jeudi 31 août 2023

(Ai confiance disait le serpent kaa dans le roman du livre de la jungle de RUDYARD KIPLING) sauf que notre président bavarde avec sa langue bien pendue pour rouler ou endormir les Français si bon public incurables naïfs !?

 


Sommet avec les partis : le bon (ou mauvais coup) d’Emmanuel Macron !?

Il y avait tout à craindre que « l’initiative politique d’ampleur » annoncée par le chef de l’État tourne au fiasco face à des oppositions très remontées. Sur la forme, tout du moins, il n’en a rien été.

CETTE « INITIATIVE D’AMPLEUR » N’EST QU’UN DISCOURS OU REUNION FUMEUSE DE PLUS QUI PLAIT TANT A NOTRE PRESIDENT ET A UN CERTAIN PUBLIC DE FRANCAIS SI NAIFS !?

Après les grands débats, post gilet jaunes et manifestations importantes de colères des Français et ses fameux 100 jours fiasco, CNR et peut être des fumeux préférendum, car ce spectacle usé de cette Veme république continue, car il est inventif notre président pour gagner du temps avec les bavardages inutiles improductifs car lui permettant de cultiver sa procrastination pathologique qui l’empêche de décider ce qui est une tare pour un président dont c’est le travail et par trop de pouvoir qu’il utilise rarement et mal  que lui ont donné les Français !?

Incroyable ! On s'attendait à ce que les portes claquent, quelques minutes seulement après le début de la rencontre de Saint-Denis. On s'attendait au départ bruyant d'un, ou de plusieurs, participants dès les premiers échanges, mettant un terme rapide au consensus éperdument recherché par le président de la République. Il faut dire que l'« initiative politique d'ampleur » d'Emmanuel Macron, unique sous la Ve République, avait recueilli chez ceux auxquels elle s'adressait un succès plus que mitigé.

Onze chefs de parti, la Première ministre, le président du Sénat et celle de l'Assemblée nationale, littéralement enfermés dans la vieille école de la Légion d'honneur – comme un hommage au général Georgelin, mort il y a quelques jours, qui l'avait remis à neuf, faute d'avoir eu le temps de reconstruire Notre-Dame – sans collaborateur, sans chargé de mission, plus surprenant encore : sans téléphone portable, ont été ainsi pris en otage, ou presque, dans le but, sorti tout juste de l'imagination fertile du président de la République, d'organiser une « discussion franche », « à bâtons rompus » entre l'ensemble des dirigeants politiques français.
« Conférence sociale », référendums : ce qu'il faut retenir du sommet entre Macron et les partisPour une coalition ? Non, cela, personne n'aurait pu y croire une seule seconde. Mais bien, plutôt, pour tenter de dégager des consensus ponctuels, y compris avec les deux formations radicales, la Nupes et le Rassemblement national, qui ont été ainsi, finalement, plus ou moins admis dans ce que les proches du président avaient appelé « l'arc républicain ».

De l'incrédulité…

La démarche présidentielle s'était d'abord heurtée à une sorte d'incrédulité, d'ironie plus ou moins acerbe : qu'avait-il encore inventé là, Emmanuel Macron ? Après le tour de France du « grand débat », consécutif aux révoltes des Gilets jaunes, il annonçait une « initiative politique d'ampleur », preuve qu'il aurait tout essayé, décidément, pour rétablir un dialogue entre ceux qui ne se parlent plus, ou de moins en moins, depuis six ans.

De la « com », simplement, de la poudre aux yeux ? Mais comment dire « non », même si on revendique son appartenance à l'opposition, quand on vous tend la main ? Et surtout, comment dire « non » devant tous les Français ? Ceux-ci, habitués aux joutes grotesques de parlementaires déchaînés, n'auraient sans doute pas compris le refus de tenter, sinon une réconciliation, du moins une rencontre entre gens qui, après tout, ont en charge le pays, chacun à la place que leur ont donnée les électeurs.

Toujours est-il qu'à minuit, au bout de huit heures, plateau-repas compris, les onze étaient toujours là, les président et présidente des Assemblées aussi, ainsi que la Première ministre. Les échanges se sont même prolongés jusqu'à 3 heures du matin. Sans avoir bousculé la bienséance ni créé de désordre irrémédiable. Il serait bien sûr impossible d'en conclure que le président de la République a gagné son pari de concorde nationale. Mais enfin, son initiative n'a pas tourné court dès les premiers instants, tout ce beau monde n'est pas resté silencieux pendant de si longues heures, même si l'on sait qu'Emmanuel Macron a tendance à parler longuement.

… à l'espoir ?

Sans conclure que tout va désormais pour le mieux dans le meilleur des mondes, on peut néanmoins avoir une petite lueur d'espérance à l'idée que, tout de même, ces élus qui se détestent, et dont certains manifestent parfois leur détestation du président de la République, ont quelque chose en commun : ils savent qu'ils sont tous, à leur manière, concernés par le délabrement de la société française.
 

Le sondage rendu public mercredi par l'institut Elabe tombe à pic : il montre que les Français ont été surtout marqués par les récentes émeutes urbaines, dont la violence et la soudaineté ont troublé, au-delà de l'Élysée, tous les états-majors politiques. Que le maintien de l'inflation à un niveau élevé les inquiète, et pour certains d'entre eux, les désespère. Que le discours politique, où qu'il soit prononcé, et par qui, ne passe plus. C'est assez, sans doute, pour que chacun des leaders politiques présents à Saint-Denis ait fait, oh, juste un tout petit peu au moins, son examen de conscience. Si la France devient véritablement ingouvernable, elle le sera aussi pour tous les possibles successeurs d'Emmanuel Macron, qu'ils se situent, ou pas, au beau milieu de l'arc républicain.

Les 5 points clés de notre grande explication avec Emmanuel MacronAprès tout, Macron ne devrait plus poser de problème à ses adversaires : il n'est pas rééligible. Il lui reste assez de temps, en revanche, pour permettre à chacun des onze dirigeants politiques, enfermés presque une nuit durant à l'école de la Légion d'honneur, de s'organiser pour préparer sa succession. Qu'ils le fassent donc, sans oublier que les recettes miracles n'existent pas, et que les Français seront avec eux au moins aussi sévères qu'avec leurs prédécesseurs.

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Le président à fait fort en esbrouffe pour sa prestation théâtrale réservée aux seuls partis politiques devenus insipides et inutiles en leur enlevant même leurs téléphones pour éviter les fuites dans les médias qui auraient peut-être mal interprété ses propos tout en ayant piégé pendant avec tout de même un vrai repas ces chefs de partis et consorts pendant plusieurs heures les soulant de paroles ce qu’il sait le mieux faire en s’écoutant parler !?

(Pourtant quand on n’a rien à dire de nouveau on la ferme mais lui çà il ne sait pas faire préférant continuer à se moquer des Français lambda qu’il dédaigne)

Car quand on laisse les médias à la porte on supprime de fait les critiques qui seront de toutes façons interprétées de différentes façons selon les étiquettes politiques des participants et quand on enlève en le mettant de côté les tels portables aux invités ?!

