dimanche 30 juin 2019

L'agression d'un commissariat n'est pas un fait anodin, quel que soit la violence déployée par des individus délinquants !


Eure : la police et le maire s'écharpent sur l'attaque d'un commissariat

Le syndicat Alliance accuse le maire (PS) de Val-de-Reuil de « minimiser les faits » après un incident survenu dans la nuit de jeudi à vendredi.

Qui a raison ? Le syndicat de police Alliance et la mairie de Val-de-Reuil (Eure) se sont opposés samedi à propos de l'attaque d'un commissariat de la ville, qualifié d'« assaut » ou de « siège » par le premier et d'« incident limité » par la seconde. Dès vendredi, Alliance, premier syndicat chez les gardiens de la paix, avait décrit dans un communiqué les « assauts » répétés et l'« agression d'une violence inouïe » menée par une trentaine d'individus « masqués et cagoulés » dans la nuit de jeudi à vendredi.
Dans un communiqué publié samedi, la ville a, elle, évoqué « un incident limité et, hélas, devenu banal quand la chaleur de l'été amène les jeunes à rester dans la rue » et qui donne lieu « aux exagérations et aux interprétations les plus fantaisistes ». « Si une situation semble explosive, c'est bien la situation sociale » du commissariat, estime la mairie, dirigée par Marc-Antoine Jamet (PS), qui parle d'un incident « amplifié et utilisé pour témoigner de la grande misère de la police d'une des quatre grandes villes de l'Eure ».

Une vitre cassée

Selon la mairie, sept jeunes, après avoir vu un match de foot dans un café de la ville « décident de jeter, à une distance d'une vingtaine de mètres, des pétards et des mortiers d'artifice (et non des mortiers de guerre...) » vers le commissariat. Les cinq policiers présents à l'intérieur se déploient pour protéger le bâtiment puis « le groupe se disperse et revient vers 2 h 30 du matin plus nombreux (environ une quinzaine) âgés de 12 à 18 ans, encapuchonnés plus que cagoulés (...) pour reprendre jets de pierre et pétards », selon la ville.
Deux agents de la brigade anticriminalité viennent alors en renfort et dispersent les jeunes sans faire usage de leur lanceur de balle de défense (LBD) vers 3 heures du matin, d'après la même source. Le lendemain, lors d'une visite du maire et de la sous-préfète sur place, la numéro deux du commissariat « croit avoir entendu quelqu'un lui dire que quelqu'un a entendu quelqu'un dire les mots Allah Akhbar, mais, sous les regards sceptiques de ses subordonnés, n'insiste pas », est-il expliqué. « Le bilan de l'incident est d'une vitre cassée (...) L'affaire est close. La nuit suivante, il ne se passe rien », souligne la ville.

« Attaque islamiste », selon Éric Ciotti

« Non, monsieur le Maire, les assaillants ne se comptent pas sur les doigts des mains, ils étaient bien une trentaine », a réagi Alliance samedi dans un nouveau communiqué, affirmant aussi que « les assaillants ne détenaient pas de vulgaires pétards, mais bien des pierres, des blocs de béton et des mortiers d'artifice. » « Il ne s'agissait pas d'un jeu, les assaillants scandaient : On va vous crever, on va vous cramer, Allah Akbar... » a ajouté le syndicat, qui déplore les « propos angéliques et scandaleux de l'édile local qui préfère créer une polémique sur le déroulé des faits plutôt que de manifester son soutien aux forces de police et condamner ces faits graves ».
Samedi matin, le député LR des Alpes-Maritimes Éric Ciotti a, lui, dénoncé dans un communiqué une « attaque islamiste » et demandé la saisine du parquet national antiterroriste. « J'appelle à des sanctions exemplaires à l'encontre des barbares qui attaquent la République. L'État doit se montrer implacable face aux islamistes qui mènent une guérilla contre la France », a-t-il ajouté.

S’en prendre à un commissariat symbole de la république qui est là pour aider et défendre, s’il y a lieu la population est inadmissible !

Ce qui en plus est minimisé par l’autorité municipale par la voix de son maire est inadmissible et irresponsable !

Car ces trublions voyous cagoulés pour certains sont semble-t-il connus pour une certaine délinquance qui semble ne pas trop gêner Mr le Maire qui attribue cela à un effet de société qu’il semble connaitre pour autant mal géré par la commune dont il est l’officier municipal !

La police c’est défendue très correctement sans utiliser d’armes anti émeutes connue, heureusement, car s’il y avait eu des blessés chez ces trublions qui se défoulaient, c’est encore la police qui aurait été accusé de violences inconsidérées ?!

Surtout avec en plus que des menaces et insultes habituelles agrémentées du fameux : Allah Akbar... aurait été fomentées par les assaillants ?!

Ce que l’on constate hélas avec ses incidents divers envers des symboles de l’état et de son autorité, ces jeunes voyous n’en n’ont pas peur et font de la provocation, alors comment vouloir qu’ils les respectent ?!

Surtout si l’on pratique le déni et minimise les faits avérés, ont voit que notre pays va mal à cause de bienpensants hypocrites qui ont peur de leurs ombres !

Jdeclef 30/06/2019 13h59LP

La canicule baisse, voire disparaît nos médias vont devoir parler d'autre chose!


Canicule : léger rafraîchissement au nord-est

La vigilance orange ne concerne dimanche plus que 32 départements, essentiellement dans le tiers sud-est de la France, contre 75 la veille.

Après six jours d'une canicule exceptionnelle pour un mois de juin, une bonne partie de la France retrouve des températures plus respirables dimanche avec un net rafraîchissement dans le nord-ouest où la vigilance orange a été levée. « Le rafraîchissement s'est bien amorcé sur le nord et sur une grande moitié ouest du pays », note Météo-France dimanche matin, ajoutant que l'épisode caniculaire se limite « maintenant à une grande partie est du pays ».
La vigilance orange est maintenue dans 32 départements, qui se situent dans un grand tiers sud-est du pays, depuis l'Aude jusqu'au Bas-Rhin, en englobant le Massif central, la Côte d'Azur, les Alpes ou encore la Corse. Dans ces départements, « les températures maximales seront supérieures à 35 degrés », précise Météo-France. Le mercure devrait être proche de 39 degrés en Alsace, et monter jusqu'à 38 et 40 degrés « en moyenne et basse vallée du Rhône ».

Le thermomètre devrait en revanche plafonner à 30 degrés en région parisienne dimanche après-midi, contre environ 35 degrés enregistrés la veille. Samedi soir, 75 départements étaient encore placés en vigilance orange. Mais, signe qu'un pic a été franchi en fin de semaine, Météo-France avait levé samedi matin l'alerte rouge dans quatre départements méridionaux (Bouches-du-Rhône, Gard, Hérault et Vaucluse).

