dimanche 31 mars 2024

Si Nos dirigeants n’arrivent pas à considérer ces états du MAGHREB ou même ceux de notre AFRIQUE OCCIDENTALE française de notre ex empire colonial comme des pays du monde étranger et international indépendant depuis 60 ans à part entière de la communauté mondiale comme les autres en les traitant comme tels on ne s’en sortira jamais !?

 

Maghreb : un insoutenable fiasco politique qui ne date pas d’aujourd’hui !?

LETTRE DU MAGHREB. Depuis trente-cinq ans, la région est désunie, incapable de parler d’une voix commune. Les bouleversements mondiaux rendent politiquement suicidaire cette attitude.

Nos dirigeants de tous bords et leurs gouvernements comme le dernier en date en France car trop jeune lors de ses décolonisations se noie dans un verre d’eau qu’il ne peut boire (et s’il n’y avait que çà dans sa mauvaise gouvernance mais il accumule les échecs divers et variés !?)

En augmentant en plus indirectement cette immigration trop importante de leurs ressortissants qu’ils exportent vers la France et l’Europe !?)

Le Maghreb est dans l'impasse. En rade depuis la création de l'UMA (Union du Maghreb arabe) le 17 février 1989. Sitôt signé, sitôt décédé. Les cinq pays membres – d'ouest en est sur la mappemonde : la Mauritanie, le Maroc, l'Algérie, la Tunisie et la Libye – sont incapables de s'entendre, de s'écouter ou tout simplement de s'unir ponctuellement, même cyniquement, afin de peser face au bloc européen et de faire fructifier leurs intérêts.

 Le Maghreb est son pire ennemi

Une région sans capitaine

En 2024, entre Gaza, Ukraine, changement climatique – la région est laminée par la sécheresse pour la sixième année consécutive –, inflation et pénuries, le Maghreb avance désuni, hagard, sûr de ses désaccords, handicapé par quatre décennies d'échecs politiques. Pourtant, sur le papier dont on fait les utopies, un G5 Maghreb aurait tout son sens. Il aurait une légitimité économique, serait un outil de pouvoir diplomatique et sécuritaire, un levier d'influence, éparpillerait aux quatre coins de la Méditerranée le « soft power » maghrébin. Il lui permettrait de parler d'une seule voix au G20, à l'ONU, dans de nombreux sommets et assemblées. Au lieu de cela, chacun avance avec son propre petit agenda, ses petits gains, ses petites inimitiés, ses lignes rouges. Une camarilla de somnambules. Chaque problème est multiplié par cinq par la faute de cinq dirigeants (ou « systèmes ») incapables d'élever le débat, ne serait-ce que pour extraire leurs populations de la dèche et leur offrir un espoir autre qu'un aller simple pour Montréal, Nice, Bonn ou Bruxelles.

 Maghreb : une semaine de tous les dangers

Pour un G5 Maghreb

Pourquoi s'énerver début avril 2024 à propos d'une situation qui perdure depuis trente-cinq ans ? Parce que dans le grand souk du monde, ce grand bazar qui ne connaît plus de frontières, la voix du Maghreb n'existe pas. La région est pourtant à la croisée des continents et des destins. Le Maghreb a les pieds ancrés en Afrique, il évolue dans un univers arabo-musulman, il a l'Europe comme premier partenaire économique, il a ses ports ouverts sur la Méditerranée, il parle l'arabe dialectique (un par pays), le français, l'anglais de plus en plus. Face au dossier crucial de la migration, sujet qui embrase les opinions publiques européennes et qui rendrait maboul le plus rationnel des moines sybarites, il devrait être l'interlocuteur numéro un. Nenni. L'Union européenne doit traiter avec cinq interlocuteurs différents. Sur la guerre à Gaza, le Maghreb devrait parler fort, multiplier les médiations, jeter son poids religieux et politique dans la bataille. Au lieu de cela, des aides alimentaires et médicales non coordonnées, des discours cacophoniques…

Sur tous les sujets clés, le Maghreb agit dans le plus grand désordre. Au lieu de former une puissance des hydrocarbures, une sorte de OPEC5, capable de négocier avec l'Union européenne et ses vingt-sept États membres, c'est la politique du chacun pour soi qui bénéficie à quelques multinationales et entretient des réseaux extrêmement rodés de corruption, entravant toute compétitivité. Les perdants ? Les populations maghrébines et européennes.

L'immigration ? Chacun y va de sa propre partition, avec ses interlocuteurs ad hoc. Le Maroc avec l'Espagne, la Tunisie avec l'Italie, la Libye avec l'Italie… Aucune position commune de ce quintette de pays à qui l'Union européenne demande, de façon policée, d'être le gardien des frontières du Nord face une migration sahélo-africaine qui ne peut que prendre de l'ampleur si l'on combine taux de natalité et saccages économiques (Mali, Burkina Faso, Niger…). Faute d'un G5, chaque pays reçoit, en ordre dispersé, les visites d'Ursula von der Leyen, systématiquement secondée de la cheffe du gouvernement italien Giorgia Meloni. Les montants attribués par la Commission européenne varient d'un pays à l'autre : plus d'un milliard d'euros pour l'Égypte, 165 millions pour Tunis, plus d'une centaine pour la Libye de l'ouest… Chaque pays négocie en fonction de son poids, de son potentiel de nuisances. À cinq, le Maghreb pourrait être la solution à la migration illégale, tout en se développant économiquement. D'Agadir (Maroc) à Tobrouk (Libye), le Maghreb offre 5 000 kilomètres de littoral. Une façade maritime aux multiples balcons. Ce sont les côtes du Maghreb qui cristallisent toutes les avanies actuelles, monopolisent le débat des élections européennes, ces côtes dont on s'élance en barcasses, boudins, zodiacs pour les mieux lotis, vers les îles Canaries ou celle de Lampedusa (Italie).

Quand on écoute certains dirigeants (ministres, hauts fonctionnaires, décideurs), l'Europe et les Européens semblent responsables de tous leurs maux. On pourrait imaginer à les écouter que Macron, Scholz et Sanchez sont à l'origine des guerres puniques, de la chute de Carthage, de l'échec du Printemps arabe, que Bruxelles a torpillé leurs agricultures, déséquilibré leurs balances commerciales. Le discours tenu par les dirigeants algériens depuis la deuxième partie du XXe siècle fait des émules. Tunis et Rabat sont devenus de sérieux contempteurs de leurs partenaires du Nord (qui pèsent pour plus de 70 % de leurs économies). Selon l'ONU, le Maghreb est la région la moins intégrée au monde, les échanges entre ses cinq pays ne pèsent que 1,5 %…

Depuis trente-cinq ans, l'UMA n'existe que sur le papier. Face à l'évolution du monde, face à une Union européenne qui risque de changer de ton après la montée de l'extrême droite (25 % du prochain parlement selon les derniers sondages), ses dirigeants estiment qu'il est urgent d'attendre. Une attitude suicidaire.