On suppose qu’Il a d’ailleurs été étonné de la bonne tenue de ses invités et même après à la sortie tardive de cette réunion genre pétard mouillé qui a fait pschitt avec les journalistes restés sur leur fin

Ce président hyper bavard procrastinateur soule les Français depuis 2017 et pire depuis sa réélection qui le mène jusqu’à 2027 en continuant à se moquer d’eux car (« franc comme un âne qui recule » qu’il excuse ma grivoiserie) car comme de la classe politique et de l’opposition qui en arrive à se contenter de cette échéance comme les Français qui ne vont même plus voter car le trop c’est trop !?

Le plus étonnant c’est les Français qui acceptent çà depuis qu’ils subissent nos dirigeants passés de cette Veme république devenue monarchique mais lui se comporte vraiment comme un monarque de l’ancien régime et tient le haut du panier de ces dirigeants qui ne pensent qu’à eux avec leurs avantages et privilèges qui pourtant lui ne peut être réélu (bien que va savoir avec des Français qui avalent tout !?)

Jdeclef 31/08/2023 11h56LP

Parlons de notre histoire par pitié pas de religions quel qu'elles soient qui abêtissent les peuples et qui les rendent mauvais !?

 

L’abaya privée d’école : la fin de l’ambiguïté !?

Dans les collèges et lycées, l’interdiction de ces robes longues traditionnelles annoncée par le ministre de l’Éducation nationale, Gabriel Attal, soulage.

OUI C’EST BIEN MAIS IL FAUT APPLIQUER SEVEREMENT LES LOIS EXISTANTES CONTRE TOUTES FORMES DE PROSELYTISME ET PRECHEUR RELIGIEUX QUEL QU’ILS SOIENT ET TOUTE ATTEINTE A LA LAICITE FRANCAISE CAR NOTRE PAYS EST LA CIBLE DE TROP DE MALFAISANTS ANTI-FRANÇAIS !

(Notamment aussi en Afrique sous prétexte d’ex colonisateurs) ce malaise est un tout bien organisé de l’étranger par des prédicateurs divers nombreux !?)

CAR HELAS NOTRE DIRIGEANT BIEN PENSANT DONNEUR DE LECONS NE NOUS PROTEGENT PAS ASSEZ ?!

Elle est « mal à l'aise », elle le reconnaît. Ses collègues également. Sophie*, 39 ans, est professeure d'histoire-géographie dans un lycée de Seine-Saint-Denis. Et pour ses élèves, elle le constate avec inquiétude, la laïcité ne fait plus consensus. « Au mieux, ils en ânonnent les grands principes. Mais beaucoup la perçoivent d'abord comme une persécution à l'endroit des musulmans. La liberté se résume pour eux à une sorte de "Je fais ce que je veux, point". » Certains enseignements sont contestés, dit-elle, et les signes distinctifs religieux réapparaissent. Ce sont des bandeaux noirs portés par les jeunes filles, suffisamment larges pour masquer la plus grande partie de la chevelure. C'est aussi la multiplication des abayas, ces robes longues traditionnelles que le nouveau ministre de l'Éducation nationale, Gabriel Attal, est résolu à interdire au sein des établissements. Pour l'enseignante, il s'agit d'abord de provocations adolescentes, « d'une façon de tester les limites » souvent encouragée par les réseaux sociaux sur fond de pression communautaire.

Il n'empêche, la chose n'est plus exceptionnelle. Depuis dix-huit mois, les signalements pour atteinte à la laïcité ne cessent d'augmenter. Selon une note des services de l'État, ils ont bondi de 120 % en un an, passant de 2 167 pendant l'année scolaire 2021-2022 à 4 710 en 2022-2023. Une explosion due en grande partie aux signalements de port de signes ou de vêtements religieux : ces derniers constituent aujourd'hui presque la moitié des remontées mensuelles. Quelque 150 établissements sur près de 10 000 collèges et lycées en France seraient particulièrement concernés ; certains auraient comptabilisé jusqu'à 300 jeunes filles portant l'abaya. « Elles restent voilées jusqu'aux portes de l'établissement. Arrivées à la grille, elles découvrent leur tête conformément à la loi de 2004, mais elles cherchent à conserver leur abaya, qui est en réalité une robe longue et ample, souvent unie, qui recouvre l'ensemble de leur corps », relate Anne-Laure*, enseignante dans un collège situé en zone d'éducation prioritaire dans la périphérie de Rouen.

Difficile interprétation de la loi du 15 mars 2004. Si, dans son établissement, l'équipe éducative fait bloc et gère le problème dès la porte d'entrée, d'autres apparaissent plus en difficulté. En cause : la difficile interprétation de la loi du 15 mars 2004 interdisant « le port de signes ou tenues par lesquels les élèves manifestent ostensiblement une appartenance religieuse ». L'abaya entre-t-elle dans ce cas de figure ? La question fait débat au sein même de la communauté musulmane. Le 28 août, le Conseil français du culte musulman (CFCM) réaffirmait que « l'abaya [n'était] pas un vêtement religieux » et ne renvoyait, en arabe, qu'à « une robe longue ou un manteau » : le CFCM dit craindre, en cas d'interdiction, que cette tenue ne soit définie de façon « arbitraire, en fonction du "profil" des filles et des femmes qui la portent, de leur origine et de leur religiosité supposées ».

« On ne va pas entrer dans des arguties théologiques, proteste Jean-Pierre Obin, ex-inspecteur général de l'Éducation nationale et auteur de l'essai Les profs ont peur, à paraître le 11 octobre aux Éditions de l'Observatoire. La réalité, poursuit-il, c'est que la loi de 2004 et sa circulaire d'application ne sont plus appliquées. Elles sont pourtant très claires : tout signe ou tenue peut être interdit s'il est porté de façon à manifester ostensiblement une appartenance religieuse. La question s'était posée avec le bandana, dans les années qui ont suivi l'adoption de la loi, et le Conseil d'État avait rendu un avis très clair. »« J'entends bien que l'abaya n'est pas cultuelle, analyse également Sophie. Mais le fait est qu'elle est aujourd'hui portée par nos élèves comme marqueur d'une identité religieuse. »

Reste qu'il peut être difficile de distinguer une abaya d'un simple vêtement à la mode. Et que dire de ces tuniques longues, arrivant au-dessus du genou, associées à un pantalon large assorti ? « Chaque fois, on plonge dans des abîmes de questionnements aux confins de la mode, du droit et de la métaphysique ! » soupire une enseignante de la région parisienne. « Dans les situations auxquelles j'ai été confronté, les parents m'assuraient que le vêtement avait été acheté chez H & M ou Zara et qu'il n'avait aucune connotation religieuse. D'ailleurs, les adolescents ont chaque fois accepté de le retirer sans rechigner », raconte le principal d'un collège en zone REP.

Position. Lors de la conférence de presse du 28 août, le ministre de l’Éducation nationale, Gabriel Attal, a réaffirmé que « l’abaya n’a pas sa place dans nos écoles ».

