lundi 30 novembre 2020

L'aboyeur de foire aboie surtout en ce moment où le gouvernement et ces dirigeants pédalent dans la semoule des problèmes nombreux !

 

Otan, service militaire… Le programme de Mélenchon pour la défense

Après avoir « proposé » sa candidature pour 2022, le chef de file dévoile une partie de ses propositions dans les colonnes de « L'Opinion ».

Il lui reste un an et demi pour développer ses idées pour la France avant la présidentielle, mais Jean-Luc Mélenchon en détaille déjà un volet ce lundi 30 novembre. Dans un entretien à L'Opinion, il évoque son « programme pour la défense nationale ».

À la première question, qui porte sur la « dissuasion nucléaire », il répond que celle-ci « reste pour la France un outil irremplaçable aussi longtemps qu'il n'y a pas d'alternatives militaires ». Il se dit aussi « favorable au Traité d'interdiction des armes nucléaires [TIAN] approuvé par l'Assemblée générale des Nations unies ». « Mais il ne peut pas être question de demander aux Français de désarmer les premiers. Il faut que ce soient ceux qui ont le plus d'armes nucléaires qui commencent, c'est-à-dire les États-Unis et la Russie », poursuit le député des Bouches-du-Rhône.

Nous n’avons rien à faire dans l’Otan !

Sur ce même sujet, le leader Insoumis évoque la Russie comme « un partenaire fiable », quand les États-Unis « ne le sont pas ». « Cessons de nous rabâcher que nous avons des valeurs en commun avec les Nord-Américains ! Ce n'est pas vrai que nous défendons les mêmes principes », tacle-t-il aussi.

Concernant l'Otan, « nous n'avons rien à y faire ! » persifle Jean-Luc Mélenchon, jugeant qu'il s'agit d'« une alliance incertaine ». « Il s'y trouve des gens qui peuvent être des adversaires ou des ennemis », poursuit-il, citant « la Turquie ». Pour autant, il assure ne pas être sur la même ligne qu'Emmanuel Macron sur ce point. « Je conteste tout à fait que le président Macron ait quelque attitude forte à l'égard de la Turquie ! Il s'est fait provoquer deux fois et il n'y a eu aucune réplique… » assène l'élu LFI.

Coignard – Face à Erdogan, tous unis sauf Mélenchon !

« Poursuivriez-vous l'augmentation du budget de la défense ? » questionne aussi L'Opinion. « Il doit correspondre à ce qui est raisonnablement nécessaire », répond le parlementaire, s'en prenant de nouveau à l'Otan, où, dit-il, « l'idée des 2 % du PIB n'a pas de sens, c'est une ligne de crédit qu'on ouvre pour les Américains ».

Je suis partisan de la conscription

Sur le plan de l'industrie de défense, « importante » en France, note le journal, Jean-Luc Mélenchon se veut « réaliste » : « La France doit être indépendante ! » Pour être capables de nous défendre par nous-mêmes, nous devons « produire nous-même les armements nécessaires ». « Quant aux ventes d'armes, elles devraient être soumises à l'autorisation du Parlement », tranche-t-il aussi.

Enfin, le chef de file des Insoumis se prononce pour le rétablissement d'une forme de service militaire, précisant n'être « pas certain que tous les Insoumis soient d'accord avec ». « Je suis partisan de la conscription et je me suis opposé au fait qu'elle soit suspendue » en 1996. « La défense populaire passive et armée reste une nécessité à mes yeux », développe-t-il, soulignant la présence « d'autres menaces et dangers », comme le « dérèglement climatique ».

Julien Dray : « Sur la laïcité, Mélenchon a pris des positions qui interpellent »

« Si nous avions plusieurs événements de ce type en même temps, il y aurait besoin d'un effort collectif. On ne peut pas se payer la réparation de la France au prix du marché. Donc, on sera obligé de demander la contribution des jeunes Français », juge le patron des députés Insoumis, qui envisage même, « dans les fonctions de police », le « très beau rôle » que « pourraient jouer les conscrits ». « Cela changerait le regard de la population sur sa police et changerait les pratiques internes de celle-ci », prédit l'aspirant président. Après avoir « proposé » sa candidature pour 2022, Jean-Luc Mélenchon est visiblement prêt à faire valoir une stature internationale pour accéder aux plus hautes fonctions.

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Gâteaux empoisonnés de cette politique politicienne de caniveau !

Car même « si les chiens hurlent la caravane passe », ce n'est pas ce vieux politicien nanti qui peut sortir la France du marasme, il ne sait que se faire plaisir, quand il voit ce gouvernement ces ministres et 1er ministre se débattre dans un marigot boueux qui s'épaissit chaque jour !

Là, est bien le problème, car dans notre classe politique dont beaucoup voudraient le pouvoir aucun ne sort du lot pour simplement donner espoir de renouveau depuis 40 ans !?

Mais voir un tel personnage vindicatif tribun d'un autre âge même proposer ces services est désespérant !

Mais on est encore dans une république libre et tout le monde peut revendiquer sa candidature à la place du roi soleil comme Louis XIV réminiscence de notre monarchie plus ancienne que nos républiques dont on n’arrive pas à se débarrasser !?

Mais attention, avec le Mitterrandisme et les trois quinquennats qui ont suivi on glisse sans s'en apercevoir vers une démocrature qui ne veut pas dire son nom avec un président qui a trop de pouvoir !

Et des extrêmes gauche/droite qui se montrent plus présentes, mais qui n'empêcheraient pas une anarchie rampante déjà là !

Car il y a même un militaire de haut rang poussé à la retraite par notre président pseudo monarque qui pourrait se présenter à la présidence de notre pays ?!

Mais tout cela ne fait que souligner une France qui va mal depuis des décennies et la situation sanitaire et économique n'a pas arrangée cela !?

Jdeclef 30/11/2020 11h34LP


L'autorité de l'état s'est délitée au fil des gouvernements et dirigeants de tous bords bien-pensants donneurs de leçons bobos nantis qui ne sont plus au fait de la vie quotidienne des Français !

 

Autorité de l'État : le week-end noir !

CHRONIQUE. Désaveu du Conseil d'État sur les messes, fronde parlementaire, manifestations qui dégénèrent… Autant de camouflets pour l'exécutif.

Sur le terrain du droit comme sur celui de la rue, le gouvernement a subi en quelques jours d'importants revers, qui mettent à l'épreuve son autorité, mais aussi la cohérence de ses décisions. Le Conseil d'État, plus haute juridiction administrative du pays, lui ordonne de suspendre la règle qui limite à trente fidèles l'accès aux offices religieux, afin de « faire cesser l'atteinte grave et manifestement illégale portée à la liberté d'exercice du culte ».

Les parlementaires, jusque dans la majorité présidentielle, ne le ménagent pas non plus. Les présidents de l'Assemblée nationale et du Sénat, soutenus par de nombreux députés et sénateurs, ont contesté la mise en place par Jean Castex d'une commission chargée de réécrire le très contesté article 24 de la loi sur la « sécurité globale ». Ils y voient, non sans raison, une atteinte aux prérogatives parlementaires. Le Premier ministre a d'ailleurs rétropédalé sans attendre. Cette instance a été vidée de sa substance avant même de se réunir, puisqu'elle est désormais chargée par le chef du gouvernement de… « nourrir sa réflexion ». Peut-être eût-il été judicieux de s'adonner à la réflexion, justement, avant de se livrer à un effet d'annonce contre-productif.

Article 24 de la loi sécurité globale : Castex veut calmer les frondeurs

Maintien de l'ordre à deux vitesses

De nombreux manifestants défilaient samedi pour protester contre le même article 24. Chacun avait encore en tête les images révoltantes de ces policiers qui ont passé à tabac un homme dont le seul tort était, semble-t-il, de ne pas porter de masque dans la rue. Mais c'est une autre forme de violence, tout aussi écœurante, qui s'est déchaînée dans plusieurs grandes villes. Des casseurs qui détruisent des voitures, des vitrines, et qui rouent de coups un policier. Avec, comme bilan, un spectacle de désolation dans certaines rues et une centaine de policiers et gendarmes blessés.

Producteur tabassé : les quatre policiers mis en examen, deux ont été écroués

Dans l'inconscient collectif du pays, il n'est pas sûr qu'une forme de sauvagerie efface l'autre. Bien au contraire, cette succession de désordres peut donner le sentiment que la maison France n'est pas tenue. Qu'il est plus facile d'interdire par décret à des citoyens pacifiques de se déplacer librement, à des restaurateurs d'ouvrir leurs portes, à des sportifs amateurs de pratiquer leur discipline, à des vacanciers d'emprunter un télésiège, que de faire régner l'ordre républicain sur la voie publique. Les casseurs cagoulés et armés de barres de fer pouvaient être certains que personne, pas même le préfet Lallement, ne leur demanderait s'ils avaient rempli convenablement leur attestation…

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Confirmé par notre président actuel E.MACRON qui n'est pas du même monde que le peuple qu'il est censé gouverner (mais pas comme un pseudo monarque sans couronne de l'ancien régime qu’il copie) qui colle à la peau de cette Veme république obsolète usée qui ne correspond plus au monde dit moderne et ce depuis petit à petit 40 ans !

Alors notre président sortit de nulle part n'est pas différent de ses prédécesseurs, il n'a fait que prendre leur héritage surtout pendant les trois derniers quinquennats passés et est dépassé par le problème qui s’accumulent y compris la crise sanitaire et économique, ce qui prouve que donner trop de pouvoir à un seul homme n’est jamais la bonne solution, on en à la preuve dans d’autres grands pays démocratiques libres !

