vendredi 30 septembre 2022

Ce dictateur fait ce qu'il veut de ces régions de la sphère de l'ex URSS qu'il veut récupérer étant donné qu'il a déjà testé avec l'annexion de la CRIMEE !

 

Poutine signe l'annexion de quatre régions d'Ukraine

Le président russe estime que les Ukrainiens ont fait leur choix et demande à l'Ukraine de cesser immédiatement les tirs et toutes les hostilités.

DE TOUTE FACON POUTINE SE FICHE ET SE MOQUE TOTALEMENT DE TOUTE LA COMMUNAUTE MONDIALE QUI LUI LAISSE TOUT FAIRE POURQUOI SE GENERAIT-IL ?!

Devant l'élite politique du pays, Vladimir Poutine a prononcé son discours consacré à l'annexion de quatre régions d'Ukraine, à la suite de « référendums » largement dénoncés par Kiev et ses alliés occidentaux. « Les habitants de Louhansk et de Donetsk, de Kherson et de Zaporijia deviennent nos citoyens pour toujours », a affirmé le président russe. « Les gens ont voté pour notre avenir commun », a-t-il ajouté, parlant d'un « accord sur l'intégration ».

Vladmir Poutine a également sommé l'Ukraine de « cesser immédiatement les hostilités » et de négocier. « Nous appelons le régime de Kiev à cesser immédiatement les tirs, toutes les hostilités, et à revenir à la table des négociations », a-t-il déclaré.

Le président a par ailleurs accusé l'Occident de vouloir faire de la Russie une « colonie ». « L'Occident est prêt à tout pour préserver le système néocolonial qui lui permet de parasiter et, en réalité, de piller le monde entier », a-t-il dénoncé. « Ils veulent nous voir comme une colonie », a-t-il encore fustigé.

L'Ukraine plus déterminée que jamais à reconquérir le Donbass

Le président russe a toutefois assuré que son pays « n'aspire pas » à restaurer l'URSS. « L'URSS a disparu, le passé ne peut être ramené. Et la Russie n'a pas besoin de cela aujourd'hui, nous n'y aspirons pas », a déclaré Vladimir Poutine. 

Il a aussi de nouveau accusé les Occidentaux pour les « explosions » à l'origine des fuites des gazoducs Nord Stream. 

Un discours qui s'est achevé par la signature des accords d'annexion par les chefs des quatre territoires occupés de Donetsk, Lougansk, Zaporijia et Kherson, ainsi que par Vladimir Poutine. Tous se sont ensuite pris par les mains et ont scandé « Russie ! » à l'unisson avec la salle.

L'Union européenne « rejette » et « condamne » cette décision

Les dirigeants des pays de l'Union européenne « rejettent » et « condamnent » « l'annexion illégale » par la Russie de quatre régions ukrainiennes, ont indiqué les 27 dans une déclaration, accusant Moscou de mettre « la sécurité mondiale en danger ». « Nous ne reconnaissons pas et ne reconnaîtrons jamais les “référendums” illégaux que la Russie a organisés comme prétexte pour cette nouvelle violation de l'indépendance, de la souveraineté et de l'intégrité territoriale de l'Ukraine, ni leurs résultats falsifiés et illégaux. Nous ne reconnaîtrons jamais cette annexion illégale », affirme la déclaration.

« Ces décisions sont nulles et non avenues [...] La Crimée, Kherson, Zaporijia, Donetsk et Louhansk sont l'Ukraine », ajoutent les 27. « Nous appelons tous les États et les organisations internationales à rejeter sans équivoque cette annexion illégale », poursuivent-ils. « En sapant délibérément l'ordre international fondé sur des règles et en violant de manière flagrante les droits fondamentaux de l'Ukraine à l'indépendance, à la souveraineté et à l'intégrité territoriale [... la Russie met la sécurité mondiale en danger », accusent-ils.

Les dirigeants de l'UE réaffirment « le droit de l'Ukraine de se défendre contre l'agression russe pour reprendre le contrôle total de son territoire et de libérer les territoires occupés à l'intérieur de ses frontières internationalement reconnues ». L'UE continuera à apporter à l'Ukraine « un soutien économique, militaire, social et financier solide aussi longtemps qu'il le faudra », insistent les 27.

Scholz veut étendre l'UE vers l'Europe de l'Est et la fin du droit de veto

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Le peu de réaction des occidentaux et USA OTAN donneurs de leçons pourquoi s'en priverait-il ?!

Il a massé des troupes importantes que les satellites US ont vu et même commentés comme d'autres sans bouger ni intervenir !

Mais que les Ukrainiens libres on protestés sans qu'on les écoutent car ces régions faisait partie de leurs pays que POUTINE vend à la découpe !

En faisant un référendum tronqué puisqu'une majorité d'UKRAIGNIENS libres n'ont pas donné leur avis car c'est leur pays qu'il morcelé !?

Car ces UKRAINIENS du DOMBASS et cette fausse petite république sont loin de faire la majorité du peuple souverain du reste de l'Ukraine !

C'est comme si l'Ile de France faisait cessation et demandait à ne plus être française ni dans notre république !

C'est très à la mode dans le monde et même en Europe occidentale ces crises indépendantiste !

Quand un dirigeant totalitaire puissant s'impose facilement à ces peuples faibles simples ça marche car se sentant protégés même s'ils perdent leurs libertés préférant être dirigé par un dictateur qui ne craint pas les autres !

Surtout si des dirigeants de grands pays civilisés n'arrivent pas à stopper ce genre de dictateur car il n'y a pas que lui dans ce monde qui va mal dirigé par des biens pensants donneurs de leçons hypocrites qui crèvent de trouille disons-le tout net car c'est nous peuples lambda qui les avons élus !

Un seul homme qui depuis 7 mois tient la dragée haute à nos dirigeants occidentaux et ceux d'outre atlantique US et qui fait souffrir économiquement et indirectement ces peuples (même si l'on dit que nous ne sommes pas en guerre) car ce fou dangereux comme il a promis utilise tous les moyens à sa disposition pour semer la misère et faire le mal !

Que fait-on pas grand-chose ce n'est pas lui le perdant pour l'instant il serait temps pour nos élites d'en prendre conscience ils s'offusquent c'est tout à l'ONU ou ailleurs ?

Jdeclef 30/09/2022 16h56


jeudi 29 septembre 2022

Inutile de faire des hypothèses fumeuses sur ces incidents ou sabotages de ces pipe-line pétroliers ou gaziers divers !

 

Nord Stream : une quatrième fuite identifiée en mer Baltique

Alors que le Conseil de sécurité de l’ONU va se réunir vendredi à la demande de la Russie, une quatrième fuite a été identifiée sur les gazoducs.

SI LE MACHIN ONU SE REUNI TOUT VA BIEN ON NE SAURA RIEN CAR SI C’EST DE POUTINE QUE VIENT CES SABOTAGES QU’IL NIE D’AILLEURS CAR IL N’EST PAS STUPIDE POUR LE DIRE EN SE FICHANT DE L’OTAN ET DES OCCIDENTAUX DANS LE BROUILLARD  !?

Nouveau rebondissement dans l'affaire des fuites des gazoducs Nord Stream. Une quatrième fuite a été identifiée en mer Baltique au-dessus des gazoducs Nord Stream visés par un sabotage présumé, a appris l'Agence France-Presse jeudi 29 septembre auprès des gardes-côtes suédois. « Il y a deux fuites côté suédois et deux fuites côté danois », a déclaré un responsable de l'autorité suédoise, précisant que les deux fuites côté suédois se trouvent « à proximité l'une de l'autre ». Jusqu'ici, les autorités des deux pays avaient fait état d'une fuite côté suédois et de deux fuites côté danois.

