mardi 28 février 2023

Va-t-on enfin appliquer un justice sévère efficace contre ces délinquants bobos et récidivistes qui croient avec leur argent roi ou leur notoriété exacerbée pouvoir tout acheter faire et déraper jusqu’à des crimes de sang par leur égoïsme inconscience de leurs plaisirs divers ne se souciant pas des autres !?

 

Trois questions sur la détention provisoire de Pierre Palmade ?!

De quels recours dispose Pierre Palmade ? Où sera-t-il incarcéré ? Comment la cour d’appel justifie-t-elle sa décision ? (Décryptage SANS INTERET !)

NON C’EST TROP DE QUESTIONS CAR CE PERSONNAGE ÉTAIT UN MALADE INCURABLE PAR SA FAUTE !?

Condamné en 2019 à 1 500 euros d'amende pour acquisition et usage de stupéfiants, Pierre Palmade est en état de récidive légale. (Un pourboire pour cet individu friqué !?)

3 ANS APRES IL EMPIRE DANS TOUS LES DOMAINES PERVERS CAR IL N’Y A PAS QUE CELA QUI LUI EST REPROCHE IL POINTE TOUTES LES CASES DE PERVERSIVERSITES DIVERSES SEMBLE-T-IL !?

Statuant sur un appel formé par le procureur de Melun (Seine-et-Marne), la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Paris a ordonné, ce lundi 27 février, le placement en détention provisoire de Pierre Palmade, jusqu'ici assigné à résidence sous surveillance électronique à l'hôpital du Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne), où il est notamment soigné pour un AVC.

L'ancien humoriste avait été mis en examen le 17 février pour « homicide involontaire et blessures involontaires », aggravés par l'« usage de produits stupéfiants » et la « violation manifestement délibérée d'une obligation de sécurité », après l'accident qu'il avait provoqué une semaine plus tôt près de son domicile de Cély-en-Bière (Seine-et-Marne).

Deux des trois passagers de la voiture qu'il a percutée – un homme et son fils de 6 ans – sont toujours dans un état critique. La troisième, enceinte de six mois et demi, a perdu l'enfant qu'elle portait. En l'état de la procédure, et en situation de récidive légale, il risque vingt ans de prison.

  • Comment la chambre de l'instruction justifie-t-elle sa décision ?

Son arrêt n'a pas été rendu public mais, selon nos informations, la chambre de l'instruction (cour d'appel de Paris) a retenu deux des six critères prévus par la loi (article 144 du code de procédure pénale), pour justifier sa décision de placer Pierre Palmade en détention provisoire : « la conservation des preuves ou indices matériels nécessaires à la manifestation de la vérité », d'une part ; « la nécessité de mettre fin à l'infraction ou prévenir son renouvellement », d'autre part.

C'est donc bien sur le volet « stupéfiants » de l'affaire que les magistrats ont fondé leur décision, le risque que Pierre Palmade puisse commettre de nouveaux délits routiers ou faire disparaître les preuves de l'accident pour lequel il est poursuivi demeurant très hypothétique.

De ses succès au drame : la descente aux enfers de Pierre Palmade

La consommation habituelle de cocaïne, en revanche, circonstance aggravante des délits d'homicide et de blessures involontaires pour lesquels il est mis en examen, et qui lui vaut d'être en situation de récidive légale – il a été condamné en 2019 pour acquisition de produits stupéfiants –, semble davantage en rapport avec les motifs retenus pour ordonner son placement en détention.

Cette décision est totalement étrangère à la procédure ouverte par ailleurs pour détention d'images à caractère pédopornographique, dans laquelle il n'est pas juridiquement mis en cause, à ce stade.

  • Où Pierre Palmade va-t-il être écroué ?

Dans un état de santé très précaire après l'accident vasculaire cérébral dont il a été victime samedi, Pierre Palmade est actuellement pris en charge dans le service de neurologie de l'hôpital du Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne). La mise en œuvre du mandat de dépôt ordonné ce lundi par la chambre de l'instruction de Paris « relève désormais du procureur de Melun, auquel il va être transmis, accompagné de la décision immédiatement exécutoire », a précisé Rémy Heitz, procureur général près la cour d'appel de Paris, dans un communiqué diffusé à la mi-journée.

En fin de journée, le parquet de Melun a effectivement indiqué que Pierre Palmade avait été « placé sous écrou » à l'hôpital du Kremlin-Bicêtre par l'administration pénitentiaire. « En raison de l'état de santé de l'intéressé, cette décision n'a pas donné lieu, à ce jour, à un transfert dans un établissement pénitentiaire », a-t-il ajouté.

Pierre Palmade : un long combat judiciaire attend les victimesDès que les médecins qui le soignent jugeront que son état de santé est compatible avec un transfert judiciaire, Pierre Palmade sera conduit dans une maison d'arrêt de la région parisienne, très vraisemblablement à Fresnes (Val-de-Marne). Il est possible qu'il soit admis dans la foulée au sein de l'unité hospitalière sécurisée interrégionale (UHSI) dont dépend cette prison.

Les UHSI ont été créées il y a une vingtaine d'années pour assurer des soins de longue durée – plus de 48 heures – aux personnes incarcérées, qu'elles purgent une peine ou aient été placées en détention provisoire. Les UHSI – on en recense une petite dizaine en France – sont implantées à côté du plateau technique et des services actifs de l'hôpital public auquel elles sont rattachées.

La création des UHSI, encadrée par un arrêté interministériel du 24 août 2000, vise à concilier objectifs sanitaires – une meilleure prise en charge médicale des détenus – et impératifs sécuritaires inhérents à l'hospitalisation des prisonniers – prévention des évasions et des intrusions, notamment.

Les soins sont assurés par les personnels de l'hôpital public mais la garde des patients détenus et les mouvements, au sein de l'établissement, à la fois hôpital et prison, avec ses barreaux aux fenêtres et ses murs d'enceinte, sont gérés par des agents de l'administration pénitentiaire.

  • De quels recours dispose Pierre Palmade ?

Condamné en 2019 à 1 500 euros d'amende pour acquisition et usage de stupéfiants, Pierre Palmade est en état de récidive légale. Au regard de la loi, la durée de sa détention provisoire ne devrait pas excéder quatre mois, délai renouvelable deux fois au maximum et « à titre exceptionnel ».

La durée totale de la détention ne pourra donc, dans son cas, excéder un an, étant précisé que le temps de cette détention avant jugement sera intégralement déduit de la peine de prison ferme qui pourrait, éventuellement, lui être infligée à l'issue de son procès.

Pierre Palmade peut, dès à présent, et à tout moment de la procédure, former une demande de remise en liberté devant le juge d'instruction chargé de son affaire ; s'il n'entend pas y faire droit, celui-ci transmet la requête au juge des libertés et de la détention (JLD). Les décisions de ce magistrat sont susceptibles d'appel devant la chambre de l'instruction.

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LE POINT continue à faire du buzz médiatique inconsidéré car on ne compte plus les articles diffusés par l'hebdo qui se transforme, en journal à scandale pour un public amateur de faits divers digne du caniveau d'égout d'une certaine classe de bobo nantis se croyant tout permis jusqu'à l'insupportable :

Se posant trop de questions sur ce personnage nanti et protégé par une kyrielle d'avocats et qui n'est pas à plaindre beaucoup moins que les victimes dont il a causé le malheur et qui se sont trouvés sur son chemin de dérapage incontrôlé et d'hyper délinquant friqué récidiviste en plus !?

Que la justice passe enfin il a de la chance car dans notre pays de bienpensant donneurs de leçons hypocrite on ne jette plus ce genre d'individu dans un cul de basse fosse sur la paille de cachot moyenâgeux !?

Ce qui prouve s'il le fallait pour certains qu'il n'y a pas assez de garde-fou pour les éviter de déraper jusqu'à l'irrémédiable car l'argent roi nerf de toute la perversité humaine achète presque tout ! ?

Et leur font des publicités indirectes sur tous les médias pour quelque fois en plus les plaindre exemple de notre société Française malade et de nos pays développés dit riches et libres avec des lois mal encadrées pas toujours appliquées ou mal qui ne font peur à personne car transgressées ouvertement avec une justice inefficace et un code pénal inadapté !?

