mardi 31 mai 2022

Cette information de l'OTAN nous remet 75 ans en arrière avec cette guerre froide qui se réchauffe ! Car les hommes de tous pays sont incurables avec leurs guerres !

 

L’Otan estime avoir le droit de déployer ses forces dans l’est de l’Europe

Le chef adjoint de l’Alliance a estimé que l’Otan n’était plus tenue par ses engagements envers Moscou et pouvait déployer ses forces en Europe orientale.

MAIS LES FRANÇAIS LAMBDA N’Y CROIENT PAS À CETTE GUERRE A LEUR PORTE ALORS….TANT PIS ?!

Le chef adjoint de l'Otan, Mircea Geoana, a estimé dimanche 29 mai que dans le contexte de l'invasion russe en Ukraine, l'Alliance atlantique n'était plus tenue par ses anciens engagements envers Moscou de ne pas déployer ses forces en Europe orientale.

L'Acte fondateur sur les relations entre l'Otan et la Russie, signé il y a 25 ans, prévoyait entre autres des mesures visant à « prévenir toute concentration de forces conventionnelles », notamment en Europe centrale et orientale. Mais en attaquant l'Ukraine et en rompant tout dialogue avec l'Alliance, la Russie a elle-même « invalidé le contenu de cet Acte fondateur », a souligné Mircea Geoana dans une interview à l'Agence France-Presse à Vilnius.

Les Russes « s'y étaient engagés à ne pas agresser les voisins, c'est ce qu'ils sont en train de faire, et à tenir des consultations régulières avec l'Otan, ce qu'ils ne font pas », a précisé Mircea Geoana.

Défense européenne : Thierry Breton propose aux 27 des achats d'armes en commun

Une réunion au sommet à la mi-juin

L'Acte fondateur « ne fonctionne simplement pas, à cause de la Russie », a-t-il estimé. Selon le chef adjoint de l'Otan, l'Alliance n'a désormais plus « aucune restriction » pour se doter d'une « posture robuste sur le flanc est ». En 2017, l'Otan a déjà déployé des groupements tactiques multinationaux dans les États baltes et en Pologne pour dissuader la Russie, puis envoyé des renforts après l'invasion russe de l'Ukraine fin février.

Otan : les dessous du marchandage d'Erdogan

Les États baltes souhaitent actuellement une présence de l'Otan encore plus importante et lui demandent notamment de développer des brigades, à la place de groupements tactiques moins importants. Les ministres de la Défense de l'Otan se réuniront à la mi-juin pour discuter de cette question, et les dirigeants de l'Alliance devraient sanctionner les décisions lors du sommet qui se tiendra à Madrid à la fin du même mois.

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Et peut-être plus grave en matière d'insécurité, « Kaliningrad », préfecture de ce qui était, jusqu'à la dernière guerre, la Prusse Orientale. Un abcès russophone dans les fesses de l'EUROPE !?

De toute façon on ne fait plus les guerres comme celles mondiales du passé dans ce monde toujours divisé EST/OUEST en 2 clans ceux qui font la guerre dite conventionnelle comme en Ukraine et certains pays Européens France Angleterre avec un mini bouclier dissuasif nucléaire adossé à l’allié de l'autre clan USA et son OTAN avec leurs forces de frappes nucléaires aviation sous-marins lanceurs d'engins et LA RUSSIE et son dictateur dérangé nostalgique de son empire russe perdu qui dissémine ces vecteurs de morts missiles hypersoniques à longue portée qu’il peut lancer en quelques minutes et frapper en quelques centaines de secondes sur n’importe qu’elles capitales occidentales !

Ajouter à cela la CHINE autre danger nucléaire et sa puissance en indo-pacifique qui peut frapper TAIWAN et qui commence déjà à l’intimider par des survols aériens d’avions et son dictateur XI JINPING !

Sans compter le reste des petits pays nucléarisés IRAN ISRAEL INDE PAKISTAN COREE DU NORD !

Pendant ce temps là nous français lambda inconscients on pense à la plage et à la bronzette au soleil et un peu à notre pouvoir d’achat qui diminue avec nos dirigeants dépassés depuis 2017 ou « le quoi qu’il en coute » est caduque et réélus jusqu’en 2027 !?

En priant qu'un de ces fous qui gouvernent ce monde malade ne commettent pas l'irrémédiable à, cause de leurs égos démentiels ivres de pouvoirs principal défaut des hommes !

Jdeclef 31/05/2022 14h36


lundi 30 mai 2022

C'est le monde des soi-disant supporters de ce football l'argent roi draine aussi de la fausse billetterie d'une voyoucratie bien organisée c'est un tout !

 

Liverpool « a laissé ses supporteurs dans la nature », selon la ministre

Amélie Oudéa-Castéra, ministre des Sports et des JO, estime que plus de 30 000 personnes étaient munies de faux billets samedi soir.

(UN PEU DEPASSE LA NOUVELLE MINISTRE DES SPORTS COMME LE GOUVERNEMENT MACRONIEN !?)

La ministre des Sports et des JO, Amélie Oudéa-Castéra, a estimé lundi sur RTL que Liverpool « avait laissé ses supporteurs dans la nature » à l'occasion de la finale de la Ligue des champions samedi et a, part ailleurs, jugé « regrettable » l'utilisation de gaz lacrymogènes face à des familles devant le Stade de France. « Le fait que le club du Real ait à ce point encadré la venue de ses supporteurs à Paris […] ce qui tranche radicalement avec ce qu'a fait le club de Liverpool qui a laissé ses supporteurs dans la nature, a créé une différence majeure », a estimé la nouvelle ministre deux jours après le fiasco de la finale.

Interrogée sur le nombre de spectateurs anglais sans billets, elle a cité le chiffre de « 30 000 à 40 000 personnes de “faux billets” et de “sans billets” ». Interrogée précisément sur la proportion de faux billets, elle a dit : « on va regarder tout ça ». « Il faut qu'on regarde d'où viennent ces faux billets », a-t-elle ajouté. Elle a confirmé que Liverpool avait demandé à l'UEFA, qui a accepté, de ne pas recourir à l'application mobile, mais à avoir des billets papiers, « un circuit de billets papiers qui a créé des débordements ».

Gérald Darmanin sera présent à la réunion de lundi matin

Elle a jugé « que la dimension la plus regrettable de ce qui s'est passé » était que des gaz lacrymo gènes aient été utilisés face à des familles et des enfants venus assister à la finale. Interrogée sur le fait de savoir si elle était « inquiète » pour les futurs événements que la France allait organiser comme les JO, elle a répondu que la France « était capable d'organiser de très grands événements sportifs » citant le Tour de France ou l'Euro 2016. « Je ne suis pas inquiète, je suis très engagée, très soucieuse qu'on tire absolument toutes les leçons de ce qui s'est passé samedi soir pour optimiser tout ce qui doit l'être en prévision de la Coupe du monde de rugby 2023 et des Jeux olympiques et paralympiques 2024 », a-t-elle ajouté.

Ligue des champions : le Real s'offre un 14e titre face à Liverpool

En fin de matinée, une réunion est organisée au ministère des Sports pour faire le point sur les dysfonctionnements avec les organisateurs sportifs, notamment le consortium du Stade de France en présence du ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin, l'UEFA, ou encore la mairie de Saint-Denis. Elle a évoqué des « responsabilités plurielles », citant aussi « certainement un manque de stadiers au niveau de ce qui avait été prévu par la Fédération française de foot, un problème d'exiguïté des zones de contrôle ».