Lundi, la baisse des températures se poursuivra par le nord et l'ouest, mais il faudra attendre mardi pour que l'ensemble du pays retrouve des températures « moins élevées ». Celles-ci « devraient rester au-dessus des normales de saison sur la moitié sud », selon Météo-France. Si le mercure retombe, la pollution à l'ozone qui accompagne souvent les vagues de chaleur persiste. En Île-de-France, Airparif prévoit pour dimanche un nouveau dépassement du seuil limite d'ozone, irritant pour les poumons. La circulation différenciée, qui interdit le trafic aux véhicules les plus anciens, a été reconduite dans la capitale pour dimanche et est également maintenue à Lyon et Marseille selon les sites internet des mairies.
Lire aussi Canicule : 50 degrés en température ressentie, vraiment ?
Le député européen Yannick Jadot (EELV) a proposé, pour modérer la pollution et les risques, des « congés canicule » et des transports publics gratuits, dans un entretien avec le Journal du dimanche. Pour ce week-end, qui coïncide avec de premiers départs en vacances, la ministre des Transports, Élisabeth Borne, a pour sa part incité ceux qui le peuvent à « décaler leurs déplacements » en voiture comme en train.

La vague de chaleur venue du Sahara, qui a étouffé aussi le reste de l'Europe, est inédite par son intensité et sa précocité. Le mercure s'était envolé vendredi, avec un record absolu enregistré à Gallargues-le-Montueux (Gard), 45,9 °C vers 16 heures. Le précédent record de 44,1 °C, enregistré dans le même département, datait d'août 2003, lorsque la canicule avait fait 15 000 morts. Samedi, des touristes ont pris des selfies devant la pancarte d'entrée de la ville du record. « C'est un lieu historique ! » affirmait Gudrun Helder, une trentenaire venue en vacances dans la région depuis l'Allemagne, et qui reconnaît qu'« en fait, ça fait vraiment peur ». Les scientifiques anticipent des vagues de chaleur deux à trois fois plus nombreuses d'ici au milieu du siècle.

Départs de feu

Les chaleurs extrêmes ont sans doute coûté la vie à un octogénaire et un ouvrier de 37 ans jeudi en Alsace, à Cernay (Haut-Rhin). Entre vendredi matin et samedi midi, six personnes ont été hospitalisées en état d'hyperthermie dans le Vaucluse. L'une d'entre elles est décédée, et une autre avait un « pronostic vital engagé », selon la préfecture. Dans l'Ariège, une enquête a été ouverte après la mort d'un homme de 53 ans samedi lors d'une épreuve cycliste.
« Il n'y a pas à ce jour d'afflux massif vers les services d'urgence ni de signal d'excès de mortalité », a indiqué la Direction générale de la santé (DGS) samedi soir. Toutefois, dans une canicule, l'excès de mortalité arrive toujours après l'événement, et « le bilan définitif ne sera disponible que fin juillet ». La DGS a aussi mis en garde contre les risques de noyade, liés à l'envie de se baigner pour se rafraîchir : il y a eu au moins huit cas en France samedi, dont cinq décès. Outre les dégâts sur les vignes dans le Gard et l'Hérault, la chaleur intense a également favorisé le départ de plusieurs feux: une soixantaine d'incendies ont brûlé 620 hectares et 11 maisons dans le Gard, faisant 20 blessés légers, dont 19 parmi les pompiers.
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Ça cela va surement rafraîchir l'atmosphère pesante déclenchée par nos bienpensants donneurs de leçons !

Qui vont s’empresser de faire un bilan qui sera meilleur qu'en 2003 pour justifier surtout leurs actions médiatiques pour minimiser les pertes dans les populations fragiles aux fortes chaleurs comme pour chaque été, en informant de leurs efforts nos chers écolos utopiques !

Enfin respirons mieux c'est toujours cela, que je me permets de dire en tant que cardiaque souffrant d'une pathologie cardio vasculaire sérieuse il fait 28° c'est mieux c'est l'été pour les vacanciers de juillet normal en fait !

Jdeclef 30/06/2019 11h15LP

Si cette mascarade de faux jetons sert à la paix pourquoi pas ?!


Donald Trump entre en Corée du Nord accompagné de Kim Jong-un

Lors d'un sommet lancé à l'improviste, Trump a fait ce que jamais aucun président américain n'avait fait avant lui : fouler le sol nord-coréen.

Le président américain Donald Trump est entré à pied en Corée du Nord dimanche, pour quelques pas historiques avec le dirigeant de ce pays, Kim Jong-un. Le chef de la Maison-Blanche a franchi la limite qui marque la séparation entre les deux Corées dans le village de Panmunjom, où a été signé l'armistice de 1953. Jamais aucun président américain avant lui n'avait foulé le sol de la Corée du Nord. « C'est un grand jour pour le monde. Cela signifie que nous voulons mettre un terme à un passé fâcheux et essayer de créer un avenir nouveau », a déclaré Donald Trump. Kim, de son côté, espère « surmonter les barrières » grâce à sa relation avec le locataire de la Maison-Blanche.

« Le danger à disparu »

À son arrivée dans la DMZ, Donald Trump a visité sous un ciel gris une plateforme depuis laquelle il est possible d'observer le territoire de la Corée du Nord - notamment un drapeau géant monté sur un mât de 160 mètres de haut. « Il y avait un grand conflit ici avant notre rencontre de Singapour », a remarqué le dirigeant américain en direction de la presse. « Depuis, le danger a disparu », s'est-il félicité.


De l'avis des experts, la rencontre ne devrait pas suffire à résoudre le délicat dossier de la dénucléarisation de la Corée du Nord, sur lequel achoppe le rapprochement avec Washington. L'administration Trump exige que Pyongyang renonce définitivement à son programme nucléaire, avant d'envisager une levée des sanctions internationales, ce que le Nord refuse. « Si cet événement s'était produit il y a plus d'un an, il aurait pu être considéré comme une percée psychologique », souligne le chercheur américain Joshua Pollack, du Middlebury Institute of International Studies.
« Mais maintenant ? Une rencontre pour les caméras et sans ordre de jour ne fera rien pour effacer un an d'illusions et de déceptions », a-t-il estimé sur Twitter. Pour relancer les négociations, il faudrait « autre chose qu'une lettre d'une page et une nouvelle poignée de main », estime l'expert, en référence aux échanges épistolaires entre MM. Kim et Trump. À l'exception de George Bush père, tous les présidents américains ont effectué une visite chargée de symbole sur la DMZ. Donald Trump aurait dû sacrifier à la tradition lors d'une première visite en Corée du Sud en 2017, mais le brouillard avait empêché son hélicoptère d'atterrir.
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Tant mieux car c'est préférable que de se taper dessus, mais montre, ce qu'est l'hypocrisie diplomatique à haute dose !

Pour le reste TRUMP semble aimer les dictateurs, car il peut s'opposer à eux, (en ayant peut être une arrière-pensée de frustration de ne pas en être un, car lui ne peut tout faire aux USA république démocratique qui possède des assemblées, congrès, chambre des représentants du peuple américain qui le tienne quand même en laisse pour ne pas trop déraper et ont voté pour l’élire, bien sûr !)