Jdeclef 28/02/2023 15h15

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Parce que notre dirigeant et son gouvernement et 1ere ministre inféodée à çà personne en ont ces soi-disant bon sens ?! Et rejoue un mauvais scenario déplorable issu de notre passé de guerres mondiales historiques qui ne nous protège pas car ont recommence les mêmes erreurs mortifères car les hommes et leurs pays si divers sont incurables !?

 

Coignard – « Bon sens » : la récidive du gouvernement !?

A VOULOIR SOIGNER TOUTES LES PLAIES DE NOTRE SOCIETE FRANCAISE ON NE FAIT RIEN D’UTILE QUELQUE SOIT LES DOMAINES ET NOS DIRIGEANTS SE SOULENT DE LEURS DISCOURS CREUX INUTILES ?!

CHRONIQUE. Après Emmanuel Macron et tant d’autres, le ministre de la Santé François Braun lance un appel au « bon sens ». Un vocabulaire à haut risque ?!

Et on parle de risque pour nos dirigeants et son gouvernement plutôt un concours monstrueux d’HYPOCRISIE au plus haut niveau de notre état de France mal gouverné et mal protégé !?

Et le peuple Français les élit et réélit va comprendre la naïveté de ceux-ci dans cette mission impossible !?

Pendant des décennies, une célèbre banque française a eu pour slogan « Le bon sens près de chez vous ». Proximité, connivence, évidence… le message avait tout pour plaire. Dans le faux plat que connaît le débat sur le régime des retraites, Emmanuel Macron a repris ce bon vieil argument, lors de sa visite très matinale à Rungis, le 20 février. Le président a dit compter sur « le bon sens » des « gens », qui « savent dans l'ensemble qu'il faut travailler un peu plus longtemps ». Le « bon sens », toutefois, en politique, c'est la cartouche ultime, celle que l'on sort quand on a tout essayé, en vain. D'ailleurs, la riposte ne s'est pas fait attendre. Les oppositions, chacune à se manière, ont eu beau jeu de répliquer qu'au nom du « bon sens », une majorité de Français se montrait opposée à cette réforme.

Le succès pour le moins mitigé remporté par la formule n'a pas dissuadé le ministre de la Santé, François Braun, de l'utiliser à nouveau ce lundi sur France Inter. Les syndicats de médecins refusent les propositions de l'Assurance maladie concernant l'augmentation de leurs tarifs de consultation ? « Il n'y aura pas d'accord d'ici à demain soir, c'est à peu près certain, même si je veux toujours croire au bon sens », a-t-il déclaré. Là encore, cette croyance peut ressembler à un aveu d'impuissance. Pas de démonstration, pas d'effort de conviction, mais une bonne dose de fatalisme, et l'affirmation qu'une seule voie est possible, celle que devrait emprunter toute personne « sensée ».

Une recette verbale souvent mitonnée

Cette recette verbale, en vérité, a déjà été mitonnée à maintes reprises, mais dans des circonstances où elle n'a pas créé de remous. Le 8 juillet 2020, dans son discours de politique générale, le tout nouveau Premier ministre Jean Castex avait voulu s'exprimer au nom de la « France du bon sens », qui « ne dit rien mais n'en pense pas moins », celle des « territoires », avec laquelle le président n'a jamais su être en phase. Le « bon sens » était aussi convoqué par Élisabeth Borne, alors ministre du Travail, en octobre 2020, alors que montait la deuxième vague de Covid-19 : « Ceux qui peuvent télétravailler doivent le faire, c'est une mesure de bon sens. »

Élisabeth Borne, une Première ministre du troisième typeQuelque temps plus tard, le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin ironisait dans une interview à L'Express : « J'aime beaucoup les enquêtes de victimation et les experts médiatiques, mais je préfère le bon sens du boucher-charcutier de Tourcoing. » Il s'agissait de rabrouer les experts affirmant que la délinquance stagnait, et surtout de s'affirmer en homme de terrain, proche de ses administrés. Au printemps 2022, alors que le nouveau protocole sanitaire en vigueur à l'Éducation nationale suscitait un certain scepticisme de la part des enseignants, Gabriel Attal, alors porte-parole du gouvernement avait lui aussi défendu des mesures « de bon sens ».

L'expression mériterait de ne pas être utilisée à tort et à travers. Quand elle concerne une disposition pratique telle que le télétravail en période d'épidémie, elle ne prête pas à polémique. Il n'en va pas de même pour clore un débat agité sur des sujets complexes, telles la réforme des retraites ou la juste rémunération des médecins.

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Tout comme les Français lambda l'ont perdu depuis longtemps ce soi-disant bon sens car tout le monde ne cultive que le chacun pour soi et la versatilité dévastatrice pilotée par l'argent roi et le confort des pays encore libres et démocratiques ou les peuples ne regardent que leurs nombrils car encore trop gâtés naïfs dont les plus malins mais malfaisants comme ce dictateur russe Poutine qui essaie de diviser pour régner vieille recette qui a fait ses preuves dans nos histoires anciennes Européennes devenues mondiales !?

Alors certains plus dangereux mais se croyant plus malin défaut d’orgueil mal placé de l’espèce humaine et leur bienpensante hypocrite de donneurs de leçons qu’ils n’appliquent pas à eux-mêmes et qui nous ont mis sur le dos des guerres dont une devenue mondiale en 1939/45 pour faire le ménage chez les hommes de tous bords et leurs idéologies bornées et malgré les leçons qu’ils n’ont pas retenues car les peuples ont souvent la mémoire courte et donc ils oublient leurs passés en fait pas glorieux montrant l’immense bêtise humaine malgré et cela n’a pas trainé seulement 34 ans après la cerise sur le gâteau empoisonné de cette guerre dite froide et la fin de l’ex-URRS (sans oublier de multiples guerres annexes avec en plus l’alibi de lutter contre le terrorisme islamique fantôme toujours présent !?)

On peut seulement espérer que ces dictateurs hyper dangereux ne se serviront pas de leurs menaces nucléaires car ils prendraient le risque de s’auto détruire eux même car cette dernière guerre Russo Ukrainienne risque d’être longue comme les autres mondiales ou nous ont promis nos dirigeants qui ne nous protègent pas assez (5 ans en moyenne jusqu’en 2027 coïncidence avec la fin du 2eme quinquennat macronien non renouvelable!?)

Donc cela se résume à vivre et laisser mourir pas de quoi être fier pour nos dirigeants de tous bords à l'abri du besoin profiteurs !?

Jdeclef 28/02/2023 11h16LP

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lundi 27 février 2023

Que ce soit dans nos médias ou nos dirigeants on a toujours une propension à voire les défauts des autres avant les nôtres avec une arrogance et orgueils de nos présidents et aussi des Français lambda !?

 

Allemagne : que sont devenus les 100 milliards d’euros débloqués pour l’armée ?!

Il y a un an, le chancelier Scholz consacrait une enveloppe financière conséquente à la Bundeswehr. Pourtant, aujourd’hui, le bilan n’est guère brillant.

LES HISTOIRES DE FINANCES QUI SONT LA PLAIE DES ETATS ET DES HOMMES QUI LES DIRIGENT NE FONT PAS LA PUISSANCE DE LEURS ARMEES ?!

Quelques jours seulement après avoir pris ses fonctions en janvier 2022, il avait exprimé sa frustration. « Cent milliards, ça ne suffira pas ! » avait décrété d'emblée le nouveau ministre de la Défense, le social-démocrate Boris Pistorius. Il faisait référence au fonds spécial de 100 milliards d'euros débloqué par le chancelier Scholz il y a tout juste un an pour faire face à la guerre en Ukraine. Le 27 février 2022, devant les députés du Bundestag réunis au grand complet en session extraordinaire, Olaf Scholz annonçait la mise à disposition de cette enveloppe destinée à moderniser l'armée, chroniquement sous-équipée.

Pour la première fois depuis des décennies, l'Allemagne décidait d'investir « pour avoir une armée puissante, ultramoderne et à la pointe du progrès, capable de [la] défendre », promettait Olaf Scholz, qui annonçait aussi que l'Allemagne consacrerait 2 % de son PIB (contre 1,5 % auparavant) aux dépenses militaires d'ici à 2024, comme les Américains le réclamaient à Berlin depuis des années. En juin, ces mesures passaient comme une lettre à la poste au Parlement. L'opposition conservatrice appuyait la coalition SPD-Verts-libéraux au pouvoir. Un impressionnant consensus. Jamais depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale autant d'argent n'avait été alloué à la Bundeswehr. Une vraie révolution.

