jeudi 31 mai 2018

Ce "povre" MELENCHON est bien malade il fait de la paranoia il voit des complots Partout contre lui !


Mélenchon : le syndrome du persécuté

Le patron de La France insoumise voit des complots partout. Pour le dernier en date, il reçoit le renfort involontaire de la Commission des comptes de campagne.

À force de hurler à la persécution politique, Jean-Luc Mélenchon a bien du mal à émouvoir qui que ce soit, en dehors de ses supporteurs les plus fanatiques. Ainsi, il conteste le décompte médiatique de la « marée populaire » qu'il avait appelée à déferler dans les rues de Paris samedi 26 mai et qui s'est résumée à un clapotis. Alors, il déplore les « chiffres pris pour argent comptant de l'agence macroniste de comptage ». Et accuse ainsi, sans le moindre fondement, le cabinet Occurence, qui entend fournir une estimation objective du nombre de manifestants.
Trois jours plus tard, il apprend « par la presse » qu'il est victime d'un « coup monté ». Le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire sur ses comptes de campagne pour la présidentielle de 2017, après un signalement de la Commission nationale des comptes de campagne (CNCCFP) envoyé au mois de mars.
 Comptes de campagne : le parquet de Paris ouvre une enquête sur Mélenchon
Il est vrai que cette attitude de la CNCCFP est difficile à comprendre. Elle a validé les comptes de campagne de Jean-Luc Mélenchon, après avoir refusé de prendre en compte un peu plus de 400 000 euros de dépenses qu'elle a jugées non justifiées. Pourquoi, dans ce cas, procéder à un signalement au parquet ? Jean-Luc Mélenchon croit connaître la réponse : c'est une machination ourdie par le pouvoir en place. « Je préviens, assure-t-il, je ne tendrai pas la joue gauche. (…). Je garantis que je ne comprends pas comment la Commission nationale des comptes de campagne a pu à la fois valider mes comptes et faire un signalement. (…) Ni pourquoi elle l'a fait alors qu'elle a, au contraire, fait un communiqué pour défendre les rabais dont a bénéficié le candidat Macron. Un communiqué pour lui, un signalement judiciaire pour moi ! »

Une institution prudente, sinon frileuse

Pourquoi, en effet ? Parce que le rapporteur chargé d'examiner les pièces comptable de la campagne Mélenchon, Jean-Guy de Chalvron, un haut fonctionnaire à la retraite, a claqué la porte de la commission en novembre 2017, entre autres parce qu'il trouvait le traitement réservé à Jean-Luc Mélenchon… exagérément clément au regard des dépenses, qu'il considérait comme contestables et qui s'élevaient, selon lui, à 1,5 million d'euros. Il s'est exprimé publiquement sur ce sujet, notamment sur les ondes de Radio France. Dès lors, le « pas de vague » habituel n'était plus une option pour la CNCCFP. A-t-elle voulu se couvrir en saisissant le parquet ? C'est une hypothèse plausible, d'autant que certains de ses membres sont traumatisés par l'affaire Bygmalion, et le dépassement supposé de quelque 18,5 millions d'euros dans la campagne de Nicolas Sarkozy dont ils n'ont pas repéré le premier centime.

Jean-Luc Mélenchon ne ressemble donc pas tout à fait au persécuté qu'il prétend être. Quant à la Commission nationale des comptes de campagne, elle ne sort pas grandie de cette étrange affaire.

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Ce bonimenteur de foire se donne bien trop d'importance en croyant qu'il est le seul opposant au pouvoir macronien !

Il en arrive à croire avec ses diatribes et ses attitudes déjantées qu'il puisse changer les chose dans cette nouvelle politique de MACRON et sa REM ?!

Alors qu'il a fait "un feu de bois" lors de la campagne présidentielle en entrainant des esprits simples de gogo qui ont pu se laisser prendre par ses discours de stars hollywoodienne de tribun avec ses hologrammes !

Mais maintenant voyant que cela ne donne pas les résultats qu'il escomptait, il joue au persécuté "Calimero" sur qui tout le monde des nantis qui lui en veulent peut etre, sauf que lui est nanti lui même !


Il est pitoyable, il fait penser au regretté G. MARCHAIS le communiste qui lui au moins était un politicien drôle qui faisait rire le peuple !

Il voulait dégager cette ancienne politique et ses politiciens, mais il s'est oublié dans le lot du "dégagisme" mot inventé par ce J. L. MELENCHON anachronique !

C'est dommage que l'on doivent supporter de tels personnages dans notre monde politique français que l'on trouve souvent dans les extrêmes, mais inutiles !       
     


jdeclef 31/05/2018 11h37   

mercredi 30 mai 2018

Bien sûr qu'il ne faut pas céder en face de ce pseudo dictateur qui se rêve en sultan de l'ancien empire ottoman déchu !



Étienne Gernelle - Erdogan, le dictateur qui ose tout (c'est à ça qu'on les reconnaît)

Le maître d'Ankara et ses séides s'en prennent à la liberté d'expression en Turquie, mais aussi en France ! Le « Point » ne lâchera rien.