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Des trublions qui n'ont rien à voir avec ce sport qui viennent se défouler à ces jeux du cirque moderne ou la billetterie à forcément des failles et entraine des heurts de plus dans ce sport de footeux indisciplinés ou il faut si peu d’incidents que ce soit dans les stades ou à l‘extérieur pour générer manifestations et violences !

Sport dit populaire tellement qu’il est incontrôlable car notre état régalien dont notre petit président bourgeois n’est pas de son monde est incapable de gérer car ne l’intéressant pas du haut de sa pseudo monarchie constitutionnelle pour toutes manifestations qu’elles soient sportives ou sociétales dans notre pays qui vit de plus en plus dans un désordre presque continuel pour tout et n’importe quoi !

Car le football est bien le reflet de notre société plébéienne dégradée qui devient une maladie virale car ces heurts touchent tous les championnats nationaux et internationaux et clubs français et ce depuis des années et notre état « macronien » est dépassé et même avant sinon que cela empire n’arrivant plus à gérer dans un pays ou trop de libertés sont mal encadrées ou pas du tout !

Et les manifestations et protestations diverses s’enchainent ce terminant toujours de la même façon sujet à dégradation heurts violences et Mr DARMANIN peut toujours essayer de se dédouaner il arrive toujours après la bataille et il faut surtout faire attention aux violence policières et associations de bienpensant qui les dénonceront !

Nous sommes devenus un pays de capharnaüm anarchique et in sécuritaire par un laissé aller à vau l’eau en matière de désordres divers ou tout le monde veut faire ses lois et régler ses comptes (par certains français trop gâtés !)

Jdeclef 30/05/2022 14h17


Les Français ont réélu leur président avec son gouvernement resserré ou l'on : Ne change rien une fumisterie pour Français gogos béats désabusés !

 

Coignard – Législatives : en attendant Macron

CHRONIQUE. À moins d’un électrochoc, la campagne officielle ne risque guère de captiver des électeurs peu mobilisés. C’est peut-être voulu…

C'est aujourd'hui ! La campagne des législatives est officiellement ouverte. Mais c'est une drôle de campagne comme il y eut, jadis, la « drôle de guerre » (expression d'ailleurs forgée sur une erreur de traduction) : rien ne se passe, personne ne bouge, aucun état-major ne semble désireux de prendre la moindre initiative. Surtout pas celui du général Macron, retiré pendant un long week-end dans sa forteresse de Brégançon. Au bout du compte, le 12 juin, ce sont les électeurs qui risquent de ne pas bouger et de prendre une bien fâcheuse initiative, celle d'aller à la pêche, à la piscine ou à la cueillette des fraises plutôt que de se rendre au bureau de vote.

La faute à qui ? Les responsabilités sont partagées. Mais il est évident que l'Élysée joue la montre depuis plus d'un mois : nomination tardive d'une Première ministre, attente interminable d'un nouveau gouvernement qui finalement n'incarne nulle « révolution », concentration des éléments de langage officiel autour du pouvoir d'achat, sujet qui ne porte pas à conséquences politiques fâcheuses. Quel opposant, quel électeur pourrait s'insurger contre des mesures destinées à soulager le quotidien des Français dans un contexte inflationniste inédit depuis 40 ans ?

Pour amadouer les plus grincheux, la possibilité de ne pas sanctionner de retrait de points sur le permis de conduire les petits excès de vitesse a été opportunément évoquée. Attention ! La possibilité, seulement ! Pas question non plus d'effaroucher les vestales de la sécurité routière !

Nelly Garnier : « Le mythe de l'homme politique séducteur pose problème »

Une indolence pas innocente

Mais pour l'instant, pas de débat, sur aucun sujet clivant ! Jean-Luc Mélenchon et ses ralliés peuvent présenter un programme économique délirant sans que rien ne se passe. Emmanuel Macron et sa Première ministre auraient pu axer la campagne de leur majorité sur le « plein-emploi », nouvel intitulé du ministère désormais occupé par Olivier Dussopt. Un objectif ambitieux, qu'Élisabeth Borne a déclaré « à portée de main » dans le discours qu'elle a prononcé lors de la passation des pouvoirs à Matignon. La (très faible) remontée du nombre de chômeurs annoncée la semaine dernière a rendu le maniement de cette thématique plus scabreuse.

Cette indolence n'est pas innocente. Toutes les enquêtes d'opinion prédisent une forte abstention. Abstention regrettable, certes, mais qui au-delà constitue un véritable paramètre politique. Se qualifier au second tour exige de réunir sur son nom au moins 12,5 % des inscrits. Avec 50 % de votants seulement, il faut réunir au moins 25 % des suffrages sur son nom dès le premier tour. Difficile quand chaque circonscription aligne en moyenne onze candidats. Dans ce contexte, faute de réveil citoyen, les triangulaires risquent d'être rares, et les coalitions avantagées. Il y en a deux sur la ligne de départ : la majorité présidentielle et la Nupes mélenchoniste…

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ou l'on revoit une majorité d'ex-ministres et une ministre devenue 1ere ministre du précédent quinquennat !

À cause d'une opposition divisée d'élus médiocres connus et usés avec un chef d'état qui a réussi à diviser les Français ce qui n'était pas dure à faire étant individualistes et versatiles !

Ce Mr petit bourgeois n'étant pas du même monde des Français lambda qu'il dénigre les prenant pour des idiots a réussi virtuellement à mettre en lice une ex-union des gauches extrémiste mélenchoniste qui n'a rien à voir ni à comparer avec elle de 1981 et l'élection de MITTERAND que beaucoup n'ont pas connu étant trop jeunes !

Et pour le chef d’état sans imagination change le nom de son parti la REM en RENAISSANCE pour faire croire qu’il évolue dans sa façon de gouverner (d’autres l’on fait avant lui comme la droite LR UMP avec d’autres multiples noms depuis que cette Vème république devenue monarchique existe !)

Le président continue à se moquer des Français qui ne s’intéressent pas à ces législatives ayant essuyé une campagne électorale insipide pour sa réélection avec une opposition divisée comme d’habitude mais avec des élus médiocres lamentables pour finir par une coalition patchwork de toutes couleurs extrémistes et son vieux tribun Mélenchon qui s’est bien amusé en semant un souk politique car ne roulant que pour lui et son plaisir, d’ailleurs il ne se présente même pas !

Les Français confirmeront que ce sont des électeurs ne sachant plus voter sérieusement depuis 40 ans râlerons après comme d’habitude et auront ce qu’ils méritent !

Jdeclef 30/05/2022 11h11


dimanche 29 mai 2022

Mais arrêtons avec ces expressions médiatiques E.MACRON n'a jamais eu de boussole !? Ce n'est qu'un bavard qui s'écoute parler qui en plus est réélu alors...

 

Écologie : Macron cherche encore sa boussole

Guillaume Sainteny, spécialiste du développement durable et de la fiscalité écologique, dresse le bilan environnemental du premier quinquennat.