Suivant deux explosions suspectes ayant eu lieu lundi matin et soir, celles-ci se trouvent dans les eaux internationales au large de l'île danoise de Bornholm, mais dans les zones économiques exclusives respectives des deux pays scandinaves. Les gardes-côtes suédois n'ont pas pu préciser dans l'immédiat pourquoi le signalement de cette nouvelle fuite n'a eu lieu que tardivement. Mais les deux fuites côté suédois sont situées dans le même secteur, ont-ils indiqué. « La distance est quelque chose de subjectif, mais elles sont à proximité l'une de l'autre », a déclaré le responsable des gardes-côtes. L'autorité n'était pas en mesure de confirmer des informations de médias suédois selon laquelle cette nouvelle fuite est située au-dessus du gazoduc Nord Stream 2.

La Suède avait jusqu'ici rapporté une fuite au-dessus de Nord Stream 1, au nord-est de l'île de Bornholm. Le Danemark a lui confirmé une fuite sur Nord Stream 2 au sud-est de l'île, et une autre au nord-est, au-dessus de Nord Stream 1. Les vastes fuites provoquent d'importants bouillonnements marins de plusieurs centaines de mètres de large en surface qui rendent impossible dans l'immédiat des inspections des ouvrages, selon les autorités.

Le plan de l'Europe pour se passer du gaz russe

La Russie contre-attaque et fait appel au conseil de sécurité de l'ONU

Alors que les Européens dénoncent un « sabotage », la Russie a réagi aux accusations dont elle fait l'objet depuis mardi. Il est « stupide et absurde » de suspecter la Russie d'être derrière les fuites massives détectées après des explosions ayant touché les gazoducs Nord Stream, a déclaré mercredi 28 septembre le Kremlin. Dans la foulée, la Russie a indiqué, par la voix de la porte-parole de la diplomatie russe, Maria Zakharova, vouloir demander « une réunion officielle » du Conseil de sécurité de l'Organisation des Nations unies (ONU) « dans le cadre des provocations concernant les gazoducs Nord Stream 1 et 2 ».

Une demande à laquelle la France, en tant que présidente du Conseil de sécurité, a répondu favorablement. Le Conseil de sécurité de l'ONU devrait se réunir ce vendredi 30 septembre pour évoquer ces fuites, selon la ministre suédoise des Affaires étrangères. La Suède et le Danemark ont été chargés de donner des informations aux membres du Conseil sur ces fuites survenues dans leurs zones économiques exclusives, a-t-elle précisé. « Il était assez prévisible » que certains mettent la Russie en cause, a déclaré à la presse le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov. « Prévisible, stupide et absurde », a-t-il ajouté. Ces fuites touchant Nord Stream 1 et 2 sont « problématiques pour nous, car les deux tubes sont remplis de gaz (russe) prêt à être pompé et ce gaz coûte très cher. Maintenant, ce gaz est en train de s'échapper », a-t-il regretté.

Gérard Araud – Pourquoi Poutine lance la guerre du gaz

Passe d'armes entre les États-Unis et l'Ukraine

La diplomatie russe a par ailleurs exigé que le président américain Joe Biden dise si les États-Unis sont, ou non, derrière ces fuites. « Le président américain est obligé de répondre à la question de savoir si les États-Unis ont mis à exécution leur menace », a ainsi lancé sur Telegram Maria Zakharova, en référence à une déclaration de Joe Biden début février qui affirmait que Washington « mettrait fin » à Nord Stream 2 si Moscou intervenait militairement en Ukraine.

« C'est ridicule » de la part de la Russie d'insinuer que les États-Unis pourraient être responsables des fuites sur les gazoducs Nord Stream, a répondu la porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison-Blanche, Adrienne Watson. « Nous savons tous que la Russie diffuse de la désinformation depuis longtemps et elle le fait à nouveau ici », a-t-elle indiqué.

Les deux infrastructures ont été endommagées par des explosions sous-marines au large d'une île danoise en mer Baltique, provoquant de vastes bouillonnements. Hors service à cause de la guerre en Ukraine, ces gazoducs, qui relient la Russie à l'Allemagne, contenaient tout de même du gaz. Selon les autorités danoises, plus de la moitié du gaz contenu dans les gazoducs se serait déjà échappée dans l'atmosphère mercredi 28 septembre. « Nous nous attendons à ce que le reste s'échappe d'ici dimanche », a affirmé le directeur de l'autorité danoise de l'Énergie, Kristoffer Böttzauw, lors d'une conférence de presse.

Vers le rationnement énergétique

Les services de sécurité russes (FSB) ont ouvert mercredi une enquête pour « acte de terrorisme international » après le sabotage présumé des gazoducs Nord Stream en mer Baltique, a indiqué mercredi le Parquet général russe. « Sur la base d'éléments envoyés par le Parquet général russe (…) l'organe d'investigation du FSB a ouvert une affaire criminelle. Une enquête préliminaire a commencé, a déclaré le Parquet dans un communiqué publié sur son compte Telegram.

Une « attaque terroriste planifiée », selon Kiev

L'Union européenne a promis la « réponse la plus ferme » à ce « sabotage » et le gouvernement danois a qualifié les explosions d'« actes délibérés ». S'ils n'ont pas désigné de responsable, l'Ukraine a, elle, affirmé que ces fuites étaient le résultat d'une « attaque terroriste planifiée » par la Russie contre les pays européens.

Dmitri Peskov a appelé « tout le monde à réfléchir avant de s'exprimer, à attendre les résultats des inspections pour savoir s'il s'agit d'une explosion ou non ». « Cette situation exige du dialogue, une interaction rapide entre toutes les parties pour découvrir ce qui s'est passé. Pour l'instant, nous constatons une absence totale de dialogue », a-t-il ajouté.

Économies de gaz : la Commission essuie les premiers refus des États membres

Ces fuites éloignent la perspective d'une reprise prochaine des livraisons de gaz à l'Europe via Nord Stream 1, qui avaient été interrompues début septembre dans le contexte des tensions autour de l'offensive russe en Ukraine. La Russie a fermé les vannes en invoquant des problèmes techniques, mais les Européens, très dépendants du gaz russe pour se chauffer cet hiver, accusent Moscou d'utiliser les livraisons comme un moyen de pression.

La Norvège se renforce, Macron lui demande de contenir la flambée des prix

Après des observations troublantes de drone et le sabotage présumé des gazoducs Nord Stream, la Norvège a annoncé mercredi un renforcement de la sécurité autour de ses installations pétrogazières considérées comme une potentielle cible de choix. Le président français Emmanuel Macron a appelé mercredi la Norvège, désormais premier fournisseur de gaz de l'Europe, à « renforcer son action » pour lutter contre l'envolée des prix gaziers induite par la guerre en Ukraine. Lors d'un entretien téléphonique avec le Premier ministre Jonas Gahr Støre, le chef de l'État a « salué les efforts de la Norvège pour augmenter ses exportations et contribuer ainsi à réduire la dépendance européenne aux hydrocarbures russes », a précisé l'Élysée.