Mais hélas ces dirigeants hors normes quel qu'ils soient, sont dangereux par leurs sautes d'humeurs diverses et bien sûr, les plus puissants qui veulent rester maîtres du monde, notamment entre les USA et la CHINE pour la première place pour ne parler que de ceux-là !

A cause de cela le monde est dans une fausse paix précaire et pas partout, car il y a des points de pressions dans ces continents pour les occuper sans compter les religions sous-jacentes diverses qui n'arrangent pas cela pour les diviser !

Donc les pays fourbissent leurs armes, car ne dit-on pas , qu’il faut préparer la guerre pour avoir la paix ?!

Mais cela fait plus de 2000 ans que les hommes s’opposent sur plein de sujets de discordes divers, même à l’intérieur de leurs propres pays, mais surtout pour avoir puissance et pouvoir, car incurables puisqu’ils n’arrivent pas à s’entendre, çà c’est immuable depuis des siècles hélas !

Jdeclef 30/06/2019 10h12LP

samedi 29 juin 2019

Pauvre France maintenant bientôt infiltrée par certaine religion à dogme moyenâgeux !


Qui est Rachid El Jay, l'imam visé par une tentative d'assassinat  ?

Le prédicateur brestois s'était fait connaître, en 2014, par une vidéo polémique. Mais, depuis deux ans, son discours avait changé du tout au tout.

Issu d’une famille modeste d’origine marocaine, Rachid El Jay est devenu imam en 2004. Depuis 2016, il a choisi de délaisser le salafisme pour s'inscrire dans le courant malikite
Il y a 5 ans, une vidéo où il condamnait, dans des termes outranciers, la musique rock avait enflammé la Toile. Cette séquence, republiée sur des sites d'extrême droite en septembre 2015, lui avait valu d'être catalogué comme un représentant de la pensée salafiste en France. Il faut dire qu'à l'époque les déclarations de Rachid El Jay, qui se présentait alors sous le nom de Rachid Abou Houdeyfa, ne faisaient pas dans la dentelle.
Rachid El Jay, né à Brest en 1980, est une figure bien connue du quartier populaire de Pontanézen. Son parcours académique reste cependant obscur. Plusieurs sources relèvent qu'il serait autodidacte en matière religieuse. D'autres disent qu'il aurait été formé par son père, lui-même imam auto-proclamé, d'origine marocaine. Ce qui est sûr, c'est qu'il a pris la tête de la mosquée Sunna en 2004, lorsque le précédent imam, Abdelkader Yayia Cherif, a été expulsé de France pour avoir appelé au djihad. « La mosquée Sunna est l'une des cinq de Brest. Elle ne saurait représenter l'ensemble des musulmans de la métropole », nuance l'entourage du maire socialiste François Cuillandre.

 « Sa proximité avec des figures controversées, tel Mehdi Kabir, l'imam de Villetaneuse, avec lequel il s'affichait alors, mais aussi des contacts entretenus avec des communautés ultras au Maghreb, au Moyen-Orient mais aussi outre-Atlantique avaient alors beaucoup nui à son image », indique une source du ministère de l'Intérieur. Les services de la place Beauvau avaient diligenté plusieurs enquêtes sur lui et même perquisitionné la mosquée qu'il dirige et son domicile. D'autres investigations avaient concerné les activités commerciales de l'imam qui anime, outre une chaîne YouTube suivie par plus de 750 000 personnes, une boutique d'objets de piété et une agence de voyages online proposant des pèlerinages.

Quatre ans plus tard, les autorités tiennent un tout autre discours. « Le regard que nous pouvions porter sur lui a totalement changé, et pas seulement en raison de la tentative d'assassinat dont il fait l'objet, le 27 juin », poursuit la même source. « Rachid El Jay a vraiment évolué », insiste un autre fonctionnaire français qui le connaît bien. « Les autorités marocaines nous ont prêté main-forte pour le convaincre de prendre ses distances avec certains contacts dangereux », poursuit un second contact.
Le changement, intervenu fin 2015, a été aussi radical que pouvaient l'être ses propos antérieurs. Ses prêches n'ont plus fait référence à des prédicateurs salafistes. Ce qui s'est d'ailleurs traduit par l'abandon de son surnom d'Abou Houdeyfa, qui était autant un hommage à son père qu'à un compagnon de Mahomet, présenté comme très rigoriste.
L'imam, aujourd'hui âgé de 39 ans, n'a cessé, depuis trois ans, de se placer dans le giron de la pensée malikite, un courant présenté comme « modéré » par les spécialistes et qui tire son nom d'une grande figure de l'islam (Mâlik ibn Anas) qui inspira la dynastie almoravide. Celle-là même qui régna sur le Maghreb et l'Andalousie pendant plus d'un siècle, après l'an mil. Rachid El Jay ne porte plus de « ghutrah » (ce foulard masculin très en vogue en Arabie saoudite). Il a taillé sa barbe naguère fournie et arbore de plus en plus fréquemment des costumes à la mode occidentale.

Menacé par Daech Rachid El Jay s'est, par ailleurs, inscrit au diplôme universitaire (DU) religions, droit et vie sociale, à la faculté de droit et de sciences politiques de Rennes. Selon plusieurs sources, Mohamed Zaïdouni, président du conseil régional du culte musulman (CRCM) de la région Bretagne et secrétaire général du Rassemblement des musulmans de France (RMF), a joué un rôle important dans cette reconversion.
La conséquence n'a pas tardé à se faire sentir. Dès le mois d'août 2016, une fatwa émanant de l'organisation État islamique frappait Rachid El Jay. « Cette menace venant de Daech avait été prise très au sérieux », assure la mairie. Pour autant, aucun dispositif de sécurité spécifique ne semblait avoir été adopté pour le protéger. Contactée, la préfecture n'était pas en mesure de confirmer ou non, à l'heure où sont écrites ces lignes, si une demande officielle de protection avait été déposée par la victime.
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Cela augmente depuis plus de 30 ans et commence à devenir insupportable de voir de pauvres gens faibles bien sûr, se laisser prendre dans les filets de celle-ci qui leur lave le cerveau en les abêtissant !

Cette religion à 700 ans de retard sur les nôtres en Europe par leurs dogmes extrémistes radicaux appliquant des dogmes moyenâgeux avilissant ceux qui y croient et en abêtissant ceux qui sont faibles ou pauvres qui ont besoin de se raccrocher à celle-ci avec espoir qu'elle les sortira de leurs mauvaises conditions de vie !

Ce système est vieux comme le monde qui sert à effrayer et mettre à la botte de certains religieux des croyants faibles ce n'est qu'une façon de pouvoir absolu mystique au profit de quelque uns qui harangue par leurs prêches extrémistes ceux qui s'y laissent prendre !

Bien sûr c'est plus facile dans un pays de bienpensant et laïque ou chacun peut croire à ce qu'il veut, mais hélas cette religion hégémonique gagne du terrain car nos dirigeants ne font à peu près rien pour s'opposer cette emprise qui devient étouffante, car elle veut supplanter à terme insidieusement les autres religions !
D'ailleurs à moins de faire de la politique de l'autruche comme nos gouvernements quel que soit leurs bords politique depuis des années on note de plus en plus des incidents divers dans le domaine public ne respectant pas les lois de notre république !

