dimanche 31 décembre 2017

Mr CORBIERE me fait penser à ceux en mai 1968 qui criaient « il est interdit d'interdire » mais il doit le regretter, car n’était qu’un nourrisson à cette époque !

Alcool au volant : tollé pour Alexis Corbière qui défend Mathilde Seigner

Sur Twitter, le député Insoumis a qualifié d'« incident mineur de sa vie privée » l'arrestation de l'actrice, jeudi à Paris, pour conduite en état d'ivresse.


Voilà un soutien inattendu qui aurait peut-être dû rester silencieux, au vu de l'indignation qu'il suscite. Dans la nuit de vendredi à samedi, Alexis Corbière a posté, sur son compte Twitter, un message dans lequel il prend la défense de Mathilde Seigner, dont les mésaventures ont été très suivies dans la presse vendredi. La comédienne, rapportait Closer initialement, a été arrêtée « très alcoolisée » au volant de sa voiture dans le 5e arrondissement de Paris après avoir percuté les portes du lycée Henri-IV, à deux pas du Panthéon.
« Je n'ai aucune sympathie particulière pour cette actrice, dont les choix politiques sont aux antipodes des miens, mais pourquoi des incidents (finalement mineurs) de sa vie privée doivent-ils être étalés dans la presse ? » a interrogé le député Insoumis. Incidents « accompagnés d'un voyeurisme ragoûtant », a-t-il par ailleurs dénoncé sur le réseau social.

« Irresponsable »

Sur Twitter, cette prise de défense a provoqué un tollé, de nombreux internautes jugeant les propos d'Alexis Corbière irresponsables. « Être bourrée au volant, après tout ce qu'on raconte sur la sécurité routière, appeler cela incident mineur (…), vous le faites exprès ou êtes juste un irresponsable ? » s'indigne une internaute. « En 2017, on en est encore à minorer la gravité et les conséquences de l'alcool au volant ! » déplore un autre. Alexis Corbière n'a pour l'instant pas repris la parole après ces critiques.

L’alcool au volant tue, mais certains s’en fichent pour eux-mêmes ou les autres, alors oui il faut les signaler et peut être punir plus sévèrement ce genre de personnage public !

Cette bonne actrice n’est pas une inconnue loin là, ce qui ne change rien et est censée savoir ce qu’elle a fait, comme tout français lambda !

On banalise déjà assez d'incidents qui peuvent être graves à certains et notamment des membres du show byz qui se croient tout permis sous prétexte qu’ils sont nantis ou bobo à la mode !

Quant à ce Mr Corbiere qui veut faire parler de lui, il ferait mieux de se taire né le 17 août 1968 à Béziers, c’est un homme politique français. Membre de la Ligue communiste révolutionnaire de 1993 à 1997, il est ensuite membre du Parti socialiste jusqu'au congrès de Reims de 2008.

Porte-parole de JL MELENCHON et député hélas devrait montrer l’exemple pour ce type de comportement irresponsable !

Comme quoi cela semble voler assez bas à la France insoumise..!


Jdeclef 31/12/2017 15h58

Les vœux présidentiels un rituel désuet qui n'a plus beaucoup de signification !

Vœux présidentiels : un rituel républicain à peu près immuable

VIDÉOS. Les présidents successifs ont bien tenté d'imprimer leur marque à ce cérémonial institué par de Gaulle en 1960, mais sans le révolutionner sur le fond.


Inaugurés en 1960 par Charles de Gaulle, les vœux présidentiels télévisés du nouvel an sont devenus au fil des ans un rituel républicain immuable, malgré quelques variantes. Moderne, Valéry Giscard d'Estaing apparaît en couple en 1975 ; européen, François Mitterrand les présente depuis Strasbourg en 1988... : avec ou sans drapeaux, Marseillaise ou pas, assis ou debout : le cérémonial a pu subir quelques menues retouches, mais, pour la plupart, ces changements ont été sans lendemain.
À regarder les vœux du général de Gaulle en 1962, cette longue allocution de plus de dix minutes, on mesure pourtant le passage du temps.
S'il y a peu de chances qu'Emmanuel Macron adopte ce soir le phrasé solennel du général, il ne devrait pourtant pas révolutionner l'exercice.
Lire aussi Vœux 2018 : Emmanuel Macron va-t-il innover ?
Je crois qu'Anne-Aymone veut aussi vous adresser ses vœux.
En 1974, pour ses premiers vœux, Valéry Giscard d'Estaing, renonçant au bureau de ses prédécesseurs, se présente au coin du feu, assis dans un fauteuil près d'une cheminée de l'Élysée. En 1975, dans la même scénographie, son épouse est présente à ses côtés et VGE déclare : « Je crois qu'Anne-Aymone veut aussi vous adresser ses vœux. » Celle-ci s'exécute en quelques mots. Ce sera la seule fois qu'une première dame se pliera à l'exercice.
Pour ses premiers vœux en 1981, François Mitterrand innove sur la forme avec le sous-titrage pour sourds et malentendants. Plus tard, comme pour les autres programmes de télévision, les évolutions techniques permettront d'avoir accès aux sous-titres à la demande. Le président socialiste renoue avec la formule de conclusion « Vive la République ! Vive la France ! » du général de Gaulle, que Georges Pompidou puis Valéry Giscard d'Estaing Giscard avaient délaissée. À partir de 1984, le drapeau français est installé à ses côtés.

Des vœux strasbourgeois

Le 31 décembre 1988, François Mitterrand est à Strasbourg, avec en arrière-plan le drapeau français et, pour la première fois, le drapeau européen, « parce que Strasbourg est la capitale de l'Europe ». Son choix est hautement symbolique pour soutenir la capitale alsacienne dans la bataille qui l'oppose à Bruxelles pour le choix définitif du parlement de la Communauté européenne. C'est la seule fois qu'un chef de l'État quitte l'Élysée pour les vœux de nouvel an. Mais les deux drapeaux, tricolore et étoilé, deviendront la norme. Ces vœux strasbourgeois se concluent par une Marseillaise chantée par les chœurs de l'Opéra du Rhin. Mais, si François Mitterrand ne dédaigne pas l'hymne national, il fait précéder ses allocutions du 31 décembre par une musique grand siècle, à l'instar de ses prédécesseurs Georges Pompidou et Valéry Giscard d'Estaing.
C'est Jacques Chirac qui renouera avec la tradition du général de Gaulle : les vœux sont précédés et suivis de la Marseillaise. Ses successeurs, Nicolas Sarkozy et François Hollande, suivront son exemple.