Conséquence de la réduction par Moscou de ses livraisons de gaz en représailles aux sanctions prises par les Européens après l'offensive russe en Ukraine, la Norvège est devenue le principal fournisseur gazier de l'Europe, à laquelle elle est reliée par un vaste réseau de pipelines. Le pays scandinave produit actuellement à plein régime. Selon des prévisions officielles, ses exportations de gaz pourraient atteindre un niveau record de 122 milliards de m3 cette année. À comparer aux quelque 150 milliards de m3 de gaz par an fournis par la Russie à l'Union européenne avant la guerre. Face à l'envolée des prix, plusieurs États européens, dont l'Italie, préconisent un plafonnement des prix du gaz acheté non seulement à la Russie mais aussi à d'autres pays producteurs comme la Norvège, une proposition accueillie fraîchement par Oslo.

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Seule certitude ce genre de problèmes c'est que tout cela semble en corrélation avec cette guerre en UKRAINE qui ne semble pas indépendante à la cause de ces problèmes!

Car là c'est moins dangereux que de s'attaquer au centrale nucléaire Ukrainienne mais peut causer des manques énergétiques pour ceux qui sont branchés sur ces gazoducs pour avoir du gaz qui vient de Russie comme par hasard !

Mais comme Poutine est un faux jeton menteur comme un arracheur de dent si cela est de son fait dans son esprit malade il niera bien sûr !

Car il veut déstabiliser les occidentaux et çà ce n'est pas une menace nucléaire!

Et les Européens commencent déjà à avoir froid car la basse saison approche (il fait déjà 19° dans mon immeuble qui de toute façon d'habitude ne met pas le chauffage avant le 15 octobre !)

L'erreur de nos dirigeants occidentaux qui croyaient à un monde en paix depuis 1989 et la fin de l'URSS a été de croire à certains pays totalitaires extrémistes avec leur démocrature et pseudo autocratie pas fiable en se fournissant chez eux !?

La mondialisation est définitivement caduque car il faut savoir avec qui ont commerce avec certitude avant de penser au profit ou économie !

Les blocs est ouest sont reconstitués avec un de plus l'orient et asiatique !

Alors les conflits peuvent être économiques plus faciles à déclencher que militaire il suffit de fermer un robinet !

Pour le reste il serait utile de savoir qui est responsable de ces sabotages qui arrivent comme par hasard au début de la saison hivernale car l'OTAN dénonce ces sabotages mais c'est encore du bla-bla fumeux diplomatique qui ne sert à rien car difficile à empêcher du fond des océans !

Jdeclef 29/09/2022 12h10


Notre président est un épouvantail qui bat ses bras de paille au gré du vent : politique et politiciens du moment qui est médiocre et des Français qui risque de disjoncter

 

Dans les coulisses du dîner sur les retraites à l’Élysée

EXCLUSIF. Après trois heures de discussion avec ses ministres, le président a affirmé sa volonté d’aboutir à un texte en décembre sur la base d’un âge de départ à 65 ans.

MAIS NON IL NE CE DECIDE PAS FRANCHEMENT ET PIEGE MME BORNE NOTRE 1ERE MINISTRE INUTILE COMME D’AUTRES AVANT ELLE QUI A EU TORT DE LE SERVIR AVEC SA POSSIBILITE DE CET ARTICLE 49/3 ET LES FRANÇAIS N’AURONT RIEN A DIRE SAUF AVALER LA PILULE (EN RALANT !)

Plus question de perdre du temps. Après plus de quinze jours d'atermoiements et de divisions au sein même de la majorité sur la pertinence de relancer dès maintenant le chantier de la réforme des retraites et la façon de le faire, Emmanuel Macron a sifflé la fin de la récréation mercredi soir.

Le président avait convié à l'Élysée plusieurs poids lourds de son gouvernement, responsables parlementaires ainsi que chefs de parti de sa majorité pour un ultime tour de table sur cette réforme encalminée depuis la crise sanitaire en 2020. Sa Première ministre Élisabeth Borne ainsi que son fidèle bras droit Alexis Kohler étaient présents dans le salon des Ambassadeurs, où se déroulaient les agapes.

Macron sur les retraites : coup de bluff ou coup de force ?

En dépit d'une majorité relative au Parlement, le chef de l'État est déterminé à mettre en œuvre l'une des propositions les plus explosives de sa campagne présidentielle : celle de reporter l'âge légal de la retraite à 65 ans. Le 12 septembre, il a exprimé lors d'une rencontre avec la presse sa volonté d'aller vite, y compris si cela nécessite d'en passer par un simple amendement au budget de la sécurité sociale. C'était compter sans les réticences de plusieurs figures très vocales de son camp : François Bayrou, patron du MoDem, et Yaël Braun-Pivet, présidente de l'Assemblée, pour ne citer qu'eux, hostiles à tout « passage en force ».

Entre l'assiette de fruits de mer et le fromage, Emmanuel Macron s'est montré très martial. « Ce qui se joue, c'est l'autorité de votre serviteur. Et je ne vais pas la lâcher au bout de six mois », a-t-il déclaré face à ses troupes. « Autour de la table, une personne a pris son risque. Cette personne, c'est moi, en défendant la retraite à 65 ans. »

On a déjà perdu assez de temps. Plus on attend, plus on dira de nous qu’on n’est pas solides.Gérald Darmanin

Parmi les convives, une majorité s'est exprimée en faveur d'un amendement au budget de la sécurité sociale, pour aller vite. « On a déjà perdu assez de temps. Plus on attend, plus on dira de nous qu'on n'est pas solides », a plaidé Gérald Darmanin, ministre de l'Intérieur. « Cette réforme est un sparadrap qu'il faut retirer immédiatement », a abondé le ministre du Budget, Gabriel Attal. L'ex-président de l'Assemblée nationale, Richard Ferrand, s'est montré plus mitigé, défendant toutefois, lui aussi, un calendrier resserré, « au plus tard en janvier, pour une question tactique ». « Faisons le plus vite possible sans attendre Noël », a pressé Bruno Le Maire, patron de Bercy.

Réforme des retraites : le « cadeau empoisonné » de Macron à Borne

Dans le camp des réfractaires, le MoDem, par la voix de François Bayrou, a pris la parole à plusieurs reprises pour demander un temps suffisant de concertations et de négociations. « C'est faux de dire qu'en votant Emmanuel Macron, les Français savaient qu'ils votaient pour les retraites », a-t-il insisté, selon un participant. Édouard Philippe, présent comme chef de file de son parti Horizons, est lui favorable à l'option la plus rapide.

Au cours de l'échange, la position des Républicains a aussi été évoquée. Depuis toujours favorables à un allongement de la durée du travail, plusieurs figures du parti de droite ont toutefois fait savoir qu'elles ne soutiendraient pas une telle mesure par amendement au budget de la sécurité sociale. « Il faut assumer le fait que nous n'avons pas de majorité sur ce texte, les LR ne voteront pas », a exprimé Aurore Bergé, cheffe de file des députés Renaissance. Le ministre des Relations avec le Parlement, Franck Riester, pense possible, au contraire, d'aller convaincre un certain nombre d'entre eux.

Une mise en œuvre en juillet

« Vous n'arrivez pas à me démontrer l'intérêt qu'il y aurait à attendre », a répondu Emmanuel Macron à la fin de la conversation. Conclusion de l'hôte de l'Élysée : une concertation avec les « forces sociales et politiques » va être lancée dès jeudi, sur la base des termes de la réforme de son programme présidentiel, à savoir la retraite à 65 ans, la fin des régimes spéciaux, la pension minimale à 1 100 euros, la prise en compte de la pénibilité et des carrières longues.