Ainsi donc, le reis turc assume tout. Dans un stupéfiant discours de meeting électoral, Recep Tayyip Erdogan a dénoncé ceux qui «  protègent (…) les affiches qui sont contre nous sous la dénomination d'une couverture de magazine  ». On se frotte les yeux. Car ceux qui «  protègent  » sont ici des gendarmes français et les «  affiches  » sont celles du Point.
Quelques jours auparavant, l'une d'elles, figurant la couverture de notre journal – «  Le dictateur. Jusqu'où ira Erdogan  ?  » –, était retirée au Pontet (Vaucluse), sous la pression de manifestants qui promettaient de «  brûler  » le kiosque sur lequel elle était posée. Vous avez bien lu : «  brûler  » le kiosque… Une première. À notre demande, l'affiche a été rétablie, sous bonne garde de la gendarmerie.
Nous ne confondons pas, au Point, le pays avec le régime, ses citoyens avec un groupe de nervis
Le couple de kiosquiers, lui, ne cachait pas sa grande inquiétude. Interrogeons-nous : est-il normal d'avoir peur lorsqu'on vend des journaux  ? Et pourtant, cela se passe aujourd'hui en France.
À Valence, d'autres affiches représentant la même couverture «  Le dictateur  » ont été déchirées. Elles ont ensuite été remplacées puis enlevées à nouveau, dans la nuit. À Lyon, c'est la menace de «  faire sauter  » son kiosque qu'un marchand de journaux a reçue au téléphone… De notre côté, ce sont des menaces de mort de ce style : «  Une balle dans la tête si tu continues à critiquer Erdogan et la Turquie…  » Au passage, où a-t-on critiqué la Turquie  ? Nous ne confondons pas, au Point, le pays avec le régime, ses citoyens avec un groupe de nervis.
Les paroles d'Erdogan, qu'on se le dise, ne sont pas à prendre au second degré
Mais pour Erdogan, la Turquie, c'est lui. Et les manœuvres d'intimidation de ses séides sont donc légitimes. À en croire son discours du 28 mai, la vertu est du côté de ceux qui arrachent les affiches du Point et le vice du côté des gendarmes qui assurent la sécurité des kiosques… Cela ressemblait fort, sinon à une signature, du moins à un endossement.
Comment Erdogan tisse sa toile en France
Après avoir fait emprisonner plus de 120 journalistes en Turquie, pourquoi s'arrêterait-il en si bon chemin  ? Il lui paraît naturel de continuer son œuvre en France en s'en prenant, cette fois-ci, aux points de vente des journaux. Incroyable arrogance. Et après cela, qui ergotera encore sur le terme de «  dictateur  »  ? Les paroles d'Erdogan, qu'on se le dise, ne sont pas à prendre au second degré.
On ne défend pas la liberté sans prendre de front ceux qui la combattent. Surtout ceux qui, dans le cas d'Erdogan, l'assument avec un aplomb inouï
C'est le cas notamment à propos des Kurdes. Car il est bien plus grave que le sort des journalistes. Vitupérant en permanence contre ce peuple honni, Erdogan est passé à l'acte en Syrie, dans la ville d'Afrine, qu'il a vidée de ses habitants kurdes, avec l'aide de ses tanks et de ses alliés islamistes. Cela s'appelle du nettoyage ethnique, personne ne peut dire qu'il est surpris, le reis n'ayant jamais caché sa détestation. Ni sa détermination. «  Un fanatique est quelqu'un qui ne change pas d'avis ni de sujet  », disait Roosevelt. Erdogan en est un beau spécimen.
Il faut désormais le prendre au mot. L'Occident a-t-il été trop conciliant ces derniers mois avec lui  ? Certainement. Même si rien n'est facile : la Turquie occupe une position clé dans les conflits au Moyen-Orient, et une base stratégique américaine s'y trouve. Surtout, le pays retient sur son sol 3,5 millions de réfugiés que les Européens craignent de voir arriver sur leurs routes. La réaction est périlleuse, donc lente. Donald Trump est aux abonnés absents. Angela Merkel ne s'est, elle, pas privée de dire ce qu'elle avait sur le cœur, mais elle est très contrainte. Quant à Emmanuel Macron, après avoir reçu les Kurdes de Syrie, il a, sur Twitter, condamné les «  ennemis de la liberté, en France comme à l'étranger  ».
L'expression est juste. On ne défend pas la liberté sans prendre de front ceux qui la combattent. Surtout ceux qui, dans le cas d'Erdogan, l'assument avec un aplomb inouï. N'oublions pas que nous sommes liés à lui par un accord de défense dans le cadre de l'Otan. Et que son pays est toujours officiellement candidat pour rejoindre l'Union européenne. Ce statut d'allié nous inhibe sans doute un peu. Pas lui. Puisqu'on vous dit qu'il ose tout…
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Et en voulant transformer son pays déjà en démocrature (ou fausse démocratie) en république islamique !

Pour une fois notre président MACRON n'a pas pratiqué le politiquement correct hypocrite de bien-pensant et a soutenu "le point" c'est réconfortant !

Quelque fois, il m'arrive de dire qu'il y a trop de liberté mal encadrée
Mais celle-ci est la plus belle garante des autres et elle est inaltérable pour le bien de tous les français qui aime la France leur pays !

Il est préoccupant dans notre monde occidental libre et démocratique que l’on doit supporter de tels dirigeants extrémistes pseudo dictateur ou même confirmé comme tel et que quelque fois on reçoit chez nous !

Cela confirme qu’il ne mérite pas une entrée dans l’union européenne et si cela arrivait par malheur par l’inertie de nos dirigeants, les peuples d’Europe ne l’accepteraient pas, car ce serait grave pour la paix !

Il serait temps que nos élites (si on peut les appeler comme cela) se remémore notre histoire européenne contemporaine pour ne pas commettre les mêmes erreurs du passé !

Jdeclef 30/05/2018 16h13


WOERTH : c'est la clique sarkozienne il n'a pas de chance si la justice se réveille lentement mais surement !


Affaire libyenne : Éric Woerth mis en examen

L'ex-ministre du Budget est inculpé pour « complicité de financement illégal de la campagne » présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007.


