dimanche 30 septembre 2018

La France des faits divers (comme on les appelle) est-elle devenue insécuritaire et les français dangereux ou violents ?!


A GENEVE  des français interpellés à PARIS Les victimes avaient été rouées de coups au mois d'août 2017 dans leur maison en Suisse. Cinq suspects ont été arrêtés, cette semaine, avant d'être écroués.


Ils s'étaient acharnés sur leurs victimes pour leur soutirer une importante somme d'argent. Selon nos informations, cinq hommes, âgés de 24 à 31 ans, ont été interpellés, ce mardi 25 septembre, dans le 18e arrondissement par les policiers de la brigade de répression du banditisme (BRB) de Paris. Deux d'entre eux ont reconnu avoir été présents à Genève au moment des faits. Les trois autres ont fait valoir leur droit au silence. Tous ont été mis en examen avant d'être placés en détention provisoire.
Les enquêteurs de la BRB sont parvenus à remonter leur piste après avoir identifié leur voiture de fuite sur les lieux des faits. Le 16 août 2017, vers 1 h 30 du matin, Marc, 68 ans, dort avec son épouse dans leur maison du quartier de la Châtelaine à Genève. Soudain, le sexagénaire voit surgir plusieurs inconnus, encagoulés et armés d'un pistolet, dans sa chambre. Dans un instinct de survie, la victime se jette sur ses agresseurs avant d'être frappée à coups de crosse sur la tête et au visage. Étranglé avec un lacet en plastique, Marc est mis en joue par l'un de ses agresseurs. Devant sa résistance, il le menace sans détour : « Je vais te buter ! » lui hurle-t-il au visage avant de frapper son épouse. Le couple est ensuite contraint d'ouvrir son coffre-fort. Les malfrats emportent deux montres et un peu d'argent.

Connus pour du trafic de drogue et des vols

Toujours selon nos informations, ils escomptaient mettre la main sur 400 000 euros qui auraient été conservés dans le coffre des victimes. Les malfaiteurs ont finalement pris la fuite après avoir entendu des sirènes de police. Les enquêteurs suisses sont parvenus à identifier un véhicule utilisé par les agresseurs avant d'établir que ces derniers avaient franchi la frontière française au cours de leur fuite. « Des recoupements ont été effectués avec des équipes de voyous français et plusieurs suspects ont alors été ciblés, confie une source proche de l'affaire. Les cinq suspects interpellés sont connus pour du trafic de drogue, des vols et des violences. »
Au cours de leurs perquisitions des domiciles des agresseurs, les policiers de la BRB ont saisi 10 kg d'herbe de cannabis et autant de haschisch. Les investigations se poursuivent afin de déterminer si d'autres victimes ont pu être ciblées par ce gang de malfrats.
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Ces faits n’ont pas été durs à trouver, il suffisait d’ouvrir son journal ou consulter les médias divers ce matin ( titres d’articles repris dans ceux-ci !)

1.  Cinq Français soupçonnés d'avoir agressé un couple à Genève interpellés les victimes avaient été rouées de coups au mois d'août 2017 

2.  Besançon : Des ambulanciers agressés pendant une opération de secours




6.  Metz : Un jeune homme de 20 ans décède après une rixe

7.  Nice : Enquête après la diffusion d'une vidéo d'agression ultra-violente sur les réseaux sociaux

Donc résumons ces actes violents sont récents et quotidiens en faudra-t-il plus ?!
Pour que notre état fasse son travail en matière de sécurité :

Car le ministère de l’intérieur et son ministre (qui ne pense qu’a retrouver sa mairie de Lyon) et la ministre de la justice qui n’est pas à sa place avec son code pénal devenu inadapté et sa justice laxiste sont dépassés par les évènements !

Il n’y a aucuns autres commentaires à faire de plus, si ce n’est que notre pays est libre, mais que trop de liberté tue une liberté mal encadrée et fait glisser la France vers l’anarchie ?!

Car de plus en plus des individus de tout âge veulent faire leur loi !

Alors que Mr le président MACRON grand réformateur cesse de faire de grands discours alambiqués et remette les pendules à l’heure, car la France va mal en interne !

Jdeclef 30/09/2018 09h13

samedi 29 septembre 2018

Encore un pseudo dictateur qui se fiche des détracteurs européens et occidentaux donneurs de leçons bienpensants moralisateurs (et il n'est pas le seul) dans ce cas !


Turquie : l'application qui permet de dénoncer les opposants

Les médias allemands rapportent qu'une application disponible sur les smartphones propose aux Turcs expatriés de se livrer à la délation.