Le président a fixé l'objectif d'aboutir à un texte d'ici décembre pour un vote « à l'hiver 2022 ou tout début 2023 » et une mise en œuvre en juillet. Deux options quant au véhicule : dans l'hypothèse où les concertations aboutissent, un projet de loi sera examiné en janvier. À l'inverse, en cas d'échec des discussions, ce sera la voie de l'amendement au budget de la sécurité sociale qui sera retenue. La Première ministre, très réservée lors du dîner, a été chargée de l'annoncer dès jeudi matin. « Le président a réaligné tout le monde sur le fond », se félicite un convive. « Tout le monde est cocu, mais tout le monde est content ! » ironise un élu à la sortie du Château.

Retraites : la solution des économistes pour faire avaler la réforme Macron

Le chef de l'État a aussi soulevé la question du recours au 49.3, inévitable dans une situation de majorité relative. Avec, à la clé, le risque d'une motion de censure contre le gouvernement. Dans ce cas, le président considère qu'il faut dissoudre. « Il faut être conscient que pas un député ne veut repartir en campagne », a argumenté Richard Ferrand. « Moi, je ne veux pas de chienlit, a répondu Emmanuel Macron. Donc s'il y a une majorité pour voter une motion de censure, on repart en campagne et c'est tout. » Voilà ses troupes prévenues.

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politique et de l'humeur des Français lambda dont il craint les réactions qui peuvent être très protestataires tant ce qu'il veut faire n'arrange rien de nouveau même dans sa propre majorité !

Comme d'habitude il tergiverse et sa 1ere ministre BORNE va jusqu'à évoquer l'utilisation de ce fameux article 49/3 pour passer en force elle a de la constance de travailler pour un patron qui tergiverse ou change d'avis quand il en a un ?!

Jusqu'en coulisse il n'exclut pas une éventuelle dissolution du parlement et donc du gouvernement en cas de censure !

On disait HOLLANDE mou mais lui c'est pire sorti du même moule incapable de prendre des décisions rapides et constructive n'ayant pas d'idées nouvelles!?

Espérons qu'il a bien diné avec ses invités politiciens triés sur le volet pas forcément d'accord entre eux d’ailleurs et qu'il n'a pas eu d'indigestion car pour les Français lambda ils en ont une sans avoir mangé !?

Ce président n'est pas un vrai chef d'état car petit bourgeois parvenu pleutre gonflé d'orgueil comme une baudruche crevée qui fuit devant les problèmes qui sont normalement courant dans un pays que l'on doit gouverner et diriger !

Il ne craint pourtant rien car réélu par défaut jusqu'en 2027 par des Français perdus qui ont le défaut de choisir des dirigeants se prenant pour des monarques à qui on a donné trop de pouvoir mais de mauvais gouvernants qui en fait ignorent le peuple qu’ils les ont élus voire s'en fiche ?

E.MACRON est nettement plus à l'aise à pérorer en voyageant à l'étranger confortablement donnant des leçons de bienpensant hypocrite par ses discours que personne n'écoute voire même se moquant de lui mais comme il n'a pas d'amour propre cela glisse sur lui comme sur les plumes d'un canard qui cancane caquète et il n'a pas les Français râleurs sur le dos !

Les Français choisissent mal leurs dirigeants depuis 40 ans il serait temps qu'ils changent leurs façons de voter et surtout pas apour ceux des politiciens médiocres de tous bords actuels ?!

A NOTER CEPENDANT QU'EN 1981 LA RETRAITE ETAIT A 65 ANS ON Y ETAIT HABITUE MAIS F.MITTERAND POUR ETRE ELU LA MISE A 60 ANS POUR ETRE ELU ET BIEN SUR CELA  A MARCHE LES FRANCAIS GOGOS L'ONT ELU EN MASSE NE VOYANT PAS PLUS LOIN QUE LE BOUT DE LEURS NEZ ET PLUS TARD ON LEUR A MIS CES FAMEUX RTT QUE L'ON PEUT MAINTENANT RACHETER POUR ESSAYER D'AMENUISER CETTE INFLATION !

ET QUE FAIT ON AVEC NOS NOUVEAUX GOUVERNEMENTS ET DIRIGEANTS QUE NOUS ELISONS ET REELISONS CAR NE POUVANT RATTRAPER CE RETARD FABRIQUE PAR EUX "ILS COURENT COMME DES CHIENS PERDUS APRES LEURS QUEUES" CAR INCAPABLES DE PREVOIR QUOI QUE CE SOIT DEPUIS 40 ANS !

LES FRANCAIS SONT LES PLUS BETES ELECTEURS QUE L'ON PUISSENT VOIR OU TROUVER DANS NOS PAYS LIBRES CIVILISES ET DEMOCRATIQUES !

CONSEQUENCES PRESENTES ON DEVIENT RETROGRADE EN FRANCE CAR ON N'AVANCE PAS ON RECULE IL N'Y A PAS DE QUOI ETRE FIER ?!

Jdeclef 29/09/2022 09h52LP


La CORSE n'a pas de modèle touristique c'est l'attraction de leur belle ile qui attire les touristes ils ont beaucoup de chance alors qu'ils arrêtent de se regarder le nombril

 

Après la surchauffe estivale, la Corse s’interroge sur son modèle touristique ?

Le niveau de fréquentation de l’île pourrait dépasser celui de 2019, année de référence pré-Covid. Des voix s’élèvent pour dénoncer l’impact d’un tel développement.

LE MODELE DE LA CORSE C’EST COMME SUR L’IMAGE LE SOLEIL LA MER ET UN TRANSAT SOUS UN PARASOL NATIONALISTE MAIS CELA NE SUFFIT PAS !?

Les spécialistes du transport aérien n'hésitent pas à parler d'un « trafic record. » À l'aéroport Sainte-Catherine de Calvi, qui dessert l'un des principaux bassins touristiques de l'île, les cohortes de touristes ne désemplissent pas. En cette fin septembre, les chiffres de la fréquentation surclassent – largement – ceux de 2019, année de référence en la matière.

Après deux saisons marquées du sceau de l'accalmie en raison de la pandémie de Covid-19, la Corse a renoué avec sa fréquentation touristique d'avant-crise, selon les statistiques recueillies par la chambre régionale de commerce et d'industrie en matière de transport de passagers. Le cap des 3,3 millions de vacanciers, soit dix fois la population de l'île, pourrait même être dépassé. Ajaccio, Figari et Bastia figuraient d'ailleurs parmi les dix destinations les plus réservées par les Français cet été, selon le classement établi par l'agence de voyages en ligne Opodo. « On est dans la démesure, estime Muriel Segondy, porte-parole de l'association Le Garde, axée sur la défense de l'environnement. On accueille des millions de touristes, au détriment de la population locale et de l'empreinte environnementale, alors que nos infrastructures ne suivent pas ; nous avons manqué d'eau tout l'été et notre système électrique est au bord de la rupture. Est-on vraiment en capacité de recevoir autant de monde ? »

Pietra, la bière qui fait mousser la Corse

Depuis le début de l'été, cette militante écologiste est aux avant-postes d'un mouvement de contestation qui a trouvé un fort écho dans l'île : la gronde face aux nuisances générées par les bateaux de croisière. Avec 473 escales programmées en Corse, l'année 2022 fait office d'année record pour l'accueil de ces navires. Une pétition en ligne demandant l'interdiction de ces bateaux dans le golfe d'Ajaccio a réuni plus de 27 000 signataires. Signe que, si la plupart des insulaires se réjouissent de la bonne santé du tourisme – qui représente 31 % du produit intérieur brut (PIB) de l'île et dont dépend un emploi sur cinq –, des voix plus nombreuses s'élèvent pour dénoncer l'impact d'un tel développement. Symbole de cette « surfréquentation », le mythique GR20, sentier de grande randonnée qui traverse la Corse sur près de 180 kilomètres, a enregistré une affluence historique.

