vendredi 18 décembre 2020

Parce que la police urbaine fait plus de contrôles au faciès :

 

Pour près d'un jeune sur deux, la police française est raciste

47 % des jeunes de 18 à 30 ans interrogés dans ce sondage #MoiJeune « 20 Minutes »-OpinionWay avouent ne pas faire confiance à la police

L'étude #MoiJeune a été menée par OpinionWay pour 20 Minutes. Administrée en ligne du 11 au 15 décembre 2020 auprès d'un échantillon de 627 jeunes issus de la communauté #MoiJeune représentatif des Français âgés de 18-30 ans, elle s'est concentrée sur le lien entre les jeunes et la police. Et les chiffres sont accablants.

Près de 50 % des jeunes n'ont pas confiance en la police, 79 % estiment que les violences policières sont une réalité, et 48 % que « la police française est raciste », selon ce sondage publié vendredi. Toujours selon cette étude, 92 % des jeunes (18-30 ans) interrogés sont favorables à une réforme de l'IGPN, la « police des polices », de plus en plus critiquée dans sa gestion des affaires de violences policières.

Une fraction infime des forces de l'ordre ciblée

Au total, 47 % des 18-30 ans « n'ont pas confiance » en la police, contre « 33 % dans l'ensemble de la population ». Mais 45 % sont favorables ou plutôt favorables à « l'interdiction de diffuser des images permettant d'identifier un policier ou un gendarme en opération avec des commentaires incitant à la haine », sujet au cœur des manifestations contre la loi sécurité globale.

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Cette interdiction cristallise notamment les tensions autour de cette loi, et son article 24, accusé de vouloir museler critiques et journalistes. Le gouvernement a évoqué un possible recul sur cet article, dont le Sénat poursuit l'étude. Plusieurs manifestations contre cet article, et plus largement les violences policières, ont été émaillées d'incidents. Lors de la dernière, samedi 12 décembre, près de 150 manifestants ont été interpellés. Selon l'étude Opinion Way, 65 % des jeunes interrogés estiment cependant que « ces dérives [sont] le fait d'une fraction infime des forces de l'ordre ».

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De plus si les sondages ont été faits dans des communautés de banlieues d'IDF par exemple dont les tenues de ces jeunes sont comme un genre d'uniformes repérables ou par leur langage et leur faciès surtout s'ils ne sont pas bien blancs et par petits groupes quelques fois désœuvrés en bas des immeubles de certaines citées ou zones dites de non  droit comme on les appelle ou la police entre difficilement car insultée et caillassée et qui selon ces jeunes sont sur leur territoire ou il ne faut pas les déranger !

Mais même sans ces contrôles peut être trop fréquents cela ne changerait rien à la petite délinquance comme on l'appelle !

Ça existe depuis toujours en 30 ans et en augmentation surtout depuis que la police de proximité et les postes de polices de quartiers n'existent plus et mettre çà sur le dos d'un racisme policier est bien facile car forcément ces jeunes en profitent faisant de la provocation qui sera soutenue par les bien-pensants qui nous gouvernent mais qui ne mettent jamais les pieds ou ils saliraient leurs chaussures ou tenues dans ces endroits du bas peuple, gens de peu comme avait dit notre président monarque !

Le racisme de caniveau est un vecteur de contestation de plus à la mode c’est triste, car notre pays subi depuis des décennies des flux migratoires incontrôlés, alors forcément notre société change et se divise de plus en plus et pas seulement pour des problèmes raciaux, mais aussi culturels et religieux et si nos dirigeants ne veulent pas en prendre conscience, ils sont hypocrites et ne servent à rien, mais ce n'est pas nouveau !

Jdeclef 18/12/2020 12h53


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