Même à l'étranger, le président turc Recep Tayyip Erdogan ne tolère pas la contradiction. Si la censure et le contrôle des esprits sont plus aisés à l'intérieur de son propre pays, les opposants se retrouvent maintenant traqués y compris à l'extérieur des frontières de la Turquie. Et notamment en Allemagneles Turcs représentent la plus forte communauté immigrée. Les médias allemands, relayés par le site iGeneration, rapportent qu'une application disponible sur les smartphones permet de dénoncer les dissidents aux autorités turques.
L'application se nomme EGM, pour Emniyet Genel Müdürlüğü soit la Direction générale de la Sécurité du pays selon le site. Elle est disponible sur iOS comme sur Android. Les soutiens les plus zélés de Recep Tayyip Erdogan peuvent l'utiliser pour partager avec la police turque des captures d'écran de messages critiques pour le président postés sur les réseaux sociaux à l'étranger.
Mais même installés à l'étranger, les ressortissants turcs ne sont pas pour autant libres de donner leur avis sur le président turc sans risquer de mesures de rétorsion. Les supporters de Recep Tayyip Erdogan sont actifs aussi en dehors des frontières du pays et pour les citoyens dénoncés, le retour en Turquie – pour des vacances par exemple – peut alors se révéler très compliqué. Les médias allemands rapportent le témoignage d'un homme qui a reçu des menaces après avoir été dénoncé sur l'application à la suite d'un message critique sur Facebook.
La famille du basketteur Enes Kanter, qui joue aux États-Unis et a qualifié Erdogan de « dictateur » et d'« Hitler de notre siècle » sur les réseaux sociaux, a dû le renier publiquement pour éviter des représailles. Depuis, le joueur de NBA évite aussi les contacts avec ses proches pour ne pas les mettre en danger.
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Il a été élu démocratiquement par le peuple turc et même s'il y a une opposition, elle n'est pas assez importante efficace et muselée pour l’empêcher de régner comme il le veut ce nostalgique se prenant comme un sultan de la Turquie ancienne ottomane !

Car le peuple turc aime les hommes forts pour être protégé, même s'il perd une partie de sa liberté par leur Raîs (chef dans les pays arabes) qui veut faire de la TURQUIE pays musulmans à 99 % une république islamique !

Et comme son pays fait toujours partie de L'OTAN (occidental) organisation militaire d'après-guerre mondiale, cela gêne l'action des occidentaux qui palabre comme d'habitude pour l'application des droits de l'homme non appliqué dans son pays et dont il a cure car n'étant pas tous encore d'accord pour le sortir de cette organisation bien que peu justifiée au regard de l'évolution du monde qui a changé depuis 1945 !

Cette nouvelle application pour favoriser les dénonciations par délations contre son régime crée par lui dans son pays n'est qu'une mesure totalitaire qui en plus doit gêner les ressortissants turcs résidents en Europe et notamment en Allemagne ou ils sont nombreux !

Mais l'hypocrisie entretenue par les diplomaties occidentales, ONU comprise pour diverses raisons plus ou moins justifiées ne l’empêche pas de faire ce qu'il veut !

Car le monde des dictateurs ou pseudo dictateurs dans des vraies dictatures ou démocratures totalitaires voire celles religieuses extrémistes se portent encore bien dans le monde !

Jdeclef 29/09/2018 12h24LP

Cas typique de violence ou certains veulent régler leur compte en tuant la personne avec laquelle ils étaient en désaccord ?!


Rodez : un homme avoue le meurtre du chef de la police municipale (suite)

Pascal Filoé, directeur général adjoint de la ville de Rodez, avait été agressé jeudi matin à coups de couteau. Il a succombé à ses blessures


Le meurtrier présumé du directeur général adjoint de la mairie de Rodez, poignardé jeudi en plein centre-ville, a reconnu avoir tué Pascal Filoé par « rancœur après la disparition de son chien », a déclaré vendredi le parquet à l'Agence France-Presse. « Le suspect a porté plusieurs coups avec un couteau qu'il s'était procuré quelques jours auparavant », a affirmé Cherif Chabbi, vice-procureur du parquet de Rodez. Par ailleurs, le suspect « a confirmé que c'était le retrait de son chien, la semaine précédente par la police municipale, qui aurait motivé son acte » a-t-il ajouté.
Jeudi, Pascal Filoé, « père de trois enfants » âgé d'une quarantaine d'années et directeur général adjoint de la ville de Rodez, en charge notamment de la police municipale, avait été poignardé en plein centre-ville, vers 10 h 30. L'agresseur présumé avait été interpellé peu après les faits à proximité de l'hôtel de ville. Cet homme de 39 ans, présenté comme marginal, avait menacé à plusieurs reprises des responsables de la municipalité après un différend relatif à son chien, un chien d'attaque de catégorie 2, qui nécessite une autorisation.

Rancœur

« Comme il avait des antécédents (judiciaires), on ne pouvait pas lui délivrer une autorisation pour avoir cette catégorie de chien », a indiqué à l'Agence France-Presse Christian Teyssèdre, maire de Rodez. En avril, « il était venu casser la porte en verre de l'entrée de l'hôtel de ville. Et, depuis, il n'a cessé de nous menacer physiquement. Les menaces étaient régulières », a précisé le maire, qualifiant le suspect de « quelqu'un de particulier ». Dans ses aveux, le suspect « rendait Pascal Filoé responsable », a confirmé vendredi le vice-procureur Cherif Chabbi à l'Agence France-Presse, qui parle de « rancœur après la disparition de son chien ».
L'autopsie en cours à l'institut médico-légal de Montpellier déterminera combien de coups de couteau ont été portés à la victime qui a été frappée « aux bras, à l'abdomen et au bas-ventre », a-t-il ajouté. Le suspect « devrait être déféré au parquet de Montpellier » samedi et une « information judiciaire pour assassinat devrait être ouverte et confiée au pôle de l'instruction de Montpellier », selon le vice-procureur.
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Ceci étant ce meurtrier était déjà dangereux par la possession d'un chien d'attaque qui lui avait été retiré, mais aussi il avait des incidents judiciaires ..?!

C'est cet individu (dit marginal) qu'il fallait enfermer après les menaces qu'il avait proféré envers la municipalité !

Car le maire est un officier d'état civil et officier de police judiciaire, il pouvait porter plainte et avoir recours à la force publique et demander son arrestation pour protéger ses policiers municipaux pour l’empêcher de nuire !