Un peu de dynamisme

Le 31 décembre 1997, Jacques Chirac, confronté à une cohabitation avec un gouvernement de gauche, reste debout pour donner plus de dynamisme à son message. C'est une première. Ensuite, selon les années, les présidents seront debout ou assis derrière leur bureau.
Le 31 décembre 2007, Nicolas Sarkozy présente ses premiers vœux présidentiels en direct, une innovation qui n'aura guère de succès par la suite. Autre changement, mais au générique : un travelling sur la façade de l'Élysée – et ses nouvelles illuminations – remplace le plan fixe des années précédentes. En 2008, ses vœux débuteront sur fond de tour Eiffel en bleu, ornée des étoiles du drapeau européen. Depuis 2009, le message présidentiel est visible, en même temps qu'à la télévision, sur Internet ou téléphone portable.
Les vœux présidentiels sont généralement bien suivis : entre 9 et 11 millions de téléspectateurs. Pour ceux de François Hollande, l'an dernier, alors qu'il avait déjà annoncé ne pas se représenter, l'audience a été de 10 millions. Pour cet exercice, l'Élysée avait innové, mais, à son corps défendant, en ponctuant les sous-titres de l'intervention présidentielle de fautes d'orthographe.
--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Tant les présidents qui les ont présentés au fil des ans étaient marqués par leurs mensonges ou promesses non tenus ou même autosatisfaction pour certains en fonction de la conjoncture du moment !

De la diplomatie polie mais hypocrite à l'attention des français qui les ont élus ou ceux qui regrettent qu'il soit là, mais c'est de bon ton, si les présidents ne les faisait pas, on leur reprocherait et puis, c'est de GAULLE qui avait lancé les premiers et rien que pour cela on continue sous cette V eme république !


Jdeclef 31/12/2017 14h21

Cet article n’a pas sa place dans le point, mais plutôt dans un journal people !

Le discret déjeuner de Noël de François Hollande et Julie Gayet

L'ancien chef de l'État et sa compagne ont réussi à réserver en toute discrétion une table dans un restaurant cannois le 25 décembre, selon « Gala ».


Si François Hollande et Julie Gayet ont tenu à faire preuve de la plus grande discrétion au sujet de leur relation lorsque l'ancien président de la République était encore à l'Élysée, ils sont dorénavant plus enclins à s'afficher ensemble en public. Le 25 décembre dernier, ils ont déjeuné à L'Ondine, un restaurant très connu de la Croisette, à Cannes (Alpes-Maritimes). Afin de ne pas attirer l'attention sur sa venue, le couple, accompagné du père de Julie Gayet, avait simplement réservé une table au nom de « Julie », comme le révèle Gala.
Cette façon d'arriver le plus simplement possible a beaucoup surpris le personnel du restaurant, qui ne s'attendait pas du tout à cette visite de marque. Après avoir dégusté un menu de fête composé de homard, de filet de dorade et de tarte Tatin, François Hollande est allé jusqu'en cuisine adresser ses félicitations au chef et à sa brigade. Après cette escapade méditerranéenne, le couple a mis le cap sur la côte normande et la Bretagne.

Hollande fait entendre sa voix

Discret dans le débat politique dans les semaines qui ont suivi l'élection de son successeur Emmanuel Macron, François Hollande n'a pas hésité, ensuite, à exprimer publiquement son opinion. Il a, par exemple, critiqué sans prendre de gants les conséquences de la politique fiscale du nouveau gouvernement sur le plan social. Certains de ses proches ont également fait part de l'agacement de l'ancien président après quelques piques du nouveau chef de l'État à l'encontre de ses prédécesseurs. Invité récemment sur RTL, François Hollande a cependant reconnu que la France allait « globalement dans le bon sens » au niveau économique, expliquant qu'une bonne partie des choix d'Emmanuel Macron était « en continuité avec les [siens] ».

Regrettable, si les journalistes n’ont que çà à montrer ou à dire comme information (Lui feraient-ils de la publicité indirecte.. ?)

Cet ex vieux président sans amour propre n’a qu’à passer sa retraite dorée avec sa jeune compagne !

Et s’il veut plus de discrétion, il n’a qu’à pas s’afficher dans un restaurant et ne pas accepter d’être photographié comme une star du show byz !

Et qu’il se taise et se fasse oublier, car il n’intéresse plus personne, même s’il ne veut pas  le comprendre !


Jdeclef 31/12/2017 11h00 LP

Ce DJOURY même s'il ne s'en pas le soufre dans les affaires nébuleuses Sarkozienne (selon le point) fait partie de la clique douteuse de l'ex président ?!

Financement libyen de Sarkozy : Genève transmet des documents à Paris

L'homme d'affaires Alexandre Djouhri, proche de l'ancien président, s'était opposé à ce que ses dossiers soient remis aux juges français. Il a été débouté.


