGERIENS qui se sont succédés depuis l’indépendance de leur pays sont pires !?

 

Alger, l’allié de Moscou : Mais bien sûr il n’y a que notre petit président pour ne rien vouloir voir dans ce Maghreb ! ?

LETTRE DU MAGHREB. Au second sommet Russie-Afrique, le Kremlin a tenté de rallier l’Afrique. Il peut compter sur l’Algérie comme capitale de la nouvelle guerre froide.

CE N’EST PAS UN NOUVEAU L’ALGERIE ROULE AVEC LES RUSSES DEPUIS LEUR INDEPENDANCE DEPUIS 1962 IL FAUT ARRETER DE FAIRE LA POLITIQUE DE L’AUTRUCHE AVEC CE PAYS RAPIDEMENT ET LE RESTE DE NOTRE EMPIRE COLONIAL AFRICAIN !?

Ce n'est pas notre guerre », disent les Maghrébins. De Rabat à Tunis, on exprime sans nuances ses mécontentements, le prix des légumes, la maudite tomate, la viande qu'on ne peut plus acheter, le poulet au prix du bœuf, les pénuries. Et cela dans la rue comme dans les lieux de pouvoir. Le chauffeur de taxi vous expliquera que les Européens sont responsables de son pouvoir d'achat rabougri quand son ministre rend responsable les Occidentaux de la mauvaise situation sociale de son pays. Au Maghreb et en Afrique, on juge payer en inflation et en déficits commerciaux les conséquences d'un conflit « entre Blancs ».

Un sommet Russie-Afrique qui en dit long

Que Moscou soit l'auteur du chaos énergétique et alimentaire importe peu, on se pressait autour de Vladimir Poutine jeudi et vendredi. La température ambiante à Saint-Pétersbourg détonnait avec les 49 °C enregistrés en Tunisie et en Algérie. Au crépuscule du second sommet Russie-Afrique, ils se sont quittés sur un communiqué lénifiant, des promesses de céréales gratuites pour les pays amis (le club des six : Mali, Burkina Faso, Érythrée, Somalie, Zimbabwe et République centrafricaine), l'ambition de lutter contre le « néocolonialisme » (en langage Kremlin, cela signifie les Occidentaux), Moscou promettant d'aider les pays africains à « obtenir réparation pour les dégâts économiques et humanitaires causés par les politiques coloniales occidentales », y compris « la restitution des biens culturels pillés ». Piquante allusion lorsqu'on observe ces jours-ci que le référendum constitutionnel en Centrafrique se fait sous l'égide des mercenaires de Wagner.

Russie-Afrique : sommet sur fond d'inquiétudes autour des céréales

Aucune photo officielle n'a été publiée par le Kremlin à l'issue du raout. Aucun journaliste occidental n'a été accrédité. Quarante-neuf pays étaient présents, dix-sept chefs d'État ayant fait le déplacement. Le Maghreb avait dépêché deux Premiers ministres, le Marocain Aziz Akhannouch, l'Algérien Aïmene Benabderrahmane. Nabil Ammar, ministre des Affaires étrangères, représentait le président tunisien, Kaïs Saïed.

Mais le régime du tsar du Kremlin peut compter sur le soutien de la citadelle algérienne, accolée au flanc sud de l'Europe.

Russie-Afrique : « Pour un ordre multipolaire sans néocolonialisme »

Alger, avant-poste de la guerre froide nouvelle version

Un chiffre résume le poids économique de la Russie en Afrique : sur la période 2018-2021, le commerce entre les deux parties s'élevait à 17,7 milliards d'euros contre 254 milliards entre l'Union européenne et l'Afrique. La Russie détient, partiellement, l'arme alimentaire à travers sa production de céréales. Elle peut fermer ou ouvrir le robinet à blé.

De longue date, le régime algérien est allié à celui de Moscou. Intellectuellement, idéologiquement et militairement. Le tsunami géopolitique engendré par la tentative d'invasion de l'Ukraine, le 24 février 2022, a balayé les dernières réserves.

Algérie : le président Tebboune en visite d'État en Russie

Le président Tebboune a multiplié les déplacements ces dernières semaines : Moscou, Pékin, Ankara, Doha… Si ses principaux clients se nomment la France, l'Espagne et l'Italie, gros demandeurs en pétrole et gaz depuis la fermeture partielle du robinet russe, le régime s'épanouit aux côtés de Xi Jinping, Poutine et Erdogan. Si la realpolitik est redevenue une nécessité pour des pays dénués de matières premières, dépendant du bon vouloir de tel ou tel fournisseur, pour Alger, il y a la volonté d'être à l'avant-poste de la guerre froide qui se joue, d'en être une des capitales, un poste avancé sur l'Europe.

Tebboune en Chine : convergence politique et gros contrats

Mercredi, Air Algérie a annoncé l'ouverture d'une ligne directe, trois vols par semaine, avec Saint-Pétersbourg. Alger affiche une balance commerciale en pleine forme, excédentaire de 3,5 milliards de dollars de janvier à avril 2023. Les hydrocarbures représentent 93 % des exportations.

Pour l'autre combat, plus pernicieux mais très efficace, des fausses informations sur les réseaux sociaux et médias amis, ce combat de rue idéologique qui se joue en 2.0, Alger sera toujours partante. La preuve.

Une place pour l'Algérie dans les Brics ?

Une partition informationnelle

L'agence de presse étatique APS (Algérie presse service) a publié jeudi soir une dépêche titrée « France 24, cette chaîne poubelle », accusant la chaîne française d'information internationale d'être « la chaîne du mal, du chaos et de la manipulation ». On croirait lire les communiqués des putschistes maliens et burkinabè justifiant l'interdiction de Radio France internationale ou France 24.

L'incident intervient deux jours après la remise des lettres de créance du nouvel ambassadeur de France, Stéphane Romatet, au ministre des Affaires étrangères algérien. Celui-ci a posté sur X (nouveau nom de Twitter) des propos d'une grande bienveillance sur la « proximité » des relations entre les deux pays.

Pourtant, Romatet est désigné, sans le nommer, comme le commanditaire de ce traitement « diabolique » par France 24 de la vie en Algérie. L'APS enfonce le clou jusqu'à la garde, expliquant que « la France n'a plus de pré carré en Afrique » et est « de plus en plus indésirable » sur le continent, à cause de son groupe France médias monde, « qui sème la haine et incite au chaos ».

Crise avec Madrid : le « pompier » Josep Borrell à Alger

Comment voulez que notre président actuel soit conscient de ce qu’il n’a pas connu en 1962 fin de la guerre d’ALGERIE et son indépendance il comprenne quelque chose à l’ALGERIE qui est anti-française en voulant toujours à notre pays sa décolonisation ratée et cette guerre meurtrière inutile pour les jeunes hommes de nos deux pays car né en 1977 il n’avait que 15 ans !?

En ce qui concerne la Russie moi qui était militaire encore en ALGERIE dans notre marine nationale dans la base de MERS EL KEBIR à ORAN en 1965 que nous n’avions pas encore évacuée suite aux accords d’Evian et du temps du nouveau président ALGERIEN Boumediene la Russie était bien implantée et avait déjà pris la suite de la France donc aujourd’hui ce n’est qu’une suite qui se confirme avec Poutine peut être en sommeil depuis la chute de l’URSS mais bien là avec ce dictateur Russe !?

