samedi 31 août 2019

Ce président brésilien BOLSONARO est vraiment un mauvais clown triste :


Amazonie : Bolsonaro renonce aux stylos Bic, une marque « française »

En pleine crise diplomatique avec Paris, le président brésilien a indiqué qu'il userait désormais de stylos d'une marque brésilienne.


Le bras de fer que livre Jair Bolsonaro à la France dans le dossier des incendies en Amazonie se déplacera-t-il sur le front commercial  ? Vendredi, le président brésilien a affirmé qu'il allait renoncer à utiliser des stylos Bic, car il s'agit d'une marque « française ».
Il signait jusqu'à présent les documents officiels avec ces stylos bon marché, qu'il a souvent brandis devant les caméras comme le symbole de la modestie de son train de vie présidentiel, contrairement à celui de ses prédécesseurs.


Le Brésil, un énorme marché aérien qui attise les convoitises

La présidence ne commente pas « cette affaire »

« Un stylo (de la marque brésilienne) Compactor, à la place de Bic, fera l'affaire », a-t-il dit à des journalistes à Brasilia. La veille, il avait déclaré sur Facebook : « Maintenant, ce sera Compactor, parce que Bic est français. » Un porte-parole de la présidence, auquel l'Agence France-Presse a demandé si les déclarations présidentielles étaient à prendre au sérieux ou s'il s'agissait d'une boutade, a répondu ne pas souhaiter « faire de commentaires sur cette affaire ».


Quelque 95 % des stylos vendus au Brésil par Bic sont fabriqués à Manaus, dans l'État d'Amazonas, l'un des neuf États à abriter la forêt amazonienne au Brésil, a expliqué un chargé de la presse de la firme contacté par l'Agence France-Presse par mail. Le groupe emploie un millier de personnes dans ses usines de Manaus et de Rio de Janeiro. Bic n'a pas souhaité commenter les déclarations de Jair Bolsonaro, mais s'est dit « flatté » d'être reconnu comme étant « une marque démocratique ».

États-Unis et Brésil « sont sur la même longueur d'onde »

Les graves incendies qui sévissent en Amazonie ont donné lieu depuis la semaine dernière à des échanges très tendus entre le Brésil et la France. Pour le troisième jour consécutif vendredi, Jair Bolsonaro a demandé que le président français Emmanuel Macron se rétracte après qu'il eut déclaré ouverte la question de la souveraineté sur l'Amazonie, dont 60 % se trouve en territoire brésilien.
Amazonie : Bolsonaro minimise la gravité des incendies


Vendredi, le président brésilien a estimé que l'Europe n'avait « pas de leçon à donner » au Brésil sur l'Amazonie, tandis que son ministre des Affaires étrangères Ernesto Araujo, et Eduardo Bolsonaro, le fils député du chef d'État et possible futur ambassadeur à Washington, se sont rendus à la Maison-Blanche. Les deux hommes se sont entretenus une trentaine de minutes avec le président américain.
« Les gouvernements sont sur la même longueur d'onde », a assuré ensuite à la presse Ernesto Araujo, se félicitant que « pour la première fois » le président américain reçoive des officiels n'ayant pas le rang de président ou de chef d'État. Selon le ministre brésilien, « les gouvernements partagent le point de vue que les pays sont souverains sur leur territoire » et que les feux dans la plus vaste forêt tropicale du monde ne doivent pas être « un prétexte pour promouvoir l'idée d'un comité international pour gérer l'Amazonie ».
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Qui se complaît dans la caricature stupide !

Car si la Sté française BIC ne vendait plus ses stylos qui sont fabriqués dans deux grandes villes brésiliennes, ce qui donne du travail aux brésiliens, elle transférera cette fabrication peut être dans des pays peut être à moindre coups?!

Là on voit le mimétisme à la TRUMP dont il prend exemple par un chantage de petit esprit envers E.MACRON, sauf que lui n'a pas la puissance du président des USA !

C'est pitoyable pour un dirigeant qui a tout de même besoin des autres, car son pays va mal, mais pas seulement à cause de l'incendie de la forêt amazonienne!

Jdeclef 31/08/2019 16h20

Il rejoint les rangs des ex politiciens ou ex ministres écolos inutiles !


Un an après son départ du gouvernement, Nicolas Hulot revêt des habits d’opposant

Depuis sa démission du gouvernement, l’ancien ministre de la Transition écologique et solidaire s’est positionné, plusieurs fois, contre la ligne officielle d’Emmanuel Macron.
«Je ne veux plus me mentir», déclarait Nicolas Hulot le 28 août 2018 sur France Inter pour annoncer sa démission surprise du gouvernement. Un an plus tard, l’ancien ministre de la Transition écologique a tenu son engagement. L’ancien présentateur vedette d’«Ushuaïa» ne se prive pas de critiquer la politique menée par Emmanuel Macron.
Au début de la crise des «gilets jaunes», alors que le gouvernement constate les premiers débordements, Nicolas Hulot sort du bois. Selon lui, cette crise était «évitable», affirme-t-il sur France  2, le 22 novembre. L’ancien ministre -  toujours très écouté en matière d’écologie - s’en prend frontalement au gouvernement. Il déplore de ne pas avoir été assez «entendu» lorsqu’il avait fait part de ses propositions pour «un meilleur accompagnement social» afin de mener à bien la transition écologique.
Un nouveau coup dur pour l’exécutif survient à deux jours des élections européennes, le 24 mai 2019. Interrogé sur BFMTV, Nicolas Hulot préfère ne pas donner de consigne de vote. «J’ai choisi», indique-t-il, mais «je n’ai pas à me substituer aux consciences des gens». L’écologiste précise dans la foulée avoir des désaccords avec le président de la République. «Tout le monde n’a pas forcément - et c’est là peut-être qu’il peut y avoir une divergence - compris que le libéralisme est incompatible avec les enjeux écologiques», souligne-t-il. Des propos qui se révèlent finalement presque aussi néfastes qu’un appel à voter pour une liste d’opposition…