Dans sa demande d'entraide aux autorités suisses, envoyée le 8 janvier 2014, le tribunal de grande instance de Paris n'avait pas joué petit bras. Non seulement il évoquait un éventuel financement de la campagne électorale de Nicolas Sarkozy par des fonds libyens, à hauteur de 50 millions d'euros, mais le vice-président chargé de l'instruction parlait également de corruption active et passive, de trafic d'influence, de faux et usage de faux, d'abus de biens sociaux, de blanchiment et de recel. Le 23 février 2015, ce même tribunal demandait des « mesures probatoires complémentaires ».
Tout cela pour obtenir, le 24 mars 2015, une perquisition du domicile de l'homme d'affaires Alexandre Djouhri, à Chêne-Bougeries, dans le canton de Genève. Le procureur genevois Jean-Bernard Schmid se rend également chez Wahib Nacer, longtemps chargé de la clientèle moyen-orientale au Crédit agricole de la cité de Calvin. Alexandre Djouhri, 58 ans, d'origine algérienne, proche de Nicolas Sarkozy et de Dominique de Villepin, apparaît, depuis le scandale Elf jusqu'au financement de la campagne de Nicolas Sarkozy, dans le secret des grandes affaires de la République, raconte un article de juillet 2015 du Point intitulé « Qui a peur de Monsieur Alexandre ? »

Plusieurs jours de perquisition

La « pêche » s'avère fructueuse, du moins en quantité, puisque la perquisition pour récupérer des documents sur papier et supports électroniques va durer plusieurs jours. Mais, fin 2016, Alexandre Djouhri s'oppose à ce que tout ce qui a été récupéré chez lui soit transmis à la justice française. Il saisit le Tribunal pénal fédéral, la plus haute instance judiciaire helvétique. Il fait valoir que les deux demandes d'entraide judiciaire, envoyées par Paris, ne lui ont jamais été remises. De plus, il affirme qu'il n'était pas présent lorsque les magistrats suisse et français ont examiné « la pertinence des pièces saisies ».
Pour preuve, Genève veut, selon lui, expédier à Paris un document « qui précède les faits incriminés de 15 ans et vise des objets appartenant à (s)on épouse ». Enfin, affirme-t-il, les magistrats ont pris des photos. Or celles-ci ne figurent pas dans l'inventaire des pièces séquestrées. L'homme d'affaires en conclut que les photos « ont déjà été transmises à l'autorité requérante en violation des règles prévalant dans ce domaine ». Le Tribunal pénal fédéral reconnaît que les récriminations d'Alexandre Djouhri ne sont pas toutes infondées. En effet, la justice genevoise aurait dû lui remettre la demande d'entraide du 8 janvier 2014 envoyée par les magistrats français.

100 millions de prestations fictives

Très clairement, Alexandre Djouhri n'avait effectivement pas la possibilité de « saisir valablement dans quel contexte s'inscrit la demande de coopération française ni le rôle qu'il y aurait joué ». Néanmoins, ce n'est qu'une victoire de (très) courte durée pour l'homme d'affaires. Le Tribunal pénal fédéral rejette finalement son recours en le qualifiant de « mal fondé » (l'arrêt remonte au 23 octobre, mais il n'a été publié que cette semaine). Les raisons ? Le 21 mars 2017, puis le 26 avril 2017, Alexandre Djouhri a bien été invité à faire part de ses observations sur les pièces que le ministère public de Genève s'apprêtait à transmettre. Mais l'intéressé, qui a quitté la Suisse depuis la perquisition, n'a pas réagi. Les documents saisis chez lui peuvent donc être transmis dans les prochains jours à la justice tricolore.
Faut-il s'attendre à d'importantes révélations sur un éventuel financement de la campagne électorale de Nicolas Sarkozy par la Libye ? Vraisemblablement pas. Selon une source proche du palais de justice, aucune opération financière ne serait directement liée à l'ancien président de la République. En revanche, les petits papiers de Monsieur Alexandre pourraient offrir un éclairage sur des prestations fictives ayant rapporté 100 millions d'euros à de grandes sociétés françaises lors des festivités du 40e anniversaire de la révolution libyenne en 2011.

Une réception avec Emmanuel Macron

Il y a quelques jours, Le Canard enchaîné révélait qu'Alexandre Djouhri, dont le nom est évoqué dans plusieurs enquêtes judiciaires, participait le 6 décembre 2017 à une soirée à la résidence de l'ambassadeur de France à Alger, à l'occasion de la visite d'Emmanuel Macron en Algérie. Information confirmée à l'hebdomadaire par un porte-parole de l'Élysée. L'homme d'affaires ne sentirait donc pas tant le soufre. Pour preuve, il ne fait toujours pas l'objet d'un mandat d'arrêt. Il ne s'est simplement pas rendu à la convocation d'un magistrat. « Il est souvent en déplacement dans le Golfe. Il se rend même à Paris », nous assure un de ses proches.
---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
La justice d'une lenteur exceptionnelle pour nos élus et politiciens avance quand même, étonnant ?!

Ceci étant on peut se demander que si N.SARKOZY avait été réélu toutes ces magouilles diverses nombreuses et pas nettes seraient tombées à la trappe !

D’où l'immunité judiciaire présidentielle pernicieuse pendant leur quinquennats pour nos présidents !

Car ils semblent que beaucoup de nos présidents soient tentés de déraper plus ou moins dans des affaires hasardeuses voire illicites !

C'est bien sur valable par leurs entourages gouvernementaux ministres et autres issus de clientélisme présidentiel en leur faveur !

On parle de loi de moralisation qui vient d’être signée par E.MACRON (il faudrait l'étendre aux présidents de notre république !)

Mais çà bien sûr on s'est bien gardé de le faire, car nos dirigeants quel que soit leurs bords s'auto protège indirectement ..!

Ils déjeunent même ensemble après leurs quinquennats douce hypocrisie envers le peuple, ils sont de la même caste de hauts politiciens sortant souvent des mêmes écoles politique (ENA etc...)


Jdeclef 10h32 31/12/2017

samedi 30 décembre 2017

Un avion qu'on n'arrive pas à vendre, car trop gros et difficile à remplir !

Nouvelle panne moteur en Airbus A380

Un vol Air France reliant Paris-Los Angeles s'est terminé sur trois moteurs. Les passagers du vol AF066 n'ont finalement subi aucun retard.