La démocratie pourra-t-elle venir à bout des crises environnementales qui pèsent déjà sur notre quotidien ? Guillaume Sainteny, ex-directeur des études économiques et de l'évaluation environnementale au ministère de l'Écologie, enseigne à AgroParisTech et à Polytechnique. Pour lui, les structures et les outils de politiques publiques sont mal adaptés au traitement de ces enjeux.

Le Point :Quel est le bilan de la politique du premier quinquennat d'Emmanuel Macron en matière d'écologie ?

Guillaume Sainteny : L'action n'a pas été cohérente sur tous les plans. Le point le plus positif est une avancée significative en matière de maîtrise de l'artificialisation des sols. Sur ce point-là, on a eu un discours très cohérent dès la campagne de 2017, suivi d'actions concrètes : envoi aux préfets de trois instructions, recentrage du régime Pinel, fixation d'un objectif de « zéro artificialisation nette » à l'horizon 2050 et de diminution par deux du rythme de consommation d'espaces naturels d'ici à 2030.

Reste que, si l'on veut tenir les objectifs en termes de développement d'énergies renouvelables (photo - voltaïque, éolien…), il va falloir artificialiser des sols…

C'est certain. Les énergies renouvelables participent à l'artificialisation des sols, notamment le solaire au sol. Pour enrayer cette dernière, on a fait un moratoire de principe pour les grandes surfaces. En revanche, on a refusé d'inclure les surfaces logistiques dans ce moratoire. Or, elles consomment énormément d'espace.

Quels sont les points noirs de la politique environnementale du premier quinquennat de Macron ?

On peut noter plusieurs faiblesses : une stagnation en matière de fiscalité environnementale après le traumatisme des Gilets jaunes ; des reculs en matière de politique agroenvironnementale… L'agriculture, deuxième secteur émetteur de gaz à effet de serre en France, n'a pas réduit ses émissions. Le ministère de l'Agriculture vient de diminuer les obligations en matière de haies et, à la suite de la crise ukrainienne, de mise en culture des jachères. Or, haies et jachères permettent de stocker du carbone et jouent un rôle très positif en matière de biodiversité comme de limitation de l'érosion des sols.

Voyez-vous des signaux qui laissent supposer qu'Emmanuel Macron a les idées claires en matière d'environnement pour son second quinquennat ?

Je l'ai entendu dire deux choses significatives à ce sujet. Quelques mois après sa première élection, il a indiqué qu'avant de devenir président de la République il ne connaissait pas grand-chose à l'environnement. Plus récemment, il a répondu à quelqu'un qui lui reprochait son action insuffisante dans ce domaine qu'il n'avait pas les idées claires en la matière, parce qu'il n'y avait pas assez réfléchi quand il a été élu, et qu'il n'aimait pas agir sans avoir suffisamment réfléchi à un sujet. Depuis cinq ans, il est certain que ses connaissances et sa compréhension de ces sujets ont beaucoup progressé.

Après de multiples revirements sur certains dossiers…

Oui. Je crois que ce qui peut, en partie, expliquer ces revirements, c'est justement la connaissance insuffisante de ces enjeux au début de son premier mandat, qu'il admet lui-même. Une anecdote me paraît révélatrice. Lors d'une réunion, il y a quelques mois, avec les ONG, il leur a expliqué que certaines de leurs remarques étaient justifiées mais qu'elles sous-estimaient le principe de réalité. Cela pourrait signifier que dans ce domaine il s'est, lui aussi, heurté au principe de réalité. Mais, en même temps, l'action politique ne consiste-t-elle pas, précisément, à travailler à partir d'une réalité existante ?

Sur le nucléaire aussi, il a changé d'avis…

Je n'en suis pas sûr. Au contraire, il me semble qu'il a toujours été favorable au nucléaire , mais il a tardé à faire des choix, probablement pour des raisons politiques - il avait Hulot au gouvernement, Fukushima n'était pas si loin, l'opinion était divisée. Sa politique consiste à développer en même temps le nucléaire et les énergies renouvelables… avec tout de même, plus récemment, un bémol sur les éoliennes. Emmanuel Macron a vu qu' il y avait sur le terrain une opposition assez forte , ce qui le pousse à freiner l'éolien terrestre au profit de l'offshore. Pourtant, l'éolien en mer va aussi se heurter à des oppositions et pose également des problèmes en matière de biodiversité et de paysage. Par exemple, M. Castex a annoncé récemment le lancement de l'éolien en mer Méditerranée. Mais, en droit, plusieurs protocoles à la convention de Barcelone pour la protection de la Méditerranée y rendent difficile juridiquement l'installation d'éoliennes. D'autant plus qu'en Méditerranée, en raison des grandes profondeurs, on va installer de l'éolien flottant dans des aires marines protégées et en zone Natura 2000. Or qui dit éolien flottant dit bouées… qui doivent être amarrées par des milliers de chaînes qui endommagent les fonds marins et polluent la mer…

On a le sentiment que tous les ministres de l'Environnement finissent en ministres fantoches. N'y a-t-il pas un problème de gouvernance de ce sujet ?

Ce n'est pas un problème politique. C'est plutôt un problème de réforme de l'État. Il se pose de façon analogue dans la plupart des pays. Les structures et les outils de politique publique sont mal adaptés au traitement de ces enjeux. C'est vrai de la manière de compter : le PIB n'est pas adapté. Un accident de la route ou une pollution le font augmenter, la destruction d'un espace naturel ne le fait pas reculer… C'est vrai des circonscriptions administratives, qui ne correspondent pas à des unités biogéographiques. C'est vrai de la prise en compte du temps : l'annualité budgétaire entrave la prise en compte du temps long. Nous savons aujourd'hui que nos actions auront des conséquences sur les générations futures. Or celles-ci ne sont pas prises en compte dans les processus de prise de décision. Comment représenter les générations futures en démocratie ? Voilà une grande question à résoudre.

Quels seraient pour vous les indicateurs d'une politique environnementale réussie ?

Il n'existe pas un seul indicateur composite qui ferait l'affaire. Il en faut plusieurs. Par exemple, la diminution de la consommation du foncier naturel est un indicateur important. Je plaide pour un indicateur complémentaire de bon sens : mesurer l'intensité en emplois par hectare artificialisé. En effet, si on doit continuer à artificialiser, il paraît souhaitable que les avantages de cette artificialisation l'emportent nettement sur les coûts de destruction de la biodiversité et de disparition de terres agricoles. Par exemple, l'intensité en emploi à l'hectare des surfaces logistiques est faible. Les émissions de gaz à effet de serre restent un indicateur essentiel, mais il faut que ce soit en empreinte ! Prendre en compte la seule production est trompeur. Les indicateurs d'émissions de polluants de l'air sont importants, car celle-ci tue chaque année en France plus que le changement climatique. La protection de l'aspect paysager n'a pas de bons indicateurs. Or on voit bien que beaucoup de gens sont plus sensibles à cet aspect qu'à la biodiversité. Et, en outre, les paysages sont un facteur d'attractivité touristique. Un indicateur de ce type serait donc utile.

