jeudi 31 décembre 2020

MACRON ne sait pas gérer la FRANCE cette vaccination retardée en est une Preuve de plus !

 

Macron est-il efficace ? NON !D

ÉDITO. Pourquoi la compétition internationale qui commence sur le rythme de vaccination sera un test majeur pour le président de la République.

Les débuts de mandat sont propices aux imprudences et aux fanfaronnades. De ce point de vue, Emmanuel Macron n'a pas fait exception à la règle. Dans le grand entretien qu'il avait accordé au Point fin août 2017, il proclamait notamment ceci : « Nous avons tourné la page de trois décennies d'inefficacité »…

Avec le recul, la tentation de la moquerie est grande. On entend un peu dans cette phrase l'écho de cette célèbre sentence de Jack Lang en 1981 : « Le 10 mai, les Français ont franchi la frontière qui sépare la nuit de la lumière. »

Bien sûr, il est toujours cruel d'exhumer des déclarations passées. Selon une formule souvent attribuée à Richelieu, « qu'on me donne six lignes écrites de la main du plus honnête homme, j'y trouverai de quoi le faire pendre ».

Il n'empêche, et avec cette réserve, la question de l'efficacité de l'État est non seulement un enjeu essentiel pour la France, mais aussi, accessoirement, un test crucial pour Macron, qui avait fait de ce thème une sorte de mantra, peut-être son premier argument de vente. Sa promesse, en 2017, reposait beaucoup sur cette idée selon laquelle lui savait comment s'y prendre, et pouvait donc faire passer la France non pas de « la nuit à la lumière », mais de l'immobilisme à la performance.

Emmanuel Macron ou le choix des mots (c’est tout ce qu’il sait faire en s’écoutant parler...)

Bureaucratie française

A-t-il tenu parole ? Si l'on se cantonne à la gestion de la pandémie, le bilan provisoire est mitigé. Il lui est reproché notamment la pénurie de masques dans un premier temps, et de nombreux contretemps, cafouillages et blocages sur les tests par la suite. À sa décharge, une bonne partie de ces ratés peut être attribuée à la bureaucratie française, qu'il n'a certes pas inventée.

Les comparaisons chiffrées ne sont, pour l'instant, pas très flatteuses. Ainsi l'Allemagne, malgré une flambée récente des décès ces derniers jours, a fait jusqu'ici nettement mieux : deux fois moins de morts que nous, malgré une population plus nombreuse. Et sur le plan économique, la baisse de son PIB a été contenue en 2020 à environ 5,5 % en 2020, contre 9 % en France. Angela Merkel voit encore un « hiver difficile » se profiler, mais sa situation est plutôt enviable. La France, elle, est loin d'être la meilleure en Europe. Elle n'est pas non plus la pire, si l'on regarde, par exemple, le cas de l'Espagne. Élève moyen, pourrait-on dire.

Mais le vrai test arrive avec la vaccination. Il n'y a sur ce sujet ni héritage ni aléa viral qui tienne. Quant à la bureaucratie française, si elle est toujours là, elle est censée, selon les dires du président de la République, avoir été quelque peu domptée : « Nous avons su rendre notre État plus efficace pour faire face à l'urgence, sanitaire comme économique », a-t-il assuré le 24 novembre…

Sortie de crise

Même si la France possède la triste caractéristique d'avoir la population la plus « vaccinosceptique » d'Europe, il ne fera pas bon faire partie des cancres en la matière. Si d'aventure l'Allemagne, ou, pire, une majorité des pays de la zone euro, sortait de la crise nettement plus vite que la France grâce une campagne de vaccination plus rapide, l'effet serait désastreux.

Certes, nous n'en sommes qu'au début. Les retards se rattrapent parfois. Mais cette compétition vaccinale internationale qui commence sera une épreuve majeure pour Macron. L'homme, dit-on, ne déteste pas l'émulation. « Une compétition, elle est réussie quand elle est gagnée », avait-il asséné en 2018, à la veille de la Coupe du monde de football. Cette fois-là, cela s'était bien terminé…

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Tant pis on a encore choisi le mauvais cheval, mais le problème depuis les derniers quinquennats c'est qu'on se trompe à chaque fois et ça remonte à même avant, donc c'est de notre faute n'est-ce pas à nous français qui votons, enfin ceux qui votent encore au 2eme tour inutile, avec une majorité qui est loin de représenter la totalité de nos concitoyens, donc nous élisons un président par défaut !?

Mais cela ne va pas s'améliorer, car les candidats qui se sont déclarés pour le remplacer à la prochaine présidentielle sont d’une médiocrité connue, alors pour le changement à moins d’un miracle ou la venue d’un politicien sortant de l’ordinaire, il sera peut-être réélu, si le scénario de 2017 se reproduit et on n’en sortira pas et l’abstention des électeurs français dégoutés augmentera !

En ce qui concerne cette vaccination contre la Covid 19 ce matin, coïncidence je suis allé chez mon médecin pour renouveler mon traitement ALD (je suis un patient à risque) et je fais partie des 40% de français voulant être vacciné, j’ai 73 ans mon médecin m’a dit que je pourrais être vacciné en avril 2021 ?!

Alors je dis merci, Mr le président pour votre réactivité d’escargot et bonne année 2021, je n’aurais pas cru cela en France mon pays souvent arrogant donneur de leçon, à la pointe de tout, semble-t-il, avec ses vœux et discours alambiqués qui ne changeront rien !

Jdeclef 31/12/2020 17h24


En ce qui concerne l'unité il va peut-être réussir à réunir tout le monde contre lui !?

 

Nouvel An : Emmanuel Macron va présenter ses vœux à l'heure du Covid-19

Le chef de l'État devrait «  donner des perspectives sur la suite  » avec «  l'arrivée du vaccin  » et délivrer un «  message d'unité  ».

Une allocution sans cotillons. Emmanuel Macron présente ses vœux aux Français jeudi 31 décembre 2020 à 20 heures au terme d'une année particulièrement éprouvante, marquée par une épidémie qui ne faiblit pas et qui continuera à bousculer l'agenda présidentiel en 2021. Le président de la République aura «  un message de vérité, de transparence sur une année extrêmement difficile pour le pays  », souligne le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal.

Après une année 2020 jugée négative par 82 % des Français (+ 35 points), selon un sondage Harris Interactive, le chef de l'État devrait «  donner des perspectives sur la suite  » avec «  l'arrivée du vaccin  » et «  notre économie qui doit repartir  », ainsi qu'un «  message d'unité  », précise-t-il. 2021 sera une année de «  résultats  », «  d'actions concrètes  » et de «  poursuite de l'agenda des réformes  », promet l'Élysée. «  Ce que nos concitoyens attendent de nous pour l'année 2021, c'est d'en faire une année utile de combat, de relance et d'ambition  », avait lancé Emmanuel Macron, lui-même atteint du Covid-19, au dernier conseil des ministres, le 21 décembre.

Ces 20 moments qui ont marqué 2020

Le président veut reprendre la main après une année 2020 balayée par une «  pandémie historique, les crises internationales, le terrorisme, les divisions de la société et une crise économique et sociale sans précédent  », selon ses propres termes. Et qui s'est terminée par le décès au Mali lundi de trois militaires français, auxquels le Premier ministre Jean Castex rendra hommage depuis le Tchad, juste après les vœux télévisés du chef de l'État à l'Élysée.