Alors dans cette AFRIQUE DU NORD Maghreb et le reste de l’AFRIQUE coloniale noire Française ex AOF/AEF c’est ce pays et sa capitale ALGER qui nous déteste le plus !?

Avec les derniers évènements du Burkina Fasso MALI et autres en gestation il faut enfin qu’il lâche l’affaire notre président qui ne comprend rien à rien dans cette politique ex post colonial de l’ex empire Français qui en plus nous abreuve ainsi que l’Europe de migrants africains et justement puisque la loi sur l’immigration doit être (enfin votée chez nous !?)

Car en plus la lutte contre le djihadisme en AFRIQUE occidentale francophone de notre armée a été un échec dans le SAEL et suite aussi attentats islamiques remontant à 2001 et ceux que l’on a subi en 2015 !?

Que notre petit président soit nul à l’international ou l’on se moque de la France cela suffit même s’il n’a rien compris car remontant à bien avant lui et ses quinquennats car nous coutant des fortunes depuis + de 60 ans et en hommes et vies humaines chez nos militaires la France qui n’a plus les moyens de ses ambitions désuètes anachroniques et ses derniers évènements africains le prouve !

Il faut enfin laisser les Afriques s’assumer et balayer devant notre porte en cessant de vouloir donner des leçons comme nos bienpensants hypocrites de présidents passés car les dirigeants ALGERIENS qui se sont succédés depuis l’indépendance de leur pays sont pires !?

Jdeclef 30/07/2023 16h33

++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

 

 

 


Les Français lambda plus bête qu’eux je meurs et j’en fait partie car je relaie ce commentaire sur ce fait divers de notre société boboïsante qui se regarde le nombril ?! (lol!) Il faut bien faire plaisir à nos enfants gâtés !?

 

Puppy yoga : un moment de détente… avec des chiots !?

Cette discipline venue des États-Unis compte de nombreux adeptes en France. La rédaction du « Point » a participé à une séance.

ALORS SI CA VIENT DES ETATS UNIS C’EST FORCEMMENT BIEN PAUVRE FRANCE ET SES CONCITOYENS BOBOS INCURABLES !?

Au centre Puppy yoga Paris, on ne ment pas sur la marchandise. Ici, chaque séance propose 20 minutes de yoga et… 40 minutes de câlins et de jeux avec les chiots. Un programme qui ravit les participants du jour (une grande majorité de femmes), heureux de pouvoir profiter de bébés staffs.

« C'est super ! J'ai amené mon fils. À Paris, c'est compliqué, on ne peut pas avoir de chiens. Alors on profite. On a que les avantages et aucun inconvénient. En plus, le petit cours de yoga au début nous a bien détendus », glisse une cliente entre deux caresses.

Des bienfaits pour l'homme et pour les chiots

Labradors, bergers australiens, corgis… Le centre travaille avec différents élevages partenaires, qui touchent un pourcentage. Les bébés chiens sont emmenés par leur éleveur, restent une demi-journée ou quelques heures, avant de repartir. « Les chiens que nous accueillons ont tous entre 6 et 12 semaines », explique Ella Rubinski, fondatrice de Puppy yoga Paris. « On travaille avec eux sur la période où ils sont assez grands pour pouvoir voir des gens et avant qu'ils partent dans leur famille d'accueil. »

Canicule : les bonnes pratiques pour soulager nos chiens et nos chatsLe puppy yoga permettrait de réduire le stress et l'anxiété. Et à en juger par les sourires et éclats de rire provoqués par les bébés staffs, on serait bien tenté d'y croire ! Cette discipline serait également bénéfique pour ces chiots. « C'est un moment décisif dans leur éducation parce qu'ils apprennent à sociabiliser. C'est aussi le moment où leur éveil est à leur pic », ajoute Ella Rubinski. « Ces séances leur permettent de se familiariser avec les humains, sans être peureux, timides ou agressifs, des traits de caractère qu'on peut redouter chez un chien à l'âge adulte. » Reste à savoir si ces arguments sauront convaincre les détracteurs du puppy yoga qui voient dans la présence de ces chiots non pas une thérapie bien-être, mais un simple argument marketing.

Quid des chiens de refuges ?

Pour le moment, le centre ne travaille pas encore avec des chiens issus de la SPA et autres refuges, mais cela pourrait changer dans les prochains mois. « Tout le monde ne sait pas comment aborder un chien qui a vécu des traumatismes et qui a été abandonné. Et ces chiens ont des besoins spécifiques. Mais les refuges ont souvent des portées de chiots. Et nous avons très envie de les aider. C'est un projet imminent », conclut la créatrice du centre.

Concernant les prix, comptez 35 euros pour un adulte et 25 pour un enfant. Les séances affichent complet plusieurs semaines à l'avance. Il est donc conseillé de s'abonner aux newsletters du centre pour recevoir les prochaines disponibilités.

Bravo et naturellement LE POINT et son hebdo pitoyable relaie cette information pour bobo/gogo de ceux qui ont trouvé une manne financière pour s’enrichir dans notre France de petits bourgeois bienpensants donneurs de leçons qui pollue déjà assez notre société à l’affut de nouvelle mode à la limite d’une escroquerie intellectuelle voire financière ou certains Français lambda se font piéger si facilement qui avalent tout un peu comme la politique politicienne diffusée par nos dirigeants hors sol de notre président et sa clique gouvernementale !?

On peut persister à penser pour ceux qui font l’effort de réfléchir un peu que les Français (pas tous) mais encore trop nombreux qui sont bons publics et ne souffrent pas assez malgré des crises à répétition de cette « macronie » depuis 2017 car là c’est effectivement de leur faute d’être stupides et niais à ce point !

Car là le président qui se moque d’eux et les dédaigne en se moquant d’eux et voir même les insultes quelque fois n’est pas responsable de leurs erreurs ou attitudes !?

Notre pays étant encore libre et démocratique malgré que certains croient le contraire ou qu’on leur enlève toutes libertés ce qui est faux ou on peut tout faire et n’importe quoi tant que cela ne pâtit pas au pays par leurs bêtises car marchant sur la tête pour certains de nos concitoyens illuminés mais pas méchants !?

Jdeclef 30/07/2023 12h57


Pourquoi pas cet illuminé de président n’a plus de limite se soulant dans ces propres paroles utopiques irraisonnées !? et glou et glou ce pauvre clown triste !?Tant pis pour les Français pas tous mais assez qui l'ont réélu !?

 

Gérard Araud – Union européenne : de la place pour 35 ?

CHRONIQUE. L’annonce par Emmanuel Macron du soutien de la France à l’entrée de l’Ukraine et des Balkans dans l’UE est un tournant. Pourquoi un tel revirement ?

(La photo lui ressemble bien Il passe son temps à se désaltérer tant il parle pour ne rien dire d’utile !?)

IL NE SAIT PLUS QUOI INVENTER POUR SE FAIRE MOUSSER MAIS IL VA BIEN REUSSIR A CE METTRE LES PAYS DE L’U.E. ACTUELLE A DOS CE MR PRESIDENT ILLUMINE A LA TETE QUI ENFLE DEMESUREMENT !?

PAUVRE DE NOUS CITOYENS FRANÇAIS QUI SUBISSONS CELA MAIS L’AYANT MERITE HELAS !?