« Certains ont peur ». Interpellé début 2022 par les principaux et proviseurs, le ministre de l'Éducation d'alors, Pap Ndiaye, avait refusé de trancher, laissant la tâche à la discrétion des chefs d'établissement. La confusion régnait. Certains établissements forçaient les élèves à retirer leur abaya, allant parfois jusqu'à leur proposer une tenue de rechange lorsqu'elles n'avaient pas de vêtements sous leur robe, tandis que d'autres, perdus, ou estimant que cela outrepassait leur rôle, laissaient faire. « Dans mon établissement, il m'est arrivé plusieurs fois l'année dernière de demander à des jeunes filles - qui n'étaient pas mes élèves - de retirer leur abaya. Elles l'ont fait sans protester, mais dès que j'avais le dos tourné, elles la remettaient et, manifestement, personne en cours ne leur disait rien », déplore Iannis Roder, professeur d'histoire-géographie en Seine-Saint-Denis et membre du Conseil des sages de la laïcité. Le problème, dit-il, c'est que « certains ont peur ». Peur d'être pris à partie par les familles, peur d'être menacé, peur d'être livré à soi-même, peur du pire. Tout le monde se souvient de Samuel Paty, assassiné en 2020 pour avoir montré à ses élèves de quatrième des caricatures de Mahomet lors d'un cours d'enseignement moral et civique sur la liberté d'expression.

Si beaucoup d'enseignants craignent que la proposition de leur nouveau ministre ne fasse que dissimuler les nombreux autres problèmes de cette rentrée scolaire, tous s'accordent donc à dire qu'il était urgent d'avoir un avis clair, unique et audible. « Lorsque vous entrez dans une salle de classe, vous ne devez pas être capable d'identifier la religion des élèves en les regardant », affirmait Gabriel Attal le 27 août sur TF1, précisant le lendemain face à la presse que des équipes seraient mobilisées dès la rentrée dans les établissements le nécessitant, « parfois même en présence du recteur pour réaffirmer l'autorité de l'État ». « Satisfait », Didier Georges, proviseur et secrétaire national du SNPDEN-Unsa, insiste désormais sur la nécessité d'entretenir un dialogue avec les familles. Le pire, dit-il, serait de voir les élèves se détourner des écoles publiques pour aller vers le privé, ou être déscolarisées. Une crainte semblable avait été exprimée lors des débats autour de la loi de 2004 - sans qu’il n’y ait jamais eu d'hémorragie

Parlons de notre histoire par pitié pas de religions quel qu'elles soient qui abêtissent les peuples qui les rendent mauvais !?

Pauvre pays que notre France que l’on aime ( mais hélas pas tous Français ou autres) qui ne se considèrent pas comme les autres citoyens de notre pays gaulois descendant de l’empire romain devenu avec Charlemagne empereur des Francs de 742 à 814 à qui on attribue l’école et qui donnera son nom à la dynastie des rois carolingiens qui en 49 ans fera du royaume franc le plus vaste territoire depuis la chute de l’empire romain soutenu par la papauté il impose le christianisme aux peuples vaincus et couronné en l’an 800 empereur d’occident !?

Tout au long de son règne il n’aura cessé de propager la foi chrétienne et fera sa capitale AIX la CHAPELLE et en fait il est le père de l’Europe occidentale et même maintenant dans notre France dont descend le nom des Francs de Clovis seul notre petit pays hexagone nous reste on a perdu même le nom de notre monnaie et le saint empire romain germanique n’existe plus depuis bien avant les 2 guerres mondiales qui ont fini de le laminer !?

Et depuis le moyen-âge et l’an mille qui lui a donné ce nom les deux religions importantes monothéistes judéo-chrétienne et musulmane s’opposent avec leur 1eres guerres de religions et même intérieures dans leurs propres pays et courants de religions dogmatiques ou le mystique gagne sur le terrain de l’obscurantiste !?)

En plus à l’école que l’on attribue à CHARLEMAGNE on enseigne mal l’histoire et on passe trop vite dessus car la politique politicienne dévastatrice a pris le pas sur l’histoire du monde ce qui est fort dommage !?

Les Hommes avec leur mysticisme religieux qui les poussent à leurs pertes même avant la puissance et l’argent roi depuis des siècles par des illuminés de tous bords dans notre monde instable et malade depuis des millénaires qui se dégrade !?

Jdeclef 31/08/2023 15h35

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mercredi 30 août 2023

Dans notre pays on adore pérorer inutilement comme le fait notre président indéboulonnable jusqu’en 2027 par la bêtise des Français qui l’ont réélu !?

 

« Initiative politique d’ampleur » : ce que les chefs de parti comptent dire à Macron !?

Le chef de l’État reçoit, ce mercredi, les oppositions dans le cadre napoléonien de l’École de la Légion d’honneur à Saint-Denis.

NOTRE PRESIDENT CHOISI DES ENDROITS POMPEUX POUR S’EXPRIMER COMME LE FAIT UN MONARQUE SANS COURONNE CAR ASSIS SUR SON TRONE FICTIF JUSQU’EN 2027 !?

HEUREUSEMENT QUE SON ORGUEIL HORS NORME NE L’ETOUFFE PAS SE SERAIT DOMMAGE DEVANT SES FRANÇAIS LAMBDA QU’IL DEDAIGNE (ET QUI EN REDEMANDE DEPUIS 2017 ?!)


Drôle d'endroit pour une rencontre… Emmanuel Macron a choisi la maison d'éducation de la Légion d'honneur de Saint-Denis, à quelques encablures de la Basilique où sont enterrés les rois de France, pour convier tous les présidents de parti ce mercredi à 15 heures. Un lieu pensé par Napoléon pour une rencontre républicaine ! C'est aussi un site qui a une « valeur symbolique », souligne-t-on à l'Élysée, rappelant que c'est dans cette école, créée en 1805, qu'étudient les filles de parents récompensés par la Nation. Un exemple de « méritocratie », donc, dans une ville touchée par les émeutes à la fin du mois de juin.

Ce premier volet des « Rencontres de Saint-Denis » – c'est le nom officiel de « l'initiative politique d'ampleur » annoncée au creux de l'été – doit permettre d'amorcer des discussions sur un certain nombre de sujets (situation internationale, efficacité de l'action publique, décentralisation, cohésion de la Nation, notamment) et de dégager des compromis. « Sortiront de ces travaux des décisions immédiates, des projets et des propositions de loi, mais aussi des projets de référendums », assurait le chef de l'État dans le grand entretien qu'il a accordé au Point la semaine dernière. La grande nouveauté étant le concept de « préférendum », défendu par plusieurs ministres et évoqué lundi par le porte-parole du gouvernement, Olivier Véran.

« Préférendum »

Ayant à l'esprit le célèbre adage selon lequel, lors d'un référendum, on répond moins à la question posée qu'à celui qui la pose, le président veut inclure plusieurs sujets dans un seul référendum. « L'idée, c'est de pouvoir sonder l'opinion pour trouver des points d'accord et avancer. Cela doit nous permettre de sortir du schéma classique, clivant, qui consiste à utiliser un référendum pour exprimer sa colère », explique un conseiller de l'exécutif. Emmanuel Macron a reçu, ce mardi à 10 heures, la Première ministre Élisabeth Borne et onze ministres pour plancher sur ce fameux « préférendum » et préparer son intervention. Le soir, selon les informations du Parisien, confirmées par Le Point, il dînait avec les présidents des partis de la majorité.

Jérôme Fourquet : « Comment reciviliser la France »

Avant de convier l'ensemble des forces politiques, le locataire de l'Élysée a tâté le terrain. Mardi dernier, il a personnellement appelé le président des Républicains, Éric Ciotti – traitement de faveur qu'il n'a réservé à aucun autre chef de parti. Certains, comme Olivier Faure, en sont d'ailleurs marris. « Ce barnum est surtout destiné à Éric Ciotti, car c'est le seul qui a été appelé. Nous sommes des figurants dans cette affaire », a regretté le premier secrétaire du PS aux universités d'été du parti, à Blois.