Car l’invention de la démocratie athénienne de l’antiquité n’est plus adaptée à un monde qui va plus vite en modernisme et technicité que le cerveau humain qui réfléchit moins vite dans la tête des hommes !

Donc loin d’excuser cette violence déplorable des ces policiers, ce n’est qu’une goutte qui a fait déborder le vase de nos institutions, car cet individu tabassé n’était pas un saint faisant partie du monde des rappeurs qui déversent souvent leurs haines sur la police, ce qui n’est pas excusable bien sûr !

Mais si cela pouvait servir à notre état régalien borné de réfléchir et d’écouter les français lambda, cela éviterait des manifestations irréfléchies sur fond d’émotion peut être justifiée, mais qui donne forcement à chaque fois un boulevard aux casseurs de tous poils black bloc ou autres pour se défouler et qui eux devrait être corrigés sérieusement !

Et nous éviter un état policier qui prend forme, ce qui est préoccupant !

Jdeclef 30/11/2020 10h03CLP


dimanche 29 novembre 2020

Suivant notre fameuse loi de 1905 de séparation de l'église et de l'état !? Quand on donne la main, ils réclament le bras,ces religieux ?! Le mystique est bien un problème de plus, de ce XXI eme siècle !

 

Cérémonies à 30 personnes : le gouvernement forcé de revoir sa copie

Après un recours de l'épiscopat, le Conseil d'État enjoint au Premier ministre de prendre des mesures « strictement proportionnées » pour les lieux de culte.

C'était un point d'achoppement majeur entre le gouvernement et les responsables religieux au cours des derniers jours. Emmanuel Macron, mardi 24 novembre, puis Jean Castex, jeudi 26 novembre, avaient annoncé une jauge de 30 personnes maximum pour les cérémonies religieuses dans le cadre du confinement allégé. Des annonces qui survenaient après plusieurs manifestations catholiques organisées à travers le pays. Si un aménagement était prévu pour la seconde phase de l'allègement du confinement, la Conférence des évêques de France (CEF) avait déposé un recours devant le Conseil d'État. Celui-ci a ordonné dimanche au gouvernement de revoir dans les trois jours son décret limitant à 30 personnes le nombre de fidèles autorisés à assister aux cérémonies religieuses.

« Il est enjoint au Premier ministre de modifier, dans un délai de trois jours (…), les dispositions (du décret limitant le nombre de fidèles à 30) en prenant les mesures strictement proportionnées d'encadrement des rassemblements et réunions dans les établissements de culte », a décidé la plus haute juridiction administrative française.

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Une seule question se pose est-ce l'église ou la religion qui gère notre pays et encore plus en matière de santé publique !?

Et plus grave encore pour d'autres religions qui voudraient imposer leurs dogmes obscurantistes dans notre pays, ils vont avoir bon dos de dire que l'on fasse des dérogations à celle-ci et pas à d'autres !

Ces vieux sages poussifs du conseil d’état devraient vraiment prendre leur retraite définitivement car ce sont « des empêcheurs de tourner en rond » dont on en a déjà trop en France !

Et plus simplement rappelons que depuis le début de la pandémie plusieurs cluster importants ont eu lieu suite à des rassemblements religieux !

Je ne suis pas anti clérical, mais signalant simplement le bon sens que l’on n’oublie souvent !

Jdeclef 29/11/2020 11h57


Cette manifestation habituelle de beaucoup de français qui ne réfléchissent pas :

 

Sécurité globale : 133 000 manifestants selon l'Intérieur, 500 000 selon les organisateurs

VIDÉO. Plusieurs rassemblements se sont déroulés en France contre un texte jugé attentatoire à « la liberté d'expression », après une semaine agitée.

Ce samedi 28 novembre, 133 000 manifestants se sont rassemblés en France pour montrer leur opposition au texte de loi sécurité globale et à sa mesure phare, qui prévoit de restreindre la possibilité de filmer les forces de l'ordre, mais aussi contre les violences policières et le racisme. « Floutage de gueule », « Qui nous protégera des féroces de l'ordre ? » : les manifestants ont sorti les pancartes et fait fleurir les slogans. Ces chiffres sont ceux du ministère. Selon les organisateurs, ils étaient plus de 500 000.

À Paris, la « marche des libertés » s'est élancée entre la place de la République et celle de la Bastille et a rassemblé 46 000 personnes, selon le ministère de l'Intérieur, 200 000 selon les organisateurs. En milieu d'après-midi, des tensions ont éclaté à l'avant du cortège parisien, près de la place de la Bastille, et se poursuivaient en fin de journée. Autour de 17 h 30, un kiosque à journaux, l'entrée d'un bâtiment de la Banque de France et une brasserie adjacente ont été incendiés, nécessitant l'intervention des pompiers. Selon un tweet de la préfecture de police, à 18 h 15, neuf personnes ont été interpellées. Un autre tweet a appelé à la dispersion.

37 policiers blessés, selon Darmanin

Des groupes de manifestants très mobiles et tout en noir ont jeté des projectiles en tout genre sur les forces de l'ordre, qui ont répliqué par des tirs de gaz lacrymogène, selon une journaliste de l'Agence France-Presse. Plusieurs manifestants blessés, dont une femme à la tête, ont été pris en charge par d'autres manifestants ou les équipes de street medics, a constaté une autre journaliste de l'Agence France-Presse. Autour de la statue de la place, des manifestants ont descellé les pavés pour les lancer sur les forces de l'ordre, qui ont multiplié les charges.

Des voitures ont été incendiées, à Paris, en marge de la manifestation.

Plus tôt dans l'après-midi, dans le 11e arrondissement parisien, non loin de la place de la Bastille, plusieurs manifestants vêtus de noir ont renversé une camionnette, utilisé des palissades et autres objets dans un chantier pour faire des barricades, jeté des projectiles sur les forces de l'ordre, selon une journaliste de l'Agence France-Presse sur place. À proximité, plusieurs éléments de mobilier urbain, des voitures étaient en feu, provoquant une odeur âcre. 

Producteur tabassé à Paris : des violences mais aussi un faux rapport

Gérald Darmanin a condamné, samedi en fin de journée, « une nouvelle fois les violences inacceptables contre les forces de l'ordre », qui ont émaillé les manifestations à Paris et partout sur le territoire. Dans un tweet, le ministre de l'Intérieur a fait état de « 37 policiers et gendarmes blessés » au cours de ces manifestations. À Paris, le ministère a évoqué 23 policiers blessés.

Quelques heurts à Rennes et à Lyon

Du côté de Bordeaux, la préfecture de Gironde a compté 6 000 manifestants. À Lille, entre 1 400 (selon la préfecture) et 4 000 personnes (selon les organisateurs) ont manifesté. À Montpellier, ils étaient entre 3 800, selon la préfecture, et 5 000 personnes, selon les organisateurs. « Plus de flics que de médecins, sens des priorités », « Démocratie floutée », pouvait-on lire sur les pancartes brandies à Montpellier. 

Pour Maud, 45 ans, qui défile à Rennes, « il y a un réel déni démocratique et on ne va pas continuer comme ça. Il y a une dérive autoritaire ». Dans la capitale de la Bretagne, des incidents ont éclaté place de la République, où des manifestants étaient encore présents en nombre en fin de parcours quand les forces de l'ordre ont fait usage de gaz lacrymogène, selon une journaliste de l'Agence France-Presse.

La préfecture du Rhône a estimé à 7 500 le nombre de manifestants dans les rues de Lyon. Peu avant d'arriver au pont de la Guillotière, de premiers incidents ont entraîné le tir de grenades lacrymogènes par les policiers. Des manifestants et un policier ont été blessés par des jets de projectiles lors de débordements, a constaté un journaliste de l'Agence France-Presse.

Article 24 de la loi sécurité globale : Castex veut calmer les frondeurs

Idem du côté de Strasbourg, où quelques tensions sont survenues au moment de la dispersion. Le cortège comptait 1 500 manifestants selon la préfecture et près de 3 000 selon les médias locaux et l'Agence France-Presse.

Des « images qui nous font honte »

Depuis la première mobilisation, la controverse autour de la proposition de loi sécurité globale, vivement dénoncée par les journalistes et les défenseurs des libertés publiques, s'est encore renforcée. L'évacuation brutale d'un camp de migrants à Paris lundi soir et la révélation jeudi du passage à tabac d'un producteur de musique noir par quatre policiers ont suscité l'indignation et électrisé le débat. Des scènes filmées et visionnées des millions de fois sur les réseaux sociaux.

Dans ce contexte tendu, Emmanuel Macron est descendu vendredi dans l'arène pour dénoncer l'« agression inacceptable » du producteur Michel Zecler et des « images qui nous font honte ». Il a demandé de nouveau au gouvernement de lui faire rapidement des propositions « pour lutter plus efficacement contre toutes les discriminations ».

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Sous le coup de l'émotion à cause de ce déplorable tabassage de ce pauvre type par des policiers douteux pour ne pas dire autre chose qui ne savaient pas qu'il y avait des caméras pour les filmer et surtout avec toujours des quidams en plus qui filment des selfies à tout va à l'affut de tels incidents sont difficile à croire !?

Avec en plus cet article 24 de loi débattue à l'assemblée nationale, semble bien à propos bizarrement !