Les chars font trembler la coalition allemande

Mais qu'en est-il, un an après, de cette Zeitenwende, ce changement d'époque proclamé avec tant de pathos par Olaf Scholz ? La Bundeswehr est-elle en meilleur état ? Les fonds alloués ont-ils suffi à combler les manques ? Une chose est sûre : si l'Allemagne a perdu du temps, les hésitations du chancelier y sont pour quelque chose. Olaf Scholz a longtemps traîné pour limoger sa ministre de la Défense, Christine Lambrecht, pourtant très contestée dès le début de son mandat.

Toujours à nu

Le bilan n'est guère brillant. « Comparées à la situation au 24 février dernier, les choses ont beaucoup bougé – mais avant tout dans les têtes », reconnaît le lieutenant général Alfons Mais, inspecteur général des armées dans une interview à la Süddeutsche Zeitung : « En ce qui concerne la capacité de défense, je ne peux parler que pour la Bundeswehr : actuellement la capacité de l'armée à être opérationnelle ne s'est pas améliorée. » Alfons Mais, qui, au début de la guerre, avait tiré la sonnette d'alarme (« La Bundeswehr est plus ou moins nue »), n'est pas optimiste.

Un an après, la Bundeswehr est donc toujours « à nu ». Elle continue à manquer de tout : de chars, d'avions de combat, de munitions et d'hommes. Son matériel est souvent vieillot, ce qui pose de gros problèmes. L'exemple le plus parlant est celui des vieux émetteurs-récepteurs encore analogiques dont dispose la Bundeswehr. Ils sont donc incapables de communiquer avec le matériel moderne des troupes hollandaises, norvégiennes et tchèques au sein des unités de l'Otan. Au mois de décembre, le Bundestag a approuvé la commande de nouveaux émetteurs-récepteurs, mais les décisions traînent en ce qui concerne les armes lourdes.

Les Allemands divisés sur l'envoi d'avions de combat en Ukraine

La guerre en Ukraine n'a pas amélioré la situation. En acceptant d'envoyer des armes lourdes dans une zone en conflit, l'Allemagne a certes brisé un tabou en vigueur depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. À l'issue d'un débat houleux et de longues semaines d'hésitation, elle a accepté le 24 janvier de fournir des chars Leopard 2 à Kiev. Mais ces livraisons n'ont fait qu'aggraver le dénuement de la Bundeswehr, qui a urgemment besoin de renouveler ses stocks. Cela prendra du temps.

« Les chars de combat n'attendent pas sur des étagères qu'on daigne les emporter, prévient Boris Pistorius. Ils ont des délais de livraison et ceux-ci ne sont pas de trois semaines. Quant aux munitions, elles ne poussent pas sur les arbres en attendant d'être cueillies. Les choses sont beaucoup plus complexes que ça en matière d'armement. » Boris Pistorius veut accélérer les choses et entamer sans tarder, et personnellement, des discussions avec les chefs de l'industrie de l'armement.

Guerre en Ukraine : ces armes qui font la différence

Pour rendre son armée opérationnelle, Boris Pistorius va également devoir revoir entièrement son administration. Des décennies de négligence ont laissé des traces. La Bundeswehr est davantage dirigée par une armée de bureaucrates passifs barricadés dans leurs bureaux que par des soldats prêts à se battre et des stratèges capables de prendre des décisions rapidement, ironise-t-on à Berlin.

Boris Pistorius veut donc commencer par mettre en place une cellule centralisée chargée de prendre et de coordonner les décisions ainsi que de bien employer les nouvelles sommes allouées. L'inflation et l'augmentation des coûts de production ont déjà grignoté l'enveloppe de 100 milliards. La Bundeswehr a besoin d'une rallonge. Le débat au Parlement sur le budget 2024 aura lieu à la mi-mars. Il ne sera pas facile pour Boris Pistorius de convaincre les autres ministres, qui risquent de voir leur budget réduit au profit des dépenses de défense. D'autant que Christian Lindner, le ministre libéral des Finances, ne veut pas entendre parler de hausses d'impôts.

Le temps presse. Boris Pistorius saura-t-il répondre à toutes ces attentes en si peu de temps ? Tous les sondages montrent en tout cas que les Allemands, très inquiets, veulent avoir une armée capable de défendre leur pays.

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Au lieu de chercher la paille dans l'œil de l'Allemagne regardons déjà la poutre que l'on a dans le nôtre avec notre armée qui manque déjà de l'essentiel ne serait-ce que les munitions en quantité pour approvisionner nos fusils ou canons et ne parlons plus de ce couple bidon franco-allemand après le départ d'A.MERKEL qui portait la culotte de notre alliance de façade avec tous nos présidents passés et peut être pire avec celui actuel qui ne sait que bavarder en s'écoutant parler pour ne rien dire d'utile!?

Nous avons presque atteint le summum de l’imprévoyance et laxisme dans nos gouvernements de tous bords et nos dirigeants passés et présent depuis 40 ans !?

Jdeclef 27/02/2023 08h58


dimanche 26 février 2023

Les Français sont mal gouvernés à tous les étages de la classe politique car élue par eux sans oublier notre chef d’état de cette V eme république par leurs mauvais choix car c’est eux qui votent et réélisent souvent le mêmes depuis + de 40 ans comme des naïfs qu’on roule si facilement par ses politiciens de tous bords rodés à l’exercice !?

 

Michel Richard – Quand l’Assemblée s’autodétruit en direct

Ce n’est pas d‘aujourd’hui que les parlementaires se disputent comme des chiffonniers. Mais en ces temps de démocratie fragile, c’est différent. Merci LFI !

MAIS C’EST LEUR FAUTE A CES FRANÇAIS CETTE ASSEMBLEE NATIONALE RESSEMBLE BIEN TRES BIEN AU PEUPLE LAMBDA QUI A ELU SES POLTICIENS DE TOUS BORDS !?

Pas besoin d'être assidus à la chaîne parlementaire pour en être informés. Le débat à l'Assemblée sur la réforme des retraites, quinze jours durant, n'a eu pour ordre du jour que le désordre : obstruction, invectives, injures, violences, suspensions de séance, rappels au règlement. Tout ça pour n'aboutir à rien. Les réseaux sociaux s'en sont régalés. Le bruit et la fureur ont été entendus même des Français qui ne demandaient qu'à y échapper.

Revenus épuisés de ce champ de bataille qu'ils ne pouvaient déserter, les députés ont pu remettre les pieds sur leurs terres d'élection, à portée de baffes. Beaucoup n'ont pas été déçus.

Ah, c'était ça, le travail parlementaire ? De la violence digne d'AG estudiantines ? Des petits jeux de procédure empêchant tout débat ? Voulaient-ils donc discréditer le Parlement et, avec lui, la démocratie et, tant qu'à faire, donner un coup de pouce au Rassemblement national, irréprochable de maintien ? Dur, dur d'être député par les temps qui courent. Ceux de La France insoumise ont réussi à contaminer tout le jeu parlementaire et tous ses participants, volens nolens.

Parlementarisme décrié

D'aucuns n'en croient rien ou, en tout cas, minimisent. Ainsi Jean-Louis Debré, pour ne pas le dénoncer, s'aventure, dans Libération, du haut de ses cinq ans passés au perchoir, à ne voir dans ce désolant spectacle « rien de nouveau » et dans l'émoi général qu'il soulève « de l'hypocrisie ». Et de citer les débats très agités qui ont accompagné la loi de 1905, celle sur l'IVG ou celle du CPE. La politique est un théâtre, fait de passion, pas un salon de thé. « Rien n'est plus dramatique que ces hémicycles où personne n'ose rien dire. »

Patrick Kanner : « Nous n'avons pas à recevoir d'ordre de M. Mélenchon »

En quoi, il a bien raison. On peut apprécier, aussi, sa bienveillante tentative de calmer le jeu. Les députés mélenchonistes ont été bien contents de pouvoir citer et applaudir ses paisibles propos pour mieux s'affranchir de tout procès en sabotage institutionnel.