«  Incontrôlée  »

La crise sanitaire reste la priorité du président, dont ce sera, jeudi à l'heure du couvre-feu, la neuvième allocution télévisée, pas moins, cette année. Des adresses qui, à chaque fois, ont battu des records d'audience. Après avoir endossé l'uniforme de chef de guerre pour la première vague du virus, Emmanuel Macron a enfilé le costume de président protecteur face à la deuxième vague, appelant à «  l'unité  ». Mais ceux qui espèrent la levée des restrictions anti-Covid en 2021 en seront pour leurs frais : «  Il semble assez peu probable qu'on puisse alléger un grand nombre de contraintes  », selon Gabriel Attal, sceptique que les lieux culturels puissent rouvrir le 7 janvier.

En outre, le couvre-feu, suspendu le 24 décembre mais en vigueur pour le réveillon, devrait être avancé à 18 heures dans les régions les plus touchées à partir du 2 janvier. Une mesure que les élus des territoires concernés jugent même trop légère. Le niveau des contaminations se situe sur un «  plateau assez haut  » de 15 000 contaminations par jour en moyenne, selon Gabriel Attal, loin de l'objectif de 5 000. 24 560 malades du Covid sont hospitalisés, dont 2 652 en réanimation.

Vaccins : plusieurs élus aimeraient que le rythme s'accélère

Après les brassages de population des vacances de Noël, une «  reprise incontrôlée de l'épidémie  » en janvier est «  probable  », avertit le conseil scientifique, qui guide le gouvernement. Pour marquer cette année sans pareille, la promotion de la Légion d'honneur du 1er janvier rendra hommage aux personnes, connues ou anonymes, mobilisées contre le Covid-19.

«  Reconstruction »

Pour voir le bout du tunnel d'un virus qui aura tué en 2020 plus de 60 000 personnes en France, l'exécutif mise sur le déploiement de la campagne vaccinale, dont des soignants et responsables politiques de tous bords critiquent la lenteur. Une stratégie «  assumée  » par le ministre de la Santé, Olivier Véran, qui veut prendre le temps de la «  pédagogie  » dans un pays où la défiance envers les vaccins est forte.

Alors que l'incertitude demeure sur la réouverture des restaurants et bars le 20 janvier, Emmanuel Macron devrait également insister sur la «  reconstruction économique  » du pays, grâce à un État dépensier comme jamais. Il pourrait aussi évoquer les autres dossiers de son quinquennat éclipsés par la crise, comme la réforme des retraites, qui reviendra sur la table «  dès que la lisibilité sanitaire sera meilleure  », selon un conseiller de l'exécutif.

Covid-19 : ce que dit le droit sur l'obligation vaccinale

Le 2 octobre, le chef de l'État s'est attaqué au régalien en présentant sa stratégie pour lutter contre l'islam radical, avant le retour des attentats, qui l'ont conduit à durcir son discours sécuritaire. Se projetant vers la présidentielle de 2022, Emmanuel Macron, dont la cote de confiance reste stable à 49 % d'opinions favorables selon un récent sondage Harris Interactive, avance un nouveau slogan, «  Nous, Français  », qu'il présente comme «  un principe d'action  ».

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Alors qu'il abrège son intervention, l'épisode de cette vaccination retardée est un fiasco de plus comme les masques manquants ou les déconfinements trop rapides et les paperasseries attestations diverses pour faire rentrer un peu d'argent dans les caisses vidées par la crise économique induite à celle sanitaire !

Et qu’il arrête de s’écouter parler comme d’habitude, car depuis mars il nous soule pour ne rien dire de positif !

De toute façon il se croit indispensable comme d’autres présidents avant lui sans amour propre à égos démesurés, le défaut des français, c’est de les élire sans réfléchir !?

Jdeclef 31/12/2020 09h22


Est-ce-que le gouvernement borné assume aussi ses incompétences qui :

 

Vaccination anti-Covid : la France y va doucement, et c'est assumé

La stratégie vaccinale de la France, en retard sur ses voisins européens, est assumée par le gouvernement, qui préfère prendre le temps de tout expliquer.

Un million de personnes ont déjà été vaccinées aux États-Unis, 650 000 en Israël, plus de 600 000 au Royaume-Uni, 78 000 chez nos voisins allemands et 8 300 en Italie. En France, au quatrième jour de la campagne de vaccination, moins de 200 personnes ont pu bénéficier du vaccin contre le coronavirus. Une lenteur au démarrage qui suscite beaucoup d'incompréhension dans le camp de l'opposition, mais que le gouvernement semble pleinement assumer.

Comparer la situation de la France à celle des États-Unis n'est pas pertinent, puisqu'ils ont commencé bien plus tôt. Mais en Europe, les pays de l'UE ont tous commencé le 27 décembre. L'écart avec l'Allemagne, par exemple, est donc plus parlant. Une différence qui dénote un « retard français réel et impressionnant », a tweeté le sénateur PS Rachid Temal. « On pourrait peut-être accélérer un peu » pour « sauver des vies », a critiqué le président de l'UDI, Jean-Christophe Lagarde, sur RMC.

Olivier Véran ne veut pas confondre « vitesse et précipitation »

Le gouvernement avance « à tout petits pas », ce n'est « pas adapté » à la situation, a également déploré le généticien Axel Kahn. Il faudrait au contraire montrer de « l'enthousiasme » en accélérant la vaccination, sinon, les 30 à 35 % de « vaccino-sceptiques » vont être convaincus que, « si on va si lentement », c'est « qu'il y a un danger », a-t-il estimé sur Europe 1.

Covid-19 : le généticien Axel Kahn critique la stratégie vaccinale

« Cet écart que nous pouvons enregistrer aujourd'hui dans le démarrage – on dit parfois que ça va un peu lentement en France –, il est assumé », a revendiqué le ministre de la Santé, Olivier Véran, mardi sur France 2, assurant ne pas confondre « vitesse et précipitation ». « C'est le temps de l'explication, le temps de la pédagogie. Nous recueillons le consentement des personnes avant qu'elles ne soient vaccinées. Je crois que c'est un gage de confiance », a argumenté le ministre.

Les Allemands, a encore observé Olivier Véran, ont adopté une autre méthode en installant de « grands vaccinodromes » : cela peut être plus rapide mais cette stratégie, mise en place en France pour la vaccination contre la grippe A/H1N1 en 2009-2010, « n'avait pas marché », selon lui. Au final, « ce qui compte, c'est que, d'ici le mois de janvier, nous aurons rattrapé le décalage vis-à-vis de tout le monde », a assuré le ministre.

Le calendrier par étapes est-il efficace ?

La Haute Autorité de santé (HAS) a défini un calendrier de vaccination par étapes, donnant la priorité aux personnes à risque et à celles particulièrement exposées au virus.

Vaccin anti-Covid : les Ehpad face au recueil du consentement

Concrètement, la campagne débute par les quelque 750 000 résidents des maisons de retraite ainsi que par les salariés de ces établissements « qui présentent eux-mêmes un risque de forme grave (plus de 65 ans et/ou avec comorbidité(s)) ». Les publics ciblés doivent ensuite être élargis par étapes, les plus jeunes et les moins fragiles passant en dernier.

Plusieurs pays voisins ont adopté des stratégies similaires : en Allemagne, la vaccination concerne pour le moment principalement les séniors en maisons de retraite et leurs soignants. Au Royaume-Uni, priorité est donnée à ces mêmes catégories ainsi qu'aux plus de 50 ans et aux personnes à risque. En Italie, ce sont les professionnels de santé qui sont prioritaires, puis le personnel et les résidents des maisons de retraite.

Faut-il vacciner les soignants en premier ?

Les autorités israéliennes ambitionnent une vaccination massive : l'objectif d'un million de vaccinés – sur neuf millions d'habitants – est envisagé d'ici à la fin de la semaine. Et le quart de la population devrait l'être d'ici à un mois.

Coronavirus : dans le Grand Est, les vaccinations commencent lundi

En France, certains demandent un élargissement des publics ciblés : « Il faut faire vacciner les soignants en priorité », plaide Axel Kahn. « À titre individuel, j'aimerais être vacciné pour montrer l'exemple », a également souligné le professeur Philippe Juvin, élu LR et chef des urgences à l'hôpital Georges Pompidou.

« Si nous devions vacciner tout le personnel soignant, nous n'aurions pas assez [de doses] pour tout le monde », a cependant rappelé l'immunologiste Stéphane Paul dans Libération.

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Deviennent dangereuses pour le peuple de France par son incurie dans une majorité de domaine, santé et autres?!

Car risquer la vie de ses contemporains comme on le subit depuis le début de cette pandémie est incompréhensible et injustifiée !

Que va dire ce soir notre président donneur de leçons « je sais tout » car depuis mars 2020 il n'a pas été capable de prendre les bonnes décisions, cette vaccination retardée en est encore une de plus !

Je suis français de souche fier de l'être depuis des décennies ma famille a perdu bien de ses membres pendant les grandes guerres pour défendre le pays, on est en FRANCE pays civilisé développé et moderne avec soi-disant des scientifiques émérites qui pérorent à tout va sur les médias !?

Mais on traîne des boulets de politiciens élus de tous bords qui se critiquent sans cesser, ne pensant qu’à eux-mêmes !

Nos dirigeants sont d’une incapacité flagrante pour protéger leurs concitoyens car ne faisant que de la mauvaise politique digne de l’ancien régime ou un monarque qui décide de tout selon son bon plaisir en fait, surtout rien d’utile car incapable de prendre des décisions logiques !?

Ces messieurs/dames du gouvernement et nos dirigeants ne méritent pas d’être réélus en 2022, car ils ne servent à rien, car cette crise sanitaire et celle économique induite montre leur gouvernance médiocre, contraire ou bon sens aveuglé par leurs égos démesurés et ils mériteraient après la fin de cette pandémie des actions en justice décidées par des commissions d’enquêtes qui serviraient pour une fois !

Je m’excuse de ma colère, mais j’ai honte pour la France et les Français dont je suis !

Jdeclef 31/12/2020 08h30


mercredi 30 décembre 2020

En fait semble-t-il certains français lambda ont moins peur du Covid 19 qui dérange nos élus du gouvernement et ses dirigeants que des vaccins :

 

Vaccins : plusieurs élus aimeraient que le rythme s'accélère

Le médecin urgentiste et président de la région Grand Est Jean Rottner tout comme le maire de Nice Christian Estrosi accueilleraient avec plaisir une rapide montée en charge.

Un peu moins inquiet qu'à Noël mais encore très prudent : le président du conseil régional du Grand Est Jean Rottner (LR) garde les yeux rivés sur les courbes de l'épidémie du Sars-CoV-2, dans la région Grand Est qu'il préside. Les indicateurs faisaient état d'une situation très dégradée, ce week-end encore : 12 760 nouveaux cas de Covid-19 enregistrés entre le 14 et le 20 décembre, dans cette région, soit une hausse de 70 % sur les trois premières semaines du mois, une augmentation de 31 % du nombre de patients hospitalisés et de 57 % de malades infectés admis en réanimation. Mais depuis mardi, la pression semble « légèrement décroître », à ses yeux. « Les courbes post-fêtes de Noël sont plutôt encourageantes sur les sept jours glissés, avec un taux d'hospitalisation qui tend à baisser », observe Jean Rottner.

Jean Rottner : « Cette crise va laisser du monde sur le carreau »

Mais il n'a pas échappé à ce médecin urgentiste de formation que la situation est « hétérogène », selon les secteurs. « Le flanc alsacien (durement éprouvé au début de la première vague) paraît très bien protégé quand la situation de la Meurthe-et-Moselle reste préoccupante, sans amélioration notable », constate Jean Rottner. À la mi-décembre, le CHU de Nancy, ville où le taux d'incidence était à Noël parmi les plus élevés de France, a déclenché son plan blanc, conduisant ses équipes à déprogrammer la moitié des interventions prévues par ses chirurgiens. « 60 % des lits de réanimation restent occupés à ce jour par des patients Covid », précise Jean Rottner.

Un reconfinement localisé immédiat

À sa connaissance, « aucune mesure particulière » ne devrait être prise, aucune annonce ne devrait être faite par l'exécutif, « en tout cas d'ici à l'intervention télévisée du chef de l'État, jeudi soir pour ses vœux du 31 », alors qu'un conseil de défense, qui se tenait ce mardi à l'Élysée, a ouvert la porte à des reconfinements à partir de 18 heures dans certains départements à compter du 2 janvier pour les endroits "où le taux d'incidence serait au dessus du seuil d'alerte maximale". À plusieurs reprises, ces derniers jours, et lundi encore sur France Info, le maire (PS) de Nancy, Mathieu Klein, a réclamé un reconfinement localisé immédiat, dans les départements les plus touchés, à commencer par le sien. « La situation est très tendue à l'hôpital, alors même que nous n'avons pas encore mesuré les effets exacts de ce qu'a été Noël, et pas encore, évidemment, ceux du réveillon de fin d'année. Alors oui, je suis très inquiet, je trouve que nous perdons un peu de temps et nous attendons finalement que la situation se dégrade pour prendre des mesures alors que nous pourrions faire preuve de plus d'anticipation », regrettait-il.

Les derniers chiffres livrés mardi se révélant « finalement moins catastrophiques qu'avant Noël », Jean Rottner estime de son côté que les mesures restrictives (reconfinement ou couvre-feu anticipé) réclamées par son collègue élu nancéien apparaissent « peut-être moins urgentes qu'avant le week-end de la Nativité ». « Faut-il craindre un rebond consécutif au réveillon ? C'est ce que nous cherchons à savoir et les prochains jours seront déterminants. Pour l'heure, on est plutôt sur un plateau que sur une courbe ascendante, ce qui fait que je suis un peu rassuré », avance Jean Rottner.