Tant que notre état Français n’a pas tiré définitivement un trait sur notre histoire commune avec ces pays et cette décolonisation mal effectuée de ce Maghreb et notre Afrique occidentale de notre ex empire colonial depuis déjà 1954/1962 et fin de cette guerre inutile d’ALGERIE et même TUNISIENNE avec ces incidents militaro politique de BISERTE qui ont abouti à l’indépendance de la TUNISIE ou l'idée d'indépendance à l'indépendance réelle (1930-1956) du MAROC concrétisé par ces 2 rois (du monde arabo musulmans) moderne Règne de Mohammed V (1927-1961) et le Règne de Hassan II (1961-1999) !?

Donc le constat est simple et il est impératif de tourner absolument et urgemment ces pages de ces décolonisations ratées et hélas pour nous ce n’est par notre petit président faux monarque sans couronne trop jeune à l’époque de ces évènements historiques qui peut être au fait de prendre de bonnes décisions car il ne sait pas décider son principal défaut de sa gouvernance chaotique depuis 2017 et qui semble prendre le même chemin jusqu’en 2027 ?!

Avec l’Immigration importante de certains de leurs ressortissants qui fuit leurs régimes totalitaires vers la France et l’Europe !?

Surtout si l’on ajoute les évènements graves internationaux dont la France est peut-être la cible en termes d’insécurité attentats terroristes islamiques de DAESH EI et guerre en Ukraine en fait commencé indirectement en TCHETCHENIE et GEORGIE pour aboutir à ‘annexion de la CRIMEE par la Russie avec les vociférations belliqueuses de menaces continuelles de POUTINE contre l’Occident depuis 2014 et 2022 et ce n’est pas fini !?

Jdeclef 31/03/2024 18H40LP

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samedi 30 mars 2024

IL FAUT BIEN UN LAMPISTE POUR SUPPORTER L’INSSUPORTABLE DE LA SITUATION GLOBALE FRANCAISE QUAND ON A UN PRESIDENT QUI BOTTE EN TOUCHE EN SE PROMENANT C’EST LE LOT DE TOUT 1ER MINISTRE BIEN UTILE EN FAIT !?

 

Le nouveau seul en scène de Gabriel Attal (IL EST LÀ POUR CELA !?)

Le Premier ministre se voit octroyer une tribune sur mesure à l’Assemblée nationale. Comme s’il en manquait !

On se demande vraiment à quoi sert le parlement si notre président faux monarque roi sans couronne fait tout et n’importe quoi (plutôt rien en fait !?)

on ne parle pas ici, avec ce seul en scène, de la surexposition médiatique du Premier ministre cette semaine (convocation d'un séminaire gouvernemental en lieu et place du conseil des ministres, 20 heures de TF1), comme s'il avait profité du voyage d'Emmanuel Macron en Guyane et au Brésil – une aubaine !

On parle d'une nouveauté qu'inaugurera Gabriel Attal, ce mercredi 3 avril, dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale. Faute, en effet, d'avoir procédé à quelques substantielles réformes parlementaires (introduction de la proportionnelle dans les élections législatives, révision du non-cumul des mandats pour les élus nationaux), l'Assemblée a décidé de modifier la pratique des questions au gouvernement (QAG), inventées voilà cinquante ans par Valéry Giscard d'Estaing. Désormais, seul le Premier ministre répondra aux questions des députés lors de la session du mercredi. Attal n'y est pour rien, mais ne s'est pas dérobé face à cette nouveauté qui ne doit pas lui déplaire : son expérience de porte-parole l'a initié à de pareils exercices et son tempérament, voire son talent, le prédispose à ce grand oral particulier.

Le magistère de la parole est un combat

Les mœurs de la République n'en seront guère bouleversées. Mais cette réforme n'en est pas pour autant anodine. Pour preuve, les débats internes. Contre la réforme, les quatre groupes de gauche (Insoumis, Écolos, PS et PC) mais aussi MoDem et Horizons. Pêle-mêle, ils critiquent cette tribune octroyée au Premier ministre, la « verticalité » du pouvoir qu'elle accentue, l'incongruité de lui prêter une science à spectre large. Pour la réforme : Renaissance, LR, FN et Liot, qui, entre autres, se réjouissent de donner à de simples députés (et non plus aux seuls présidents de groupe) la possibilité d'apostropher directement le Premier ministre.

La véritable intention de Yaël Braun-Pivet, présidente de l'Assemblée, est de rendre de l'intérêt à ce rituel, de lutter contre l'absentéisme ou l'ennui des députés, de pimenter cette procédure qu'elle tient pour essentielle dans la vie démocratique où le pouvoir doit s'expliquer sur toute question d'actualité qui importe aux élus.

Gabriel Attal va donc essuyer les plâtres de cette formule pour l'expérimenter pendant cinq semaines, avant qu'on en tranche le sort. Deux éléments au moins nous semblent mériter l'attention.

D'abord, le sort réservé aux ministres, désormais réduits à un rôle de figurants. Est-il bien raisonnable de les cantonner ainsi, dans ce rituel parlementaire, en muets du sérail parce que leur parole serait moins importante, impactante, excitante pour retenir l'attention ? Leur confisquer la réplique à une question qui les concerne, n'est-ce pas les dévaloriser ? Certes, ils auront toujours la parole lors des QAG du mardi, mais n'est-ce pas créer une fâcheuse hiérarchie, une sorte de 1re classe dont ils sont exclus ? Chercher la montée en gamme du débat, sa montée en tension, en y impliquant le numéro deux de l'exécutif, c'est en outre ajouter à la verticalité du pouvoir, dont on s'inquiète à juste titre par ailleurs.

Son réseau à droite, sa « meute » : la galaxie de Gabriel Attal

Le deuxième élément est plus conjoncturel. Que Gabriel Attal, par sa franchise, son refus du « pas de vague », son sens de la repartie polémique, soit un client prometteur de l'exercice, on n'en doute pas. Mais cet habit fait pour lui n'ira pas à tous : qu'en sera-t-il avec un Premier ministre, peut-être excellent, mais piètre orateur ou triste débatteur ? Élisabeth Borne s'était d'ailleurs désistée quand la proposition lui avait été faite. Le but poursuivi – le regain d'intérêt – serait donc dépendant du tempérament du locataire de Matignon, un sur-mesure de grande bizarrerie institutionnelle.

Autre petit détail. On ne sait si Emmanuel Macron aura son mot à dire sur la suite à donner à cette expérimentation. Mais sans rien savoir du tout, on ne le devine pas forcément très favorable à cette tribune donnée à son Premier ministre, dans le seul endroit, en outre, où le président de la République ne peut pénétrer. Même entre eux, le magistère de la parole est un combat.

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Pauvre petit minet bon chic bon genre tout sourire qui va faire son cinéma en bonne marionnette inféodée au président pendant son absence qui se promène alors que le pays est au plus mal que ce soit en situation économique ou crises internationales c’est ubuesque car les deux n’ont pas une majorité qui est relative à l’assemblée nationale !?

Car c’est les FRANÇAIS qui souffrent et vont peut-être souffrir plus au fils des évènements graves se profilant avec cette dette qui enfle comme un cancer que même le ministre de l’économie LEMAIRE a été obligé d’admettre ne pouvant cacher éternellement les 5,5 % de dette en 2023, le déficit public qui s'établit à 154,0 milliards d'euros, ou La dette publique française a atteint 3013,4 milliards d'euros le 31 mars 2023 en fait irremboursable et un président qui semble s’en laver les mains comme un Ponce Pilate de mauvaise politique politicienne c’est effarant car les Français (gogo pour certains) en lui donnant trop de pouvoir l’ont élu et surtout réélu ça ressemble à « un sauve qui peut ou un suicide politique de dernier chance qui n’existe pas car trop de problèmes internationaux et nationaux s’enchaine et le trop c’est trop !?

Ce qui semble évident c’est que nos dirigeants de tous bords présents et passés ne savent plus ou ils en sont en termes de finances nationales et c’est cela la vérité !?

Car en fait on jongle avec des milliards qu’on n’a pas ou on n’à plus ou si on les a eus dans le passé ou le budget était en équilibre ce qui remonte aux années 1970 ?!

Pour résumer le 1er ministre sarkozien FILLON avait dit le pays en faillite on y est presque comptablement !?

Si on y ajoute les problèmes internationaux récents guerre en Ukraine et annonce fumeuse de Poutine et ces attentats islamistes terroristes de DAEH EI renaissant c’est dramatique avec un président qui ne sert à rien alors bon courage à notre petit 1er ministre ATTAL (sans pouvoir…) et bonnes pâques aux FRANÇAIS ?!

Jdeclef 30/03/2024 13h59 CLP

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Dans la catégorie nul celui-là CAMBADELIS est en tête au PS quant à MELENCHON il est incurable irrécupérable chez ces politiciens âgés mais ça conserve la mauvaise politique politicienne française !?

 


Jean-Christophe Cambadélis : « Mélenchon ne veut pas être président, mais leader de l’opposition à Marine Le Pen » ?!

ÇA RESTE ENTRE NOUS. Il a la politique dans le sang, et n’a pas fini d’en faire. Rencontre avec « l’increvable » ex-patron du PS, entre parmentier d’agneau et coups politiques.

Par Michel Revol

IL NE FAUT PAS S’ETONNER ON VOTE SI MAL DANS NOTRE PAYS AVEC NOS CONCITOYENS GOGOS DE TOUS BORDS POLITIQUES ET MEME CEUX QUI S’ABSTIENNENT CAR  N’Y COMPRENANT RIEN ?!

Au Bistrot de Paris, on est un peu chez lui. Les serveurs en livrée de cette jolie brasserie proche du musée d'Orsay font presque une haie d'honneur à Jean-Christophe Cambadélis, qui déambule entre les tables avec sa nonchalance coutumière, élégamment vêtu d'un col roulé gris et d'une veste en velours côtelé bleu nuit, et toujours les cheveux fins lissés en arrière qui lui donnent un air de première gâchette dans Les Tontons flingueurs. « Bonjour M. Cambadélis, comme allez-vous ? » ; « Bonjour, M. Cambadélis, ça fait plaisir de vous revoir. »

L'ex-patron du PS n'est pas revenu depuis pas mal de temps au Bistrot de Paris. Il suffit pourtant de le lancer sur son histoire avec la brasserie, au moment du parmentier d'agneau agrémenté d'un verre de rosé, pour que « Camba » plisse les yeux, esquisse un sourire et raconte les fameux coups qu'il a préparés là, comme autant de jalons de l'histoire du PS.

L'arrière-cuisine du PS

Le Bistrot de Paris est d'abord la cantine du RPR, dont le siège est tout proche, dans la même rue de Lille. Puis les socialistes, installés rue de Solférino en 1980, l'investissent. « Camba » y a vite son rond de serviette, tout comme Lionel Jospin, Laurent Fabius (qui s'assied à la même table, au fond), Dominique Strauss-Kahn, Henri Emmanuelli ou encore Manuel Valls. Parfois le vieux gaulliste Pierre Mazeaud s'encanaille en déjeunant avec quelques huiles socialistes de ses amis. Mais c'est surtout dans les belles salles moquettées du premier étage que se fomentent à l'abri des regards quelques coups politiques.

Jean-Christophe Cambadélis est souvent là, puisqu'il en est l'un des organisateurs. Il raconte ces conciliabules en les dénombrant avec ses doigts. Un : les réunions préparatoires à la gauche plurielle de 1997. Elles ont lieu lors de dîners chaque mardi avec Dominique Voynet, Lionel Jospin, l'écolo Yves Cochet ou encore le communiste Philippe Herzog. Deux : la mise en orbite du courant Strauss-Kahn au début des années 2000. Un jour, alors qu'ils sont réunis dans la « salle du billard », les strauss-kahniens entendent des rires dans la salle contiguë. On colle l'oreille contre la cloison et on entend, ô surprise, les adversaires fabiusiens préparer, eux aussi, leur courant et le futur match contre DSK et Ségolène Royal… « On a dû attendre 16 heures pour sortir de notre salle en catimini », se marre « Camba ».

Comment escorter Jean-Luc Mélenchon au cimetière des éléphants ?

Trois : l'édification en 2007 des « reconstructeurs », cet attelage entre strauss-kahniens et fabiusiens pour contrer la montée en puissance de Ségolène Royal et préparer le retour de DSK en soutenant Martine Aubry. Quatre : il y a un an, un dîner secret avec François Hollande, Bernard Cazeneuve, Stéphane Le Foll, les maires de Vaulx-en-Velin (Hélène Geoffroy) et de Rouen (Nicolas Mayer-Rossignol), ou encore l'ex-patron de Libération, Laurent Joffrin. Les conspirateurs se mettent d'accord pour barrer la route à Jean-Luc Mélenchon, coupable à leurs yeux d'entraîner le PS dans un abîme de radicalité duquel il ne ressortira pas, ou mal. « On a décidé ce soir-là de monter une liste aux européennes si le PS signait un accord avec la Nupes pour ce scrutin. Cette menace, liée à la radicalisation de Mélenchon, a convaincu Olivier Faure qu'il fallait trouver une autre solution », veut croire Cambadélis.

Cinq (et dernier doigt et dernière réunion notable au Bistrot de Paris) : il y a quelques semaines, l'ex-député de Paris présente un copieux document issu du travail d'une centaine d'experts. Son club, Le Lab de la social-démocratie, entend « fonder » ce courant politique. « Je dis fonder et non refonder, car le PS n'a jamais été social-démocrate. Il a toujours dû prendre le PC par la gauche pour gagner les élections, ce qui a empêché la culture du compromis propre à la social-démocratie. Le Parti socialiste a été “rupturiste” avec Blum et Mitterrand, social-démocrate sans le dire avec Jospin, social-libéral sans l'accepter avec Hollande », analyse « Camba ».

Raphaël Glucksmann, l'empêcheur de voter en rond ?

À 72 ans, l'ex-président de l'Unef n'entend pas cesser de monter des combinaisons, parfois complexes au point d'égarer ses camarades. « Les gens me disent : “Mais tu es increvable !” », raconte ce miraculé, tombé à 7 ans d'un troisième étage sans trop de heurts. La politique est son moteur, qui le fait avancer depuis son entrée chez les lambertistes de l'OCI, où il côtoie son jumeau par l'âge, Jean-Luc Mélenchon. On se souvient d'un jour, il y a une quinzaine d'années de ça, il était arrivé au restaurant (La Cagouille, haut lieu des déjeuners mitterrandiens) avec le dessin d'une sorte d'univers figurant des planètes, des noms et des flèches.