Le relativisme a toujours du bon. Sauf quand, toutes choses étant présumées égales par ailleurs, il pèche par confusionnisme. Car les choses ne sont pas toujours égales entre elles, ni, d'ailleurs, la manière dont elles sont perçues. La démocratie est aujourd'hui plus fragile qu'à d'autres époques, trop fragile en tout cas pour qu'on la maltraite. Le parlementarisme, trop décrié pour qu'on en rajoute. Les hommes politiques trop vilipendés pour se nuire à eux-mêmes.

Gagner du temps pour en perdre

Des débats, vifs, violents, des disputes, des énervements : parfait ! Pas de manières, pas de complaisances, du rude s'il en faut ! Mais s'il en faut pour quelque chose, pour un but. Quoi ? Lequel ? Celui de La France insoumise, inspiré par Jean-Luc Mélenchon, n'est que stérile. Un empêchement, c'est tout, sans talent, du bruit, du rien, gagner du temps pour en perdre. LFI : un groupuscule qui se prend pour le peuple et se conduit comme une foule.

Ces Français qui rêvent de décapitationsLe patron des députés communistes, André Chassaigne, s'en est dit « blessé, même humilié ». Les syndicats, tous les syndicats, CFDT et CGT, s'en sont indignés. La France insoumise jouait contre eux, contre leur opposition à une loi qui n'était pour elle que prétexte à pagaille. Du grand n'importe quoi révolutionnaire à la mie de pain. Tous les députés, hélas, d'où qu'ils soient, en pâtissent.

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Où l’on voit en France comment son parlement et son Assemblée Nationale ressemble à une foire aux bestiaux sauf que les bêtes sont plus faciles à domestiquer que ces députés de tous bords mal élevés que nous français lambda avons élus comme leur leader MELENCHON qui ne sait même pas représenter à la députation lors des élections législatives pour semer le souk pour son seul plaisir car aigri du fait de son âge ne lui permettant pas d’espérer un avenir électif en 2027 en créant cette LFI et ces députés indisciplinés incorrects associés à cette NUPES agrégat de partis de cette gauche classique moribonde PS/PC/ Écolos verts illuminés et autres partis marginaux!?

Auquel il faut ajouter un président petit bourgeois parvenu gonflé d’orgueil comme ses prédécesseurs de tous bords depuis +40 ans totalement dépassé par ses bavardages de donneur de leçons bienpensant s’écoutant parler mais hors sol en tant que chef d’état qui en plus dédaigne les Français lambda qui l’ont en plus élu et réélu leur principal défaut !?

Car n’en déplaise à ceux qui le soutienne encore car d’une incompétence remarquable pour gérer notre pays et surtout le protéger des crises internationales induites par cette guerre Russo Ukrainienne d’ailleurs on n’avait pu déjà le tester lors de la pandémie du COVID et crises sanitaires toujours en cours !?

Mais Mr MACRON a beaucoup de chance d’avoir un peuple Français si facile à manœuvrer qui râle et aboie beaucoup mais ne fait que cela !?

Et si la France touche le fond on saura pourquoi !?

Car les Français sont incurables dans les mauvais choix de leurs dirigeants 1er ministres et gouvernements de tous bords de cette classe politique médiocre de cette Veme république devenue monarchique usée et obsolète!?

Jdeclef 26/02/2023 12h36


samedi 25 février 2023

Si on ne recommençait pas nos erreurs historiques du passé avec nos guerres européennes devenues mondiales ce serait nettement préférable pour la paix dans le monde !?

 

La France est-elle prête à la guerre ?!

CHRONIQUE. Les mots se durcissent. La posture aussi. Mais l'histoire nous a montré que, sans préparation, cela ne suffisait pas en temps de conflit.

CELA NE SEMBLE PAS LE CAS ALORS IL EST PLUS QUE TEMPS DE NOUS REVEILLER ET SORTIR DE NOTRE PETIT CONFORT CAR C’EST HAUTEMENT PREOCCUPANT ?!

Union européenne essaie de prendre sa revanche sur la paix en utilisant la guerre. Discutée, contestée, souvent rejetée, l'Europe avait un mérite : neutraliser les conflits. C'était d'ailleurs sa raison d'être. Depuis l'invasion de l'Ukraine, elle adopte une posture martiale : le refuge s'est transformé en caserne. Avions, chars, missiles : le champ lexical a été renouvelé.

Emmanuel Macron le répétait à Munich : les Européens doivent s'attendre à un conflit long. La guerre implique, dans n'importe quel imaginaire, un général en chef, un état-major, des officiers supérieurs, au moins des soldats, bref une armée à contester, à soutenir, où s'engager. Ce dont l'Europe n'est pas, ou presque, pourvue. Si la guerre éclate, ça n'est pas l'Europe qui la fera, mais la France. Est-elle prête à être à nouveau une puissance belligérante ?

Les leçons du passé

Depuis la moitié du XIXe siècle, la France commence mal ses guerres, quitte à bien les terminer. En 1870, une génération était impatiente de montrer à la Prusse qu'elle n'avait rien perdu de sa superbe depuis la bataille d'Iéna (1806). La débandade et l'humiliation ont été d'autant plus traumatisantes que personne ne doutait de la France, c'est-à-dire de son talent, de sa détermination, de son unité, bref de son habileté à remporter une bataille.

Ukraine : face aux chars occidentaux, l'inépuisable stock de la Russie

Quant à la défaite de 1940, inutile de revenir ici sur l'essai mille fois cité de Marc Bloch, L'Étrange défaite, dans lequel l'historien décrit un pays abandonné par ses chefs, et pas seulement militaires. Dans le cas de la guerre de 1870 comme dans celui de la Seconde Guerre mondiale, personne ne s'étonne de l'issue du conflit. Les analyses sont téléologiques : tout aurait indiqué, dès la première minute, la catastrophe à venir.

Il n'en va pas de même pour la Première Guerre mondiale. Inhumaine, sanglante, abominable, les adjectifs ne manquent pas pour résumer un traumatisme dont le XXe siècle ne s'est jamais remis. Le neveu de Jules Ferry, Abel Ferry, secrétaire d'État, député, mais aussi combattant (il meurt au front) entre 1914 et 1918, a tenu un journal intime où il a retranscrit quasiment au jour le jour ce qu'il a vu à la présidence du Conseil, à l'Assemblée, dans des réunions où se trouvaient des ministres, des généraux, etc.

Ces « Carnets secrets » sont un document exceptionnel, une sorte d'histoire de la Première Guerre mondiale par la bureaucratie. Le portrait qu'il dessine est effarant. Un président de la République, Poincaré, intelligent, volontaire, mais réduit à l'impuissance par la Constitution de la IIIe République, des ministres veules, calculateurs, mesquins, un haut commandement militaire dangereux, Joffre en tête, qui essaie par tous les moyens de s'affranchir du pouvoir civil. « Le Conseil se plaint de ce qu'en Alsace on accumule fautes sur erreurs. L'état-major nomme des sous-préfets, des juges, des notaires, sans en avoir le droit, ce qui fait que leurs actes seront nuls, et sans consulter le gouvernement. » Pour neutraliser la dérive dictatoriale des généraux, Ferry tente de faire voter une loi au terme de laquelle le Parlement exercerait un contrôle formel sur le Grand état-major. Chose extravagante : bien des députés refusent parce qu'ils craignent de porter la responsabilité de la défaite.

Sur le front ukrainien, l'hiver de tous les dangers

Quant à la logistique délétère et à la désorganisation du front, elles sont le quotidien d'un gouvernement débordé par l'incompétence de militaires qui n'avaient rien prévu ni prédit, pas même la guerre, les tranchées. Les difficultés d'ordre technique sont une chose, l'état d'esprit en est une autre. Personne, en France, n'était préparé à faire la guerre, ce qui est d'autant plus extraordinaire que les enfants étaient élevés, depuis vingt ans, dans le culte de la revanche sur la Prusse, bercés par le souvenir de l'Alsace et de la Lorraine.

L'impréparation parfois pire que la paranoïa

Si Emmanuel Macron croit à la possibilité de la guerre, comme il le dit, alors des conséquences doivent en être tirées. Du reste, comment lui en vouloir ? Son travail consiste à envisager toutes les possibilités ; mais une société n'appréhende pas du jour au lendemain un phénomène militaire. Il est plus facile de dire une sottise à l'Assemblée que de tirer un coup de feu. Ces remarques apparaissent extravagantes dans la mesure où Kiev paraît bien loin de Paris, mais l'impréparation est parfois pire que la paranoïa. Il n'est pas si simple, y compris pour le meilleur des ministres, de prendre des décisions qui engagent la vie, de s'abandonner au domaine de l'action, d'être soumis à parts égales au triomphe et au désastre, de quitter la relativité des mots pour l'absolu des faits.

La chose est d'autant plus vraie à propos d'un pays où la conviction la mieux partagée est le déclin. Abel Ferry écrit : « La génération des hommes de cinquante à soixante ans, qui aura gouverné la France pendant cette guerre [la Première Guerre mondiale], a eu son enfance traversée par la guerre de 1870 et le traité de Francfort. Il en est resté à tous, aussi bien aux fils de bourgeois […] qu'aux fils du peuple, une sorte de timidité, de peur de l'action et de méfiance de la France. »

Référence livre :

Abel Ferry, Carnets secrets 1914-1918, Paris, Grasset, 2005. Nouvelle édition. Préface de Nicolas Offenstadt, notes revues par André Loez

Né en 1990, Arthur Chevallier est historien et éditeur chez Passés composés. Il a été commissaire de l'exposition « Napoléon » (2021), produite par le Grand Palais et La Villette. Il a écrit plusieurs livres consacrés à la postérité politique et culturelle de Napoléon Bonaparte et du Premier empire, Napoléon raconté par ceux qui l'ont connu (Grasset, 2014), Napoléon sans Bonaparte (Cerf, 2018), Napoléon et le bonapartisme (Que sais-je ?, 2021),ou encore Les Femmes de Napoléon (Grasset, 2022). 

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Pour préserver la paix il faut la protéger de la guerre mais hélas elle est déjà aux frontières de notre Europe occidentale avec ce dictateur Russe qui ne connait que la force aveugle !?

Mais peut être plus grave les Français lambda n'y croient pas et çà cette attitude ou imprévoyance aveugle est notre principal défaut de peuple encore trop gâté bien que souffrant déjà (mais pas assez) des crises économiques inflationnistes et énergétiques induites !?

Car notre dirigeant que nous avons réélu n'a pas les épaules d'un vrai chef d’état pour nous protéger efficacement donc il faudrait que tous les Français du plus pauvre aux plus riche lui fasse comprendre la nécessité urgente de muscler notre défense et notre armée avec une volonté affirmée d'agir dans ce sens sans procrastination comme il le fait d'habitude son principal défaut !

Car bien sûr on à la puissance de dissuasion nucléaire (mais en fait ce que n'est qu'une assurance que si on l'utilisait montrait qu'on a perdu et ou irait comme l'adversaire vers l’autodestruction irrémédiable !?)

Naturellement certains disent qu'on a l'allié USA et son OTAN organisation de défense sauf que les américains sont loin de l'Europe et ont montré dans nos histoires militaires européennes pas si anciennes que çà et nos guerres que ce soit celle de 1914/18 ou 1939/45 qui ont débouché sur des guerres mondiales directes ou indirectes car ils viennent toujours après la bataille en retard en tergiversant au maximum d'ailleurs avec la Russie poutinienne ils ne veulent pas pénétrer sur le sol de la Russie alors qu'eux les Russes et leur armée associée a des mercenaires barbares pénètrent en UKRAINE ayant déjà commis des actes de sauvagerie insupportables !

Il faut cesser les discours et bavardages de bienpensant donneurs de leçons de notre président hors sol de la réalité comme sa spécialité inefficace sans effet que n'écoute pas le maitre du Kremlin qui confirme ses menaces de tout ordre et nucléaire !?

Jdeclef 25/02/2023 14h36

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Encore un qui s’est fait piéger par les beaux discours alambiqués de notre président à qui on a donné trop de pouvoir !?

 

Jean-Baptiste Moreau : « Notre agriculture est en danger de mort »

ENTRETIEN. Il avait quitté son élevage pour suivre Emmanuel Macron. Cinq ans plus tard, l’ancien député de la Creuse et agriculteur tire un bilan sévère du quinquennat.

En politique politicienne de bas étage il ne faut pas mélanger les torchons avec les serviettes !?

Il s'en défend, bien sûr, mais lorsqu'il arrive en boitillant au Point – une cheville s'est tordue dans le trou d'un trottoir, « cadeau d'Anne Hidalgo », plaisante-t-il –, on remarque l'air abattu. À la veille de l'ouverture du Salon de l'agriculture, Jean-Baptiste Moreau a lâché son élevage dans la Creuse pour accompagner le président, une fois de plus, à l'inauguration. Mais on sent que cette année, le cœur n'y est pas vraiment. Battu aux législatives en juin, l'ex-député-éleveur, élu dans la foulée de la victoire d'Emmanuel Macron, a perdu son écharpe… Et beaucoup d'illusions. « Il nous reste deux ou trois ans. Améliorer notre agriculture, c'est un beau slogan, mais ça ne sert à rien si elle est déjà morte », souffle-t-il, la mine sombre. Il y a cru, pourtant.

En 2017, il rencontre le futur président au salon au détour d'une allée, sur un stand de professionnels du bétail. Coup de foudre. Le leader d'En marche ! promet à l'époque d'arrêter la surtransposition de normes environnementales, et convainc l'éleveur de porter ses couleurs aux législatives – c'est l'époque bénie du parti « populaire », « ouvert aux meilleurs représentants de la société civile ». L'ingénieur de travaux agricoles, jamais encarté, jamais syndiqué, fourmillant d'idées pour restructurer les filières agricoles et rendre sa « dignité » à une profession sinistrée, se jette en politique comme un rugbyman dans la mêlée. Il y aura bien quelques victoires, reconnaît-il – comme les lois Egalim, conçues pour rééquilibrer le rapport de force entre producteurs et distributeurs. Mais aussi beaucoup d'échecs. Et alors que la réforme des retraites occupe la quasi-intégralité du temps médiatique, il redoute que la crise profonde que traverse la « Ferme France » soit une fois de plus sous-estimée.

En 2017, Emmanuel Macron promettait de « relever le défi de la souveraineté alimentaire » du pays. Cinq ans plus tard, les productions se sont effondrées, et sans les ventes de vins et spiritueux, la balance commerciale agricole s'enfoncerait dans le rouge : la France ne sait pas se nourrir, et n'a jamais été aussi dépendante de l'extérieur pour son alimentation. Jean-Baptiste Moreau est l'invité de l'entretien politique du Point.

Le Point : En mai 2022, le ministère de l'Agriculture est devenu aussi celui de la Souveraineté alimentaire. Ce changement de nom n'est-il pas paradoxal, alors que la production française s'effondre, et qu'on ne voit pas nettement quelle politique est conduite pour redresser la barre ?

Jean-Baptiste Moreau : La situation, c'est vrai, est de plus en plus critique. Et si les lois Egalim ont permis de mettre en place des mécanismes pour redresser les revenus des agriculteurs, on voit clairement qu'aujourd'hui, les problèmes ne sont pas qu'économiques. Si les revenus des éleveurs, par exemple, se maintiennent, c'est parce que la production s'est tellement écroulée au cours des dix dernières années que la demande est supérieure à l'offre ! Le cheptel ne cesse de se réduire. Nous ne sommes déjà plus capables d'assurer des volumes minimums pour faire tourner certains abattoirs, et d'ici deux ou trois ans, ce sera l'hémorragie, un grand nombre d'établissements vont fermer. C'est un cercle vicieux : le métier n'attire plus. La crise du Covid a eu pour effet de relancer la consommation locale, mais la vague sociétale qui vise à mieux vivre et à moins travailler n'a pas épargné le monde agricole. On a de plus en plus d'agriculteurs qui en ont marre de faire les nuits, les week-ends, et qui ne veulent plus avoir d'animaux. Si on ne trouve pas des solutions pour être attractifs, la production française va continuer à s'écrouler.