L'ancien ministre français Éric Woerth a été mis en examen mardi pour « complicité de financement illégal de campagne » dans le cadre de l'enquête sur des soupçons de financement libyen de la campagne de l'ancien président français Nicolas Sarkozy en 2007. Cette inculpation de l'ancien trésorier de la campagne et actuel président (LR, droite) de la commission des finances de l'Assemblée nationale découle d'investigations de la police anticorruption qui avait souligné, dans un rapport de septembre 2017, l'« ampleur de la circulation d'espèces » dans l'entourage du candidat de la droite, lui-même inculpé en mars dans ce dossier.
Jean-Yves Le Borgne, avocat de l'ex-ministre du Budget et du Travail, explique dans un communiqué : « Il lui est reproché d'avoir remboursé en espèces à des collaborateurs, pendant la campagne, des frais pour moins de 4 000 euros, selon le dossier, et d'avoir versé des gratifications, après l'élection, à divers salariés pour un montant, selon l'enquête, de l'ordre de 7 000 euros ; même si Éric Woerth a estimé de mémoire, 10 ans après les faits, à une trentaine de milliers d'euros les gratifications en espèces opérées après la campagne ». Et Jean-Yves Le Borgne de s'interroger : « est-il raisonnable de rapprocher ces faits, sans aucune preuve, des millions d'euros prétendument versés par Kadhafi ? ». L'ex-ministre conteste fermement ce raisonnement et s'insurge contre la poursuite dont il fait l'objet, affirmant avec vigueur – ce que le dossier ne contredit pas – qu'il n'a rien à voir avec « l'affaire libyenne ».
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Et avec sa tête de comptable, on n'est pas surpris de sa mise en examen car on le voit souvent indirectement depuis le début, cité derrière les affaires douteuses dans le sillage de N.SARKOZY !

(Rappelons-nous l'affaire BETENCOURT...par exemple)

En tous cas la liste est longue des collaborateurs ou amis de l’ex président inutile de les citer dans ce panier de crabes, d’ailleurs certains ont déjà été condamné (Guéant par exemple pour ne citer que celui-là ?!)

On se demande seulement si au final N.SARKOZY va finir en procès devant la justice avec sa batterie de casserole ?!

Tout cela fait partie dans l’ancienne classe politique sclérosée, mais est-ce que les nouveaux sont blancs bleus, l’avenir le dira (peut être… ?!)

Enfin les français n’ont pas de chance avec leurs politiciens élus, c’est pourquoi certains de plus en plus nombreux ne votent plus c’est dommage !

Jdeclef 30/05/2018 13h45 LP

La Commission nationale des comptes de campagne (CNCCFP), vérifie tous les comptes des candidats à la campagne présidentielle de 2017 ?!


Comptes de campagne : le parquet de Paris ouvre une enquête sur Mélenchon

Une enquête préliminaire doit mener des vérifications quant à une possible violation des règles de financement dans la campagne présidentielle de l'Insoumis.


Les comptes de campagne de Jean-Luc Mélenchon sont en passe d'être minutieusement scrutés par la justice. Mardi, en fin de journée, le parquet de Paris a décidé, selon une source judiciaire, d'ouvrir une enquête préliminaire dans le but de mener plusieurs « vérifications sur une éventuelle violation » des règles en vigueur en matière de financement de campagne, en lien avec la candidature du patron des Insoumis à l'élection présidentielle de 2017.
Jean-Luc Mélenchon « garantit » avoir agi « honnêtement et scrupuleusement dans la conduite financière » de sa campagne de 2017, mardi dans un communiqué. « Je garantis que je ne comprends pas comment la Commission nationale des comptes de campagne a pu à la fois valider mes comptes et faire un signalement. Ni pourquoi elle ne m'en a jamais informé auparavant alors que cette démarche date du 18 mars dernier (...). Ni pourquoi elle l'a fait alors qu'elle a au contraire fait un communiqué pour défendre les rabais dont a bénéficié le candidat Macron », affirme le dirigeant de La France insoumise. « Un communiqué pour lui, un signalement judiciaire pour moi ! » Dans son communiqué, qui contient onze fois les mots « je garantis », Jean-Luc Mélenchon affirme ne pas comprendre pourquoi cette commission « n'a pas demandé elle-même davantage de vérifications alors que c'était sa mission et qu'elle a posé à mon mandataire financier plus de deux mille questions orales ou écrites sur ce compte ».
Saisi par un signalement le 16 mars dernier de la Commission nationale des comptes de campagne (CNCCFP), le parquet de Paris a confié en avril aux policiers anticorruption de l'Office central de la lutte contre les infractions fiscales et financières (Oclciff) « le soin de procéder à des vérifications sur une éventuelle violation des prescriptions du code électoral relatives au financement des campagnes électorales », a précisé la source judiciaire. Fin 2017, la CNCCFP, autorité administrative indépendante, avait validé les comptes de campagne des 11 prétendants à l'Élysée mais après avoir retranché certaines dépenses notamment pour Jean-Luc Mélenchon (LFI) et Marine Le Pen (FN).

Plusieurs montants interrogent

Le signalement adressé au parquet citait notamment des dépenses facturées par deux associations, L'Ère du peuple et Mediascop et qui ont été passées en revue lors du contrôle par les rapporteurs de la CNCCFP, selon une source proche du dossier. L'association L'Ère du peuple a ainsi facturé à la campagne un montant de dépenses de 440 027 euros correspondant à des locations de salles, des locations de matériels informatiques et audiovisuels, et à des prestations intellectuelles de quatre de ses salariés dont trois étaient également membres de l'équipe de campagne », relevait la CNCCFP dans sa décision du 21 décembre 2017 publiée le 13 février dernier au Journal officiel.
Or, a souligné l'autorité, « l'association L'Ère du peuple relève de la loi sur les associations de 1901 et n'a pas d'activité commerciale déclarée ». Ses bureaux étaient par ailleurs « situés à la même adresse que l'association de financement électorale ». La Commission avait par ailleurs retranché 54 600 euros de dépenses qui avaient été facturées par la société Mediascop, dont 35 250 euros au motif d'« écarts significatifs » entre les montants facturés et « la grille tarifaire de cette entreprise » dirigée par Sophia Chikirou, responsable de la communication du candidat. Arrivé en quatrième position au premier tour de la présidentielle, M. Mélenchon percevra au total 6 031 304 euros de remboursement de l'État.
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Alors MELENCHON ce nanti n’a pas à s’offusquer s’il est sur la sellette comme SARKOZY par exemple, ce ne sont pas des saints au-dessus des lois…

S’il n’a rien à se reprocher et que la commission ne trouve pas d’irrégularités, il pourra se gausser et faire son coq en gonflant le torse et dire qu’il était encore visé, car opposant au pouvoir en place !