Divorce consommé

Le divorce est définitivement consommé entre Emmanuel Macron et Nicolas Hulot le 22 juillet. L’écologiste signe une tribune dans laquelle il appelle les députés à s’élever contre le Ceta, le traité de libre-échange entre l’Union européenne et le Canada. «Le plan d’action que j’ai moi-même endossé à l’automne 2017, n’a pas produit les résultats escomptés et les attentes légitimes n’ont pas été comblées», regrette-t-il. L’ancien ministre de la Transition écologique reconnaît notamment avoir échoué à «apporter les garanties nécessaires» sur des sujets comme «le veto climatique, les farines animales, les nouveaux OGM».
La sortie de trop pour Emmanuel Macron. Lors d’une conférence de presse à l’Élysée, initialement dédiée à la rencontre avec le président des Comores, Azali Assoumani, le chef de l’État réplique: «Quand on s’est battu pour améliorer un texte, on ne peut pas dire quelques mois plus tard le contraire. Ou alors il fallait le dire quand on était en responsabilité.» Le ton est sec. L’époque où Emmanuel Macron s’entretenait par SMS avec son ancien ministre semble bien loin. La tension est doucement redescendue le 23 août. Nicolas Hulot s’est réjoui sur Twitter qu’Emmanuel Macron se soit «opposé» à l’accord de libre-échange avec le Mercosur afin de marquer ses divergences avec le président brésilien, Jair Bolsonaro.
Pour la rentrée, Nicolas Hulot sera sur la scène du Festival Climax à Bordeaux le samedi 7 septembre. Son discours et le ton employé seront scrutés de près à l’Élysée.
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Il est bien comme tous ces écolos politiques, empêcheur de tourner en rond sachant retourner sa veste en fonction du sens du vent médiatique qui l'a mis en scène !

Jdeclef 31/08/2019 14h52 

Les USA ont subi cet attentat gigantesque, donc qu'ils soient jugés ces terroristes, ils ont déjà trop attendus !


11 Septembre : le procès des commanditaires fixé à janvier 2021

Le 11 janvier 2021 s'ouvrira à Guantanamo le procès de Khalid Cheikh Mohammed et de quatre de ses complices, explique le « New York Times ».

C'est un rendez-vous qui s'annonce marquant, presque 20 ans après l'attentat qui a frappé les États-Unis, le 11 septembre 2001. Selon le New York Times, un juge militaire a fixé au 11 janvier 2021 le début du procès de Khalid Cheikh Mohammed et de quatre de ses complices, soupçonnées d'être les cerveaux derrière les attaques. Ils risquent la peine de mort.
Pour la première fois, une date est fixée pour ce procès tant attendu, précise le New York Times.

Emprisonné à Guantanamo

C'est devant la justice militaire que ces cinq hommes vont comparaître, devant une cour installée sur la base de la Navy à Cuba. La prison de Guantanamo, qui devait initialement être fermée par Barack Obama, n'aura finalement jamais cessé son activité. En 2016, il y restait ainsi encore 60 détenus, parmi lesquels Khalid Cheikh Mohammed est le plus connu. En 2014, son avocat plaidait pour qu'il ne soit pas condamné à mort, précisant qu'il avait déjà subi 183 simulations de noyade. « Exécuter une personne après l'avoir torturée est illégal, inhumain et injuste », expliquait alors David Nevin.
Un ex-chef d'Al-Qaïda égérie d'une marque de cosmétiques turque
Près de 3 000 personnes sont mortes le 11 septembre 2011, alors que deux avions, détournés par des terroristes s'abattaient sur les tours du World Trade Center à New York, un autre sur le Pentagone à Washington, et que le dernier, qui se dirigeait vers Washington, s'écrasait dans un champ de Pennyslvanie.
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Ils le seront surement sévèrement, car aux USA la justice ne coupe pas les cheveux en quatre comme en FRANCE!

On voit bien comment dans notre pays, certain auteur d'attentat attende aussi comme des coqs en pâte dans une cellule aménagée pour son confort leur passage en jugement...

(Inutile de citer le nom de celui connu qui notamment continue à se moquer de notre justice !)

Et cela permettra de tourner une page très triste pour les nombreuses victimes et les survivants qui n'ont pas oublié !

Jdeclef 31/08/2018 10h05LP

vendredi 30 août 2019

Oui la sécurité à PARIS a beaucoup baissé n'en déplaise aux bien-pensants qui nous gouvernent (et aux modérateurs de certains hebdo qui censure à tout va malgré la liberté d'expression) !


Paris, une ville pas si sûre que ça

Un classement de « The Economist » place la capitale française en 23e position sur 60, entre Taipei et Bruxelles, loin de Tokyo, Singapour ou Osaka.

 À un an des élections municipales, la question mérite d'être posée. Comment la ville de Paris se situe-t-elle par rapport aux autres grandes métropoles mondiales  ? The Economist a classé 60 villes du monde en prenant en compte 57 critères différents, allant de la santé à la sécurité numérique en passant par la protection des personnes et les infrastructures. Bilan  ? La ville Lumière se classe en 23e position, loin des mieux classées, qui se situent principalement en Asie.
La première ville du classement est Tokyo, qui possède aussi l'aire urbaine la plus peuplée du monde, avec une note de 92 sur 100. Juste derrière, Singapour obtient la note de 91,5 sur 100. En troisième position, on trouve une autre ville japonaise, Osaka avec 90,9 sur 100. Un podium qui est identique à celui établi par The Economist lors des deux études précédentes en 2015 et 2017. De son côté, la capitale française se situe à la 23e place du classement avec 82,4 points. Pour Paris, la place reste aussi peu ou prou la même d'une étude à l'autre. En 2015, la ville se classait en 23e position avec 71,21 points et 24e en 79,71 points. La ville qui a connu un record du nombre de touristes en 2018 se situe entre Taipei et Bruxelles. Elle est toutefois loin d'être la meilleure ville en Europe, puisque l'on trouve Amsterdam, Copenhague, Stockholm, Londres ou encore Zurich devant elle.

Bonus à la santé

The Economist place également Paris en 15e position pour l'aspect sanitaire, notant que la ville a pris des mesures après la canicule de 2003 pour assurer la sécurité des personnes quand les températures sont trop élevées. En revanche, pour la sécurité des infrastructures, la ville chute en 25e position. Elle se retrouve notamment mise à l'index pour ce qui est de la gestion potentielle de désastres, qu'ils soient naturels ou de nature terroriste. Les différentes attaques terroristes qui ont frappé la capitale ces dernières années ont sans doute pesé.




À noter que le classement de Paris s'améliore quand la ville est comparée uniquement à des métropoles ayant une population dans la même fourchette de 10 à 15 millions d'habitants. La capitale se situe alors en 4e position, derrière Osaka, Londres et Los Angeles.
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Depuis l’âge de 14 ans et même avant j'ai vécu à PARIS y suis allé à l'école au lycée et ensuite j'y ait travaillé et habité et je suis resté maintenant dans la proche banlieue à 20 minutes de la capitale en retraite depuis 13 ans !