« Le maître mot doit être la régulation »

Face au risque de saturation et aux dégâts environnementaux, l'idée d'instaurer des « quotas » n'est désormais plus un sujet tabou pour les gestionnaires du circuit, comme pour les pouvoirs publics insulaires. Jusqu'alors figés dans une forme d'attentisme, bien que pourfendeurs de longue date du « tourisme de masse », les nationalistes à la tête de la région se sont résolus à serrer la vis, sous la pression de l'opinion. La fréquentation est désormais régulée par le biais de quotas et d'un système de réservation dans trois sites emblématiques : l'archipel des Lavezzi, le massif de Bavella et la vallée de la Restonica. « Je crois qu'on ne peut pas continuer comme ça, et qu'il faut aller vers un modèle touristique raisonné et plus durable, avance Guy Armanet, conseiller exécutif autonomiste et président de l'office de l'environnement de la Corse. Le maître mot doit être la régulation pour éviter les pics de fréquentation et préserver la biodiversité dans des sites à forte valeur patrimoniale. Cela nécessite de trouver un point d'équilibre avec les enjeux économiques qui y sont rattachés, tout en veillant à ce que les Corses ne soient pas exclus de ces endroits. »

Tourisme en Corse : une saison en enfer

Si l'été 2022 a fait figure d'année « test » pour cette nouvelle politique, le mouvement devrait s'intensifier. Outre le GR20, d'autres sites sensibles comme la réserve naturelle de Scandola, inscrite au patrimoine mondial de l'Unesco, pourraient également se voir appliquer une régulation. Les professionnels du tourisme eux-mêmes se disent conscients du risque d'un développement incontrôlé. Y compris en matière d'acceptation sociale pour la population locale, dans une île où le taux de résidences secondaires – 29 % du parc de logements – est sans commune mesure avec la moyenne nationale (9 %). « Le surtourisme, en Corse, est avant tout la conséquence d'un tourisme non maîtrisé, considère Benoît Chaudron, vice-président de l'union régionale des métiers et des industries de l'hôtellerie. Le nombre de résidences secondaires a explosé, cela crée non seulement une distorsion de concurrence vis-à-vis des professionnels qui ne profitent pas de cet afflux, mais aussi des nuisances pour beaucoup de locaux qui ont de plus en plus de mal à se loger à l'année. »

« Il faut trouver l'équilibre, sinon on va tuer la poule aux œufs d'or »

Le maire de Bonifacio, Jean-Charles Orsucci, connaît bien ce problème. Première destination touristique de Corse, sa commune de 3 000 habitants, à la pointe sud de l'île, compte 59 % de résidences secondaires et voit défiler chaque année deux millions de touristes. Son port de plaisance, situé à un carrefour maritime entre l'Espagne et l'Italie, a enregistré cet été une hausse de fréquentation de 15 %. Si cette activité intense génère une manne indispensable dans la cité des falaises, cet élu macroniste n'en appelle pas moins à l'avènement d'un modèle « maîtrisé » et plus « qualitatif. » Son credo : l'instauration d'une tarification pour accéder aux sites naturels les plus prisés et un étalement de la saison pour réduire la pression sur la biodiversité. « Le tourisme de masse ne peut pas être un modèle pour la Corse, estime Jean-Charles Orsucci. Nous devons concilier économie et environnement, sans toutefois se servir de l'environnement pour mener un combat économique contre le tourisme, qui est un pilier indispensable. C'est ce que nous faisons lorsque nous installons des coffres d'amarrage destinés à la grande plaisance, pour préserver à la fois les fonds marins et cette activité à forte valeur ajoutée. Il faut trouver l'équilibre, sinon on va tuer la poule aux œufs d'or. »

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Qui attire les touristes et donc favorise ce tourisme de masse estival car près de la France métropolitaine !

Tout comme pour les français métropolitains qui passent leurs congés dans le sud est ou sud-ouest de la FRANCE l'été !

Mais la Corses et certains des 340440 iliens depuis 2019 ont un réflexe d'indépendantisme viscéral depuis toujours qui les freinent dans leur expansion touristique mais passant leur temps à réclamer des aides de la métropole et de l'U.E. bien que région française comme les autres mais déjà avec en plus un statut particulier leur donnant plus de pouvoir les favorisant !?

C'est à eux Corses iliens de mettre en valeur leur belle ile par leur travail comme le font tous les Français métropolitains !

Mais en fait on peut les comparer à nos iles d'outre-mer pourtant départements français REUNION GUADELOUPE MARTINIQUE et surtout les deux dernières citées qui voudraient leur indépendance et manifestent périodiquement pour l'obtenir !

Seules nos iles très lointaines d'OCEANIE ont un statut particulier de semi-autonomie bien que françaises car aux antipodes de la France !

Mais pour La Corse c'est inconcevable car si près de la FRANCE et faisant partie de de notre sol métropolitain !

On a déjà les iles Anglo normandes pourquoi pas dans cette folie indépendantiste comme l'ile de Ré ou Oléron pendant qu'on y est ?!

Toutes sorte de poussières de morceaux de pays qui se morcelle que ce soit régions ou iles diverses on voit avec l'Angleterre l'Irlande l'Ecosse le Pays de Galles et son brexit et qui après le décès de sa reine risque de finir de perdre le reste de son Commonwealth colonial !?

Beaucoup réclament indépendance et pouvoir mais ils sont loin d'être gagnants après car gérer un pays ou régions ne se fait pas si facilement et se transforme de plus en plus en démocrature voire pire on a des exemples quotidiennement !

(Mais c'est un Corse célèbre NAPOLEON Bonaparte qui a créé la France avec son empire et accessoirement le code civil toujours en vigueur ceci en passant (lol) !

Ou d'autres extrémistes comme ce Russe fou dérangé qui veut récupérer son ex-empire Russe ex URSS Stalinien !

Le monde va mal çà c'est une certitude !

Jdeclef 28/09/2022 12h03LP


mercredi 28 septembre 2022

Nous sommes un état de droit bien sûr mais surtout pour l'état dans notre Pays ou l'argent roi est le moteur de l'économie ! (Mais il faut savoir où il va et a quoi il servent ces flux d'argent pharaoniques divers !?)

 

Comment Bercy a tenté d’accéder à nos données bancaires ?

La Direction générale des finances publiques a essayé, en 2021, de se ménager un accès à l’ensemble des opérations bancaires sur tous les comptes de France.

MAIS CELA EXISTE DÉJÀ ARRETONS D’ETRE DES FRANÇAIS STUPIDES QUI AVALENT TOUT ON VIT AVEC CES FICHAGES DIVERS IL FAUT SIMPLEMENT NE PAS SE FAIRE REMARQUER ET VIVRE COMME DES FRANCAIS LAMBDA NAIFS SANS FAIRE DE VAGUE !