Alors que le vol Air France reliant Paris-Los Angeles était en descente mercredi vers l'aéroport international de Los Angeles LAX, l'équipage a coupé volontairement le moteur numéro deux, ayant observé une chute de pression d'huile. La dernière demi-heure de vol en approche vers LAX s'est terminée normalement sur trois moteurs. La perte de la puissance d'un moteur doit toutefois être gérée si une remise de gaz est nécessaire et il faut alors contrer la dissymétrie liée à l'arrêt d'un réacteur, en l'occurrence l'intérieur gauche. Au sol, l'A380 a rejoint son poste de stationnement par ses propres moyens. Les passagers du vol AF066 n'ont subi aucune perturbation ni retard.
En revanche, le vol retour vers Paris a été annulé en attendant que la panne soit réparée. Les passagers ont été transférés sur d'autres vols. Air France assure en général deux quotidiens Los Angeles-Paris. La compagnie nationale compte maintenant deux A380 sur dix en panne.

Aucun point commun avec l'incident du 30 septembre

Cet incident concernant aussi un moteur Engine Alliance GP7200 n'a, a priori, rien de commun avec la panne majeure survenue en croisière sur le même vol AF066 au-dessus du Groenland le 30 septembre dernier. Il avait atterri sur la base militaire canadienne de Goose Bay après la rupture en vol de la partie avant du réacteur numéro quatre. L'équipage avait dérouté l'avion sur l'aérodrome le plus proche compatible avec l'A380. Les 497 passagers du Paris-Los Angeles avaient ensuite été réacheminés vers leurs destinations finales.
Réparé, l'Airbus A380 d'Air France, immatriculé F-HPJE, avait décollé de Goose Bay le 7 décembre à 17 h 12 puis est arrivé vers 21 heures à Roissy-CDG après un vol normal.
Depuis le mois d'octobre, une équipe d'une dizaine de techniciens d'Air France, d'Airbus et d'Engine Alliance, le motoriste, ont d'abord déposé le réacteur défaillant, du moins ce qu'il en restait, puis ont réinstallé un moteur du stock de la compagnie. Ces opérations mécaniques n'ont pas été simples, car le hangar local ne permettait d'abriter que les deux tiers de l'A380. Les températures extérieures, toujours en négatives, descendaient jusqu'à - 7 °C. Mais il était important d'être protégé de la neige et du vent.

Beaucoup de publicité surévaluée lors de sa sortie mais dont la maintenance semble plus compliquée que pour d'autres avions peut être ?

Relativement fiable car malgré ces incidents techniques de moteurs on arrive à ramener au sol sans encombre les passagers...

Pas rentable surement peut être à reconvertir en avion-cargo étant donné sa grandeur ou en version militaire ?

Pas un total fiasco, mais c'est limite au vue de la rentabilité financière une avancée technique un peu comme pour le concorde en son temps, mais pas aussi originale dont il faudra peut-être stopper la construction avant qu'il ne soit trop tard...


Jdeclef 30/12/2017 13h09

Etre chrétien copte ou chrétien d'orient comme on dit chez nous est de plus en plus risqué avec l'EI DAESH peut être plus dans les pays ou les musulmans sont majoritaires?!

Égypte : 9 morts dans une attaque de l'État islamique contre une église

VIDÉO. Un assaillant a ouvert le feu à l'extérieur d'une église copte du Caire. L'attaque a été revendiquée par le groupe État islamique.


Neuf personnes ont été tuées vendredi dans la banlieue sud du Caire lors d'une nouvelle attaque contre la minorité chrétienne en Égypte, perpétrée par un djihadiste armé dans une église et revendiquée par le groupe État islamique (EI). Les chrétiens d'Égypte, les coptes, ont depuis un an été la cible de plusieurs attentats d'envergure de l'organisation extrémiste, qui ont fait plus de 100 morts. Le porte-parole du ministère de la Santé, Khaled Megahed, a dans un premier temps indiqué que l'assaillant avait été abattu après avoir tué neuf personnes et blessé plusieurs autres. Mais le ministère de l'Intérieur a ensuite précisé que l'assaillant, un djihadiste recherché pour des attaques contre la police, avait été blessé et arrêté.
Selon le ministère, il était armé de fusils d'assaut, de munitions et d'une bombe qu'il avait l'intention de faire exploser dans l'église Saint-Mina à Helouane. Il a d'abord tué deux personnes en ouvrant le feu sur un magasin puis s'est dirigé vers l'église et en a tué sept autres, dont un officier. Cinq gardes de sécurité ont été blessés, selon des responsables de la police. L'assaillant a ouvert le feu à l'extérieur de l'église Saint-Mina et tenté de donner l'assaut au bâtiment, ont-ils précisé.

Revendication

L'EI a revendiqué l'attentat dans un communiqué diffusé par son organe de propagande Amaq. La présidence égyptienne a affirmé dans un communiqué que cette attaque « renforcerait la détermination [du gouvernement] à débarrasser le pays du terrorisme et de l'extrémisme ». Des images vidéo diffusées sur les réseaux sociaux montrent l'assaillant présumé, un homme barbu portant une veste avec des munitions étendu sur le sol, à peine conscient alors que des gens le menottent. La police a ensuite interdit l'accès au lieu de l'attaque, qui survient peu avant le Noël copte célébré le 7 janvier.
Et vendredi soir, des funérailles collectives ont été organisées dans une église à Helouane, tandis que le pape copte Tawadros II a assuré dans un message de condoléances que l'Égypte « demeure forte et capable de défaire les forces obscurantistes ». La France a condamné un « acte de haine » et renouvelé son « soutien dans la lutte contre le terrorisme », selon le ministère des Affaires étrangères. L'Arabie saoudite et les Émirats arabes unis, pays du Golfe alliés de l'Égypte, ont condamné l'attaque et apporté leur soutien à l'Égypte. Tout comme le Qatar, avec lequel Le Caire a pourtant rompu ses relations au mois de juin au motif que cet émirat du Golfe soutenait le « terrorisme ». Dans son message de condoléances, Doha a assuré de son « ferme rejet du terrorisme ».