De toute façon s’en vouloir le critiquer plus qu’il ne faut comme opposant, « il ne casse pas trois pattes à un canard » et devient fatiguant !

Il est pitoyable, cet ex socialiste devenu extrême gauche champion du dégagisme qu’il prônait (mais pas pour lui) auquel il a échappé !

Jdeclef 30/05/2018 12h30 LP

En FRANCE nos autorités quel qu’elles soient attendent trop longtemps pour régler les problèmes divers des migrants !


Paris : début de l'opération d'évacuation du plus grand campement de migrants

L'opération a commencé peu après 6 heures sur le campement du « Millénaire , dans le nord-est de la capitale, où 1 700 personnes ont été recensées.


Les forces de l'ordre ont lancé ce mercredi 30 mai au matin l'opération d'évacuation du plus gros campement de migrants parisien, où quelque 1 700 personnes ont été recensées au nord-est de la capitale, a constaté une journaliste de l'Agence France-Presse. L'opération a débuté peu après 6 heures sur le campement du Millénaire, au cœur d'une bataille politique entre le gouvernement et la mairie de Paris. Cette évacuation, la 35e organisée dans la capitale depuis trois ans, « conduira à l'hébergement temporaire des personnes concernées dans une vingtaine de sites de Paris et de la région parisienne », a déclaré le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb dans un communiqué.
Originaires essentiellement du Soudan, de Somalie et d'Érythrée, ces migrants étaient installés dans des conditions de très grande précarité sous des tentes serrées le long du canal de Saint-Denis, sous le périphérique. Dans l'attente de leur évacuation, tous les migrants sont sortis de leurs tentes et attendent dans le calme, leur sac à la main. Des CRS sont descendus sur le quai, d'autres arrivent en bateau. « On ne sait pas trop où on va. Ici c'était dur », déclare Issam, un Libyen arrivé ici il y a sept mois, son sac pour tout bagage sur le dos.
Immigration : comment l'Europe veut prévenir une nouvelle crise
Près de 24 structures d'accueil, essentiellement des gymnases, ont été mobilisés en Île-de-France pour accueillir les migrants, a indiqué la préfecture de police. « Si un dispositif calibré de pré-accueil n'existe pas sur l'ensemble du territoire ce type de phénomène va recommencer », assure Pierre Henry, directeur général de l'ONG France terre d'asile, présent sur place. Deux autres campements sont installés depuis des mois à Paris : près du canal Saint-Martin ou vivent quelque 800 migrants (surtout des Afghans) et porte de la Chapelle avec 300 à 400 personnes. « Les autres campements seront évacués dès que possible et si possible la semaine prochaine », a annoncé à la presse Michel Cadot, préfet de la région Île-de-France, lors de l'évacuation du campement du « Millénaire ».
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Et à chaque fois jusqu’à que ce soit ingérable un grand défaut dans notre pays mal géré par des élus politiciens de tous bords laxistes depuis trente ans qui ont repoussé la poussière sous le tapis !

Mais qui sont dépassés par l’ampleur du problème car là on évacue un camp insalubre mais on n’arrête pas le flux de ceux qui rentre continuellement !

On a eu CALAIS (qui n’est pas réglé totalement d’ailleurs avec les communes limitrophes OUISTREAM par exemple) qui mobilise des bataillons de policiers
Et maintenant comme prévu cela s’est déplacé à PARIS ou la maire A.HIDALGO est totalement dépassée et pas que pour cela !

Il faut recréer un ministère de l’immigration qui devrait prendre en charge à bras le corps ce problème qui ne cessera pas et prendre aussi des mesures pérennes efficaces c’est tout !

Car les français n’en peuvent plus et le pays n’a pas les moyens pour l’instant d’assumer cette charge grandissante il faudrait un peu de bon sens et non pas des attitudes politiciennes bornées de bien-pensants donneurs de leçons hypocrites qui se rejettent la balle avec en plus les associations diverses qui sont légion qui brouille les cartes !

Jdeclef 30/05/2018 09h39 LP

Ne jugeons pas ces médecins, si nous ne le sommes pas nous-mêmes, mais :


Lisieux : deux médecins se battent en plein bloc opératoire

Un urologue et un anesthésiste en sont venus aux mains alors qu'une patiente se trouvait sur la table d'opération, raconte « Le Parisien ».


Ce sont des gestes qui pourraient bien leur valoir la radiation. Samedi dernier, deux médecins de la polyclinique de Lisieux dans le Calvados ont comparu devant la chambre disciplinaire de l'ordre des médecins de Caen, rapporte Le Parisien , pour une histoire assez incroyable. Il est reproché aux deux hommes de s'être battus à coups d'antiseptique et de ciseaux médicaux en plein bloc opératoire. Devant la chambre, les deux hommes se sont rejeté la faute. « On a évité de peu un drame catastrophique », leur rappelle quand même l'un des membres de cette chambre.
La scène s'est déroulée le 25 février 2017. L'anesthésiste, engagé un an auparavant, est furieux, car à 18 heures il vient d'apprendre qu'une intervention supplémentaire a été programmée en dernière minute et qu'il ne la juge pas urgente. « La charte du bloc prévoit qu'aucune opération ne doit démarrer après 16 heures », précise son avocat, Me Olivier Leca. Son client est alors le seul anesthésiste de la clinique et fait face à une charge de travail très importante.

« Connard incompétent »

L'homme entre alors dans le bloc opératoire « en furie », alors qu'une patiente endormie se trouve sur la table d'opération, pour faire face au « connard incompétent », l'urologue, à qui il doit cette « intervention surprise », raconte Le Parisien. Le ton s'envenime très vite et le chirurgien saisit finalement un récipient d'antiseptique qu'il jette au visage de l'anesthésiste. « Un simple geste d'évitement. Il se sentait menacé », invoque son avocate, Me Emmanuelle Duval. C'est en réponse à ce geste que l'anesthésiste s'empare de ciseaux qui se trouvent sur le plateau médical. « Bien décidé à en découdre », selon le magistrat qui instruit le dossier, cité par le quotidien. Il est finalement stoppé par un infirmier qui le fait sortir du bloc opératoire.
Les deux hommes auront encore des mots dans le vestiaire de la clinique. En témoignent des téléphones à terre et une montre cassée. Le chirurgien est ensuite accusé par son collègue de l'avoir frappé au visage avec sa mallette d'ordinateur, entraînant une fracture au niveau de l'œil et un mois d'arrêt de travail.