Ras-le-bol des agriculteurs : « De plus en plus de producteurs se découragent » L'élevage est loin d'être la seule filière concernée…

Le mot de souveraineté n'a plus aucun sens aujourd'hui, puisque nous sommes dépendants pour la plupart des productions, et ça s'effondre partout ! On importe la moitié de nos fruits et légumes, la moitié de notre volaille (contre seulement 13 % en 2000 !), même les productions des grandes cultures dégringolent. La betterave à sucre a fait la une de l'actualité récemment, mais on risque de perdre l'entièreté de la filière ! Les pouvoirs publics vont compenser financièrement pendant un an ou deux les cultivateurs qui auront perdu leur production, mais les sucreries ne pourront pas tenir longtemps avec un volume réduit de 50 % et du chômage partiel. Un certain nombre fermera…

Comment en est-on arrivé à un tel décalage entre les discours des politiques, qui ne jurent que par la souveraineté, la sobriété normative, l'arrêt des surtranspositions… et la réalité du terrain ?

Pour les fruits et légumes, dont l'effondrement est en grande partie dû à l'interdiction de produits phytosanitaires qui restent autorisés partout ailleurs, le mal est fait. Et le gouvernement n'a pas inversé cette tendance, qui consiste à surtransposer les normes édictées dans le cadre de l'Union européenne ! Pendant des années, des produits ont été interdits en France sous la pression de certains lobbys environnementalistes, sans considération pour les données scientifiques. Or ils restent autorisés en Europe, et c'est là qu'est la vraie concurrence, aujourd'hui. Dans un marché commun, il est impensable d'avoir des règles du jeu différentes, ce n'est plus possible. La profession se focalise sur la concurrence extra-européenne et les traités internationaux du type Ceta, parce que c'est médiatiquement plus vendeur… Mais la concurrence est d'abord intra-européenne ! On importe notre viande bovine d'Allemagne ! Nos fruits et légumes sont produits en Espagne avec de la main-d'œuvre pas chère, voire pas déclarée, et avec des produits que la France a totalement interdits.

Le ministre de l'Agriculture explique qu'on ne peut pas revenir en arrière, au nom du principe de « non-régressivité environnementale ».

Inscrire ce principe dans la Constitution était une vraie connerie, et on va dans le mur. On ne s'en sortira pas sans harmoniser nos normes avec celles du reste de l'Union européenne. Ce qu'on a fait dans un sens en modifiant la Constitution, on peut le faire dans l'autre sens, en la modifiant à nouveau. Il faudra du courage politique, mais je ne vois pas d'autre solution. Car il n'est pas envisageable de sortir de l'Europe : ce serait la mort assurée de notre agriculture.

Souveraineté alimentaire : la France au bord de la falaiseLes « clauses miroir » proposées par la France au niveau européen, qui permettraient d'interdire l'importation de produits cultivés avec des substances interdites sur notre sol, n'ont jamais vu le jour. Comment tirer les conséquences de cet échec ?

C'est bien la question… Mais même les règles de protection incluses dans les accords de libre-échange ne sont pas respectées ! On se contente de contrôler les résidus de pesticides des marchandises au port d'arrivée. Mais il faut aller dans les pays d'origine, avoir de vrais services du type DGCCRF, qui constateraient sur site les méthodes de production ! Ces clauses miroir sont un miroir… aux alouettes ! Par ailleurs, même si elles étaient adoptées, elles ne résoudraient pas les problèmes de concurrence intra-européenne, et le différentiel de compétitivité entre Européens. Et ça, ça ne peut se résoudre que par une harmonisation des normes.

Emmanuel Macron pensait, en 2017, que la « montée en gamme » de notre agriculture nous ouvrirait les portes de marchés à forte valeur ajoutée. C'est un échec ?

Oui et non… Notre agriculture n'a pas d'autre choix que de se différencier, car notre modèle agricole est déjà économiquement mort aujourd'hui : nos fermes de 118 bovins en moyenne sont une aberration. Elles n'existent nulle part ailleurs dans le monde ! Et il est illusoire de pouvoir concurrencer les coûts de fermes beaucoup plus grandes, y compris en Allemagne du Nord, en Roumanie, en Pologne… L'agriculture industrielle n'existe pas en France. Même nos porcheries sont minuscules, par rapport à ce qui se pratique en Espagne ! Seule la montée en gamme nous permet, dans ce contexte, d'être compétitifs. Mais d'un autre côté, le consommateur est roi, et quels que soient ses discours, il va vers les prix bas au supermarché. Si nous ne produisons pas ce qu'il veut trouver, nous l'importerons. En Pologne ou en Roumanie, les terres des anciens kolkhozes ont été démantelées et vendues, souvent, à des capitaux étrangers, comme l'Arabie saoudite, notamment. Ces mastodontes s'étalent sur des dizaines de milliers d'hectares, qui font de l'agriculture industrielle. Ce qui n'existe pas en France existe en Europe de l'Est.

Quelles issues voyez-vous ?

La première étape, c'est d'obtenir une protection, et une vraie harmonisation des normes au niveau européen. Nous ne l'avons pas fait lors du précédent quinquennat, c'est vital aujourd'hui. Attendre ne fait que nous rapprocher du moment où il sera trop tard pour agir, car on aura tué nos filières. Ensuite, si les problèmes de compétitivité-coût ne peuvent être résolus en agrandissant nos structures, car la société ne le souhaite pas, on peut y parvenir par l'innovation technologique. La robotisation, l'usage de nouveaux produits phytosanitaires plus respectueux de l'environnement, les nouvelles biotechnologies végétales… Il faut mettre le paquet sur la recherche, et sur l'innovation.

agriculture Quand certains politiques prônent un « changement de modèle », vous pensez qu'ils se paient de mots ?

Ils reprennent la novlangue de la Commission européenne, qui est d'une naïveté confondante. C'est quoi, ce nouveau modèle ? Un modèle où on produit moins, alors qu'on est déjà dépendants ? Ce n'est jamais défini ! Si c'est pour faire de la permaculture sur 500 m2, ça ne sert à rien, c'est de l'autosuffisance alimentaire qui pourra nourrir une famille, les voisins… Mais pas la France. L'opposition entre l'agriculture biologique et les autres modes de production est tout aussi dangereuse. On nous explique que cela créera des emplois. Mais on emploie qui ? Les jeunes ne veulent pas aller travailler dans les champs, dehors, sous la pluie. C'est comme ça. Je ne connais pas de méthode magique pour les y forcer.

La France a perdu 100 000 exploitations ces dix dernières années, et la moitié des chefs d'exploitation ont aujourd'hui plus de 55 ans. Le renouvellement des générations est un défi colossal, de court terme… Avez-vous le sentiment que les autorités en ont conscience ?

Pas suffisamment. Aujourd'hui, déjà, l'agriculture manque de main-d'œuvre. Le chiffre d'affaires n'est pas assez élevé dans de nombreux secteurs pour pouvoir recruter. Notre modèle d'agriculture familiale est aussi une aberration mondiale, qui n'existe nulle part ailleurs ! Nous devons créer des outils de portage de foncier et de capital, pour que le jeune qui s'installe ne soit pas endetté pour 45 ans, et qu'il finisse de rembourser l'achat de son exploitation au moment où il prend sa retraite ! Plusieurs schémas peuvent être étudiés, comme des partenariats public-privé… cela demande un peu de courage, mais il va bien falloir trouver comment dégager des revenus qui permettent d'embaucher des salariés pour alléger le travail. Les exploitants doivent aussi pouvoir s'associer plus facilement, pour mutualiser leur matériel et leur travail. Sinon, les jeunes ne viendront plus.

C'est ce que vous attendez de la prochaine loi d'orientation agricole ?

Absolument. Elle est en cours de discussion dans les territoires. Emmanuel Macron a conscience de l'urgence, je pense. Dans cinq ans, si on n'a pas une augmentation massive du nombre d'actifs agricoles, je ne vois pas comment on peut enrayer la spirale de la chute de la souveraineté alimentaire française. Les agriculteurs ont besoin d'une vision, et de planification. Quelles solutions pour le foncier ? Est-ce qu'on va vers la détransposition ? L'Espagne est exportateur net. Mais d'autres pays, comme l'Angleterre, ont fait le choix de délaisser leur agriculture, et de se reposer sur les importations. Le Danemark ou les Pays-Bas sont sur la même tendance. Mais les incertitudes géopolitiques actuelles montrent que l'alimentation est le meilleur moyen de pression d'un pays sur un autre. Quand une population a faim, plus aucun régime ne peut tenir, que ce soit une dictature ou une démocratie.