Car pour déclencher une telle manifestation avec en tête l'extrême gauche « mélenchoniste » avec des heurts et voyoucratie de casseurs habituels cagoulés qui ont pu s'en donner à leur aise, car la police était retenue dans la mesure du possible, pour ne pas en rajouter !

Sans compter un cluster gigantesque pour faciliter un bouillon de culture pour la Covid 19 !?

La population indisciplinée est irresponsable et stupide, car si pour chaque loi qu’ils jugent liberticides, ou leur déplait, ils descendent dans la rue avec le lot de violence qui va avec, on glisse vers une anarchie galopante et on n’oublie qu’il y a encore un parlement, ou les députés qui y siègent sont élus par le peuple français !

Nous entrons petit à petit dans une société du chacun pour soi ou certains veulent faire leurs lois dans tous les domaines et nous glissons au mieux vers une démocrature qui ne veut pas dire son nom comme dans d’autres grands pays, mais qui mettra en avant la lutte pour l’insécurité grandissante réclamée par de nombreux français qui feraient mieux de voter correctement aux élections nationales présidentielles et législatives en demandant le changement de notre constitution obsolète de cette Veme république usée !

Jdeclef 29/11/2020 09h42

samedi 28 novembre 2020

Par ces incidents déplorables de certains policiers irresponsables J.L.MELENCHON fait feu de tout bois contre l'état républicain !

 

Jean-Luc Mélenchon appelle à une « refonte » de la police

Le député des Bouches-du-Rhône a aussi réclamé une nouvelle fois la démission du préfet de police de Paris, Didier Lallement, ce samedi.

Pour Jean-Luc Mélenchon, le chef de file de La France insoumise, l'institution policière doit être entièrement revue. « Il est temps de procéder à une reprise en main générale de la police et, pour être encore plus clair, à une refonte de la police », a-t-il déclaré à quelques journalistes, avant le départ du défilé parisien contre la proposition de loi sur la sécurité globale, samedi 28 novembre.

« Beaucoup de monde s'est rendu compte que quelque chose a pourri à l'intérieur de la police du fait du sentiment qui a été donné à des éléments violents, stupidement recrutés dans la police, qu'ils seraient toujours couverts », a dénoncé le député des Bouches-du-Rhône. Il a réclamé à nouveau la démission du préfet de police de Paris Didier Lallement, qu'il accuse d'avoir réprimé violemment des manifestations de Gilets jaunes. « Il doit aller dans un organisme (…) pacifique et tranquille, et où il n'a pas d'ordre violent à prendre », a dit Jean-Luc Mélenchon.

Aller vers la « désescalade »

Le député LFI Adrien Quatennens a estimé qu'il y avait « une forme de dérive autoritaire » et a demandé que le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin aille « vers la désescalade » en annonçant le « limogeage du préfet Lallement et le retrait de cette proposition de loi », qui est « contestée jusque dans les rangs de la majorité ». Pour sa collège Clémentine Autain, « quand on est ministre de l'Intérieur, on n'a pas à être le délégué syndical des policiers d'extrême droite », qui ont des « propos xénophobes, racistes, et des méthodes qui sont en rupture avec les règles républicaines ».

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Qui a dérapé à cause d'une bavure d'individus qui n'auraient pas dû faire partie de la police !

Ceci étant avoir ce vieux politicien d'extrême gauche qui se plait à jeter de l'huile sur le feu, n'est surement pas ce qu'il faudrait pour diriger notre pays !

Car la dérive autoritaire fait hélas aussi partie de notre démocratie dans cette Veme république hypocrite de bienpensant qui ne font rien pour améliorer la sécurité des Français lambda qui se plaignent à juste titre entre autres, d'une justice laxiste molle qui ne sanctionne pas assez des faits de délinquance violente et même criminelle, car par des libertés pas assez encadrées avec en plus un code pénal inadapté !

Donc ce n'est pas ce trublion tribun aboyeur de foire de Mélenchon à donner des leçons, car ce serait peut-être pire !

Alors bien sûr, cela déclenche des manifestations importantes de mécontents, mais le ministre de l'Intérieur et le président on réagit logiquement en dénonçant et sanctionnant sévèrement ces policiers en justice et administrativement par révocation de ceux-ci !?

Pour autant, cela ne doit pas retomber sur la police ou gendarmerie exclusivement, car quand on voit le niveau de délinquance et insécurité qui augmente, la justice a aussi sa part !

Et si on muselle ou retient trop les forces de l'ordre, on aura encore des manifestations de citoyens pour réclamer plus de protection !

Ce qu'il faut faire, c'est supprimer « les brebis galeuses » chez ces fonctionnaires en leur montrant leur devoir et obligation envers les Français plus rigoureusement, car leur IGPN ne semble pas assez impartiale et neutre !

C'est d'ailleurs pareil pour l'inspection de l'éducation nationale, autre ministère ayant des lacunes de même ordre avec une certaine délinquance qui pénètre dans nos écoles ou les professeurs ne peuvent se faire respecter, ce qui montre encore un laxisme de l'état régalien qui les défend mal !

Jdeclef 28/11/2020 16h56


Il est préférable de faire plus confiance aux anciens de plus en plus nombreux en France !

 

Sébastien Le Fol – Noël : « papy et mamy » font de la résistance !

ÉDITO. L'injonction faite aux séniors de réveillonner seuls dans la cuisine laisse entendre que le pic de l'abêtissement général est sur le point d'être atteint.

Cette pandémie aura désinhibé nombre de responsables politiques ou sanitaires. Témoin Rémi Salomon (à ne pas confondre avec Jérôme), président de la commission médicale d'établissement de l'AP-HP (Assistance publique-Hôpitaux de Paris). Sur l'antenne de France Info, ce professeur de médecine a prononcé une phrase assurée de rester dans les annales de l'infantilisation : « On peut aller chez papi et mamie à Noël, mais on ne mange pas avec eux. On coupe la bûche en deux, papi et mamie mangent dans la cuisine, et nous dans la salle à manger. Il faut limiter les contacts parce que, si je leur transmets le virus, c'est pire que tout, comment je vais vivre ça après, parce que papi et mamie ont un risque sérieux de se retrouver en réanimation et éventuellement d'en mourir, donc il faut avoir ça en tête. » Nous avons peut-être franchi un pic de l'épidémie, mais celui de l'abêtissement national n'est pas loin de l'être.

Rémi Salomon s'est excusé ensuite d'avoir tenu de tels propos, mais il a révélé l'hubris qui a gagné une partie de la « médicocratie » française : ils s'immiscent désormais sans scrupule dans la vie privée des Français, leur dictant leur comportement à la virgule près. Il ne faudrait pas beaucoup pousser ces bureaucrates fous pour qu'ils imposent une attestation de déplacement à l'intérieur même du domicile, pour passer d'une pièce à l'autre, se mettre à table ou se brosser les dents dans le respect de la distanciation sociale.

Le domicile privé, objet de toutes les convoitises

Le domicile privé est l'objet de toutes les convoitises de ces Knock 2.0, de nos Dupond et Dupont en blouse blanche. C'est le nouvel horizon de leur hygiénisme, la muraille de Chine qu'ils veulent abattre. « Si nécessaire, en cas de nuisances sonores par exemple, la police sonnera aux portes à Noël », a déclaré la ministre de l'Intérieur belge. Pourquoi juste sonner ? La défense de la vie et la protection de la santé n'exigeraient-elles pas que les policiers entrent et procèdent à l'arrestation de toute « mamie » ou de tout « papi » surpris à déguster la dinde de Noël à la table du salon, en famille, et non dans la cuisine ? L'ouverture des cadeaux dans les chaumières ne mériterait-elle pas une surveillance aussi vigilante que la fermeture des restaurants ?

Infantilisés, les Français se sentent inutiles

Lors de sa dernière allocution, Emmanuel Macron a souhaité que soient déterminées « les conditions pour s'assurer de l'isolement des personnes contaminées, y compris de manière plus contraignante ». Contraindre et punir : l'État français ne sait pas agir autrement. Qui s'assurera que l'isolement est bien respecté ? Un policier se tiendra-t-il devant chaque logement occupé par une personne malade ? Signalera-t-on ces logements d'une croix sur la porte d'entrée afin d'éviter aux éboueurs, pompiers et autres facteurs récoltant leurs étrennes d'être exposés au virus ?

La volonté de régenter la vie privée des Français commence à être un peu trop voyante. Les jeunes sont incités à patienter sur le canapé et les vieux sommés de rester dans la cuisine. Une forme de séparatisme est à l'œuvre, d'inspiration sanitaire celui-là. La protection légitime de nos anciens justifiait jusqu'à présent toutes les mesures restrictives. Dès lors qu'on leur explique qu'ils n'auront pas leur place à la table familiale, les bornes de l'acceptable sont dépassées.

« Papy et mamie t'emmerdent ! », a lancé sur Twitter le journaliste du Figaro Magazine Jean Sévillia, grand-père, au professeur Rémi Salomon. Ce tweet a rencontré un écho considérable. Les Français n'ont pas l'intention d'envoyer leurs parents âgés à la cuisine. Ils porteront un masque si besoin qu'ils soulèveront pour gober les huîtres. Ils aspirent à la trêve des confinés. À Noël, « papy et mamy » feront de la résistance !

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Qu'à certains de nos jeunes écervelés, indisciplinés adultes de 16 ans voire jusqu'à 50 ans qui remplissent les articles de nos médias, chaque jour à la rubrique des faits divers !

D'ailleurs à titre d'exemple ils ne sont plus capables pour certains de conserver des familles unies et se séparent rapidement, malgré qu'ayant eu des enfants, car incapables de construire du durable dans notre société donneuse de leçons, qu'elle ne respecte plus !