Quand on essaie simplement d'en parler en appelant un « chat un chat » on nous en empêche bien que nous soyons dans un pays libre démocratique protégé par la libre expression inscrite dans note constitution et çà c'est aussi préoccupant !

Quand dans un pays on ne peut plus croire ou ne pas croire à rien, en toute sécurité on tombe sous aliénation et asservissement et perte de simple liberté et voire à terme une dictature religieuse comme dans d'autres pays connus !

A croire que nos dirigeants de tous bords depuis des années ont peur de celle-ci ou ont perdu leur simple bon sens !?

Jdeclef 29/06/2019 09h55LP

vendredi 28 juin 2019

Mais non tout va bien avec cet islamiste rampant ou cet extrémisme qui règle leur compte sur le sol français


Mosquée de Brest : deux hommes blessés, dont l'imam, lors d'une fusillade

Le tireur a été retrouvé mort peu de temps après les faits, il se serait suicidé. L'attaque a eu lieu dans la cour de la mosquée de Brest.

Deux personnes, dont l'imam de Brest, ont été blessées par balle jeudi devant une des mosquées de la ville, le tireur présumé ayant été retrouvé mort d'une balle dans la tête. Vers 16 heures, plusieurs coups de feu ont été tirés devant la mosquée Sunna, située dans le nord-est de la ville, blessant deux personnes, dont l'imam Rachid El Jay, ont indiqué à l'Agence France-Presse plusieurs sources proches du dossier et le Conseil français du culte musulman (CFCM).
L'auteur présumé des coups de feu a été retrouvé mort après la fusillade, à environ 500 mètres de sa voiture, dans une zone boisée de Guipavas, aux portes de Brest, a indiqué à l'Agence France-Presse le colonel Nicolas Duvinage, qui commande le groupement de gendarmerie du Finistère, précisant qu'une soixantaine de militaires avaient été mobilisés pour retrouver l'auteur des faits, qui se serait suicidé d'une balle dans la tête, selon une source proche de l'enquête. La voiture à bord de laquelle il a fui, une Clio grise, disposait du logo du département de la Manche sur sa plaque d'immatriculation. L'homme, âgé d'une vingtaine d'années, ne résidait cependant pas dans ce département. Il n'était pas non plus de la région brestoise, selon cette source proche de l'enquête.


« L'imam a reçu quatre balles, deux dans l'abdomen, deux dans les jambes. Le fidèle a reçu deux balles dans les jambes. Ils sont pris en charge et leurs jours ne sont pas en danger », a indiqué le CFCM. « Les deux blessés ont été conduits aux urgences, leur pronostic vital ne serait pas engagé », selon la préfecture. La direction interrégionale de la police judiciaire (DIPJ) de Rennes a été saisie de l'enquête. Selon une source policière, la seconde victime, âgée de 26 ans, a également été blessée aux mains.
Brest : les curieuses affaires de l'imam

« Nous condamnons avec force et détermination le lâche attentat »

D'après Trabelsi Hosny, adjoint au maire de Brest chargé du quartier de l'Europe qui englobe le quartier de Pontanézen, l'imam sortait de la mosquée avec l'un de ses amis lorsqu'« une personne s'est présentée voulant faire une photo avec l'imam, ce que l'imam a accepté ». Cette personne « lui a tiré dessus, et aussi sur son camarade qui était à côté, deux ou trois balles aussi », a-t-il raconté. Les faits se sont déroulés dans la cour de la mosquée. Une tache de sang était visible au sol, juste à l'entrée de la petite cour.
« Nous condamnons avec force et détermination le lâche attentat perpétré contre l'imam de la mosquée de Brest Rachid El Jay », a déclaré à l'Agence France-Presse Abdallah Zekri, délégué général du CFCM et président de l'Observatoire national contre l'islamophobie. Selon le pharmacien brestois Thierry Ropars qui a porté les premiers secours aux blessés, « tout s'est passé très vite ». « J'ai entendu six ou sept coups de feu et quand je suis sorti de la pharmacie, j'ai vu deux personnes au sol, non loin de l'entrée de la mosquée, blessées aux jambes et à l'estomac », a-t-il déclaré à l'Agence France-Presse. « Avec une cliente, nous avons fait des points de compression pour éviter qu'ils ne perdent trop de sang. Le blessé avec qui j'étais a reçu au moins deux balles », a-t-il ajouté.

Menacé

Selon une source policière, l'auteur présumé, qui a été identifié, a laissé des documents écrits près du lieu où il a été retrouvé mort. Il a, par ailleurs, posté une photo de lui sur les réseaux sociaux. « Il est inconnu des services de police, n'est pas fiché, et n'est pas connu comme appartenant à un mouvement d'extrême droite », a précisé cette source policière. « Rachid El Jay a déjà été menacé par Daech, car il a des discours en phase avec les valeurs de la République. S'il était pour le fondamentalisme, Daech l'aurait félicité », a commenté le délégué général du CFCM.


Selon Romain Caillet, spécialiste du salafisme contemporain, Rachid El Jay « est aussi bien la cible de gens pro-djihad que de groupes d'ultradroite avec ses vidéos qui ont défrayé la chronique ». Dans l'une d'elles, on le voit expliquer à des enfants que celui qui écoute de la musique risque d'être transformé en porc. « Toutes les hypothèses sont possibles. Il y a 10 ans, cet imam était sur une ligne salafiste non djihadiste, mais pro-saoudienne, et il s'est rangé progressivement sur une ligne traditionnelle marocaine », a précisé Romain Caillet.
 « Aujourd'hui, il est dans une logique de pratique de l'islam qui n'est pas en rupture avec son environnement, sa barbe est de plus en plus courte et son style vestimentaire a changé », a-t-il ajouté, soulignant que « bien qu'il ait changé de discours, il était toujours assimilé aux yeux de l'opinion publique et dans les médias, à un islam radical, donc un ennemi de l'intérieur ».
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Pendant ce temps-là de multiples événements ou incidents divers se produisent et nos dirigeants blablatent ainsi que notre gouvernement avec ses ministres bienpensant donneurs de leçon hypocrites continuent à pratiquer le politiquement correct insupportable et la politique de l'autruche en poussant la poussière sous le tapis !

Car rien n'est réglé et tant pis pour les français lambda qui doivent supporter cette situation anxiogène qui s'ajoute à la délinquance ordinaire qui ne diminue pas !

Que faudrait-il pour que cela change pour que cela diminue au moins, car avec une justice laxiste un code pénal inadapté, une non fermeté dans les sanctions et recherches dans les endroits sensibles connus pour faire le ménage à titre de salubrité pour revoir une France sereine en matière de sécurité au quotidien, un rêve qui semble-t-il  devient inaccessible, car nos élites (mot qu’ils ne méritent pas) qui nous gouverne et cela ne date pas d'hier sont protégés dans leurs bulles à mille lieues des problèmes de ce que la population vit au quotidien !