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Mais ce n'est pas que l'agriculture qui est en danger de mort bien que cette expression semble exagérée par cet agriculteur déçu qui aurait mieux fait de continuer à faire son métier plutôt que de se lancer dans la politique française stérile et ses politiciens si médiocres qu’encore trop de français élisent et réélisent car dramatiquement bornés semble-t-il !?

Et ce n’est pas essentiellement de la faute de notre petit bourgeois parvenu se prenant pour un monarque s’écoutant parler pour ne rien d’utile donneur de leçons de bienpensant hypocrites comme d’autres politiciens de tous bords avant lui !?

Mais lui n’a plus d’excuse il a raté son 1er quinquennat disons-le et a été réélu par des Français perdus déboussolés pour un 2 eme qui prend le même chemin d’échecs jusqu’en 2027 ?!

Cela fait 40 ans que çà dure après le mitterrandisme PS et ces gauches qui furent aussi des échecs aussi renouvelés mais étant donné que nous sommes encore dans un pays libre et démocratique (pour l’instant) et des Français qui ont revoté pour ce président qui ne fait que procrastiner de protégeant pas assez son pays et quand il prend de rares décisions sont inappropriées surtout en ces périodes de crises internationales hyper tendues assorties d’une guerre Européenne Ukrainienne contre un dictateur russe dangereux !?

Car les FRANÇAIS lambda ne voient que leurs nombrils en râlant et se plaignant comme d’habitude avec par exemple leurs reformes sur leurs retraites futures alors que ce sont les problèmes internationaux qu’il faut traiter en priorité ce que notre petit président ne sait pas faire correctement depuis avant et déjà 1 an avec le début de cette guerre Russo Ukrainienne c’est cela la réalité !?

Jdeclef 25/02/2023 12h06

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C’est cela aussi la France actuelle un cinéma politique avec séance en continue ou il n’y a pas besoin de reprendre un billet pour regarder les mauvais films à grands spectacles pour ces politiciens de tous bords devenus inutiles !?

 

La mairie de Lille engage un bras de fer avec l’ultradroite ?!

La Citadelle, siège local de l’extrême droite à Lille, maintient l’organisation d’une soirée, considérée comme raciste et interdite par arrêté préfectoral.

Le vent médiatique de la maire de LILLE ex-éléphante de ce PS en déconfiture comme les gauches en général serait mieux dans un garde meubles pour vieux politiciens de renom en finissant à la maison de retraite de ses élus hors d’âges du Sénat ils ont un excellent cognac au bar de cette vieille institution poussiéreuse mais confortable pour ces Mrs et Dames pré retraités !?

La mairie de Lille a engagé vendredi un bras de fer avec La Citadelle, siège local de l'ultradroite, contre l'organisation dans la soirée d'une réunion jugée raciste, interdite par un arrêté préfectoral validé par la justice, mais maintenue par ses organisateurs.

La maire socialiste, Martine Aubry, a annoncé lors d'un point presse avoir pris « un arrêté d'interdiction de la réunion », intitulée « Qu'ils retournent en Afrique », au titre des « pouvoirs de police » de l'autorité municipale.

Saisi en référé par La Citadelle, le tribunal administratif de Lille venait de valider un arrêté préfectoral du 15 février interdisant cette « manifestation », mais en arguant des risques de débordements sur la voie publique. Au vu de ces motifs, le président de La Citadelle, Aurélien Verhassel, a annoncé à l'AFP le maintien de la soirée, qui ne réunira selon lui que « 30 à 40 personnes » au sein même des locaux, dans le centre-ville. Il a appelé d'éventuels sympathisants à ne pas venir en soutien sur la voie publique. « C'est une grande victoire », s'est félicité cet ex-membre du groupe dissous Génération identitaire.

Un intitulé incitant « à la haine raciale »

Dans son arrêté d'interdiction, la préfecture avait invoqué un intitulé incitant « à la haine raciale ». Mais elle pointait aussi le risque de voir cette réunion « se tenir sur la voie publique » au moment même où une contre-manifestation est annoncée à 19 heures par des syndicats et des organisations de gauche.

Dans son jugement, le tribunal n'a repris que ce dernier argument pour juger l'interdiction « nécessaire et proportionnée » au regard notamment du risque d'affrontements.

Le préfet « avait l'opportunité d'interdire la réunion à l'intérieur et à l'extérieur du local, il ne l'a pas fait », a regretté Mme Aubry pour justifier son arrêté.

« Le problème fondamental, c'est le thème de cette réunion, qui va attirer beaucoup de monde, porte atteinte à l'ordre public et est pénalement répréhensible », a-t-elle contre-attaqué.

Le nouvel arrêté municipal pointe également que les propos de M. Verhassel tenus « de manière récente et répétée sur l'objet de cette réunion […] constituent une provocation publique à la haine et à la discrimination en raison de l'origine, de l'ethnie ou de la religion ».

Enquête du parquet

Dans une seconde décision sur ce dossier rendue vendredi, le tribunal administratif a par ailleurs autorisé la réouverture dans l'immédiat de l'établissement, qui se présente comme un « bar patriote » et une « maison de l'identité », en suspendant l'exécution d'un premier arrêté municipal imposant sa fermeture immédiate le 14 février. La mairie va faire appel, a affirmé Martine Aubry.

Les représentants de La Citadelle avaient dénoncé devant le tribunal administratif un « détournement de pouvoir » de la part de la mairie, qui considère ce local comme un établissement recevant du public (ERP), mais sans être déclaré comme tel, ce qui justifiait selon elle sa fermeture.

La justice a confirmé dans sa décision la qualification d'ERP, mais considère que la ville aurait dû « inviter l'association à régulariser sa situation et opérer des contrôles » avant de prendre son arrêté.

« À l'occasion de cette interdiction de manifestation, Georges-François Leclerc, préfet du Nord, rappelle qu'il ne laissera jamais l'incitation à la haine raciale avoir droit de cité à Lille comme dans le Nord », a tweeté la préfecture dans une première réaction à la décision du tribunal.

L'interdiction de la soirée avait dans un premier temps été annoncée par le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin le 9 février. Son intitulé fait référence à des propos du député RN Grégoire de Fournas à l'Assemblée nationale, sanctionné de 15 jours d'exclusion. Dans cette affaire, le parquet de Lille a ouvert le 13 février une enquête pour « provocation publique à la haine ou à la violence en raison de l'origine, l'ethnie ou la race ».

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Cette (brave) dame qui a poussé le PS et cette gauche à l'état de mort cérébrale comme a dit notre président pas en peine de parole et expression insultante envers ceux qui ne sont pas de son monde de bobo bienpensant donneurs de leçons hypocrite devrait prendre sa retraite en se soignant pour son addiction à l'alcool avérée !

Car devenue inutile dans cette classe hypocrite médiocre que certains français s'ingénient à élire ou réélire comme des naïfs incurables car son passé avec ses 35 heures initiées par elle qui a montré son inefficacité pour ne pas dire autre chose !?

En FRANCE nos concitoyens qui pourtant demandent depuis + de 40 ans se changement dans nos institutions et classes politiques diverses ne changent rien car ils ne savent pas le faire ni choisir autre chose par veulerie pleutrerie partisans du chacun pour soi qui leur colle à la peau et qui font le bonheur des politiciens élus de tous bords et leur pouvoir en place de tous bords par nos présidents élus par ces Français lambda gonflés d'orgueil démesurés se croyant indispensables mais ne travaillant que pour eux (quand il font semblant de travailler) en soulant ce peuple bon public qui se font avoir à chaque élection présidentielle et qui leurs donnent trop de pouvoir !

Car en fait ils ne font que passer surtout pendant ces quinquennats stériles et éternelles campagnes électorales qui se terminent toujours de la même façon bien qu'un ex-président est innové en jetant l'éponge avant la fin pour ne pas être réélu !?