Encore un exemple de trop de liberté mal encadrée pour certains personnages instables, irascibles, voire dangereux !

Sans oublier cette violence quotidienne par des individus de tout âge dans la rue par n'importe qui pour n'importe quoi qui se termine par des drames à l'aide d'armes diverses !

Jdeclef 29/09/2018 09h09LP

vendredi 28 septembre 2018

BALKANY et CIE les intouchables une histoire sans fin culotté et arrogant en plus !


Patrick Balkany augmente de 56% son indemnité de maire


- Le maire de Levallois-Perret (Hauts-de-Seine) a fait voter mercredi soir une modification de son indemnité de maire pour compenser la perte de son mandat de député.
Interdiction du cumul oblige, Patrick Balkany avait été contraint en juin 2017 de ne pas se représenter aux législatives, au profit de son écharpe de maire de Levallois-Perret. Une perte de mandat qui s'est accompagnée d'une perte d'indemnité (5600 euros mensuels pour un député), et qu'a souhaité compenser l'intéressé.
Ainsi, le conseil municipal de Levallois-Perret a voté mercredi soir une augmentation de l'indemnité du maire, portée à 4257 euros mensuels, rapporte Le Parisien . Le maximum autorisé par la loi pour une ville de cette taille (64.000 habitants). Si jusqu'à maintenant le maire était indemnisé à un niveau inférieur, c'est que le cumul des rémunérations d'un élu est plafonné par la loi à 8272 euros. Lorsqu'il était député, il avait donc réduit l'indemnité venant de sa ville, à 3075 euros. Maintenant qu'il n'occupe qu'un mandat de maire, il est donc libre de porter son indemnité au maximum.

«L'enveloppe globale ne bouge pas d'un centime»

Un choix qui aura une conséquence directe sur ses 13 adjoints, qui jusqu'à présent se répartissaient la somme que Patrick Balkany ne s'octroyait pas. Ils vont perdre 76 euros par mois.
Cité par Le Parisien, le conseiller municipal Arnaud de Courson - qui s'oppose depuis plusieurs années à Patrick Balkany - dénonce le nouveau barème voté mercredi. «Alors qu'il touche sa retraite de député à taux plein, Patrick Balkany décide d'augmenter son salaire de 56 % au détriment des élus du conseil municipal», s'étonne-t-il. Mais l'édile, estime que «la retraite n'a aucun rapport avec l'indemnité de maire» et qu'il «touche une indemnité strictement encadrée par la loi», notant que «l'enveloppe globale ne bouge pas d'un centime».
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On aurait pu croire ce personnage en prison avec son palmarès judiciaire public qui s’étale sur des années et bien non !

Vive notre justice et surtout ces gogos d’administrés levalloisiens, il a dû leur promettre mont et merveille !

C'est scandaleux vive la France des nantis politiciens professionnels, c'est vraiment inconcevable et scandaleux lui et sa famille d'ailleurs car Mme et fils sont aussi dans le coup de ces magouilles financières diverses et indélicatesses avec le fisc !

Jdeclef 28/09/2018 17h33 le figaro

Les prénoms donnent une indication sur la culture et l'origine voire l'identité de ceux qui les portent et que la majorité de ceux-ci reçoivent à leur naissance !


Le prénom fait-il le Français ?

Avant de répondre à cette question, il faut d'abord se demander ce qu'est être français et comment le Français doit honorer son pays.


Décidément, certains ont l'art de soulever de bonnes questions en leur apportant des réponses qui laissent pantois. Ainsi, pour Éric Zemmour, le prénom Hapsatou est une insulte à la France. Reconnaissons-lui le mérite de nous inciter à réfléchir à deux questions vives, sinon brûlantes, qui concernent le « vivre-ensemble » : qu'est-ce qu'être français ? Et comment un Français peut-il honorer son pays ?

Qu'est-ce qu'être français ?