La question de l'artificialisation des sols, et plus généralement de l'occupation de l'espace, est pour vous centrale…

Oui, car elle a des conséquences en matière de changement climatique, de consommation d'énergie, de pollution de l'air et de l'eau, de biodiversité, de paysage, d'agriculture et de stabilité sociale… L'étalement urbain a en partie induit la crise des Gilets jaunes. Beaucoup de personnes qui étaient locataires en centre-ville ont voulu devenir propriétaires en périurbain. Pour commencer, elles ont fait un mauvais calcul en coût complet : elles doivent payer la taxe d'aménagement à la fin de la construction, la taxe sur le foncier bâti, l'assurance, l'entretien de la maison, l'entretien du jardin, deux voitures, etc. Entretenir le rêve de la maison individuelle n'aide pas tout le monde. Je plaide pour une mesure d'information très simple : que tout nouveau programme immobilier ait l'obligation d'afficher la distance jusqu'à la gare ou au transport collectif le plus proche, et la distance par rapport aux zones d'activités ou aux commerces les plus proches. Cela permettrait de favoriser une meilleure appréciation des coûts induits par la localisation du logement par chacun.

Voyez-vous des modèles particulièrement efficaces dont les politiques français pourraient s'inspirer ?

En France, nous avons une manière très réglementaire d'envisager l'environnement. Les pays anglo-saxons ont une manière de faire plus contractuelle. Dans le domaine de la biodiversité aux États-Unis, par exemple, mais aussi en Angleterre, en Australie ou en Nouvelle-Zélande, on signe des « servitudes de conservation ». Concrètement, le propriétaire d'une ferme, d'une forêt ou d'un espace naturel intéressant peut signer une convention - avec une ONG, une municipalité, un muséum… - dans laquelle il s'engage à certains types de gestion compatibles avec la biodiversité. En échange, il a droit à une réduction d'impôt. Le terrain reste donc privé, mais il est protégé efficacement, et sa protection coûte beaucoup moins cher que l'alternative, qui serait l'achat par l'État. En France, ce système a été voté dans la loi de 2016 sur la biodiversité - cela s'appelle ORE : obligation réelle environnementale -, mais sans régime fiscal.

Les activistes, et de plus en plus l'opinion, tendent à considérer en France qu'aucune politique écologique ne peut être efficace si elle n'est pas d'abord anticapitaliste. N'est-ce pas inquiétant ?

Je pense qu'une grande partie de l'opinion, notamment les jeunes, juge que la résolution des questions d'environnement ne progresse pas assez vite et que l'environnement continue à se dégrader. Ce en quoi ils ont plutôt raison. Cela ne signifie pas pour autant que d'autres systèmes feraient mieux. Il existe en économie de marché des outils pour mieux prendre en compte l'environnement, notamment le principe pollueur-payeur, l'écofiscalité incitative, l'internalisation de ce qu'on appelle les externalités environnementales, c'est-à-dire des coûts environnementaux… Ces principes étaient déjà présents dans la Déclaration de Rio en 1992. Ils sont compatibles avec l'économie de marché, mais force est de reconnaître qu'ils ont peu été appliqués.

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Il navigue à vue depuis le début de son précèdent quinquennat, on s'en est rendu compte avec les multiples erreurs ou indécisions des 5 ans passées ! 

Et il s’en fiche maintenant que les Français peureux l’ont réélu craignant le lendemain jusqu’en 2027 !

Ce ne serait pas trop grave si la situation internationale n’était pas là et qui s’aggrave sur le côté économique indirect (inflation galopante pouvoir d’achat en berne etc…) le tout sur fond de cette guerre Ukrainienne qui se dégrade la Russie remportant des victoires alors que l’on la disait petite armée de second ordre et ce malgré le soutien de beaucoup de matériel militaire des occidentaux et USA !?

Pensant ce temps-là les Français lambda inconscients trop gâtés mettent leurs têtes et fesses au bronzage du 1er week de mai en pensant déjà aux congés d’été !

En oubliant totalement les élections législatives qui ne les intéressent pas car ils en ont ras le bol des campagnes électorales soulantes insipides d’élus médiocres trop connus !

Car ce n’est pas notre président et sa 1ere ministre et son gouvernement issu du précédent qui changera la suite jusqu’à la rentrée pour nous protéger donc en fait les Français qui le peuvent ont raison d’en profiter !

Jdeclef 29/05/2022 14h57


C'est facile de critiquer un grand pays fédéral avec 50 états s'y différents :300 millions d'habitants probabilité de plus de malades avec des armes en ventes libres

 

Gérard Araud – Pourquoi l’Amérique aime tant les armes à feu

CHRONIQUE. Lorsqu’il était ambassadeur à Washington, Gérard Araud a compris d’où venait cet attachement aux armes. La tuerie dans une école du Texas n’y changera rien.

Encore un massacre d'enfants dans une école américaine, commis toujours de la même manière : l'assassin, plus ou moins déséquilibré, lourdement armé, procède méthodiquement à son crime avant d'être abattu par la police. C'est le 288e incident de la sorte aux États-Unis pour les cinq premiers mois de 2022. 288 ! Presque deux par jour. Heureusement, tous ne se terminent pas avec des victimes, mais, aujourd'hui, la mort par balle est devenue la première cause de décès chez les enfants américains. Toutes les écoles font d'ailleurs des exercices réguliers pour apprendre aux élèves à réagir en cas d'une telle attaque.

Le scénario qui suit une telle tragédie est désormais bien rodé : les démocrates, soutenus par les parents de victimes, réclament une réglementation des ventes d'armes pour mettre un terme à ce cycle infernal, tandis que les républicains les accusent de politiser l'événement, appellent à la prière, prétendent n'y voir qu'un problème de santé mentale et jugent qu'il faut renforcer la protection des écoles, en armant, par exemple, les enseignants. Hier, Fox News proposait de doter les classes de portes et de fenêtres blindées… Cela étant, la presse qui, dans des incidents précédents de cette gravité, pensait que le Congrès ne pourrait rester sans agir, ne fait même plus mine d'y croire. Tout le monde sait que rien ne se passera.

Au Texas, entre deuil et théâtre des ambitions politiques

Les 350 millions d'Américains posséderaient aujourd'hui 460 millions d'armes, soit 40 % du nombre total des armes détenues par des particuliers dans le monde. Il y a d'ailleurs fort à parier que, comme après chaque massacre, les ventes vont connaître un pic dans les semaines qui viennent. Chaque année, plus de 42 000 Américains meurent par balle, 1 500 en France. En d'autres termes, un Américain a un risque six fois plus élevé qu'un Français de mourir par balle. La détention généralisée des armes à feu a évidemment des effets meurtriers : elle facilite les suicides qui sont, de loin, aux États-Unis comme en France, la première cause de tels décès, elle conduit à des accidents et elle contraint la police à être plus meurtrière de peur que le délinquant ne soit lui-même armé. Chaque année, plus de 1 000 Américains sont tués par la police ; en France, la moyenne oscille entre 15 et 20…

Pionniers, NRA et 2e amendement

Toutes les explications possibles ont été données de cette folie américaine : l'histoire d'un pays de pionniers où on se faisait soi-même justice en l'absence de police, la méfiance vis-à-vis de l'État contre lequel on veut être prêt à se défendre, la puissance du lobby des manufactures d'armes, la NRA, « National Rifle Association », aux gros moyens financiers ou encore l'existence d'un amendement de la Constitution qui reconnaît le droit des citoyens à détenir des armes. Ces éléments jouent évidemment un rôle, mais, présents depuis toujours dans le pays, ils n'expliquent pas pourquoi les États-Unis sont saisis, dans ce domaine, d'une véritable frénésie depuis une vingtaine d'années, frénésie d'acquisition d'armes, puisque leur nombre a plus que doublé durant cette période, mais également frénésie pour lever toutes les limitations sur leur détention et leur port.