Dans le train pour Paris, il avait ébauché cette galaxie des personnalités socialistes, avec, là, Fabius entouré de satellites (ses lieutenants, comme Claude Bartolone ou feu Henri Weber), les « royalistes » (Aurélie Filippetti, Vincent Peillon…) gravitant autour de la dame, Delanoë et ses étoiles du moment, comme François Hollande, et bien sûr DSK entouré d'une myriade d'astres (« Camba », Pierre Moscovici, Jean-Marie Le Guen…). Un peu avant l'élection de François Hollande, Jean-Christophe Cambadélis confiait curieusement ne pas vouloir être ministre ; il préférait devenir patron du PS, là où l'on fait vraiment de la politique.

Laurent Berger, l'un de ses candidats pour l'Élysée

Aujourd'hui, il s'est donné une mission : créer les conditions pour lancer une candidature sociale-démocrate à la prochaine présidentielle. Le succès sondagier de Raphaël Glucksmann pour le scrutin européen valide, dit-il, sa thèse : la gauche raisonnable, républicaine et laïque n'est pas condamnée à se dissoudre dans la radicalité. Il ne compte pas sur ses doigts mais il a son plan en plusieurs étapes. D'abord, un socle d'idées afin d'attirer les électeurs du centre gauche sans doute orphelins du macronisme en 2027. Ensuite, une tactique : prendre le Parti socialiste en unissant tous les opposants d'Olivier Faure au prochain congrès, sans doute en 2026. Enfin, un candidat pour l'Élysée. C'est là que ça se gâte. Personne ne s'impose. Cambadélis avance quelques noms sans donner l'impression de vraiment y croire : François Hollande, avec qui il est en contact régulier, Bernard Cazeneuve, Carole Delga, la liste n'est pas exhaustive. Il a dans sa poche un joker : Laurent Berger, l'ex-patron de la CFDT, sur lequel « Camba » continue de miser malgré la fin de non-recevoir opposée par l'intéressé. « Berger serait à la présidentielle ce que Glucksmann est aux européennes. C'est l'hypothèse sociale-démocrate », explique Jean-Christophe Cambadélis

Présidentielle 2027 : Hollande et la « stratégie de la tortue »

Comme tous les socialistes opposés à la Nupes, « Kostas » (son nom à l'OCI) sait bien que Mélenchon se dressera sur la route de la social-démocratie. Son vieil adversaire trotskiste, qu'il n'a cessé d'affronter depuis leurs tendres années étudiantes, repartira pour une quatrième élection présidentielle, ça ne fait à ses yeux aucun doute. « Il sait qu'il ne sera jamais président de la République, mais il veut être le leader de l'opposition à Marine Le Pen », analyse Jean-Christophe Cambadélis. Un demi-siècle après leur début en politique, les deux ex-lambertistes se combattent toujours. Ils ne lâcheront sans doute jamais la rampe. « Ils sont pareils : ils mangent, ils dorment, ils vivent politique », dit d'eux François Hollande. Parole d'expert.

La France on est le pays qui accumule ces « vieux » politiciens inutiles  de tous bords et notamment ceux de cette gauche moribonde qui essaie de survivre dans cette classe politique nulle lamentable car usée comme cette Veme république ne servant à rien en plus mal pilotée par ce président donneur de de leçons bavard donneur de leçons à tout le monde mais que personne n’écoute qui nous mène nulle part avec ses gouvernements de pattes cassées qui s’enchaine depuis 2017 et son 1er quinquennat et dont le 2eme entamé jusqu’en 2027 prend le même chemin  par sa procrastination pathologique car ne sachant pas décider (et quand il le fait par ses discours alambiqués se plante lamentablement !?)

Mais comme les Français l’ont élu et réélu pour les 3 ans qui vont nous paraitre très longs car il n’a pas prévu « le coup de bluff de Poutine » ce malade déjanté et dangereux (mais intelligent plus que lui semble-t-il !?)

Et naturellement n’a pas prévu la renaissance de ce DAESH EI Etat Islamiste le bien nommé erreur d’un passé terroriste depuis 2001 et 2013/2015 malgré les coalitions Européennes occidentales et US qui n’ont pas réglé ces problèmes définitivement malgré les alertes d’attentats islamiques récents ou avérés que nos autorités ont caché en partie sauf ceux isolés aboutis !?

Alors on peut s’attarder ou s’alarmer et en parler pour essayer enfin de réfléchir au lieu d’attendre « que le ciel nous tombe sur la tête » car on n’est plus en sécurité dans la vie quotidienne des Français et voire changer de président qui serait issu de cette même classe politique médiocre on n’est même pas sur d’en trouver un de valable car on les connaît tous les trainant depuis + de 40 ans !?

On est au pied du mur en espérant qu’il ne nous tombe pas dessus en nous écrasant MERCI MESSIEURS !?

Jdeclef 30/03/2024 12h54


Signé le 7 février 1992, le traité de Maastricht fête cette année ses 30 ans. L'occasion de revenir sur l'acte fondateur de l'Union européenne, qui dépasse l'objectif économique initial de la Communauté européenne (réaliser un marché commun) et lui donne une vocation politique encore utopique dans cette Europe qui est bien trop jeune pour être devenue adulte et efficace pour les pays adhérant ou y participant depuis sa création !?

 

Les européennes, un scrutin rendu illisible pour les citoyens c’est certain et nos politiciens et dirigeants de tous bords qui se gardent bien de leur expliquer car ils travaillent pour eux avec leurs avantages et privilèges divers tout comme dans leurs pays avec leurs politiques politiciennes intérieures !?

(Mais là c’est plus facile car beaucoup de français n’y comprennent rien et trouve inutile d’aller voter car ce ne sont pas des élections françaises nationales !?)

ANALYSE. Quatre cents millions d’électeurs sont appelés aux urnes début juin pour élire un Parlement qui n’en a pas les pouvoirs traditionnels. La démocratie européenne est perfectible.

Par Emmanuel Berretta

Publié le 29/03/2024 à 17h00

Entre les 6 et 9 juin, les 400 millions d’électeurs de l'UE seront appelés à élire les membres du Parlement européen, pour cinq ans. © Alexandros Michailidis / Shutterstock / Shutterstock / Alexandros Michailidis

Dans l'histoire des démocraties parlementaires, les assemblées ont gagné leur légitimité en arrachant aux rois ou aux princes tout ou partie de leur pouvoir en échange de leur consentement à l'impôt. Ce fut, en tout cas, l'histoire originelle de la Grande-Bretagne, berceau du parlementarisme. Le Parlement européen, que 400 millions d'électeurs sont appelés à renouveler pour cinq ans entre le 6 et le 9 juin (tous les pays ne votent pas le même jour), n'obéit pas du tout à cette logique.

Un parlementarisme octroyé

Si les traités successifs ont octroyé au parlement de Strasbourg un pouvoir de codécision sur environ 80 domaines thématiques, certains domaines régaliens leur échappent encore. Par exemple, seul le Conseil (des États membres) décide des « sanctions » qui frappent le régime de Vladimir Poutine. Il est seul à décider d'ouvrir ou non les négociations d'adhésion avec un État tiers. Même s'agissant du budget européen, le Parlement dispose d'un pouvoir limité : il ne peut que l'approuver ou le rejeter, mais non l'amender.