C'est tout d'abord une question d'état civil. L'individu que je suis – avec un nom, un prénom, une date et un lieu de naissance – est reconnu comme français selon un critère fixé par la République française, en fonction du droit du sang et/ou du sol. Par exemple, pour ce qui me concerne : je suis « né en France d'un père qui y est lui-même né ». Une fois établie, cette appartenance est indiscutable.
Mais il est clair qu'il y a dans la citoyenneté française (ou suisse, ou belge, etc.), quelque chose de plus que ce que désigne froidement l'état civil, et qu'atteste la carte d'identité.
Être français, c'est appartenir à un pays qui a sa propre consistance (un « sol », qu'il a fallu parfois défendre âprement), sa propre continuité (une histoire, toujours plus ou moins chaotique), et sa propre personnalité (on pourrait dire son âme). Comme l'a dit le peintre Tal Coat (1905-1985), « on ne peut surgir de nulle part. » L'identité personnelle s'intègre alors (ou non ?) dans une identité collective.
Car c'est ici que les difficultés commencent. En effet, de même qu'une identité individuelle est toujours plurielle, et mêle des traits disparates (je suis un homme, un universitaire, souffrant d'arthrose, pratiquant le ski, croyant parfois en Dieu, etc.), de même l'identité collective est une entité abstraite et symbolique, ou « institution imaginaire » (Castoriadis), rassemblant des composantes multiples (de l'ordre de la culture, de l'ethnicité, de la religion, de l'histoire, des comportements), dont chacune peut prêter à discussion. Les identités nationales n'ont, par ailleurs, rien de naturel ou d'intangible. Ce ne sont que de fluctuantes constructions politiques (Anne-Marie Thiesse, La Création des identités nationales, 1999).
C'est pourquoi la quête de l'« identité nationale » peut être vaine, voire nauséabonde. Le concept d'identité nationale est « vague et fuyant » (Hervé Le Bras, Malaise dans l'identité , 2017). Une fixation obsessionnelle sur l'identité française, se traduisant par la quête éperdue de cette identité, débouche sur un « identitarisme » qui est, selon Danièle Sallenave, « la maladie du XXIe siècle ». Une maladie par laquelle, à coup sûr, Zemmour a été frappé !
Cependant, malgré les incertitudes touchant l'identité nationale, dont la promotion produit immanquablement des « crispations identitaires », il faut respecter son pays. Être le citoyen d'un pays est un honneur qui implique, en retour, que l'on honore son pays. Ce double mouvement satisfait un « besoin vital d'identification positive », pour parler comme Azouz Begag. Le nationalisme est dangereux. Mais la nation, selon Pierre Manent, est le cadre le plus propre à maintenir la démocratie vivante. « J'aime mon pays, la France, j'assume cette phrase », déclarait Alain Badiou, qui affirmait derechef son « amitié pour ce pays », pourtant « si violemment contradictoire ».
Comment alors ce respect doit-il se manifester ? Sa nécessité doit-elle conduire à distinguer de bons et de mauvais Français ? Et qui pourrait s'ériger en gardien de la bonne conduite ? La difficulté est ici de définir le champ concerné par le respect exigé. Nous suggérons de distinguer trois cercles qui se recouvrent, du plus fondamental, au moins concerné. Le premier cercle est celui des comportements exigés ou interdits par la loi. La première façon d'honorer son pays, sans discussion possible, est d'en connaître et d'en respecter les lois. Voilà ce que le citoyen Zemmour est en droit d'exiger de la citoyenne Sy : « Madame, respectez les lois. » Mais aucune loi n'interdit le prénom Hapsatou !
Le deuxième cercle est celui des usages (mœurs et coutumes). Descartes, dans sa « morale par provision », évoque les coutumes immédiatement après les lois. Sa première « maxime » est, on le sait, d'« obéir aux lois et aux coutumes de mon pays ». « Le plus utile » étant pour lui, d'une part, de respecter les coutumes de « ceux avec lesquels j'aurais à vivre » et, d'autre part, de « plutôt prendre garde à ce qu'ils pratiquaient qu'à ce qu'ils disaient ». Mais c'est une question de sagesse, et non une exigence relevant d'une façon absolue de la citoyenneté française.
De ce deuxième point de vue, Zemmour aurait donc légitimement pu dire : « Madame, il eût été sage que vous respectassiez les coutumes françaises dominantes en matière de prénoms ». Car on pourrait éventuellement, dans le champ des coutumes, dénoncer des atteintes aux « bonnes mœurs », ou à la bienséance. Mais en aucun cas des « insultes à la France ».
Le troisième cercle est celui des comportements relevant de la fantaisie individuelle : avoir les cheveux courts ou longs, rouges ou blonds ; porter ou non la barbe ; écouter et aimer Brassens plutôt que les rappeurs, ou le contraire. Et, comme pour tout le reste, dans la limite de ce qui n'est pas interdit par la loi (car celle-ci peut interdire certains prénoms : par exemple, Djihad), choisir le prénom de ses enfants. Ici, Zemmour aurait pu dire : « Madame, vous portez un bien joli prénom. »
Tous les prénoms sont jolis !
Car on peut, en cette affaire, laisser le dernier mot à notre cher Guy Béart (« Les Prénoms jolis », 1994) :
Tous les prénoms sont jolis
Ève, Emmanuelle, Émilie
Barbe, Babine, Agénor, Andoche
Tous ces prénoms carrément m'accrochent.
Tous les prénoms sont jolis :
Eusèbe, Eustache, Eulalie,
Elvire, Elphège, Emmaüs, Éphrem,
Tout est joli quand on aime

Mais voilà : encore faut-il aimer, et non haïr !

Il y a trop de soi-disant penseurs donneurs de leçon dans notre pays qui adore faire de la masturbation intellectuelle !

Donc en France et ce malgré les migrations grandissantes, c'est la religion ancestrale de notre pays chrétien catholique qui donne encore le choix du prénom que choisissent les parents du nouveau-né

(Mais pas forcément pour ceux qui viennent s'établir en France de religion différente qui deviennent français et ne changent pas de prénom ou même de nom !)

Donc notre pays étant de racine judéo-chretienne on trouve des prénoms de saint biblique issu de l'évangile par tradition...

Mais pas seulement aussi avec des prénoms issus d'autres cultures et qui sont pour autant des français de par leur nationalité obtenue par naturalisation ou simplement nés dans notre pays ou y vivant depuis des années comme n'importe quel français de souche comme on dit !

Ceci étant comme c'est les religions indirectement de par le monde qui surnomme les humains, elles pourrissent les relations humaines en les discriminants de fait en leur mettant une étiquette religieuse, même si ceux qui les portent pour certains ne croient à rien, mais attention ne nous trompons pas le nom donne aussi une indication sur les origines nationales pas que le prénom !

Jdeclef 28/08/2018 11h26

Notre société va mal il faut ouvrir enfin les yeux sur ces drames que l'on appelle faits divers violents qui sont de plus en plus nombreux !