Car ceux que nos « élites » ciblent et qui eux nous gouvernent ont tout juste 30/40 ans n'ont pas vécu ce que les plus anciens ont connus avec leur expérience de la vie, ils ne l'ont pas acquise et ont encore beaucoup à apprendre !

Alors SVP qu'on laisse les « vieux » en paix, car ils peuvent encore servir !

Et surtout ces donneurs de leçons bienpensant de tous poils, conseilleurs qui ne sont pas les payeurs, et que par cette fausse compassion hypocrite pour les personnes âgées : devraient savoir que tout flatteur vit aux dépens de celui qui les écoute !?

Car pour le Covid 19 et cet alibi de causalité plus fréquente chez les personnes âgées de plus de 65 ans, c’est une raison bien facile pour se débarrasser de ces vieux qui coûtent si cher, c'est surtout une forme de lâcheté dans notre pays qui veut faire de la morale au monde et devrait déjà se regarder en face et non pas le nombril, comme nos dirigeants font et qui nous gouvernent si mal !

Jdeclef 28/11/2020 11h41


vendredi 27 novembre 2020

Le 1er ministre CASTEX est comme un bouchon balloté sur une mer démontée!?

 


Jean Castex, sergent de ville

CHRONIQUE. Le Premier ministre s'apparente chaque jour un peu plus à cette figure surannée, qui entend faire régner l'ordre mais ajoute au désordre !

Le « sergent de ville » est un personnage secondaire mais incontournable dans les œuvres littéraires du XIXe siècle, de Flaubert à Hugo. Il représente l'autorité à laquelle l'homme de la rue doit se plier dans sa vie quotidienne, mais qui est moquée.

Jean Castex se rapproche bien malgré lui, sûrement, de cette incarnation. Ce jeudi, il devait préciser les modalités d'application des règles fixées deux jours auparavant par Emmanuel Macron dans son allocution. Pendant près d'un quart d'heure, il commence par paraphraser le président sans apporter une information de plus. Il y ajoute seulement cette touche qui lui est propre, la menace de punition si l'on n'est pas sage : « Nous ne pourrons franchir chacune de ces étapes [d'allègement du confinement] que si la dynamique se poursuit. » Ou encore : « En cas de relâchement, la situation devrait se dégrader rapidement. » A-t-on besoin d'un Premier ministre, entouré de trois autres membres du gouvernement, pour énoncer de telles perles de comptoir ?

« L'air pur de nos belles montagnes »

Puis il entre – enfin ! – dans le détail. Et là, c'est un festival. Il rappelle que c'est une bonne idée d'aérer les locaux. Cela n'arrache plus un sourire, même ironique, à personne. Il monte en gamme au moment d'évoquer la fermeture prolongée des bars et des restaurants. « Une décision extrêmement difficile à prendre. » Certainement. Mais moins douloureuse à prendre qu'à subir, y a-t-il songé ? Peut-être, puisqu'il ose une annonce que l'on pourrait prendre pour un canular, si la situation n'était pas aussi grave : faire de 2021 « l'année de la gastronomie française ». Avec une inauguration, début janvier, rideaux fermés et portes closes, c'est original. Que les cafetiers et les restaurateurs se réjouissent : une « personnalité qualifiée » sera bientôt nommée « pour préparer ce grand chantier ». Une « personnalité qualifiée » de plus, voilà un cadeau de Noël auquel seul un technocrate endurci pouvait songer !

Avec le chef du gouvernement, l'imagination est au pouvoir. Il invente donc ensuite les séjours aux sports d'hiver, en hiver, certes, mais sans sport : « Bien entendu, il sera loisible à chacun de se rendre dans ces stations pour profiter de l'air pur de nos belles montagnes […]. Simplement, toutes les remontées mécaniques et les équipements collectifs seront fermés au public. » Toutes les explications du monde, y compris l'impossibilité administrative de fermer l'accès aux stations, ne parviendront pas à atténuer l'incohérence, pour ne pas dire le ridicule, d'une telle assertion.

Ski à Noël : Merkel demande la fermeture, Macron hésite

Emmanuel Macron avait tenté, mardi, de rompre avec la posture d'infantilisation et de pusillanimité administrative qui est, souvent à juste titre, reprochée à l'exécutif. Jean Castex a consciencieusement réduit cet effort à néant, en rajoutant une couche de surréalisme bureaucratique à un édifice déjà impressionnant.

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Ces explications de texte qui suivent les déclarations et discours du président ne permettent pas de rendre l'eau boueuse plus claire ?!

Car il est perdu et ne sait pas comment quoi faire, car il est impossible de plaire à tout le monde pour les Français si différents dans notre société par les situations de chacun professionnel, privé travailleurs salariés chômeurs retraités jeunes âgés, etc...

La liste est longue !

Être 1er ministre sur un siège en plus éjectable n'est pas facile et encore plus dans des situations exceptionnelles, comme cette crise sanitaire et économique et des Français pas toujours malléables, voire indisciplinés !?

Car le président décide les grandes lignes qu'il désire voire appliquer en pseudo monarque sans couronne et son 1er ministre doit les mettre en musique et les faire exécuter !

Ceci pour dire que les Français devront subir, même si cela ne leur plait pas, on n'appelle çà de la démocratie, mais dirigé par ceux que l'on a élu et notamment notre président mais pas la liberté totale bien sûr, car il faut obéir ou être sanctionné, certains ont tendance à l'oublier et dans ces périodes tendues et anormales, ce n'est pas la meilleure chose à faire pour ne pas basculer dans une anarchie périlleuse !

Ce qui confirme que quand on vote pour élire nos dirigeants, il faut prendre son temps pour réfléchir !

Mais ça, on le fait rarement, car étant influencé par des politiciens médiocres mais chevronnés et des médias qui troublent les opinions des plus faibles !

Et cette situation de crise sanitaire et économique exceptionnelle, met en lumière les incompétences de ceux qui sont censés nous diriger et nous protéger !

Jdeclef 27/11/2020 13h05

La mauvaise foi de D.TRUMP n'est pas une nouveauté et donc cela se confirme : « Qui se sent morveux se mouche » !

 

Donald Trump promet de quitter le pouvoir si la victoire de Joe Biden est confirmée

Le président américain a malgré tout répété, jeudi, qu'il pourrait ne pas reconnaître sa propre défaite à l'élection présidentielle.

DONALD TRUMP semble se résoudre à quitter le pouvoir. Le président américain a en effet assuré, jeudi 26 novembre 2020, qu'il quitterait « bien sûr » la Maison-Blanche si la victoire de Joe Biden à l'élection présidentielle était officiellement confirmée, tout en répétant qu'il pourrait ne pas reconnaître sa propre défaite.

Interrogé sur le fait de savoir s'il quitterait la Maison-Blanche en cas de vote du collège des grands électeurs confirmant la victoire du démocrate, le républicain a promis : « Bien sûr que je le ferai. Et vous le savez. » Mais « s'ils le font, ils feraient une erreur », ajoutant : « Ce sera quelque chose de très dur à accepter », a-t-il ajouté.

« Pays du tiers-monde  »

C'est la première fois que Donald Trump répondait à des questions de journalistes depuis l'élection du 3 novembre. Depuis cette date, il a martelé que l'élection avait été truquée, et a multiplié les procédures judiciaires dans plusieurs États, toutes rejetées. Lors de son point presse de jeudi, jour férié de Thanksgiving, Donald Trump a estimé que l'infrastructure électorale des États-Unis était «  comme celle d'un pays du tiers-monde  ».

Il a par ailleurs annoncé qu'il se rendrait le 5 décembre en Géorgie, où l'élection de deux sénateurs en janvier déterminera la majorité à la Chambre haute. Joe Biden, ancien vice-président de Barack Obama, a remporté 306 grands électeurs contre 232 à Donald Trump. Il a construit sa victoire en arrachant plusieurs vieux bastions démocrates conquis en 2016 par Donald Trump, comme la Pennsylvanie, le Michigan et le Wisconsin.

Début de la transition

Déjà lundi dernier, Donald Trump avait été contraint de donner son feu vert au lancement du processus de transition entre son administration et celle du président élu. Joe Biden a désormais accès aux dossiers, à des financements et reçoit les briefings des services de renseignements américains. Le démocrate a également accès aux informations concernant la pandémie de Covid-19 et l'état d'avancement des différents projets de vaccins. La gestion très critiquée de la crise sanitaire, dans les derniers mois d'une présidence tumultueuse, a joué un rôle-clé dans la défaite électorale de Donald Trump. La pandémie a fait plus de 260 000 morts aux États-Unis, le bilan le plus lourd au monde.

Sans attendre, Joe Biden, 78 ans, a aussi commencé à préparer son arrivée à la Maison-Blanche, en annonçant les premières nominations de son futur gouvernement. Plusieurs personnalités ayant servi sous Barack Obama en feront partie, comme Antony Blinken, futur chef de la diplomatie. L'ancien secrétaire d'État John Kerry, 76 ans, fera lui aussi son retour à Washington en tant qu'émissaire spécial du président sur le climat, signe de l'importance qu'accorde Joe Biden à ce dossier. Le président élu doit annoncer la semaine prochaine qui fera partie de son équipe économique. Janet Yellen, l'ancienne présidente de la Réserve fédérale, la banque centrale américaine, devrait être nommée secrétaire au Trésor.

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Ce n'est pas à l'honneur des Américains d'avoir eu un président comme ce personnage!