Une des conséquences inattendues de la guerre russe en Ukraine aura été d'avoir bouleversé les termes du débat sur l'élargissement de l'Union européenne non seulement à l'Ukraine mais aussi à la Moldavie, aux pays des Balkans – Serbie, Albanie, Monténégro, Kosovo, Macédoine du Nord, Bosnie-Herzégovine – et à la Géorgie.

Jusqu'ici, que la France soit le pays le plus sceptique à cet égard était un secret de polichinelle. Elle se rappelait son vain combat pour obtenir, lors du précédent grand élargissement de l'Union, que les institutions en soient d'abord réformées afin qu'il ne complique pas à l'excès leur processus de décision. Le Royaume-Uni qui ne trouvait aucun inconvénient à ce résultat, tout au contraire, l'avait emporté. Par ailleurs, après l'expérience traumatisante du référendum de 2005, Paris estimait que ce n'était pas le moment de lancer un débat sur la réforme des traités. La France était donc favorable au statu quo à Bruxelles. Comme elle n'éprouve aucune réticence à jouer le rôle du mauvais – courage ou vanité ? –, elle permettait aux autres de se cacher derrière elle et de lui faire porter le chapeau.

Pourquoi Mario Draghi appelle à réécrire les traités européens

L'annonce, le 31 mai, à Bratislava, par le président de la République du soutien de la France à l'entrée de l'Ukraine et des pays balkaniques dans l'UE constitue donc un tournant majeur de la politique étrangère de notre pays, qui n'a pas suscité l'attention qu'il méritait. Je suis d'ailleurs convaincu que beaucoup de nos partenaires n'y voient qu'une manœuvre tactique pour assumer, pour une fois, le beau rôle tant la volte-face est inattendue et spectaculaire. Ce n'est pas pour rien que la secrétaire d'État aux Affaires européennes, Laurence Boone, a dû s'époumoner pour souligner le caractère stratégique de la décision française. Après tout, depuis l'opposition du général de Gaulle à l'entrée du Royaume-Uni dans la CEE, notre pays a ostensiblement nourri une nostalgie pour l'Europe des Six où tout était si simple – pas tant que ça en réalité – et où on parlait français.

Une décision géopolitique

On a assez dit que la politique étrangère française était d'une grande continuité pour ne pas s'interroger lorsque ce n'est pas le cas. La réponse est simple : la guerre en Ukraine a changé du tout au tout les circonstances ; il était indispensable que notre politique étrangère en tire les leçons. L'Union doit stabiliser son environnement face aux entreprises russes hostiles, qu'elles soient militaires en Ukraine ou politiques dans les Balkans. Dans ce contexte, l'élargissement de l'Union serait donc avant tout un instrument pour empêcher les candidats de tomber dans la sphère d'influence russe. La réaction du président de la République est à la mesure du danger. Nous vivons un moment où la géopolitique l'emporte sur d'autres considérations.Élargissement de l'UE : dix leaders prennent les choses en main

Cela étant, comme l'a dit Laurence Boone, c'est « le chantier de la décennie ». Les obstacles pour passer de 27 à 35 ou 36 membres sont énormes. Les pays candidats doivent intégrer dans leur législation l'acquis communautaire, c'est-à-dire les normes qui leur permettront de participer au marché unique, soit des milliers de pages, mais encore faut-il qu'ils disposent d'une administration efficace et honnête pour les faire respecter ce qui suppose des institutions crédibles à l'abri de la corruption. Or, ils en sont tous loin aujourd'hui, l'Ukraine en particulier. La Commission a donc engagé un programme pour les aider et pour s'assurer que les réformes sont non seulement votées mais mises en œuvre.

Des questions en suspens

Mais c'est le fonctionnement même de l'Union qui soulève le plus de questions : comment prendre des décisions à 35 ? Comment financer l'intégration de nouveaux membres au faible niveau de vie sans augmenter le budget, comme l'exigent certains États membres ? Quel est l'avenir de la politique agricole commune si l'Ukraine en devient bénéficiaire ? Le risque serait que, si les règles n'étaient pas modifiées, l'essentiel du budget de l'Union soit absorbé par les nouveaux membres.L'Europe face à ses nombreuses factures

Le 30 juin, Emmanuel Macron et le Premier ministre néerlandais, Mark Rutte, ont réuni une dizaine de leurs homologues à Bruxelles pour explorer, avec eux, des pistes qui permettraient de répondre à toutes ces questions. On n'en est encore qu'aux hypothèses : étendre le champ du vote à la majorité qualifiée, en particulier en politique étrangère, prévoir de longues périodes de transition pour amortir le choc de l'élargissement, financer celui-ci par l'emprunt pour ne pas alourdir le budget, renationaliser certaines politiques, procéder à une intégration par étapes… Et vieille lune française qu'anticipe d'ailleurs déjà, à sa demande, le traité de l'Union : prévoir des formats spécifiques pour les pays qui veulent aller plus vite et plus loin.

En tout cas, une chose est sûre : l'Union européenne s'engage dans une longue aventure qui s'étendra au moins sur dix ans, et sans doute plus. Si elle est incapable, comme lors du précédent élargissement, de se réformer pour la réussir, elle risque alors de s'effondrer sous son propre poids. Laurence Boone a annoncé que les Français seront consultés par voie référendaire le moment venu. Il faudra donc que le président et le gouvernement sachent convaincre l'opinion publique : dans le contexte politique de notre époque, ce n'est pas gagné.

Vivement 2027 pour que l’on puisse (peut-être changer de président qui a été élu et réélu par défaut par des Français incapables de choisir ou décider de leur avenir tout comme lui qui procrastine son principal défaut pathologique avec son ego démesuré !?)

Il a la folie des grandeurs notre petit président par la taille se prenant comme un Napoléon devenu empereur des Français mais sans en avoir son intelligence hors norme mais qui s’est mis quand même à dos à son époque l’Europe de cette histoire ancienne avec comme adversaire l’Angleterre et bien sur la Russie mais là Poutine a pris les devants en 2022 aujourd’hui et cette U.E. n’est même pas capable de s’en débarrasser et certains de ses pays balkaniques son pro russe comme la Serbie de cette ex Yougoslavie ou la Hongrie..!?

Parallèlement à ces coïncidences historiques il y a la barrière des religions entre musulmans et chrétiens qui est un frein et obstacle qui existe depuis 2000 ans par des cultures et religions différentes et nos croisades moyenâgeuses d’ailleurs les occidentaux ont essayé de niveler ces différences avec les printemps arabes qui ont été un fiasco retentissant !?

Plus simplement : augmenter le nombre des pays participants à l’Union Européenne déjà à 27 qui ont du mal à s’entendre y ajouter les BALKANS est une erreur qui ferait capoter à terme cette U.E. !?

Tout cela pour contrecarrer aussi les USA expansionniste et son épouvantail OTAN défensif qui peut aussi changer sa politique en appliquant lors de ses prochaines élections présidentielles le fameux America First de D.TRUMP voir un nouveau président plus jeune pour lutter contre cette gérontocratie de vieillards qui rappelle l’ex URSS !?

Pour résumer : que notre petit monarque sans couronne président bienpensant donneur de leçons hypocrite se taise car il n’ouvre plus sa bouche de bavard que pour dire des inepties !?