Les assemblées républicaines qui contrôlent une majorité d'États ont récemment multiplié les lois en ce sens jusqu'à interdire aux bars, aux Églises, aux hôpitaux et aux universités de refuser l'introduction d'armes dans leur enceinte. Au Congrès, les républicains se sont opposés à la moindre réglementation, ne serait-ce que pour avoir un fichier national des cas psychiatriques à consulter avant toute vente. On est là bien loin du sympathique folklore du Far West ; on est là loin même du seul effet des subventions de la NRA.

NRA à Houston : deux Amériques s'affrontent sur les armes

Guerre culturelle

En réalité, les armes sont devenues un des symboles de la guerre culturelle qui déchire les Américains. « God and Guns » – Dieu et les armes –, portent les stickers collés sur les pick-up aux larges pneus dans le Midwest. « Dieu et les armes », parce qu'on accuse la gauche et les élites des deux rives, de New York et de Los Angeles, de renier la vraie Amérique, celle qui va à l'église et qui porte des armes. C'est la révolte qui a porté Trump au pouvoir, celle des « red-necks » – des ploucs –, contre une Amérique où ils ne se reconnaissent plus. Nulle surprise que l'ancien président soit la star du Congrès de la NRA où il est toujours accueilli triomphalement et où on ne lui ménage pas le soutien le plus inconditionnel. Il est, en fait, impossible de conduire un débat serein sur cette question aux États-Unis.

Lorsque les uns demandent des mesures modestes et de bon sens pour réglementer, un minimum, un commerce qui est quasiment libre et sans contrôle, les autres réagissent non sur la base de ces propositions mais sur leur conviction que ce n'est qu'un premier pas pour leur prendre leurs armes, c'est-à-dire leur dignité d'homme libre. Les républicains n'ont alors d'autres choix que de surfer sur cette intransigeance. Pas un élu républicain qui ne se montre avec une arme au cours de sa campagne électorale. Plus d'un a envoyé une carte de vœux à ses électeurs le montrant avec toute sa famille, jeunes enfants inclus, chacun portant fièrement une arme automatique. Soyons, hélas, assurés que d'autres massacres se produiront.

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Qui n'ont pas les mêmes lois ou cultures historiques issues de l'Europe occidentale en majorité anglo-saxonne du XVIII eme siècle avec aussi avec ses diverses religions et langages de tous continents avec dans certains quartiers de plus grandes villes nord, est, sud et ouest et leurs quartiers ethniques différents et bien sûr avec une grande communauté noire libérée de l'esclavage des 1ers anglo-saxons devenus américains dans ces États-Unis d'Amérique de 1796 et après leur guerre de sécession de 1865 mais qui n'a pas effacé cette différence entre blancs et noirs métis et autres etc...

On dit ce pays le plus libre du monde, issu de multi-immigration européenne par vagues successives !

Qui n'est que le reflet de notre histoire ancestrale la seule différence avec nous quelle que soit leur couleur, leur accent ou langue quand on leur pose la question qui êtes-vous peu importe, l’état où ils résident ils répondent toujours nous sommes américains ce qui fait leur puissance !

Alors par leur constitution ils ont gardé ce droit et reflexe ancestral de colons qui devaient se défendre contre toute agression depuis la conquête de leurs territoires leurs biens leurs vies dans ces épopées de colonisateurs en se protégeant contre les 1ers occupants tribus indiennes et aussi brigands de tous poils dans leurs propres rangs !

Donc balayons devant notre porte nous européens désunis qui avons tant fait de guerres sur nos sols pour nos empires et colonies dans notre Europe depuis des siècles, remontant à des millénaires au moyen-âge car ce sont nos descendants et on les appelle encore pour nous défendre comme pendant nos dernières guerres mondiales !?

Jdeclef 29/05/2022 13h33


Ce sport est vraiment devenu les jeux du cirque rétrogrades pour des supporters voyous déjantés incontrôlables : Du pain et des jeux comme sous l'empire romain avec notre petit "César"

 

Ligue des champions : la finale gâchée par des heurts au Stade de France

Le choc entre le Real Madrid et Liverpool a été entaché par des scènes de chaos aux abords du stade, en raison de supporteurs sans billets, selon l’UEFA.

Chaos et frustration : samedi 28 mai, les forces de l'ordre ont été débordées aux abords du Stade de France par l'afflux de dizaines de milliers de supporteurs et des tentatives d'intrusion de personnes sans billet rêvant d'assister à la finale de Ligue des champions Liverpool-Real Madrid (0-1). Gaz lacrymogènes, tentatives d'intrusion en escaladant des barrières, foules amassées et impatientes… Après avoir longtemps été bon enfant, l'ambiance s'est brusquement crispée à l'approche du match.

Cette pagaille a contraint les organisateurs à retarder le coup d'envoi de plus de trente minutes et a considérablement frustré des spectateurs qui avaient payé leurs billets, mais ont manqué toute la première mi-temps. Pour expliquer ce chaos, l'UEFA a avancé que l'accumulation de spectateurs « a été provoquée par des milliers de spectateurs munis de faux billets ». Soixante-huit personnes ont été interpellées et 39 placées en garde à vue. La brigade des sapeurs-pompiers de Paris a de son côté évoqué « une soirée plutôt calme » en termes de prises en charge. En tout, 238 personnes ont été prises en charge par les différents services de secours à un moment de la journée, pour des « urgences relatives », allant de l'état d'ébriété ou de petits accidents, y compris des intoxications au gaz lacrymogène.

Ligue des champions : le Real s'offre un 14e titre face à Liverpool

Tout avait pourtant débuté dans une ambiance festive et très bon enfant, sous le grand soleil d'un Paris printanier : habillés des maillots des Reds ou de tuniques blanches madrilènes, des dizaines de milliers de supporteurs déferlaient tranquillement dans la capitale française, invités à rejoindre des fan-zones distinctes. Mais à moins d'une demi-heure du début du match, l'ambiance s'est tendue quand au moins un millier de supporteurs ont été ralentis avant de pouvoir entrer, contenus par les gendarmes. Énervés, ils criaient « open the gate  » (« ouvrez le portail »), alors que les supporteurs ne pouvaient passer qu'un à un.

Un jeu du chat et de la souris

Puis de véritables intrusions ont mis à mal le dispositif. Des gaz lacrymogènes ont commencé à être lancés pour empêcher quelques dizaines de jeunes d'escalader agilement les barrières. Agents de sécurité et gendarmes se sont alors lancés à leur poursuite, pour les faire aussitôt ressortir. Ce jeu du chat et de la souris s'est poursuivi, même une fois le match commencé. Et peu avant 22 heures, les forces de l'ordre ont dû charger, provoquant un mouvement de foule. De quoi mettre en colère des supporteurs de Liverpool, restés dehors, bien que munis de billets.

Par précaution, la préfecture de police avait déployé 6 800 policiers, gendarmes et pompiers. Le club de Liverpool a demandé l'ouverture d'une enquête. De son côté, le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin a pointé du doigt l'attitude de « milliers de supporteurs britanniques sans billet ou avec de faux billets qui ont forcé les entrées » du Stade de France, leur faisant porter la responsabilité du chaos. La finale initialement prévue à Saint-Pétersbourg avait été délocalisée au Stade de France, à la suite de l'invasion russe de l'Ukraine le 24 février. Mais les autorités n'ont bénéficié que de trois mois pour préparer l'événement au lieu de dix-huit, délai prévu dans le cahier des charges de l'UEFA.

