jeudi 31 août 2017

E.MACRON est un beau parleur peut être bien plus que ces prédécesseurs, ça c’est un fait !

MACRON : "Nous avons tourné la page de trois décennies d'inefficacité"

Le chef de l'État a reçu "Le Point" pour un entretien-fleuve de plus de deux heures. Découvrez dès ce soir les 10 épisodes de cette interview exclusive.

Dans le bureau d'angle, au premier étage de l'Élysée, il se tient droit, sérieux, presque sévère. Son premier grand entretien depuis sa prise de fonctions, le 14 mai, Emmanuel Macron semble l'aborder avec la rigueur quasi chirurgicale de celui qui sait que chacun de ses mots, même le plus anodin, sera décortiqué, interprété. Pas le temps de badiner, donc, de s'étendre sur ses vacances marseillaises ou de s'interroger sur l'état de la presse, comme l'auraient fait ses prédécesseurs. Sur sa table de travail trônent deux téléphones fixes, des dossiers et un livre sur Angela Merkel.
Comme lors du débat télévisé de l'entre-deux-tours, il a disposé devant lui quelques feuilles sur lesquelles il a pris des notes de son écriture qui s'étire en hauteur, mais il aura à peine besoin d'y jeter des coups d'œil furtifs durant les deux heures et demie d'entretien. Encadré par l'immense Marianne du graffeur Obey – seule fantaisie de la pièce – et des reproductions miniatures de vieilles voitures et de la fusée Ariane disposées sur la cheminée derrière lui, Emmanuel Macron se lance, concentré.
C'est autant son plan d'action, sa perception des premiers mois du quinquennat que sa conception du pouvoir présidentiel «  clé de voûte  » de la vie politique, selon ses termes, et sa vision pour le pays qu'il dévoile ici. Dans les années 1970, Valéry Giscard d'Estaing, se démarquant du gaullisme, avait forgé l'idée d'une «  France, grande puissance moyenne  ». Emmanuel Macron veut en faire une «  grande puissance tout court  ». La grande interview qu'il accorde au Point a valeur de manifeste. C'est un document auquel ses thuriféraires, comme ses détracteurs, se référeront longtemps.

Vous avez pris vos fonctions il y a trois mois. Qu'avez-vous appris depuis ?

Emmanuel Macron : Que ce n'est que le début du combat. Nous sommes un pays assez unique ; un pays de calcaire, de schiste et d'argile, de catholiques, de protestants, de juifs et de musulmans ; un pays qui n'a pas vraiment d'équivalent en Europe par ses contrastes. Il aurait dû s'écrouler mille fois, se diviser autant de fois. Il est toujours ce que Braudel décrivait très bien dans L'Identité de la France : «  un amalgame  ». C'est un pays tiraillé par ses contraires, par ses forces profondes. Lui redonner une assise sera le défi des cinq prochaines années. Le mois de mai fut un moment où la France avait à choisir entre un bloc qui voulait la rétrécir et ce que j'ai appelé le choix de l'espoir. Nous avons tourné la page de trois décennies d'inefficacité pour nous engager sur la voie de la reconstruction qui permettra la réconciliation. Les cent jours sur lesquels vous m'interrogez ne sont donc pas une étape pertinente. C'est une référence qui n'a qu'une valeur historique et renvoie davantage à une défaite en fin de responsabilité qu'à un début. Quand on arrive au pouvoir, on ne fait pas les choses en cent jours. Ou alors nous serions le seul pays qui ferait deux ans de campagne présidentielle pour gouverner trois mois… Tous ceux qui réclament un bilan dès aujourd'hui sont les mêmes qui disaient d'abord que j'étais un intrus, un opportuniste, ensuite qu'il n'était pas possible que je gagne, enfin que je n'aurais pas de majorité à l'Assemblée nationale. Je constate, au passage, que les forces du monde ancien sont toujours là, bien présentes, et toujours engagées dans la bataille pour faire échouer la France. Mais les profondes transformations promises ont été engagées en matière de moralisation de notre vie politique, de lutte contre le réchauffement climatique, de redressement éducatif, de libération du marché du travail ou encore de lutte contre le terrorisme. Les cent premiers jours qui se sont écoulés sont les plus denses qui aient suivi une élection présidentielle.
Je ne dirai donc pas que j'ai été surpris par ces trois premiers mois. Ce qui est essentiel, c'est de ne pas perdre le fil de la promesse initiale, d'être collectivement à la hauteur de ce temps historique, de transformer en profondeur l'économie, la société et son champ politique. C'est ce qui est en train d'être accompli. Face à ce mouvement, nous avons un réveil des oppositions multiples, des vieux partis, des vieux politiciens et de leurs alliés. Tout cela n'a pas d'importance, car notre défi est immense, et c'est celui de redonner une place et un avenir à notre jeunesse.
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Pour les 30 années de perdues on peut être d’accord avec lui, mais peut-être dû à sa jeunesse, il croit pouvoir tout faire et tout savoir (mais d’autres aussi avant lui voulaient tout faire !)

Et il a été plus malin que les autres et un opportuniste ou bien plus intelligent ?!

Moi qui suis vieux qui comme d’autres qui ont connus tous les présidents de la V eme république depuis de GAULLE, nous sommes échaudés, si je puis employer cette expression triviale !

J’ai voté pour lui par défaut pour éviter le FN et parce que les autres médiocres d’avant étaient usés et s’étaient assez engraissés sur notre dos et puis c’était un nouveau et çà permettait de se débarrasser d’à peu près tous les autres de cette classe politique sclérosée !

Mais bien sûr, je ne crois pas au père NOEL, car par exemple d’ailleurs déjà s’attaquer aux retraités est une erreur et ça montre déjà qu’il n’a pas eu une idée bien innovante et notoirement injuste, car ayant travaillé longtemps pour essayer d’avoir une retraite correcte pour vivre, car tous ne sont pas riches loin de là, comme moi, c’est une solution de facilité, car eux ne peuvent que subir et ne bloqueront pas le pays par des grèves ou manifestations diverses !

Et pour bien de ceux-ci, ils aident souvent leurs enfants et petits-enfants (pour ceux qui le peuvent) et participent à l’économie du pays en donnant de leurs temps !

Rien que ça, me fait douter de sa gestion future du pays sur tout ce qu’il veut faire dans un quinquennat trop court et avec des institutions vieillissantes d’une V eme république obsolète !

Tant pis, il est élu et essayons d’y croire, m’a vie est derrière moi, mais je pense aux jeunes c’est à eux de réagir dans l’avenir !


Jdeclef 31/08/2017 16h31 LP

OUI : il faut parler vrai et arrêter le politiquement correct hypocrite c’est impératif !

MACRON - Terrorisme : "Pour en finir avec la politique victimaire"

Pour combattre le terrorisme, il faut, selon le chef de l'État, employer les bons mots et renouer avec les "récits collectifs, les rêves, l'héroïsme".