Mais ils ont réussi à s'en débarrasser, toutefois, ils devraient revoir leur système électoral, s'ils veulent que leur vieille démocratie ne se dégrade trop, cet épisode devrait leur servir de leçon !

Ils ont le droit de se tromper, car en France pays des donneurs de leçon bienpensant de tous bords depuis des décennies, on n'arrive toujours pas à s'accorder pour élire le bon président pour diriger notre pays et gouverner notre société française qu'on dit ingouvernable par ses citoyens frondeurs et versatiles depuis notre révolution de 1789!

Mais les démocraties modernes ont de plus en plus de mal à survivre, dans les pays libres !

Jdeclef 27/11/2020 12h07


jeudi 26 novembre 2020

Ils sont mineurs ces petits mignons tout est dit ...(avec notre justice... et suite...)

 

Assassinat de Samuel Paty : quatre nouveaux mineurs mis en examen

Mercredi, quatre collégiens ont été mis en examen, dont trois pour « complicité d'assassinat terroriste », dans le cadre de l'enquête sur la mort de l'enseignant.

Nouveau rebondissement dans l'enquête sur l'assassinat de Samuel Paty, à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines). Jeudi 26 novembre, une source judiciaire a fait savoir à l'Agence France-Presse que quatre nouveaux collégiens avaient été mis en examen, la veille. Trois d'entre eux, âgés de 13 et 14 ans, le sont pour « complicité d'assassinat terroriste ». Le quatrième mineur est mis en examen pour « dénonciation calomnieuse » : il s'agit de la fille de Brahim Chnina, le parent d'élève qui est à l'origine de la campagne contre Samuel Paty et qui a lui-même été poursuivi en justice et écroué.

Les trois mineurs mis en examen pour « complicité d'assassinat terroriste » sont soupçonnés d'avoir désigné la victime à l'assaillant Abdoullah Anzorov devant leur collège de Conflans-Sainte-Honorine, a précisé cette source. Les quatre adolescents ont été placés en garde à vue lundi ou mardi à la demande des juges d'instruction antiterroristes du tribunal de Paris chargés de l'enquête. Tous ont été remis en liberté sous contrôle judiciaire à l'issue de leur présentation aux magistrats instructeurs, a ajouté la source judiciaire.

Au total, 14 personnes sont poursuivies dans le cadre de l'enquête

Ce nouveau coup de filet porte à 14 le nombre de personnes poursuivies dans cette affaire. Deux premiers collégiens de 14 et 15 ans avaient été mis en examen pour « complicité d'assassinat terroriste » le 21 octobre, accusés d'avoir désigné l'enseignant à l'assaillant contre « 300 à 350 euros », avait indiqué le procureur antiterroriste Jean-François Ricard. Brahim Chnina, le parent d'élève à l'origine de la campagne de dénigrement du professeur, et le militant islamiste qui l'avait soutenu, Abdelhakim Sefrioui, sont également poursuivis pour « complicité ». Les deux hommes avaient accusé le professeur de « discrimination » envers les élèves musulmans sur la foi du récit de la fille de Brahim Chnina, élève de Samuel Paty.

EXCLUSIF. L'« erreur » de Samuel Paty, selon l'inspection académique !?

Cette dernière n'avait toutefois pas assisté au cours où le professeur avait montré des caricatures du prophète de l'islam, le 6 octobre. Mais elle était présente la veille lorsque Samuel Paty avait prévenu ses élèves de la teneur du cours du lendemain, et l'avait accusé d'avoir alors demandé aux collégiens musulmans de se signaler. Le père et la fille étaient allés porter plainte au commissariat contre Samuel Paty le 7 octobre.

Assassinat de Samuel Paty : la lettre ouverte de l'avocat de Sefrioui à Macron

Samuel Paty, enseignant de 47 ans, a été décapité le 16 octobre à la sortie du collègue du Bois d'Aulnes à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines) par Abdoullakh Anzorov, un réfugié russe tchétchène de 18 ans, pour avoir montré des caricatures de Mahomet lors de deux cours début octobre sur la liberté d'expression. Abdoullakh Anzorov, radicalisé depuis plusieurs mois selon sa famille mais inconnu des services de renseignement, avait été abattu par les policiers qu'il attaquait après son crime.

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Mais donc, ils doivent avoir des parents ou responsables de leur éducation semble-t-il?!

Et au vu des événements dramatiques qu'a subi ce professeur que dans cet établissement scolaire soi-disant calme, il y avait des éléments douteux dans ses rangs?!

Ou dans son environnement immédiat, car déjà 14 individus semblant impliqués ou poursuivis dans ce fait criminel barbare même indirectement, ça fait beaucoup et surtout trop et montre un sacré problème dans ce collège et ceux qui le fréquente !?

Et cela implique la direction du collège, ces enseignants et notamment l'inspection d'académie et le ministère de l'Éducation nationale qui dit souvent qu'il ne faut pas faire de vague !?

Sauf que là, la vague est devenue tsunami et que le fait d'avoir décoré des palmes académiques et de la légion d'honneur et honoré à la Sorbonne temple de l'enseignement en France cet enseignant après l'avoir assassiné avec une barbarie sans nom, est loin de suffire!

Car hélas en France on a un grand défaut on n'oublie trop vite ces drames et on passe à autre chose, alors que l'on subit depuis des décennies des horreurs à cause de fanatiques qui ne respectent rien et surtout pas la vie humaine, tout en ayant l'impudence de se recommander de religions obscurantistes moyenâgeuses et en plus faisant du prosélytisme pour essayer de les implanter dans notre pays !?

C'est totalement inconcevable que nos dirigeants bien-pensants de tous de tous bords n'aient pas le courage d'y mettre bon ordre pour simplement la sécurité des Français lambda !?

Jdeclef 26/11/2020 16h15


En fait il est comme son ex compagne S.ROYAL, on comprend mieux pourquoi ils ont vécu ensemble, sauf qu’ils n’arrivent pas à prendre leur retraite !

 

François Hollande propose « Socialistes » pour rebaptiser le PS (il ne se force pas!?)

La veille, le premier secrétaire du PS, Olivier Faure, a indiqué que le parti pourrait « pourquoi pas », changer de nom tout en continuant son histoire.

F.HOLLANDE a suggéré au PS, qui songe à changer de nom, de prendre celui de « Socialistes », mercredi 25 novembre auprès de l'Agence France-Presse, en marge d'un déplacement dans un collège et un lycée de Courbevoie (Hauts-de-Seine), où il est venu parler aux élèves de laïcité. Comment pourrait s'appeler le PS ? « Socialistes », a lancé l'ex-président de la République.

La veille, lors d'un conseil national du PS, son premier secrétaire Olivier Faure avait indiqué que son parti pourrait, « pourquoi pas », changer de nom. « Réinventons le mouvement socialiste pour en continuer l'histoire », avait-il dit. « Notre feuille de route doit être celle d'un big bang. »

Olivier Faure : « C'est à nous de montrer le chemin »

Michel Sapin, proche de François Hollande, sous la présidence duquel il a géré plusieurs portefeuilles de ministre, a lui aussi affirmé mercredi qu'il n'était « pas attaché à un nom », mais à « l'affirmation » des socialistes.

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Des personnages qui ont marqué cette V eme république par leurs incompétences et inutilités d'énarque étant de la même promotion qui s'écoutent parler et qui se verraient bien revenir aux affaires comme on dit en politique !

Et qui n'ont pas compris leurs défaites et le rejet des Français qu'ils prennent pour des niais, si facile à manœuvrer, tant ils sont versatiles, car ils les connaissent bien !

On comprend mieux pourquoi la France va si mal depuis plus de trente ans !

Car les électeurs font tourner le manège depuis si longtemps avec les mêmes, car les quinquennats n'ont rien changé ou même ces primaires fumeuses, fiasco retentissant pour finir par prendre un nouveau président sorti de nulle part, mais fait dans le même moule !

C’est-à-dire se prenant pour un pseudo monarque sans couronne comme les autres !

Mais les électeurs français sont en fait des conservateurs incurables spécialistes du chacun pour soi, on le voit bien avec la crise sanitaire et la lutte contre ce Covid 19 qui montre bien la division de nos concitoyens insatisfaits, car selon eux pas traités équitablement selon des catégories définies par des critères décidés par nos dirigeants président et 1er ministre !

Jdeclef 26/11/2020 12h32


Quand on donne des outils performants faciles d'utilisations pour les hommes ils s’en servent !

 

Sommes-nous les esclaves d'Amazon, Facebook et Google ?

ENQUÊTE. Les géants de la tech règnent sur nos vies en imposant parfois leurs lois. Sont-ils devenus trop puissants ? Faut-il les démanteler ?

