jeudi 16 février 2023

Avec les médiocres politiciens de tous bords et nos dirigeants irresponsables qui nous gouvernent si mal ont en est réduit à vivre au jour le jour sans garantie de securité dans notre monde instable ou s’en remettre à la providence !?

 

Guerre en Ukraine : le pire est-il à venir ?

Notre spécialiste des questions militaires présente huit scénarios possibles pour l’an II du conflit, de la victoire de la Russie à la guerre mondiale.

A NE PAS VOULOIR REGARDER LA VERITE EN FACE EN PRATIQUANT LA POLITIQUE DE L’AUTRUCHE SANS REAGIR ON COURE A NOTRE PERTE AVEC LES MALHEURS ASSURES DÉJÀ À NOS PORTES A CAUSE DE FOUS DERANGES QUI DESTABILISENT NOTRE MONDE DÉJÀ MALADE ET SES PEUPLES POURTANT ENCORE LIBRES MAIS POUR COMBIEN DE TEMPS QUI SE CANTONNENT DANS LEURS PETITS CONFORTS ETRIQUES D’ENFANTS GATES !?

La guerre n'a jamais été une science exacte. Un an après le début de celle qu'a engagée la Russie contre l'Ukraine, huit ans après le soutien militaire apporté aux séparatistes du Donbass et la conquête de la Crimée réussie pratiquement sans aucun combat ni aucune réaction internationale autre que symbolique, les positions évoluent peu. Quelle sera la suite du conflit, qui entre le 24 février dans sa deuxième année ? Certains éléments plaident pour une accentuation de l'offensive russe, d'autres laissent entendre que les Ukrainiens pourraient à leur tour tenter une reconquête des territoires perdus… Leurs alliés avancent prudemment et communiquent sur un appui qui devra changer de dimension pour faire basculer le sort des armes, au risque de voir les opinions publiques occidentales se lasser. Vladimir Poutine n'a pas renoncé à soumettre l'ensemble du territoire de son adversaire. Fort de l'héroïsme de son peuple et du courage de son armée, Volodymyr Zelensky incarne la résistance à l'oppression, mais les 40 millions d'Ukrainiens pourront-ils tenir face à 140 millions de Russes privés de libertés et chauffés à blanc par leur tyran 

SCÉNARIO 1 La victoire russe (atteinte des buts de guerre de Poutine)

Pour Vladimir Poutine, tenir la Russie d'une main de fer n'est pas une option. La réussite de son plan de conquête en dépend, et tout particulièrement sa capacité à mobiliser des centaines de milliers d'hommes. La pire hypothèse pour les Ukrainiens en particulier et les Européens en général, en sus de la quarantaine de pays, États-Unis en tête, qui apportent une aide à Kiev, serait que le scénario écrit par Poutine aille jusqu'à son point final. Il n'a pas précisé publiquement les objectifs de cette guerre, qu'il a décidée seul. Mais, au fil de ses discours, il a tout de même défini son objectif. En lançant la guerre, le 24 février 2022, il a déclaré : « J'ai pris la décision d'une opération militaire spéciale de démilitarisation et de dénazification de l'Ukraine pour que, libérés de cette oppression, les Ukrainiens puissent librement choisir leur avenir. » Il précisait, le 30 septembre 2022 : « Nous ferons tout pour garantir la sécurité de nos peuples » et obtenir la victoire de « la grande Russie historique », ajoutant : « La nation ukrainienne n'existe pas. »