J'ai donc vu évoluer cette capitale et ait traversé les grands événements depuis l’avènement de la V eme république et avant avec la présidence du général de Gaulle !

Comme bien d'autres comme moi j'ai subi la guerre d’Algérie, MAI 1968, le choc pétrolier et la venue de la gauche au pouvoir avec MITTERRAND le bicentenaire de la révolution par exemple etc...

Je suis un viel homme maintenant avec deux grands enfants 37 et 48 ans, veuf, seuls les gens de ma génération dans cette IDF peuvent juger de l'insécurité qui n'a fait qu'augmenter par des violences urbaines diverses du fait surement à un changement dans notre population pendant ces décennies et un manque de respect ou de mentalité allant jusqu'à des violences gratuites de certains français lambda ou la moralité a été oubliée !

Quand j'étais jeune on pouvait sortir la nuit à PARIS et sa banlieue, maintenant cela devient risqué dehors dans la rue et dans les transports en commun ou chacun rentre pour s'enfermer chez soi après le travail !

On a fait des progrès considérables, mais en matière de sécurité du respect des autres et de l'éducation, ce n'est pas le cas, car on n'a plus de garde fous et trop de liberté mal encadrée ou certains veulent même faire leurs lois !

Car nos dirigeants bien-pensant donneurs de leçons ne sont plus au fait du quotidien des français et çà parle mieux que toutes les statistiques avec le chacun pour soi, c'est triste dans le pays de la liberté qu'est la FRANCE, il n'y a qu'à regarder ou écouter les médias chaque matin çà fait plus de trente ans que cela se dégrade !

Jdeclef 30/08/2019 15h27

Bon mais que ces stars du show byz people se contente de plaire au public et laisse de côté leurs commentaires sur le couple MACRON il y en a ras le bol !


Après Arlette, Emmanuel Macron, la nouvelle coqueluche d'Alain Souchon

 S'il admet l'avoir « trouvé parfois arrogant », le chanteur juge le président « brillant » et s'insurge contre les insultes qu'il essuie, a-t-il confié à RTL.

À l'heure d'aborder sa troisième rentrée politique, Emmanuel Macron pourra s'égayer des propos très élogieux qu'a tenus à son endroit Alain Souchon, vendredi 30 août. « Brillant, intelligent, cultivé »... Invité de RTL pour évoquer son nouvel album, Âme Fifties, l'artiste aux nombreux talents n'a pas manqué de qualificatifs pour décrire le chef de l'État.
« On est tous très inquiets pour la planète, on est émus d'avoir un président aussi talentueux, si jeune et en même temps qui se fait taper sur les doigts toute la journée », a débuté le chanteur, à qui le journaliste demandait s'il s'inspirait de l'actualité pour composer, énumérant « une vague d'attentats, une prise de conscience écologique, un nouveau président de quarante ans... »
Macron et les délices du show-biz

« Ces gens si brillants, si intelligents »

L'auteur, compositeur et interprète se dit « choqué » par les insultes qui visent le locataire de l'Élysée : « Petite tapette, on va te couper la tête, c'était marqué dans la rue de Rennes à côté de chez moi. » « Et en même temps... c'est drôle, ces parcours. C'est émouvant, ces parcours. Ces gens si brillants, si intelligents, si cultivés, qui se retrouvent si jeunes là... C'est un roman. De toute façon, c'est romanesque, la vie de nos présidents. Que ce soit Mitterrand, Chirac, Hollande... Ce sont des gens tellement brillants... » a poursuivi le chanteur, qui consacra naguère une chanson à Arlette Laguiller : « Quand Arlette chante, on sent du vrai amour/Quand les autres font de faux discours/Que c'est gentil/Que c'est beau. »
Florent Pagny trouve que « Macron rime avec pas con »
Alain Souchon concède qu'il a « parfois trouvé » le président « arrogant sur la politique ». « Bien sûr, c'est parce qu'il est jeune. Mais c'est assez magnifique de voir ce jeune garçon à la tête d'un État important comme ça », estime l'artiste de 75 ans, qui s'est justifié de son discours laudatif : « Vous savez aujourd'hui, la politique, c'est difficile de faire des compliments. François Hollande, on disait : “Qu'il s'en aille, qu'il s'en aille ! Moi, j'étais là du temps du général de Gaulle et tout le monde disait aussi : “Qu'il s'en aille, il est vieux, il nous fait chier.” Et maintenant, tout le monde l'apprécie. La politique, c'est spécial... »
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Madame MACRON est la femme du président, il l’emmène partout en ce faisant voir avec elle, c'est le mauvais côté de sa situation d'épouse à la merci de la presse people ou des mauvais plaisants !

Ces insultes qu'elle a subi de la part d'un chef d'état mal élevé envers une femme et notamment épouse d'un président d'un autre pays est inconcevable irrévérencieuse et insultante, car ce personnage est mal élevé, c'est un fait établi !

Mais on n'est plus au IXX eme siècle justement colonialiste comme disait le président brésilien pour déclencher une guerre à cause d'un « coup de chasse-mouche » heureusement !

Mais chez ces dirigeants du monde semble-t-il, les personnages impolis sont hélas plus nombreux qu'avant, ce qui est un très mauvais exemple pour les peuples qu'ils gouvernent !

Quant aux épouses de ses présidents, ce serait bien qu'elles restent dans leur pays, discrètes en essayant de ne pas faire comme les 1 ères dames US qui servent de faire valoir à leurs maris !

Ce qu'aimait beaucoup N.SARKOZY qui a voulu instituer cela en France par exemple, car les français élisent un  président de la république, pas l'épouse de celui-ci !

(Surtout en plus, s'il en change en cours de mandat...)

Ça éviterait peut-être de tels incidents regrettables et déplorables !

Jdeclef 30/08/2019 13h07LP

La FRANCE par la voix d'E.MACRON avait déjà annoncé la même évolution militaire pour notre pays !


Trump annonce le lancement d'un commandement militaire américain de l'espace

Ce commandement sera chargé d'assurer la domination des États-Unis, menacée par la Chine et la Russie, sur ce nouveau terrain de guerre.