L'information date d'un an, mais elle a été révélée il y a quelques jours seulement par le site Next INpact. La Direction générale des finances publiques du ministère de l'Économie et des Finances (DGFip) a tenté d'obtenir un accès direct et permanent à toutes les opérations réalisées sur l'ensemble des comptes bancaires ouverts en France : virements, dépôts, chèques émis ou encaissés, sur des années, jusqu'à dix ans après la clôture du compte. La totale !

Évidemment attentatoire aux libertés publiques, cette demande a été faite sans que le Parlement en ait discuté, dans une grande opacité. Il s'agissait de faire évoluer, sur le plan technique, le fichier des comptes bancaires et assimilés (Ficoba). Créé en 1971, informatisé en 1982, mis à jour en 2002, le Ficoba liste tous les comptes bancaires ouverts en France : comptes courants, comptes d'épargne, comptes titres, etc. Il contient actuellement près de 800 millions de références, dont 300 millions de comptes actifs. Les établissements bancaires sont obligés de l'alimenter. Il est utilisé par les services des impôts, mais aussi par la police et les organismes de sécurité sociale ou les notaires, afin d'identifier un bénéficiaire.

Le respect à la vie privée en péril ?

En mai 2022, la Cour des comptes appelait à l'utiliser davantage pour lutter contre la fraude aux prestations sociales. L'utilité du Ficoba est donc indéniable. À ce jour, néanmoins, il ne fournit aucune information sur les opérations effectuées ou sur leurs soldes.

L'État a récemment mis en œuvre une modernisation du Ficoba dans le but d'améliorer sa fiabilité et de mettre l'outil informatique à jour. Prétextant les exigences d'une directive européenne de lutte contre le blanchiment d'argent (connue sous son sigle anglais de directive AMLD), la DGFip a tenté de glisser un pied dans la porte en demandant que soient intégrés dans le Ficoba les soldes de comptes bancaires et, à terme, les opérations effectuées sur ces comptes.

Dans certaines circonstances, par exemple un contrôle fiscal, l'administration peut déjà avoir accès à ces données, mais il faut les demander aux banques en respectant une procédure précise. Un inspecteur des impôts doit envoyer au préalable au particulier concerné un avis d'examen contradictoire de situation fiscale personnelle.

La demande de la DGFip était donc « une évolution fonctionnelle très significative de Ficoba, passant d'une gestion des données de référence statiques à une gestion des données dynamiques très sensibles », relève le directeur interministériel du numérique de Bercy, dans un avis transmis le 15 octobre 2021 à la secrétaire générale du ministère, cité par Next INpact. « Les cas d'usage de ces soldes et de ces opérations ne sont pas détaillés et leur conformité avec le cadre juridique actuel ne me paraît pas suffisamment solide », poursuit l'auteur, qui ajoute ne pas avoir « trouvé trace, non plus, de débats parlementaires permettant d'autoriser ces évolutions substantielles ».

Grand spécialiste des finances publiques, le député Nouveau Centre Charles de Courson confirme : « Un tel projet n'a pas été évoqué au Parlement. C'est une réforme qui n'aurait pas de base légale, a priori. » Pour combler la mesure, la Commission nationale informatique et libertés (Cnil) n'a pas été consultée alors qu'une extension aussi massive du Ficoba porterait indiscutablement atteinte au respect de la vie privée.

« Au premier contentieux contre un particulier, l'administration perdrait »

La détection des piscines non déclarées par IA va être étendue

Quelle mouche a donc piqué Bercy ? Selon un bon connaisseur du sujet, « l'intelligence artificielle appliquée au contrôle fiscal est à la mode, mais elle donne des résultats assez décevants, pour le moment. L'idée était peut-être d'alimenter la machine en données pour améliorer les résultats ». Interrogé, le ministère répond que « le projet n'est pas à l'ordre du jour ». Esquisse d'amende honorable, il ajoute qu'une « éventuelle évolution du cadre légal » ferait en tout état de cause « l'objet d'un débat public », ce qui revient à admettre qu'une telle réforme ne saurait se concocter dans l'ombre.

C’est une réforme qui n’aurait pas de base légale.Le député Charles de Courson (Nouveau Centre)

La DGFip s'avouera-t-elle vaincue ? L'avenir le dira, mais, selon Charles de Courson, il serait difficile de faire l'économie d'un débat au Parlement sur un tel sujet. Dans le cas contraire, « au premier contentieux contre un particulier, l'administration perdrait », pronostique le député.

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Pays ou l'argent roi est le moteur de l'économie !

(Mais il faut savoir où il va et a quoi il servent ces flux d'argent pharaoniques divers !?)

 
Mais s'avez-vous qu'il existe déjà un système de fichage financier appelé :
TRACFIN qui est un service de renseignement placé sous l'autorité du ministère de l’Économie, des Finances et de la Relance. Il concourt au développement d'une économie saine en luttant contre les circuits financiers clandestins, le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme.


Mais peu facilement servir à autre chose qu'aux services fiscaux de tout un chacun c'est même comme cela que cet état lutte contre la fraude fiscale !


Dès qu’un simple quidam ouvre un compte bancaire postal ou caisse d'épargne il tombe dans un fichier et si ce compte à partir de certains montants importants enregistre des mouvements suspects l'établissement financier est obligé de le signaler à la cellule TRACFIN du ministère des finances et si elle ne le fait pas elle serait sanctionnée sévèrement jusqu'à même perdre sa qualité d'autorisation d'établissement financier !


Mais il y a pire ceci pour les Français gogos qui se croient à l'abri de tout fichage divers les flux de paiement et achat par carte bancaire sont une manne de renseignement sur votre vie quotidienne !

Jusqu’à votre pass navigo qui enregistre vos déplacements en IDF pour le métro RER ou francilien avec la suppression des billets !

La sécurité sociale dès que vous commencez à travailler vous attribue un n° d’immatriculation à vie avec en plus une carte vitale nouveauté que l’on veut rendre plus performante en tant qu’historique sur votre état de santé ou tout traitement et même avec le dossier médical informatisé chez le pharmacien dont vous dépendez que vous consulté ou l'on peut tout savoir sur votre santé ou autres fichiers divers la liste est longue !

Ne parlons pas des services de police judiciaire ou criminelle avec n’importe quelle réquisition judiciaire en cas d’enquête diverse qui peut regarder tout et vous retrouver facilement en croisant différent fichier permis de conduire carte grise de votre véhicule pièces d’identité ou passeport etc n° téléphone par votre smartphone ou FAI si vous avez une box pour regarder la Télé la liste est longue nous sommes dans un pays libre mais kafkaïen avec ses kyrielles de fonctionnaires payés pour cela quand il faut chercher pour trouver !

Il faut que les français sorte « la tête de leurs c.ls » excuser ma grivoiserie se croyant libres c’est une utopie dépassée depuis longtemps et cela ne s’améliore pas !

Il n’y a pas que les pays totalitaires qui fichent leurs populations d’ailleurs pour les fonctionnaires leur nombre va être augmenté !

Vive la France des libertés que l’on dit mal encadrées … héritage de NAPOLEON qui avait une police efficace et l’empire Français et son code civil!?

Tout va bien dormez brave gens !

JDECLEF 28/09/2022 16H29


Mais le président tergiverse et attend pour tout n'arrivant pas à décider sur tous problèmes ou simplement la gestion de la France !