Une « réunion de discussion » vouée à « l'échec »

« Ils ont beaucoup parlé de la guerre en Ukraine et du SNU, mais quand il a été question d'immigration, Ciotti a eu le sentiment que Macron bottait en touche », raconte l'entourage du président LR. Celui-ci mettra justement l'accent sur l'immigration – il souhaite que le président soumette au référendum sa proposition de réforme de la Constitution –, l'autorité et le pouvoir d'achat. Sur BFMTV, mardi, il a rappelé ses mantras : « plus d'autorité pour qu'il y ait de l'ordre dans la rue », « plus de liberté » et « moins d'impôts ». Et d'évoquer « l'uniforme obligatoire à l'école » pour tenter de remettre à l'ordre du jour une mesure défendue par Brigitte Macron.

Mais, à l'instar des autres partis d'opposition, le député des Alpes-Maritimes n'attend pas grand-chose de ce raout. « Éric y va car il n'est pas sectaire et qu'il respecte nos institutions. Mais, si le président ne comprend pas qu'il doit infléchir sa ligne sur l'immigration, ça sera juste de la parlotte », juge un proche. Le président du groupe LR au Sénat, Bruno Retailleau, n'est pas plus optimiste. « Comme souvent avec Emmanuel Macron, la montagne accouche d'une souris : l'initiative d'ampleur s'est transformée en une simple réunion de discussion, qui aligne tellement de sujets qu'elle est vouée à l'échec », déplorait-il dans nos colonnes la semaine dernière.

Dominique Reynié : « Nous vivons un délitement de la matrice politique »

Jordan Bardella réclame également la tenue d'un « référendum sur la politique d'immigration » le jour des élections européennes, le 9 juin 2024. Dans un courrier adressé lundi à l'Élysée – que nous nous sommes procuré –, le président du Rassemblement national estime qu'« il ne saurait y avoir de sursaut national et républicain sans une prise de conscience des dangers d'une immigration de peuplement et sans un changement complet de cette politique, vers plus de fermeté, d'exigence et de maîtrise ». Il prévenait dans Le Point que le RN ne serait pas « la béquille d'un président à la recherche d'un second souffle ».

Pour protéger le pouvoir d'achat des Français « pris à la gorge » par l'inflation, l'eurodéputé propose trois gestes : « la baisse des factures énergétiques et des prix des carburants, la défiscalisation des hausses de salaire jusqu'à 10 % et la suppression de la CVAE pour les entreprises ». Enfin, sur l'école, Bardella demande « la garantie d'une refonte des programmes scolaires mettant l'accent sur une haute maîtrise des apprentissages fondamentaux, de la langue française, des sciences et de l'histoire de la Nation ».

La Nupes refuse de participer au dîner de travail

Les représentants de la Nupes, qui ont répondu par le biais d'un communiqué commun à l'invitation du président de la République, refusent quant à eux de participer au dîner de travail prévu après les tables rondes. « Nous sommes désormais habitués à vos opérations de communication sans lendemain et sans effets », cinglent Manuel Bompard, Olivier Faure, Fabien Roussel et Marine Tondelier. Sans surprise, ils estiment que le « seul projet de référendum qu'attendent les Françaises et les Français » serait un référendum autour de la réforme des retraites. Et, sur les autres sujets, puisqu'ils abordent ensemble ces « Rencontres de Saint-Denis », la ligne de LFI devrait s'imposer, hypothéquant les chances de parvenir à des accords…

Retraites : LFI et la CGT réclament un référendumDe manière générale, ces premières discussions ont peu de chances d'aboutir puisque la majorité et les oppositions s'écharpent sur l'essentiel : la forme d'éventuels référendums. « Le président ne cédera probablement pas sur l'idée de préférendum. Chacun campera sur ses positions et on trouvera des petits accords sur des sujets consensuels, comme à l'Assemblée nationale, prédit un député Renaissance, qui estime que l'exercice permettra surtout de « prendre la température des oppositions » avant une rentrée politique très chargée.

De toute façon c’est ce que dira le président qui est tellement sûr d’avoir toujours raison ou répondra s’il le veut bien en bonne langue de bois politicienne habituelle !?

Il suffit déjà que ces deux mouvements politique parti LFI ou syndicat CGT car aussi politisé s’expriment et ce qu’ils demanderont sera rejeté avec un discours alambiqué ou une réponse habituelle plus courte de notre (dit) chef d’état ?!

Le jeu pervers de ce président bien qu’il est là jusqu’en 2027 donc sans risque est de faire durer sa procrastination pathologique maladive qui le freine dans ses décisions qu’il n’arrive pas à prendre car après sa réélection par défaut et sa majorité insuffisante à l’assemblée nationale il est au point mort mais bien défendue par sa 1ere ministre inféodée servile qu’il a critiquée pourtant mais dont la place difficile semble lui plaire et qui fait le travail dont elle à la charge en utilisant ce fameux article 49/3 pour faire passer au compte-goutte certaines lois et diviser ces oppositions médiocres qui n’arrive pas s’unir pour faire tomber ce gouvernement macronien !?

On peut faire un parallèle avec les crises africaines et leurs palabres en France on fait pareil avec nos gouvernements de tous bords sauf que nous on ne fait pas de coup d’état à la rigueur la population déraille en descendant dans la rue et faisant quelque fois des émeutes violentes qui gênent plus les Français que nos gouvernements ou chef d’état et politiciens de tous bords surtout depuis que la « macronie » existe depuis 2017 !?

Il faudrait enfin que les Français regarde la réalité en face se serait utile ce n’est qu’un simple constat !?

Jdeclef 30/08/2023 14h19

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L’Afrique de ses pays composant l’ex empire colonial Français commence à prendre sa liberté par ses coups d’états à répétition pour renverser des dictateurs ou gouvernements totalitaires souvent mis au pouvoir par la France pour soi-disant protéger leurs peuples (plutôt pour profiter des richesses de ce continent ?!)

 

Tentative de coup d’État au Gabon : tout ce que l’on sait sur la situation !?

Dans un communiqué diffusé à la télévision, des militaires ont affirmé « mettre fin au régime en place » alors qu’Ali Bongo Ondimba, au pouvoir depuis 14 ans, venait d’être réélu président !?

Notre président qui n’y connait rien dans l’histoire coloniale Française ferait bien de ramasser ses gaules car la pèche ne donne plus de poissons et les citrons à presser ne donnent plus de jus dans cette Afrique francophone !?

Un coup d'État est en cours au Gabon ce mercredi 30 août. Attendus depuis plusieurs jours, les résultats des élections présidentielles organisées samedi 26 août étaient tombés au milieu de la nuit de mardi à mercredi : le président, Ali Bongo Ondimba, au pouvoir depuis 14 ans, obtenait un troisième mandat avec 64,27 % des suffrages exprimés, annonçait le président du Centre gabonais des élections (CGE), Michel Stéphane Bonda, à l'antenne de la télévision d'État Gabon 1ère. Le principal rival de Bongo, Albert Ondo Ossa, ne recueillait que 30,77 % des voix.

Mais au petit matin, un groupe d'une douzaine de militaires gabonais a pris la parole sur la chaîne de télévision Gabon 24 abritée au sein de la présidence, pour lire un communiqué. Parmi les militaires présents figuraient des membres de la Garde républicaine (GR), la garde prétorienne de la présidence, reconnaissables à leurs bérets verts, ainsi que des soldats de l'armée régulière et des policiers. Voici tout ce que l'on sait de la situation.

