Coignard – « Bon sens » : la récidive du gouvernement !?
A VOULOIR SOIGNER TOUTES LES PLAIES DE NOTRE SOCIETE
FRANCAISE ON NE FAIT RIEN D’UTILE QUELQUE SOIT LES DOMAINES ET NOS DIRIGEANTS
SE SOULENT DE LEURS DISCOURS CREUX INUTILES ?!
CHRONIQUE.
Après Emmanuel Macron et tant d’autres, le ministre de la Santé François Braun
lance un appel au « bon sens ». Un vocabulaire à haut risque ?!
Et on parle de risque pour
nos dirigeants et son gouvernement plutôt un concours monstrueux d’HYPOCRISIE au
plus haut niveau de notre état de France mal gouverné et mal protégé !?
Et le peuple Français
les élit et réélit va comprendre la naïveté de ceux-ci dans cette mission
impossible !?
Pendant des décennies, une célèbre banque française a eu pour slogan « Le
bon sens près de chez vous ». Proximité, connivence, évidence… le message
avait tout pour plaire. Dans le faux plat que connaît le débat sur le régime
des retraites, Emmanuel Macron a repris ce bon vieil argument, lors de sa visite
très matinale à Rungis, le 20 février. Le président a dit compter sur
« le bon sens » des « gens », qui « savent dans
l'ensemble qu'il faut travailler un peu plus longtemps ». Le « bon
sens », toutefois, en politique, c'est la cartouche ultime, celle que l'on
sort quand on a tout essayé, en vain. D'ailleurs, la riposte ne s'est pas fait
attendre. Les oppositions, chacune à se manière, ont eu beau jeu de répliquer qu'au
nom du « bon sens », une majorité de Français se montrait opposée à
cette réforme.
Le succès pour le moins mitigé remporté par la formule n'a pas dissuadé le ministre
de la Santé, François Braun, de l'utiliser à nouveau ce lundi sur France Inter.
Les syndicats de médecins refusent les propositions de l'Assurance maladie
concernant l'augmentation de leurs tarifs de consultation ? « Il n'y
aura pas d'accord d'ici à demain soir, c'est à peu près certain, même si je
veux toujours croire au bon sens », a-t-il déclaré. Là encore, cette
croyance peut ressembler à un aveu d'impuissance. Pas de démonstration, pas
d'effort de conviction, mais une bonne dose de fatalisme, et l'affirmation qu'une
seule voie est possible, celle que devrait emprunter toute personne
« sensée ».
Une recette verbale souvent mitonnée
Cette recette verbale, en vérité, a déjà été mitonnée à maintes reprises,
mais dans des circonstances où elle n'a pas créé de remous. Le 8 juillet
2020, dans son discours de politique générale, le tout nouveau Premier
ministre Jean Castex avait voulu s'exprimer au nom de la « France du
bon sens », qui « ne dit rien mais n'en pense pas moins », celle
des « territoires », avec laquelle le président n'a jamais su être en
phase. Le « bon sens » était aussi convoqué par Élisabeth Borne,
alors ministre du Travail, en octobre 2020, alors que montait la deuxième
vague de Covid-19 : « Ceux qui peuvent télétravailler doivent le
faire, c'est une mesure de bon sens. »
Élisabeth Borne,
une Première ministre du troisième typeQuelque temps plus
tard, le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin ironisait dans une interview à
L'Express : « J'aime beaucoup les enquêtes de victimation et
les experts médiatiques, mais je préfère le bon sens du boucher-charcutier de
Tourcoing. » Il s'agissait de rabrouer les experts affirmant que la
délinquance stagnait, et surtout de s'affirmer en homme de terrain, proche de
ses administrés. Au printemps 2022, alors que le nouveau protocole sanitaire en
vigueur à l'Éducation nationale suscitait un certain scepticisme de la part des
enseignants, Gabriel Attal, alors porte-parole du gouvernement avait lui aussi
défendu des mesures « de bon sens ».
L'expression mériterait de ne pas être utilisée à tort et à travers. Quand
elle concerne une disposition pratique telle que le télétravail en période
d'épidémie, elle ne prête pas à polémique. Il n'en va pas de même pour clore un
débat agité sur des sujets complexes, telles la réforme des retraites ou la
juste rémunération des médecins.
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Tout comme les Français lambda l'ont
perdu depuis longtemps ce soi-disant bon sens car tout le monde ne cultive que
le chacun pour soi et la versatilité dévastatrice pilotée par l'argent roi et
le confort des pays encore libres et démocratiques ou les peuples ne regardent
que leurs nombrils car encore trop gâtés naïfs dont les plus malins mais
malfaisants comme ce dictateur russe Poutine qui essaie de diviser pour régner
vieille recette qui a fait ses preuves dans nos histoires anciennes Européennes
devenues mondiales !?
Alors certains plus dangereux mais se
croyant plus malin défaut d’orgueil mal placé de l’espèce humaine et leur
bienpensante hypocrite de donneurs de leçons qu’ils n’appliquent pas à
eux-mêmes et qui nous ont mis sur le dos des guerres dont une devenue mondiale
en 1939/45 pour faire le ménage chez les hommes de tous bords et leurs
idéologies bornées et malgré les leçons qu’ils n’ont pas retenues car les
peuples ont souvent la mémoire courte et donc ils oublient leurs passés en fait
pas glorieux montrant l’immense bêtise humaine malgré et cela n’a pas trainé
seulement 34 ans après la cerise sur le gâteau empoisonné de cette guerre dite
froide et la fin de l’ex-URRS (sans oublier de multiples guerres annexes avec
en plus l’alibi de lutter contre le terrorisme islamique fantôme toujours
présent !?)
On peut seulement espérer que ces
dictateurs hyper dangereux ne se serviront pas de leurs menaces nucléaires car
ils prendraient le risque de s’auto détruire eux même car cette dernière guerre
Russo Ukrainienne risque d’être longue comme les autres mondiales ou nous ont
promis nos dirigeants qui ne nous protègent pas assez (5 ans en moyenne
jusqu’en 2027 coïncidence avec la fin du 2eme quinquennat macronien non
renouvelable!?)
Donc cela se résume à vivre et laisser
mourir pas de quoi être fier pour nos dirigeants de tous bords à l'abri du
besoin profiteurs !?
Jdeclef 28/02/2023 11h16LP
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