 

Coignard – Retraites : Macron, président procrastineur ?

CHRONIQUE. Ira ? N’ira pas ? Quand ? Et comment ? La question doit être tranchée ce mercredi soir, au cours d’un dîner de la majorité.

FAUT-IL UN DINER POUR ENGRAISSER CES MESSIEURS POUR DECIDER DE CE QUE LES FRANCAIS NE VEULENT PAS IL FAUDRAIT QUE CE PETIT PRESIDENT PARVENU ET FAT CESSE DE SE MOQUER DES FRANCAIS EN SE DEGONFLANT COMME UNE BAUDRUCHE CREVEE ?!

«  Procrastination : tendance à remettre au lendemain, à ajourner, à temporiser. » Telle est la définition du dictionnaire Le Robert. Emmanuel Macron, en apparence, n'a aucune disposition pour cette manière de ne pas agir, lui qui voulait faire la « révolution ». Et pourtant ! Les atermoiements qui persistent sur la réforme des retraites interrogent.

Trois mois déjà, et pas une fumée blanche, ou noire, peu importe. Pas une décision ni sur le fond ni sur la forme. Pas une annonce. Les plus fervents admirateurs du chef de l'État sont les derniers à y voir un signe d'habileté politique. Les autres, et ils sont nombreux, y compris au sein du gouvernement et des cabinets ministériels, n'en peuvent plus d'attendre.

Derniers arbitrages

Mais leur impatience n'est rien comparée aux éventuels dommages politiques créés par le temps qui passe. Chacun, dans la majorité, y va de sa petite phrase ou de sa grande analyse. Yaël Braun-Pivet, la présidente de l'Assemblée nationale, a dit sa réticence à un amendement gouvernemental dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale. Avant elle, François Bayrou n'avait pas pris de gants pour flinguer cette idée.

IRetraites : la solution des économistes pour faire avaler la réforme Macron

Emmanuel Macron a, dit-on, horreur qu'on lui force la main et qu'on lui dicte l'agenda. Mais à force de refuser l'obstacle, il prend le risque de passer pour indécis, ou irrésolu. Tout le contraire de son discours. À moins de sortir une idée révolutionnaire de son chapeau, il ne pourra que décevoir. Ses adversaires, bien entendu, mais aussi ses sympathisants : « tout ça pour ça », risquent de soupirer ces derniers…

Ce mercredi soir se tient, à l'Élysée, un dîner spécial retraites avec, autour de la table, les ministres concernés et les représentants de la majorité. Il devrait être l'occasion de rendre les derniers arbitrages sur la méthode. Mais les annonces auront-elles lieu ce jeudi, jour de grèves et de manifestations ? À moins que ce ne soit vendredi, puisque la Première ministre, Élisabeth Borne, a assuré qu'une décision serait prise « avant la fin de la semaine ».

Interminable

À vrai dire, personne ne peut être vraiment surpris de cette temporisation au long cours. Le remplacement de Gérard Collomb au ministère de l'Intérieur, à l'automne 2018, a pris deux longues semaines. Jamais la Ve République n'avait été privée aussi longtemps d'un titulaire à plein temps Place Beauvau. Et la nomination d'un Premier ou d'une Première ministre, après le second tour de la présidentielle : interminable.

Réforme des retraites : le « cadeau empoisonné » de Macron à Borne

Déjà, la majorité était sur des charbons ardents. Et l'opposition goguenarde. 22 jours ! 22 jours pour choisir un chef de gouvernement. Au risque de donner aux Français une image d'impréparation, alors que le président avait eu tout le loisir de réfléchir au ton et au tempo à donner, au lendemain de son éventuelle réélection.

« Ô temps, suspends ton vol », écrivait le poète. Cette fois, ce sont les Français qui sont suspendus à une annonce qui tarde chaque jour un peu plus à venir

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On l'a vu lors de son 1er quinquennat il est le champion de la procrastination certains diraient une forme de lâcheté car craignant peut-être de se tromper et subir les reproches du peuple voire ses colères ou manifestations quelque fois violentes comme on n'a vu lors des manifestations des gilets jaunes car qu'il a laissé trainer en longueur préférant le pourrissement de la situation !

Et aussi par sa gestion de la crise sanitaire du Covid et ses initiatives qu'il a pris car contraint par l'ampleur de la pandémie a pris quelques décisions trop tardives comme les annonces trop rapides sur les baisses des contaminations à retardement qui ont repris périodiquement jusqu'à cette 8 eme reprise de vagues contaminantes et vaccinations désordonnées tardives d’efficacité relative et d’ailleurs il n’en parle plus car n’ayant rien à dire de positif !

Citons aussi la cerise sur le gâteau empoisonné la crise internationale de cette guerre Russo Ukrainienne dont il est totalement dépassé ne sachant que parler pour ne rien dire d’utile qui nous a amené à cette crise économique inflationniste et en plus énergétique car n'ayant rien prévu sur nos ressources d’énergies manquantes et notamment nucléaires dont on était bien pourvues avant qui ont été diminué par les politiques des précédents dirigeants et gouvernements et dont il a pris la suite s’en rien changer !

La conclusion il est trop tard ce président est là jusqu’en 2027 car réélu par défaut des Français perdus n’était pas fait pour être chef d’état et ne nous protège pas c’est cela la réalité car d’un autre monde pas celui des Français lambda QU’IL NE COMPREND PAS !

Jdeclef 28/09/2022 09h55


mardi 27 septembre 2022

Pour qui se prend-il notre pseudo monarque sans couronne dont les autres l'ignore !?

 

Macron veut rencontrer Xi Jinping en Chine en novembre

LETTRE CHINOISE. Plusieurs sources confirment un projet de visite à Pékin autour du G20 de Bali. Au risque de susciter une polémique en Europe.

Le président se promène à l’étranger pour se faire mousser alors que la France va mal et qu’il n’est pas capable de régler les problèmes intérieurs de notre société française !?

Ce serait son troisième voyage à Pékin. Après le South China Morning Post en juillet, plusieurs sources confirment désormais qu'Emmanuel Macron envisage de se rendre en Chine au mois de novembre, autour du G20 à Bali. Le 18 septembre, Noah Barkin, chercheur spécialiste de la Chine au German Marshall Fund et au Rhodium Group, a affirmé sur Twitter que le président français prévoirait de rendre visite à Xi Jinping dans la foulée du chancelier allemand Olaf Scholz, qui vise lui-même le 4 novembre.

Une source diplomatique du Point a attesté qu'un tel projet de visite était dans les tuyaux. Durant l'été, selon son entourage, le président a bien affirmé en privé sa volonté de rencontrer Xi, en Chine si une entrevue bilatérale n'était pas possible en Indonésie.

Le SCMP avait surpris il y a deux mois en affirmant que les autorités chinoises avaient envoyé à plusieurs dirigeants européens des invitations pour rendre visite à Xi Jinping après le 20e Congrès du Parti communiste chinois. Celui-ci s'ouvrira le 16 octobre et devrait maintenir son dirigeant suprême pour cinq ans encore. D'après un haut diplomate cité par le grand quotidien hongkongais, « un “débat houleux” [était] en cours à Paris sur comment traiter l'invitation ». L'annonce avait cependant été accueillie avec scepticisme, alors que Zhao Lijian, porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, avait dénoncé une « fausse information ».