Jamis MacNiven se fait rare en ce moment au Buck's of Woodside , son restaurant, un des lieux mythiques de la Silicon Valley, situé à quelques encablures du domicile de Joan Baez. Ce grand gaillard, qui, lorsqu'il avait 29 ans, passait ses journées à retaper la maison de Steve Jobs, a moins la pêche. Pas uniquement parce que le Covid a limité le service sur une terrasse ombragée qui jouxte son établissement. Mais parce que, vingt ans après avoir accueilli derrière son bar Reid Hoffman, le créateur de LinkedIn, ou encore Jerry Yang le fondateur de Yahoo!, il ne retrouve plus chez ses convives, venus déguster un avocado burger ou encore un killer calamari face au tableau d'une Joconde affublée d'un chapeau de cow-boy jaune, la même effervescence créatrice. Il est loin le temps où les précurseurs de la Silicon Valley venaient lui demander conseil. « Dire que je n'ai acheté aucune action Google, soupire Jamis MacNiven. Je manque vraiment de pif. Quand Larry Page s'est pointé ici, en 1997, je lui ai dit que face à Altavista il n'avait aucune chance… »

Aujourd'hui, les sociétés qu'il a vu naître sont au firmament, mais elles sont également la cible de toutes les critiques - et, surtout, l'objet principal de l'attention des régulateurs du monde entier, de Washington à Pékin en passant par New Delhi, ou encore Bruxelles (voir l'interview deThierry Breton). Oh, pas parce qu'elles n'ont rien inventé. Non seulement elles attirent les cerveaux les plus brillants mais elles déposent des brevets à foison. On ne peut pas leur reprocher, non plus, leur manque d'imagination. Le créateur de Facebook, Mark Zuckerberg, rêve de pouvoir dicter un texte à un écran par la pensée, quand Jeff Bezos, le fondateur d'Amazon, a investi pour mettre au point un lait artificiel à partir de racine de chicorée et de concentré de chou. Quant à DeepMind, l'équipe de recherche en intelligence artificielle de Google, elle vient de rendre disponible en open source le code d'un réseau neuronal simulant le comportement des électrons.

Problème, ces sociétés sont devenues puissantes. Trop puissantes. Leur position dominante sur des marchés qu'elles ont la plupart du temps défrichés grippe de plus en plus un écosystème qui n'arrive plus à vivre sans elles. Professeur à la Chicago Booth School of Business, Luigi Zingales voit dans ce pouvoir - « Google, n'est pas un roi mais un empereur », a-t-il expliqué au Wall Street Journal - une menace pour nos démocraties. Donnant raison à l'économiste libéral Frédéric Bastiat (1801-1850), qui voyait dans le monopole une plaie de l'humanité, au même titre que la guerre, l'esclavage ou la théocratie (voir encadré). Doit-on, dès lors, en revenir aux positions radicales des autorités américaines qui, dès la fin du XIXe siècle, se sont attaquées aux trusts géants ? Démantelée, la Standard Oil Company, en 1892, en 33 petites sociétés de pétrole, parmi lesquelles Chevron, Mobil, ou encore Esso (d'après les initales SO). Dépecée, l'American Tobacco en 1910. Sur ses ruines refleurira notamment la puissante Reynolds. Démembrée, l'American Telephone & Telegraph (AT & T) qui, en 1984, alignait 1 million de salariés. Sacré tableau de chasse ! Les trustbusters ont leur bible : le Sherman Act, rédigé en 1890 par le sénateur John Sherman pour s'attaquer aux concentrations - plus de 200 fusions avaient eu lieu aux États-Unis entre 1 898 et 1902 ! - soutenu par le président Theodore Roosevelt, républicain libéral et inquiet des excès du capitalisme. Doit-on en venir à une telle extrémité ?

Des géants indéboulonnables 

« La puissance de ces sociétés se mesure par le nombre de leurs utilisateurs, le montant de leur capitalisation boursière, mais aussi par leur influence sur leur marché », explique le directeur de la chaire innovation et régulation à Télécom Paris, Marc Bourreau. La raison d'une telle accélération ? « Les économies d'échelle, tout d'abord : lorsqu'on met au point un algorithme, le coût supplémentaire à chaque utilisateur est quasi nul », ajoute celui qui, fin octobre, corédigeait pour le Conseil d'analyse économique la note intitulée « Plateformes numériques : réguler avant qu'il ne soit trop tard ». À cela, il faut ajouter l'effet de réseau, c'est-à-dire la tendance qu'ont les consommateurs à s'inscrire sur des plateformes qui ont déjà attiré le plus grand nombre d'utilisateurs. « Aujourd'hui, même si vous créez le meilleur réseau social du monde, vous ne vous y inscrirez pas si vos amis n'y sont pas », explique le vice-président de l'Autorité de la concurrence, Emmanuel Combe. Les économistes s'accordent par ailleurs sur un effet de gamme : de la même manière qu'Uber, par exemple, qui, ayant une bonne idée du temps de circulation en ville, lance Uber Eats, qui achemine des plats à domicile, Google s'apprête à lancer Plex, un service qui permettra aux utilisateurs de Google Pay d'ouvrir un compte dans une banque partenaire. En réalité, les Big Tech se sont lancées dans une course en avant que rien ne semble devoir enrayer et qui remet en question la destruction créatrice chère à Schumpeter, selon laquelle un concurrent plus innovant venait remettre en question les situations établies. « La plupart des entreprises du secteur considèrent que la seule façon de survivre est de devenir grosse », assure Tim Wu, professeur de droit à Columbia et auteur de The Curse of Bigness. 

De la position dominante à l'abus, une frontière ténue 

« Ces entreprises ont de fortes positions sur les marchés, elles l'ont souvent mérité. Nous rêverions d'avoir de telles entreprises en Europe. En revanche, ce qui est condamnable, c'est d'empêcher l'arrivée de nouveaux concurrents par des moyens déloyaux », explique Jacques Crémer, chercheur à la Toulouse School of Economics. Un exemple ? « Google a été pris la main dans le sac à faire du self preferencing : lorsque vous tapiez chaussures rouges dans le moteur de recherche, il renvoyait vers son propre comparateur, Google Shopping, au détriment de concurrents comme Kelkoo », détaille l'économiste Emmanuel Combe. Autre tendance : les offres groupées. Amazon utilise sa puissance pour étendre ses services : le commerçant propose en effet aux abonnés Prime (livraison rapide et réductions de prix via un abonnement) un accès à Prime Video, qui pourrait bien faire de l'ombre à Netflix. Même scénario chez Google, incontournable dans la publicité en ligne pour les annonceurs comme pour les éditeurs de sites : « Avec leur stratégie de plateforme, les Big Tech deviennent facilement un "gatekeeper", un passage obligé pour les acteurs. Lorsque vous êtes dominant, vous devez être transparent avec les clients sur les conditions d'accès aux services de la plateforme », poursuit Emmanuel Combe. Et même quand les Big Tech se font taper sur les doigts, la relève a bien du mal à en profiter. Ainsi, en 2018, prenant en considération la position très forte du système d'exploitation Android (qui équipe plus de 7 smartphones sur 10 vendus en Europe), qui s'accompagnait de la mise en avant du moteur de recherche signé Google, la Commission européenne a condamné l'américain à faire de la place aux moteurs alternatifs comme l'américain DuckDuckGo, l'allemand Ecosia, les français Lilo et Qwant ou encore le tchèque Seznam. Une décision que Google a interprétée d'une manière très personnelle : pour avoir le privilège de figurer dans ce « choice screen », les moteurs de recherche alternatifs devaient participer tous les trois mois à des enchères - et seuls ceux qui payaient le plus cher étaient mis en avant. Cette « solution » avait certes l'avantage de remplir les caisses de Google, mais elle était particulièrement instable pour les intéressés qui ont écrit, le 28 octobre dernier, une lettre ouverte à la commissaire européenne à la Concurrence, Margrethe Vestager. Réponse en attente.

La mort du petit commerce ? 

La polémique née avec le confinement s'est traduite par le lancement d'une pétition #NoelSansAmazon signée par plusieurs personnalités publiques, parmi lesquelles la maire de Paris, Anne Hidalgo. Elles y accusent l'entreprise d'être « prédatrice d'emplois »,« prédatrice des terres », ou encore « prédatrice du commerce ». Amazon, nouveau grand méchant loup ? De son côté, la plateforme, qui revendique, en France, 9 300 emplois en CDI et la création de « 110 000 emplois supplémentaires au sein de sa chaîne d'approvisionnement », offre la possibilité à pas moins de 11 000 entrepreneurs français d'y écouler leurs produits. C'est le cas de la Papeterie Neveu par exemple, installée au Havre depuis quatre-vingts ans, qui explique avoir multiplié son chiffre d'affaires par cinq depuis qu'elle est présente sur la plateforme Amazon, de L'Artisan du cristal qui y écoule depuis Baccarat 30 % de ses ventes fait main ou encore de la Maison Victor, une boucherie de Montélimar, qui a trouvé avec Amazon une nouvelle vitrine. L'entreprise de Jeff Bezos met les petits plats dans les grands en offrant les trois premiers mois d'adhésion à la marketplace d'Amazon. Une offre que Francis Palombi, président de la Confédération des commerçants de France (CDF), encourage à décliner, pointant les commissions de 15 % que prend la plateforme. « Quand ils n'auront plus besoin de ces petites entreprises, ils les enverront paître. La chute risque d'être très brutale. » Autre risque : voir le géant de Seattle se servir des données récoltées sur la marketplace pour lancer lui-même ses produits à moindre coût ou pour les mettre en avant. La pratique fait l'objet d'une enquête pour abus de position dominante de la Commission européenne : verdict attendu en 2021. D'ici là, Amazon, qui explique ne générer au niveau mondial que 1 % du commerce de détail - mais tout de même 49,1 % des ventes en ligne aux États-Unis -, promet une formation aux petits commerçants, pour les aider à se digitaliser. Et, souvent, leur propose une gestion de leurs données à distance, le fameux cloud.