Un an après le début de sa tentative de mise en œuvre, le scénario qu'il avait écrit seul ne s'est pas réalisé. Mal entraînée, mal équipée, mal commandée, tactiquement défaillante, l'armée russe a jusqu'à présent échoué à soumettre Kiev. Y parviendra-t-elle finalement ? Les difficultés qu'elle rencontre dans l'offensive meurtrière engagée pour pousser son avantage à l'ouest du Donbass montrent que le prix à payer est très élevé. Pour vaincre, la Russie possède des atouts : son énorme profondeur stratégique, sa colossale base industrielle toujours davantage mise à contribution, son mépris pour la vie de ses propres soldats envoyés au carnage, son recours éhonté aux frappes contre les infrastructures civiles (qui relèvent des crimes de guerre), sa possession d'armes à très longue portée susceptibles de frapper l'ensemble du territoire adverse. Tout cela peut-il l'aider à réussir une offensive massive malgré les faiblesses structurelles manifestées aux yeux de tous depuis un an ? Les innombrables experts disséquant l'avenir de cette guerre échafaudent des hypothèses contradictoires, pronostiquant une attaque via la Biélorussie, de nouveaux assauts vers le sud du pays, etc. La vérité est que personne n'en sait rien, puisque personne ne se trouve dans la tête de Poutine.

Symbole. Les soldats des forces Azov tiennent les positions ukrainiennes à Bakhmout, dans l’est du pays, en février 2023.

Le dilemme de Bakhmout

La situation des forces ukrainiennes à Bakhmout est désespérée et le nombre de morts excède ce que l'état-major a connu depuis le début de l'invasion. « À quoi bon continuer à défendre cette ville d'une faible valeur stratégique ? » s'interroge un commandant de brigade. Mais l'état-major a conscience de l'importance symbolique de cette bataille. Un conseiller du ministre ukrainien de la Défense résume l'état d'esprit à Kiev : « Nous n'offrirons pas Bakhmout en cadeau à Poutine. » Boris Mabillard

Scénario 2 La victoire ukrainienne (reconquête de tout le territoire, y compris de la Crimée)

L'Ukraine n'affiche qu'un seul objectif : la reconquête de l'ensemble du territoire occupé par la Russie, soit quelque 16,4 % du territoire national à ce jour, y compris la Crimée conquise en 2014. Au plus fort de la guerre de conquête il y a un an, pratiquement le quart (24,4 %) du territoire ukrainien se trouvait sous la férule russe. En août 2022, Volodymyr Zelensky déclarait de la façon la plus nette : « La guerre en Ukraine a commencé avec la Crimée et doit se terminer avec sa libération. » Son état-major est sur la même position : « Notre objectif est de libérer l'ensemble du territoire. Les soldats n'accepteront aucune négociation, aucune solution de compromis. » Le sabotage en octobre 2022 du pont de Kertch, qui relie la Crimée à la Russie, semble prouver que Kiev n'a pas renoncé à la péninsule.

Ce scénario est-il réaliste ? En d'autres termes : les forces ukrainiennes sont-elles en mesure, avec leurs seuls moyens nationaux, de reprendre le territoire perdu ? Dans l'état actuel du rapport de forces, cet espoir apparaît peu réaliste. Le chef d'état-major des armées américaines, le général Mark Milley, l'a exprimé de façon à ne pas heurter Kiev : à ses yeux, il est possible « pour les Ukrainiens de mener une offensive significative afin de libérer le plus possible de territoires. Cela dépendra des livraisons d'équipements, et des entraînements. […] Mais cela sera très, très difficile ». Bouter les Russes hors d'Ukraine exigerait d'autres moyens que ceux qu'octroient l'Otan et les autres alliés. Et surtout, une volonté politique que ces derniers ne manifestent pas.

Que l'Ukraine affiche cette ambition et contraigne Moscou à engager des moyens humains et matériels lourds pour défendre la Crimée, c'est une chose. Mais, sur ce point, on ne doit pas attendre de Joe Biden un engagement autre que verbal, à l'image de ce qu'il déclarait le 26 février 2021, quelques jours après son entrée à la Maison-Blanche : « La Crimée, c'est l'Ukraine. Les États-Unis ne reconnaissent pas et ne reconnaîtront jamais son annexion. » Cette position demeure inchangée, et Washington ne voit pas d'inconvénient à ce que Kiev agite le chiffon rouge. Mais que se passerait-il si les Ukrainiens tentaient vraiment de reprendre la péninsule de 27 000 kilomètres carrés ? Pour un officier général français de premier plan, dont les propos n'engagent certes que lui, « la Crimée est la vraie ligne rouge de Poutine, à mes yeux la seule option qui le conduirait en cas de danger à utiliser l'arme nucléaire tactique ». Mais ce scénario demeure la principale motivation des Ukrainiens en même temps qu'une obsession légitime. Qui oserait les en blâmer ?