Problèmes d'organisation

Devant la chambre disciplinaire, ils ont tous les deux évoqué des problèmes d'organisation, raconte Le Parisien. Pour l'anesthésiste, qui a depuis présenté sa démission, « c'était prévisible ». Des propos qui n'ont pas manqué de faire réagir la directrice de la polyclinique qui assistait à l'audience. Mais pour le président de la chambre disciplinaire, « ça ne change rien au fait que vous auriez dû garder votre sang-froid, surtout au bloc… »
La décision pour ces deux médecins, qui risquent la radiation pour leurs gestes, a été mise en délibéré. Ils devraient être fixés d'ici un mois, précise le quotidien. Le parquet de Lisieux a lui aussi été saisi du dossier.
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Quand on est sur son lieu de travail et en plus à faire des taches précises qui engage les soins ou la vie d'un malade dans un bloc opératoire !

Car c’est valable pour tous métiers et professionnels !

On ne se bat pas avec un collègue comme des chiffonniers !

On voit certains médecins souvent spécialistes dont leur soi-disant compétence leur monte à la tête et sont pétris d’orgueil démesurés qui d’ailleurs en passant se font rémunérer grassement et font partie de ceux qi se plaignent de leurs conditions de travail ou autres argumentant en passant que le niveau de leurs études et la longueur de celles-ci car le méritant !

Mais on se rend compte que leur éducation ne suit pas toujours et notamment ne serait-ce que le simple respect des malades lambdas qu’ils ont à soigner !

Alors que la patiente était endormie, heureusement qu’elle n’a assisté à cette scène lamentable !

Cela mérite au minimum un licenciement immédiat sine die de ces deux individus irrespectueux et vindicatifs !

Mais il faut savoir que dans les hôpitaux ou cliniques ce genre de personnages irascibles orgueilleux n’est pas si rare que çà (je peux en témoigner car j’ai fréquenté beaucoup les hôpitaux pour ma pathologie cardiaque sérieuse, ainsi que ma pauvre épouse transplantée du foie décédée depuis !)

Cette caste de certains médecins de haut niveau nantis devrait être remise à niveau en ce qui concernent leurs comportements quelque fois inadmissibles !

Jdeclef 30/05/2018 09h04 LP

mardi 29 mai 2018

Toujours tergiverser, terroriste ou déséquilibré, le résultat est le même au final!?


Belgique : une fusillade fait trois morts à Liège, dont deux policiers

VIDÉO. Le dossier a été confié au parquet fédéral, compétent en matière de terrorisme. L'assaillant a été abattu par des policiers.


Un homme a tué trois personnes, dont deux policiers, mardi matin à Liège (est de la Belgique), avant d'être abattu par des membres des forces de l'ordre, a annoncé à l'Agence France-Presse une porte-parole du parquet de la ville. L'attaque a eu lieu vers 10 h 30. Après avoir tiré sur la voie publique, l'assaillant s'est réfugié dans un lycée. Une brève prise d'otage a suivi, au cours de laquelle personne n'a été blessé, selon des sources officielles. Les trois victimes du tireur sont deux policiers et « la passagère d'un véhicule » qui circulait dans le quartier, a précisé à l'Agence France-Presse Catherine Collignon, porte-parole du parquet de Liège. Elle a fait état de deux blessés, en plus des personnes tuées.
Selon le philosophe Daniel Salvatore Schiffer, présent à 500 mètres des lieux, un hélicoptère survole le centre de la ville. Vingt camionnettes de police ont été déployées et les pompiers sont sur place. La fusillade a eu lieu sur le boulevard d'Avroy, l'un des axes les plus importants de la ville et qui va de la cathédrale à la grande gare de Liège. La ville se situe à une trentaine de kilomètres de Verviers, là où une cellule de terroristes impliquée dans les attaques contre Bruxelles et Paris avait été démantelée.
Les circonstances des tirs sont encore « floues », a-t-elle souligné, tandis que la police de la ville a indiqué sur Facebook qu'il y avait eu une « prise d'otage ». « On ne sait rien pour l'instant », a ajouté la porte-parole Catherine Collignon à propos des motivations de l'assaillant, sans notamment pouvoir confirmer les informations de presse selon lesquelles il aurait crié « Allah Akbar ». L'enquête a été confiée au parquet fédéral belge, compétent en matière de terrorisme, a-t-elle précisé. « Il y a des éléments qui vont dans la direction d'un acte terroriste », a justifié Éric Van Der Sypt, porte-parole du parquet fédéral, également joint par l'Agence France-Presse. Des médias belges indiquent par ailleurs que l'assaillant, connu pour divers délits, avait été libéré la veille de la prison de Lantin, près de Liège.

« Un acte odieux »

« Nos pensées sont avec les victimes de cet acte odieux à Liège », a réagi sur Twitter le ministre de l'Intérieur belge Jan Jambon, ajoutant que les autorités étaient en train d'essayer d'établir « ce qui s'est passé exactement ». Le gouverneur de la province de Liège a indiqué de son côté que la prise d'otage qui a suivi la fusillade avait eu lieu dans un lycée. « Les élèves sont en sécurité et aucun n'a été blessé », a-t-il écrit sur Twitter.
La Belgique, frappée par des attentats jihadistes qui ont fait 32 morts le 22 mars 2016, a été depuis le théâtre de plusieurs agressions contre des militaires ou des policiers. La dernière attaque considérée comme « terroriste » s'est produite le 25 août 2017 : un homme de 30 ans d'origine somalienne a agressé des soldats au couteau, blessant légèrement un d'eux, en criant « Allah Akbar » en plein cœur de Bruxelles. Il a été abattu.
Le 6 août 2016, un Algérien vivant en Belgique avait attaqué à la machette deux policières devant l'hôtel de police de Charleroi (sud) aux cris de « Allah Akbar », les blessant au visage et au cou avant d'être abattu. Le groupe État islamique (EI) avait revendiqué cette attaque le lendemain. En septembre 2016, c'est dans la commune bruxelloise de Molenbeek que deux policiers avaient reçu des coups de couteau sans toutefois être blessés, grâce au port d'un gilet pare-balles.
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De toutes façons le tueur a été abattu, alors pour savoir ce qui l'a motivé pour cet attentat qui ressemble à des méthodes déjà utilisées ?!