Les coptes régulièrement ciblés par l'EI

Depuis décembre 2016, des dizaines de chrétiens, essentiellement des Coptes, ont été tués dans des attentats contre des églises ou des attaques ciblées dans la péninsule du Sinaï (Est) et à travers le pays. Le 11 décembre 2016, au Caire, un attentat-suicide contre l'église copte Saint-Pierre et Saint-Paul avait fait 29 morts. L'attentat, qui avait eu lieu en pleine célébration, avait été revendiqué par l'EI. En avril 2017, 45 personnes ont été tuées dans deux attaques-suicides revendiquées par le groupe terroriste en pleine célébration des Rameaux à Alexandrie, deuxième ville du pays, et Tanta, dans le nord de l'Égypte. En mai, le groupe djihadiste avait revendiqué une attaque contre un bus de pèlerins coptes qui s'était soldée par la mort de 28 personnes.
Les Coptes, pour l'immense majorité orthodoxes, constituent la communauté chrétienne la plus nombreuse du Moyen-Orient et l'une des plus anciennes. Ils représentent 10 % des quelque 96 millions d'habitants et sont présents dans tout le pays, avec des concentrations plus fortes en Moyenne-Égypte. Ils sont faiblement représentés au gouvernement et se disent marginalisés. Outre les attaques contre les chrétiens, les djihadistes visent aussi régulièrement les forces de sécurité. Ils sont par ailleurs soupçonnés d'être derrière une attaque ayant fait plus de 305 morts contre une mosquée de l'est de l'Égypte le 24 novembre dernier.

Et notamment en ÉGYPTE pourtant 2eme religion importante de ce pays bien plus ancienne que l'Islam et dirigé par un gouvernement totalitaire du président Sissi qui pour l'instant les protège des frères musulmans qui voudraient revenir au pouvoir !

Bien que les chrétiens d'orient ont 2000 ans d'histoires, ils sont nettement moins bien protégés par les occidentaux en majorité chrétiens, que la lutte que l'on fait contre l'EI DAESH on a bien vu leurs sorts pendant la guerre en IRAK et les souffrances qu'ils ont endurés et ça continue !

Et sont de plus rejetés des pays arabisants ou ils vivent pourtant depuis des siècles car minoritaires  ?!


Jdeclef 30/12/2017 11h39 LP

Grand malheur domestique qui aurait pu être évité bien sûr !

New York : un enfant de 3 ans à l'origine de l'incendie meurtrier

Douze personnes, dont quatre enfants, sont mortes dans les flammes dans le Bronx. L'incendie a été provoqué par un enfant de 3 ans.


Douze personnes sont décédées jeudi 28 décembre dans un dramatique incendie, le pire qu'a connu New York depuis des décennies. Trois petites filles âgées de 1, 3 et 7 ans ainsi qu'un garçonnet de 7 ans ont perdu la vie, a annoncé la police       ce vendredi. Huit adultes, quatre hommes et quatre femmes, font également parmi des victimes à déplorer. Une femme et une fillette décédées ont été retrouvées dans une baignoire remplie d'eau. Elles semblent avoir       voulu s'y réfugier pour échapper aux flammes, racontent plusieurs médias américains.
C'est un enfant de trois ans et demi, qui jouait avec une cuisinière à gaz, qui a déclenché jeudi l'incendie, a indiqué vendredi le chef des pompiers de la ville, Daniel Nigro. « Nous avons découvert que le feu a commencé dans une cuisine au rez-de-chaussée. Il a été déclenché par un enfant de trois           ans et demi qui jouait avec la gazinière. L'incendie a pris et la maman n'en avait pas conscience. Elle a été alertée par           les cris » de l'enfant, a expliqué Daniel Nigro. « Elle est sortie de l'appartement avec ses enfants de 3 et 2 ans et a laissé la porte ouverte. Le feu s'est rapidement           propagé vers les étages supérieurs », a-t-il poursuivi, martelant qu'« en cas d'incendie il faut absolument fermer la porte           en sortant ».
« C'est une tragédie épouvantable et des familles ont été déchirées », s'est ému le maire de la ville, Bill de Blasio, sur Twitter       jeudi soir, parlant du « pire incendie depuis au moins un quart de siècle ». Les pompiers ont réussi à mettre douze personnes à l'abri, mais les fouilles dans l'immeuble se poursuivent, a rapporté Bill de Blasio. « Les gens sont morts à différents étages, et leur âge va de 1 an à plus de 50 ans », a expliqué le chef des pompiers de New York, Daniel Nigo. L'incendie – qui est maîtrisé – a éclaté au rez-de-chaussée d'un immeuble de briques de quatre étages, comme il y en a des centaines à New York, aux alentours de 19 heures locales (0 heure GMT), avant de se propager au 2e étage, selon des responsables. Les causes de l'incendie, qui s'est rapidement propagé à tous les étages du bâtiment qui compte 25 appartements, ne sont pas encore connues. « Cette tragédie est sans aucun doute historique de par son ampleur », a souligné le chef des pompiers, qui a ajouté : « Nous sommes choqués par cette perte ». « Quatre personnes grièvement blessées sont toujours hospitalisées et luttent contre la mort », a précisé Daniel Nigro.

Un terrible incendie dix jours plus tôt

En larmes, les survivants ont raconté comment ils avaient été alertés par les cris de « Au feu, au feu » avant de se précipiter       sur l'escalier de secours qui descend le long de la façade. « Je suis sorti par la fenêtre. Il y avait de la fumée partout (...) Je ne pouvais pas voir la porte, elle était déjà couverte       de fumée », a témoigné un habitant, Matthew Igbinetion, sur la chaîne locale WABC.
Une école qui se trouve non loin du sinistre a été transformée en centre d'accueil d'urgence pour les habitants de l'immeuble alors que le thermomètre affiche des températures glaciales aux alentours de - 10 °C. Le froid a rendu le travail des pompiers plus difficile. L'incendie s'est produit non loin du zoo du Bronx, l'un des endroits les plus prisés de la ville. Il y a dix jours, une femme et ses trois enfants sont morts dans l'incendie de leur maison à Brooklyn, un autre quartier de New York. Et en mars 2007, dix personnes avaient été tuées – déjà dans le Bronx – dans l'incendie d'une maison qui abritait deux familles maliennes. Il s'agissait alors du pire incendie qu'avait connu la ville depuis 1990, à l'exclusion des attentats du 11 Septembre qui avaient coûté la vie à plus de 2 600 personnes.