Scénario 3 Le blocage sur une ligne de front 

Dans les jours qui avaient suivi le début de la guerre, le géographe et diplomate français Michel Foucher expliquait : « Les Russes n'ont rien à faire de la partie de l'Ukraine située à l'ouest de Dniepr. Ce qui les intéresse vivement, en revanche, ce sont les villes industrielles et le littoral de la mer Noire [Le Point, 3 mars 2022]. » Le 20 janvier 2023, à l'issue d'une conférence des alliés de l'Otan sur la base de Ramstein (Allemagne), le général américain Milley n'a pas caché son scepticisme : « D'un point de vue militaire, je maintiens qu'il sera très difficile d'expulser les forces russes de toutes les zones d'Ukraine occupées. » Le général pourrait bien avoir en tête l'idée du statu quo. Dans ce scénario, la guerre se figerait après une négociation et la conclusion d'un armistice. Mais les positions de l'agresseur et de sa victime sont tranchées et ne laissent pas paraître la moindre volonté de transaction. Pour Moscou, l'acquisition illégale de la partie orientale de l'Ukraine et de la Crimée n'est pas négociable. Et, pour l'Ukraine, leur récupération ne l'est pas non plus. Dans cette hypothèse de « non-accord », les belligérants pourraient se retrouver ad vitam aeternam dans une relation à la coréenne, sans traité de paix mais sans guerre non plus. Jusqu'à la prochaine explosion.

Scénario 4 L'Europe lâche prise 

Les déclarations, tout comme les actes concrets, l'attestent : les dirigeants européens, y compris les Britanniques, sont très engagés en faveur de l'Ukraine, conscients que c'est aussi la sécurité du continent et la crédibilité de l'Otan qui sont en jeu. Néanmoins, dans toutes les démocraties européennes, des voix se font entendre pour mettre en avant les coûts et les autres inconvénients de la guerre. Le soutien militaire n'est pas gratuit ; le conflit a eu des effets sur les prix de l'énergie et sur l'inflation ; l'agitation de l'arme nucléaire par Vladimir Poutine attise les peurs. Pour l'instant, au sein de l'Union européenne, seule la Hongrie s'est plus ou moins alignée sur Moscou, tandis que les autres républiques d'Europe centrale, autrefois vassales du Kremlin, comptent parmi les plus précieux soutiens de l'Ukraine. Mais un retournement des opinions publiques n'est pas un scénario invraisemblable, et les dirigeants des démocraties en sont conscients. Les Ukrainiens aussi !

Scénario 5 Les États-Unis lâchent prise 

Le président républicain de la Chambre des représentants, Kevin McCarthy, avait appelé durant la campagne des élections de mi-mandat en 2022 à une réduction de l'aide américaine à l'Ukraine, réclamant qu'elle soit davantage supervisée par le Congrès. « Nous sommes en récession, et les gens ne sont pas prêts à signer un chèque en blanc à l'Ukraine », avait-il dit. Aujourd'hui, les proches de Donald Trump entrent dans la danse. Le sénateur de l'Ohio J.D. Vance, le plus actif d'entre eux, déclarait avant même que la guerre ne commence : « Je ne m'intéresse pas vraiment à ce qui arrive à l'Ukraine, d'une façon ou d'une autre. » Ajoutant depuis que l'envoi de chars lourds M1 Abrams à Kiev par Washington, « au bout du compte, ne sert pas l'intérêt de notre sécurité nationale ». Ce trumpiste engagé sur la ligne Maga (« Make America Great Again ») appelle de ses vœux un retour aux affaire de l'ex-président. Avec 35 autres parlementaires, il réclame aujourd'hui que l'aide accordée à Kiev soit rendue publique dans tous ses détails. Ces prises de position sont à lire dans la perspective de la désignation du candidat républicain à la présidentielle de l'an prochain. Dans la perspective d'une guerre longue en Ukraine, elles confirment une érosion du soutien à la politique d'aide mise en œuvre par Joe Biden. En décembre 2022, le cercle de réflexion Chicago Council on Global Affairs notait que 48 % des sondés approuvaient la poursuite de l'aide à l'Ukraine tant que cela serait nécessaire, soit un recul de 10 points en six mois. L'opinion américaine demeure travaillée par l'un des partisans déclarés de Vladimir Poutine aux États-Unis, l'animateur de la chaîne Fox News Tucker Carlson. Celui-ci estimait voilà un an, alors que les colonnes de chars russes filaient vers Kiev : « On ne le dira jamais assez, l'Ukraine n'est pas une démocratie… Pour s'en tenir aux normes américaines, l'Ukraine est une tyrannie. » À ce stade, l'appui américain, essentiel, demeure solide. Mais que se passera-t-il après les élections de l'an prochain ?

Scénario 6 L'aide occidentale s'intensifie 

Depuis le début de la guerre, les « Occidentaux », autrement dit les États-Unis, les Européens, membres de l'Otan ou pas, et des pays alliés d'autres continents (Australie, Japon, etc.) livrent à l'Ukraine des armements létaux (blindés, munitions) lui permettant de se défendre. Beaucoup plus discrètement, voire secrètement, ils fournissent des moyens non létaux : renseignement, imagerie satellitaire, outils de communication (accès au réseau Starlink, par exemple), moyens d'attaque et de défense cyber. Le fait est que, si l'ensemble de ces moyens a contribué à bloquer puis à repousser l'avancée russe, il ne s'est pas montré, à ce jour, susceptible de permettre aux Ukrainiens de repousser l'ennemi russe hors des frontières reconnues. À cor et à cri, Volodymyr Zelensky réclame davantage d'armements lourds, au-delà des vieux fonds de hangar promis par les alliés en matière de chars ou d'avions de combat. Pour l'instant, il ne peut espérer rien de plus, ses alliés craignant qu'ils ne lui permettent d'atteindre son ennemi sur le sol russe. Le scénario d'un soutien occidental assez massif pour donner à l'Ukraine les capacités de retrouver sa totale souveraineté n'est pas à l'ordre du jour. Faire basculer le sort des armes en faveur des Ukrainiens exigerait que les pays alliés dépêchent massivement sur leur sol des troupes, des armes terrestres et aériennes et leur lourd accompagnement, et utilisent les missiles conventionnels de leurs marines. C'est, dans un avenir prévisible, inenvisageable.

Scénario 7 La Russie déstabilise l'Occident 

Agissant au vu et au su du monde comme un État terroriste, au sens propre du terme, frappant sans discernement des populations civiles ukrainiennes non impliquées dans le conflit, multipliant les crimes de guerre et les crimes contre l'humanité, tous documentés, la Russie pourrait être tentée de déstabiliser ses adversaires occidentaux. Il lui suffirait de reprendre les pires méthodes du temps de la guerre froide, quand elle manipulait à distance des groupes terroristes via ses services secrets ou des dictatures moyen-orientales inféodées. Aujourd'hui, Moscou pourrait s'appuyer sur l'Iran (qui lui livre déjà massivement des drones militaires), mais aussi sur des groupes comme le Hezbollah ou les milices du groupe Wagner présentes dans plusieurs pays africains et en Syrie. Poutine a fait des assassinats politiques, dans son pays ou ailleurs, l'une de ses méthodes de gouvernement. Il a les moyens d'organiser une guerre secrète contre les démocraties européennes.