Car terroriste islamique et fanatique ou un déséquilibré, voire un mélange des deux dans nos sociétés modernes démocratiques et libres, on en rencontre de plus en plus hélas !

Alors bien sûr, si c’est un déséquilibré psychiatrique, cela donne meilleure conscience à nos autorités de bienpensants hypocrites, car elles considèrent que c’est moins grave et pas responsable directement, attitude pitoyable !

Peut importe si cela fait autant de victimes innocentes, puisque certains de nos dirigeants admettent qu’il faut vivre avec et subir ces drames devenus fréquents !

C’est comme les accidents de la route imprévisibles par exemple ..!

Enfin, c’est bien triste pour nos amis belges qui ont déjà subi de multiples attentats divers et se croyaient peut-être enfin tranquille, tout comme chez nous qui voyons une recrudescence de ces attentats, ou chez eux commis par leurs ressortissants !

On a une impression désagréable que plus jamais, on ne retrouvera une vie sans menace terroriste et sereine à cause de malfaisants qui se disent fou de dieu et prouvent encore une fois que les religions et leurs extrémismes moyenâgeux diminuent notre sécurité en divisant les hommes souvent les plus faibles dont on lave le cerveau !

Jdeclef 29/05/2018 14h13

Si le patron de CARREFOUR veut faire des économies sur ces dépenses publicitaires qui ne sont pas prioritaires…


Tour de France : Carrefour ne veut plus porter le maillot à pois

D'après les informations des « Échos », le groupe aurait décidé de ne pas reconduire son partenariat de rang 1 à l'issue de cette édition du Tour.


C'est un partenariat de longue date qui pourrait s'achever pour le Tour de France. En 2019, le fameux maillot à pois qui distingue le meilleur grimpeur de la compétition ne portera plus le nom de Carrefour, indique Les Échos . La marque aurait choisi de ne pas renouveler son partenariat à l'issue de cette édition de la Grande Boucle. Carrefour sponsorisait ce maillot depuis 2009, un héritage de la fusion avec Pomodès en 1999, auparavant c'était un autre supermarché, Champion, qui ornait le maillot à pois depuis 1993.
D'après les informations des Échos, c'est le montant demandé par l'organisateur du Tour de France qui aurait conduit à cette décision. Amaury Sport Organisation (ASO) réclamerait 8 millions d'euros par an pendant 4 ans pour ce partenariat sur la tunique de meilleur grimpeur, près de 3 fois plus que le montant actuel. Alors que le groupe est en pleine restructuration et qu'Alexandre Bompard souhaite se recentrer sur des partenariats alimentaires, la décision d'un renouvellement aurait été difficilement comprise.

 « Club du Tour »

Mais le Tour de France, la plus célèbre des épreuves cyclistes, qui bénéficie d'une aura mondiale, précise le quotidien économique, peut compter sur de partenaires de poids. Le « Club du Tour », soit les partenaires de rang 1, réunit la banque LCL (7 millions d'euros pour le maillot jaune), le constructeur auto tchèque Skoda (3,5 millions d'euros pour le maillot vert du meilleur sprinter), l'opticien Krys (pour le maillot blanc du meilleur jeune) ou encore Vittel, l'eau officielle de la Grande Boucle.
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Car les magasins carrefour petits ou grands on connait en France et ce que recherche les clients lambda populaire de ce type de grandes enseignes c'est les meilleurs prix et beaucoup de choix !

Et puisqu'il veut redresser la Sté en perte de vitesse, il vaut mieux tailler dans ce type de dépenses !

De plus maintenant semble -t-il les clients reviennent ver les magasins de proximité, plutôt que ces hyper marches excentrés en marge des grandes villes!

Sans compter ceux qui font leurs achats de plus en plus nombreux sur internet et se font livrer !

Et avec comme concurrent sérieux AMAZON ou on trouve tout (hors alimentation pour l'instant, mais jusqu'à quand ?...)

Jdeclef 29/05/2018 11h41

C'est amusant de voir E.MACRON qui défend le point attaqué par ERDOGAN et des manifestants turcs en France !


Emmanuel Macron défend « Le Point », attaqué par Erdogan

Dans un meeting, le président turc a accusé « Le Point » d'être complice du terrorisme. En France, les réactions s'enchaînent, de l'Élysée jusqu'à l'Assemblée.


La réaction de la ministre de la Culture, Françoise Nyssen, s'est pourtant fait attendre. Deux jours après les pressions et menaces en tout genre des partisans d'Erdogan en France sur les kiosquiers, elle s'est finalement fendue d'un tweet de soutien au journal et aux distributeurs : « La liberté de la presse repose sur la liberté de distribution. Nous ne pouvons tolérer aucune menace contre les kiosquiers. Inacceptable. »
« La liberté de la presse n'a pas de prix : sans elle, c'est la dictature. » Ainsi a réagi le président de la République Emmanuel Macron, lundi sur Twitter, après que des sympathisants de Recep Tayyip Erdogan ont fait retirer des affiches du Point qui ne leur plaisaient pas. Preuve également, s'il en fallait, que le mot « dictature » trouve toute sa place dans la critique faite au chef d'État turc au regard des méthodes de ses soutiens, là-bas comme en métropole.
C'est à Manisa, dans l'ouest de la Turquie, lors d'un meeting de campagne – il vise son deuxième mandat – qu'Erdogan a répondu à la couverture du magazine. « Ceux qui déploient le tapis rouge aux terroristes sous le regard de la police sont les mêmes qui, sous la dénomination de magazine, protègent des affiches qui sont contre nous », a-t-il lancé à ses supporteurs, avant de tenter de se justifier : « J'ai noué des liens avec mon peuple, qu'importe les affiches, qu'importe ce que vous dites. »