Jdeclef 30/07/2023 10h35

+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

 

 

 

 

 


samedi 29 juillet 2023

Être ministre de l’intérieur et faire de la politique (personnelle) c’est incompatible il faut obéir au président comme les troupes qu’il est censé diriger sur le terrain car notre petit monarque sans couronne a dit : « l’ordre l’ordre l’ordre » car c’est lui qui est au pouvoir !?

 

Fronde dans la police : pour Darmanin, la crise de trop ?!

Le ministre de l’Intérieur, qui a construit son image sur sa relation avec les forces de l’ordre et sortait renforcé de la gestion des émeutes, doit désormais affronter une crise interne.

MR LE MINISTRE DE L’INTERIEUR A LE NEZ DANS LA M…. ET CA PUE A LUI DE NETTOYER LES ECURIES D’AUGIAS !?

Bon, je leur dis quoi ? Tu imagines si je déclare que je suis candidat à l'élection présidentielle ? » Gérald Darmanin éclate de rire. Devant lui, une forêt de micros et de caméras l'attend pour une déclaration. Son interlocuteur ne se remet pas de cette boutade. Tant d'assurance et d'impertinence, pour un jeune ministre de l'Intérieur… Mais cela, c'était avant. Avant les émeutes, et bien avant la crise qui gronde dans la police.

Ces derniers jours, le patron de Beauvau était en effet moins d'humeur à badiner sur ses ambitions futures. Ceux qui l'ont croisé dans la délégation d'Emmanuel Macron en Océanie cette semaine l'ont senti crispé, voire « tétanisé ». En cause, un mouvement de fronde qui s'étend dans ses troupes et échappe aux organisations syndicales, déclenché par le placement en détention provisoire jeudi 20 juillet d'un policier de la BAC de Marseille, mis en examen pour des faits de violences commises lors de la nuit d'émeutes du 1er au 2 juillet dans la cité phocéenne. « Code 562 » permettant un service minimal ou arrêts de travail en cascade, la vague de protestation partie des commissariats de Marseille s'est ensuite étendue à la région du Sud-Est et gagne Paris. Le jeune Hedi, le visage déformé, a été quant à lui entendu par les enquêteurs et a témoigné dans les médias, relançant le débat sur les violences policières.

La colère des policiers crée le malaise au sein du gouvernementUne rébellion qui tombe mal pour Gérald Darmanin, en poste depuis l'été 2020, qui a pris soin depuis trois ans de choyer son administration, prenant le contre-pied de son prédécesseur, Christophe Castaner, qui avait perdu la confiance des forces de l'ordre, jetant menottes et casques au sol en signe de colère. « Casta s'est fait sauter le caisson parce qu'il ne tenait plus les flics. Darmanin sait donc qu'avec un mouvement comme celui-ci, il peut exploser en plein vol, décode un parlementaire de la majorité. Il veut tenir sa base. »

Pro-police

Raison pour laquelle le ministre de l'Intérieur, disciple de Nicolas Sarkozy, a pris fait et cause pour Frédéric Veaux, le patron de la police nationale, qui a déclenché une polémique en s'exprimant dans la presse contre le placement en détention provisoire de ses hommes. « Il fallait un signal fort de soutien », décrypte un conseiller de l'exécutif.

Tout juste de retour de Nouvelle-Calédonie, Gérald Darmanin s'est rendu au commissariat du 19e arrondissement de Paris jeudi soir pour un « dialogue de vérité façon vestiaire », selon son entourage. « Il y a eu des critiques. Non pas à l'encontre du ministre, mais contre la violence prégnante dans la société, la considération de certains politiques, la justice. » Le « premier flic de France » leur a rappelé en retour qu'il « aimait » la police, que les Français les aimaient aussi, qu'il se battait quotidiennement pour eux…

« Reconnaissance, soutien, confiance », a-t-il exprimé à la sortie. Une défense sans ambiguïtés. « Je comprends leur émotion, leur colère et leur tristesse. » À Beauvau, l'élu du Nord s'est ensuite entretenu avec les syndicats, avec qui il s'est appliqué depuis ses débuts à bâtir une relation privilégiée. « On ne peut pas avoir un pays avec une police qui ne patrouille pas, ce n'est pas possible », leur a-t-il enjoint. L'ex-LR a promis de se rendre à Marseille au cours du week-end ou lundi.

Policiers : mission impossible ? En retour, Gérald Darmanin s'est engagé à faire expertiser une demande des syndicats de police, celle de renforcer la « protection fonctionnelle » à laquelle ils ont droit, au même titre que les fonctionnaires, s'attirant les foudres des magistrats et la fureur des responsables du PS jusqu'à LFI. « Cela suppose de modifier la loi, c'est du ressort du garde des Sceaux », indique un proche, renvoyant la balle au ministre de la Justice, Éric Dupond-Moretti. « Darmanin cherche juste que quelqu'un d'autre que lui dise non à cette proposition, ce qu'il ne veut pas faire », grince-t-on dans la majorité. « Il s'est tellement mis dans la main des flics que c'est devenu préoccupant. Certes, il a les syndicats dans la poche. Mais jusqu'à quand et à quel prix ? »

Un droit d’exception pour la police, ce n’est pas conforme à notre régime.

La sortie de Frédéric Veaux, autorisée voire coordonnée par le ministre de l'Intérieur, a par ailleurs fortement déplu au gouvernement comme dans la majorité. « Gérald a laissé faire, il savait que ça ferait polémique. Il a fait ça pour pourrir la séquence d'Élisabeth Borne et éviter un état de grâce du nouveau gouvernement, mais il perd des points en agissant ainsi. Un droit d'exception pour la police, ce n'est pas conforme à notre régime », désavoue un proche d'Emmanuel Macron. Car avant d'être confirmé, voire renforcé, Place Beauvau (avec, en plus des Outre-mer, de la Citoyenneté et des Collectivités territoriales, la cotutelle du ministère de la Ville), l'ancien maire de Tourcoing se voyait à Matignon. « Il y a cru pendant trois jours », certifie un confident. C'est-à-dire dans les heures qui ont suivi la visite d'une caserne de police avec Emmanuel Macron, le 3 juillet au soir. « En rentrant, ils ont longuement discuté autour d'un petit alcool », rapporte le même.

Et si l'ex-LR avait loupé son heure ?

Le 17 juillet, malgré une campagne intense de Gérald Darmanin et de ses soutiens, Élisabeth Borne est finalement confirmée à Matignon. Le numéro un de la Place Beauvau « mange son chapeau ». « Il a encaissé, semblait très amer. Ça s'est vu », note-t-on au gouvernement. « Comme si Matignon était un dû ! On marche sur la tête », griffe un haut gradé de la macronie.

Gérald Darmanin accuse-t-il le coup d'avoir loupé la marche de la rue de Varenne ? Ce roué politique le sait, les sujets à son agenda pourraient rompre la dynamique positive sur laquelle il semblait surfer depuis qu'il a assuré le rapide retour à l'ordre, lors des émeutes. Crise dans la police, majorité introuvable pour faire passer la loi immigration, sécurité lors des Jeux olympiques… Et si l'ancien cadre de la droite avait loupé son heure ? « Il est déterminé. C'est un battant. Il en veut », décrit un collaborateur, comme pour dissiper toute rumeur d'un ministre découragé et tourmenté.