« Je ne m'explique pas ce retard »

Le président du Grand Est n'exclut pas que sa région puisse connaître, avec quelques semaines de décalage et de retard sur le reste du pays, la queue de la seconde vague. « Les conditions climatiques, plus rigoureuses, ont pu jouer également », estime-t-il. « En tout état de cause, la forme des courbes n'a rien à voir avec celles que nous avons pu connaître ici, de manière dramatique, au printemps dernier. » « Nous saurons vite si les gens ont été respectueux durant les fêtes. Si tel a été le cas, des messages forts devront être lancés pour qu'il en soit encore ainsi à la Saint-Sylvestre (le couvre-feu s'appliquera également ce soir-là, NDLR) », conclut M. Rottner. Interrogé sur les futures vaccinations, l'élu régional s'étonne que 70 patients seulement aient bénéficié du vaccin, à l'échelle de la France, quand plus d'un million d'Israéliens et des centaines de milliers de Britanniques ont déjà été vaccinés. « Je ne m'explique pas ce retard », admet Jean Rottner, « sans vouloir polémiquer ».

Covid-19 : l'après-vaccin

Même « impatience » côté niçois, où le maire Christian Estrosi aimerait que le rythme des vaccinations s'accélère. Le 28 décembre, l'édile a réuni en visioconférence le conseil local de santé publique de la ville. À l'issue de ce dernier, il a demandé que la campagne de vaccination commence dès maintenant, alors que la ville compte 2 300 personnes dans les Ehpad. Pour lui, l'ensemble de ces occupants peuvent être vaccinés en une semaine. Car l'élu craint un débordement. « Face au risque important d'un afflux de malades qui pourraient saturer les services d'ici 10 à 15 jours », le maire de Nice a « demandé au ministre de la Santé Olivier Véran que la campagne de vaccination puisse commencer sans délai, cette semaine, dans les Alpes-Maritimes », a ainsi fait savoir un communiqué du conseil de santé publique. Ce souci d'accélérer se retrouve également dans l'opinion publique. « En France, 70 personnes ont été vaccinées en trois jours, en Allemagne, ils ont été 19 000 sur la même période », a comptabilisé de son côté Alexis Karklins-Marchay, directeur général délégué chez Eight Advisory, qui, confirmant les chiffres de Jean Rottner, note que 100 000 personnes sont vaccinées chaque jour en Israël, quand c'est déjà le cas d'un million de personnes déjà vaccinées en Angleterre, et deux millions de personnes aux États-Unis.

���� 70 personnes vaccinées en 3 jours
���� Près de 19.000 sur la même période
���� Plus de 100.000 par jour
���� Déjà environ 1 million
���� Déjà environ 2 millions pic.twitter.com/eE9ehg7Hn2

— Alexis Karklins-Marchay ����+���� (@alexiskarklins) December 29, 2020

Le conseil niçois expliquait par ailleurs qu'un arrêté a été pris pour limiter la fréquentation des grandes surfaces commerciales à la moitié de leur capacité d'accueil et prévoit de demander au préfet d'abaisser l'horaire du couvre-feu dans certains secteurs situés à l'est de la métropole, là où les eaux usées révèlent les plus forts taux de contamination. Par ailleurs, alors que 120 vols arrivent chaque jour à Nice, l'élu appelle également le gouvernement à imposer des tests PCR aux passagers qui débarquent à l'aéroport de la ville, alors que ce n'est le cas aujourd'hui uniquement pour les vols venant de Tunisie. Concernant les déplacements à destination ou en provenance d'Italie et de Monaco, Christian Estrosi aimerait que soit adoptée une interdiction de passer la frontière pour ceux qui n'ont pas d'attestation de travail. L'idée est en effet de limiter les allers et retours à Monaco, uniquement pour s'y rendre au restaurant. Enfin, le conseil aimerait que le même protocole sanitaire qu'en France soit adopté à Monaco. Une demande officielle a été faite au Premier ministre en ce sens.

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Qui eux ces élus sont une fois de plus dépassé par leur incompétence, pour gérer cette pandémie, car nos voisins se font déjà vacciner en masse !

Car comme d'habitude, ils réagissent en retard en bavassant trop plutôt que d'agir promptement, comme d'autres pays l'ont fait logiquement !

Alors comme avec leurs statistiques fumeuses 40 % accepteraient d'être vaccinés immédiatement dans notre population, cela semble insuffisant pour eux ces élus qui nous gouvernent ?!

Ils n'ont pas jugé utile de les commander rapidement résultat « ils courent après leurs queues comme des chiens perdus » en tempêtant pour des confinements ou couvre-feux supplémentaires qui ne sont que des mesures aléatoires de protections !

(Peut-être qu'ils se sont souvenus à tort, du trop plein de vaccin pour la grippe H1N1 que Roseline BACHELOT avait commandé en trop grosse quantité ou comme les masques qu’on a détruit après) et ont voulu faire des économies de bout de chandelles en petits boutiquiers comptables, alors que la santé n’a pas de prix !

Et cette ineptie de plus, va leur revenir en pleine face, par les patients qui n’auront pas été vaccinés à temps à partir de cette date de délivrance de vaccin, car pas assez disponible en France !?

Les actions en justice ne manqueront pas, après la fin de pandémie, elles ont déjà commencé pour la gestion des EPADH, sauf que là, il s’agit de tous les français !?

Cordialement J.DECLEF

Jdeclef 30/12/2020 15h47


Pourquoi pas on a déjà connu cela pour les plus anciens de nos concitoyens!?

 

Cotta – Et revoilà la réforme du mode de scrutin…

CHRONIQUE. On pensait le projet enterré, mais, à dix-huit mois des législatives, Emmanuel Macron veut instaurer la proportionnelle. Attention, initiative à haut risque !

On croyait le projet enterré. Pas le moins du monde : la modification du système de scrutin sera sans doute, à partir du mois de janvier, le problème n° 1 de la politique française. La représentation proportionnelle refait son entrée en force dans l'actualité. Elle devrait s'appliquer, une fois votée, dès les prochaines élections législatives de 2022. Pourquoi cet engagement présidentiel, pris en 2017, refait-il surface ? D'abord et tout simplement parce que, justement, il s'agit d'un engagement, annoncé par le futur président de la République, engagement qui lui avait valu le retrait de candidature et le ralliement avant le premier tour de François Bayrou : le leader du MoDem en a toujours fait, on le sait, une de ses priorités. L'élection des députés au système majoritaire a toujours favorisé en effet une Assemblée binaire, longtemps dominée par la gauche et la droite, minimisant les petits partis, donc quelque part faussant la représentation nationale, et dans laquelle, au surplus, le centre ne pouvait que très difficilement se faire une place. Élue à la proportionnelle, l'Assemblée nationale devrait refléter plus fidèlement l'image de la France et donner une chance à une coalition des partis placée entre les extrêmes, entre, pour dire les choses, La France insoumise et le Rassemblement national.

Promesse d'Emmanuel Macron, la réforme du mode de scrutin n'en était pas moins jusqu'à aujourd'hui restée lettre morte. Jamais apparemment, dans un début de quinquennat si difficile, le moment n'avait paru propice à un tel changement. Si l'idée en ressort aujourd'hui, ce n'est pas seulement parce que François Bayrou – il le disait encore sur BFM TV la semaine dernière — continue de penser que la représentation proportionnelle correspondra à une plus juste représentation de la France et des Français, mais aussi parce qu'Emmanuel Macron et quelques-uns de ses proches, Richard Ferrand, Philippe Grangeon, entre autres, pensent impossible de réitérer en 2022 l'exploit de 2017 : l'élection d'une majorité tout entière acquise au chef de l'État. Majorité dont d'ailleurs on voit bien qu'elle est en train de se déliter par la formation de groupuscules parlementaires se séparant les uns après les autres de La République en marche, prétendûment pour mieux aider le président. En favorisant les alliances, la proportionnelle sera la meilleure façon de créer une vraie coalition majoritaire, incluant les modérés, de droite et de gauche et les regroupant contre les extrêmes.

