Retraites :
LFI et sa montagne d’amendements ciblés par le gouvernement !?
Invités
dans les médias lundi matin, quatre ministres ont dénoncé « l’obstruction
systématique » des députés LFI contre leur réforme des retraites.
INCURABLES
POLITICIENS DE TOUS BORDS ELUS LAMENTABLES !?
Un projet de loi plus que jamais au cœur de ce début d'année. Le
gouvernement a haussé le ton lundi 13 février contre « l'obstruction
systématique » de LFI et demandé le retrait de ses nombreux amendements
« qui ne servent pas le débat démocratique », avant la reprise dans
l'après-midi de l'examen par l'Assemblée nationale de la réforme des retraites.
Sous la pression de la rue et des syndicats, qui agitent la menace d'une
« France à l'arrêt » le 7 mars, les débats redémarrent à
16 heures, après une première semaine au ralenti secouée par les
invectives et les accès de tension dans l'hémicycle, jusqu'à l'exclusion pour
quinze jours d'un député Insoumis pour un tweet polémique sur le ministre du
Travail Olivier Dussopt, porteur de la réforme.
Lundi matin, pas moins de quatre ministres chargés de la communication du
gouvernement sur le dossier, Bruno Le Maire, Olivier Dussopt, Gabriel Attal et
Clément Beaune sont montés au créneau dans les matinales radio et télé. Le
ministre de l'Économie s'est montré le plus virulent, en dénonçant l'attitude
de La France Insoumise, qui constitue selon lui « un obstacle au débat
démocratique sain, clair, que nos compatriotes sont en droit d'avoir sur la
réforme ». Il a réclamé sur RTL « que le plus rapidement possible,
LFI retire ses milliers d'amendements ».
Assemblée nationale : la fabrique des braillards de la
Nupes
« Nous sommes face à une obstruction systématique de la coalition
autour de La France insoumise », a renchéri sur France Info Olivier
Dussopt. Que les députés aient ou non achevé l'examen du projet de loi, les
discussions prendront fin vendredi à minuit en première lecture. Le texte
partira par la suite au Sénat.
Un « spectacle lamentable » à l'Assemblée
Les débats seront rythmés, jeudi, par une cinquième journée d'action à l'appel
de l'intersyndicale. Noyés sous les 15 800 amendements restants, les
députés atteindront-ils au moins l'article 7 sur le report de l'âge légal
de départ à 64 ans ? « Si les oppositions souhaitent que nous
puissions parler d'âge, il ne tient qu'à elles de retirer leurs amendements
d'obstruction pour que nous puissions arriver à l'article 7 », a
averti Olivier Dussopt.
Réforme des retraites : l'imposture des ennemis de la
capitalisation
« Si vous retirez tous vos amendements bidon, nous allons pouvoir aller
à l'article 7 qui est fondamental et qui préoccupe les Français », a
lancé de son côté France Inter le vice-président RN de l'Assemblée Sébastien
Chenu.
C'est aussi ce que réclament en chœur les syndicats. Dimanche, le secrétaire
général de la CFDT Laurent Berger a dénoncé sur RTL la « connerie »
de l'obstruction, visant La France insoumise à l'origine de la majorité des
amendements déposés. Il a aussi déploré le « spectacle lamentable » à
l'Assemblée, qui n'a « rien à voir avec la dignité du mouvement de la
rue ». « Nous souhaitons qu'il y ait un vote sur l'article 7 »,
a abondé lundi sur BFMTV le patron de la CGT Philippe Martinez, afin que
« chaque député puisse s'exprimer » sur l'allongement à 64 ans.
Retraites : pourquoi le pouvoir ne craint pas la rue
Côté mobilisation, la manifestation de samedi, plus familiale, a attiré entre
963 000 et 2,5 millions de manifestants selon les sources, et
conforte l'intersyndicale dans sa stratégie. Après la nouvelle journée d'action
jeudi, elle agite le spectre, si le gouvernement et le Parlement devaient
rester « sourds » aux revendications, d'une « France à
l'arrêt » le 7 mars, après les vacances scolaires.
Coignard – Manifestations : le mirage de 1984
La macronie rassurée par ses forces dans l'hémicycle
« Paralyser et bloquer le pays, ce serait contre-productif », a
réagi la présidente des députés Renaissance Aurore Bergé sur BFMTV dimanche. Le
porte-parole du gouvernement Olivier Véran a répété la ligne de l'exécutif
dimanche : « nécessité » du report de l'âge légal à 64 ans
et « écoute » pour renforcer le dispositif « index sénior »
durant les débats parlementaires, afin de pousser les entreprises à garder les
plus de 55 ans dans l'emploi.
Retraites : la preuve par les chiffres que
le système est un gouffre
C'est justement sur l'emploi des salariés âgés que les députés reprendront
leurs travaux lundi, avec une rafale d'amendements dans tous les camps. La
coalition Nupes compte ensuite défendre ses pistes de « financements
alternatifs » pour les retraites, avec un nouvel appel à taxer les
« superprofits » des plus grandes entreprises, un débat récurrent à
l'Assemblée depuis l'été.
Réforme des retraites : « Les Français sont en
majorité satisfaits de leur travail »
Le camp présidentiel ne dispose que d'une majorité relative à l'Assemblée,
mais les premiers votes ont plutôt rassuré les macronistes sur les forces en
présence dans l'hémicycle. La gauche mise sur l'endurance de la rue pour tenir
tête au gouvernement. Samedi soir sur son blog, le leader LFI Jean-Luc
Mélenchon a proposé aux syndicats, « une nouvelle convergence » avec
« un appel à un rassemblement un samedi ou dimanche de mars pour entourer
en masse l'action ».
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De grands malades ces (certains) Français
lambda déjà dédaignés par notre président parvenu pas de leur monde qui
s'ignorent à l'image de leur vieil excité leader JL MELENCHON aboyeur de foire
patenté incurable mauvais perdant qui entraine ces fauteurs de troubles dans
des démarches stériles !?
Car faire de l'obstruction systématique style
amendements stupides voire loufoques ne permet pas la discussion voire améliorer
cette réforme des retraites pour les futurs retraités que le gouvernement de
Mme BORDE fera néanmoins passer en force avec ses outils ultimes 49/3 47/1 etc ?!
Sauf à faire tomber ce gouvernement ce qui
n'avancera pas à grand-chose sauf à perdre du temps précieux pour le pays qui
n'en n'a pas besoin quand on voit comment les Français qui votent si mal ne
sachant qui choisir pour les gouverner !?
Mais là c'est trop tard car le président est là
jusqu'en 2027 mais les Français l'ont réélu car ils ont raté le coche du
changement qu'ils réclament depuis 40 ans et avec les crises internationales
que notre pays et les Français subissent de plus en plus au fil du temps qui
passe !?
On est mal partis car les Français semble bien être
des naïfs incurables ingouvernables et cela s'est amplifiés depuis des décennies
de quinquennats de cette Veme république monarchique usée à laquelle ils ont
mis à la tête de celle-ci ce président avec trop de pouvoir qu'il utilise mal
(et quand il l'utilise...?!)
Moi qui suis âgé je n’espère plus rien mais j’ai
vu évoluer notre société française depuis de Gaulle et cela devient presque
effrayant cette dégringolade !?
Jdeclef 13/02/2023 15h21
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