Ce minable vieux politicien ( de gauche ex PS ) qui a tout raté est un boulet que l’on traine dans cette classe politique lamentable de tous bords regrette que le pays n’est pas chuté dans un chaos irréversible comme ces trublions violents que se sont défoulés !?

 

Ce qui « dégoûte » Jean-Luc Mélenchon ( c’est lui-même qu’il se regarde dans un miroir !?)

Faut-il être des quartiers pour parler aux quartiers ? À l’en croire, Emmanuel Macron n’en a pas la légitimité. Lui, en revanche…

AVEC NOS DIRIGEANTS ET GOUVERNEMENT ACTUELS CELA NE S’AMELIORERA PAS CES EMEUTES VIOLENTES NE SONT QUE RECULER POUR MIEUX SAUTER !?

CAR ILS NE CHANGENT RIEN ET N’AGISSENT PAS SUR LE FOND DES MULTIPLES PROBLEMES DE NOTRE SOCIETE FRANCAISE COINCES DANS LEUR BIEN PENSANTE DE DONNEURS DE LECONS HYPOCRITES ?!

A peine Emmanuel Macron eût-il évoqué la responsabilité des parents vis-à-vis de leurs enfants mineurs (dès 11 ans) impliqués dans les émeutes et pillages, que Jean-Luc Mélenchon ne cacha pas ce que lui inspiraient pareils propos : « un profond dégoût ». S'ensuivit une éloquente tirade : « Cet homme [Macron] ne sait pas ce que vivent les gens. Il n'a pas à parler comme ça. De quoi se mêle-t-il ? C'est lui qui vit dans les familles pour dire “Toi, t'as pas fait ton travail” à la mama ou au papa, “toi qui es toute la journée dehors à travailler, toi femme qui pars à 5 heures du matin pour aller faire des ménages”, et en plus tu viens lui dire c'est de ta faute ? Il méprise les gens, il ne les aime pas, il ne comprend pas la vie qu'ils ont. »

Ce verbatim donne à penser. En l'écoutant, spontanément, on se prend à y trouver du juste. C'est bien vrai, ça ! Que sait, que connaît Macron de la vraie vie de parents vivant où ils vivent, et comment ils vivent, ayant les enfants qu'ils ont dans le quartier qui est le leur, avec leurs copains, leurs ennuis, leurs envies ? Qu'est-ce qu'il en sait pour leur donner des leçons et les rappeler à l'ordre ? Pour qui se prend-il ? De quoi se mêle-t-il ?

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Des questions qui résonnent, assurément. Dont pourtant il faut se méfier. D'abord, juste par espièglerie, on remarquera que ce que dit Mélenchon à Macron, il pourrait le dire à bien d'autres, et d'ailleurs, à commencer par lui-même. Qui est-il, lui, pour connaître mieux que quiconque la vie des gens des quartiers ? En quoi le fait qu'il appartienne à une gauche radicale le prédispose-t-il à cette science infuse de la misère, du malheur, de la dureté ? Et pas davantage son parcours de sénateur au long cours, dix-neuf ans, commencé dès l'âge de 35 ans, avant que d'épouser toutes les fonctions politiques.

S'est-il seulement demandé pourquoi ses interventions, l'une pour refuser d'en appeler au calme, l'autre pour demander aux jeunes – de quel droit ? – d'épargner les écoles, les gymnases et les bibliothèques, leurs biens communs, comme si les mairies, les bus, les commissariats et les commerces en étaient exclus ; pourquoi ses interventions n'avaient été du goût ni de ses amis de la Nupes, ni surtout des habitants des quartiers saccagés ?

Le mépris version Mélenchon

Plus profondément, ce qu'entend Jean-Luc Mélenchon dans sa diatribe contre Emmanuel Macron, c'est qu'il faut être des quartiers pour parler aux quartiers, que la légitimité d'une parole vient de son origine, d'une appartenance. Inspecteur des finances et ancien banquier, on devine bien que Macron n'a pas une connaissance intime des quartiers difficiles, mais faudrait-il qu'un président ait mille vies, mille enfances, mille milieux, mille métiers, pour être légitime à parler à tous ?

Mélenchon peut tout à fait critiquer la politique de Macron, et trouver injuste l'idée de sanctionner des parents jugés défaillants, mais pas lui interdire, comme à quiconque, d'avoir une intelligence, une connaissance, une sensibilité qui puissent dépasser ce qu'il est. Tout le monde peut s'élever, s'arracher aux déterminismes de son milieu, n'être pas un intrus dans un milieu qui n'est pas le sien d'origine.

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L'exclusion que prononce Mélenchon à l'encontre de Macron n'est pas autre chose qu'une ségrégation sociale. C'en serait une identique que de disqualifier Mélenchon s'il parlait d'autre chose que, au hasard, … de révolution bolivarienne !

Enfin, il y a bien du mépris, de la part de Mélenchon, à penser qu'une mama qui fait des ménages ou qu'un papa qui travaille dur seraient incapables d'exercer leur responsabilité parentale, ou qu'ils n'en auraient aucun souci. Que certains soient dépassés, plus que des « bourgeois » qui peuvent l'être aussi, n'invalide pas les efforts de beaucoup comme en témoignent notamment les associations de femmes bravant courageusement les trafics, s'employant à en détourner leurs enfants.

À la fin de sa carrière, Mélenchon en est toujours là : à désespérer du peuple. Que c'est difficile de transformer un peuple révolté en peuple révolutionnaire ! Il s'y essaie pourtant, laborieusement, en voulant tout « conflictualiser ». Et souvent en se plantant.

J.L.MELENCHON n’est qu’un agitateur public aboyeur de foire aussi mal élevé que ces jeunes voyous devenus délinquants casseurs violents sauf que lui est nanti à l’abri du besoin qui prend un plaisir pervers à jeter de l’huile sur le feu de notre société Française malade comme le monde entier devenu instable et pas sécurisé car ce vieux politicien ex ministre PS est devenu aigri par ses échecs dont il prend plaisir quand le désordre qu’il sème par ses harangues va peut-être vers l’anarchie et le chaos !?

Si c’est cela cette gauche extrémiste moribonde qui essaie de survivre sur le malheur « des gens de peu » comme dit notre président dédaigneux car n’aimant pas les Français qui ne sont pas de son monde !?

Il faut vite le pousser à la retraite cet inutile trublion il y en a assez dans notre classe politique de tous bords lamentables qui profite de ces Français gogos qui ont réélu ce Chef d’Etat pseudo monarque sans couronne par peur du lendemain jusqu’en 2027 et qui dit que le calme est revenu alors que le feu couve sous les braises et ne demande qu’à se rallumer (surement en automne à la rentée) alors que les juilletistes s’entassent dans les trains ou en faisant la queue aux péages d’autoroutes vers la mer et le soleil des vacances !?

Les Français lambda n’ont pas encore compris et pas eu assez peur alors que nos dirigeants et gouvernements de pattes cassés n’ont rien fait depuis 2018 début des manifestations et grèves de gilets jaunes qui en fait n’ont jamais vraiment cessés sous d’autres formes !?

Car c’est de leur faute ils élisent et réélisent les mêmes politiciens médiocres et dirigeants de tous de tous bords depuis + de 40 ans !?

Pauvre France pays devenu de seconde zone…

Jdeclef 08/07/2023 10h46

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