Le Point : Vous êtes désormais en première ligne face au terrorisme. Devant le Congrès, vous avez nommé notre ennemi : le terrorisme islamiste, ce que François Hollande s'était refusé à faire. Votre perception de cette menace a-t-elle changé au pouvoir  ?
Emmanuel Macron : Non, ma position n'a pas varié. D'un côté, dire que le terrorisme que l'on connaît aujourd'hui n'a rien à voir avec un islamisme politique est faux. Mais, de l'autre, dire que c'est un terrorisme «  islamique  », comme le proclament certains responsables politiques, est une erreur. En effet, cela revient à impliquer les plus de 4 millions de Français qui sont de confession musulmane : je ne veux pas laisser dire qu'ils ont quelque chose à voir avec le terrorisme. Mais ce terrorisme est islamiste, car il a évidemment un lien avec l'islamisme radical. Je me refuse absolument, contrairement à ce que les hommes politiques ont pris l'habitude de faire, à porter un jugement sur une religion particulière, et donc sur ses fidèles, que ce soit pour la condamner ou pour l'absoudre dans son essence supposée. Il me suffit de constater que les terroristes veulent éroder les fondations de notre pays et de notre République pour provoquer un effondrement moral et déclencher une guerre civile. Ils se nourrissent aussi des frustrations historiques, économiques, sociales et contemporaines. Ce terrorisme islamiste a également des répercussions sismiques, il déclenche des réactions mimétiques chez des individus qui souffrent de très graves maladies psychiatriques et y trouvent un prétexte pour commettre des attaques ignobles alors qu'ils n'ont rien à voir avec la religion. C'est pourquoi notre réponse au terrorisme ne peut être que multiple, afin d'y inclure toutes ces dimensions. Elle doit être à la fois sécuritaire, économique, culturelle et éducative. C'est d'ailleurs presque l'essentiel. Paul Valéry le disait justement : «  Tout État social exige des fictions.  » Notre société a besoin de récits collectifs, de rêves, d'héroïsme, afin que certains ne trouvent pas l'absolu dans les fanatismes ou la pulsion de mort.
L'héroïsme  ? Que voulez-vous dire  ?
Depuis trop longtemps, nous nous sommes résignés à une vie démocratique sans sel. Nous sommes en train de payer le prix de cette bêtise collective qui consiste à croire en la fin de l'Histoire, alors qu'elle nous revient au contraire en plein visage. Pour l'affronter, nous devons renouer avec l'héroïsme politique propre au monde républicain, retrouver le sens du récit historique.
Notre pays ne propose en effet plus de héros. Pourquoi des jeunes de banlieue partent-ils en Syrie  ? Parce que les vidéos de propagande qu'ils ont regardées sur Internet ont transformé à leurs yeux les terroristes en héros. Parce qu'ils ont le sentiment de découvrir à travers cette propagande une cause qui répond à leur soif d'engagement. Cela a été très bien décrit par des spécialistes comme Gilles Kepel. Le défi de la politique, aujourd'hui, c'est donc aussi de réinvestir un imaginaire de conquête.
De quelle manière comptez-vous insuffler ce nouvel état d'esprit  ?
Nous devons redevenir un pays fier. Il faut expliquer qu'il y a des héros en France, des génies et des gens qui s'engagent au quotidien. Et, au-delà, que chacun peut trouver une juste place dans notre société. Il faut définir ces nouveaux horizons, ces nouvelles terres de conquête, ces nouvelles formes d'engagement, pour sortir de l'esprit de défaite qui nous habite encore trop aujourd'hui, pour en finir avec la politique victimaire. Nous sommes un pays de conquête. Il ne faut plus céder un pouce à tous les esprits chagrins. Je crois au contraire en la reconstruction d'un héroïsme politique, d'une vraie ambition, pour atteindre y compris ce qui est décrit comme impossible. Si ce qui est décrété impossible n'était pas possible, je ne serais pas devant vous aujourd'hui.

Le président a raison, mais il faut vraiment le faire et agir et pas seulement parler même si :

C'est un devoir de parler vrai et de désigner le terrorisme islamique quand c'est le cas, sans retenue en désignant les auteurs ou coupables quels qu'ils soient, sans retenue et les lieux où il se développe, ainsi que les causes sans ambages nettement sans détours !

Il faut arrêter la politique de l’autruche et la pression intellectuelle des bienpensants bobos et associations diverses qui pollue notre société et qui freine les actions de nos dirigeants en matière de sécurité pour tous les français qui en ont besoin pour vivre leur quotidien plus sereinement et qui réclame celle-ci !


Jdeclef 31/08/2017 12h59 

E.MACRON veut faire peut être une politique nouvelle et dépoussiérer cette V eme république mais il aura beaucoup de mal !

Emmanuel Macron : le grand entretien

Jamais un président de la République en exercice ne s'était à ce point confié. Pour "Le Point", Emmanuel Macron explique en détail sa vision de la France.