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Où il faut à chaque fois une armée de forces de l'ordre pour les encadrer assortis de stadiers, pompiers pour penser leurs égratignures et bosses !

Un défouloir de la plèbe Française d'en bas des zones périphériques de PARIS d’IDF et aussi d'Anglais (ex hooligans) pourtant encadrés (mais chez eux pas en France) qui se déplacent chez nous pour se défouler ce qu’ils ne peuvent faire chez eux car les autorités anglaises et leurs fédérations ont réglées ces problèmes !?

Ils devraient prendre exemple ces footeux sur le RUGBY qui remplit aussi bien les stades avec des supporters et publics normaux et nombreux comme lors de la finale le même jour coïncidence entre Ulster d’Irlande et La Rochelle qui a gagné ce très beau match avec panache néanmoins joué à MARSEILLE mais avec un public discipliné en liesse pour un sport et des joueurs gentlemans !

La faute pour cette énième démonstration de voyoucratie de footeux est à mettre au débit de la FFF fédération qui ne privilégie que l’argent roi et a pourri ce sport et pour notre pays et indirectement à nos dirigeants : et notre président  (petit bourgeois ce n'est pas son monde) et ses gouvernements que le régalien n’intéresse pas qui n’arrive pas à simplement maintenir l’ordre dans des compétitions sportives alors pour le reste et notamment l’insécurité quotidienne ce n’est pas mieux et plus grave ne sachant que bavarder en s’écoutant parler !

Ce football sport qui représente une certaine France qui va mal pour une catégorie de Français qui ne respectent plus rien ni leur chef d’état et gouvernements néanmoins réélus par une majorité craignant le lendemain car désabusé n’ayant pas d’autres choix !?

Jdeclef 29/05/2022 11h12


samedi 28 mai 2022

Propagande ou pas la RUSSIE montre qu'elle a encore des armes de pointe pour menacer : les faits les occidentaux sont là au pied du mur Russe vociférant mais c'est tout !?

 

La Russie a lancé un missile hypersonique « avec succès » vers l’Arctique

Alors que les forces armées russes intensifient leur offensive en Ukraine, Moscou a annoncé samedi avoir réussi un tir d’essai d’un missile de croisière.

Samedi 28 mai, l'armée russe a annoncé avoir effectué avec succès un nouveau tir d'essai du missile de croisière hypersonique Zircon, au moment où Moscou intensifie son offensive en Ukraine. Le missile Zircon a été tiré depuis la frégate Amiral Gorchkov, en mer de Barents, vers une cible dans les eaux de la mer Blanche, dans l'Arctique. Selon le ministère russe de la Défense, la cible, située à un millier de kilomètres, a été visée « avec succès ».

Le tir a été effectué dans le cadre des « essais de nouvelles armes » russes, ajoute le communiqué. Le premier tir officiel d'un Zircon remonte à octobre 2020, le président Vladimir Poutine ayant alors salué un « grand événement ». D'autres essais ont eu lieu depuis, notamment à partir de la frégate Amiral Gorchkov et depuis un sous-marin immergé. D'une portée maximale d'environ 1 000 kilomètres, celui-ci doit équiper les navires de surface et les sous-marins de la flotte russe.

Bruno Tertrais – La guerre, encore et toujours

Une famille d'armes qualifiées d'« invincibles »

La Russie, qui a lancé le 24 février une guerre en Ukraine, a annoncé en mars y avoir utilisé des missiles hypersoniques Kinjal, un recours en combat qui a semblé être une première, Moscou n'ayant jusque-là jamais fait état de l'emploi de ce type d'armes, sauf pour des essais. Les missiles balistiques hypersoniques Kinjal et ceux de croisière Zircon appartiennent à une famille de nouvelles armes développées par la Russie et que le président Vladimir Poutine qualifie d'« invincibles ».

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Si ce n'est que se moquer encore des européens occidentaux et surtout des USA son ennemi héréditaire !

Et en ce qui concerne sa guerre en Ukraine le marteau pilon sur les villes du DOMBASS s’intensifie malgré le soutien matériel des alliés occidentaux et US !

De plus les sanctions  financières ou autres de cette coalition (encore dispersée européenne) envers Poutine sont pour l’instant à effets limités car la politique du dictateur russe n’a rien à voir avec la gestion économique des occidentaux ou le fameux « quoi qu’il en coute macronien qui n’existe pas » les russes sont habitués à baisser la tête et ce serrer la ceinture et très nationalistes car modelés pour cela depuis 75 ans avec le petit père des peuples STALINE et sous l’ex URSS et même remontant à leur ancien empire tsariste que POUTINE voudrait reconstituer !

Car la Russie n’est peut-être pas une puissance militaire de 1er ordre comme se plaisent à dire nos éminents généraux fats bien que possédant des milliers de têtes nucléaires !?

Mais surtout possédant en quantité importante des matières premières agricoles donc alimentaires blé et autres et énergétiques pétrole gaz charbon en grande quantité et en plus ayant mis à genoux l’UKRAINE et ses ressources qu’elle ne peut plus exporter vers l’Europe occidentale comme le blé mais pas que cela !

Ce qui bien sur fait monter très rapidement l’inflation en occident par les spéculations sur ces ressources diverses énergiques ou autres car bien sur nos dirigeants n’ont rien appris de la crise des supprimes de 2008 et la BCE n’a pas de solution car la crise est devant nous (et nous petits français lambda inconscients ne pensons qu’à nous faire bronzer au soleil des vacances d’été !?)

Il faut dire qu'avec les dirigeants que l'on a pour nous protéger, grands bavards on n'est pas mieux loti mais c'est nous qui les avons élus et réélu ! 

Jdeclef 28/05/2022 13h03


Le fait si c'est le cas que la victime soit juive n'enlève rien à la lâcheté de ce crime odieux ! Maudits faits divers relayés par des médias en quête de scoop !

 

Un juif poussé du 17e étage d'un immeuble à Lyon, un crime antisémite ?

Le parquet de Lyon a saisi les juges après la révélation d'éléments à caractère antisémite rédigés par le mis en examen sur les réseaux sociaux. 

Pour le Crif Auvergne-Rhône-Alpes, « c'est une affaire loin d'être élucidée, un juge d'instruction a été désigné. Nous suivons les évolutions de l'enquête », prévient Nicole Bornstein, sa présidente. Le spectre de l'affaire Sarah Halimi, du nom de cette vieille femme défenestrée après avoir été battue à mort dans son appartement à Paris par un homme jugé irresponsable par la justice et pour laquelle le magistrat instructeur a longtemps hésité avant de retenir la circonstance aggravante d'antisémitisme, hante une partie de la communauté juive.

De nouveaux éléments sont apparus dans une enquête journalistique du Progrès de Lyon ce 27 mai faisant état de l'activisme sur les réseaux sociaux de Rachid Kheniche, mis en examen pour homicide volontaire, dans lesquels il s'en prenait régulièrement aux juifs, indique le quotidien local. « À la suite d'éléments recueillis sur les réseaux sociaux et qui viennent d'être portés à la connaissance du parquet, ce dernier a décidé d'élargir la saisine des juges d'instruction à la circonstance aggravante d'acte commis à raison de l'appartenance de la victime à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée », a précisé Nicolas Jacquet, le procureur de Lyon le 27 mai.