Tentative de coup d'État au Gabon : ce qu'il faut savoir sur le pays

  • Un communiqué lu par des militaires gabonais à la télévision

Les militaires apparus à la télévision gabonaise ont lu un communiqué dans lequel ils ont annoncé la dissolution de « toutes les institutions de la République ». Après avoir constaté « une gouvernance irresponsable, imprévisible, qui se traduit par une dégradation continue de la cohésion sociale risquant de conduire le pays au chaos […] nous avons décidé de défendre la paix en mettant fin au régime en place », a déclaré un de ces militaires, disant s'exprimer au nom d'un « comité de transition et de restauration des institutions ». « À cet effet, les élections générales du 26 août 2023 ainsi que les résultats tronqués sont annulés », a-t-il ajouté.

« Toutes les institutions de la République sont dissoutes, le gouvernement, le Sénat, l'Assemblée nationale, la Cour constitutionnelle. Nous appelons la population au calme et à la sérénité et nous réaffirmons notre attachement au respect des engagements du Gabon à l'égard de la communauté internationale », a-t-il poursuivi, annonçant aussi la fermeture des frontières du pays « jusqu'à nouvel ordre ».

  • Des tirs entendus à Libreville

Pendant cette déclaration, des journalistes de l'AFP ont entendu des tirs d'armes automatiques à Libreville. Quelques heures plus tard, le réseau Internet a été rétabli dans le pays trois jours après avoir été coupé par le gouvernement, qui invoquait des risques de violences le jour de la présidentielle, a constaté mercredi un journaliste de l'AFP.

Élections au Gabon : l'attente des résultats entre Internet coupé et couvre-feu

  • Des fraudes dénoncées par Albert Ondo Ossa

Albert Ondo Ossa avait dénoncé des « fraudes orchestrées par le camp Bongo » deux heures avant la clôture du scrutin samedi, et revendiquait alors la victoire. Son camp exhortait lundi 28 août Ali Bongo à « organiser, sans effusion de sang, la passation du pouvoir » sur la base d'un comptage effectué selon lui par ses propres scrutateurs, et sans produire de document à l'appui.

  • Le groupe minier français Eramet « à l'arrêt »

Les activités du groupe minier français Eramet ont été « mises à l'arrêt », a déclaré mercredi la société à l'AFP. Le groupe « suit » la situation pour « protéger la sécurité de (son) personnel et l'intégrité de (ses) installations », a-t-il précisé. Eramet emploie quelque 8 000 personnes dans le pays, majoritairement gabonaises. Cette annonce faisait chuter l'action d'Eramet à la Bourse de Paris, qui perdait 18,83 % à 61,85 euros vers 9 h 55.

Le groupe est présent au Gabon à travers deux filiales. La compagnie Comilog (la compagnie minière de l'Ogooué) est spécialisée dans l'extraction de manganèse, minerai dont Eramet est le deuxième producteur mondial à haute teneur. Setrag (la Société d'exploitation du transgabonais), la deuxième filiale du groupe français, assure l'exploitation ferroviaire de la ligne qui relie la côte atlantique au sud-est du pays riche en minerais à travers la forêt équatoriale du Gabon.

Gabon : un bilan économique mitigé sous Ali Bongo

  • La France suit la situation « avec la plus grande attention »

Devant les ambassadrices et ambassadeurs de France réunis à Paris, la cheffe du gouvernement français Élisabeth Borne a énuméré plusieurs crises récentes auxquelles la diplomatie française a été confrontée, « et désormais la situation au Gabon que nous suivons avec la plus grande attention ».

De son côté, le leader de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon a accusé mercredi Emmanuel Macron d'avoir « encore une fois compromis la France dans un soutien jusqu'au bout à l'insupportable », avec son appui au président gabonais Ali Bongo. Il a affirmé dans un message sur X (ex-Twitter) qu'« aucune alerte n'aura été entendue ».

  • La Chine appelle à « garantir la sécurité » du président Bongo

Pékin a appelé « les parties concernées » au Gabon à « garantir la sécurité » du président Ali Bongo, après le coup d'État militaire. « La Chine suit de près l'évolution de la situation au Gabon et appelle les parties concernées à agir dans l'intérêt du peuple gabonais […], au retour immédiat à l'ordre normal, et à garantir la sécurité personnelle d'Ali Bongo », a indiqué devant la presse un porte-parole de la diplomatie chinoise, Wang Wenbin.

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La fin de « la France AFRIQUE » se confirme cela ne peut être qu’une bonne nouvelle si notre président (ne s’en mêle pas ou ne se prend pas encore pour un redresseur de tort) qui n’y comprend rien car nos ex possessions de cette AFRIQUE ex AOF et AEF et Maghreb lâche enfin le l’ex colonisateur de cet empire africain Français avec l’ALGERIE vindicative qui avait pour retrouver sa liberté fait une guerre inutile de 1958/1962  jusqu’à obtenir définitivement le départ des Français car elle l’aurait obtenue de toute façon comme les pays Africains devenus indépendant en 1960 (avec même ceux nés sur son sol depuis des générations que l’on appelait pieds noirs) car ne pouvant attendre ce que les autres pays africains de cet ex empire colonial ont subi jusqu’à ce jour !?

Et que l’on ne dise pas que c’est pour empêcher la RUSSIE de s’implanter car depuis l’indépendance de l’ALGERIE ils y étaient déjà j’y étais en 1965 en tant que militaire à MERS EL KEBIR base navale d’ORAN pas encore restituée à ce pays et ils ne se cachaient pas !?

L’excuse de nos gouvernements présents et passés c’est qu’il y a encore des bases militaires dans ces pays d’AFRIQUE francophone il faut les évacuer rapidement notre armée doit protéger en priorité la France METROPOLITAINE qui doit se protéger ainsi que l’Union EUROPENNE avec un risque à ses frontières à cause de cette guerre Russo Ukrainiennes et son dictateur dérangé Poutine qu’on n’a pas pu ou pas voulu stopper !?

Avec en plus nos soldats encore présents au Moyen-Orient en IRAK dont on a encore subi la perte dans ces opérations dites extérieures !?

C’est encore notre chef d’état fantôme et son gouvernement de pattes cassées qui est responsable de notre avenir il faudrait enfin que les Français en prennent conscience !?

Jdeclef 30/08/2023 12h18LP

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Notre président d’une incompétence remarquable que peut-il encore inventer comme fumisterie utopique après 2017/2022 et ses 100 jours sans résultats CNR OU PREREFERENDUM utopique etc.etc.. !? Il n’y a pas de quoi être fier peuple de cette France que j’aime et j’en fait partie surtout quand on se réfère à notre histoire ancienne que l’on enseigne si mal dans nos écoles car elle aussi politisée !?

 

Le « préférendum », dernière (et improbable) trouvaille macroniste ?!

Pour sauver l’« initiative politique d’ampleur » annoncée par le président a germé l’idée du préférendum, concept flou au destin incertain !?