Gérald Darmanin, la longue semaine du « premier flic de France » Et pour cause : le numéro trois du gouvernement est déjà dans le coup d'après. Le quadragénaire pressé a donné rendez-vous à ses fidèles et aux journalistes le 27 août à Tourcoing pour sa rentrée politique. Une première pour Gérald Darmanin, interprétée comme une volonté, déjà, de s'émanciper en vue de la présidentielle de 2027 et de l'après-Macron. Une après-midi de débats et de prises de parole, autour de la question « Classes populaires : quelles attentes ? ». Tenant d'une droite sociale, le ministre considère être l'un des seuls, dans le camp du président, à vraiment connaître les réalités du terrain. Ainsi, ce fils revendiqué d'une femme de ménage, qui sait « boire de la bière et manger des frites avec les doigts », conviera dans sa ville des élus locaux, des sympathisants, mais aussi des représentants de la société civile, « des enseignants, des ouvriers licenciés, le boucher-charcutier du coin… », fait-on savoir dans son équipe. « Il est la boussole populaire du gouvernement et de la majorité. On va faire ça à la bonne franquette », précise un collaborateur.

Il est redoutable. C’est une grosse machine puissante, il a un cabinet soudé autour de lui. Le jour où il veut lever des fonds, il le fait sans problème.

Gérald Darmanin n'en soigne pas moins ses réseaux dans les milieux d'affaires. Il n'est pas rare qu'il convie à sa table des patrons en vue du CAC40. « Il est redoutable. C'est une grosse machine puissante, il a un cabinet soudé autour de lui. Le jour où il veut lever des fonds, il le fait sans problème », juge-t-on, avec une pointe d'envie, dans un ministère. « Il ne faut pas se tromper : le grand gagnant de la séquence, c'est lui. Il était voué aux gémonies il y a un an avec le fiasco du Stade de France, il est devenu le seul et dernier en lice pour Matignon. Il a quelque chose dans le coffre, toujours un coup d'avance », complimente un stratège, pourtant supporteur d'Édouard Philippe, autre prétendant sur la ligne de départ pour l'Élysée.

Même s'il pâtit toujours d'un problème d'image auprès des jeunes, des femmes et de la gauche, Gérald Darmanin continue de tisser sa toile dans la majorité. Le patron du MoDem, François Bayrou, pourtant historiquement hostile à Nicolas Sarkozy et à tout ce qui lui ressemble, reconnaît à son cadet un côté « sympathique » et « politique ». « Ce n'est pas mon genre de beauté. Mais s'il avait été nommé à Matignon, je n'aurais pas fait d'esclandre. Après tout, il a un côté social, et il aurait animé le collectif », consent une figure du groupe Renaissance, tendance sociale-démocrate. « Toutes les rumeurs sur Darmanin Premier ministre révèlent une chose : Macron peut désormais le nommer sans crainte. Il n'y aurait pas de cris d'orfraie parmi ses troupes, pas de rébellion des féministes [le ministre a été accusé de viol, avant d'obtenir un non-lieu de la justice, NDLR]. » À condition de sortir indemne de l'enfer de Beauvau.

Un état qui ne tient plus sa police qui fait au mieux la grève du zèle puisque n’étant pas autorisé à débrayer comme dans le public à cause d’un président qui procrastine et surtout qui n’aime pas le régalien police/justice ne peut gouverner efficacement jusqu’à se laisser déborder par une petite voyoucratie délinquante devenue dangereuse sur fond de trafics divers de stupéfiants ou autres qu’il n’arrive pas à éradiquer partout en France pas seulement dans les glandes agglomérations mais aussi en province dans de petites villes !?

Le ministre de l’intérieur concerné n’est pas inutile mais pris entre 2 feux de mauvaise politique car patron de fait des policiers mais se laisse dépasser par la politique politicienne macronienne car visant plus haut en 2027 et il n’y a pas que lui et bien sûr pas aidé par le ministre de la justice épinglé par un procès et qui ne devrait plus être en place pendant son instruction mais protégé par le fait du prince ?!

Mais le président qui a trop de pouvoir que lui ont donné ces Français dans cette V eme république monarchique et sa clique de pattes cassées y compris sa 1ere ministre inféodée servile fait ce qu’il veut comme s’il était (déjà en démocrature autocratique de certains autres grands pays dans ce monde international malade car à la mode de cette époque très instable) ce qui est préoccupant !?

Car la rentrée automnale sera encore plus tendue avec cette loi sur l’immigration qu’attende les Français forcement houleuse car déjà repoussée à dessein mais pas éternellement (qui verra peut-être la fin de la 1ere ministre par son 49/3 et une censure des oppositions !?)

La France va mal mais on sait pourquoi inutile de se poser des questions évidentes !?

Jdeclef 29/07/2023 14h06

++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

 


Par pitié que notre petit président ne réfléchisse pas car il ne sait pas le faire qu’il ne se mêle pas de ce qui ne le regarde plus on a hélas assez de problèmes comme cela déjà en France qu’il ramasse ses gaules africaines la pèche est finie !?

 

Coup d'État au Niger : Macron préside ce samedi un conseil de défense ?!

La France compte 1 500 militaires au Niger, considéré comme un partenaire privilégié de Paris dans le Sahel, et peut-être un des derniers.

INITULE BAVARDAGE ET GESTICULATION DU PRESIDENT DE PLUS CE CONSEIL DE DEFENSE QU’IL EVACUE NOS SOLDATS ET EXPATRIES FRANCAIS ET SE TAISE ?!

L’AFRIQUE FRANCOPHONE EST UN BOULET QUE L’ON TRAINE DEPUIS + DE 60 ANS MALGRE LEURS INDEPENDANCES ET QUI A LE MEME AGE QUE CETTE V EME REPUBLIQUE MONARCHIQUE OBSOLETE USEE ?!

Le président Emmanuel Macron préside ce samedi à 15 h 00 un Conseil de défense et de sécurité nationale consacré au Niger, après le putsch qui a vu le chef de la garde présidentielle prendre le pouvoir, a annoncé l'Élysée vendredi.

La France, qui a mis fin à l'opération antiterroriste Barkhane et s'est retirée du Mali sous la pression de la junte de Bamako, a actuellement 1 500 militaires déployés au Niger qui opéraient jusqu'ici avec l'armée nigérienne. Le pays, ex-colonie française devenue indépendante en 1960, est l'un des derniers alliés de Paris au Sahel.

Emmanuel Macron, qui doit rentrer d'Océanie dans la nuit de vendredi à samedi, a déjà condamné « avec la plus grande fermeté » le coup d'État de la junte qui a renversé mercredi Mohamed Bazoum.

Un coup d'État « parfaitement illégitime »

« Ce coup d'État est parfaitement illégitime et profondément dangereux pour les Nigériens, pour le Niger, et pour toute la région », a souligné M. Macron. « C'est pourquoi nous appelons à la libération du président Bazoum et à la restauration de l'ordre constitutionnel », a-t-il déclaré de Papouasie-Nouvelle-Guinée.

Le ministère des Affaires étrangères français a pour sa part affirmé que la France « ne reconnaît pas les autorités » issues du putsch mené par le général Abdourahamane Tchiani.