 Le Parlement européen, une influence progressive

Dans ce cas, à quelle logique répond exactement l'appel aux citoyens du 9 juin prochain ? Il n'existe pas de listes transnationales, qui orienteraient le débat européen. Si bien que chaque pays organise son scrutin, à l'échelle nationale, sans que les électeurs puissent vraiment choisir entre la droite, la gauche, le centre ou les extrêmes les grands choix européens.

Des débats centrés sur des polémiques nationales

De quoi parle-t-on en France dans les premiers débats ? De l'absence et de l'inaction de Jordan Bardella au cours de son premier mandat, des déclarations va-t-en-guerre du président Macron à l'encontre de la Russie, des relations de la PAC avec la crise agricole française… Mais quelle politique européenne pour les cinq ans à venir ?
Européennes : la mission impossible de Valérie Hayer

Les jeux politiques nationaux viennent plutôt obscurcir le cadre du scrutin. Prenons la liste LR-Nouveau centre conduite par François-Xavier Bellamy. Officiellement, les LR siègent au sein de la première formation du Parlement européen, le Parti populaire européen (PPE). Mais les options politiques de la liste Bellamy s'en démarquent assez souvent lors des votes. Le PPE entend reconduire Ursula von der Leyen à la tête de la Commission pour un second mandat. Ce scénario est cauchemardesque pour Bellamy et ses colistiers… Et si les LR ne soutiennent pas Ursula von der Leyen, qui soutiennent-ils pour diriger la Commission ? Mystère. De toute façon, ils n'ont pas la main. Comment les électeurs français peuvent-ils s'y retrouver dans ces conditions ?

Le système inabouti du Spitzenkandidat

Les LR accusent von der Leyen d'être la « candidate de Macron ». C'est aller un peu vite en besogne. Quand le chef de l'État est interrogé à ce sujet, il se garde bien de marquer sa préférence. Au contraire, il dénonce le système des « têtes de liste » (Spitzenkandidaten) considérant, non sans raison, que la fonction de président ou présidente de la Commission consiste à se tenir « au-dessus des partis ». « J'ai toujours fait part de mon doute sur ce qu'on appelle les Spitzenkandidaten, commentait-il, vendredi 22 mars, à l'issue du Conseil européen, à Bruxelles. Cela hyperpolitise une fonction qui n'y répond pas. Elle doit avoir la validation du Parlement, mais elle n'est pas l'émanation du Parlement. C'est le premier point auquel je tiens. Et la deuxième chose, c'est que la présidence de la Commission a une vocation de défense de l'intérêt général. »

Européennes 2024 : une nouvelle liste sur les rangsLa logique des traités est importante : la présidence de la Commission est proposée par le Conseil européen (à la majorité qualifiée), puis validée par le Parlement européen à la majorité absolue. La Commission peut être révoquée par le Parlement. Mais pas par le Conseil. Cette construction n'obéit, en vérité, à aucune logique. Pourquoi politiser une fonction qui est devenue, au fil des ans, plus technique que politique ? En effet, si la Commission dispose du « monopole » de la proposition, elle ne décide pas. À la fin du processus, le Conseil et le Parlement européen codécident sur la plupart des questions.

Les faux-semblants des traités

Les chefs d'État et de gouvernement n'ont pas l'initiative législative, certes. Mais, dans les faits, le Conseil européen donne, de plus en plus souvent, des instructions à la Commission par le biais de ses conclusions. Non pas qu'il dicte une copie législative précise, mais il demande à la Commission de lui proposer un plan, une réforme, ou d'étudier des pistes… C'est encore le cas lors du dernier conseil européen au cours duquel les États membres ont mandaté la Commission et le Conseil (des ministres européens) « à faire avancer sans tarder » la révision de la PAC. La Commission effectue ensuite le travail technique.

Elle ne dispose pas du pouvoir de décision finale mais elle possède tout de même quelques armes procédurales importantes. Au Conseil, elle peut décider, en fonction de considérations tactiques, que telle décision doit être prise à l'unanimité plutôt qu'à la majorité qualifiée selon qu'elle veut faire échouer une négociation (parce que le compromis entre les États lui semble trop mauvais) ou, au contraire, pousser les États les plus récalcitrants à rejoindre le compromis. Une arme redoutable d'un usage rare. Le commissaire Frans Timmermans a bien tenté de l'utiliser dans un texte qui n'arrangeait pas la France. Un coup de bluff déjoué par l'ambassadeur français, qui a vérifié, auprès de la présidence de la Commission, qu'il n'en avait pas le mandat…

La logique nationale trouble la logique partisane

Mais revenons à ces élections européennes : comment les électeurs pourront-ils réellement peser sur les grands choix des cinq prochaines années ? Par exemple : faut-il vraiment élargir l'Europe à l'Ukraine, à la Moldavie, aux Balkans occidentaux, comme le Conseil européen l'envisage ? Quels moyens consacrer à un système de défense européen qui puisse se passer des États-Unis si jamais cet allié nous abandonne ? Faut-il accentuer la gestion commune des flux migratoires ? Faut-il mutualiser nos centres de recherche sur l'intelligence artificielle pour peser sur la compétition mondiale dans laquelle nous accusons un retard certain ? Sommes-nous prêts, en cas de nouvelle pandémie, à considérer l'espace européen comme une seule zone sanitaire ou devons-nous, comme pendant le Covid-19, dresser de nouveau des barrières nationales ? Le renforcement de l'euro exige-t-il des politiques économiques mieux coordonnées et des règles fiscales enfin harmonisées ?

 « Le vent de l'histoire mène inexorablement l'Ukraine vers l'UE »

Pour que les électeurs aient le sentiment de prendre part à ces délibérations, encore faudrait-il que les partis européens s'organisent et se disciplinent. Ce n'est pas le cas. Quand un vote sur un texte intervient au Parlement européen, deux logiques traversent l'Hémicycle : les délégations nationales au sein des groupes politiques vont se déterminer d'abord en fonction de leurs intérêts nationaux et, éventuellement, en fonction de logiques partisanes. Si bien que, dès qu'un texte bouscule des intérêts économiques, les logiques nationales prévalent et les groupes politiques se subdivisent. Un texte qui touche aux valeurs, en revanche, préservera les logiques partisanes.

Le Conseil européen décide loin des électeurs

Pendant que les débats nationaux fragmenteront le scrutin européen, le Conseil élabore, de son côté, un « programme stratégique » pour la période 2024-2029. Les dirigeants en débattent portes closes. Les thèmes sont listés : sécurité et défense, résilience et compétitivité, énergie, migrations, engagement mondial, élargissement. Ce programme stratégique sera adopté en juin. Peu après les européennes. Les électeurs auront donc, entre-temps, élu des eurodéputés qui n'auront jamais été consultés sur ce programme qui va orienter le travail de la Commission européenne pendant cinq ans.

La seule manière pour les députés nouvellement élus de peser sur le programme de travail de la Commission consistera à ne pas avaliser le choix du Conseil pour la présidente de la Commission et d'exiger des garanties programmatiques. Mais pour cela, il faudra que plusieurs partis, aujourd'hui antagonistes, s'accordent sur un programme minimum commun. Manfred Weber, le président du PPE (la droite conservatrice), se fait fort de faire durer cette négociation jusqu'en septembre 2024 pour obtenir un maximum de concessions. Il faudra aussi qu'il s'accorde avec les représentants des sociaux-démocrates, des centristes et libéraux (Renew) et peut-être avec les éléments les plus constructifs des souverainistes du groupe ECR. En septembre ? Les électeurs européens seront déjà passés à bien d'autres choses et seront très loin de ces négociations si seulement ils en entendent parler via leurs médias nationaux…

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A titre de comparaison les USA américains du nord 333 millions d’habitants actuel sont nos frères et leur pays fédéral car issus de l’immigration européenne avec ces 50 états dont son indépendance le 4 juillet 1789 avec son 1er président WASHINGTON a été facilité et aidée par l’aide militaire de la France encore royaliste qui fait sa révolution du 14 juillet 1789 coïncidence historique de ces 2 pays et changements politiques effectués mais pas sans heurts violents et plus tard en réduisant les tribus dit « peaux rouges » autochtones les repoussant dans des réserves  indiennes créées pour s’approprier leurs pays et terrains de chasse entre autre possession et avantages divers !?

Au 1er janvier 2023, l'Union européenne (UE) compte 448,4 millions d'habitants Chacun des 27 États membres est lié par les traités et l'acquis communautaire. Chacun participe à l'administration de l'UE sur un pied d'égalité. L'UE comptait 28 États membres jusqu'au 1er février 2020, lorsque le Royaume-Uni s'est retiré de l'UE et est devenu un pays tiers (pays non membre de l'UE).

Pour résumé devenir un grand état Européen fédéral comme aux USA semble bien une utopie lointaine entre ces pays peu capables de s’entendre et surtout ces peuples divisés que cela n’intéresse pas ou peu car n’allant que peu voter à ses élections dites européennes que beaucoup de citoyens lambda ne comprennent pas car ces habitants trop attachés à leur nation symbole de leurs pays !?

Pourtant l’union fait la force on l’a vu avec cette lutte gagnée contre COVID ou la puissance Otanienne que certains voudrait supprimer et heureusement que l’on a encore les USA fédéraux alliés censés nous protéger qui eux quel que soit leurs états sont puissants et quand on interroge leurs populations elles répondent toujours nous sommes américains et fiers de l’être !?

A cause de ce monde instable véritable poudrière qui peut exploser les Européens et occidentaux des pays libres et démocratiques devraient acquérir de toute urgence des doses de bons sens qu’ils ont perdus en laissant leurs égos de côté car votant mal et donc mal protégés !?

Jdeclef 30/03/2024 10h50

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vendredi 29 mars 2024

Ce dictateur Russe intelligent est machiavélique en cherchant à diviser une Europe mal unie et ça peut marcher hélas !?

 

Ukraine : le coup de bluff de Poutine que redoute la France à raison !?

Le chef du Kremlin pourrait demander un cessez-le-feu entre les élections européennes et la présidentielle américaine. Avec un objectif bien précis.

Par Julien Peyron

Publié le 29/03/2024 à 06h00, mis à jour le 29/03/2024 à 08h43

IL Y A DE QUOI AVOIR PEUR SURTOUT AVEC NOTRE PRESIDENT QUI NE SAIT PAS OU IL VA CROYANT A UNE PAIX ETERNELLE APRES NOS GUERRES MONDIALES COMME D’AUTRES DE NOS PAYS LIBRES ET DEMOCRATIQUES AVEC « LA CERISE SUR LE GATEAU EMPOISONNE » DE CET EI DAESH AUTRE ERREUR QUE L’ON AVAIT PAS ELIMINE TOTALEMENT !?

MERCI A NOS DIRIGEANTS PASSES OU PRESENTS QUI NOUS PROTEGENT SI MAL DE PAR NOTRE FAUTE CAR NOUS LES ELISONS ET REELISONS ?!

Il y eut Poutine l'espion, puis l'apparatchik devenu président. Ensuite, il y eut Poutine le bourreau, qui plongea l'Europe dans l'horreur d'une guerre d'un autre siècle. Allons-nous assister à l'émergence d'un nouvel avatar, Poutine l'homme de paix ? Ce qui pourrait passer pour une blague de mauvais goût est pris très au sérieux par un haut diplomate français.

Ce dernier révèle que la France a eu vent d'un stratagème mis au point par des éminences russes et qui pourrait survenir entre les élections européennes et la présidentielle américaine, une « zone grise » au cours de laquelle le camp occidental sera en pleine recomposition. Poutine en profiterait pour avancer ses pions sur l'échiquier diplomatique, en dévoilant une nouvelle stupéfiante : une demande de cessez-le-feu en Ukraine.

Pourquoi stopperait-il ses troupes au moment où celles-ci semblent être en mesure de faire reculer l'armée ukrainienne ? Poutine aurait en tête un objectif autrement plus stratégique que les villages du Donbass conquis récemment : la mer Noire. S'il parvenait à faire la jonction avec la Transnistrie, région moldave où une partie de la population est russophone, il couperait un accès maritime vital à l'Ukraine et pourrait s'enorgueillir d'une victoire importante.

Or, pour mener à bien une telle percée, il a besoin de faire une pause dans les combats et de réorganiser ses troupes, selon la source française. La demande de cessez-le-feu serait une manière de préparer discrètement une nouvelle offensive.

Scénario qualifié de « préoccupant »

Le bluff a peu de chances de berner les Occidentaux, qui commencent à avoir l'habitude des manœuvres poutiniennes. Mais le maître du Kremlin sait qu'il peut compter sur des soutiens de poids à l'international. « Imaginez qu'il demande un cessez-le-feu, il serait aussitôt soutenu dans sa démarche par l'ensemble des Brics [Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud, Égypte, Émirats arabes unis, Éthiopie et Iran, NDLR], prédit la source diplomatique. Tout le “Sud global” se rallierait à sa proposition, et Poutine pourrait se présenter comme l'homme qui veut la paix face à un Occident décrit, une fois de plus, comme belliciste. »

Quel dénouement possible à la guerre en Ukraine ?Au Quai d'Orsay, un tel scénario est qualifié de « préoccupant ». Le ministre des Affaires étrangères Stéphane Séjourné refuse d'anticiper le prochain coup de Poutine – « personne ne peut connaître ses intentions » –, mais il se félicite de la nouvelle posture française, plus agressive à l'égard de Moscou.

Un changement de braquet nécessaire, selon lui. « Nous, Européens, devions nous remobiliser rapidement et ne plus laisser Poutine dicter notre stratégie. On a considérablement augmenté l'aide fournie à l'Ukraine et on a réussi à alerter les opinions publiques sur l'importance d'un sursaut. » Il ajoute que la France n'est pas seule dans sa volonté de remobiliser les populations du continent : « Le sursaut stratégique que nous prônons est notamment partagé par les Tchèques, les Baltes, les Polonais, la Suède, les Pays-Bas… »

Puissants relais russes en Europe

L'unité européenne est pourtant loin d'être parfaite sur la question des relations avec Moscou. En dehors même d'une possible percée de l'extrême droite populiste lors des élections européennes, en juin, Poutine possède de puissants relais au sein de l'Union. Hormis les soutiens français, il joue de sa proximité avec deux leaders européens, les Premiers ministres de Hongrie et de Slovaquie, Viktor Orban et Robert Fico.