Car à cause d'un enfant resté sans surveillance !

Beaucoup de ses enfants causent ou occasionnent des accidents domestiques hélas!

On n'y fait pas assez attention et quelque fois cela se termine en catastrophe !

Le gaz est dangereux dans une cuisine d’appartement, et dans les immeubles collectifs je sais que j’avais supprimé ce mode de cuisson remplacé par des plaques électrique quand j’ai eu mes enfants !

Et aussi je me rappelle de mon père âgé qui avait mis le feu à la cuisine de son appartement par une mauvaise utilisation de sa gazinière qui nous avaient amené à mettre des plaques de cuisson électriques …


Jdeclef 30/12/2017 10h51LP

Une promesse utopique et très difficile voir impossible à réaliser dans notre pays libre!

Sans-abri : la promesse non tenue d'Emmanuel Macron

 Le chef de l'État s'était engagé à « loger tout le monde dignement » d'ici à la fin de l'année. De nombreux sans-abri sont encore dehors.


Serait-ce la première promesse non tenue du mandat d'Emmanuel Macron ? À deux jours de la fin de l'année 2017, sa volonté de « loger dignement » tous les sans-abri avant le 1er janvier 2018 semble vaine. En juillet, lors d'un discours à Orléans sur l'accueil des migrants, le chef de l'État avait déclaré : « D'ici la fin de l'année, je ne veux plus personne dans les rues, dans les bois. » « La première bataille : loger tout le monde dignement. Je veux partout des hébergements d'urgence. Je ne veux plus de femmes et d'hommes dans les rues », avait-il ajouté, évoquant une « question de dignité, d'humanité et d'efficacité ».
Or, selon RTL, 200 000 personnes seraient encore dans la rue.

Mécontentement des associations

Lundi 25 décembre dernier, l'association Droit au logement (DAL) a d'ailleurs manifesté devant le ministère du Logement à Paris. « Il y a de plus en plus de sans-abri, alors qu'on n'a jamais eu autant de logements vacants, il y a de la place », s'était agacé le porte-parole de l'association, Jean-Baptiste Eyraud, rappelle Le Figaro .
Le gouvernement, conscient que l'objectif n'a pas été atteint, préfère souligner les nombreux efforts accomplis. « Nous agissons avec énormément de détermination, mais aussi beaucoup d'humilité. [...] Nous avons déployé un effort sans précédent. Par rapport à l'année dernière, ce sont 13 000 places d'hébergement d'urgence de plus qui ont été ouvertes par rapport à l'année dernière », a assuré vendredi sur RTL Julien Denormandie , le secrétaire d'État auprès du ministre de la Cohésion des territoires.

Refus de certains sans-abri

Il a également insisté sur le refus de certains sans-abri à vouloir être accueilli dans un centre d'hébergement d'urgence. « Quand [les associations] vont à la rencontre des personnes, il y en a beaucoup qui refusent de venir avec eux, il y en a beaucoup qui préfèrent ne pas avoir un hébergement d'urgence et rester dans la rue. Ce n'est pas du tout une généralité, mais c'est la réalité du terrain. »
Selon les derniers relevés, les sans-abri seraient majoritairement des hommes seuls. Mais de plus en plus de familles, notamment de migrants en situation irrégulière, se retrouvent à la rue.
-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Mr le président MACRON n'est pas le seul de nos présidents à avoir promis cela sans beaucoup de résultat !

Malgré déjà des structures qui existent et qui valent ce qu'elles valent, car pas parfaites loin de là, et insuffisantes elles conduisent à enfermer ou parquer ces sans domiciles fixes !

Mais nous sommes dans un pays libre et on ne peut forcer ces pauvres gens à y venir et certains justement ne veulent pas y aller pour garder leur liberté mais si c’est dur de survivre dans la rue surtout l’hiver et ne pas subir la promiscuité avec d'autres qui engendrent hélas souvent des heurts ou violences diverses !

Les associations caritatives font déjà un grand travail pour ces malheureux avec des bénévoles, mais elles ne peuvent tout faire et ne sont pas des services de police pour enfermer de force ces français d’en bas pour les cacher à la vue de ceux que cela gêne  et donc il faut les aider à apporter plus de soutien à ces populations puisque l’état ne le fait pas assez !

Car cela ramène au problème du manque de logement, du chômage du travail et bien sûr de l’immigration qui n’a pas arrangé cela ou il faut nourrir ces populations en plus d’autres français dans le besoin!

Alors que les bien-pensants de tous poils mais hypocrites arrêtent de fustiger nos dirigeants de gauche ou de droite, car tout le monde à un cœur et conscient de cet état de fait qui ne date pas d’hier (et pourtant ne les accueille pas chez eux !)

Mais pour ceux qui disent qu’on n’y peut rien, je confirme la difficulté, et que cela touche bien de pays riches civilisés, par exemple je suis allé aux USA pays de l’argent roi à SAN FRANCISCO ou j’ai vu des gens SDF jeunes et même de vieilles personnes femmes ou hommes mendier en plein centre-ville devant la mairie de cette belle grande ville !

Et ne parlons pas des pays pauvres car j'ai beaucoup voyagé de par le monde, là, c'est la misère moyenâgeuse pour certains !


Jdeclef 30/12/2017 10h28 LP

vendredi 29 décembre 2017

Quel panier de crabe le monde du sport et ses dirigeants sans compter les fédérations?!

XV de France : Guy Novès conteste son licenciement pour faute grave

Remplacé à la tête du XV de France par Jacques Brunel, Guy Novès ne comprend pas son licenciement pour faute grave. Il va donc contester cette décision.