Rodez : le chef de la police municipale tué de plusieurs coups de couteau

Pascal Filoé, directeur général adjoint de la ville de Rodez, a été agressé sauvagement ce jeudi matin. Il a succombé à ses blessures


Le chef de la police municipale est mort ce jeudi matin après avoir succombé à ses blessures. Il avait reçu plusieurs coups de couteau dans le centre-ville de Rodez selon les informations du maire de la ville. Selon une source proche du dossier, l'agresseur présumé a été interpellé peu après les faits à proximité de l'hôtel de ville et était « connu des services de police », a précisé Christian Teyssèdre, le maire de Rodez. Pascal Filoe, « père de trois enfants », était directeur général adjoint de la ville de Rodez chargé notamment de la police municipale, a précisé à l'Agence France-Presse le maire de Rodez.
« L'agresseur était connu des services de police. Il avait notamment dégradé la porte de l'hôtel de ville le 11 avril dernier », a encore indiqué Christian Teyssèdre. Selon le site de Centre Presse, qui a révélé l'affaire, les faits se sont déroulés en pleine rue vers 10 h 30, et le fonctionnaire « en état d'urgence absolue » a été transporté vers l'hôpital de Rodez où il est décédé. La préfecture de l'Aveyron a annoncé dans un communiqué de presse, « qu'une cellule d'urgence médico-psychologique (serait) activée à partir de 14 heures à l'hôtel de ville », soulignant qu'un appel à témoin a été lancé.
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Malgré que nos autorités veuillent souvent minimiser les faits violents ou mêmes les cacher quand elles le peuvent (pour soi-disant de pas effrayer les français...)

Une dose d’hypocrisie de nos biens pensants donneurs de leçons dépassés par la violence au quotidienne et l’insécurité qu’ils n’arrivent pas à juguler !

Car on voit maintenant de plus en plus des agressions mortelles à coup de couteaux par des individus pas seulement déséquilibrés (et qui semble donner des excuses au ministre de l’intérieur quand c’est le cas qui pour se dédouaner et diminuer sa responsabilité n’oublie jamais de le souligner quand c’est le cas) mais surtout souvent connus par la police comme d’habitude…

En fait ce que l’on constate malgré ce que peuvent dire des statistiques diverses à qui l’on fait dire ce que l’on veut du ministère de l’intérieur c’est que l’insécurité augmente partout en France dans les grandes villes et maintenant en province pour les petites villes ou moyennes !

Nos dirigeants ne savent faire que des discours alambiqués spécialité bien française pour soi-disant expliquer ces problèmes, mais pas de solutions fermes pour les éradiquer !

Car maintenant on tue gratuitement pour n’importe quoi à coup de couteau que l’on peut se procurer n’importe où, pas seulement avec des armes à feu automatiques ou autres de point !

Et comme en plus les sanctions contre de tels faits criminels ne sont pas assez sévères par un code pénal devenu inadapté et une justice médiocre qui ne défend pas assez les victimes, cela ne peut qu’empirer sans compter nos dirigeants bien-pensants qui font de la politique politicienne stérile se contentant de donner des leçons de morale plutôt que de sévir utilement !

(Tout ce que l’on sait faire c’est des marches blanches ou cellules psychologiques pour calmer les esprits du bon peuple lambda que l’état oublie…)

Jdeclef 28/09/2018 09h45 LP

jeudi 27 septembre 2018

Hélas le rap véhicule souvent des propos inqualifiables de la part de jeunes que l'on connait, ce qui leurs collent une étiquette de racailles comme certains de nos dirigeants les ont appelés quelquefois...




« Pendez les Blancs » : le rappeur Nick Conrad nie l'accusation de racisme


Le parquet de Paris a ouvert, mercredi, une enquête pour « provocation publique à la commission d'un crime ou d'un délit ». Sur RTL, le rappeur se défend.


Nouvelle polémique sur la scène française du rap. Alors que Médine a annulé ses concerts prévus au Bataclan, c'est la dernière vidéo du rappeur Nick Conrad qui fait débat. Mise en ligne le 17 septembre dernier, elle a été supprimée ce mercredi 26 septembre de YouTube. Jusque-là, le musicien n'avait que quelques milliers de vues sur ses vidéos YouTube.
Dans un clip titré « PLB », pour « Pendez les Blancs », le rappeur chantait : « Je rentre dans des crèches, je tue des bébés blancs, attrapez-les vite et pendez leurs parents, écartelez-les pour passer le temps, divertir les enfants noirs de tout âge, petits et grands. Fouettez-les fort, faites-le franchement, que ça pue la mort, que ça pisse le sang. » Au-delà des mots, le clip montrait aussi un homme blanc attaché et torturé par Nick Conrad. Il reçoit en effet un grand coup de pied derrière la tête.
Sur RTL, le rappeur s'est défendu d'avoir lancé un appel à la haine. « J'ai inversé les rôles. [...] Je ne cherchais pas le buzz, ce clip est supposé amener à réfléchir et (ne) pas rester en surface. Je ne comprends pas les gens qui ne vont pas chercher en profondeur. » Il se réclame d'un double discours et d'avoir voulu « inverser les rôles », « le système de manière à ce que Blancs comme noirs puissent se rendre compte de la situation ».
Malgré la polémique et les critiques, il ne regrette rien. « Je ne peux pas renier ce que j'ai écrit, ça touche le racisme, c'est la beauté de ce morceau, ça reste de l'art. » Il précise qu'il n'est pas raciste et que « 80 % des gens de l'équipe du clip sont des Blancs ». Enfin, il souligne l'importance du rap. « Le rap est né dans le ghetto, il a pour mission de dénoncer les choses. Un artiste a pour but de s'inspirer du monde pour dénoncer, que ça plaise ou non. C'est l'essence même du rap. En France plus qu'ailleurs, on a du mal avec la vérité. »