Munich 1938, retour sur un traumatisme françaisCe dernier est pointé du doigt à l'Élysée et au Quai d'Orsay depuis qu'il a fait fuiter le sujet « des troupes au sol », sur lequel Emmanuel Macron a dû ensuite s'expliquer lors de la conférence de Paris sur l'Ukraine, le 26 février. Le débat qui agite la France et l'Europe depuis ce jour prouve que la manœuvre a fonctionné.

Quant à Orban, il n'a pas hésité à féliciter Poutine pour sa réélection, vantant la coopération entre la Hongrie et la Russie, basée sur « le respect mutuel ». « En cas de proposition de cessez-le-feu russe, on connaît déjà les noms de ceux qui se rangeront immédiatement derrière », grince une source élyséenne.

Alliés de circonstance

En plus de ces soutiens clairement identifiés, Poutine peut compter sur des alliés de circonstance. Le numéro deux du gouvernement italien et chef de file de la Ligue Matteo Salvini, par exemple. Contrairement à la présidente du Conseil Giorgia Meloni, fidèle à la ligne atlantiste de l'Italie, il a salué la récente « victoire électorale » de Poutine, espérant que 2024 serait « une année de paix ». Meloni, qui a dénoncé au contraire un « simulacre d'élection », a demandé des comptes à son adjoint.

Plus inquiétant, le chancelier allemand traîne les pieds : Olaf Scholz refuse toujours de livrer des missiles de longue portée Taurus aux Ukrainiens, malgré les demandes répétées de Kiev, de Paris, de Londres et de responsables de sa propre coalition.
 Guerre en Ukraine : la métamorphose d'Olaf Scholz

« Scholz est perçu comme celui qui refuse de faire le job, celui qui n'a pas le profil, analyse le géopoliticien François Heisbourg. Il est encore dans la doctrine “Diplomaten statt Granaten” [“des diplomates plutôt que des grenades”, NDLR]. » Le chef du groupe social-démocrate au Bundestag, Rolf Mützenich, a appelé ce mois-ci « à geler puis à terminer » la guerre en Ukraine.

Une position considérée comme un blanc-seing offert à Poutine par le Frankfurter Allgemeine Zeitung, qui, dans un éditorial cinglant, a qualifié le député de « Chamberlain de notre temps ». Plus à gauche, c'est l'Autrichien Walter Baïer qui a été désigné pour conduire la liste des partis de gauche aux européennes. Preuve que l'époque est aux grandes recompositions, l'élu communiste s'est rangé derrière la ligne du… pape François et de son appel à « hisser le drapeau blanc ».

Pékin « dans le camp de la paix et de la justice »

Hors d'Europe, le « camp de la paix » en Ukraine est composé de tout ce que l'Occident compte d'ennemis ou de rivaux. En contradiction avec sa posture de respect du droit international, la Chine s'est toujours refusée à condamner l'offensive russe en Ukraine. La semaine dernière, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères a réaffirmé que Pékin se trouvait « dans le camp de la paix et de la justice ».

Poutine vient d'être invité à se rendre en Chine en mai. L'occasion de faire le point sur « le partenariat sans limite » qui lie la Chine et la Russie depuis février 2022. Les deux pays votent de concert aux Nations unies, où ils viennent de mettre leur veto à une résolution américaine en faveur d'un… cessez-le-feu à Gaza. Ils semblent préférer les propositions émanant du Hamas.

Car, si surprenant que cela puisse paraître, l'organisation terroriste s'est fait le chantre de la paix au Proche-Orient. « Notre offre de cessez-le-feu est tellement réaliste que l'ennemi ne peut pas la rejeter », a déclaré Osama Hamdan, l'un des principaux chefs du Hamas. Établi à Beyrouth, au Liban, il donne des conférences de presse pour faire le point sur l'avancée des négociations.

« Chine et Russie, deux États solitaires et sans alliés » À l'écouter, son organisation se montrerait « très flexible » et c'est l'« entité sioniste » qui serait la force belliqueuse et jusqu'au-boutiste. Un discours auquel souscrit une partie de l'opinion publique internationale. À Londres, à Paris, à New York, les manifestations pour dénoncer l'offensive de Tsahal ont rapidement remplacé celles demandant le retour des otages et le démantèlement du Hamas.

« Le message de “cessez-le-feu” peut sembler positif, mais, lorsqu'il émane du Hamas, il n'a qu'un seul objectif : mettre fin à l'attaque d'Israël contre les organisations terroristes à Gaza, ce qui lui permettrait de reconstituer ses forces militaires afin de perpétrer de nouveaux massacres », met en garde Alona Fisher-Kamm, chargée d'affaires d'Israël en France.

Elle dénonce un renversement des rôles. Suivant l'exemple de son allié au Proche-Orient, Poutine pourrait à son tour être tenté de se poser en colombe assiégée. Mais il faudra alors se souvenir des paroles définitives qu'il a prononcées en décembre 2023 : « Il n'y aura la paix en Ukraine qu'une fois nos objectifs atteints », à savoir « la dénazification de l'Ukraine, sa démilitarisation et sa neutralisation ». En clair, sa soumission à la férule russe.

Là il y a quoi être inquiet surtout si notre petit roi de président faux monarque sans couronne qui ne sait PAS quoi décider pour tout et rien ce qui est son principal defaut avale la proposition de ce dictateur déjanté mais intelligent car fourbe et dangereux !?

Pauvres de nous pauvres Français qui ne peuvent qu’espérer que les autres de cette Europe déjà mal unie ne se disperse pas au lieu de faire front unie contre Poutine qui veut la perte de l’occident et de ces USA son ennemi héréditaire et son OTAN qui deviendrait vraiment virtuel « en mort dite cérébrale » comme avait dit notre chef d’état procrastinateur surtout en plus si TRUMP venait à être réélu car là on rejoue presque 1938 avec ce pacte de non-agression qui n’avait pas été respecté par Hitler !?

Car ces mêmes alliés de circonstance de cette U.E.de ces après guerres mondiales et guerre froide qui ont vu la chute de l’ex URSS EN 1989 n’ont pas été capables de stopper pour empêcher de nuire ce Poutine qui ne pensait qu’a çà depuis trente ans et par son agression de l’UKRAINE prévue et vue par les USA depuis 2014 jusqu’à 2022 et qui ment à tous comme un arracheur de dent !?

Quand je dis souvent qu’on est mal gouverné depuis le début par des bavards donneurs de leçons bienpensant donneurs de leçons cela se vérifie hélas peut être pour notre malheur car c’est lamentable et pitoyable pour nos peuples encore dans des pays libres et démocratiques car en plus on subit la renaissance des attentats islamiques de ce DAESH EI que là aussi on n’avait pas été capable d’éradiquer totalement car inachevés !?

Tout cela n’est que de la vérité historique contemporaine de notre occident libre que certains veulent détruire !?

(Et il n'y a pas que ce dictateur russe car il y a dans ce monde instable d'autres dictatures et démocratures qui perdurent et se portent bien !?)