Béchillon – Pourquoi la proportionnelle n'est pas une mince affaire

Des réflexions très politiques, pour ne pas dire politiciennes

Il revient aussi dans l'actualité, ce mode de scrutin. Parce que le temps presse : il n'est pas permis en effet à l'exécutif de changer de mode de scrutin dans l'année précédant les élections. C'est donc au premier trimestre de l'année, en tout cas avant le mois de mai, que doit être mise en œuvre la réforme électorale. Sinon, les élections législatives de 2022 auront lieu au scrutin majoritaire.

Ajoutons à ces réflexions très politiques, pour ne pas dire politiciennes, qu'Emmanuel Macron, en dehors de l'annonce d'un éventuel référendum sur le climat, n'a encore procédé à aucune des réformes institutionnelles qu'il avait annoncées. Celle-ci tomberait à merveille pour prouver que le président n'a pas reculé sur ce sujet.

Une chose est certaine en tout cas. Depuis des années, on entend, à intervalle régulier, certains dirigeants plaider la nécessité d'introduire dans le scrutin majoritaire pour le moins un pourcentage d'élus élus nationalement à la proportionnelle. En 2017, le président avait promis à François Bayrou qu'il s'agirait d'un fort pourcentage, en tout cas pas inférieur à 20 ou 30 %. Aujourd'hui, il s'agirait d'une proportionnelle dite intégrale puisque le gouvernement n'a plus le temps de procéder à un redécoupage des circonscriptions. Ce serait assurément un succès éclatant pour François Bayrou, doublé, sans doute, de la seule façon de trouver en 2022 une coalition parlementaire moins fragile parce que délibérément plurielle. Et surtout capable d'isoler, sur sa gauche et sur sa droite, les extrêmes.

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L'introduction d'une dose de proportionnelle était une des promesses de campagne d'Emmanuel Macron pour l'Élection présidentielle française de 2017. Un pourcentage de 15 % de sièges élus à la proportionnelle est dans un premier temps avancé

Seule la 4 eme république avait appliqué les élections à la proportionnelle qui avaient finies par aboutir indirectement à faire un pays ingouvernable avec des présidents du conseil sans pouvoir !

Et des changements de gouvernements trop nombreux un peu comme en ITALIE les champions de ce système électoral qui ont eu le plus de gouvernements depuis la fin de la dernière guerre !

Le général de Gaulle a reformé cela avec un président élu au suffrage universel et la création de la Veme république en 1958 !

Les élections à la proportionnelle de l'assemblée nationale pour et ses députés permet l'émergence de petits partis marginaux extrêmes droites/gauches ou autres écolos, mais pour la présidentielle un retour en arrière est hasardeux !

Seul peut être l'élection présidentielle à un seul tour permettrait peut-être d'éviter toujours d'avoir les mêmes s'opposer au 2eme tour avec une élection qui élit le président par défaut, mais qui ne représente pas une vraie majorité des Français ce qui augmente l'abstention !

Ceci étant cette période actuelle ne semble pas propice avec la situation sanitaire et économique induite dont devrait s'occuper beaucoup mieux nos dirigeants et politiciens qui pataugent toujours !

Plutôt que de faire de la politique politicienne !?

Jdeclef 30/12/2020 12h32LP


VERAN n'est peut-être qu'un médecin mais politicien comme d'autres qui n'ont pas de solutions pérennes et efficaces !?

 

Covid-19 : Véran ouvre la porte à des couvre-feux à 18 heures dans certains départements

La mesure est envisagée à compter du 2 janvier pour les endroits où « le taux d'incidence serait au-dessus du seuil d'alerte maximale »

Un couvre-feu avancé de deux heures, à partir de 18 heures, est envisagé à compter du 2 janvier pour les territoires les plus touchés par l'épidémie de Covid-19, a annoncé, mardi 29 décembre, le ministre de la Santé Olivier Véran lors du journal télévisé de France 2.

« Nous allons proposer une extension du couvre-feu, qui au lieu de démarrer à 20 heures démarrera à 18 heures dans l'ensemble des territoires dans lesquels ça s'avérera nécessaire (…) des départements, des métropoles (…), dans lesquels le taux d'incidence serait au-dessus du seuil d'alerte maximale », a indiqué Olivier Véran, excluant l'option d'un nouveau confinement local ou généralisé. « Ces mesures seront applicables à partir du 2 janvier », a-t-il ajouté.

Selon lui, « la situation est plus problématique dans quatre régions : c'est-à-dire le Grand Est, la Bourgogne Franche-Comté, la région Auvergne-Rhône-Alpes, et le département des Alpes-Maritimes en région Paca ». « Il y a des disparités territoriales importantes, avec une sorte de gradient, avec l'ouest de la France qui est moins touché, et l'est de la France qui est plus touché », a-t-il résumé.

Nous ne voulons pas confiner à ce stade

Le ministère de la Santé avait précisé à la presse, en fin d'après-midi, que 20 départements seraient visés, depuis les Ardennes jusqu'aux Alpes-Maritimes, en passant par l'Allier ou le Bas-Rhin. Mais « ce que nous écartons c'est l'idée de confinement. Nous ne voulons pas confiner à ce stade : ni un confinement généralisé ni un confinement local », a insisté Olivier Véran. Le Conseil scientifique, qui guide le gouvernement, estime « probable » une « reprise incontrôlée de l'épidémie » de Covid-19 en janvier, à cause du « surcroît de contaminations » provoqué par les fêtes de fin d'année, selon son dernier avis publié mardi soir.

Test anti-Covid : « Depuis une semaine, ça n'arrête pas ! »

Selon une liste transmise à la presse mardi soir par le ministère de la Santé, les vingt départements qui risquent de voir le couvre-feu nocturne avancé de deux heures, à 18 heures, à partir du 2 janvier, sont :

  • Pour le Grand Est : les Ardennes, l'Aube, la Marne, la Haute-Marne, la Meurthe-et-Moselle, la Meuse, la Moselle, le Haut-Rhin et les Vosges.
  • Pour la Bourgogne-Franche-Comté : le Doubs, le Jura, la Nièvre, la Haute-Saône, la Saône-et-Loire, l'Yonne et le Territoire de Belfort.
  • Pour l'Auvergne-Rhône-Alpes : l'Allier et l'Ardèche
  • Pour la Provence-Alpes-Côte-d'Azur : les Hautes-Alpes et les Alpes-Maritimes.