D.TRUMP a annoncé jeudi le lancement d'un commandement militaire américain de l'espace, qui sera chargé d'assurer la domination des États-Unis, menacée par la Chine et la Russie, sur ce nouveau terrain de guerre. « C'est un moment historique, un jour historique, qui reconnaît que l'espace est au centre de la sécurité nationale et de la défense de l'Amérique », a affirmé le président américain lors d'une cérémonie à Washington, ajoutant que ce « Spacecom s'assurera que la domination américaine dans l'espace ne soit jamais menacée ».
Pour Donald Trump, il s'agit de combattre les ennemis des États-Unis qui s'attaquent aux « satellites américains qui sont si importants pour les opérations sur les terrains de guerre et pour notre style de vie chez nous ». Ce nouveau commandement supervisera l'espace – les satellites et les aéronefs de haute altitude – comme un terrain de combat, et sera l'équivalent du Centcom, chargé des opérations militaires américaines au Moyen-Orient.

Sixième branche de l'armée américaine

Après le Spacecom, Donald Trump a annoncé la prochaine création d'une « Force de l'espace » qui deviendra une sixième branche de l'armée américaine, aux côtés de l'armée de Terre, l'US Navy, l'US Air Force, le corps des Marines et celui des gardes-côtes. Il avait émis l'idée de cette force en 2018, alors que les opérations dans l'espace dépendent depuis les années 1950 de l'US Air Force.
Le général John Raymond, le chef de ce nouveau commandement militaire, a affirmé que les adversaires de l'Amérique étaient déjà concentrés sur la façon d'utiliser l'espace dans le cadre d'un conflit. « Nous sommes les meilleurs du monde dans l'espace aujourd'hui, mais notre niveau de supériorité se réduit. Nous voulons avancer vite et rester en tête », a assuré le général de l'armée de l'air.
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Ne dit-on pas qu'il faut préparer la guerre pour préserver la paix !?

Néanmoins cela dénote une méfiance de nombreux pays dans un monde instable qui se réarme peut-être à cause de certains dirigeants connus va-t-en guerre irresponsables voire dangereux !

C'est très dommage mais prouve une fois de plus que les hommes sont très divisés et n'arrivent pas à s'unir pour la paix et améliorer les conditions de vies de leurs peuples par souvent leurs égos démesurés !

Mais les hommes sont incurables malgré des guerres meurtrières du passé et d'autres encore en cours dans le monde pour de multiples raisons ou le profit et la puissance sont les principales causes, sans compter de nombreuses diverses tout aussi inutiles !

Alors que s'ils s'unissaient vraiment on vivrait bien mieux sur terre...

Jdeclef 30/08/2019 09h20LP

jeudi 29 août 2019

On se plaint de notre système électoral et notre démocratie en France ?!


Colère au Royaume-Uni, après le coup de force de Boris Johnson

VIDÉO. Le Premier ministre britannique a suspendu le Parlement jusqu'au 14 octobre, soit deux semaines avant la date du Brexit. Plusieurs manifestations spontanées ont eu lieu.

La décision de Boris Johnson de suspendre le Parlement jusqu'au 14 octobre a déclenché une vague d'indignation au Royaume-Uni. La livre sterling a chuté de 0,6 % face à l'euro et au dollar après l'annonce de la suspension, qui a renforcé l'hypothèse d'un « no deal » pour le Brexit, faisant craindre des pénuries et le rétablissement de droits de douane. Sur le site officiel petition.parliament.uk, une pétition contre la décision, qualifiée par les opposants de « coup d'État », dépassait jeudi matin les 1,1 million de signatures. Au Royaume-Uni, toute pétition atteignant 100 000 signatures peut déclencher l'ouverture d'un débat parlementaire.
Des milliers de personnes ont manifesté mercredi soir à Londres, Manchester, Édimbourg et d'autres grandes villes. Plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées devant le Parlement en scandant « Arrêtez le coup d'État » et en brandissant le drapeau européen, puis à Downing Street où est installé le Premier ministre. Si le Parlement britannique est habituellement suspendu en septembre en raison des congrès annuels des partis, l'extension de cette suspension jusqu'au 14 octobre a été qualifiée de « scandale constitutionnel » par le président de la Chambre basse, John Bercow.


Le choix de Boris Johnson a mis dans une colère noire l'acteur Hugh Grant, qui s'est fendu d'un tweet lapidaire. « Tu ne vas pas foutre en l'air l'avenir de mes enfants », a-t-il commencé, avant de poursuivre sur le même ton. « Tu ne vas pas détruire les libertés que mon grand-père a défendues en se battant au cours de deux guerres mondiales. Va te faire foutre, espèce de jouet de bain en caoutchouc surcoté. Le Royaume-Uni est révolté par toi et ton petit gang de branleurs. »

Corbyn répond à Trump

« C'est un scandale et une menace pour notre démocratie », a aussi réagi Jeremy Corbyn, le chef du Labour, principal parti d'opposition. Jeremy Corbyn a écrit à la reine pour lui demander un entretien, selon une source au sein du Labour. Il espère obtenir le soutien des députés pour déposer une motion de censure contre le gouvernement, mais devra désormais y parvenir avant la suspension le 9 septembre.
« Ça va être très compliqué pour Jeremy Corbyn [...] d'obtenir un vote de défiance [...] d'autant plus que Boris est exactement ce que le Royaume-Uni cherchait », s'est réjoui sur Twitter le président américain Donald Trump qui a, à plusieurs reprises, fait miroiter un accord de libre-échange ambitieux avec le Royaume-Uni après le Brexit. « Je pense que ce que le président américain veut dire, c'est que Boris Johnson est exactement ce que lui recherchait, un Premier ministre docile qui remettra les services publics britanniques aux mains des entreprises américaines », a rétorqué Jeremy Corbyn sur Twitter.

« Scandale constitutionnel »

Dans les rangs conservateurs modérés, la suspension a aussi été dénoncée. L'ex-ministre des Finances Philip Hammond, opposé à un « no deal », l'a qualifiée de « scandale constitutionnel ». La populaire cheffe du Parti conservateur écossais, Ruth Davidson, a démissionné jeudi. Favorable au maintien du Royaume-Uni dans l'UE, Ruth Davidson a évoqué « le conflit » qu'elle a « ressenti sur le Brexit » dans sa lettre de démission et exhorté Boris Johnson à trouver un terrain d'entente avec l'Union européenne. La quadragénaire à la personnalité joviale et charismatique avait su redonner un nouveau souffle au Parti conservateur en Écosse, qu'elle dirigeait depuis 2011. La Première ministre écossaise, Nicola Sturgeon, a de son côté accusé Boris Johnson de se conduire en « dictateur de pacotille ». Boris Johnson s'est défendu en affirmant sur la chaîne Sky News que le calendrier fixé « laissera amplement le temps aux députés de débattre de l'UE et du Brexit ».
Des recours en justice ont déjà été annoncés, par plus de 70 parlementaires écossais devant la plus haute instance civile d'Écossais d'un côté, et de l'autre par Gina Miller, une femme d'affaires et militante anti-Brexit, devant la justice anglaise. Pour le quotidien The Times, la suspension « pousse le Royaume-Uni au bord de la crise constitutionnelle », tandis que The Guardian prédisait un « clash parlementaire historique » alors que des députés hostiles au Brexit cherchent un moyen de contrer la décision du Premier ministre.