Guy Novès a été écarté de son rôle d'entraîneur du XV de France ce mercredi par Bernard Laporte. Cette décision semble être la conséquence des différents matches tests du mois de novembre dernier qui ont été ratés par l'équipe de France. Ainsi, le président de la Fédération française de rugby, Bernard Laporte, a décidé de remplacer Guy Novès par Jacques Brunel. Mais, alors que l'ex-entraîneur du XV de France a reçu son licenciement pour faute grave mercredi, par courrier recommandé, il conteste la légalité de cette procédure engagée à son encontre, a-t-il annoncé ce vendredi dans un communiqué transmis à l'AFP
« Cette rupture brutale est intervenue sans procédure préalable, c'est-à-dire en violation des droits et garanties essentielles prévues par la loi », affirme Guy Novès, qui dit n'avoir « jamais été convoqué à un entretien préalable à cette décision et n'a donc jamais pu prendre connaissance des raisons qui pouvaient la justifier ni présenter la moindre explication pour sa défense », selon le communiqué transmis par son avocat. « Le courrier de rupture indique d'ailleurs que le président Bernard Laporte » a pris cette décision après un mois de réflexion. Mais le principal intéressé estime qu'il « s'est dispensé de cette procédure légale obligatoire ».

Éviter de payer les indemnités de licenciement

« Survenue sans observation de la moindre procédure légale », l'éviction notifiée mercredi par courrier recommandé « s'appuie bien sur la notion de faute grave », ajoutent Guy Novès et son conseil. Bernard Laporte avait annoncé mercredi que Jacques Brunel entraînerait désormais les Bleus, un mois après le match nul contre le Japon (23-23), nation du deuxième rang mondial, et un mois seulement avant le début du Tournoi des 6 Nations. Les adjoints de Guy Novès, Yannick Bru et Jean-François Dubois, ont aussi été écartés. Le contrat des trois techniciens, entrés en fonction fin 2015, court jusqu'à la Coupe du monde 2019 (soit le 2 novembre, date de la finale de cette Coupe du monde).
S'ils étaient reconnus coupables de faute grave, la FFR n'aurait pas à leur payer leurs indemnités de licenciement, estimées par la presse à entre 1,5 et 2 millions d'euros.
-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Le motif de licenciement semble nettement exagéré et c’est plutôt B.LAPORTE qui devrait dégager pour reprendre un terme à la mode, car sa gestion du rugby et de l’équipe de France est nettement déplorable !

Il fallait dire à G.NOVES qu’il était remercié pour les manques de résultat de l’équipe de France en y mettant des formes régulières et ne pas oublier que ce n’est pas lui qui joue sur le terrain, mais les joueurs !

Parallèlement à cela, c’est bien LAPORTE qui a choisi NOVES  comme entraîneur, il faudrait peut-être qu’il soit recruté des entraîneurs plus jeunes et dynamiques sachant manager des joueurs qui ont besoin d’être peut être plus disciplinés et remis à niveau des compétitions internationales pour ne pas tomber dans les travers du football, car ce serait vraiment dommage !


Jdeclef 29/12/2017 16h24 LP

Oui hélas, car il ne faut pas se laisser déborder par des signes religieux ostentatoires dans le domaine public et notamment l’hôpital !

Laïcité à l'hôpital : haro sur la barbe !

Une cour administrative d'appel a donné raison au centre hospitalier de Saint-Denis, qui avait renvoyé un stagiaire en 2014, jugeant sa barbe ostentatoire.


La décision risque de faire couler beaucoup d'encre. La cour administrative d'appel de Versailles, dans un arrêt rendu le 19 décembre dernier, a considéré que le port d'une longue barbe par un élève médecin du centre hospitalier de Saint-Denis, en banlieue parisienne, ne respectait pas les « obligations en matière de neutralité religieuse ». Et ce, « bien que le port de sa barbe ne s'est accompagné d'aucun acte de prosélytisme ni d'observations des usagers du service », peut-on lire.
L'histoire remonte à quelques années. En novembre 2013, Mohamed*, étudiant en médecine à l'université égyptienne de Menoufeya, est accueilli au sein du service de chirurgie générale, viscérale et digestive du centre hospitalier de Saint-Denis, en vertu d'une convention de stage. Quatre mois plus tard, en février 2014, l'hôpital dénonce la convention au motif que Mohamed refuse de se tailler la barbe.

Pas de comportement prosélyte

L'étudiant égyptien réplique et demande au tribunal administratif de Montreuil de faire annuler cette décision, mais ce dernier lui donne tort. Le jeune homme va alors saisir la cour administrative d'appel de Versailles. Interrogé, le praticien responsable du stage se range à l'avis de sa hiérarchie et évoque les « perturbations suscitées par cette situation au sein de son service ».
Dans son raisonnement, la cour semble d'abord se ranger à l'avis de Mohamed, estimant que le port de la barbe, « même longue », « ne saurait à lui seul constituer un signe d'appartenance religieuse en dehors d'éléments justifiant qu'il représente effectivement [...] la manifestation d'une revendication ou d'une appartenance religieuse ».

Un hôpital sensible sur la laïcité à cause de « l'environnement multiculturel »

Mais elle rappelle que le devoir de neutralité s'impose aux services publics. Et que ce principe s'oppose à ce que les agents publics manifestent leurs « croyances religieuses dans l'exercice de [leurs] fonctions ». La barbe de Mohamed ayant gêné les « membres du personnel », et « l'environnement multiculturel » de l'hôpital rendant l'application du principe de neutralité « d'autant plus importante », le refus du stagiaire de tailler sa barbe doit s'analyser en un manquement au principe de laïcité, conclut la cour.
La décision de l'hôpital de résilier la convention de stage n'était donc pas « disproportionnée », ajoute-t-elle.

Surtout qu'en plus pour cette religion inutile de la citer quelque fois envahissante et intolérante fait des difficultés quand il s'agit de soigner ses femmes pratiquantes qui ne veulent pas être soignées et auscultées par des hommes !