« Si l'antisémitisme peut effectivement être une caractéristique de sa personnalité complotiste, il nous faut encore démontrer qu'il s'agit d'un crime antisémite, c'est-à-dire motivé par le fait que René Hadjadj a été assassiné parce qu'il était juif » tient à préciser une source proche de l'enquête.

La piste d'une dispute entre voisins

Que s'est-il passé le 17 mai dans cette barre d'immeuble du quartier de La Duchère situé dans le 9e arrondissement de Lyon ? Selon l'enquête confiée à la section « crime » de la sûreté départementale (SD) du Rhône, René Hadjadj, 90 ans, qui vit seul au deuxième étage d'un immeuble de l'avenue du Plateau rejoint Rachid Kheniche, 51 ans, un voisin qui, lui, habite au 17e étage.

Le vieil homme, souvent seul, a l'habitude de retrouver son « ami », d'origine algérienne comme lui, avec lequel ils partagent « l'apéro » et des moments festifs. Ils vont tantôt chez l'un, tantôt chez l'autre. Il leur arrive également de suivre l'actualité ensemble. Le voisin de René Hadjadj a été décrit comme complotiste dans l'enquête de voisinage effectuée par les enquêteurs. Ce jour-là en toute fin d'après-midi, les deux hommes se seraient disputés. Le quinquagénaire a alors empoigné René Hadjadj et l'aurait fait basculer dans le vide.

« Présomption d'antisémitisme »

Il a fallu quelques jours d'investigations aux limiers de la SD pour reconstituer le scénario. Le soir du drame, la piste de l'accident d'un vieillard basculant de son balcon était évidente dans le quartier. Depuis, Rachid Kheniche a été interpellé, déféré, mis en examen pour homicide volontaire et placé en détention.

L'ancien autoentrepreneur en nettoyage sans activité ces dernières années n'a pas pu donner une explication à son geste fatal. Il est décrit comme « cintré » (fou, NDLR) par les enquêteurs, mais à ce stade il est incarcéré en maison d'arrêt et non dans le service psychiatrique d'un établissement de santé, comme le relayaient plusieurs messages sur les réseaux sociaux ces derniers jours, voulant faire croire à une « complaisance » de la justice avec les « assassins ».

Si plusieurs personnes influentes au sein des institutions et associations représentant la communauté juive militent pour une présomption d'antisémitisme quand un juif est victime d'un crime ou d'un délit (quitte à revenir sur cette circonstance pénale aggravante lorsque l'antisémitisme n'est pas démontré après enquête), ce n'est pas le point de vue d'Ariel Amar, candidat à la succession de Francis Kalifa à la présidence du Crif, dont la campagne se déroule actuellement : « Les juifs doivent être traités comme tous les citoyens. La surenchère ne sert pas notre communauté. Cela n'empêche pas d'être vigilant. »

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Les médias adorent mettre en exergue des faits divers ou crimes agressions violentes soi-disant à consonances ethniques ou religieuses pour encore mieux diviser notre société Française malade de ses communautarismes et mysticisme divers moyenâgeux!

Car nos bienpensants donneurs de leçons partisan du politiquement correct hypocrite ne veulent pas admettre que les Français et les hommes dans le monde et donc dans notre pays sont différents par leurs cultures, religions ou même couleurs de peau !

Avec des médias qui amplifie ces informations pour faire du buzz et jeter de l’huile sur le feu !

L'universalisme religieux est l'idée que certaines religions ont une vocation universelle :

Forcément utopique car les hommes s’entretuent pour de multiples raisons depuis de millénaires par leurs crimes individuels ou de masse par des guerres ou attentats lâches comme dernièrement  ce dernier massacre dans cette école aux USA champion des va-t’en guerre ou du chacun pour soi pour soi-disant se défendre qui règle leurs comptes en tuant un maximum d’innocent par vengeance ou autres multiples raisons !?

Tant que les hommes ou femmes ne voudront pas admettre qu’ils sont différents en tout bien que de même race humaine depuis leur naissance ces divers drames continueront mais ce qui est très inquiétant c’est que cette violence criminelle diverse augmente partout dans le monde et les motifs pour celle-ci s’allonge !

Ce ne sont pas nos moralistes donneurs de leçons hypocrites qui arrangeront cela car en plus ils ajoutent une couche de mauvaise politique nationale et internationale en tirant toujours la couverture à eux et repoussant la faute sur les autres, principaux défauts des hommes (dit humain ce qui n’est pas une garantie dont certains font preuve…)

Jdeclef 28/05/2022 11h48




vendredi 27 mai 2022

Arrêtons avec ce parti LA REM ce n'était qu'un parti virtuel fantôme qui : Change de nom !? Pratique habituelle du président qui se moque des Français qui le méritent !

 

Pourquoi Macron enterre LREM

LETTRE DU PALAIS. Pour le chef de l’État, la « nouvelle méthode » qu’il a promise passe par un profond renouvellement du parti présidentiel.

Le « mandat nouveau » d'Emmanuel Macron est d'abord un changement de rythme. Depuis sa réélection, le 24 avril, c'est peu dire que le quinquennat se met lentement en place. En 2017, il fallait « transformer » tous azimuts, quitte à braquer le pays. En 2022, les réformes attendront, la priorité est à la « concertation » et à la recherche de « consensus ». Certes, le président attend de savoir s'il disposera d'une majorité pour agir après les élections législatives et quelle sera son ampleur. Son gouvernement, nommé après plus de trois semaines de réflexion, doit encore être complété.

Mais, au-delà d'une cadence considérablement ralentie, le chef de l'État doit encore concrétiser sa « nouvelle méthode » brandie comme un slogan durant la campagne. « Pour l'instant, on reste dans les paroles, la posture sans grande substance. Quel est le degré de sincérité de tout ça ? Est-il vraiment prêt au renouvellement ? » s'interroge, dubitatif, un cadre de la majorité présidentielle.

Le compte à rebours a commencé : ce qui attend Élisabeth Borne

En effet, Emmanuel Macron ne semble pas prêt à modifier radicalement sa façon d'exercer le pouvoir. Malgré le procès en verticalité, le locataire de l'Élysée continue de tout contrôler, des investitures de ses ouailles pour les législatives au devenir de La République en marche. Quand Stanislas Guerini, le délégué général, a profité de la création d'Ensemble, la confédération de la majorité, pour annoncer à la surprise générale que le parti présidentiel devenait dans le même temps Renaissance, il fallait évidemment y voir la patte du chef de l'État. Derrière ce qui a été perçu comme un simple changement de nom, le président a en réalité demandé à ses troupes d'enterrer en bonne et due forme le parti qu'il avait créé en avril 2016 afin de créer de toutes pièces une nouvelle organisation.