Confronté à une recrudescence de l'épidémie, le maire de Nice, Christian Estrosi (LR), s'est dit satisfait, souhaitant « des mesures évitant un reconfinement local et ses conséquences », sur Twitter. De son côté, la mairie de Nancy, dont le maire PS, Mathieu Klein, s'était prononcé ces derniers jours en faveur d'un reconfinement local, estime dans un communiqué que « le couvre-feu est une mesure tardive, qui risque de s'avérer insuffisante ». Pour la mairie de Nancy, « la vaccination est la seule perspective de sortie de l'épidémie. La campagne doit donc s'accélérer, notamment pour les plus de 65 ans, et se déployer plus rapidement, en priorité dans le Grand Est ».

Vaccination : la France n'est « pas partie pour un 100 mètres »

La campagne de vaccination contre le Covid-19 va être élargie aux « professionnels de santé de 50 ans et plus ou qui souffrent de maladies qui les exposent à des risques de forme grave » d'ici la fin du mois de janvier, a également annoncé Olivier Véran. « Ensuite viendra le temps de la population générale », a-t-il ajouté en réponse aux critiques sur la lenteur de la campagne vaccinale entamée dimanche en France.

Sur les trois premières journées, moins de cent personnes ont été vaccinées. Alors que l'objectif est d'arriver à un million d'ici la fin février, des critiques commencent à s'élever contre un rythme jugé trop lent par rapport à d'autres pays comme l'Allemagne, les États-Unis ou Israël. « On n'est pas parti pour un 100 mètres mais pour un marathon », se défend-on au ministère de la Santé. « Face à un très fort scepticisme dans la population française, nous avons fait le choix de prendre le temps nécessaire pour installer cette vaccination », avec notamment des consultations longues pour expliquer son bien-fondé.

Pas de « problème d'approvisionnement »

Un sondage Ipsos Global Advisor/Forum économique mondial publié mardi fait d'ailleurs de la France la « championne du monde » des pays réfractaires : seuls 4 Français sur 10 accepteraient de se faire vacciner contre le Covid. « Le démarrage est certes timide, mais on va progressivement monter en puissance et vacciner très largement. Cependant, on n'y arrivera pas en brusquant », a poursuivi le ministère, en se défendant de tout « problème d'approvisionnement » : « 500 000 doses arrivent cette semaine, 500 000 la semaine prochaine et 500 000 la suivante ».

Le ministre a aussi balayé l'idée d'une réouverture des lieux culturels dans les jours qui viennent. « Le Premier ministre avait parlé d'une clause de revoyure au 7 janvier (…), il paraît difficilement concevable à ce stade, sous réserve de l'évolution dans les prochains jours, de lever la totalité des contraintes, vous l'imaginez bien », a-t-il glissé.

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Mais s'il met l'heure du couvre-feu, à 18 heures, c'est encore une ineptie de plus et en IDF ou PARIS beaucoup de salariés en sortant de leur travail dans les entreprises arrivent à leur domicile à cause des transports en commun après 18 heures (ma fille est dans ce cas-là, par exemple en IDF !)

Ils ne sont pas assis confortablement dans leurs voitures comme nos ministres avec chauffeur pour ceux de ses français lambda qui prennent les transports en commun d'IDF !

Non comptant en France Mr VERAN de ne pas être capable de vacciner rapidement la population par manque de vaccins ou une logistique pas encore adaptée, alors que nos voisins européens sont plus réactifs ?!

Et ne pas mettre en avant que seulement 40 % de Français veulent être vaccinés de toute façon, dans l’immédiat, on est encore dans un pays libre, çà il ne peut pas encore le faire, ce gouvernement nos dirigeants depuis le début de cette pandémie sont en dessous de tout !

Moi qui aie 74 ans, je désire être vacciné car depuis ma naissance, j’ai eu tous les vaccins et les rappels à l’armée, car j’étais affecté outre-mer et même après lors de mes voyages et séjour dans le monde, même contre la fièvre jaune, alors pas inquiet !

Mais de toute façon à l’heure qu’il est, je ne sais pas ou je pourrais me faire vacciner, car çà non plus, n’est précisé, bien que patient à risque !

Par contre ce gouvernement et ses scientifiques pour nous souler de conseils et surtout d’informations imprécises s’y entendent à merveille depuis le début de la pandémie !

J’ai honte pour notre France pays de PASTEUR ..!

Jdeclef 30/12/2020 10h38LP


Ne peut-on lui faire une petite piqure avec un calmant qui la fasse dormir et se calmer pour qu'elle se taise enfin cette ex-politicienne qui parle vraiment trop!?

 

Covid-19 : Ségolène Royal appelle à faire « du sur-mesure » par région

Ségolène Royal estime qu'il ne faut pas prendre de « décisions homogènes » pour toute la France dans la lutte contre le coronavirus, mais région par région.

Ségolene ROYAL qui veut à tout prix « éviter » un troisième confinement potentiellement dévastateur pour l'économie et le moral des Français, a appelé mardi 29 décembre le gouvernement à « faire du sur-mesure » dans les régions les plus frappées par l'épidémie de coronavirus. « Le vrai critère, c'est la capacité hospitalière », et « elle varie d'une région à une autre, donc faisons du sur-mesure par rapport aux régions les plus touchées », a-t-elle déclaré sur CNews, estimant que, tant que cette capacité « n'est pas saturée, il n'y a aucune raison de frapper une nouvelle fois sur la tête des Français ».

Ségolène Royal considère qu'avoir pris « des décisions homogènes sur l'ensemble du territoire » fait partie « des erreurs du passé » commises par le gouvernement qui ont contribué à alimenter « les doutes » des Français sur le bien-fondé des décisions et leur « suspicion » à l'égard du vaccin aujourd'hui.

Éric Coquerel d'accord avec Ségolène Royal

Le député LFI Éric Coquerel a abondé dans ce sens et estimé sur LCI qu'il était impossible d'« appuyer sur le bouton confinement indéfiniment ». « Le problème » est d'« éviter » de dépasser « la capacité des hôpitaux » : « Si, depuis mars dernier, on avait mis les moyens (…) pour essayer au moins d'arranger les choses, on n'en serait peut-être pas là », a-t-il jugé.

Covid-19 : les indicateurs de l'épidémie sont-ils si mauvais ?

Il a prôné deux autres solutions : donner aux malades « les conditions matérielles » de l'isolement et « organiser la société » en « rotation » « de façon à ce que les gens ne partent pas tous en même temps au travail ».

À gauche toujours, le secrétaire national du PCF Fabien Roussel a appelé sur France 2, « avant de parler de confinement », à « embaucher 50 000 à 60 000 personnes pour accompagner tous ceux qui ont été testés positifs » au Covid-19 et qui doivent être « suivis ».

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Elle est le cas typique de ces politiciens qui ne veulent pas quitter la scène politique comme dans un théâtre, même sous une volée de tomates pour une mauvaise pièce en plus mal jouée !

Son problème d'obsession politique devient pathologique, elle devrait consulter pour son bien, car elle ne veut pas se rendre compte qu'elle soule tout le monde par ses diatribes et son passé plus que médiocre du fait des mandats divers qu'elle a hélas occupés en tant que ministre ou autres fonctions dans divers gouvernements !

Il y a des EPADH ou maisons de luxes de retraites, car elle a les moyens pour personnes âgées ou elle serait bien traitée avec une audience qui pourrait plaire ou distraire des personnes de son âge !?

En fait elle pense à 2022 ou elle se verrait bien revenir (en bonne hypocrite !?)