LE PIRE C’EST QUE LES FRANCAIS BON PUBLIC CONTINUENT A AVALER CELA DEPUIS 2017 ET JUSQU’EN 2027 ILS SONT DEVENUS LES PLUS NAIFS INCURABLES ELECTEURS DANS LES PAYS LIBRES ET ENCORE DEMOCRATIQUES !?

l’ère macronienne est jalonnée d'intitulés ronflants qui connaissent des sorts très différents. Celui qui a connu le plus de succès est sans conteste le Grand Débat national, destiné à clore la crise des Gilets jaunes, dans lequel Emmanuel Macron a donné le meilleur de lui-même. Mais l'inspiration ne sonne pas toujours deux fois. Ainsi, le « Conseil national de la refondation » annoncé au début de ce quinquennat n'a toujours pas fait ses preuves. Et les « cent jours » qui devaient révolutionner le quinquennat se sont soldés par un remaniement ministériel poussif.

Cette fois, le président ne redoute pas l'inflation verbale, avec une « initiative politique d'ampleur » qui se concrétise ce mercredi. Rien, pourtant, ne garantit que le résultat soit à la hauteur de l'intitulé. On peut même redouter que l'emphase serve de palliatif à une créativité défaillante. Le chef de l'État réunit à Saint-Denis les représentants des oppositions avec pour « ambition […] de convenir de voies d'action qui pourront trouver des traductions concrètes et rapides dans les réalisations du gouvernement et des textes législatifs bâtis ensemble », selon le courrier qu'il leur a fait parvenir. Pas de quoi révolutionner l'art de gouverner.

Dominique Reynié : « Nous vivons un délitement de la matrice politique » D'autant que le spectre des conversations est large, de l'Ukraine à la refonte de l'organisation territoriale, en passant par la restauration de l'autorité et de la civilité, tandis que la bonne volonté des participants est forcément limitée. Chacun a déjà fait sa liste de courses, référendum sur l'immigration pour la droite, sur le recul de l'âge de départ à la retraite pour la gauche.

Le risque de gadgétisation

Dans ce grand flou, pour donner de l'ampleur à l'initiative, émerge une trouvaille savamment distillée par quelques voix ministérielles ces derniers jours, celle du « préférendum ». De quoi s'agit-il ? D'organiser un vote simultané sur plusieurs questions, auxquelles les électeurs ne répondraient pas forcément par oui ou par non, mais donneraient plutôt une appréciation ou un ordre de préférence.

« L'initiative politique d'ampleur » d'Emmanuel Macron fait tiquer la majoritéL'avantage politique d'une telle formule, qui demande encore à être brevetée sur le plan institutionnel, est triple. Tout d'abord, donner le change en termes d'inventivité avec un concept inédit. Ensuite, échapper à l'enfermement de la majorité relative en plaçant les Français en position d'arbitres. Enfin et surtout, rendre la pratique du référendum inoffensive pour le président, en évitant que le non l'emporte quelle que soit la question posée, un danger non négligeable quand deux tiers des personnes interrogées dans les enquêtes d'opinion expriment leur mécontentement à l'égard de l'exécutif.

Reste qu'une telle formule comporte de nombreux risques. Un abstentionnisme ravageur. Ou encore une gadgétisation sans lendemain, en lieu et place d'un projet politique clairement énoncé et mis en œuvre sans atermoiements.

Le problème dans notre pays c’est que notre président que nous avons élu et réélu comme des naïfs idiots qui ne sait pas gouverner et ne sait pas ou il va et s’il a des idées (fort rares) n’arrive pas à les concrétiser et les mettre en place ce qui n’a fait que diviser encore plus les Français qui le sont déjà car un peuple versatile individualiste qui pratique le chacun pour soi dévastateur !?

La preuve s’il en fallait une c’est encore cette idée de pseudo préférendum fumeux utopique si compliqué comme les vrais referendums aussi compliqués à organiser pour empêcher de décider aux français de répondre aux multiples questions qu’il faudrait poser dans ceux-ci autre qu’un « oui ou non » de GAULLE  qui s’en était servi a été piégé car donner la parole directement au peuple Français est toujours une bombe à retardement pour les pouvoirs en place surtout avec le peuple Français si difficile à gouverner et diriger !?

Il faut à la France un vrai (Dans ces) dirigeants peut importe leurs partis ringards inutiles qui ne servent qu’à mieux diviser ces citoyens perdus dont certains de plus en plus ne vont plus voter car dégouté de la classe politique actuelle d’élus de tous bords qui s’engraisse sur leur dos avec leurs avantages et privilèges de l’ancien régime qui malgré notre révolution datant de 234 ANS qu’ils n’ont pas réussi à niveler en remettant au pouvoir dans leurs palais Elyséens des présidents passés faux monarques avec trop de pouvoir et présents dans cette Veme république devenue pseudo monarchique !?

Va savoir peut-être que notre président petit bourgeois parvenu pas du monde des Français lambda qu’il dédaigne en se rasant le matin rêve de devenir un autocrate dans une pseudo démocrature comme dans d’autres grands pays connus mais là espérons-le il reste encore des Français courageux pour s’y opposer !?

Car pour l'instant leurs mauvais choix nous reportent à 2027 avec leurs gouvernements médiocres de cette macronie inféodé à ce président !?

Jdeclef 30/08/2023 10h25

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mardi 29 août 2023

En France pour les problèmes africains on fait comme les autochtones des différents pays composant notre ex empire colonial ex AOF/AEF et Maghreb on palabre et donc cela fait dialogues de sourds !?

 

Le nouveau jeu africain de la France !?

ÉDITO. La montée des oppositions à sa présence dans ses anciennes colonies incite Paris à une profonde remise en question. Explications.

UN JEU QUI NOUS COUTE CHER FINANCIEREMENT ET MEMES EN VIE HUMAINES DE NOS SOLDATS DANS CES PAYS INSTABLES GANGRENES PAR LE DJIHADISME ISLAMIQUE !?

Ses raisons impérieuses poussent la France à privilégier son engagement en Afrique : la vitalité démographique du continent (quatre Africains sur dix ont moins de 15 ans), la richesse de ses ressources naturelles, l'activisme qu'y déploient des puissances révisionnistes comme la Russie, la Chine ou la Turquie, la proximité culturelle, linguistique et parfois familiale, l'importance des diasporas africaines dans l'Hexagone, sans oublier la question ultrasensible de l'immigration.

Cependant, la montée vertigineuse des oppositions à sa présence dans ses anciennes colonies contraint la France à une profonde remise en question si elle veut sortir d'une relation de plus en plus stérile. Son image est tellement dégradée que la France est devenue le bouc émissaire numéro un en Afrique francophone. Le leitmotiv antifrançais s'est répété lors des coups d'État au Mali (2020 puis 2021), en Guinée (2021), au Burkina Faso (2022) et enfin au Niger le 26 juillet.

Les putschistes n'ont besoin que d'agiter l'épouvantail du « néocolonialisme » pour justifier leurs forfaits et rallier les populations. À l'inverse, un dirigeant africain légitime risque de se condamner à un sort peu enviable s'il se présente comme un ami de la France. Le président nigérien Mohamed Bazoum, élu en 2021 avec une majorité de 55 % des suffrages, en sait quelque chose : il est séquestré par la junte qui l'a destitué. La France a dû évacuer ses militaires du Mali (août 2022), puis de Centrafrique (décembre 2022), du Burkina Faso (février 2023) et peut-être bientôt du Niger où elle déploie encore 1 500 personnels. Le Tchad sera-t-il le prochain domino à tomber ?