Le général Tchiani s'est présenté vendredi à la télévision publique comme « président du Conseil national pour la sauvegarde de la patrie », après un coup d'État qu'il a justifié par « la dégradation de la situation sécuritaire » dans le pays.

Après le Mali et le Burkina Faso, le Niger devient le troisième pays du Sahel, miné par les attaques de groupes liés à l'État islamique et à Al-Qaïda, à connaître un coup d'État depuis 2020.

Le pays est aussi réputé pour ses importants gisements d'uranium, notamment exploités par le groupe minier français Orano (ex-Areva) qui emploie 900 salariés sur place, essentiellement des personnels locaux, répartis entre Niamey et Arlit.

Que le président rappelle nos soldats et expatriés de cette ex Afrique coloniale française définitivement puisque de toute façon ils n’ont pas pu éradiquer ces groupes djihadistes terroristes d’Al-QaÏda qui infestent toute cette AFRIQUE ex coloniale AOF/AEF et le Maghreb depuis leurs indépendances depuis + de 60 ans !?

Tout ces pays africains lâchent la France tant mieux car ils veulent assumer leurs indépendances sans européens et leurs soldats qui sont présents en arrière pour leur soi-disant protection servant plutôt à protéger leur pseudo dictateurs africains et juntes militaires issus de cette fausse ex décolonisation anachronique inefficace ce qui est logique et leurs droits !? 

Une raison de plus pour enfin de se débarrasser définitivement de ce boulet colonialiste de notre ex empire africain mais hélas avec un président procrastinateur comme on a on est très mal parti pourtant on a déjà assez profité de cette ex AOF/AEF Maghreb et avec en plus la Russie de Poutine qui agresse aussi l’Ukraine aux frontières de l’Europe occidentale que ces mêmes occidentaux ne sont pas capable d’arrêter mais qui est déjà bien présent dans cette AFRIQUE francophone ce qui prêterait presque à sourire si ce n’était si grave !?

Coïncidence depuis que la macronnie est en place on n’enchaine que les divers problèmes intérieurs et internationaux car mal gouvernés par des dirigeants et gouvernements élus et réélus par des Français qui avalent tout comme des naïfs incurables il faudrait enfin qu’ils en prennent conscience ?!

Jdeclef 29/07/2023 12h15LP


On peut parler d’autre chose que de notre président inutile qui ne sert à rien SVP !?

 

Pauvreté, grand âge, planification écologique… Macron a-t-il oublié sa jambe gauche ?!

Le gouvernement reporte sans cesse ces chantiers, pourtant jugés prioritaires. Au risque d’exaspérer les acteurs concernés et élus en première ligne.

LE PRESIDENT TOURNE EN ROND DEPUIS 2017 LES FRANÇAIS SE SONT ENCORE TROMPES COMME ILS LE FONT DEPUIS + DE 40 ANS APRES LE MITTERANDISME QUI ETAIT AUSSI UN ECHEC ET UNE ERREUR TANT PIS POUR EUX !?

La procrastination gagne l'Élysée et Matignon. On ne compte plus la pléthore de reports sur des dossiers de premier plan. Le pacte des solidarités ? Ajourné à septembre prochain – après avoir été annoncé pour janvier, mars, mai, puis juillet. Le grand discours d'Emmanuel Macron sur la planification écologique, initialement prévu le mercredi 5 juillet ? Il faudra encore attendre pour des annonces précises… Quant à la proposition de loi « bien vieillir », son examen dans l'Hémicycle a été reporté… à la rentrée.

L'ancien ministre des Solidarités, Jean-Christophe Combe, s'était engagé à présenter en mai – puis avant le 14 juillet – une feuille de route sur la stratégie de l'exécutif pour faire face au vieillissement de la population. Il n'a rien dévoilé à temps avant son éviction du gouvernement. Le député socialiste Jérôme Guedj, investi sur ce dossier depuis de nombreuses années, ne s'est pas privé de railler ce « ministre qui aura annoncé avec constance des choses qui ne seront jamais venues ».

Arbitrages budgétaires

Cette communication erratique suscite l'incompréhension. « On a le sentiment que ce gouvernement veut éviter de parler de social, regrette Noam Leandri, président du collectif Alerte. C'est comme si le pacte des solidarités n'était pas jugé prioritaire dans l'agenda de la Première ministre. En 2018, le plan pauvreté était porté par le président lui-même, à un haut niveau. On sentait l'envie de faire quelque chose. Là, c'est très léger en termes de portage politique. Beaucoup de ministres de la thématique couverte par le pacte ont changé, ce qui est peu lisible. Et, sur le fond, on craint que ce ne soit qu'une panoplie de petites mesures sans vision très claire. »

Renaissance : le grand jeu des chaises musicales a commencé

Dans une interview accordée à Ouest-France, Aurore Bergé, la nouvelle ministre chargée de ce dossier, a assuré que le plan, structuré autour de la petite enfance, l'emploi et une transition écologique « juste », sera présenté à la rentrée avec Élisabeth Borne. Ce report peut aussi s'expliquer par des tensions sur certains arbitrages budgétaires sur la baisse des emplois aidés, le bouclier énergétique et la hausse des minima sociaux. Jean-Christophe Combe, conformément au souhait des associations, plaidait pour une hausse du RSA au-dessus de l'inflation, mais a essuyé les refus de Bercy et Matignon. Même chose pour Pap Ndiaye, ancien ministre de l'Éducation nationale. « En septembre 2022, il me disait qu'il avait tout un plan ambitieux pour l'égalité des chances à l'école de prêt, mais que Matignon bloquait », rapporte Noam Leandri au Point.

L'Arlésienne du grand âge

Dès 2018, Emmanuel Macron avait promis une grande loi sur la dépendance. Mais le texte a été repoussé aux calendes grecques. Las d'attendre, les députés Renaissance ont déposé, en décembre 2022, une proposition de loi pour « bâtir la société du bien vieillir ». Présenté comme une première étape à un projet plus ambitieux, le texte propose une série de mesures réglementaires sur la prévention de la perte d'autonomie, les signalements de cas de maltraitance et la qualité des prestations dans les Ehpad. Mais il n'a pas été débattu lors de la session extraordinaire de juillet, contrairement à l'engagement du gouvernement. « Je suis très déçue, dit Annie Vidal, députée Renaissance et co-rapporteure du texte. Cette PPL [proposition de loi, NDLR] est utile et comporte des mesures concrètes. Je compte sur l'engagement d'Aurore Bergé. »

« Chez moi, dans le Sud, on appelle ça une Arlésienne ! ironise Jean-Pierre Riso, président de la Fédération nationale des associations de directeurs d'établissements et services pour personnes âgées. On voit bien que l'État considère qu'il y a toujours plus prioritaire que ce sujet. La PPL “bien vieillir” est très modeste. Il faut une loi grand âge plus globale, qui embrasse la question du financement et de la gouvernance des Ehpad. »

Le choc démographique va nécessiter des financements importants et des réformes profondes.Monique Iborra, députée Renaissance

Les parlementaires Renaissance se divisent sur l'attitude à adopter face au gouvernement. « Je ne suis pas une frondeuse, mais là, ça ne va pas, déplore Monique Iborra. Bien sûr, on ne peut pas dire que rien n'a été fait : la création d'une 5e branche de la sécurité sociale, consacrée à l'autonomie, est une avancée. Mais on traite plus le symptôme que la maladie. Le choc démographique va nécessiter des financements importants et des réformes profondes. Malheureusement, certains de mes collègues se contenteraient bien de cette PPL et adhèrent à tout ce que veut le gouvernement. » L'élue de Haute-Garonne a refusé d'être co-rapporteure de la proposition de loi, « une réformette bien trop légère ». Elle plaide pour une réforme de la gouvernance des Ehpad et un allégement du reste à charge pour les résidents.

