Dans une
forêt du Doubs, une fête d'anniversaire en plein confinement
L'organisatrice
de la fête, une femme travaillant dans le milieu de la santé, a fait l'objet
d'une garde à vue, rapporte « L'Est républicain ».
Il aura fallu deux interventions des gendarmes, dans la nuit
du samedi 14 au dimanche 15 novembre, pour interrompre définitivement
la fête qui s'est déroulée à Semondans, dans le Doubs, rapporte L'Est républicain.
Tout commence le samedi soir, vers 22 heures, quand des habitants du
village appellent les gendarmes, se plaignant d'un tapage nocturne. La fête
semble se dérouler à proximité de la forêt.
Les militaires interviennent, trouvent une trentaine de fêtards
(dont une partie prend la fuite dans les bois) et
distribuent 16 amendes de 135 euros pour non-respect du
confinement. Également, deux consommateurs de cannabis reçoivent un PV chacun.
Les gendarmes quittent ensuite les lieux en demandant aux fêtards de faire
de même.
L'organisatrice en garde à vue
Ce qu'ils ne font pas : à 4 heures du matin, les riverains appellent une nouvelle fois les gendarmes à l'aide. Cette nouvelle intervention est plus sévère : la sono est saisie et l'organisatrice de la fête, une femme travaillant dans le milieu de la santé, âgée de 26 ans et qui organisait son anniversaire, est placée en garde à vue pour « mise en danger d'autrui, trouble à la tranquillité et rassemblement interdit sur la voie publique en période d'état d'urgence sanitaire ». Elle a été libérée dimanche, selon France Bleu. Elle devra comparaître devant la justice en février. Le DJ de la soirée devra aussi se rendre au tribunal.
Il aura fallu deux interventions des gendarmes, dans la nuit
du samedi 14 au dimanche 15 novembre, pour interrompre définitivement
la fête qui s'est déroulée à Semondans, dans le Doubs, rapporte L'Est républicain.
Tout commence le samedi soir, vers 22 heures, quand des habitants du
village appellent les gendarmes, se plaignant d'un tapage nocturne. La
fête semble se dérouler à proximité de la forêt.
Les militaires interviennent, trouvent une trentaine de fêtards
(dont une partie prend la fuite dans les bois) et
distribuent 16 amendes de 135 euros pour non-respect du
confinement. Également, deux consommateurs de cannabis reçoivent un PV chacun.
Les gendarmes quittent ensuite les lieux en demandant aux fêtards de faire
de même.
L'organisatrice en garde à vue
Ce qu'ils ne font pas : à 4 heures du matin, les
riverains appellent une nouvelle fois les gendarmes à l'aide. Cette nouvelle
intervention est plus sévère : la sono est saisie et l'organisatrice de la
fête, une femme travaillant dans le milieu de la santé, âgée de 26 ans et
qui organisait son anniversaire, est placée en garde à vue pour « mise en
danger d'autrui, trouble à la tranquillité et rassemblement interdit sur la
voie publique en période d'état d'urgence sanitaire ». Elle a été libérée
dimanche, selon France Bleu. Elle devra comparaître devant la justice en
février. Le DJ de la soirée devra aussi se rendre au tribunal.
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Car cela déclencherait des
flux d'inconscients indisciplinés, prêt à se défouler plus que d'ordinaire
comme on l'a vu cet été, avec le résultat qu'on subit actuellement !
Et surtout malgré l’amende
qui n’est pas dissuasive, puisqu’ils récidivent quelques heures après peut-être
par jeu du chat et de la souris contre les forces de l’ordre, comme des
délinquants de nos cités de nos banlieues d’IDF !
Certaines catégories de français
sont trop gâtées, par rapport d’autres par exemple qui ont perdu leur travail
et ne pensent qu’à s’amuser égoïstement !
Typiquement français, le chacun
pour soi, on le voit bien dans cette période de crise sanitaire et économique !
Jdeclef 17/11/2020 13h06
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