Médiation de la dernière chance

Du fait de la pandémie, Xi Jinping est resté en Chine durant près de 1 000 jours, jusqu'à son récent voyage en Asie centrale, au Kazakhstan et en Ouzbékistan, à l'occasion d'une réunion de l'Organisation de coopération de Shanghai. Il avait cependant reçu des dirigeants étrangers, Poutine en tête, en février 2022 lors des Jeux olympiques d'hiver de Pékin – mais les gouvernements occidentaux et européens n'avaient pas fait le déplacement, dans le contexte d'un boycott diplomatique entrepris en raison de la situation des droits de l'homme au Xinjiang. Les relations entre la Chine et les États de l'Union européenne se sont fortement dégradées durant la pandémie de Covid-19, en particulier après que Pékin eut sanctionné des parlementaires et des institutions européennes en mars 2021, en représailles à des sanctions de l'Union contre des responsables chinois de la répression contre la minorité ouïgoure.

Gérard Araud – Ukraine, Taïwan… Petit cours estival de relations internationales

Emmanuel Macron n'avait donc pas pu concrétiser en 2020 et en 2021 son souhait formulé en début de mandat d'effectuer une visite annuelle en Chine, dans l'optique de renforcer l'autonomie stratégique de la France, et de faire pied à la relation transatlantique malmenée par 4 ans de Trump et par la signature de l'Aukus. Cette alliance nouée par Washington avec l'Australie et le Royaume-Uni avait sabordé un important contrat de sous-marins français, sans que Paris soit préalablement informé. Ce 26 septembre, la Maison-Blanche a cependant confirmé un projet de visite d'État du président français aux États-Unis pour le 1er décembre, complétant son agenda de voyage particulièrement chargé cet automne.

De nombreux dirigeants en Europe sont inquiets à propos de Taïwan. Il y a l’espoir qu’en parlant avec Xi Jinping, ces tensions et le risque d’un accident pourraient être réduits.Noah Barkin

Une visite en Chine viserait donc en premier lieu à réaffirmer l'autonomie stratégique française. Et jouerait un rôle de médiation alors que la venue de la présidente de la Chambre des représentants américaine Nancy Pelosi à Taïwan en août a été suivie d'un énième regain de tensions entre les deux superpuissances. « Après trois ans dans l'impossibilité de se rendre en Chine, Macron désirait s'y rendre. D'autant plus maintenant que le conflit Chine-États-Unis se réchauffe avec les tensions après la visite de Pelosi à Taïwan, analyse justement le chercheur Noah Barkin. De nombreux dirigeants en Europe sont inquiets à propos de Taïwan. […] Il y a l'espoir qu'en parlant avec Xi Jinping, ces tensions et le risque d'un incident pourraient être réduits. » Le chancelier allemand Olaf Scholz, comme Emmanuel Macron, espère en outre relancer les relations entre la Chine et l'Union européenne, mises à mal après l'effondrement de l'accord global sur les investissements signé en décembre 2020, mais gelé depuis les sanctions chinoises du printemps suivant.

« Mauvais signaux »

Enfin, sur le dossier ukrainien, le couple franco-allemand souhaite raisonner Xi Jinping, qui a maintenu son soutien diplomatique à Vladimir Poutine malgré l'invasion. « L'Europe veut très certainement offrir à la Chine une porte de sortie, ajoute Barkin. Il y a la volonté de dire très clairement à la Chine que cette guerre est un problème extrêmement important pour l'Europe. Le soutien chinois à la Russie est problématique. S'il continue ou même s'accroît, cela endommagera la relation entre l'Europe et la Chine. » À l'occasion de la rencontre entre Xi Jinping et Vladimir Poutine à Samarcande, durant le sommet de l'Organisation de coopération de Shanghai, les spéculations sont allées bon train sur de supposées failles dans l'axe Pékin-Moscou. « Je ne crois pas que Xi Jinping soit prêt à lâcher la Russie et son partenariat avec Poutine, douche Noah Barkin. La Chine peut s'accommoder d'une Russie affaiblie, mais pas d'un échec de Poutine ni d'un effondrement économique ou politique qui n'augurerait rien de bon pour Pékin. »

Le reclus Xi Jinping sort de Chine pour rencontrer Vladimir Poutine

Aussi, les projets de visite d'Olaf Scholz et d'Emmanuel Macron ne sont-ils pas sans risques. « Mener des visites personnelles à Pékin juste après le Congrès du PCC enverrait de mauvais signaux », craint-il. L'intérêt de Xi Jinping à relancer les invitations de dirigeants étrangers à cette période est clair : montrer que la Chine conserve des amis dans le monde, et particulièrement en Europe, et que des chefs d'État viennent lui rendre hommage après sa confirmation comme dirigeant suprême du parti. « Il est plus difficile de comprendre l'urgence d'une telle visite pour Scholz et Macron, s'interroge Barkin. Ils pourraient simplement rencontrer Xi à Bali, puis prévoir des visites, voire une visite commune, à plus long terme, plutôt que de se précipiter juste après le Congrès. »

Macron avait lui-même assuré en 2019 que l’Europe n’était plus naïve sur la Chine. Mais cette visite risque de nouveau de la faire paraître naïve.Noah Barkin

La stratégie de ce ballet diplomatique devrait maintenant être discutée lors du Conseil européen du 20 octobre. « En Europe de l'Est, il y a déjà des inquiétudes sur l'attitude de la France et de l'Allemagne vis-à-vis de l'Ukraine, note Barkin. Des voyages à Pékin des dirigeants français et allemand ne passeront pas bien dans cette partie de l'Union. » D'autant que Bruxelles travaille depuis trois ans à faire émerger une politique externe plus lucide dans sa relation avec Pékin. « Macron avait lui-même assuré en 2019 que l'Europe n'était plus naïve sur la Chine. Mais cette visite risque de nouveau de la faire paraître naïve », conclut l'expert.

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Se moque mais comme il ne s'en aperçoit pas manquant d'amour propre en bon petit bourgeois parvenu aveuglé par son orgueil démesuré !

Il aime tant se promener pour se faire remarquer discourant comme d'habitude en s'écoutant parler pour ne rien dire !

Étant donné qu'il n'a pas réussi en politique intérieure française car dédaignant les Français lambda n'étant pas de son monde il croit être meilleur à l'international mais là il se trompe encore plus car personne ne l'écoute !

Car nous sommes mal dirigés et gouverné par lui sans originalité et par d'autres avant lui dont il a pris le pli et la suite !

Mais n'a obtenu qu'une majorité relative au parlement ce qui semble ne pas le gêner !?

la seule chose qu'il a réussi c'est sa réélection par défaut faute d’opposition structurée par des politiciens de tous bords médiocres !

Et une FRANCE qui compte de moins en moins dans le concert des nations par la qualité dégradée de ses dirigeants de tous bords qui font de la politique politicienne médiocre qui démontre la déliquescence de tous nos ministères pour la vie intérieure des Français qui de fait ne savent plus voter car perdus ne sachant pour qui ou pourquoi tant tout va mal !

Surtout en cette période tendue et qui semble ne pas s’améliorer que ce soit avec cette économie inflationniste et crise internationale dont la France ne voit pas le fond sans la pousser car elle y glisse toute seule !

Pendant ce temps-là notre président se balade car çà il aime parler en donnant des leçons s'en est même maladif mais totalement improductif dans tous les domaines !

On est vraiment mal gouverné çà c'est la réalité !

Jdeclef 27/09/202217h21