dimanche 9 juin 2019

Le jour ou on a hébergé l’ayatollah Khomeini en France à Neauphle-le-Château avant la révolution iranienne et la chute du SCHAH d’Iran !


Iran : l'avertissement de Téhéran aux Européens

Pour le ministre des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif, les pays de l'Union européenne sont "mal placés pour critiquer l'Iran".

L'Iran ne veut pas recevoir de leçons de l'Europe. Dimanche 9 juin, le ministre des Affaires étrangères iranien Mohammad Javad Zarif a estimé que les pays de l'Union européenne étaient « mal placés pour critiquer l'Iran ». Lundi 10 juin, le chef de la diplomatie allemande, Heiko Maas, est attendu à Téhéran.
« Assurément, les Européens sont mal placés pour critiquer l'Iran, même sur les questions qui n'ont rien à voir avec » l'accord sur le nucléaire iranien conclu à Vienne en 2015, a déclaré Mohammad Javad Zarif à des journalistes iraniens. « Les politiques de l'Europe dans notre région, les politiques de l'Occident dans notre région n'ont eu d'autre résultat, pour la région, que de produire des dégâts », a-t-il ajouté, selon des images de l'échange diffusées par la télévision d'État iranienne.


« Trump veut mettre à genoux l'Iran »

Programme nucléaire réduit

« Certains pays comme l'Allemagne ont cessé de vendre des armes à l'Arabie saoudite (que celle-ci utilise) pour bombarder la population au Yémen, mais d'autres continuent », a encore ajouté Mohammad Javad Zarif, visant sans les nommer la France et la Grande-Bretagne, avant d'ajouter : « D'une manière générale, l'Occident a autorisé les régimes autocratiques de la région à commettre des crimes. »


L'Allemagne est, avec la Chine, la France la Grande-Bretagne et la Russie, l'un des États encore partenaires de l'Iran dans le cadre de l'accord de Vienne depuis que les États-Unis ont décidé en mai 2018 de se retirer unilatéralement de ce pacte et de réimposer une batterie de sanctions économiques contre Téhéran.
Aux termes de l'accord, la République islamique s'est engagée à ne jamais chercher à se doter de la bombe atomique et a accepté de réduire drastiquement son programme nucléaire en échange de la levée d'une partie des sanctions économiques internationales qui asphyxiaient son économie.
États-Unis-Iran : où est la menace  ?


S'affranchir de l'accord de Vienne En mai, un an après le retrait américain, Téhéran a menacé de s'affranchir progressivement de l'accord de Vienne à moins que ses partenaires, en particulier européens, ne l'aident à contourner les sanctions américaines. « Le devoir qu'ont les Européens » est de contribuer à ce que « la situation des relations économiques de l'Iran soit normalisée », a redit Mohammad Javad Zarif.
Téhéran a opposé vendredi une nouvelle fin de non-recevoir à l'idée défendue par le président français Emmanuel Macron d'un nouvel accord avec l'Iran qui viendrait élargir l'accord de Vienne en intégrant notamment des éléments qui limiteraient l'activité balistique de Téhéran ou sa politique de voisinage, que les Occidentaux jugent « déstabilisatrice ».

(Mais l’Iran à la mémoire courte !)

La France donneuse de leçon patrie des droits de l’homme a commis une erreur colossale en se mêlant de chose qui ne la regardait pas (comme d’habitude) et surtout en changeant un roi le SCHAH se prenant pour l’ex empereur PERSE DARIUS le grand, allié de l’occident qui voulait drastiquement moderniser son pays bien trop vite en monarque absolu trop rigide envers son peuple qui ne l’a pas supporté !

Contre une république islamique totalitaire gouverné par des Ayatollah religieux extrémistes qui se comporte comme dans une dictature religieuse moyenâgeuse par ses dogmes obscurantistes en avilissant le peuple qui doit obéir à la charia islamique la plus dure !

Conséquences : en plus avec ses ressources pétrolières importantes qu’il faut qu’ils vendent pour se développer et survivre, ce pays se dote de l’arme nucléaire qui déclenche un embargo sévère des USA qui ont subi de sérieux problèmes comme la prise d’otages dans leur ambassade en 1979 (libérés en 1981) qui a laissé des traces indélébiles dans leurs relations depuis cette époque et a mis indirectement au banc des pays dangereux l’Iran surtout par la menace de l’arme atomique !

Maintenant le peuple souffre de manque de liberté et de pénurie économique sérieuse à cause de cela et de son gouvernement dirigé par ces Ayatollah et leur religion d’état extrémiste et rend indirectement ce pays dangereux, car si on continue à le pousser à bout, comment ses dirigeants réagiront-ils ?!

Car le président U.S. actuel en interrompant des accords signés avec l’Iran et les européens pour cette affaire de contrôle nucléaire et économique a tiré trop sur une ficelle qui peut casser !

Jdeclef 09/06/2019 14h55

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire