jeudi 14 mars 2024

Quand on a un président Français qui n’a pas d’amour propre donneur de leçon bienpensant que personne n’écoute plus à l’international un dictateur russe malade dangereux qui déteste l’Occident (et ses allies US qui se désengage financièrement et militairement pour cause d’élection présidentielle de 2 vieux présidents BIDEN et ce TRUMP qui lui risque d’être réélu) on a le nez dans la « M » et il ne faut pas dire que ça pue car c’est euphémisme réaliste !

 

*      Le président russe Vladimir Poutine au Kremlin, à Moscou, en Russie, en novembre 2023. © Gavriil Grigorov/Sputnik/Sipa

Poutine est aussi maléfique que « Hitler » C’est la vérité mais ce n’est pas tout de le dire il faut Messieurs les bavards nos dirigeants AGIR !?

INTERVIEW. L’historien Sergueï Medvedev estime que le chef du Kremlin fait peser une menace existentielle sur le monde libre.

Propos recueillis par Marc Nexon

Publié le 14/03/2024 à 06h30

FAIRE COMPRENDRE CA AUX FRANÇAIS LAMBDA C’EST PLUS DIFFICILLE QUE D’ELIMINER CE DICTATEUR RUSSE HYPER DANGEREUX ET SI NOS AUTORITE E.U. ATTENDENT ENCORE IL SERA TROP TARD ?!

QUELLE HONTE ET RISQUES A NOS PORTES DE CETTE EUROPE OCCIDENTALE (QUE L’ON POUVAIT STOPPER ?)

Dans un ouvrage intitulé Une guerre made in Russia (éditions Buchet-Chastel), l'historien russe Sergueï Medvedev, professeur à l'université Charles de Prague, montre comment Poutine s'inscrit dans une longue tradition russe où l'État et le culte militaire annihilent l'individu.

Sergueï Medvedev : Il est difficile de parler d'une société russe. Il s'agit davantage d'une population assujettie à l'État. C'est le cas depuis des siècles. Le servage a été aboli en Russie en 1861, à peu près au même moment qu'aux États-Unis, mais cela ne s'est jamais vraiment traduit dans les faits. Prenez les travailleurs puis les employés des kolkhozes, les salariés des compagnies publiques, tous dépendent d'une manière ou d'une autre de l'État. Il en est de même de l'élite.

À la différence de la noblesse européenne, les titres étaient attribués par l'autorité publique en contrepartie de services rendus. S'ajoute à cela le fait que cette élite était essentiellement militaire. La Russie a toujours été un pays en guerre. Les propriétaires terriens ont toujours eu pour mission de fournir des troupes fraîches à l'État. Tous ces éléments ont façonné un état d'esprit qui se caractérise par le fatalisme, le culte de la guerre et du destin.

En Russie, on ne retrouve pas ce sens de l'indépendance et de la dignité individuelle comme ailleurs. Les gens voient le monde à travers l'optique de l'État. C'est l'une des raisons pour lesquelles les actions de protestation peinent à exister. Si l'État prétend qu'il a besoin de mener une guerre, la population aura du mal à soutenir le contraire.

Vladimir Poutine, l'impuissant nucléairePourtant, lors des funérailles de l'opposant Alexeï Navalny, une foule importante s'est déplacée. N'est-ce pas une forme de protestation ?

Il faut avoir un énorme respect pour ces gens qui ont défié les autorités, car les arrestations reprennent depuis ces événements. À travers Navalny, ils nourrissaient l'espoir d'un avenir meilleur. Mais nous parlons d'une petite minorité, de quelques dizaines de milliers de personnes dans un pays qui compte 140 millions d'habitants. 95 % de la population continue de penser que Navalny ne compte pas et qu'il est mort de mort naturelle. Imaginons un instant que la Russie organise des élections libres : même dans une telle hypothèse, Poutine récolterait quatre ou cinq fois plus de votes que Navalny.

Anne Nivat : « Poutine n'a que faire d'être haï » Poutine reproduit-il donc ce que le pays a toujours connu ?

Bien sûr, Poutine s'est construit sur la guerre. Avant même de devenir président, lorsque Boris Eltsine l'a nommé Premier ministre, il a déclenché le conflit tchétchène. Les attentats de 1999 contre des immeubles d'habitation, dont beaucoup d'observateurs pensent qu'ils ont été organisés par les services de renseignements russes, lui ont permis d'asseoir sa légitimité. Il y a eu ensuite la guerre en Géorgie, l'annexion de la Crimée, la guerre en Syrie, puis la guerre en Ukraine. Poutine se maintient au pouvoir depuis vingt-cinq ans grâce à la guerre. Il a militarisé l'école et la culture russe. Il a ramené le militarisme au cœur de l'histoire du pays en s'appuyant sur l'idée d'un conflit durable contre l'Ouest.

 Retour sur 70 ans de chantage sur la menace nucléaire russeVous évoquez le fait qu'il rêve d'un pays de 500 millions d'habitants. Quelle en est la signification ?

C'est son obsession. Il en parle régulièrement. Pour lui, la population, c'est comme le pétrole : une ressource naturelle. On le voit concrètement aujourd'hui lorsqu'il envoie cette multitude d'hommes dans les tranchées. Son mode de pensée est assez proche des politiciens du XVIe ou XVIIe siècle, lorsqu'il s'agissait de récupérer plus de territoires, plus de forêts, plus d'eau, plus d'hommes. Il ne s'agit pas d'améliorer la qualité de la vie, d'investir dans les technologies ou d'augmenter l'espérance de vie. Non, il veut juste un nombre et il s'accroche à ce rêve démographique stupide. D'où son combat contre les LGBT et son exigence de voir les femmes mettre au monde davantage d'enfants.

Propos du pape sur l'Ukraine : François a-t-il commis une bourde diplomatique ? Vous dressez un parallèle entre la terreur stalinienne de 1937 et ce qui se passe aujourd'hui. Pourquoi ?

La terreur de Staline en 1937 n'avait aucun fondement rationnel. C'était une terreur cosmique : la terreur pour la terreur. Poutine recourt au même procédé. L'arrestation et la condamnation peuvent frapper n'importe qui. Pour lui, c'est un moyen de discipliner la population et de prolonger indéfiniment son règne.

Ukraine : Macron se pose en chef de guerre « hybride » L'invasion décidée par Poutine dépasse-t-elle le simple cadre de l'Ukraine ?

Oui, il est très important que les opinions occidentales en prennent conscience. Cette guerre en Ukraine est le prolongement de la Seconde Guerre mondiale. C'est-à-dire que Poutine est aujourd'hui aussi maléfique que Hitler. Au milieu du XXe siècle, les démocraties devaient combattre deux dictatures, celle de Hitler et celle de Staline. L'alliance de Staline avec l'Ouest pour vaincre l'Allemagne était d'abord opportuniste. En réalité, Staline demeurait celui qui envahissait les territoires voisins, exterminait des communautés entières, massacrait son propre peuple.

Hitler a disparu, mais Staline, le mal du bolchevisme, le mal des tchékistes, a survécu. Aujourd'hui, Poutine en est l'héritier. Et ce mal qui menace le monde libre n'a pas été vaincu. Il dispose même de l'arme nucléaire et du soutien d'autres pays. Il ne s'agit donc pas de défendre uniquement l'Ukraine, mais de s'assurer que le poutinisme soit chassé une bonne fois pour toutes et ne fasse plus peser une menace existentielle sur notre civilisation.

La réponse est dans la question qui ne mérite qu’une réponse OUI ! Car c’est un malade vindicatif revanchard et dangereux nostalgique du grand empire russe tsariste perdu et de cette URSS qui a chuté avec le mur de BERLIN le 9 novembre 1989 après cette guerre froide d’une autre époque pré guerres mondiales 14/18 et 39/45 que nous avons subit il y a 80 ans !?

Mais quand on voit les Allemands avec leur dictateur qui ont terrorisé l’Europe occidentale « HITLER » ce fou criminel dangereux qui en ont souffert aussi et après leur défaites on a du mal à comprendre leur Chancelier actuel O.SCHOLZ qui veut encore faire cavalier seul sur les cendres d’un pseudo accord franco-allemand  « Gaulliste »devenu caduque ou bidon depuis Mme MERKEL native d’Allemagne de l’est ex RDA soviétique qui discutait en russe bien sur avec Poutine et qui décidait de tout et nos dirigeants actuels et passés qui disaient amen ( car eux ne croyaient pas à de nouvelles guerres mondiales hypothétiques qui prennent formes maintenant !?)

Pour le reste à cause de cet occident qui n’a pas été capable dans ces pays de cette Union EUROPENNE mal unie épaulé par les USA Otanien qui maintenant les lâche car argumentant qu’ils ont assez aidé financièrement et en matériel militaire cette UKRAINE de plus en campagne électorale avec un TRUMP en passe d’être réélu n’ont pas été capable de stopper voir éliminer ce dictateur hyper dangereux parce que tergiversant en bavardant comme notre président procrastinateur pathologique qui va nous faire ce soir un discours creux alambiqué qui ne nous protègera pas car lui aussi a parlé à POUTINE pour ne rien dire d’utile qui lui ne l’a même pas écouté et maintenant l’insulte !?

Tout cela étant la triste vérité que les Français et Européens peuvent voir et entendre car étant mal gouvernés et mal protégés la couverture médiatique libre étant diffusée dans nos pays libres et démocratiques qui vivent encore en liberté avec leurs petits avantages personnels « du chacun pour soi égoïste » borné inconcient du danger à nos portes?!

Jdeclef 14/03/2024 11h24

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