Déjà, en 1845, Bastiat… Il fut l’un des grands penseurs du libéralisme et (donc) l’un des pires ennemis du monopole. Dans Physiologie de la spoliation, Frédéric Bastiat le classe parmi les quatre grands maux, avec la guerre, l’esclavage et la théocratie. Il explique que « son caractère distinctif est de laisser subsister la grande loi sociale service pour service, mais de faire intervenir la force dans le débat, et par suite, d’altérer la juste proportion entre le service reçu et le service rendu. » Et ajoute que le monopole fait « passer la richesse d’une poche à l’autre ; mais il s’en perd beaucoup dans le trajet »…

Bientôt le monopole dans les nuages 

Car c'est bien ce service de stockage et d'analyse de données, appelé Amazon Web Services (AWS), qui est la véritable pépite de l'entreprise de Seattle. Né en 2006, AWS a affiché l'an dernier une croissance insolente de 37 %, des marges très enviables de 20 % et, surtout, s'appuie sur les données récoltées auprès de son million (!) de clients - parmi lesquels la SNCF, le géant des jeux vidéo Ubisoft ou la start-up de paiement en ligne Payfit - pour améliorer son offre en continu. Certes, Amazon n'est pas seul sur ce marché, mais, dans sa conquête, il a multiplié les baisses de prix - pas moins de 44 entre 2006 et 2014 - et propose des offres évolutives, qui s'appuient sur les 23 milliards de dollars que dépense chaque année l'entreprise en recherche et développement. « Aujourd'hui, des dizaines de milliers de clients en France s'appuient sur AWS, dont 80 % des entreprises du CAC 40 et plus de 75 % du Next 40 », nous explique Amazon. C'est aussi le cas de 80 % des entreprises du DAX allemand. Résultat, les éditeurs européens - récemment regroupés au sein du consortium Gaïa-X, ont du mal à résister. « C'est d'autant plus cruel que les solutions de cloud sur lesquelles les Big Tech s'appuient sont en grande partie nées en France, comme le gestionnaire de machine virtuelle Qemu, mis au point par le développeur Fabrice Bellard, le logiciel libre Docker, inventé à Télécom Paris, ou encore Scikit-Learn, une bibliothèque mise au point à l'Inria », regrette Jean-Paul Smets, créateur du fournisseur de cloud libre Rapid. Space, basé à Paris.

Cryptomonnaie, domaine militaire… la tentation du régalien 

Il faut se rendre dans la banlieue sud de Genève, dans un ancien port franc situé à Lancy, puis au 5 e étage d'un bâtiment dévolu au coworking pour retrouver l'équipe de trentenaires en bras de chemise qui s'active à la création de Libra. L'idée de cette cryptomonnaie concoctée actuellement par Facebook ? Créer une monnaie qui ne soit pas volatile, dégagée du pouvoir des banques centrales et utilisable facilement sur les plateformes WhatsApp (1,5 milliard d'utilisateurs), Messenger (1,3 milliard) et Instagram (1 milliard) de Facebook. Facebook se met ici sur le terrain d'un pouvoir régalien, ce qui fait bondir nos autorités. « Nous ne souhaitons pas qu'une entreprise comme Amazon ou Facebook développe des monnaies digitales qui puissent faire concurrence à des monnaies souveraines. Libra ne doit pas faire concurrence à l'euro ou au dollar », explique au Point le ministre de l'Économie, Bruno Le Maire. Les géants de la tech avancent ausi sur le terrain militaire. Même si Amazon a perdu le gigacontrat Jedi de cloud computing militaire (de l'ordre de 10 milliards de dollars) face à Microsoft Azure, il est bien le maître d'œuvre de C2 E, le cloud de la CIA. Cela pose parfois des problèmes en interne chez les Big Tech : en 2018, Google a subi une vague de démissions d'employés refusant de travailler pour le « project Maven », un système de cartographie destiné à guider les drones autonomes du Pentagone. Depuis, il a gagné un contrat de cybersécurité pour le Pentagone.

Impôts : attrape-moi si tu peux ! 

Les Big Tech ont eu maille à partir avec le fisc français ces dernières années. Google a dû s'acquitter de 965 millions d'euros, Apple de plus de 576 millions. Facebook a été le dernier à conclure un accord. Le réseau social a accepté un redressement de 106 millions d'euros au titre de la période courant de 2009 à 2018 et paie davantage d'impôts annuels depuis 2019. Si l'État a remporté ces batailles face aux géants américains du numérique, la partie est pourtant loin d'être gagnée. Les Big Tech se servent toujours des différences de fiscalité entre pays européens pour réduire au maximum leur facture. Pour cela, rien de tel que de passer par l'Irlande, où l'impôt sur les sociétés plafonne à 12,5 %. La technique consiste à facturer les services vendus en Europe via une filiale installée dans ce pays ou d'autres États qui permettent ensuite d'envoyer les bénéfices réalisés vers des structures offshore. Pour ce faire, les filiales qui réalisent la véritable activité économique sont considérées comme prestataires de services d'assistance technique et de marketing pour lesquels elles sont rémunérées modestement par la société irlandaise. Un accord est actuellement toujours en négociation au sein de l'OCDE pour réformer les règles de la fiscalité internationale, malgré les réticences américaines. S'il était validé, les grandes entreprises ne seraient plus taxées selon leur présence physique dans un pays mais selon leur activité, leur chiffre d'affaires et leur profit. Surtout, elles devraient payer un impôt minimal mondial sur leurs résultats, de l'ordre de 12,5 %. Selon une évaluation du Conseil des prélèvements obligatoires, une telle réforme ferait gagner à la France 7 milliards d'euros de recettes par an auprès des multinationales. En cas d'échec, Bruno Le Maire appelle à généraliser en Europe la taxe sur les géants du numérique qu'il a fait voter en France. Elle représente 3 % du chiffre d'affaires généré dans l'Hexagone et a rapporté 350 millions d'euros en 2019. Alors qu'elle avait été suspendue en 2020, un paiement devrait finalement être exigé en décembre, a annoncé Bruno Le Maire.

Même la Chine brise les monopoles 

Ce devait être la plus grande introduction en Bourse de l'Histoire : Ant, branche financière de l'empire de Jack Ma, le fondateur du champion du e-commerce Alibaba, était supposé lever plus de 35 milliards de dollars à Hongkong et Shanghai ce 5 novembre 2020. Mais deux jours avant la date fatidique, le régulateur chinois a brutalement suspendu l'opération. Le 24 octobre, Ma avait eu l'outrecuidance de réclamer des « réformes » qui lui laisseraient les coudées franches pour partir à l'assaut du secteur bancaire traditionnel. Or jamais un milliardaire en Chine ne devrait exiger quoi que ce soit du pouvoir politique. Xi Jinping lui-même a donc ordonné la spectaculaire sanction. Il ne faut cependant pas réduire l'épisode aux crispations d'un régime autoritaire. Le Comité pour la stabilité et le développement financier, super-régulateur dirigé par Liu He, le conseiller économique du président chinois, s'est donné pour mission de faire le ménage dans le Far West de la fintech, les services financiers numériques. Avec ses applis de paiement (Alipay, 60 % des transactions mobiles en Chine) et de crédit (Zhima), Ant génère des volumes considérables et donc des risques systémiques intolérables dans un régime soucieux de stabilité. D'autant plus que la finance est au cœur de la politique de relance de l'État chinois… et de ses luttes de pouvoir, Jack Ma ayant pour sponsors des « princes rouges » proches de l'ancien président Jiang Zemin. Jamais un clan ne laissera l'autre faire émerger un tel mastodonte qui aurait la main sur le Web et la finance du pays. Le 10 novembre, Pékin a donc publié un projet de réglementation antimonopole visant spécifiquement les géants de la tech, au nom de la « concurrence non faussée » et de l'« économie de marché ». 

La main sur les tuyaux 

Faut-il y voir un clin d'œil à la Standard Oil qui, en 1875, avait la mainmise sur une bonne partie des chemins de fer américains ? En dehors des opérateurs télécoms, aux infrastructures parfois vieillissantes, Google est la première entreprise à avoir déployé ses propres câbles sous-marins intercontinentaux. Après s'être fait la main en 2018 sur une petite liaison entre Rio de Janeiro et São Paulo, au Brésil, le géant a inauguré en 2019 et 2020 deux câbles de plusieurs milliers de kilomètres chacun : l'un entre Los Angeles, en Californie, et Valparaiso, au Chili, et l'autre entre la côte Est des États-Unis et la France. Google doit mettre en service d'ici à 2022 deux autres câbles, l'un reliant la côte Est à la Grande-Bretagne et à l'Espagne et l'autre entre le Portugal et l'Afrique du Sud. Outre ces câbles « 100 % Google », le moteur de recherche a aussi investi dans 16 liaisons globales - dont il est copropriétaire. Chacune permet des transferts de données avec un débit pharaonique, l'équivalent de dizaines de millions de vidéos en 4K transmises simultanément. Côté Amazon, la carte des câbles sous-marins traduit une stratégie tournée vers l'Asie et le Pacifique, avec des investissements dans des câbles sous-marins reliant l'Amérique du Nord à la Chine et à l'Australie, mais pas à l'Europe. Par ailleurs, Jeff Bezos a dévoilé en 2020 le projet Kuiper, une constellation de 3 200 satellites qui devrait couvrir en Internet la planète entière et qui coûtera 10 milliards de dollars. Plus modeste, Facebook a mis des billes dans neuf câbles sous-marins reliant l'Amérique du Nord à l'Asie et à l'Europe. Le réseau social semble aussi poursuivre son projet satellitaire Athena, aux contours flous. Aujourd'hui, 99 % du trafic Internet mondial transite par les câbles sous-marins, des fibres optiques entourées de gaines en Nylon et en acier déposées sur le fond des océans. Ils sont l'objet de toutes les attentions, y compris de la part de sous-marins nucléaires spécialement modifiés pour y poser des mouchards…