L'accord de la reine

Boris Johnson a demandé à la reine Elizabeth II, qui a accepté, de suspendre le Parlement après les débats du 9 septembre et jusqu'au 14 octobre. La session reprendra avec le traditionnel discours de la reine, dans lequel elle expose le programme du gouvernement. « Les semaines précédant le Conseil européen (17 et 18 octobre) sont vitales pour mes négociations avec l'UE », a-t-il souligné, ajoutant : « En montrant unité et détermination, nous avons une chance de décrocher un nouvel accord qui puisse être adopté par le Parlement. » La date du retour a été choisie le 14 octobre pour que le Parlement siège avant le Conseil européen et puisse, dans le cas d'un nouvel accord avec l'UE, adopter la loi nécessaire à sa ratification avant le 31 octobre, date à laquelle le Royaume-Uni doit quitter l'UE, selon un communiqué gouvernemental.


Les députés ont déjà rejeté trois fois l'accord de sortie de l'UE conclu avec le gouvernement précédent de Theresa May. Mais ils n'ont pas réussi à se mettre d'accord sur la forme que doit prendre le Brexit, voté en juin 2016 par 52 % des Britanniques. Londres et l'UE s'opposent en particulier sur le sort de la future frontière irlandaise, qui séparera le Royaume-Uni du marché unique européen.
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Mais là on voit que notre voisin britannique n'est semble-t-il pas mieux loti comme quoi dans nos pays libres et démocratiques rien n'est parfait !

Mais ce pays est dans une démocratie dite constitutionnelle mais y a-t-il une constitution comme en France non bien sûr puisqu'il faut demander à la reine dite sans pouvoir constitutionnel, la permission de suspendre les travaux du parlement et qu'elle accepte cette demande du 1er ministre chef du gouvernement !

Alors que l'on ne dise pas qu'elle ne se mêle pas de la politique de son pays, ceci étant, si les anglais n'acceptent pas cela sans rien dire, çà peut se comprendre !

Leur système de gouvernement du style pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué montre ses limites et explique les difficultés qu'ils ont pour décider de l'issue de ce « brexit »,car dans ce rejet de l'Union Européenne comme d'habitude, ils n'acceptent aucune concession et veulent « le beurre et l'argent du beurre » nostalgique de leur puissance, quand il avait encore leur ancien grand empire et aussi pourquoi Boris JONHNSON se tourne en vassal vers TRUMP qui ne demande que çà pour affaiblir l'U.E.!

Les anglais n'ont jamais été pro-européen, c'est l'Union Européenne qui voulait ce pays, dans leur communauté, ce qui était logique géographiquement et surtout économiquement, c'est pourquoi on leur avait accordé de nombreuses dérogations dont celle de conserver leur monnaie et leurs frontières en dehors de Schengen, mais leur caractère insulaire victorien a repris le dessus, ce qui est peut-être dommage pour eux !

Jdeclef 29/08/2019 15h34LP

C'est ce langage là que les parisiens lambda veulent entendre !


Marie-Claire Carrère-Gée - Le premier chantier pour Paris : la sécurité

TRIBUNE. L'élue LR du 14e arrondissement souhaite briguer la Mairie de Paris en 2020. Avec une priorité : lutter contre l'insécurité.

Lorsque j'ai choisi, étudiante, de vivre à Paris, ça n'est certainement pas par goût de la sécurité : c'est la liberté de la capitale qui m'a attirée. Liberté de flâner à toute heure, de pouvoir bavarder en terrasse avec des amis comme avec des inconnus, de sortir du métro à l'improviste et partir à la découverte d'un quartier nouveau. Mon inclination, personnelle comme professionnelle, est plutôt de comprendre les difficultés et les fragilités des autres, de contribuer à leur apporter remède, que de juger et sévir.
Mais aujourd'hui, en tant que Parisienne et comme élue de Paris, je le dis haut et fort : la plus grande entrave à notre liberté de vivre à Paris, seul ou en famille, c'est l'insécurité. Vols à l'arraché, agressions physiques, sexuelles, verbales, comment marcher librement dans la plus belle ville du monde lorsque de tels dangers menacent à chaque coin de rue et dans le métro ? Comment ne pas avoir peur de rentrer chez soi tard le soir après être sorti avec des amis ?
« Le RER est le transport le plus anxiogène devant le métro »
Comment protéger nos ados qui se font violemment menacer et racketter en sortant du collège ou du lycée ? Que leur dire lorsque, témoins d'une agression, ils se sont interposés : « Tu as tellement bien fait, c'est très courageux, tout le monde devrait agir comme toi ! » Ou : « S'il te plaît, ne recommence pas : ce n'est pas de la couardise, mais il faut laisser faire et prévenir la police, car, aujourd'hui, même de petits voyous n'hésitent pas à sortir un couteau » ?

Un étau d'insécurité

Combien d'alarmes faudra-t-il mettre dans nos appartements quand on se fait cambrioler le week-end et que les voleurs n'hésitent plus à entrer chez vous pendant votre sommeil ? Sans parler naturellement des touristes et de l'image de Paris : si le New York Times a récemment consacré un long article à Paris, ça n'était pas pour parler d'un événement culturel majeur. C'était pour décrire l'enfer de la Colline du crack, porte de la Chapelle, toutes les misères qui s'y concentrent et toutes les fleurs vénéneuses – drogue, prostitution, trafics – qui prolifèrent sur ce terreau, jusqu'à envahir les quartiers environnants et pourrir la vie de milliers de Parisiens.
Les frontières invisibles du quartier de La Chapelle à Paris
Oui, Paris est véritablement enfermée dans un étau d'insécurité. Il n'est aucun projet pour Paris qui vaille sans cette remise en ordre préalable, sans une remise à zéro des compteurs de l'insécurité.
Si tout le monde s'accorde sur les faits, la sécurité est probablement le domaine où les divergences sont les plus profondes pour guérir le mal. Et parmi les candidats à la Mairie de Paris, peu sont crédibles pour remettre de l'ordre.
Le moins que l'on puisse dire est que la sécurité des Parisiens n'a pas été une priorité de Mme Hidalgo. Emprisonnée sous le joug de l'idéologie d'élus écologistes, communistes et socialistes, elle s'est montrée incapable de la moindre décision courageuse. Comment oser se déclarer féministe lorsqu'on est la maire inactive d'une ville où les Parisiennes ont peur de sortir le soir  ? Comment brandir l'étendard de l'égalité et laisser des quartiers entiers à l'abandon ?
Benjamin Griveaux n'a ni l'indépendance ni le caractère pour défendre efficacement les intérêts des Parisiens.
Le bilan de la municipalité actuelle est révoltant. Refus répétés de mettre en place une police municipale, avant d'y consentir sous une forme édulcorée : seuls les mots changent pour qualifier des agents municipaux existants. Concentration de la misère sociale dans des quartiers toujours plus nombreux. Appels publics aux migrants pour venir à Paris. Diminution drastique des subventions au Groupement parisien inter-bailleurs de surveillance (GPIS) pour assurer la sécurité dans les ensembles d'immeubles sociaux : la mairie de Paris consacre treize fois moins d'argent à la sécurité des locataires de logements sociaux qu'il y a quinze ans, alors que leur nombre a augmenté de moitié ! Une « salle de shoot » qui se révèle une catastrophe : pas de prise en charge médicale systématique, le trafic qui sévit, gangrénant tout le quartier. À Paris, la lutte contre la toxicomanie ne profite qu'aux dealers ! Il aura fallu que la délinquance explose pour que le gouvernement et la mairie de Paris prennent de maigres initiatives : des paroles un peu désespérées à l'approche des élections quand l'action a tant fait défaut.
Salle de shoot : un an après, le bilan
Et encore : si la municipalité actuelle parle enfin de l'insécurité à Paris, c'est essentiellement pour accuser l'État ! Elle n'a pas entièrement tort. Car le gouvernement aussi a été défaillant. Et le candidat de La République en marche Benjamin Griveaux n'a ni l'indépendance ni le caractère pour défendre efficacement les intérêts des Parisiens dans le dialogue, qui doit être ferme, avec le gouvernement. Un gouvernement toujours tenté de rogner les moyens de la Police nationale. Un gouvernement qui a laissé, pendant tant de semaines, Paris être mis à sac tous les samedis, qui a si mal géré une crise sociale et laissé s'épanouir la violence dans nos rues.
Pour combler cette inertie, je propose l'instauration d'une police municipale armée – pour se protéger et pouvoir intervenir en flagrant délit – partout dans Paris et 24 h/24. Car la police municipale de Mme Hidalgo n'est ouverte qu'aux heures de bureau, jusqu'à 19 heures ! Une police qui ait accès aux fichiers des personnes recherchées. Cette véritable police municipale, c'est aujourd'hui le chaînon manquant d'une force de sécurité globale, crédible et efficace qui garantisse une tolérance 0 et réprime sévèrement de la moindre incivilité aux délits et aux crimes.

Je veux tripler le nombre de caméras et en installer aux abords de tous les collèges et lycées. Il faut assurer un maillage complet et fin de tout le territoire parisien. C'est indispensable si l'on veut pouvoir visionner, non seulement une agression ou un cambriolage, mais aussi ce qui s'est passé avant et ce qui se passe après, pour traquer un malfaiteur qui entre ou qui sort de Paris et l'arrêter sans délai. Le GPIS disposera de moyens à la hauteur, les demandes des locataires de logements sociaux d'installation de caméras de surveillance seront satisfaites, les fauteurs de trouble expulsés du logement social. Les incivilités et les deals dans les parties communes et les parkings ne seront plus tolérés. Les gestionnaires et personnels des bailleurs sociaux seront responsables de leurs résultats et ceux qui se montrent défaillants seront remerciés : à Paris, la première des politiques sociales aujourd'hui, elle est là !
Si je revendique que la maire de Paris soit coprésidente d'Île-de-France Mobilités avec la présidente de région, c'est aussi pour améliorer la sécurité dans les transports à Paris. Le premier adjoint à la mairie sera en charge de la sécurité. Des statistiques localisées de la sécurité seront publiées chaque semaine sur le site de la mairie de Paris.
Si je me présente à la Mairie de Paris, c'est pour être bien plus que la maire de la sécurité : je serai celle qui s'en donne tous les moyens.
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Et non revoir les 6 ans de mandat d'Hidalgo bobo d'une soi-disant gauche caviar !

Car j'avais une vieille amie décédée récemment de maladie qui a vécue plus de 40 ans dans 14 eme arrondissement dans un HLM du quartier rue Didot et Alésia ou la population a changée au fil du temps !

Elle ne se sentait plus à juste titre pas en sécurité par une délinquance bien présente et nuisances diverses dont elle a souffert et ou la municipalité et les forces de l'ordre avaient baissé les bras !

Dans ce quartier quand elle y est arrivée jeune pour s’émanciper de la tutelle de ses parents et travailler à PARIS comme employée de banque, il n'y avait aucun problème, mais cela s'est dégradé depuis plus d'une décennie et peut maintenant se comparer à ce que l'on voit dans certaines banlieues d'IDF !

Et malgré les plaintes de certains habitants auprès de la mairie du 14 eme et même du commissariat les trafics divers et violences qui vont avec n'ont fait qu'augmenter!

J'ai moi-même été témoin de fait grave remontant à quelques années lors d'une visite que je lui avais fait nous sommes allés diner vers 20h30 dans un restaurant sur la rue d’Alésia, une voiture est passée et les occupants ont tiré une rafale d'arme automatique sur cet établissement ?!

Bien sur une enquête a été faite et on en a parlé dans les médias, mais à part cela rien de nouveau !

PARIS que je connais bien, j'y suis né, je suis maintenant âgé, j'habite en proche banlieue dans une ville calme, j'hésite à m'y rendre et encore moins le soir, exemple pas si ancien je suis allé voir un film au grand REX sur les boulevards avec ma fille (37 ans) j'ai été agressé par des jeunes éméchés parce que je n'ai pu leur donner des cigarettes et pour cause je ne fume pas !

Quand j'étais jeune, je prenais les transports en commun quelque fois tard, je n'ai jamais eu de problème, maintenant il faut se méfier, c'est déplorable car notre société va à vau l'eau !