Condamnations politiques

La diffusion de ce clip a provoqué de multiples réactions politiques. Ainsi, Gérard Collomb, le ministre de l'Intérieur, « condamne sans réserve ces propos abjects et ces attaques ignominieuses ».
C'est Frédéric Potier, le délégué interministériel à la lutte contre le racisme, l'antisémitisme et la haine anti-LGBT, qui a signalé le clip au procureur de Paris sur la base de l'article 40 du Code pénal pour incitation à la haine raciale.
Éric Ciotti, député LR des Alpes-Maritimes, a appelé à ce que le rappeur soit « poursuivi et très lourdement condamné ».
Le parquet de Paris a ouvert, mercredi, une enquête pour « provocation publique à la commission d'un crime ou d'un délit ». Les investigations ont été confiées à la brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP). Selon l'article 24 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse, les faits sont passibles d'une peine maximale de cinq ans de prison et de 45 000 euros d'amende.
Dans une interview accordée au site Aucoindela34eme, Nick Conrad présentait la philosophie derrière son album Saphir noir. « Dans cet album, j'envoie un message d'unité et d'identité noire. L'homme noir a des capacités intellectuelles et physiques comme n'importe quel être humain. Nous sommes tous des êtres extraordinaires. » Il se décrit lui-même comme un « artiste noir, parisien fier et affirmé ».
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Encore un qui a besoin d'un passage à la case prison comme ceux qui ont semés le trouble ) à l'aéroport d'ORLY ( et qui en fait n'ont pris que du sursit par notre justice laxiste...)

Alors bien sur certains diront que c’est de la provocation, maïs avec de tels mots impardonnables on peut aussi faire beaucoup de mal !

Si cet individu ne supporte plus les blancs, il faut qu'il aille en Afrique le continent noir berceau de cette couleur de peau ou il pourra en rencontrer bien plus et vivre parmi eux 

(ceci étant il ne gagnera pas autant d'argent facile) par ses chansons insultantes pour une catégorie d'humain différent de lui !

On est trop tolérant en France pour ce genre de personnage !

jdeclef 27/09/2018

mercredi 26 septembre 2018

Dommage cela aurait pu peut-être éliminer ce parti qui ne sert à rien !


Rassemblement national : la justice réduit le montant de la saisie de 2 à 1 million d'euros

« C'est une première victoire, je pense cependant que nous allons inscrire un pourvoi », a déclaré Me Rodolphe Bosselut, avocat de Marine Le Pen.

La justice a confirmé, mercredi, le principe de la saisie d'aides publiques attribuées au Rassemblement national, mais le montant a été réduit de 2 à 1 million d'euros, a annoncé le parquet général. Saisie par le parti d'extrême droite, la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Paris a confirmé « sur le principe » l'ordonnance des juges d'instruction chargés de l'enquête sur les soupçons d'emplois fictifs au Parlement européen, mais en réduisant le montant de la saisie.
« C'est une première victoire, je pense cependant que nous allons inscrire un pourvoi sur le principe même de la saisie, qui me semble être un sujet et un vrai problème », a déclaré à la presse Me Rodolphe Bosselut, avocat de Marine Le Pen.
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Car ce parti extrémiste trouble les élections notamment présidentielles car drainant les mécontents du pouvoir en place au 2eme tour, mais pas assez, car les français n'en veulent pas au pouvoir !

Ce qui permet à des présidents d’être élus par défaut bien que n’ayant pas la majorité des voix des électeurs !

A cause de ce système électoral de cette V eme république obsolète qui ne profite qu’a ses professionnels de la politique E.MACRON le malin opportuniste venu de nulle part l’a bien compris et a enfoncé une porte qu’il n’a eu qu’à pousser facilement !

Et ce n’est pas la 1ere fois les LE PEN père et fille ont à chaque fois fait gagner leurs adversaires, car les français ont peur des extrêmes, c’est logique, donc ces partis pas fréquentables ne servent qu’à protester rien d’autres mais ce n’est pas suffisant !

Alors les français devraient enfin comprendre et apprendre à voter autrement !

Quant à la justice en France on sait ce quelle vaut quand il s’agit de sanctionner des politiciens ou partis on ne peut pas compter sur elle, et puis ce parti décrié par tous les autres partis hypocrites bien-pensants, il est utile pour mettre au pouvoir indirectement leurs candidats par défaut dans ce panier de crabes de politiciens médiocres…

Jdeclef 26/09/2018 10h29

On demande à bien d'autres leurs papiers ou CV en France alors pourquoi pas lui ?!


De quel droit demande-t-on ses papiers à Alexandre Benalla ?