Notre attention sous perfusion 

« Toutes les quarante secondes en moyenne, nous sommes sollicités par une nouvelle activité », explique Tristan Harris. Celui qui apparaît dans le documentaire The Social Dilemna a étudié l'informatique à Stanford, avant de rejoindre le B. J. Fogg Persuasive Lab, où il s'est spécialisé dans la psychologie du comportement. Quittant la fac avant la fin de ses études, il a lancé la start-up Apture, un glossaire du Web racheté par Google en 2011, ce qui lui a permis d'intégrer le moteur de recherche avant qu'il ne décide d'en démissionner cinq ans plus tard. Préoccupé par l'augmentation du suicide chez les adolescents, il tire la sonnette d'alarme contre la dépendance aux réseaux sociaux qui jouent sur notre stress, sur l'activation de la dopamine, et où se multiplient les fake news, qui ont abouti à une fragmentation de la société. Le trentenaire regrette le monde actuel où lorsqu'une jeune fille veut se renseigner sur un régime amincissant, elle se voit confrontée à une succession de vidéos sur YouTube où, pendant deux heures, vont défiler des filles anorexiques sans obtenir la moindre information scientifique ou médicale. « Nous devons passer d'une économie de la captation de l'attention à une économie qui régénère de l'attention », poursuit Tristan Harris, qui a créé à San Francisco le Center for Humane Technology, et qui rêve d'un modèle « où le succès n'est pas mesuré sur le taux d'attention que je réussis à avoir, mais à combien j'arrive à enrichir le lien social ». Un changement à 180 degrés ? « La technologie n'est pas mauvaise en soi. Il faut juste qu'elle soit réorientée pour être constructive. Il en va, explique-t-il, de notre santé mentale comme de celle de la démocratie. »

Des acquisitions à gogo 

Faut-il s'opposer au rachat de Fitbit, spécialiste des montres connectées, par Google ? La question divise les économistes quand on connaît le rôle décisif que peuvent jouer les acquisitions dans la croissance des Big Tech : gain de chiffre d'affaires et défrichage de nouveaux secteurs d'activité bien sûr, mais aussi recrutement de talents, sans parler du croisement des données, comme le montre la fusion de moins en moins déguisée des services de Messenger avec WhatsApp et Instagram, deux acquisitions de Facebook. Pour le Prix Nobel d'Économie Jean Tirole, il faut inverser la charge de la preuve : « Actuellement, c'est à la direction générale de la concurrence, à Bruxelles, ou au département de la justice, à Washington, de prouver qu'une fusion sera anticoncurrentielle. Quand les acquisitions arrivent très tôt dans la vie d'une entreprise, ce qui était le cas du rachat de WhatsApp ou d'Instagram par Facebook,on ne peut avoir une idée qu'après coup. Cela aurait dû être à Facebook de prouver que ces acquisitions ne le mettraient pas en position dominante. »

L'art du lobbying 

En attendant, quand ce n'est pas par le biais d'acquisitions, les Big Tech savent comment recruter des talents utiles. En 2017, le Danemark était le premier pays à se doter, en la personne du diplomate Casper Klynge, d'un ambassadeur auprès des géants de la tech… qui est devenu, trois ans plus tard, vice-président European Government Affairs de Microsoft. À Bruxelles, l'équipe de lobbying de Google est composée en très grande majorité d'anciens assistants parlementaires de l'Union européenne. Il est toujours utile de parler le même langage lorsqu'il s'agit d'influer sur des textes de lois, comme l'a montré le document interne destiné à infléchir le Digital Service Act révélé par Le Point (n° 2514).

Une passion pour notre santé 

Les citoyens britanniques ont appris avec étonnement l'an dernier que le gouvernement avait validé une autorisation d'accès pour Amazon aux informations médicales stockées sur les serveurs du National Health Service (NHS). En effet, en juillet, Matthew Hancock, ministre de la Santé, a fait part d'un accord conclu avec le géant américain pour qu'il puisse utiliser un certain nombre de données de santé des Britanniques dans le but d'aider les malades à obtenir de meilleurs conseils médicaux via Alexa. Faut-il y voir un rapport de cause à effet ? Mi-novembre, Amazon a annoncé que désormais l'achat de médicaments sur sa plateforme était possible. Ce qui a fait réagir fortement l'ancien chercheur au MIT Joël de Rosnay sur Twitter, le 18 novembre : « L'entrée d'Amazon dans le domaine de la santé illustre ce que j'ai appelé "l'uberisation" de la santé. La désintermédiation est en marche et elle n'épargnera ni les grands laboratoires, ni les pharmacies, ni même les médecins. » Jusqu'aux assureurs ? L'an dernier, Amazon a créé Haven, une société en joint-venture avec J. P. Morgan et Berkshire Hathaway, pour mettre au point un programme d'assurance-maladie. De son côté, Google a noué en 2018 un partenariat avec Ascension, un réseau gérant plus de 150 hôpitaux aux États-Unis avec lequel elle a lancé le Projet Nightingale (du nom d'une infirmière britannique du XIXe siècle, connue pour l'usage des statistiques dans le domaine médical). Le but est d'améliorer la gestion administrative des dossiers et de suggérer automatiquement des traitements médicaux grâce au machine learning.

Et maintenant ? 

Alors, que faire ? Parier sur un changement de comportement des Big Tech ? « Nous avons grandi avec l'économie du Net. Adolescent, le groupe cherchait surtout à bouger vite sans nécessairement regarder beaucoup autour de lui. Devenu adulte, il essaie aujourd'hui de se conduire comme un partenaire responsable », expliquait en 2019 Matt Brittin, responsable Europe, Moyen-Orient et Afrique de Google. Lors d'une conférence de presse en octobre, Mark Zuckerberg a tenu à insister sur le rôle joué par Facebook, surtout en temps de crise liée au Covid-19 : « Nous avons démarré avec une idée : donner aux gens le pouvoir de partager et de se connecter, et nous avons construit des services que des milliards d'individus utilisent. Je suis fier d'avoir donné une plateforme aux gens pour qu'ils puissent faire entendre leur voix et d'avoir donné aux petites entreprises l'accès à des outils auxquels seules les plus grandes entreprises avaient accès auparavant. » Et si la solution durable venait de l'émergence d'une concurrence européenne ? « En Europe, nous n'avons pas Stanford, ni le MIT, ni de marché véritablement unifié. Le capital-risque n'y est pas aussi développé qu'aux États-Unis depuis vingt ans. Au lieu de perdre du temps à jouer aux Lego industriels, les politiques feraient mieux de bâtir un marché européen des services unifiés pour qu'une entreprise innovante puisse se déployer tout de suite à l'échelle de l'Union », explique le chercheur à l'université de New York Thomas Philippon, qui recommande à l'Europe d'investir « massivement, y compris de l'argent public, mais de manière intelligente, via des appels d'offres pour des projets de recherche tout en instituant des règles de protection des données qui empêchent les géants américains et chinois de dominer le marché ». 

Quid de l'idée d'un démantèlement ? L'idée séduit Sébastien Soriano, auteur d'Un avenir pour le service public (Odile Jacob), qui propose des standards ouverts entre plateformes. « On peut toujours jeter en l'air l'idée d'un démantèlement parce que ce mot sonne fort, sonne brutal, mais il y a de fortes chances que cela reste lettre morte », explique Bruno Le Maire. L'idée n'enthousiasme pas non plus Jean-Pierre Chamoux, professeur émérite à l'université Paris-Descartes : « Pensons à ce qu'entraînerait une telle décision pour les relations transatlantiques. » Dans un contexte de guerre froide technologique sino-américaine en tout cas, les sociétés californiennes sont des atouts dont Washington aurait du mal à se passer. La clé revient donc en grande partie au président élu Joe Biden, alors que le ministère de la Justice américain a engagé une action musclée contre Google en octobre. Biden, qui, dans une interview au New York Times en janvier, reprochait aux dirigeants de la tech un « excès d'arrogance », n'a, pour l'instant, pas rendu publique sa position sur le sujet, mais un rapport de 449 pages venu des élus démocrates au Congrès publié cet été l'encourage à un durcissement des mesures antitrust. Espérons que la solution retenue redonnera le sourire à Jamis MacNiven

Comment Amazon s’est fait une place en France

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Que ce soit Amazon ou Google : l'un sert à acquérir des biens de consommation divers, l'autre à rechercher ou poser des questions diverses sur plein de sujets et avoir des informations de tous ordres donc utile, créé par des hommes qui bien sûr ont gagné beaucoup d'argent roi avec ceux-ci !

Facebook est plus critiquable, car bien que pervers, car il piège beaucoup d'utilisateurs pour raconter leur vie et que certains utilisent à mauvais escient ou donner de fausses informations médiatiques ou autres et comme mêmes nos dirigeants politiques ainsi que certains malfaisants transforment en « fake new » fausses informations voire pire pur influencer ceux qui s'y laissent prendre comme dans d'autres comme dans Twitter le défaut d'internet et que l'on surnomme réseaux sociaux « poubelles » ou il faut faire le tri que peu font quand on voit le nombre d'abonnés à ces plateformes et peut-être encore plus dans cette période de confinement et crise , mais ils ne sont pas les seuls sur le net la liste est longue!

Jdeclef 26/11/2020 10h44

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