Car le terrorisme islamique est toujours là et le fait savoir par ses actes et en plus qui exacerbe les mouvements extrêmes divers qui passent à l’acte pour faire leur loi !

Il n’y a pas de quoi être fier dans notre pays de donneurs de leçons bien-pensants !

Jdeclef 28/06/2019 10h54LP

jeudi 27 juin 2019

Comme quoi le terrorisme est loin d'être terminé et éradiqué en Tunisie !


Tunisie : explosion d'une voiture piégée près de l'ambassade de France

L'attaque aurait visé des policiers. Selon France 24, l'explosion aurait retenti au niveau de l'avenue Bourguiba, une des principales avenues de la capitale.

Une explosion a retenti à Tunis sur l'avenue Habib-Bourguiba, aux abords de l'ambassade de France, a fait savoir France 24. Basé dans la capitale tunisienne, le journaliste de la chaîne d'information évoque au moins deux blessés. Selon l'Agence France-Presse, ce n'est pas l'ambassade, mais des policiers qui auraient été ciblés.

Tunisie : deux actions kamikazes au cœur de Tunis

Deux kamikazes ont agi quasi simultanément au niveau de la Porte de France et au siège de la brigade antiterroriste. À l'aube, à Gafsa (Sud), un groupe armé avait fait feu sur la station d'émission radiophonique située sur le mont Arbata.

« Péril imminent. » La formule a surgi au creux de la matinée après que trois actions terroristes ont été enregistrées depuis l'aube. La première, dans le sud du pays, dans le gouvernorat de Gafsa. Quelques hommes armés ont fait feu sur la station d'émission radiophonique fichée sur le mont Arbata. Les militaires ont riposté, faisant fuir le groupe armé. Depuis, la région est ratissée par les services de sécurité.

Tunis : un kamikaze attaque une voiture de police

Peu avant 11 heures, un homme a actionné un explosif au niveau d'un véhicule de police, blessant trois policiers et deux civils. L'acte s'est produit à cent mètres de l'ambassade de France, à l'angle de l'avenue Bourguiba et de la rue Charles-de-Gaulle. Au cœur d'une des zones les plus sécurisées du pays. Le ministère de l'Intérieur est situé au début de l'avenue, au numéro 7.

Tunis : second kamikaze à la brigade antiterroriste

Quelques minutes après, un homme a tenté de s'introduire au siège des unités spéciales de la brigade antiterroriste. Il a été mis en échec, mais il a eu le temps de jeter son explosif devant le bâtiment, qualifié d'artisanal par les sources sécuritaires.
Tourisme et insécurité : cette si difficile équation africaine face au terrorisme

Trois ans et un jour après l'attentat de Sousse

Ces actions interviennent trois ans et un jour après l'attentat de Sousse, qui fit 39 morts. Depuis, l'appareil sécuritaire avait été remis en ordre de marche sous la houlette du précédent chef du gouvernement, Habib Essid. Le 10 juin dernier, le ministre de la Défense Abdelkrim Zbidi déclarait : « La Tunisie vit actuellement sa meilleure période de stabilité sécuritaire. » Le gouvernement demeurait toutefois prudent même si le ministre du Tourisme René Trabelsi déclarait au Point que « la Tunisie est au niveau des pays qui reçoivent des touristes ». La destination Tunisie affiche complet à l'avant-veille du 1er juillet. D'après les premiers renseignements collectés, les actions commises ce matin n'ont pas l'envergure de celles commises en 2015. Le bilan est tout de même lourd : un policier mort, dix blessés.

Le choix éminemment symbolique des cibles

En visant les forces de l'ordre au centre de Tunis, que ce soit rue Charles-de-Gaulle ou à la direction des Unités spéciales de l'antiterrorisme, ces individus, vraisemblablement coordonnés – on attend une déclaration officielle –, voulaient déstabiliser les forces de l'ordre dans la capitale. Un climat d'anxiété s'est répandu très vite. Le retour du terrorisme intervient au pire des moments : en pleine instabilité politique et au début des mois cruciaux pour le secteur du tourisme (« 14 % du PIB », selon René Trabelsi). La reprise de la guerre en Libye, depuis que le maréchal Haftar a lancé une offensive sur Tripoli le 4 avril, déstabilise à nouveau la région.


Dernières informations en fait deux actions simultanées !

Et cela tombe mal en plein début d'été et des congés, ce qui n'arrangera pas le tourisme qui commençait à repartir dans ce pays prisé par de nombreux français !

Mais frontalier de la Lybie...

De plus ce pays est en situation instable au niveau politique intérieure !

Et ce Maghreb est aux portes de la France, avec des flux migratoires habituels de ces ex ressortissants communautés importantes en France (par ses ex colonies, département ou protectorat, remontant au XIX eme siècle)

Et la fin de la guerre d’Algérie en 1962 qui a laissé des traces indirectement...

Jdeclef 27/06/2019 13h04

N.SARKOZY ne déroge pas à cette règle de ces politiciens élus au plus haut de l'état avec leurs égos surdimensionnés !


Nicolas Sarkozy, le retour

« Le Point » s'est entretenu avec l'ex-président pour son retour en librairie avec « Passions ». « Entre la France et moi, ce ne sera jamais fini. »

Non, la politique ne lui manque pas. La « duplicité » des uns (François Fillon) et le manque de « souplesse de caractère » des autres (Alain Juppé), non plus. Les Français, en revanche… Mais, sept ans après son départ de l'Élysée, alors que la droite périclite et qu'Emmanuel Macron finit sa deuxième année de mandat abîmé par la crise des Gilets jaunes, Nicolas Sarkozy le jure : « On ne décide pas d'être un recours. On ne s'y prépare pas. On ne l'anticipe pas. » Le maître de l'improvisation se contente donc de publier un livre intime, dense, piquant aussi, sur lequel il travaille depuis la fin de l'été 2018. Dans Passions (éditions de l'Observatoire), dont Le Point publie en exclusivité les bonnes feuilles, l'ancien président se dévoile avec malice et sans doute plus qu'il ne l'a jamais fait.
De sa décision de s'engager en politique, « absolument instinctive, sans doute irrationnelle », et nourrie par son grand-père maternel gaulliste à ses croquis de personnalités (Chirac, Balladur, Mitterrand, Veil, Villepin, Juppé, Fillon…) ayant émaillé son itinéraire politique, Nicolas Sarkozy semble ne rien oublier de ceux à qui il doit un peu, beaucoup… rien du tout.

Macron, « c'est une énigme, je ne sais pas qui il est »

Lorsque nous le rencontrons, jeudi 20 juin, dans ses bureaux de la rue de Miromesnil pour réaliser le long entretien que nous publions cette semaine, l'ancien chef de l'État, disert, alerte, complète volontiers ses confidences imprimées. Ainsi, une question sur François Fillon devient l'occasion de disserter sur l'incapacité sarkozyienne de considérer que l'autre est autre. « C'est ma faiblesse. J'ai toujours tendance à penser que les autres sont comme moi et que je suis comme les autres. C'est un manque d'imagination coupable. Je suis toujours surpris quand je découvre que les autres font des choses que je n'avais pas anticipées parce que j'en aurais été incapable. »

Son renvoi devant le tribunal correctionnel dans l'affaire des écoutes l'inspire également : « Quand on est innocent, ce n'est pas une raison suffisante pour ne pas avoir d'ennuis, mais c'est plus confortable que d'avoir quelque chose à se reprocher. » Reste, enfin, un personnage à peine effleuré dans le livre qui, c'est une certitude, l'intrigue autant qu'il le déroute : Emmanuel Macron. « C'est une énigme, je ne sais pas qui il est, soufflera Nicolas Sarkozy à la fin de notre entrevue. Je cherche l'authenticité, lui cherche à être aimé. » Il n'ira pas plus loin. L'actuel président n'est pas un adversaire. Pas encore.
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Même s'ils ont subi des échecs cuisants comme HOLLANDE par exemple rejeté par les français !

Car la politique pour eux est une drogue dont ils ne peuvent se passer, même s'ils perdent tout amour propre, car se croyant indispensables !

Car pour certains que l'on connait ex 1ers ministres par exemple n'ayant pas pu aller jusqu'au plus haut de l'état pour se prendre pour des monarques presque absolus avec le pouvoir qu'on leur donne trop de par notre constitution de notre V eme république faite pour eux !

Mais ils ont l'art de leurrer les français qui les élisent sans vergogne par de beaux discours alambiqués appuyés de livres qu'ils écrivent (ou font écrire par des spécialistes de la politique) et par des promesses qu'ils ne tiennent que fort peu quand ils en font ?!

Il faut croire que les français qui les élisent ne sont pas difficiles à convaincre, mais quelque chose a quand même changé, ils hésitent moins à les rejeter, quand ils sont déçus, malgré leur enfumage si bien rodés de politiciens professionnels qui néanmoins son indéboulonnables pendant 5 ans, défaut de notre constitution et leurs avantages dignes de l'ancien régime que l'on n'arrive pas à oublier en FRANCE ...

Jdeclef 27/06/2019 11h18

mercredi 26 juin 2019

Marlene Schiappa Secrétaire d'État chargé(e) de l'Égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations depuis 2017 !? (suite...)


La nage en eaux troubles de Marlène Schiappa

La secrétaire d'État a mis deux jours à réagir au « happening » d'une association pro-burkini à Grenoble. Et ses propos sont loin d'être clairs  !

Le burkini est un sujet hautement polémique et son intrusion dans l'actualité n'est jamais une bonne nouvelle. Pour éviter de faire de la publicité supplémentaire à ce prétendu vêtement, le mieux serait de ne pas en parler et de laisser les autorités faire leur travail en termes de laïcité et d'ordre public. Car l'objectif premier des femmes qui ont forcé l'entrée d'une piscine de Grenoble, couvertes de la tête aux pieds, et surtout de ceux qui les soutiennent, consiste justement à provoquer une réaction indignée qui pourra être utilisée à des fins de victimisation. Sur de telles affaires, le silence est bien souvent d'or.
Lire aussi Lisnard : "Non au recul de la République face à l'islamisme"
Toutefois, l'affaire se complique quand la secrétaire d'État à l'Égalité entre les femmes et les hommes met deux jours à réagir. Qui mieux qu'elle peut dire sans ambiguïté ce qui se cache derrière un tel happening  ? Elle se décide donc, avec retard, à s'exprimer dans les colonnes du Dauphiné libéré, le quotidien régional qui couvre la région grenobloise. Elle déplore « une forme de demande, de revendication communautaire. (avec) un message politique derrière ». Mais elle assortit cette condamnation d'un « en même temps » très facultatif : « Bien évidemment, inversement, cette crispation du débat ne doit pas mener à des discriminations et les femmes, quels que soient leurs religions ou leurs modes de vie, doivent pouvoir accéder aux piscines municipales ». Alors  ? Comment fait-on  ? Ce balancement circonspect annonce-t-il que le gouvernement s'en tiendra à un lâche statu quo  ?

Casuistique déplacée

L'heure n'est pourtant plus aux atermoiements. Cette opération n'est pas la première du genre et son objectif est clair : nuire à la mixité républicaine qui prévaut dans tous les compartiments du service public. Certes, tout est fait pour embrouiller les esprits. L'association qui a soutenu l'opération piscine à Grenoble le week-end dernier s'appelle Alliance citoyenne. On a du mal à discerner ce qu'il peut y avoir de citoyen dans un comportement à la fois illégal, diviseur et profondément communautariste. Elle prétend promouvoir un acte de « désobéissance civile ». Mais enfin, le mobile premier de cette opération grenobloise n'a rien de civil et tout de religieux.
Lire aussi Hijab de Decathlon : la liberté de commerce contre les valeurs de la république  ?
Plus grave encore, des contradictions choquantes émanent d'institutions gouvernementales. Marlène Schiappa a trouvé bien plus ambigu qu'elle. Le bien mal nommé Observatoire de la laïcité vient de publier un guide sur « la gestion du fait religieux dans le sport ». Page 39, le port du burkini est évoqué comme relevant de la « liberté de conscience (…) d'usagers du service public vis-à-vis desquels il n'existe pas de législation restrictive quant au port d'une tenue qui s'apparenterait à un motif religieux ». La seule échappatoire consiste donc à invoquer des motifs sanitaires ou de sécurité (bien réels d'ailleurs), « afin de ne pas aboutir à une discrimination indirecte pour des raisons religieuses ». Une casuistique qui ne devrait plus avoir cours de nos jours...
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Elle a le même âge que ma fille, mais si elle résonnait comme elle, je serais plus que déçu et le mot ne serait pas assez fort !

Ce n'est pas avec de telles apprenties ministres que l'on résoudra ce problème qui grandit chaque jour, n'y avec nos dirigeants qui l'ont nommé à ce poste !

Car on souffre de plus en plus de ces gens qui ne veulent pas se résoudre à respecter les lois de la république pour des questions religieuses dans notre pays dit laïque dans les lieux publics !

Car cette secrétaire d'état ne veut pas comprendre les français avec son esprit bobo mal placé de bien-pensant, il n'y a qu'à voir les très nombreux commentaires des internautes sur ce sujet épineux qui fustige les propos de Mme SCHIAPPA, comme une poussière que l'on veut pousser sous le tapis en pratiquant la politique de l'autruche ou en ne voulant pas appeler « un chat un chat »

Préfère-t-on que cela dégénère en trouble divers à cause de nos autorités gouvernantes qui semblent timorées ou peureuses, c'est préoccupant, si l'on ne peut plus faire respecter nos lois (alors pourquoi en faire ?!)

Cette fonctionnaire d'état devrait démissionner pourtant, ce n'est pas dans mes habitudes de demander cela, pour un secrétaire d’état ou ministre, mais peut être utile pour faire retomber les tensions ?!