Jdeclef 29/08/2019 10h32LP

mercredi 28 août 2019

Parce que cette réforme est d'une complexité sans nom déjà par les 42 régimes de retraites existants qu'il faut déjà niveler et aussi entre le secteur privé et public des fonctionnaires !


Âge de départ à la retraite : pourquoi Macron change son fusil d'épaule ?

Le président préfère garder une durée de cotisation minimale plutôt que d'instaurer un âge pivot à 64 ans. Un geste pour se concilier la CFDT.

C'est un changement de pied qu'a opéré mardi Emmanuel Macron sur la réforme des retraites, dont le projet de loi devrait être présenté à la fin de l'année ou au début 2020. Dans son interview post-G7 dans le journal télévisé de France 2, le président a critiqué l'instauration d'un âge pivot à 64 ans en deçà duquel serait appliquée une décote de 5 % par an sur les points dans le futur régime universel de retraites.
Le haut-commissaire à la réforme des retraites, Jean-Paul Delevoye, avait pourtant préconisé, dans son rapport dévoilé début juillet, l'instauration d'une telle borne d'âge à côté d'un âge minimal de départ qui reste fixé à 62 ans.


Réforme des retraites : les annonces de Jean-Paul Delevoye
« Je préfère qu'on trouve un accord sur la durée de cotisation », a expliqué le chef de l'État, afin que ceux qui ont commencé à travailler tôt puissent partir avant 64 ans en retraite. Dans la version du haut-commissaire, ce départ plus précoce aurait été rendu possible pour certains grâce à un dispositif spécifique pour les « carrières longues » et la transposition du décompte de la pénibilité des métiers déjà existant pour les salariés du privé.


En indiquant sa préférence pour une solution alternative moins favorable aux cadres, mais plus à ceux qui ont commencé à travailler tôt, le président essaye en réalité de garantir le soutien à sa réforme de la CFDT, syndicat par principe favorable à une bascule vers un régime universel par points. Son secrétaire général, Laurent Berger, avait en effet fait comprendre qu'il n'accepterait pas l'introduction d'un âge pivot dans le futur régime censé pouvoir garantir, en théorie du moins, une certaine liberté de l'âge de départ à chacun : plus un individu part tôt, moins il cumule de points et plus sa retraite est faible, ce qui permet de ne pas déséquilibrer financièrement le régime.
Mais, face à la crainte que certains n'arbitrent, à la fin de leur carrière, pour un départ précoce à la retraite, au risque de toucher ensuite une retraite trop faible, l'exécutif et Jean-Paul Delevoye – dans son rapport – avaient opté pour la solution de l'âge pivot, appelé « taux plein ». « Ce taux plein pourrait soit être fonction de la durée travaillée comme aujourd'hui (référence individuelle), soit identique pour tous (référence collective). Le rapport propose de retenir la seconde option, à savoir un âge de taux plein identique pour tous, car, pour le haut-commissaire, cette option est la seule réellement compatible avec les objectifs du système universel. »

Des solutions alternatives

C'est que la référence à une durée de cotisation minimale pour chaque assuré n'est pas vraiment dans l'esprit d'un régime par points, fondé sur l'accumulation de points tout au long de la carrière, et non plus sur une durée de cotisation, comme dans le système actuel. Réintroduire une durée de cotisation minimale pour tout le monde, et pas uniquement pour ceux qui bénéficieront du minimum de pension à 1 000 euros s'ils ont suffisamment travaillé au cours de leur carrière ou ceux qui seront concernés par le dispositif carrière longue, pourrait complexifier le système.
Concrètement, une durée de cotisation minimale pour tout le monde pourrait être réintroduite, comme c'est le cas dans le système actuel. Mais des solutions alternatives existent. Dans une note publiée en juin 2019, des économistes de l'Institut des politiques publiques (IPP), dont Antoine Bozio, qui figure parmi les inspirateurs de la réforme annoncée pendant la campagne présidentielle du président, avaient ainsi proposé de remplacer l'âge pivot unique à 64 ans par un âge de départ individualisé.


« Il est possible de définir une référence individuelle à l'âge où chaque assuré obtient un taux de remplacement [le rapport entre la pension et le dernier salaire, NDLR] jugé suffisant. Dans le système actuel, le taux de remplacement moyen est estimé à 75 %. On pourrait ainsi maintenir cette référence, et définir l'âge du taux plein comme l'âge où le rapport entre la pension à liquidation et le dernier salaire est de 75 %. Avec l'augmentation de l'espérance de vie en retraite, cet âge du taux plein augmenterait progressivement afin d'indiquer aux assurés quel âge de départ en retraite leur garantirait le même niveau de vie relatif qu'aujourd'hui. [...] L'avantage d'un tel âge de référence est d'être à la fois une norme dont les effets sur les comportements de départ en retraite sont susceptibles d'être puissants, mais aussi une référence individuelle qui dépend de la carrière de chaque assuré. En effet, contrairement à un âge pivot, l'âge où les assurés atteignent 75 % de taux de remplacement sera plus précoce pour les assurés ayant eu de longues carrières peu dynamiques et plus tardif pour ceux qui ont bénéficié de carrières plus dynamiques ».

Une nouvelle phase de concertation à venir

Après 18 mois de concertation déjà menée par Jean-Paul Delevoye, une nouvelle phase de discussions entre le haut-commissaire et les organisations patronales et syndicales doit démarrer la semaine prochaine, avec des rencontres bilatérales à Matignon. « Rien n'est décidé. Rien », a insisté Emmanuel Macron, qui veut incarner son changement de méthode de réforme après le mouvement des Gilets jaunes. Lundi soir, il a déclaré : « On va la construire tous ensemble, cette réforme. »
Le sort des enseignants, qui bénéficient de peu de primes et qui risquent donc d'y perdre dans le nouveau système où elles seront comptabilisées pour le calcul de la retraite, ainsi que celui des aides-soignantes de l'hôpital seront particulièrement scrutés. Le président a bien souligné que les retraites devraient être à l'équilibre en 2025, au moment de l'entrée en vigueur, progressive, de la réforme. Ce qui va nécessiter des mesures pour travailler plus longtemps, difficiles à faire avaler. Elles ne devraient toutefois pas être présentées lors du prochain budget de la Sécurité sociale, pour ne pas jeter de l'huile sur le feu.
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Cette réforme, si elle est vraiment lancée, car pour l'instant, on en n'est qu'aux prémices sera celle du quinquennat MACRON et pas seulement, bien après lui et même s'il est réélu ?!