Les vieux sont des gens comme les autres

Des propositions qui rejoignent celles du rapport rédigé par Christine Pirès-Beaune, députée socialiste, et remis à Élisabeth Borne le 26 juillet. « Mais je demande depuis des années un seuil minimum pour les infirmières et les aides soignantes dans les Ehpad. Et ça, le gouvernement ne l'accepte pas », ajoute-t-elle. « Monique n'a pas compris la philosophie du texte, griffe Annie Vidal, députée Renaissance. Cette PPL n'exclut pas qu'on ait plus tard un projet de loi grand âge. Sur ce coup, elle a été délétère. » Ambiance…

Duel entre sociaux-démocrates et sarkozystes

Toutes ces annonces, qui auraient pu muscler la jambe gauche du macronisme, ont été percutées par les émeutes. Le discours du président sur la planification écologique est encore dans les tiroirs. La question du financement, au cœur des arbitrages politiques, n'a pas encore été tranchée. Avec la hausse des taux d'intérêt et l'augmentation de la charge de la dette, les marges de manœuvre budgétaire sont réduites.

Marc Fontecave : « Pour sauver le climat, il existe d'autres voies que la décroissance »

Lors d'un entretien croisé paru dans les pages de L'Obs, l'économiste Jean Pisani-Ferry et le député Renaissance Éric Woerth ont acté leur désaccord pour trouver ces 60 milliards. Le social-démocrate, ancien rédacteur du programme d'Emmanuel Macron en 2017, face à l'ancien ministre de Nicolas Sarkozy, comme le symbole de deux spectres de la macronie qui n'ont pas grand-chose en commun. Le premier défend l'endettement et une taxe sur les grandes fortunes pour financer la transition écologique ; le second refuse toute hausse de la fiscalité. Favorable aux pistes du rapport Pisani-Ferry, le flanc gauche de la majorité semble s'être résigné : « Il y a un enjeu de justice sociale important. Mais l'aile gauche ne mènera sûrement pas le combat là-dessus car ça ne rentre pas dans la stratégie du gouvernement », confie un collaborateur parlementaire.

Les prochains mois, il va falloir qu’on monte au front, notamment sur la loi immigration. Il ne peut pas y avoir que l’aile droite qui s’exprime.Un député de la majorité

Après les violences urbaines, certains députés attendaient des annonces pour rééquilibrer le discours sécuritaire de l'exécutif. « Les prochains mois, il va falloir qu'on monte au front, notamment sur la loi immigration, raconte un député. Il ne peut pas y avoir que l'aile droite qui s'exprime avec Maud Bregeon ou Charles Sitzenstuhl. »

Projet de loi immigration : fragilisé, Darmanin attend l'heure de la revanche

« La majorité des députés Renaissance sont de centre gauche, souligne Monique Iborra, longtemps encartée au PS. Mais l'identité de la politique que l'on mène a du mal à être identifiée. On donne l'impression de patiner. » L'aile gauche se raccroche à des mesures du quinquennat précédent : hausse de l'allocation adulte handicapé et du minimum vieillesse, les 15 milliards déversés au moment des Gilets jaunes et la politique du « quoi qu'il en coûte »… « Nos mesures sociales ont été éclatées dans différentes politiques qui manquent de lisibilité et d'affichage », regrette Annie Vidal, qui cite comme autant de marques de gauche le remboursement des fauteuils roulants pour les handicapés et la prime pour la rénovation énergétique.

La jambe gauche du président est-elle définitivement amputée ? « Entre ce qu'a fait François Hollande et ce que fait le gouvernement, il y a une continuité. Macron n'est pas de droite, ça, je peux vous le dire », glisse au téléphone Monique Iborra. Comme pour mieux se rassurer ?

Arrêtons Messieurs journalistes ou chroniqueurs politiques comme ces médias de commenter des faits inexistants car n’ayant plus rien à dire de ce petit président fantôme fat imbu de sa personne bon chic bon genre mais politicien opportuniste bienpensant hypocrite voulant donner des leçons au monde entier qui ne l’écoute plus tant ses bavardages incessants creux ne font pas que souler les Français voire se moquer d’eux et mêmes les insulter !?

Qui pendant ce temps-là allant se promener de par le monde dans ce pacifique et ses iles paradisiaques en bavardant pour ne rien dire d’utile s’offrant des pseudo vacances en espèce de circuit touristique il rajoute même des étapes pas prévu au départ comme le Sri Lanka cela ne lui coute rien personnellement car ce sont les Français si naïfs qui lui ont offert et paient car de toute façon il est la jusqu’en 2027 par la réélection d’une majorité relative de Français perdus (enfin ceux qui votent encore car l’abstention est bien là) mais le restant des citoyens est suffisant grâce à cette V eme république obsolète usée qui ne correspond plus à ce qu’attende les Français car cela fait 65 ans et un système électoral à 2 tours qui ne sert qu’à élire ou réélire les mêmes et qui ne profite qu’à des politiciens médiocres de tous bord et ceux déjà au pouvoir !?

Allons faisons comme beaucoup de nos concitoyens dégoutés inutiles de commenter « les carottes sont cuites jusqu’en 2027 mais sans le bœuf mironton » qui va avec à cause de Français d’une niaiserie pathologique incurable qui baisse les bras !?

Merci à eux et bonnes vacances ils auront comme d’habitude des mauvaises surprises à sa rentrée et celles des Français en automne et même avant mais çà ce n’est nouveau !?

JDeclef 29/07/2023 10h36

vendredi 28 juillet 2023

Un de plus parmi ces ministres l’enseignement de tous bords en fonction de la couleur politique de nos dirigeants de cette Veme république obsolète qui ne fait que de la mauvais politique pour l’enseignement et le reste depuis + de 40 ans (au moins..!?)

 

Gabriel Attal : à Montpellier, les premiers pas d'un ministre pressé !?

Pour son premier déplacement hors d’Île-de-France, à Montpellier, le nouveau ministre de l’Éducation nationale est venu parler rénovation thermique et harcèlement scolaire. À toute allure.

De notre correspondant à Montpellier, Henri Frasque

PEUT ETRE UN JEUNE LOUP DONT NOTRE PRESIDENT A LIME LES DENTS DE SON AMBITION POUR LE CALMER SES VUES ENCORE TROP HAUTES ET LOINTAINES ?!

« Alors, les enfants, ça se passe bien le centre aéré ? » C'est l'été, et la casserolade qui avait accueilli en avril Gabriel Attal, alors ministre délégué aux Comptes publics, dans l'Hérault n'est plus de saison.

Ce sont des enfants, amenés tout exprès du centre aéré voisin, qui ont souhaité, jeudi 27 juillet dans l'après-midi, la bienvenue au nouveau ministre de l'Éducation nationale, venu visiter le chantier du futur groupe scolaire Jacques-Chirac à Castelnau-le-Lez, une commune périurbaine de 23 000 habitants dans la première couronne de Montpellier.