Jdeclef 26/06/2019 16h18

De voir sur cette photo MACRON s'afficher avec ce profiteur GAUDIN maire de Marseille, c'est horripilant pour ne pas dire autre chose !


Municipales : les Marcheurs avancent en terre LR

Toulouse, Lyon, Marseille... À un an des élections municipales, le pouvoir macroniste multiplie les signaux d'apaisement dans les métropoles de droite.


Présent dans la région toulousaine le week-end des 22 et 23 juin pour un événement privé, le délégué général de La République en marche, Stanislas Guérini, avait sollicité un entretien avec le maire (LR) de Toulouse, Jean-Luc Moudenc. La rencontre n'a pu se faire, « pour des questions d'agenda », dit-on au Capitole.
Mais, de passage sur le marché de Saint-Orens de Gameville, commune du Sud-Est toulousain, le chef de file des Marcheurs a dit publiquement sa volonté de rencontrer le maire de Toulouse. « Nous devons nous voir par nécessité de clarté sur un socle de valeurs, a lâché Stanislas Guérini à La Dépêche du Midi. Aucune décision n'est prise à ce stade. Notre volonté est de rassembler le camp des progressistes. » Jean-Luc Moudenc, qui au même moment lançait son mouvement « Pour Toulouse », ne ferme pas la porte, bien qu'il ait affirmé devant 1 500 partisans ce même week-end : « Moi, je suis un maire libre, et parce que je suis un maire libre, je ne participe pas aux tambouilles politiciennes. »

« On n'emmerde pas les maires »

Cet élu pragmatique, qui préside l'association France urbaine qui réunit les maires et présidents de communautés urbaines des plus grandes villes de France, a jusqu'ici toujours été conciliant avec le pouvoir macroniste. Mais ce démocrate-chrétien avait – in fine – soutenu la liste de son parti conduite par François-Xavier Bellamy aux européennes. Il faisait donc partie de la liste des « ennemis », suivant la formule lâchée sur Europe 1 par l'ex-juppéiste et ami d'Edouard Philippe, Gilles Boyer, sur Europe 1 – qui s'en est excusé après. Emmanuel Macron a lui-même sifflé la fin de la récréation. « On n'emmerde pas les maires ! » se serait-il écrié devant ses fidèles, selon Le Canard enchaîné. Affirmant, toujours selon l'hebdomadaire : « La ligne est simple. Partout où nous sommes en position de gagner, on y va. Mais, partout où il y a un risque que l'emportent le FN, la droite extrême ou la gauche radicale, il faut passer des alliances dans les listes, pratiquer une politique d'ouverture. »
De quoi rasséréner le Niçois Christian Estrosi, LR estampillé « Macron compatible ». Les Marcheurs n'ont toujours pas digéré la tribune pro-Bellamy signée dans Le Journal du dimanche à quelques jours des élections européennes. Ils étaient 803 maires à signer ce texte, mais la macronie a retenu les noms emblématiques de Christian Estrosi et d'Arnaud Robinet, le maire de Reims. Ce dernier aura un Marcheur contre lui s'il se présente aux prochaines municipales. Et du côté du Niçois, défié dans son propre camp par Éric Ciotti ? Les Marcheurs locaux sont eux-mêmes divisés sur le sujet, certains souhaitant pousser la candidature de Cédric Roussel, malgré son déficit de notoriété. « Présenter une liste LREM à Nice, c'est donner la ville au Rassemblement national, qui vient d'investir l'identitaire Philippe Vardon », lâche-t-on dans l'entourage de Christian Estrosi. Le risque existe, de fait : aux européennes, l'extrême droite a terminé en tête dans la métropole azuréenne – comme sur l'ensemble du département des Alpes-Maritimes.

Pression sur les maires

Stanislas Guérini a donc fait savoir qu'il souhaitait rencontrer Christian Estrosi, même si aucune demande directe de rendez-vous pour l'instant n'a été formulée. « Nous nous reparlons de manière apaisée », indique-t-on dans l'entourage du maire de Nice. Tout en précisant aussitôt : « Christian Estrosi est un maire libre, et il a toujours apprécié que Nicolas Sarkozy et avant lui Jacques Chirac lui laissent cette liberté aux scrutins locaux. Mais comme toujours il est prêt à échanger avec tous ceux qui veulent parler avec lui… » Il faudra cependant composer avec des macronistes plutôt sceptiques, comme le président de l'Assemblée nationale Richard Ferrand, qui estimait récemment sur France info que les positionnements de Christian Estrosi n'étaient « pas toujours limpides ».
Estrosi : « Ce n'est pas Macron qui a créé les détresses, il en hérite »
Les macronistes mettent « une grosse pression sur tous les maires », comme le note le conseiller de l'un d'entre eux, pour « clarifier » le jeu politique en vue des municipales de mars 2020. D'où l'initiative du maire d'Angers Christophe Béchu, aiguillonné par le Premier ministre Édouard Philippe, qui a rallié dans le giron macroniste plus de 70 maires et qui est en train de structurer ce mouvement en association. La macronie dépêche des missi dominici dans les villes. Les apparitions de Brigitte Macron à Marseille et à Lyon, bien que son entourage démente à grands cris toute arrière-pensée politique, ne sont pas passées inaperçues.

Cap sur Marseille

À Marseille, les Macron ont remis en selle le camp Gaudin. S'il vit une fin de règne très difficile après les effondrements des immeubles de la rue d'Aubagne, Jean-Claude Gaudin reste le maître du jeu politique, poussant celle qu'il a choisie pour lui succéder, à savoir Martine Vassal, l'actuelle présidente de la métropole et du département des Bouches-du-Rhône. Celle-ci fait figure de favorite pour mars 2020. Dans la deuxième ville de France, la menace la plus importante actuellement vient du Rassemblement national, Jean-Luc Mélenchon ne semblant pas (pour l'instant) trop investir pour les municipales.
Lors de son passage à Marseille, Brigitte Macron a déjeuné avec les deux édiles de la droite. Et le chef de l'État, qui a un fort tropisme marseillais, est venu quelques jours plus tard pour clôturer le sommet des deux rives sur la Méditerranée – alors qu'il n'y était pas obligé. Parmi les 200 invités au déjeuner officiel, il y avait tous les parlementaires des Bouches-du-Rhône – dont le député insoumis Jean-Luc Mélenchon et le sénateur frontiste Stéphane Ravier – et une multitude de personnalités locales. L'occasion pour le président de « prendre le pouls » de la ville. Dans ce contexte, les apartés entre le chef de l'État et le maire, assis côte à côte, ont fait jaser, alors que le Marseille politique bruisse de rumeurs d'alliances LREM-LR et que la guerre fait rage entre les trois candidats à l'investiture LREM.
Yves Moraine, le maire LR du 4e secteur, un très proche de Jean-Claude Gaudin, exultait à l'issue du déjeuner : « Sur 1 h 30 de déjeuner, le président de la République et le maire de Marseille se sont parlé à l'oreille pendant 1 h 28. Ils avaient visiblement beaucoup de choses à se dire. » « Attention au story-telling de la droite locale, relativise notre correspondant François Tonneau, également chef du service politique de La Provence. Les Marcheurs ici ne veulent pas d'une alliance avec LR, qui serait trop risquée à leurs yeux. Emmanuel Macron cherche un quatrième homme, issu de la société civile, pour incarner LREM. »

