Émeutes :
sur les réseaux sociaux, les jeunes divisés !?
Les
émeutes qui se poursuivent après le décès de Nahel prennent une place
considérable sur les réseaux sociaux. Le sujet figure dans les premières places
des tendances sur Tik Tok
NOS
DIRIGEANTS ET LEURS GOUVERNEMENT DE TOUS BORDS QUI NE SAVENT PLUS GOUVERNER NI
DIRIGER VOIRE PROTEGER NOTRE PAYS PAIENT LEUR INERTIE DE BIEN PENSANT DONNEURS
DE LECON QUI VIENT DE LEUR REVENIR DANS LA FACE ET CONFIRME LA RISEE DE LA FRANCE
DANS LE MONDE A L’ITERNATIONAL ?!
LA FRANCE
N’EST QUE LE PAYS DES « Y A QU’A FAUT QU’ON » INCURABLES ?!
Avec plus de 2,2 millions de vues
sur le hashtag #emeutefrance sur TikTok, les vidéos de destruction, pillages
mais aussi de débats fleurissent sur la plateforme préférée de la génération Z.
Un sujet majeur, surtout lorsque l'on sait que la majorité des profils
interpellés par les forces de l'ordre ont entre 14 et 18 ans. Entre
des contenus voulus comme humoristiques montrant par exemple un policier
en service dispenser des conseils en mécaniques en pleine émeute à un
conducteur, et des prises de position d'influenceurs en soutien à la famille de
Nahel, décédé à la suite d'un tir d'un policier lors d'un refus d'obtempérer,
l'application regorge de vidéos variées sur l'actualité du moment. « Je
suis lycéen et je pense à tous les futurs élèves qui devront retenir tout ce
qui s'est passé pour leur bac d'histoire », s'amusent même en commentaires
des adolescents sous des vidéos.
Parmi ces contenus, certains influenceurs, en plus de leur soutien à la
famille de Nahel, choisissent de prendre position en vidéo concernant les
émeutes. Jaennih, étudiante, est suivie par plus de 350 000 abonnés sur
TikTok et a choisi de s'exprimer ce week-end dans une vidéo qui cumule à ce jour plus 30 000 likes.
Le ton est ferme et le débit rapide, Jaennih affirme être offusquée des propos
tenus par d'autres jeunes comme elle qui donneraient, selon elle, « raison
à l'extrême droite ». « Heureusement que les anciens Français qui ont
fait la Révolution, la prise de la Bastille, n'avaient pas votre mentalité
parce que sinon la France elle s'en serait pas sortie », rappelle-t-elle
avec ironie. Si elle concède toutefois que les avis divergent sur le sujet,
Jaennih tient à affirmer son point de vue : « Vous voulez vous faire
passer pour des jeunes issus de l'immigration pas comme les autres, des
civilisés et tout, vous l'êtes absolument pas. La révolte, c'est normal, les
jeunes issus de l'immigration, les Noirs et les Arabes je vais le dire précisément
ont le droit d'exprimer leur colère », soutient Jaennih en rappelant que
les Gilets jaunes eux aussi auraient saccagés et pillé des enseignes. Indignée,
l'étudiante nuance toutefois son propos en précisant qu'elle « n'appelle
pas à la révolte », mais « pas au calme » non plus…
Meryem (prénom modifié) a 16 ans et réside
avec sa famille dans le 93. La lycéenne s'était rendue avec ses amies à la
marche en hommage à Nahel et partage le point de vue de l'influenceuse à
laquelle elle est abonnée, estimant en effet que les émeutes sont
« légitimes ». « Personne s'intéresse à nous, on a besoin de se
faire entendre, l'assassinat de Nahel était la goutte de trop. Quand c'est des
mecs de banlieue qui cassent, tout le monde critique, mais quand il y
avait des manifestations comme les Gilets jaunes les gens les
comprenaient », s'agace Meryem. À demi-mot, elle reconnaît que son grand
frère, âgé de 19 ans, est lui aussi allé « manifester » la nuit,
lors des deux premiers soirs des émeutes. « Mon frère n'est pas un
émeutier, il n'a pas volé ou blessé des gens, et il n'est pas ressorti depuis,
car c'est trop dangereux, je sais qu'il est allé participer le soir pour
soutenir le mouvement et dénoncer l'injustice », insiste Meryem.
« Je soutiens en likant »
A contrario, de nombreux contenus, généralement présents sur des comptes qui
se revendiquent ouvertement « à droite », sont publiés par de jeunes
utilisateurs de TikTok qui relaient des vidéos de pillages, d'agressions ou
d'épisodes de violences. Jules a 17 ans et vit à Angers, une ville ciblée
par les émeutes, mais qui s'est démarquée par l'intervention d'Angevins décidés
à affronter les casseurs pour tenter de préserver les commerces. « Une
fierté » pour le lycéen qui entre en terminale à la rentrée de septembre
dans son établissement privé catholique. « C'est TikTok et les émeutes qui
m'ont fait vriller, maintenant, je regarde plein de vidéos et j'ai la rage. Je
peux pas aller protéger ma ville, donc je soutiens en likant, en partageant des
vidéos », défend Jules. Son credo ? La « sensibilisation ».