ÉDITORIAL. La commission d'enquête du Sénat s'est acharnée sur les diplômes et qualifications de Benalla. Un symptôme de l'esprit de caste français…


Qu'elles étaient longues, ces vingt-cinq minutes. Qu'elles étaient gênantes. Qu'elles étaient révélatrices, surtout, du mal français. L'interminable première partie de l'audition d'Alexandre Benalla devant la commission d'enquête du Sénat fut donc consacrée à la formation de l'intéressé, à ses diplômes, à son parcours, à ses conditions de recrutement à l'Élysée. En clair : que faisait-il là, ce Monsieur Benalla ? À quel titre s'est-il hissé si près de Jupiter ? Visiblement, ce sujet en chatouille certains.
Il n'avait échappé à personne que l'ascension du jeune homme en a agacé plus d'un dans l'administration. Pour beaucoup, la présence d'Alexandre Benalla au cœur de l'Élysée était sinon une anomalie, du moins une incongruité. Cela n'enlève d'ailleurs rien à ses fautes, sur lesquelles la justice se prononcera, mais l'on ne peut pas passer sous silence cette curieuse obsession.
Cette petite musique de salon outragé par l'irruption d'un intrus a commencé dès le début de « l'affaire ». Elle a trouvé de l'écho dans les médias, par exemple dans Le Monde, qui a très tôt qualifié « d'étrangeté » les attributions de Benalla (1). Et là, au Sénat, la question lui est posée directement, placidement, par la commission d'enquête du Sénat : M. Benalla, vos papiers !
Évidemment, le vocabulaire n'était pas celui-là, et la conversation fut fort courtoise. Il n'empêche, cela mérite que l'on s'y arrête. Après tout, si Alexandre Benalla a été jugé capable d'exercer ses fonctions par son employeur – en l'occurrence la présidence de la République – en quoi ses qualifications regardent les sénateurs ? À partir du moment où l'emploi n'est pas fictif – en l'occurrence, M. Benalla aurait plutôt péché par excès de zèle – on peut se demander pourquoi il est ainsi soumis à un entretien d'embauche a posteriori. Au-delà, même, de son licenciement… Pourtant, l'impétrant a dû justifier tous ses certificats.
Il n'est pas certain que le Sénat ait un jour interrogé de la même manière Pierre Bérégovoy, ministre des Finances puis Premier ministre avec seulement deux CAP en poche. « Béré », dont Pierre Joxe moquait les chaussettes, fut même un temps secrétaire général de la présidence de la République, soit un grade très au-dessus de celui Benalla à l'Élysée, et ce, malgré des diplômes moins fournis que ce dernier.
Ils sont d'ailleurs nombreux – et c'est heureux – ceux qui ont bénéficié d'un coup de pouce du destin, et qui ont obtenu des fonctions auxquelles ils ne pouvaient prétendre sur le papier. Cela s'appelle l'ascenseur social, et Alexandre Benalla, fort à propos, a utilisé cette expression au Sénat.
Mais il faut croire que l'esprit de caste a de beaux restes. L'une de ses formes les plus courantes est la « diplomite ». Son principe : nul n'est légitime s'il n'a pas acquis au bon moment le bon sésame. La France n'en a pas le monopole, mais en est l'un des champions. Attention, il ne s'agit ici pas de dire que les formations et diplômes ne servent à rien, bien au contraire ! Simplement, ils sont un outil précieux pour ceux qui recherchent un emploi. Ils ne sont pas censés être des obstacles sur le chemin de ceux qui réussissent sans avoir emprunté la « voie royale ». La « diplomite », disons-le, est bien souvent un instrument permettant aux insiders – ceux qui ont – de se protéger de l'intrusion des outsiders – ceux qui n'ont pas – sur le marché de l'emploi.
Emmanuel Macron lui-même avait placé ce sujet au cœur de sa campagne présidentielle : « émancipation », répétait-il. Autrement dit, il est urgent de recréer la mobilité sociale, d'ouvrir des opportunités à ceux qui n'en ont pas. Fin août 2017, lors du grand entretien qu'il avait accordé au Point, il disait ceci : « Qui est le grand sacrifié ? Le jeune, le peu qualifié, l'immigré ou le descendant d'immigré. » Cette promesse de briser les plafonds de verre est sans doute moins perceptible dans son action aujourd'hui, mais en juin dernier, au congrès, à Versailles il la formulait à nouveau : « Je n'aime ni les castes, ni les rentes, ni les privilèges. »
Et si Alexandre Benalla correspondait au « nouveau monde » proposé par Macron ? L'homme est talentueux – c'était visible au Sénat –, entreprenant, audacieux, et a pulvérisé bien des plafonds de verre. Qui peut dire qu'à 26 ans, il avait acquis autant d'expérience, de maturité ? Là encore, cela ne l'absout de rien. Et n'empêche personne de s'interroger sur les dysfonctionnements de l'Élysée. Mais ces insupportables ratiocinations sur les diplômes du chargé de mission et le procès en légitimité qui lui est fait en disent long sur le chemin que la France doit encore parcourir.
Ne soyons pas injustes : notre pays n'est pas fermé à l'idée même de l'ascenseur social. Sauf, parfois, lorsqu'il fonctionne... « N'importe qui peut sympathiser avec les souffrances d'un ami, disait Oscar Wilde. Sympathiser avec ses succès exige une nature délicate. » On était loin, à la commission d'enquête du Sénat, de ce degré de délicatesse…
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Ceci étant une polémique de plus renaît pour cet individu sur son port d'armes ?

Il aurait été vu et filmé avec une arme en 2017 alors qu'il n'avait même pas 
d'autorisation de port d'arme (suivant article repris sur le point mais fermé aux commentaires) à croire que l'on veut le protéger avant tout, on se demande bien pourquoi ?!

Alors qu’il a semé le souk et zizanie au plus haut de l’état, le pays n’a pas besoin de ça !

Et s’il n’avait pas commis ces erreurs et frasques il n’aurait pas fini devant des commissions d’enquêtes, cessons de le plaindre !