D'après la photo et la barbe de ce personnage, il est certain que cela ressemble bien à un signe religieux que l'on voit pour certains hommes pratiquant celle-ci !

Nous sommes dans un pays libre, mais il faut respecter nos lois et notre laïcité !


Jdeclef 29/12/2017 13h18 LP

Ce qui prouve s'il le fallait que la menace terroriste interne dans notre pays est toujours présente !

Deux islamistes « déterminés » à frapper la France arrêtés

Selon les informations du « Figaro », deux suspects sans lien entre eux ont été interpellés la semaine dernière à Paris et à Lyon. Ils ont été mis en examen.


Ils ont été interpellés les 18 et 22 décembre par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), respectivement en région parisienne et lyonnaise, selon les informations du Figaro . Entre eux, pas de liens si ce n'est leur « détermination » à commettre un attentat sur le sol français. Ils étaient tous deux en contact avec des membres de l'organisation État islamique en zone irako-syrienne sur les réseaux sociaux, avaient réalisé des repérages et projetaient de s'en prendre à des « porteurs d'uniforme », selon une source au quotidien.
La première suspecte est une jeune femme de 19 ans, arrêtée le 18 décembre en région parisienne. D'après Le Figaro, elle a reconnu en garde à vue préparer une action violente en province, là où les forces de l'ordre sont moins nombreuses, et chercher à se procurer des armes à feu depuis octobre dernier. Devant les enquêteurs, elle a aussi approuvé les attentats terroristes de 2015.

Ni arme ni explosifs

La deuxième personne arrêtée, le 22 décembre dans l'agglomération de Lyon, est un jeune homme de 21 ans. Il projetait de s'en prendre avec une arme à feu ou une arme blanche prioritairement à des militaires. Il souhaitait « répondre aux appels de l'État islamique », précise le quotidien. Selon les informations de RMC, le suspect avait déjà été assigné à résidence pendant un an avant que cette assignation ne soit levée en août dernier. Il souffre de troubles psychiatriques et a d'ailleurs été interpellé dans une maison de soin lyonnaise où il avait été admis il y a un mois.
Dans les deux cas, ni arme ni explosif n'ont été trouvés lors des perquisitions. Les deux suspects ont été mis en examen pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste criminelle ». La jeune femme a été ensuite écrouée le 21 décembre, le jeune homme le 26 décembre.

"Le ver est toujours dans le fruit", donc il ne faut pas baisser la garde, ni la surveillance et le renseignement pointu partout, même si çà gêne les bien-pensants hypocrites de tous poils qui agite la peur de perte de liberté !

Car il s'agit de la sécurité des français innocents, hommes, femmes et enfants qui doivent pouvoir vivre sereinement dans notre pays libre et démocratique !

Et puis surtout, il faut une justice bien plus sévère qu'elle n'est contre de tels individus qui fomentent ou commettent des actes de terrorisme islamiste qu'ils revendiquent en plus en leur faisant comprendre ce qu'ils risquent sans états d’âmes, car eux n'ont aucune compassion pour leurs compatriotes français ou autres quel que soit leur religion !

Il faut relever les sanctions par une justice d’exception pour de tels actes de terrorisme commis ou en préparation par de tels individus !


Jdeclef 29/12/2017 13h03 LP

C'est très bien qu'il admette ses erreurs et incompétence en matière ferroviaire !

Guillaume Pepy : « Mon mandat est à la disposition du gouvernement »

« Le temps n'est pas aux états d'âme », explique au « Parisien » le patron de la SNCF, qui sera convoqué le 8 janvier au ministère des Transports.


Plutôt silencieux après les divers incidents ayant touché les gares parisiennes en décembre, le patron de la SNCF, Guillaume Pepy, affirme dans Le Parisien de vendredi que « (son) mandat est à la disposition du gouvernement ». Lui et le patron de SNCF Réseau, Patrick Jeantet, sont convoqués le 8 janvier par la ministre des Transports Élisabeth Borne, qui entend leur demander des explications.
La SNCF a dû faire face coup sur coup à une panne géante due à un « bug informatique » le 3 décembre à Montparnasse, puis à une grande pagaille en raison d'une affluence de voyageurs supérieure à la capacité des trains samedi à Bercy, et enfin à une panne électrique mardi à Saint-Lazare. « Mon mandat est à la disposition du gouvernement. Mon boulot, avec Patrick Jeantet, c'est de trouver des solutions. Le temps n'est pas aux états d'âme », déclare Guillaume Pepy au Parisien.
SNCF, ce n'est plus possible !
« Nous rénovons le réseau tout en faisant circuler en Île-de-France l'équivalent d'un avion A380 toutes les sept secondes. Ces gigantesques travaux en pleine exploitation comportent des risques de bugs, d'incidents électriques, des risques de travaux qui ne sont pas suffisamment préparés », explique encore le président du directoire de la SNCF. « La direction de la SNCF n'assume pas ses responsabilités », avait estimé mardi le syndicat SUD rail, imputant le dernier incident à Saint-Lazare à « l'insuffisance chronique d'entretien du réseau » et au « recours accru à la sous-traitance ».
-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

C’est le moins qu’il puisse faire, alors qu’il s’en aille et que le gouvernement le démissionne sans attendre !

Mais surtout, qu’il mette à sa place quelqu’un de très compètent en matière de transports publics et chemin de fer et n’ont pas issu d’un clientélisme affairiste de politique d’état !

Il y a surement à la SNCF et réseau ferré de vrais techniciens très performants car cette société en a besoin, si elle veut vraiment se redresser, car les français la plébiscite, car ils en ont besoin et en ont marre de ces incidents divers partout que ce soit les grandes lignes ou les réseaux de banlieue et régionaux !

C’est avant tout un service public important pour les français lambda, il faut qu’E.MACRON en prenne conscience et aussi une image de la France en matière de transport ferroviaire !


Jdeclef 29/12/2017 11h30 LP