La famille de Jules, préservée des émeutes, car résidant à l'étranger ou à la
campagne n'est, selon lui, pas forcément renseignée et consciente de la
« vérité » sur ce qui se passe en France. L'adolescent, qui sait que
les adultes de sa famille ne fréquentent pas les réseaux sociaux, leur envoie
chaque jour une sélection de vidéos qu'il les encourage à relayer à leur tour à
leurs connaissances.
« Interdire les réseaux sociaux ? Il n'y a pas
pire idée »
À ce titre, Jules nous envoie la récente vidéo TikTok de l'influenceur
controversé Papacito, dont la plateforme YouTube a récemment censuré la
chaîne pour incitation à la haine. Selon lui, ce TikTok a été sa
« révélation » : « si vous intervenez maintenant, vous
allez venir au secours de ce régime (sic la République) qui est en train de
vaciller sous sa propre indulgence envers certaines personnes », déclame
Papacito face caméra. « Intervenir maintenant, c'est se porter au secours
d'un régime et au secours des gens qui ont voté pour déjà perpétuer ce régime
et qui ont voté pour Emmanuel Macron », insiste l'influenceur d'extrême
droite avant d'ajouter : « il faut laisser les hordes de Huns
saccager les résidences principales des gens qui ont voté Emmanuel Macron dans
les centres-villes ». Un contenu qui séduit beaucoup Jules, qui n'a pas pu
s'empêcher de le relayer par provocation à ses parents.
Si deux camps semblent s'affronter, en totale contradiction l'un avec
l'autre, une majorité de jeunes paraissent plutôt mitigés sur la question des
émeutes. Soutenant la famille de Nahel et dénonçant le drame, beaucoup d'entre
eux ne s'empêchent par ailleurs pas de critiquer vertement les émeutiers. Orna,
agente immobilière dans la région lyonnaise, mais également influenceuse suivie
par plus de 600 000 abonnés a publié elle aussi ce week-end une vidéo très virulente. Elle se présente comme estomaquée
d'avoir vu des « darons » (parents, NDLR) tenter de ramasser des
débris et d'arranger les dégâts causés par les plus jeunes. « Vous brûlez
dans vos propres quartiers. Vous êtes là en train de snaper (utiliser Snapchat,
NDLR) avec vos téléphones à 1 000 euros que vos darons vous ont
achetés, vos
darons qui à une heure du matin vont ramasser vos débris bande de clodo »,
critique-t-elle, une forte colère dans la voix. Ajoutant avec dédain que
« de toute façon vous l'aimez pas Nahel, car si vous l'aimiez, vous
n'auriez pas fait le quart de ce que vous avez fait », Orna recueille pour
ses positions plus de 40 000 likes, dont celui de Louann, 19 ans et
étudiante en région parisienne.
Henri Leclerc : « Ces violences urbaines sont
inéluctables »
« Je ne cautionne pas et je dénonce
même ce qui est arrivé à Nahel et c'est toujours le cas, ça devrait être le cas
de tout le monde. Mais je suis tellement choquée de ce qui se passe en France.
Je viens de Montargis et mes parents et ma petite sœur m'ont envoyé des photos
du centre-ville où je vivais, c'est terrible », déplore l'étudiante en
histoire. Sur Snapchat, c'est la vidéo d'un de ses influenceurs préférés
« Yousstropico », dont le centre pour animaux a brûlé à cause des
émeutes de Nanterre, qui la touche le plus. « Son cri de panique quand il
cherchait ses oiseaux qu'il aime énormément m'a brisé le cœur », livre
Louann, encore émue.
De toute façon notre président
hors sol et son gouvernement de pattes cassées lamentables ont eu seulement
peur d’être renversés et dépassé par ces insurrections violentes frisant une
anarchie ou guerre civile car bien sur n’ayant pas pris l’ampleur de celles-ci
qui pouvait basculer vers le chaos et peut être pire qu’en 2005 ou comme en
1968 qui avait été nettement plus longues car la population et surtout la
jeunesse a changée de par certains de ses émeutiers jeunes adolescents qui étaient
moins ou pas éduqués du tout issus de zones devenues de non droit incontrôlées mais
dans la France entière pas seulement en IDF et couronne parisienne !?
Car pour faire des
comparaisons ou statistiques ce que l’on ne sait qu’aimer faire en 1968 de GAULLE
avait fui chez son beau-frère général quelque jours et cela avait duré 1 mois et
surtout les jeunes de l’époque étaient éduqués car étudiants et ensuite les ouvriers
qui ont pris la suite !?
Là chez cette jeunesse
actuelle n’est pas de la même génération une partie est au niveau du caniveau dont
ils sont issus abandonnés par leurs parents qui les ont oubliés et d’autres
entrainés dans ce maelstrom destructeur digne de cette voyoucratie qui pollue
la vie quotidienne des Français en insécurité vandalisant volant brulant détruisant
des bâtiments publics divers qui servent à leurs parents pour vivre !?
Ce que les Français lambda
viennent de gagner c’est un état policier ou tout sera contrôlé au plus prés et
réprimé en termes de dérapage car note petit président parvenu bourgeois a peur et donc nos libertés se sont plus encadrées donc il y a en effet deux
jeunesses différentes et le gouvernement marconiens va amplifier ces divisions entre
jeunes vieux système qui marche très bien car diviser pour mieux régner d’ailleurs
la fièvre émeutière redescend bien qu’attisé par certains médias pour faire du
buzz !?
Jdeclef 03/07/2023 11h12
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