Non négociable

Du Pontet jusqu'à Avignon, où l'affiche du magazine a été arrachée d'un kiosque à journaux, les scènes rapportées ont suscité de nombreuses réactions de politiques. Sur Twitter, le député du Front national Gilbert Collard a dénoncé que la « dictature [d'Erdogan] s'impose ». Même son de cloche chez la députée Les Républicains des Bouches-du-Rhône Valérie Boyer : « Illustration de l'ingérence de la Turquie d'Erdogan dans la liberté d'expression française. » Nicolas Dupont-Aignan a fustigé le « [harcèlement] par les militants pro-Erdogan », ajoutant que « la liberté d'expression est un principe non négociable ».
Dans les rangs de la majorité, les soutiens à « la liberté d'expression » ne se sont pas non plus fait attendre. Au micro de France 3, dimanche, le patron du groupe LREM à l'Assemblée nationale, Richard Ferrand, ne veut « tolérer que la une d'un magazine en France soit en quelque sorte censurée par pression ». « Ça s'appelle l'information. Ça se base sur la liberté de la presse et en France, comme ailleurs, ce n'est absolument pas négociable », a tweeté pour sa part Brune Poirson, secrétaire d'État auprès du ministre de la Transition écologique et solidaire. Manuel Valls a, lui, invité à lire le journal, car « personne ne doit pouvoir entraver la liberté de la presse ».
La réaction de la ministre de la Culture, Françoise Nyssen, s'est pourtant fait attendre. Deux jours après les pressions et menaces en tout genre des partisans d'Erdogan en France sur les kiosquiers, elle s'est finalement fendue d'un tweet de soutien au journal et aux distributeurs : « La liberté de la presse repose sur la liberté de distribution. Nous ne pouvons tolérer aucune menace contre les kiosquiers. Inacceptable. »
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Et en plus que certains modérateurs du point qui eux, avaient censuré sur leur site de leur journal, voir mon post :

Une fois pour toute la liberté de la presse en France fait partie de nos libertés fondamentales !?

CONFIRMATION :

Donc si ces turcs ne veulent pas le comprendre, qu'ils ne vivent pas chez nous et retournent chez eux ou la liberté de la presse n’existe pas et ou enferme des journalistes qui critique le régime autocratique de leur pays !

Et qu'ils ne se plaignent pas, (si on ne les renvoie pas chez eux !)

Ce qu'on devrait faire d'ailleurs, car on a déjà assez de problèmes avec nos donneurs de leçons hypocrites bien-pensants !

Jdeclef 29/05/2018 09h34 LP

Oui et alors ?! Moi j'ai passé 18 mois en Algérie en 1966 à MERS EL KEBIR ORAN !


La France va octroyer une carte du combattant aux militaires en Algérie après 1962

Ces soldats déployés entre 1962 et 1964 n'ont jamais pu bénéficier des avantages de la carte du combattant, notamment une retraite de 749 euros par an.


Le gouvernement français va accorder l'an prochain la carte du combattant et ses avantages aux soldats déployés en Algérie après l'indépendance du pays, entre 1962 et 1964, a annoncé la secrétaire d'État auprès de la ministre des Armées, Geneviève Darrieussecq. « Plusieurs dizaines de milliers de jeunes Français de l'époque furent déployés dans ce pays entre les mois de juillet 1962 et de juillet 1964 à la suite des accords d'Évian » de mars 1962, qui ont marqué la fin du conflit armé dans l'ancienne colonie française, souligne Geneviève Darrieussecq dans un communiqué.
Or, « ils n'ont jamais pu bénéficier de la carte du combattant et des avantages qui s'y attachent, comme peuvent la recevoir aujourd'hui ceux qui sont déployés hors du territoire national dès lors que la France agit dans le cadre de ses obligations internationales », constate-t-elle. « Le Premier ministre, soucieux de respecter les engagements du président de la République [pris pendant la campagne électorale d'Emmanuel Macron, NDLR], a décidé de leur attribuer la carte du combattant dans le cadre du projet de loi de finances pour 2019 », annonce la secrétaire d'État.
La carte du combattant donne droit notamment à la retraite du combattant (749 euros par an) et au port de la croix du combattant. Cette mesure, « demandée depuis des années par les associations du monde combattant » selon le ministère, fait l'objet de propositions de loi récurrentes. La dernière en date, présentée par le député Gilles Lurton (Les Républicains), avait été repoussée en avril dernier par l'Assemblée nationale au motif que ce texte était « prématuré ». D'après Gilles Lurton, cette mesure est susceptible de concerner 24 000 bénéficiaires, pour un coût de 18,7 millions d'euros annuels. En avril, la secrétaire d'État assurait de son côté que les chiffres « varient selon les associations, les parlementaires et les services de l'État ».
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Base navale française gigantesque souterraine chargée d'histoire depuis la dernière guerre 39/45 !

J'étais marin, appelé, je n'avais pas demandé à y aller (et j'ai même été malade et j'y ai récolté ceci en passant une hépatite virale !)

Et à titre d’anecdote quand j’ai été libéré je suis rentré en France et en arrivant à PARIS, pour aller chez moi chez mes parents, j’ai pris le métro en tenue de marin avec sur mon chapeau l’inscription « MARINE MERS EL KEBIR »

Une gentille petite dame étonnée de me voir, ma posé cette question : il y a encore des soldats en ALGÉRIE ?

Et je lui ai répondu et oui il en reste encore, de l’armée de terre, aviation et marine, mais çà personne ne l’a dit, car à cette époque les médias dépendaient du ministère de l’information qui ne disait pas tout ….