Scénario 8 Le conflit embrase la planète 

N'agitons pas le scénario du pire, celui de la troisième guerre mondiale. Mais c'est celui auquel pense de manière explicite le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, quand il déclare le 6 février 2023 : « Les perspectives de paix ne cessent de se réduire. Les risques d'une escalade et d'un carnage supplémentaires ne cessent d'augmenter. […] Je crains que le monde ne soit pas en train d'avancer en dormant comme un somnambule vers une guerre plus large mais qu'il le fasse en fait les yeux grands ouverts. » Sans y croire vraiment, tout le monde cauchemarde et certains s'y préparent, par exemple quand l'Otan dépêche des troupes en soutien aux pays Baltes ou à la Roumanie. Car c'est précisément dans ces pays proches de la Russie et de l'Ukraine que le conflit risque de dégénérer.

Les armes emblématiques du conflit

Chars et antichars

Artillerie

Drones

Batteries antiaériennes

Les armes qui pourraient faire la différence

 

Aviations

MAIS EN OUBLIANT PAS L’ULTIME LA BOMBE ATOMIQUE RECIPROQUE POUR CEUX QUI LA POSSEDENT ET LES AUTRES QUI LA SUBISSENT CE QUI NE CHANGE PAS GRAND-CHOSE EN FAIT !?

ET QUI REPRESENTE LA FOLIE DE L’ESPECE HUMAINE !?

L’Ukraine va recevoir des dizaines de chars lourds Leopard 2 promis par divers pays européens. Attendus au printemps, il seront probablement précédés par des Leopard 1, plus anciens, et complétés par une poignée de Challenger 2 britanniques, d’Abrams américains et de chars légers AMX-10 RC français. Si les Occidentaux le décident, des avions de chasse pourraient aussi être livrés. 

Côté russe, le char lourd ultramoderne T-14 Armata pourrait faire son apparition sur le front, tout comme le chasseur bombardier furtif Soukhoï 57, capable de narguer les batteries de missiles Patriot. Poutine pourrait aussi franchir un palier en tirant des armes nucléaires tactiques, ces « mini » bombes atomiques portées par exemple par des missiles Iskander-M, et destinées à raser une base ou une colonne blindée mais pas une ville entière§ Guerric poncet

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Peu importe les scenarios ou matériels militaires énumérés dans ce catalogue mortifère ils sont là pour nous détruire ennemis ou amis de selon les camps ou on est politiquement ou en faisant partie depuis bien avant ce qui est très inquiétant et pourtant cette guerre alibi ukrainienne pour un dictateur éminemment dangereux belliqueux fat qui veut détruire  les occidentaux et ses alliés qui ne veulent par se débarrasser radicalement de cet individu ou qui ne peuvent pas ce qui est faux car toujours possible puisqu'il n'y a pas d'autres solution car lui n'écoutant aucun palabre des autre pays ne privilégiant que la guerre et la Force à outrance !?

Le plus désespérant par cette guerre ukrainienne dont la date anniversaire est d’un an à 8 jours près n’a rien compris de la par de nos dirigeants qui nous gouvernent si mal et ne nous protègent pas assez que nous avons élus et réélus en France et même ailleurs dans les pays libres démocratiques occidentaux et outre atlantique USA qui on subit déjà pour les Européens 2 guerres dont une mondiale associées à une guerre froide en moins de 34 ans sans compter celles annexes diverses moyen orientales ou autres africaines !?

Le pire étant l’apathie des peuples et surtout des Français lambda entre autres qui ne croient pas à cette 3e me guerre prochaine car on y est déjà par procuration en cours virtuellement ou on souffre des crises induites à cause de celle-ci !

Pendant ce temps-là nos députés élus par nous Français se crêpe le chignon comme des trublions mal élevés dans notre parlement pour une énième réformes des retraites que peut être personne ne verra se faire et surtout en profitera !?

Moi qui suis âgé j'espère pouvoir faire un voyage en ITALIE que j'avais programmé en 2019 avec ma fille remis à fin mai 2023 qui est ma seule famille car déjà remis 2 fois notamment à cause de la COVID pour contre carré le mauvais sort de notre monde instable si malade je peux toujours rêver..?!

Jdeclef 16/02/2023 12h32LP

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