Clameur antifrançaise

Voir la main de Vladimir Poutine derrière tous ces événements serait s'abuser. La propagande russe joue sur du velours en excitant la clameur antifrançaise, mais celle-ci se nourrit d'abord de la frustration face à l'insécurité galopante, la pauvreté endémique, la corruption persistante, l'impossibilité de se rendre dans une Europe forteresse… La jeunesse d'Afrique n'est pas plus manipulable qu'une autre. Mais comme celles d'autres continents, elle est travaillée par le populisme identitaire, le souverainisme, le discrédit de la démocratie, l'attrait illusoire des hommes forts et la tentation de solutions toujours plus radicales. Six décennies après les indépendances, le néocolonialisme est perçu comme intolérable.

« L'implication de Wagner ne va pas être modifiée en Afrique »

La France est une cible parce qu'elle est en première ligne. Son histoire coloniale, son déploiement militaire, sa diplomatie hyperactive, ses leviers institutionnels exceptionnels (en particulier via le franc CFA, encore utilisé par quatorze pays), l'exposent dangereusement. Ses interventions contre les islamistes armés au Sahel, qui ont coûté la vie à une soixantaine de nos soldats depuis dix ans, étaient méritoires. Mais les succès tactiques engrangés (avec l'élimination de quelque 3 000 djihadistes, et non des moindres) n'ont pas réussi à venir à bout de la menace. Au contraire, l'insurrection s'est étendue et a métastasé dans plusieurs pays ouest-africains ! L'échec est patent et les populations africaines l'imputent d'abord à la France, quand elles ne vont pas jusqu'à la soupçonner de collusion avec les islamistes.

Gestes esquissés

Les autorités françaises sont ballottées par les événements fâcheux plus qu'elles ne les anticipent. Elles n'avaient vu venir ni le putsch du Mali ni celui du Niger. Emmanuel Macron a pourtant analysé l'ampleur du défi dès son arrivée à l'Élysée. Son discours à la jeunesse africaine, à Ouagadougou en 2017, en témoigne. Mais depuis, il n'a fait qu'esquisser des gestes.

Emmanuel Macron : « Notre diplomatie est claire, mais le temps n'est pas à la diplomatie »

Le changement d'ère en Afrique appelle des décisions audacieuses. Il faut placer les pays africains face à leurs responsabilités, leur restituer l'intégralité de leur souveraineté monétaire, et cesser de faire reposer notre influence sur notre déploiement militaire. Une intervention armée contre la nouvelle junte nigérienne, comme certains en caressent l'idée, serait une folie. Les bases permanentes sont devenues contre-productives. La lutte anti djihadiste est essentielle mais elle est avant tout l'affaire des Africains eux-mêmes. La France ne retrouvera sa voix en Afrique que si elle s'y fait moins visible et qu'elle y joue la carte européenne. Elle pourrait même gagner en influence géopolitique si elle redéployait sur le flanc oriental de l'Otan ses militaires si mal vus en Afrique. Car c'est à l'Est, et non au Sud, que se trouve aujourd'hui la principale menace pour notre sécurité.

 

Pour reprendre la prose de notre petit président dépassé partout en matière internationale :

(« Le changement d'ère en Afrique appelle des décisions audacieuses. ») si c’est sa prose : C’est plutôt le changement « d’air » pour la France ex coloniale et tourner définitivement la page de notre ex empire colonial et s’en aller vraiment qui serait un progrès !?

L’exemple de l’empire britannique colonial appelé Commonwealth bien plus grand que celui de la FRANCE quand il se sont débarrassés par exemple (et le mot n’est pas trop fort) de l’Inde et ses deux Pakistan oriental et occidental c’était un gros morceau bien plus important mais eux ils n’ont pas pris de gants sans faire de palabres inutiles comme pour leurs possessions africaines de l’est et du sud et cela ne date pas d’hier !?

Mais nous avec nos palabres justement africains on ne s’en sort pas depuis + de 60 ans car on pratique comme les Africains des bavardages fleuves inutiles qui n’aboutissent à rien car c’est dans leur nature avec leurs cultures féodales coutumes et religions sans oublier leurs ethnies nombreuses !?

Et nous avons comme président un trop jeune bourgeois parvenu qui adore bavarder en s’écoutant parler n’y connaissant rien s’en vraiment agir on piétine et n’avance pas voire on recule sur de nombreux sujets mais à sa décharge il n’est pas le seul responsable car cela avait commencé bien avant lui avec ses prédécesseurs de tous bords sous cette Veme république devenue monarchique semblant regretter l’ancien régime avec nos chefs d’états sans amour propre se prenant pour des monarques mais sans couronne !?

Résumons : il faut crever cet abcès africain pour leur bien et peut être tarir aussi leur immigration galopante vers La France et l’Europe occidentale et avoir un président Français qui agisse pour l’instant ce n’est pas encore le cas jusqu’en 2027 mais ça c’est de notre faute à nous peuple Français !?

Jdeclef 29//08/2023 14h42

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Avec notre président qui ne risque rien jusqu’en 2027 on ne gagne pas et on continue à perdre nos soldats dans cette Afrique francophone ou moyen orient en pure perte pour rien ?!

 

Irak : un soldat des forces françaises spéciales tué lundi, annonce l’Élysée !?

NOTRE PRESIDENT A SA VIE CONFORTABLE A L’ELYSEE C’EST CELA LA SEULE REALITE QUE VOIT LES FRANÇAIS CAR POUR L’INSTANT IL N’A RIEN FAIT DEPUIS 2017 DANS N’IMPORTE QUEL DOMAINE !?

« C’est avec une très vive émotion que le président de la République a appris la mort du sergent Nicolas Mazier », a annoncé l’Élysée.

Un militaire des forces spéciales françaises a été tué lundi en Irak lors d'une opération antiterroriste en appui de l'armée irakienne, a annoncé mardi l'Élysée.

« C'est avec une très vive émotion que le président de la République a appris la mort du sergent Nicolas Mazier du commando parachutiste de l'air n° 10, tué hier en Irak alors que son unité appuyait une unité irakienne en opération antiterroriste », a annoncé la présidence française, précisant que d'autres membres de son unité avaient été blessés à ses côtés.

J’ai déjà publié le 21/08/2023 sur ce même sujet et sur le même motif et on a subi la même compassion larmoyante habituelle de notre président !?

Mais que fait-on avec nos soldats en IRAK ?! car on est resté plus de 20 ans dans ce moyen orient en pures pertes inutiles ainsi que d’autres pays Européens avec leur fumisterie de « printemps arabes » et pour lutter contre cet Etat Islamique terroriste et barbare de DAESH dont les exactions terroristes n’ont pas cessé dans le monde et pour finir en Afghanistan à KABOUL ou les américains en dernier lieu par BIDEN ont fui lamentablement et ou notre armée a aidé les USA pour évacuer nos ressortissants expatriés ou autres européens occidentaux  pour redonner ce pays redevenu extrémiste aux TALIBANS et leur religion moyenâgeuse qui asservissent leur peuple et nivelle la liberté des femmes en les prenant pour des objets !?

Avec en plus justement « la cerise sur le gâteau de la crise nigérienne » ou la junte militaire putchiste a sommé l’ambassadeur de France de quitter illico ce pays (ainsi que les 1500 de nos soldats de stationné à NIAMEY de l’ex opération Barkane !?