C’est une école modèle que je viens voir. Vous avez beaucoup de chance !Gabriel Attal

Le nouveau ministre de l'Éducation nationale s'est prêté au jeu des questions-réponses avec des enfants, amenés d'un centre aéré tout proche le temps de sa visite. © Henri Frasque

Des enfants pas du tout intimidés par ce monsieur juvénile et souriant, en chemise et cravate, mais sans veste, qui vient de descendre de sa puissante berline avec gyrophare, précédée par deux motards. « C'est une école modèle que je viens voir. Vous avez beaucoup de chance ! » s'exclame le jeune ministre, comme s'il n'était pas entouré d'une nuée d'élus, d'officiels et de journalistes. « Il y en a beaucoup, des écoles comme ça ? » lui demande une fillette. « Il y en a dans trop peu d'endroits. Mais il y en a de plus en plus et, surtout, on va mettre de plus en plus de moyens pour qu'il y en ait partout, voilà. » Et voilà, expliqué aux enfants, le message essentiel que le successeur de Pap Ndiaye est venu délivrer pour sa deuxième sortie depuis sa nomination, et sa première hors d'Île-de-France.
Les indiscrets – Ce qu'Attal a dû lâcher pour obtenir la rue de GrenelleLa séquence 1, une semaine plus tôt, dans une école dévastée par les émeutes, dans les Yvelines, c'était « le respect de l'autorité ». La séquence 2, c'est donc : « Il faut rénover les écoles et le gouvernement va y aider. » Pour la séquence 3, glisse un de ses conseillers, ce sera mardi prochain. Mais ni le lieu ni le thème n'ont encore été choisis.

« Alors là, vous êtes vraiment à énergie positive »

Pour l'heure, et pour deux heures trente, montre en main, le nouveau ministre est à fond dans le thème du jour. Le maire LR de la commune, Frédéric Lafforgue, lui fait les honneurs de ce groupe scolaire de nouvelle génération, qui accueillera 250 élèves à la rentrée de septembre. Et attention, on est ici « dans les plus hauts standards environnementaux », vante l'élu, avec de la géothermie, des panneaux photovoltaïques et une cour alternant espaces verts plantés d'espèces méditerranéennes et d'autres recouverts d'une surface minérale perméable.

« Alors là, vous êtes vraiment à énergie positive, comme on dit », rebondit le fidèle macroniste. « Si on a plus de production que de consommation, on revend à EDF », détaille un technicien. Le ministre et sa suite arpentent au pas de course les salles de classe équipées d'écrans numériques, la cantine et son patio, les salles de repos, le gymnase flambant neuf… L'aréopage passe et repasse sous les regards amusés du groupe d'enfants resté dans le hall. « Vous savez qui c'est, le monsieur ? » leur demande une journaliste. « Non, c'est qui ? »

Harcèlement scolaire : le harceleur changera d'établissement

Après la visite, Gabriel Attal délivre deux messages bien calibrés, en sept minutes chrono, à la grappe de journalistes qui l'attend dans la cour. Une tirade sur la transition écologique, et « l'investissement budgétaire massif inédit dans l'histoire de notre pays » annoncé par la Première ministre Élisabeth Borne avec « 7 milliards d'euros de plus pour la transition écologique », dont l'école aura sa part.
Harcèlement en milieu scolaire : « Ce qu'on fait aujourd'hui ne fonctionne pas » Laquelle ? On le saura « au moment du projet de loi de finances ». Et des annonces sur la lutte contre le harcèlement scolaire, dont il fait « une priorité absolue ». Dès cet été, promet-il, il « prendra un certain nombre de textes réglementaires » pour, d'une part, changer un élève harceleur d'établissement, au lieu de l'élève harcelé, et, d'autre part, pour « prononcer des sanctions disciplinaires à l'encontre d'un élève responsable de harcèlement, ou de cyberharcèlement, contre un élève d'un autre établissement ».

« Valoriser le métier d'enseignant »

Puis le convoi fonce en direction d'un vieux collège, dans la commune voisine du Crès, qui a fait l'objet d'une profonde rénovation, pour 11 millions d'euros, par le conseil départemental, aidé par des fonds d'État. À toute allure, Gabriel Attal grimpe sur le toit pour admirer le paysage, et les 1 000 m2 de panneaux solaires qui alimentent le collège.

Le temps d'un bref aparté avec le principal et la rectrice. Et, avant de remonter dans sa berline, il répond à une dernière question sur les chantiers qui l'attendent à la rentrée scolaire : « Le gros chantier, c'est la valorisation du métier d'enseignant. Il y a un enjeu de reconnaissance et d'attractivité. C'est pour cela qu'il y a des revalorisations importantes qui arriveront au mois de septembre. »
Macron, le reclus de la LanterneMais, pour le nouveau ministre, la valorisation passe aussi par « la mobilité, les perspectives, les rendez-vous de carrière, les libertés qui peuvent leur être données pour innover, pour tester des choses dans leurs établissements ». « C'est vraiment ma philosophie. » Gabriel Attal a déjà réuni les recteurs et a adressé un message à l'ensemble des syndicats, dont les premières réactions à l'annonce de sa nomination n'ont pas été follement enthousiastes. Ses vacances, s'il en prend, seront brèves. Sa première rentrée des classes, ce sera dès le 17 août, à La Réunion.

Laissons-le arriver ce petit minet bon chic bon genre parlant bien car lui aussi très bavard spécialiste des plateaux télé qui l’ont fait connaitre un peu comme un clone de son patron notre président aussi jeune de même calibre mais a ambition dévorante de jeune loup (qui rêve de bien plus haut en 2027 !?)

Mais qui s’est peut-être fait piéger par son patron macronien car le poste de ministre de l’enseignement est extrêmement difficile et en a usé plus d’un maintes fois dans cette Veme république monarchique qui n’ont pas résisté longtemps dans ce ministère compliqué de fonctionnaires et administrations filandreuses dures à diriger plutôt à gauche PS voir PC ou pire adossé à des syndicats professionnels puissants et aussi en n'oubliant pas ceux des parents d’élèves pas moins puissants qui ont été créés plus tard mais une fumisterie car n’existant pas dans le passé de ma génération qui n’aide pas mais a compliqué car voulant faire leurs lois ce qui est improductif en gênant les enseignants dont c’est le métier!?

Le pire étant que notre éducation nationale devient médiocre car trop politisée par ces dirigeants de tous bords qui désignent ces ministres qui ne sont que des politiciens inféodés au pouvoir en place pas des enseignants pourtant là pour apprendre à nos enfants entre la petite enfance et déjà jusqu’en 6 eme pour entrer dans le secondaire et qui ne sont pas à niveau pour simplement lire écrire sans faute compter correctement pour continuer leur parcours scolaire dans le secondaire !?

D’ailleurs notre pays au niveau mondial régresse au niveau de l’enseignement dans toutes les matières avec même un baccalauréat qui se désagrège chaque année que l’on distribue facilement pour calmer les parents de nos chères têtes blondes car la politique politicienne prime avant tout quel que soit les gouvernements en place !?

Jdeclef 28/07/2023 14h58

+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++