Bonne année 2021 (tout de même à elle ..!)

jdeclef 30/12/2020 09h37

mardi 29 décembre 2020

BIDEN peut s'égosiller tant qu'il veut, mais même élu dans les urnes il n'est pas Encore assis dans le fauteuil de président à la maison blanche avant le 20 janvier !

 

Biden juge « irresponsable » l'attitude de l'administration Trump

Joe Biden a dénoncé la rétention d'informations de l'administration Trump en matière de sécurité nationale dans un discours retransmis par CNN.

Décidément, une transition en douceur semble impossible. Alors que l'investiture de Joe Biden en tant que président des États-Unis approche, et que Donald Trump devra lui passer le flambeau, les différends entre eux se poursuivent. Lundi 28 décembre au soir, dans un discours retransmis par CNN, le président élu a pointé du doigt « l'irresponsabilité » des équipes de Donald Trump qui font de la rétention d'informations et ne facilitent pas la transition entre les deux administrations.

« Nous ne recevons pas toutes les informations dont nous avons besoin de la part de l'administration sortante dans des domaines clés de notre sécurité nationale », a déclaré Joe Biden, « pour moi, c'est tout simplement de l'irresponsabilité ». « Nous avons fait face à des réticences de la part de la direction politique du ministère de la Défense et du Bureau de la gestion et du budget », a-t-il aussi dénoncé.

Donald Trump ne facilite pas la tâche des démocrates

L'état-major de Joe Biden avait déjà accusé ce mois-ci le Pentagone de ne pas coopérer suffisamment pour faciliter la transition. Christopher Miller, ministre de la Défense par intérim depuis l'éviction de Mark Esper, et cinquième chef du Pentagone de Donald Trump, avait démenti, mettant en avant « l'extrême professionnalisme » de ses équipes, et assurant de leur entière coopération.

Lire aussi Philippe Labro – « Donald Trump, it's over ! »

À trois semaines de son départ de la Maison-Blanche, les tensions s'accentuent autour de Donald Trump. Le président sortant a essuyé un nouveau revers lundi. La Chambre des représentants a rejeté son veto au budget de la défense. Deux tiers des parlementaires ont voté en faveur : 212 démocrates et… 109 républicains, son propre camp.

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À cause d'un système électoral compliqué de cette constitution, U.S. vieillissante et anachronique et dont le peuple qui doit supporter deux présidents un ex-élu, mais battu qui reste en place jusqu'à l’investiture du gagnant élu !?

Les Américains et leur grand pays de par son immensité et ses différences dans ses 50 états ne savent rien faire de simple et sont toujours dans la démesure, car pourquoi faire simple est difficile quand on peut faire compliquer !

En France on n'est pas loin de çà, mais pas à ce point défaut peut être de nos démocraties qui ont besoin d'être réformées ou dépoussiérées car le monde extérieur va plus vite qu'elles et comme le mondialisme est bien présent, il faut évoluer !

Jdeclef 29/12/2020 11h35


Marseille à tout pour plaire, trafics divers et ses règlements de compte délinquance endémique et son clientélisme !?


 

Marseille : des quartiers submergés d'ordures en raison de la grève

Alors qu'une partie des éboueurs de Marseille font grève depuis douze jours, les déchets s'accumulent dans certaines zones de la ville.

Au douzième jour de grève d'une partie des éboueurs à Marseille, l'amoncellement des ordures devient préoccupant dans certains quartiers. La préfecture de police des Bouches-du-Rhône affirme que « plus de 900 tonnes de déchets n'ont pu être collectées » depuis le début du mouvement. C'est notamment le cas dans le quartier historique du Panier, au coeur de Marseille, et dans les quartiers populaires du nord de la cité phocéenne.

Mais « il n'y a pas de sortie de crise en vue, les salariés ayant refusé la réquisition décidée ce matin par arrêté de la préfecture de police » pour motif sanitaire, a regretté lundi la métropole Aix-Marseille-Provence, compétente pour le ramassage des poubelles dans la seconde ville de France. En attendant que les éboueurs de Polyceo, une filiale de Derichebourg, reprennent le travail dans les 2e, 15e et 16e arrondissements, la métropole a annoncé le dépôt de huit bennes, lundi et mardi, dans les secteurs les plus touchés, « afin que les habitants ne soient plus contraints de jeter leurs poubelles sur la voie publique ».

Des revendications claires

Des pénalités pour absence de service minimum sont appliquées à Derichebourg depuis le début du mouvement, à raison de 1 500 euros par jour. Les 220 salariés de Derichebourg-Polyceo, en grève depuis le 17 décembre, portent des revendications claires. Ils souhaitent obtenir les « mutations » du directeur du site marseillais de l'entreprise et de son adjoint, qu'ils accusent de « harcèlement », ainsi que l'embauche d'un intérimaire annulée au dernier moment.

« La situation est toujours au même point, l'activité est à zéro, même s'ils ont essayé de jouer la carte de la réquisition », a assuré Lionel Martini, délégué syndical FO du site marseillais de l'entreprise. « Il est impossible de réquisitionner des salariés du privé, même s'ils exercent une mission de service public », a-t-il argumenté, annonçant un recours en référé-liberté contre cet arrêté devant le tribunal administratif de Marseille.

Les grévistes sont déterminés à aller jusqu'au bout, malgré la menace pénale d'une amende de 10 000 euros voire d'une peine de six mois d'emprisonnement pour refus de réquisition. « On ne peut pas reprendre avec une direction avec laquelle on travaille avec la peur au ventre. Les licenciements, c'est une simple formalité pour eux, mais c'est la destruction d'une vie pour d'autres », explique ce représentant syndical depuis le début du conflit.

« Un hold-up »

Dénonçant « un mouvement irrationnel », Thomas Derichebourg, président de Derichebourg Environnement, dont Polyceo est une filiale, a dénoncé de son côté « une prise en otages des Marseillais, un hold-up ». « Il n'est pas question de céder à un ultimatum, c'est la première fois qu'on me demande la tête d'un dirigeant par voie de grève et de presse », s'est-il insurgé lundi auprès de l'Agence France-Presse. « J'aimerais juste qu'on ait le fonctionnement normal d'une entreprise normale », a conclu Thomas Derichebourg.

« Il y a une volonté chez certains de prendre le contrôle de l'entreprise », a accusé Emmanuel Brun, directeur général de Poly-Environnement, la maison mère de Polyceo. Il a aussi rejeté les critiques selon lesquelles les dirigeants marseillais agiraient en « dictateurs », affirmant notamment que les salariés de l'entreprise opérant sur le périmètre de Marseille « effectuaient en moyenne seulement 53 % du temps de travail officiel » – un héritage du « fini-parti », ce système en place localement où les agents pouvaient quitter leurs postes une fois leur travail officiellement accompli.

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Avec zones et quartiers de non droit, poubelles et ordures non ramassées et ce n'est pas la 1ère fois, jusqu’à, une maire qui démissionne fraîchement élue !

Mais depuis les années trente, ne dit-on pas que c'est folklorique, on en a même fait des films célèbres ..!?

Avec un état et gouvernement central parisien qui semble s'en désintéresser depuis des lustres et c'est pourtant la 2 eme ville de France !?