Jdeclef 29/03/2024 19h30

Pauvre petit président parvenu qui ne sait plus quoi faire depuis son 1er quinquennat et peut être pire pour le 2eme entamé jusqu’en 2027 essayons d'en sourire bien que rien n’y prête (car pour notre petit chef d’état c’est « Si j’avais su j’aurais pas venu » !?)

 

Se battre contre Poutine : mourir ou faire le mort ?

Kamel Daoud
Chroniqueur, écrivain et reporter

LA CHRONIQUE DE KAMEL DAOUD. Légèreté ou bravade juvénile? Lappel macronien oblige à un retour brutal au réel. 

L’ESCALADE DE L’INCOMPETENCE DE NOS DIRIGEANTS PASSES OU PRESENTS EN FRANCE !?

C'est le baromètre d'une polémique : lorsqu'elle atteint la table des dîners de famille. Aujourd'hui, c'est l'appel de Macron aux armes. On y pense encore deux semaines après, on en débat et l'on s'aligne partout en déserteurs, en objecteurs de conscience, en sceptiques ou en engagés. Dans la tradition de l'autodérision, c'est Macron qui se retrouve assigné à illustrer la caricature d'un pays faible, vulnérable ou trop vaniteux pour se croire en outre capable de battre les virilistes Russes. Le déclinisme français ambiant se complaît dans la théorie d'une fin apocalyptique, dans laquelle Macron joue le rôle du farfelu boxeur verbomaniaque face à un punching-ball tronqué.

Mais qu'en est-il réellement au-delà de la peur de la guerre ou de l'éloge de l'impuissance dissuasive ? De quoi s'agit-il au-delà de l'antimacronisme de tradition ?

Retour au réel

Reconnaissons au moins une vertu à l'appel macronien : il oblige à un retour brutal au réel. Sur le plan individuel comme sur le plan collectif. Voilà que l'on sort brusquement des polémiques numériques, des batailles de boules de neige médiatiques, que l'on quitte les écrans, les barricades surjouées et les manifestations porteuses d'effigies décapitées. Là, c'est le « vrai », la mort ou la débâcle. Ça ressemble au débat sur l'euthanasie – l'euthanasie pour tous. Là, d'un coup, on nous demande de tuer en nous-mêmes la vanité, le souvenir de l'empire et de la gloire d'antan. Ou de les assumer. On se retrouve à devoir choisir entre se battre pour le jour J ou combattre pour un énième jour férié.

Pourquoi l'Ukraine n'est pas « la Palestine » du reste du monde

Mais encore ? Qu'interroge la question de l'engagement physique en Ukraine ? En voix off, certains experts le répètent : la saillie de Macron n'en est pas une. Elle apparaît volontaire, chiffrée et nécessaire, soutient-on. Aujourd'hui, on est à un tournant de la guerre. C'est le moment clé pour jouer au poker européen : soit se coucher devant le Russe sans augmenter les enchères, soit prétendre à une mobilisation pour l'obliger à recalculer ses ambitions impériales. Le « on se battra jusqu'au dernier Ukrainien » ne fonctionne plus. Aux canons manque la chair.

Un triple choix

Les choses sont-elles aussi simples ? Oui, soutient-on. Si le Russe n'a pas les moyens d'aller plus loin en Ukraine ni de l'occuper physiquement (cela coûte cher), l'Europe joue imprudemment à la langueur grecque : si elle n'affirme pas une ligne, elle ne pourra pas négocier une frontière. Pire encore, ses capacités d'armement, ses provisions, ses stocks stratégiques s'épuisent à soutenir l'Ukraine par délégation. À un moment, on atteindra le « zéro » stock, dit-on. C'est-à-dire une position d'impuissance totale. Il faudra alors soit déclarer la guerre et faire face à l'économie de guerre (réquisitions), soit baisser pavillon et s'avouer vaincu. On imputera à Macron un rôle de légèreté ou de bravade juvénile. La situation objective déploie un triple choix : faire le mort, faire le Russe ou faire la guerre. Ou, au moins, laisser croire que l'on en est capable.

 Irez-vous mourir pour l'Ukraine française ?

La guerre a été trop désanoblie, racontera un expert. La grande tendance occidentale gauchisante, amatrice de mea culpa après la Seconde Guerre mondiale et les décolonisations, a épousé la sensibilité du désarmement et de la « paix ». Elle a surtout désarmé, privilégiant la rétraction, la culpabilité dramatique. En face, les prétendants aux empires, le Russe « torse nu », comme le Grand Turc ou le Timonier chinois, le savent. Et la situation empire à cause du repli du parapluie atlantiste.

Jeu de dupes

La guerre donc ? Oui. On peut toujours l'exorciser en tournant en dérision un président accusé de poésie chronique. On peut proposer des fleurs à Poutine pour décorer ses fusils, on peut regarder un film en streaming, et l'on peut, au bout d'une longue discussion entre amis sur la guerre, hésiter à prendre un dessert. On peut plaider pour la paix, c'est humain. Cela ne changera rien : la guerre est là. Elle reste un jeu de dupes et de poker. Un calcul de stocks d'armes, de coefficient de foi chez les recrues, aussi.

En Allemagne comme en France, le métier de soldat européen a été voué à l'ignominie, résumera le brillant expert. Conclusion : difficile de trouver en Europe des héros entre le culte du confort, la peur et l'opprobre collectif sur le métier des armes.

Tant que la guerre n’est pas vraiment chez nous les Français lambda préfèrent faire le dos rond mais attention il faut se remuer plus vite pour préparer la guerre pour essayer de protéger la paix incertaine qui est déjà à nos portes européennes !?

La France et notre président a voulu parler à Poutine qui sait moqué de lui dédaignant nos alliés de cette Europe qui ont eu du mal à s’unir et ces USA Otaniens qui ont vu dès le début le danger déjà en 2014 avec la TCHETCHENIE et la GEORGIE frappées par la RUSSIE POUTINIENNE seul Hollande n’a pas livré ce porte hélicoptère mistral vendu à la Russie en représailles qu’il a refilé à l’EGYPTE de SISSI !?

Justement les USA avaient prévenu et montré à tout le monde les images de leurs satellites ou on a vu l’armée Russe se positionner en force dans le DOMBAS mais personne n’a bougé chez les occidentaux pour empêcher l’invasion de l’UKRAINE qui s’est heureusement défendue avec courage en 2022 et après l’annexion de la CRIMEE !?

Mais ces occidentaux et E.U. non pas stoppé voir empêché de nuire Poutine lors de l’invasion de l’Ukraine et après donc notre situation internationale est devenue précaire car maintenant en plus on a le risque des attentats islamistes revenus d’avant 2015 de DAESH EI par un mauvais travail d’élimination passé inachevé !?

Les ukrainiens sont au pied de leur mur de défense dans l’attente de plus de soutien de l’Union Européenne devenue seule car les USA ont mis entre parenthèse leur aide militaire du fait des élections entre leurs 2 ex vieux présidents BIDEN mais surtout TRUMP qui s’il venait à être réélu changerait la donne en termes d’aide à l’Ukraine ?!

Le pire est peut-être que Poutine n’a même pas été ébranlé par cet attentat islamique de DAESH EI à Moscou qu’il met sur le dos des Ukrainiens et il n’est pas à çà près en termes de mauvaise foi !?

JDeclef 29/03/2024 14h42LP

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