Guerre fratricide à Lyon

En attendant la prochaine saison de ce nouveau feuilleton marseillais, les Macron ne laissent pas tomber Lyon non plus, « capitale de la macronie » au début de l'aventure présidentielle. Un récent dîner entre la première dame et Gérard Collomb a été, évidemment, très remarqué sur place dans le contexte épineux de la guerre fratricide engagée entre le maire et ancien ministre de l'Intérieur, Gérard Collomb, et son ex-dauphin, David Kimelfeld, qui lui a succédé à la tête de la métropole. « Je ne vois pas pourquoi En marche n'accompagnerait pas Gérard Collomb à Lyon », a déclaré Richard Ferrand sur France Info, alors que le rival de celui-ci a déposé son dossier de candidature pour l'investiture du parti présidentiel…
Le défilé des huiles macronistes dans les métropoles LR ne fait que commencer. Autre cas épineux, celui de Bordeaux, où Thomas Cazenave, l'ex-directeur de cabinet adjoint d'Emmanuel Macron à Bercy, défie le fidèle juppéiste Nicolas Florian, maire depuis le 7 mars, après la démission de son patron. La capitale de l'Aquitaine ne serait donc plus en odeur de sainteté dans les cercles macronistes et philippins ? « Le choix qui sera fait sera très explicite, a confié Gilles Boyer, l'ancien directeur de cabinet de Juppé, au quotidien L'Opinion. Nicolas Florian n'est pas le plus excité. Je trouve naturel qu'il soit candidat. Je souhaite qu'avec Thomas Cazenave, ils s'entendent, mais je comprends que ce soit difficile. » On envoie un Casque bleu à Bordeaux aussi  ?
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Après les effondrements des immeubles de la rue d'Aubagne, et autres carences dans la mauvaise gestion de sa ville, montre bien ce qu'est la basse politique politicienne de nos dirigeants bien-pensants hypocrites !

Désolé de le dire ! (Enfin pas tant que çà...)

Jdeclef 26/06/2019 13h44LP

Si nos dirigeants n'arrivent pas à déterminer sérieusement les lois sans dérogations :


Burkini : la nage en eaux troubles de Marlène Schiappa

CHRONIQUE. La secrétaire d'État a mis deux jours à réagir au « happening » d'une association pro-burkini à Grenoble. Et ses propos sont loin d'être clairs  !

Le burkini est un sujet hautement polémique et son intrusion dans l'actualité n'est jamais une bonne nouvelle. Pour éviter de faire de la publicité supplémentaire à ce prétendu vêtement, le mieux serait de ne pas en parler et de laisser les autorités faire leur travail en termes de laïcité et d'ordre public. Car l'objectif premier des femmes qui ont forcé l'entrée d'une piscine de Grenoble, couvertes de la tête aux pieds, et surtout de ceux qui les soutiennent, consiste justement à provoquer une réaction indignée qui pourra être utilisée à des fins de victimisation. Sur de telles affaires, le silence est bien souvent d'or.
Lisnard : "Non au recul de la République face à l'islamisme"
Toutefois, l'affaire se complique quand la secrétaire d'État à l'Égalité entre les femmes et les hommes met deux jours à réagir. Qui mieux qu'elle peut dire sans ambiguïté ce qui se cache derrière un tel happening  ? Elle se décide donc, avec retard, à s'exprimer dans les colonnes du Dauphiné libéré, le quotidien régional qui couvre la région grenobloise. Elle déplore « une forme de demande, de revendication communautaire. (avec) un message politique derrière ». Mais elle assortit cette condamnation d'un « en même temps » très facultatif : « Bien évidemment, inversement, cette crispation du débat ne doit pas mener à des discriminations et les femmes, quels que soient leurs religions ou leurs modes de vie, doivent pouvoir accéder aux piscines municipales ». Alors  ? Comment fait-on  ? Ce balancement circonspect annonce-t-il que le gouvernement s'en tiendra à un lâche statu quo  ?

Casuistique déplacée

L'heure n'est pourtant plus aux atermoiements. Cette opération n'est pas la première du genre et son objectif est clair : nuire à la mixité républicaine qui prévaut dans tous les compartiments du service public. Certes, tout est fait pour embrouiller les esprits. L'association qui a soutenu l'opération piscine à Grenoble le week-end dernier s'appelle Alliance citoyenne. On a du mal à discerner ce qu'il peut y avoir de citoyen dans un comportement à la fois illégal, diviseur et profondément communautariste. Elle prétend promouvoir un acte de « désobéissance civile ». Mais enfin, le mobile premier de cette opération grenobloise n'a rien de civil et tout de religieux.
Plus grave encore, des contradictions choquantes émanent d'institutions gouvernementales. Marlène Schiappa a trouvé bien plus ambigu qu'elle. Le bien mal nommé Observatoire de la laïcité vient de publier un guide sur « la gestion du fait religieux dans le sport ». Page 39, le port du burkini est évoqué comme relevant de la « liberté de conscience (…) d'usagers du service public vis-à-vis desquels il n'existe pas de législation restrictive quant au port d'une tenue qui s'apparenterait à un motif religieux ». La seule échappatoire consiste donc à invoquer des motifs sanitaires ou de sécurité (bien réels d'ailleurs), « afin de ne pas aboutir à une discrimination indirecte pour des raisons religieuses ». Une casuistique qui ne devrait plus avoir cours de nos jours...
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Sur ces faits et actes à tendance religieuse dont certains se servent pour semer le trouble ou désordre dans notre pays laïque qu'est semble-t-il : la FRANCE !

Donc si l'on ne peut pas respecter certaines règles, il faut séparer le domaine public du domaine privé drastiquement, quel qu'ils soient sans aménagements car immanquablement cela dérape : et cela se produit de plus en plus partout dans notre pays !

Exemple une piscine municipale est un domaine public si certains ne veulent pas se plier aux règles, il faut qu'ils aillent dans un domaine ou piscine privée ou quitter la république pour un pays qui applique des dogmes d'une religion quel qu'elle soit !

Mais il en va de même dans tous les domaines publics et sur le sol français !

Quand on accepte de vivre en FRANCE que ce soit les français ou autres doivent en accepter les règles surtout en matière de religions dans le domaine public, car cela les divise hélas, jusqu’à produire des désordres fomentés par certains extrémistes connus !

Cela suffit, il faut que nous dirigeants ministres et au plus haut de l'état arrêtent de palabrer et de blablater sans cesse en faisant appliquer nos lois fermement c'est tout!

Et ceux qui ne veulent pas respecter celles-ci, s'en vont ailleurs ou ils seront logiquement bien accueillis pour leurs pratiques religieuses supposons le ?!

Jdeclef 16/06/2019 12h03