Car ces Messieurs et Dames politiciens de tous bord n'ont aucun amour propre soulant les Français de discours soulant creux ou de promesses sans lendemain pour nous moutons de Français près à etre tondus !?

C’est cela la France actuelle qui décline logiquement de cette Vème république obsolète usée monarchique malgré des crises internationales tendues que les autres pays n’écoutent plus car composée de trop de bavards superficiels !?

Jdeclef 25/02/2023 10h33


vendredi 24 février 2023

Le président MACRON ne trouve rien de mieux que de refaire de la politique France Afrique qui nous colle au basques depuis + de 60 ans alors que la situation internationale voire mondiale est hyper tendue à croire qu’il vit dans un autre monde ce qui est préoccupant pour notre sécurité et le quotidien de la vie future des Français dont il ne se soucie pas du tout car on est mal parti avec ses initiatives inutiles fumeuses et inappropriées et toujours en retard quand il en prend dont il ferait mieux de s’abstenir !?

On se demande de plus en plus à quoi il sert pour notre pays et les Français qu’il dédaigne n’étant pas de leur monde ?


Emmanuel Macron repart à l’offensive en Afrique ?!

Le président français se rend du 1er au 5 mars, au Gabon, en Angola, à Brazzaville et en RDC. Objectif : contrecarrer l’influence de la Chine et de la Russie et renouer les liens.

SANS VOULOIR ETRE GRIVOIS « NOTRE PRESIDENT MARCHE A COTE DE SES POMPES AVEC TOUJOURS UN RETARD À L’ALLUMAGE » ?!

Le programme va s'accélérer pour le président français Emmanuel Macron, qui se rend du 1er au 5 mars dans pas moins de quatre pays d'Afrique centrale, pour un sommet consacré à la protection des forêts équatoriales et pour renforcer des liens bilatéraux dans une sphère d'influence de plus en plus disputée. Ainsi, à Libreville, au Gabon, les 1er et 2 mars, il participera au One Forest Summit consacré à la préservation et la valorisation des forêts du bassin du fleuve Congo, a annoncé, jeudi 23 février, l'Élysée, rapporte l'AFP.

Sassou-Nguesso : « La relation de la France avec l'Afrique doit évoluer »

Les temps forts de la tournée de Macron

Avec 220 millions d'hectares de forêts, le bassin du Congo représente le deuxième massif forestier et le deuxième poumon écologique de la planète après l'Amazonie à travers plusieurs pays (République démocratique du Congo, Congo-Brazzaville et Gabon notamment).

De l'Afrique au Brésil et l'Asie du Sud-est, ces forêts sont désormais menacées par la surexploitation agricole et industrielle et dans certains cas la production pétrolière.

Emmanuel Macron, qui souhaite intensifier les relations avec les pays anglophones et lusophones du continent, se rendra ensuite à Luanda le 2 mars afin de lancer un partenariat de production franco-angolais en matière agricole.

Il poursuivra sa tournée à Brazzaville, au Congo, le 2 mars puis en République démocratique du Congo, les 3 et 4 mars. À Kinshasa, le déplacement sera consacré à « l'approfondissement de la relation franco-congolaise dans les domaines de l'éducation, de la santé, la recherche, la culture et de la défense », a indiqué la présidence française.

Antoine Glaser : « La France n'a pas compris la mondialisation de l'Afrique »

Un président rattrapé par les réalités du terrain

Cette tournée intervient alors que l'influence de la France est bousculée par la Russie et le groupe de mercenaires russes Wagner dans plusieurs pays d'Afrique francophone, notamment au Mali et en Centrafrique.

En juillet, Emmanuel Macron, qui veut faire de l'Afrique une des priorités de son second quinquennat, avait effectué une tournée au Cameroun, au Bénin et en Guinée-Bissau. Pointant la guerre en Ukraine, il avait alors accusé la Russie d'être « l'une des dernières puissances impériales coloniales » et de mener une nouvelle forme de « guerre hybride » dans le monde. Nombre de pays du Sud, notamment africains, soucieux de préserver leurs intérêts et considérant que cette guerre n'est pas la leur, ont refusé de prendre position sur l'offensive russe menée depuis maintenant un an en Ukraine. Il faut souligner que ces dernières années, Paris est devenu la cible privilégiée du camp russe qui n'hésite pas à faire usage de fake news.

Si lors de son premier mandat, le président Emmanuel Macron a clairement affiché sa volonté d'éviter le traditionnel pré carré français en Afrique de l'Ouest et en Afrique centrale, la donne a changé et son second mandat est marqué par un réinvestissement dans les pays autrefois boudés. L'objectif est de défendre les intérêts français, et renouer les liens politiques, économiques et sécuritaires avec ses partenaires traditionnels, eux aussi courtisés par la Chine, la Russie, la Turquie ou encore les pays du Golfe. Et il y a urgence, car au-delà de la Chine ou de la Russie, il y a aussi une compétition qui se joue entre pays européens. Le Gabon, pays de l'ancien pré carré français, a rejoint en 2022, l'organisation du Commonwealth.

En tout cas, sur place, ce voyage suscite aussi la colère d'une partie de la société civile et de l'opposition gabonaise, à six mois de l'élection présidentielle prévue fin août. Cette opposition suspecte Emmanuel Macron de vouloir apporter, via cette visite, son soutien à Ali Bongo Ondimba, au pouvoir depuis 2009 et dont la réélection en 2016 est toujours contestée. « À tort ou à raison, les Gabonais interpréteront votre arrivée dans leur pays comme l'expression du soutien de la France au régime en place, en vue de favoriser son maintien au pouvoir », peut-on lire dans une lettre datée du 10 janvier, signée par les principaux leaders de groupes d'opposition et de la société civile parmi les plus virulents contre le régime en place. Ancienne colonie française indépendante depuis 1960, cet État d'Afrique centrale de deux millions d'habitants et riche de son pétrole a longtemps constitué un pays clé pour la France sur le continent.

Le même soupçon pourrait peser sur le déplacement du chef de l'État français en République démocratique du Congo, alors qu'un scrutin présidentiel est censé s'y dérouler en décembre.

Frédéric Lejeal : « L'Afrique ne souhaite plus un tête-à-tête avec la France »

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Notre pauvre président fait du néocolonialisme incurable alors que les pays de cette Afrique Francophone ex AOF/AEF et Maghreb dont les peuples et leurs dirigeants ne veulent plus des ex colonialistes Français de l'AFRIQUE indépendante depuis + de 60 ans pour la majorité de ses pays de ce continent veulent s'assumer les derniers événements rejet de la FRANCE et son armée ont montrés qu'ils voulaient assumer leurs nouveaux choix et liberté il faut les laisser faire car ils sont libres de faire ces nouvelles expériences avec d'autres et non plus avec les anciens européens colonisateurs et leurs empires du IXX eme siècles rétrogrades !

Le président avait eu la chance de se débarrasser de ses pays et d'autres qui suivront que l'on trainait comme des boulets depuis + de 60 ans malgré leurs indépendances et sans trop de problèmes qui devenaient insolubles avec le Mali sahélien ou le Burkina Faso qui nous coutaient bien chers en finances et en hommes !

Et notre petit Mr MACRON voudrait renouer des fils qui se sont cassés logiquement car l'AFRIQUE a changé et l'Europe coloniale a tourné la page alors la FRANCE qui en a l'occasion doit la saisir car d'autres pays européens l'on déjà fait avant même ceux qui avait les plus grands empires coloniaux comme l’ANGLETERRE ALLEMAGNE BELGIQUE PORTUGAL ITALIE surtout depuis la dernière guerre mondiale pour la France il nous reste nos DOM/TOM c'est nettement suffisant !?

Qu'il s'occupe plutôt de l'UKRAINE ce serait plus utile pour notre sécurité nationale que de parler pour ne rien dire ou prendre des initiatives inutiles post africaines car maintenant il n'est pas seulement inutile il est presque incontrôlable avec ses idées de grandeurs coloniales perdues risquées !?

Ce ne serait pas si grave si la situation internationale était stable mais les Français l'ont élu et réélu en lui donnant trop de pouvoir qu'il utilise mal ce chef d'état par défaut se prenant pour un monarque qui ne sait pas où il va c'est préoccupant voire plus !?

Jdeclef 24/02/2023 12h57

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