Bien sûr pour ne pas perdre la face qu’il a déjà perdu depuis 2013 avec son prédécesseur alors F. HOLLANDE qui avait dit que c’était le plus beau jour de sa vie cette pseudo victoire à Tombouctou qui est de nouveau encerclée par les djihadistes (ceci en passant) alors il joue au matamore en tapant sur la table refusant le départ de notre ambassadeur !?

Mais enfin qu’il laisse les Africains et nos ex colonies AOF/AEF et Maghreb s’occuper de leurs affaires « la France AFRIQUE » c’est fini !?

Et comme il n’y comprend rien notre trop jeune président qu’il laisse tomber et cesse de se moquer des Français !?

On est mal gouverné et mal protégé dans notre pays de bien-pensant donneurs de leçons hypocrites qu’ils veulent donner à tout le monde et çà c’est préoccupant !?

Notre président a tout raté en Afrique et qu'a-t-il réussit dans la gouvernance de notre pays depuis 2017 !?

JDeclef 29/08/2023 13h34

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De toute façon LFI fait feu de tout bois pour semer le désordre et sur un sujet ou une majorité de Français sont contre le port de cette tenue ostentatoire on n’en n’avait pas fait autant quand la mini-jupe est arrivée dans la mode féminine dans les années 1964 et là au moins c’était joli (lol)

 

Alors bienvenue pendant qu’on y est à ces religions extrémistes moyenâgeuses (qui nous aussi amené l’état islamique et ses attentats barbares hyper extrémistes (ceci en passant mais c’est moins drôle !?)

Gabriel Attal et l’abaya : bravo, l’artiste !?

Avec son attaque en règle contre les menées communautaristes à l’école, le ministre de l’Éducation nationale a réalisé l’opération politique de la rentrée.

Je ne suis pas pro macronnie surtout avec un président que ne fait rien ou ne sert à rien mais quand un de ses ministres dit ce qu’il pense tout haut et surtout comme la majorité des Français tant mieux ce n’est si souvent que l’on échappe à la langue de bois !?

Unis pour notre école », c'était le titre de la conférence de presse de rentrée organisée par Gabriel Attal hier, devant un parterre très fourni. Parmi toutes ses annonces, il a pris soin de placer en tête d'affiche l'interdiction de l'abaya à l'école. Le port de cette longue robe traditionnelle musulmane s'est répandu dans plus d'une centaine de collèges et de lycées durant la dernière année scolaire. « Là où l'école est testée, nous devons faire bloc », a déclaré le nouveau ministre. Et il a raison. Cette affirmation dénuée de « si » et de « mais » tranche avantageusement avec les circonlocutions de son prédécesseur, Pap Ndiaye, particulièrement appliqué à laisser principaux et proviseurs survivre seuls sous la mitraille identitaire.

D'aucuns peuvent ergoter sur l'effet d'annonce savamment orchestré qui risque d'accoucher d'une souris, tant il est difficile de produire en matière vestimentaire une réglementation facilement applicable par les chefs d'établissement. Mais ses équipes assurent que l'affaire sera réglée prestement, sous la forme d'une note de service rédigée à l'issue de la visioconférence organisée avec les chefs d'établissement ce mardi. L'annonce résolue du nouveau ministre n'est certainement pas suffisante, mais elle était absolument nécessaire. Seul l'avenir dira si ces paroles fermes sont suivies d'actions efficaces.

Un ministre condamné à réussir

En attendant, Gabriel Attal a réussi l'opération politique de la rentrée. D'aucuns y voient un clin d'œil à la droite, apparemment enchantée de cette nette inflexion de l'exécutif. Mais l'un des bénéfices secondaires de cette annonce réside dans la fracturation de la gauche. Entre Carole Delga, présidente socialiste de la région Occitanie, et Clémentine Autain, députée LFI de Seine-Saint-Denis, le fossé est immense. Entre Fabien Roussel et Jean-Luc Mélenchon aussi. Dans les rangs socialistes et communistes, si certains se tiennent prudemment aux abris, d'autres saluent sans regimber cette action de clarification.

« La mesure contre l'abaya peut susciter plus de conflits qu'elle n'en résoudra » Les écologistes et les Insoumis assurent aussi, involontairement, la promotion du nouveau ministre. Ils déclarent tout à la fois, éventuellement dans la même phrase, que l'abaya n'est pas un vêtement religieux et que son interdiction s'apparente à un oukase islamophobe. Ils s'insurgent contre une « police du vêtement » dans une rhétorique qui ne cache même plus leurs arrière-pensées électoralistes à l'égard de l'électorat musulman.

Or, Gabriel Attal sait qu'il est en phase avec l'opinion publique, notamment celle des quartiers populaires, qui exprime une forte demande d'autorité. Il fournit ainsi un habile contrepoint au ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, désireux de se positionner, un peu trop tôt au goût du chef de l'État, pour la prochaine élection présidentielle.

Emmanuel Macron et l'école : « Un discours sur l'éducation civique, c'est bien, mais cela ne suffit pas. » Enfin, et ce n'est pas le plus facile pour un ministre de l'Éducation nationale, sa décision fait quasiment l'unanimité chez les professeurs et les chefs d'établissement, à l'exception du chœur essoufflé des jamais contents. Le pire, désormais, serait de décevoir tous ceux qui sur le terrain luttent au quotidien contre l'autocensure et l'aveuglement.

Rendez-vous, donc, dans quelques mois, à la rentrée de janvier 2024 par exemple, pour savoir si ce coup d'éclat a vraiment trouvé une indispensable traduction concrète dans les collèges et les lycées. Sur ce point, Gabriel Attal a désormais une obligation de résultat.

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Le nouveau ministre de l’enseignement après tant d’autres dans cette Veme république usée obsolète ce petit minet bon chic bon genre à l’image de notre président et aussi bavard que lui a bien réagit contre ce BOMPART chantre de ses leaders LFI regroupant des parlementaires élus hyper mal élevés car mélenchonistes et extrémistes trublions qui ne cherche qu’à prendre le pouvoir par des artifices extrémistes !?

Car bien sûr en France dans notre pays encore libre bien que mal gouverné par nos dirigeants de tous bords actuels et passés qui font de la mauvaise politique politicienne tout le monde peut croire à ce qu’il veut et même à aucune religion et à ses dieux !?

Mais mélanger dans notre pays laïc la politique et les religions dans notre état Français est une colossale erreur presque une infamie à ne pas commettre on a vu depuis 1989 (200 ans presque une coïncidence de date) après notre révolution nationale ce qu’a donné comme trouble le port du voile ou le burkini et signes extérieurs de toutes religions à proscrire !?

De plus ces religions d’autres pays dont certaines devenues obscurantistes et moyenâgeuses voire totalitaires on voit ce que cela donne et ne peut être dans notre France qui depuis 2000 ans est judéo chrétienne !?

Quant à ces vieux membres poussas repus de ce conseil d’état poussiéreux inutile ils n’ont pas une grande légitimité que lui a donné cette Veme république qui auto protège ces élus députés et autres ministres car ils ne sont pas élus par le peuple Français ce qui est dommage !?

On a beaucoup de garde-fou dans notre république mais elle ne protège pas assez les Français lambda mais plutôt ceux qui sont élus et au pouvoir !?

Moi qui suis désespéré car âgé je ne sais pas ce que nous réserve l’après 2027 avec l’érosion de nos libertés et la déliquescence de notre classe politique Française !?

JDeclef 29/08/2023 10h37

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