Quand Macron fait 28 %, LREM fait 10 % !Un parlementaire

Après les échecs successifs aux élections locales, la marque était considérablement affaiblie. Emmanuel Macron a acté que LREM, imaginé à l'origine comme un mouvement citoyen, était devenu un repoussoir. Il fallait tourner la page. Preuve en est : les élus qui le rejoignent refusent systématiquement d'y adhérer. Les critiques les plus vives sont d'ailleurs exprimées de l'intérieur. « Ce mouvement est à mon avis trop virtuel… On est dans l'entre-soi. On n'a pas de militants, on a des cliqueurs », avait, par exemple, déploré François Patriat, chef de file des sénateurs LREM, dans la foulée des élections régionales. Le ministre Gérald Darmanin, pourtant adhérent LREM, avait, lui, pointé un « problème de culture politique ». « C'est simple, quand Macron fait 28 %, LREM fait 10 % ! » étrille un parlementaire. Aux yeux du président, cette refondation partisane doit donc être suffisamment significative pour donner à voir sa « nouvelle méthode ». « Il y a eu un débat stratégique entre partir de la structure existante ou tout reprendre à zéro. Emmanuel Macron a tranché en faveur d'une totale réinvention », décrypte l'un de ses proches.

Congrès fondateur

Aux manettes, Stéphane Séjourné, président du groupe Renew au Parlement européen et ancien conseiller politique à l'Élysée. Fin connaisseur des organisations politiques, l'élu, qui a fait ses armes au Mouvement des jeunes socialistes puis au Parti socialiste, a été missionné par le chef de l'État pour mettre sur pied ce nouveau parti. L'eurodéputé doit imaginer des statuts, une structuration nouvelle. Pour cela, il s'inspire de certains modèles existant en Europe. Des réunions de travail sont encore prévues ce week-end ; Stéphane Séjourné doit notamment s'entretenir avec la Première ministre Élisabeth Borne, encartée à LREM. « La République en marche était adapté pour Macron I. C'était efficace, centralisé. Il faut maintenant passer à autre chose, le nouveau mandat doit s'accompagner d'un changement d'organisation. Le parti doit être à l'image de la nouvelle méthode. Renaissance a vocation à durer après 2027, à survivre à Emmanuel Macron », confie un dirigeant au fait des discussions. Il s'agit de « professionnaliser » et de permettre de « faire vivre les sensibilités politiques ». Comprendre : s'assumer enfin comme un parti politique et apprendre des erreurs qui ont plombé LREM.

Mélenchon : Macron face au « péril rouge »

Un congrès fondateur devrait se tenir dans la foulée des élections législatives. Une nouvelle direction va être installée, a fortiori jusqu'aux élections européennes de 2024. Stanislas Guerini, nommé le 20 mai au gouvernement, va passer la main. Les satellites de LREM – Agir, Territoires de progrès, En commun – ont vocation à être intégrés à Renaissance. L'implantation territoriale va être entièrement repensée : le nouveau parti macroniste sera décliné en fédérations locales, avec à leur tête des responsables qui seront élus et non plus nommés. Le système de motions sera autorisé et permettra de composer le conseil national du parti en respectant les diverses tendances. Les stratèges à la manœuvre se défendent toutefois de vouloir reproduire le fonctionnement du Parti socialiste, mettant en avant l'impératif de « modernité » dans la future organisation. Le principe de double adhésion pourrait être abandonné au profit d'une inscription payante. Un changement de locaux est même sur la table alors que LREM a récemment pris possession d'un vaste siège rue du Rocher, dans le 8e arrondissement de Paris. Bref, une révolution totale pour le camp du président.

Son contre-modèle, c’est Donald Trump : faire deux mandats et céder le pouvoir à un dingo. L’idée qu’un dingue dirige la France depuis son bureau est atroce pour lui.Un intime du président

Autre objectif affiché : donner enfin corps au « macronisme ». Les lieutenants d'Emmanuel Macron ont tous échoué jusqu'ici à tenter de définir le corpus idéologique du parti présidentiel, jusqu'à Ismaël Emelien, pourtant l'un de ses concepteurs, auteur avec David Amiel du livre Le progrès ne tombe pas du ciel. L'ouvrage, voué à servir de manifeste politique aux Marcheurs, n'a pas recueilli l'audience escomptée. Une déclaration politique est en cours d'élaboration. Enfin – et ce n'est pas le moindre des sujets –, Renaissance devra désigner un candidat à l'élection présidentielle de 2027, Emmanuel Macron ne pouvant pas se présenter une troisième fois consécutive.

Une primaire pour désigner un candidat en 2027 ?

« Il est important pour le président que le parti s'inscrive dans la durée », indique Stanislas Guerini, patron des Marcheurs. Le président évoquerait donc ouvertement et sans tabou sa succession devant sa garde rapprochée, soucieux de préparer son héritage. « Son contre-modèle, c'est Donald Trump : faire deux mandats et céder le pouvoir à un dingo. L'idée qu'un dingue dirige la France depuis son bureau est atroce pour lui », confesse l'un de ses intimes. Lors du congrès fondateur, le sujet du mode de sélection du futur candidat issu de Renaissance sera donc posé, pour être tranché dans un second temps. L'idée d'une primaire n'est pas écartée. Au cours de cette phase de travaux préparatoires, Stéphane Séjourné a d'ailleurs pris soin de consulter sur cette question sensible et stratégique Bruno Le Maire et Gérald Darmanin, cités comme présidentiables. Il doit aussi échanger avec François Bayrou, patron du MoDem, et Édouard Philippe, à la tête d'Horizons, les partis partenaires.

Rompre ou ne pas rompre avec Macron : dans la tête d'Édouard Philippe

Reste à convaincre les actuels militants de LREM de l'opportunité de cette vaste réorganisation. Beaucoup de cadres sont sceptiques. Le bureau exécutif, qui n'avait pas été mis au courant de la création de Renaissance avant que Stanislas Guerini ne l'annonce en conférence de presse le 5 mai, doit être consulté d'ici juillet sur un certain nombre de modalités. « Les Marcheurs sont conscients des difficultés actuelles et ne sont pas choqués par le changement, ils sont prêts à suivre », assure-t-on au siège du parti. « Après tout, si les gens adhèrent à Renaissance comme ils n'ont pas adhéré à LREM, ce sera une bonne chose », se convainc un responsable de la majorité.

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N'avait été créé pour le président avec des députés choisi dans la société civile et députés novices et inféodés ni de droite ou gauche mais inféodé au président pour faire croire aux Français que lui-même n'avait pas de couleur politique partisane mais pour être majoritaire à l’Assemblée nationale !

C’était simplement une fumisterie ou escroquerie intellectuelle pour Français gogos qui n’avalent tout, pas une réussite en fait mais comme dans notre système électoral et notre Assemblée Nationale ou il faut des députés pour voter les lois issues du gouvernement et surtout du dirigeant en place il va changer le nom de son ex parti la REM en RENAISSANCE !?

La droite par exemple à changé maintes fois de nom de son parti LR depuis le début de cette V eme république devenue monarchique !

Mais forcément avec cette NUPES mélenchoniste extrémiste il faut bien un parti pour lui être opposé à celui du président au parlement !

Cela démontre le peu de valeur des partis devenus ringards et médiocres notamment depuis cette dernière campagne électorale déplorable pour la réélection du président qui n’a plus d’imagination ou ne nouveauté à proposer et va faire le reste de son quinquennat en roue libre jusqu’en 2027 puisque ne pouvant être réélu du fait de notre constitution !

Aux législatives les abstentions risquent de battre des records !?

Jdeclef 27/05/2022 13h37