Jdeclef 29/05/2018 08h23

lundi 28 mai 2018

L'ITALIE depuis l'après-guerre mondiale par leur constitution ressemble à :


L'Italie en pleine crise politique

Après avoir imposé son veto à un gouvernement populiste eurosceptique, le président italien s'apprête à désigner Carlo Cottarelli, incarnation de l'austérité budgétaire.


En plein chaos politique, le président italien Sergio Mattarella s'apprête ce lundi 28 mai à désigner Carlo Cottarelli, incarnation de l'austérité budgétaire, pour diriger le pays vers de nouvelles élections, après avoir imposé son veto dimanche à un gouvernement populiste clairement eurosceptique. Exit Giuseppe Conte, ce juriste novice en politique que les chefs du Mouvement 5 étoiles (M5S, antisystème) Luigi Di Maio et de la Ligue (extrême droite), Matteo Salvini, majoritaires au Parlement, avaient proposé pour le poste de chef de gouvernement. Ils l'avaient chargé de présenter dimanche au président l'équipe devant appliquer à la troisième économie de la zone euro un programme commun anti-austérité et sécuritaire âprement négocié.
Sergio Mattarella a expliqué avoir validé tous les noms sauf celui sur lequel les deux alliés refusaient de transiger pour le portefeuille de l'Économie et des Finances : Paolo Savona, 81 ans, un économiste d'expérience mais clairement eurosceptique, qui considère l'euro comme « une prison allemande ». Il évoque, dans un livre cité par la presse italienne, « un plan B pour sortir de l'euro si on y est contraint, de gré ou de force ». Le veto du président a déclenché la colère des partis antisystèmes : « Disons-le clairement qu'il est inutile d'aller voter, puisque les gouvernements ce sont les agences de notation, les lobbies financier et bancaire qui les font. Toujours les mêmes », s'est insurgé Luigi Di Maio. « L'Italie n'est pas un pays libre, c'est un pays occupé financièrement, pas militairement, par les Allemands, par les Français et par les bureaucrates de Bruxelles », a rugi Matteo Salvini.
Le président a pourtant tenté de s'expliquer devant la presse : « La désignation du ministre de l'Économie constitue toujours un message immédiat de confiance ou d'alarme pour les opérateurs économiques et financiers. » En effet, vendredi, la Bourse de Milan avait terminé sur une nouvelle baisse de 1,54 %, tandis que le spread, l'écart entre les taux d'emprunt à dix ans allemand et italien, avait atteint dans l'après-midi 217 points, son plus haut depuis décembre 2013.

« Monsieur Ciseaux »

Et c'est justement dans la perspective de la réouverture des marchés financiers ce lundi 28 mai que Sergio Mattarella a annoncé dès dimanche soir la convocation de Carlo Cottarelli, un économiste de 64 ans, ancien haut responsable du Fonds monétaire international (FMI) surnommé « Monsieur Ciseaux » pour son rôle dans la réduction des dépenses publiques en 2013-2014 sous les gouvernements de centre gauche. Carlo Cottarelli, actuel directeur de l'Observatoire des comptes publics, devrait être chargé de former un gouvernement technique qui n'a quasiment aucune chance d'obtenir la confiance du Parlement tant le M5S et la Ligue sont vent debout contre lui. Matteo Salvini a dénoncé « un Monsieur Personne qui représente la finance internationale », et Luigi Di Maio « l'un de ces experts donneurs de leçons qui nous ont accablés en taillant dans la santé, l'éducation, l'agriculture... » L'unique mission de Carlo Cottarelli devrait donc être de mener le pays à de nouvelles élections, dans un climat qui s'annonce électrique.
 « Après ce soir, il est vraiment difficile de croire dans les lois et les institutions de l'État », a fait valoir Luigi Di Maio, dont le parti avait obtenu plus de 32 % des voix lors des législatives de mars. « D'accord, retournons aux urnes. Mais si j'obtiens 40 % et que je reviens au Quirinal avec Savona, cela changera quelque chose ? » Très amer, il a annoncé sa volonté de mettre le chef de l'État en accusation devant le Parlement, pour obtenir sa destitution. Mais la Constitution ne permet de le faire qu'en cas de « haute trahison » ou d'« atteinte à la Constitution ». Matteo Salvini ne s'est pas prononcé sur cette éventuelle procédure et s'est en revanche résolument tourné vers les prochaines élections : « Voter servira dix fois plus la prochaine fois. Ce sera un référendum : on gagne ou on meurt. »
Le chef de la Ligue est en pleine ascension : après avoir obtenu 17 % aux dernières législatives, il est actuellement autour de 25 % d'intentions de vote dans les sondages. Mais pour remporter les élections, il devra renouer avec ses alliés de droite et d'extrême droite, qui ont vivement critiqué le programme négocié avec le M5S. Et dimanche soir, Silvio Berlusconi s'est rangé du côté de Sergio Mattarella : « Dans les circonstances actuelles, le premier devoir de tous est de défendre l'épargne des Italiens, en protégeant les familles et les entreprises de notre pays », a expliqué le vieux milliardaire dans un communiqué. La présidente du Sénat, Maria Elisabetta Alberti Caselatti, a rappelé que de nouvelles élections ne changeraient pas forcément la donne : « Si nous retournons voter maintenant avec la même loi électorale, nous nous retrouverons dans les mêmes difficultés qu'aujourd'hui. »
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Celle que nous avions en France sous la 4eme république avant que le Général de Gaulle qui a créé la V eme actuelle (qui a d'ailleurs montré ses limites ...) pour plus de stabilité constitutionnelle !

Cela rend notre voisin italien latin ingouvernable qui tient surement le record de changement de gouvernements depuis la libération !

Il vaudrait mieux qu'ils changent de constitution car leur pays va de plus en plus mal politiquement et surtout économiquement (pire que chez nous, ce n’est pas peu dire) et s'il chutait comme la GRÈCE s'en serait fini de l'Union européenne !

C’est pourquoi le président italien garant de la constitution n'a pas accepté ce nouveau gouvernement car certain ministre illuminé pressenti était anti-européen convaincu !

Jdeclef 28/05/2018 10h20 LP