En fait c'est un jeune qui s'est laissé entraîner se croyant intouchable du fait de sa proximité de soi-disant sécurité rapprochée du président qui s'est pris pour un cow boy voulant jouer au shérif !

On va voir ce que va décider la justice sans trop croire à une sanction exemplaire car inféodée au pouvoir en place !

Jdeclef 26/09/2018 09h15

mardi 25 septembre 2018

L'éco taxe était une bonne mesure plébiscitée politiquement avec consensus par la droite et gauche pour une fois !


Les routiers ne veulent pas payer plus pour la vignette

Face à la menace d'une taxe supplémentaire, les organisations professionnelles sont montées au créneau pour s'opposer au projet du gouvernement.


Non, non et non. Les chauffeurs de poids lourd ont rejeté en bloc l'idée d'une taxe supplémentaire. Une réaction qui fait suite à une première annonce ce week-end de la part de François de Rugy. L'objectif du gouvernement  ? Dégager de nouveaux fonds pour mieux financer les infrastructures.
« Rien ne sera acceptable pour le transport routier sans aboutir à un isocoût pour les entreprises françaises », affirme l'Organisation des transporteurs routiers européens (Otre) dans un communiqué. L'organisation patronale des petites et moyennes entreprises de la branche estime que « le transport routier s'acquitte déjà de 39 milliards d'euros (hors TVA et péages routiers) de taxes, redevances ou prélèvements divers (dont 7 milliards pour les seuls poids lourds) pour l'entretien des infrastructures routières non concédées ».
Lire aussi Automobile : la prime à la conversion en excès de vitesse
« Or ce sont seulement 13,3 milliards d'euros qui sont investis dans l'entretien des routes », déplore l'Otre. D'ici à 2022, « la taxation des carburants devrait croître de 25,16 centimes d'euro par litre de gazole et de 12,73 centimes d'euro par litre d'essence », poursuit l'organisation, qui refuse de parler de recettes supplémentaires, alors que, selon elle, « le cœur du problème réside dans l'affectation des recettes déjà perçues et leur réelle utilisation dans l'entretien des infrastructures routières ».

« On se pose vraiment des questions de où va l'argent »

La déléguée générale de la Fédération nationale des transports routiers (FNTR) a également fait part de son refus d'une nouvelle taxe. « L'ensemble des usagers de la route - automobilistes, motocyclistes et transporteurs - payent déjà à l'État chaque année 40 milliards d'euros, dont 30 milliards de TICPE (taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques, NDLR). Si, sur ces 40 milliards, on nous dit qu'on n'a pas l'argent pour régénérer les infrastructures, alors on se pose vraiment des questions de où va l'argent », a regretté Florence Berthelot lundi midi sur RTL.
Le gouvernement français travaille « sur une forme de vignette » visant notamment à taxer les « camions étrangers », a annoncé François de Rugy, ministre de la Transition écologique, dimanche sur BFM TV, insistant sur la nécessité de dégager « des ressources pour financer les investissements sur le réseau routier et ferroviaire ». « Il n'y a pas d'efforts à faire, il y a pour l'État à mieux dépenser l'argent qu'il reçoit », a rétorqué Florence Berthelot, précisant que les pouvoirs publics avaient reconnu un défaut d'investissement depuis cinq ans. « Ce n'est pas à ceux qui payent qu'on doit faire payer le prix de ceux qui n'ont pas investi depuis cinq ans », a-t-elle ajouté.
Le gouvernement évoque depuis l'été 2017 une taxe sur les transporteurs routiers pour financer l'entretien des infrastructures existantes et la réalisation de projets. Mais la ministre chargée des Transports, Élisabeth Borne, avait affirmé ne pas vouloir remettre en place une écotaxe. Mesure phare du Grenelle de l'environnement en 2007, l'écotaxe sur les poids lourds devait financer la construction et l'entretien des infrastructures de transport. Jamais appliquée, elle avait été suspendue en octobre 2013 après la fronde menée par les Bonnets rouges bretons, puis enterrée par la ministre de l'Environnement de l'époque, Ségolène Royal.
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Alors le gouvernement va en faire une équivalente, car en France on aime bien les vignettes diverses sur les pare-brises des véhicules divers on en l'habitude !

Et à cause des frondeurs bretons ont l'avait abandonné alors que le système de collecte de celle-ci était automatique était bien avancé et donc annulé par la ministre Ségolene Royal qui a eu peur des manifestants bretons une erreur qui a coûté 1 milliard (mais elle n'a pas fait que cette erreur cette médiocre ministre qui changeait souvent d'avis!)

Pour cette nouvelle taxe utile, elle est toujours justifiée mais devrait être payée que par les camions étrangers qui traversent et entre dans notre pays, mais tous les véhicules usent nos routes c'est évident et sont de plus en plus nombreux !

Car ce n'est pas une mesure franco française, car d'autres pays d'Europe l'applique déjà pour les camions étrangers qui circule chez eux !

Ceci étant le système de collecte automatique était surement plus efficace qu'une vignette à la demande avec choix selon son utilisation !

Delà à ce qu’elle soit pour tous véhicules français, il n'y a qu'un pas à franchir pour peut-être plus tard pour nos gouvernements, mais c'est surtout l'utilisation des fonds récoltés qui doivent être impérativement affectés à l'entretien et la réfection de notre réseau routier totalement et non pas à autre chose !

Jdeclef 25/09/2018 09h17LP