Les français salariés en activité sont dans l'impossibilité totale de savoir à qu'elle sauce ils seront mangés si l'on peut parler ainsi !

D'ailleurs le président lui-même en ce qui concerne l’âge de départ à la retraite avec des droits complets, a déjà changé d'idée et puis il y a aussi ce système par point, mais quel sera la valeur du point par exemple etc...

C'est une immense usine à gaz que même les syndicats ne savent pas comment aborder, car il ne suffit plus de protester comme d'habitude, mais proposer des améliorations que l'on n'a jamais voulu faire vraiment !

Donc ce qui est sûr, c'est que ces changements vont s'étaler sur plusieurs années, en fonction de l’âge des actifs et fixer une date de départ de cette réforme par paliers, mais il fallait le faire pour garder une retraite pour tous les français plus égalitaires qu'elle n'est et surtout qu'on puisse toujours régler les pensions, néanmoins, il restera toujours des régimes avec dérogation, tels que pour les métiers pénibles ou à risques connus !

De toute façon les français n'ont plus le choix comme le faisaient avant nos dirigeants élus par des français versatiles pour le bien de tous en ne poussant pas la poussière sous le tapis !

Jdeclef 28/08/2019 13h33LP

Volte-face de BOLSONARO qui a peut-être réfléchit que refuser l’aide qu’on lui propose pour l’incendie de la forêt amazonienne n’était pas la bonne solution ?!


Amazonie : Bolsonaro accepte finalement l'aide de l'étranger

Le Brésil s'est dit « ouvert » à une aide financière pour lutter contre les incendies en Amazonie à condition de contrôler la gestion des fonds.

Le Brésil s'est finalement dit « ouvert » à une aide financière « d'organisations étrangères et même de pays » pour lutter contre les incendies en Amazonie à condition de contrôler les fonds, après avoir rejeté la veille une offre du G7. « Le point essentiel est que cet argent, une fois entré au Brésil, n'aille pas à l'encontre de la souveraineté brésilienne et que la gestion des fonds soit sous notre responsabilité », a déclaré un porte-parole du président Jair Bolsonaro, au lendemain d'une offre de 20 millions de dollars émanant des pays du G7.
Ce revirement intervient alors que les incendies ont provoqué une indignation internationale et menacent un accord de libre-échange UE-Mercosur négocié depuis 20 ans. Jair Bolsonaro avait mardi matin conditionné l'arrivée de l'aide du G7 au « retrait de [ses] insultes » par son homologue français Emmanuel Macron, prenant le parti de l'escalade dans la violente polémique opposant le Brésil et la France. « D'abord M. Macron doit retirer les insultes qu'il a proférées contre ma personne », a déclaré à quelques journalistes le président brésilien qui évoque les accusations du président français selon lesquelles il avait « menti » sur ses engagements environnementaux. « D'abord il m'a traité de menteur et ensuite, d'après mes informations, il a dit que notre souveraineté sur l'Amazonie était une question ouverte », a dit Jair Bolsonaro avant de rencontrer les neuf gouverneurs d'États d'Amazonie. « Avant de discuter et d'accepter quoi que ce soit de la France [...], il faut qu'[Emmanuel Macron] retire ses paroles et à partir de là, nous pourrons parler », a déclaré le président brésilien.


Lundi soir, Brasilia a rejeté sèchement l'aide de 20 millions de dollars proposée par les pays du G7 pour combattre les incendies en Amazonie, en conseillant au président français de s'occuper « de sa maison et de ses colonies ». « Nous remercions [le G7 pour son offre d'aide, NDLR], mais ces moyens seront peut-être plus pertinents pour la reforestation de l'Europe », a déclaré le chef de cabinet, Onyx Lorenzoni.

Un statut international pour l'Amazonie ?
La question de la souveraineté de l'Amazonie est particulièrement sensible au Brésil, où s'étendent près de 60 % de la plus vaste forêt tropicale du monde, vitale pour l'environnement de la planète. « Nous ne pouvons accepter qu'un président, Macron, lance des attaques déplacées et gratuites contre l'Amazonie ni qu'il déguise ses intentions derrière l'idée d'une alliance de pays du G7 pour sauver l'Amazonie, comme si c'était une colonie », avait réagi le président Jair Bolsonaro peu avant. Au dernier jour du sommet de Biarritz (sud-ouest de la France), Emmanuel Macron s'était interrogé sur l'opportunité de conférer un statut international à la forêt amazonienne, au cas où les dirigeants de la région prennent des décisions nuisibles pour la planète.
« Associations et ONG ont depuis plusieurs années soulevé la question de définir un statut international pour l'Amazonie. Ce n'est pas le cadre de l'initiative que nous prenons, mais c'est une vraie question qui se pose, si un État souverain prenait de manière claire, concrète, des mesures qui d'évidence s'opposent à l'intérêt de toute la planète », a déclaré le chef de l'État français. « Ce n'est pas le chemin qu'aujourd'hui nous prenons, mais c'est un chemin qui reste ouvert, et qui continuera de prospérer dans les prochains mois et années, car l'enjeu est tel sur le plan climatique qu'on ne peut pas dire ce n'est que mon problème », a ajouté Emmanuel Macron.
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Bien sûr il maintient sa demande d’excuse de MACRON, il ne manque pas d’air ce personnage mal élevé !

Ce genre de grande gueule, « s'il se sent morveux qu'il se mouche » et vient peut-être de comprendre qu'il ne peut éteindre tout seul ce qu'il a peut-être allumé par son inconscience et ses allumettes et par la déforestation à grande échelle de cette forêt primaire !

Tant pis, si je suis trivial envers lui, puisqu'il ne se gêne pas d’être impoli, mais ce qui est préoccupant chez certains dirigeants mondiaux, c'est qu'il y en a d'autres de même acabit, quant aux excuses, il ne les mérite pas, car c'est lui qui a déclenché cette crise et en proférant des insultes, les brésiliens n'ont pas de chance d'avoir élu un tel personnage, ils ont fait le mauvais choix, ceci étant il n'y a pas qu'eux dans d'autres grands pays connus, la qualité des dirigeants mondiaux semble se dégrader dangereusement dans les pays démocratiques...

On était habitué à de la diplomatie hypocrite, mais là, cela devient celle du caniveau et ces dirigeants gouvernent et dirigent de grands pays dit civilisés ?!

C’est préoccupant....

Jdeclef 28/08/2019 09h26LP