Le plus étonnant, c'est que les habitants qui y vivent ne se plaignent pas tant que cela, car cela doit leur convenir :

Cet état de fait entretenu par les précédentes municipalités de tous bords qui se sont succédé !?

Cela fait penser un peu à l'Italie voisine et la ville Naples ..?!

C'est peut-être l'effet sud-est et le soleil qui fait cela !?

Jdeclef 29/12/2020 10h54

La poursuite d'une guerre sans fin et sans limite car la France n'a pas assez de moyens à mettre pour éradiquer ces fantômes djihadistes 7 ans dans ces sables africains et après..!?

 

Mali : trois soldats français tués en opération lundi

Le véhicule blindé des trois militaires « a été atteint par un engin explosif improvisé » dans la région de Hombori, a indiqué le palais présidentiel.

Trois soldats français ont été tués lundi, victimes d'une bombe artisanale, dans la zone des « trois frontières », dans le centre du Mali, où la force antiterroriste française Barkhane concentre ses efforts depuis janvier. « Leur véhicule blindé a été atteint par un engin explosif improvisé alors qu'ils participaient à une opération dans la région de Hombori », a annoncé la présidence française dans un communiqué.

Ces trois décès portent à quarante-sept le nombre de soldats français tués au Sahel depuis 2013 dans les opérations Serval puis Barkhane. Le bilan s'établit à 48 si on y ajoute un soldat mort au Tchad en 2013 dans le cadre de l'opération Épervier. Le brigadier-chef Tanerii Mauri et les chasseurs de première classe Quentin Pauchet et Dorian Issakhanian, qui appartenaient au premier régiment de chasseurs de Thierville-sur-Meuse (Meuse), effectuaient une mission d'escorte entre Hombori et Gossi, dans une zone frontalière du Niger et du Burkina Faso.

La France « déterminée à poursuivre la lutte contre le terrorisme »

Le président Emmanuel Macron a fait part de sa « très grande émotion » et « salué la mémoire » des trois militaires, « morts pour la France dans l'accomplissement de leur mission ». Il a aussi rappelé la « détermination de la France à poursuivre la lutte contre le terrorisme », notamment dans cette région où sévit l'État islamique au Grand Sahel (EIGS), décrété ennemi numéro un lors du sommet de Pau (sud-ouest de la France) en janvier 2020.

Ces derniers mois, l'armée française – qui a déployé 5 100 hommes au Sahel – et celles des pays africains du G5 Sahel ont multiplié les offensives, en particulier dans la zone dite des « trois frontières ». Le chef d'état-major des Armées françaises, le général François Lecointre, s'était d'ailleurs rendu à Hombari ainsi qu'au Niger les 10 et 11 décembre. Il avait alors salué les « nombreux succès tactiques » et « l'amélioration de la situation sécuritaire dans la zone ».

Ils sont morts dans l’accomplissement de leur devoir

Le général Lecointre tout comme la ministre des Armées Florence Parly se sont inclinés devant la mémoire des trois soldats et ont présenté leurs condoléances à « leurs familles, leurs proches et leurs frères d'armes ». « Ils sont morts dans l'accomplissement de leur devoir, alors qu'ils étaient engagés dans une zone où des groupes terroristes attaquent les populations civiles et menacent la stabilité régionale, tout comme notre propre sécurité », a relevé Florence Parly.

La classe politique française dans son ensemble leur a aussi rendu hommage lundi soir. Le chef du PS Olivier Faure a exprimé « reconnaissance et respect ». « La guerre contre l'islamisme est loin d'être terminée », a renchéri le maire Rassemblement national (RN) de Perpignan, Louis Aliot.

Captivité de Sophie Pétronin : Barkhane savait tout du plan de Sébastien

Les trois soldats étaient âgés de 21, 23 et 28 ans. Pilote de véhicule blindé léger, tireur antichar et adjoint chef de patrouille, ils étaient déployés pour la première fois au Sahel depuis la mi-novembre. Ils n'ont pu être ranimés malgré « l'intervention immédiate de l'équipe médicale présente dans le convoi et les soins prodigués », a déploré l'état-major des armées dans un communiqué. « Des moyens d'observation et de protection aérienne ainsi qu'une force rapide de réaction au sol ont aussitôt été déployés afin de garantir la protection des éléments », a-t-il ajouté.

Barkhane a neutralisé le chef historique d'Aqmi

Barkhane et la force conjointe du G5 Sahel ont revendiqué la « neutralisation » de plusieurs dizaines de djihadistes ces dernières semaines. Face à ces succès, la France envisage désormais un retour à ses effectifs d'avant le sommet de Pau – ils avaient alors été augmentés de 600 soldats. Une telle réduction est toutefois jugée risquée par le commandant de la force conjointe du G5 Sahel, le général nigérien Oumarou Namata Gazama. « Ce serait prématuré d'envisager cela (une réduction de Barkhane) et hasardeux pour le G5 Sahel », a-t-il dit début décembre.

La force Barkhane vise aussi des cadres de haut niveau d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), une organisation concurrente de l'EIGS active dans le nord du Mali. Elle a ainsi neutralisé le chef historique d'Aqmi, l'Algérien Abdelmalek Droukdal, en juin, et un de ses chefs militaires en novembre.

Face à la persistance des violences djihadistes, doublées de conflits intercommunautaires, les autorités de transition au Mali n'excluent pas d'engager des négociations avec des groupes armés, tout comme auparavant le président Ibrahim Boubacar Keïta, emporté par un putsch en août. La France, qui affiche une position plus intransigeante, a admis ne pas s'opposer à des négociations entre les États sahéliens et certains éléments djihadistes, à l'exception fondamentale des directions d'Al-Qaïda et du groupe État islamique.

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Plutôt des brigands de grands chemins sans foi ni lois après notre armée qui elle coure dans une région immense désertique ou il faudrait utiliser des armes puissantes massives pour dératiser ces individus nuisibles !

Et en plus il faut supporter une immigration malienne importante avec d’autres de cette Afrique qui ne se gêne pas déclencher des manifestations de mécontentements sur la façon dont soi-disant on les traite en France en nous jetant au visage que nous sommes racistes !?

Et dans notre pays dont ils profitent du droit d’asile autres largesses dont certains bafouent l’aide en la détournant car semant désordre ou faisant pire :

Tout cela avec une administration kafkaïenne française médiocre et de la mauvaise politique pseudo ex colonialiste de nos ex possessions africaines AOF/AEF faites par nos dirigeants pleutres bien-pensant hypocrites donneurs de leçons et leur mauvaise politique équivalente à celle faite sans rigueur contre le terrorisme islamique !

Désolé de m’offusquer, mais envoyer à la mort nos jeunes soldats pour cela m’irrite au plus haut point, car cela n’est pas efficace et ne sert à peu près à rien, on a déjà perdu l’Indochine française et l’Algérie, dans des guerres meurtrières, cessons ces opérations dites extérieures, car on ne sait pas retenir les leçons du passé et laissons ces pays indépendants depuis plus de 60 ans s’administrer par eux-mêmes !

Et luttons contre le terrorisme islamiste avec plus de rigueur en France, car infiltré parmi nous les évènements récents l’ont prouvé !

Jdeclef 29/12/2020 09h19CLP