Avant l'héroïsme, vous avez commencé par la morale. À propos de la loi pour la confiance dans la vie politique, le philosophe allemand Peter Sloterdijk a écrit : «  Il y a un côté très puritain dans ce qui se passe en France. […] Macron commet la même erreur que le jeune Frédéric II de Prusse…  »
Peter Sloterdijk se trompe : la France n'est pas un pays puritain. Et ne comptez pas sur moi pour la mener dans cette voie. Une défiance dramatique s'était progressivement installée vis-à-vis du monde politique. Or notre pays ne peut pas fonctionner si les Français n'ont plus confiance dans leurs dirigeants et leurs institutions. Ce texte répond à cette nécessité, même si la confiance ne revient pas en un jour. Quant à la morale, elle ne se décrète pas par des lois, elle se tient dans la société et dans le comportement de chaque individu. Cette morale ne doit pas être l'apanage du monde politique, et nous sommes aussi en déficit sur ce point. Elle doit également être dans le champ patronal, syndical, journalistique… 

Réforme du travail : «  Une révolution copernicienne  » (etc…)

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Presque mission impossible ?!

Avec déjà N.SARKOZY que l’on croyait « le messie » qui devait tout changer, on a compris bien vite et qui s’est caché derrière l’alibi de la crise de 2008 !

Quant au suivant F.HOLLANDE le pleutre « président normal » il a jeté l’éponge avant la fin de son quinquennat !

E.MACRON a raison sur un point, il ne pourra plaire à tout le monde et aussi que les réformes ne plaisent pas aux français, car depuis trente ans, ils ont été leurrés pas de belles promesses rarement tenues, alors ils sont très méfiants, c'est logique !

D’ailleurs, depuis sa campagne présidentielle et l’ébauche de son programme, des mesures prévues ont déjà changé ne serait-ce que par rapport au calendrier ou volume de celles-ci !

De plus nos compatriotes sont versatiles et individualistes et partisans du chacun pour soi et beaucoup moins malléables que dans le passé !

Simplement, 5 ans de quinquennat, c’est court pour réaliser tout cela ?

Et surtout, il a ressorti cette fameuse phrase déjà entendue maintes fois par ces prédécesseurs de tous bords « c’est aux français de faire des efforts » çà ce n’est pas nouveau !

Alors ne rêvons pas les recettes ou transformations (car il ne faut plus dire réformes) douce hypocrisie sémantique pour faire passer les pilules amères seront toujours subit par les mêmes, çà c’est une certitude !

Résumons : il a été élu nous n’avons plus le choix, il faut subir comme d’habitude et voir venir en espérant peut être des miracles (mais on n’est pas à Lourdes !)


Jdeclef 31/08/2017 10h27 LP

Hé bien qu'il le fasse si cela lui plait ! Pas très joli cette forme de chantage inutile !

Benoît Hamon menace de "balancer" sur les campagnes de Hollande et de Royal

Selon "Le Canard enchaîné", l'ex-candidat PS, excédé par les mises en cause de sa gestion financière de sa campagne, aurait menacé ses anciens camarades.

Benoît Hamon ne compte pas se laisser faire. Alors que la somme colossale dépensée pour sa campagne fait débat au sein du PS (plus de 15 millions d'euros pour un score de seulement 6 % au premier tour), l'ex-candidat socialiste a décidé de hausser le ton, rapporte Le Canard enchaîné. Selon l'hebdomadaire satirique, Benoît Hamon a menacé ses anciens camarades de « balancer toute la vérité sur la campagne présidentielle de Ségolène Royal et de François Hollande ». « Et on en connaît beaucoup », aurait-il déclaré.
À l'origine de cette colère, des soupçons émis par certains fidèles de François Hollande sur la manière dont la gestion des finances a été effectuée. Julien Dray a, par exemple, réclamé début août un audit sur les dépenses de campagne du candidat et Stéphane Le Foll, une « discussion claire et transparente » sur les sommes qui ont été dépensées durant cette campagne. Face aux critiques, Benoît Hamon avait jusqu'alors simplement reconnu que c'était une campagne qui avait « coûté très cher » et s'était justifié par une « impréparation ». Il a par ailleurs été soutenu par le trésorier du PS, Jean-François Debat, rappelle Le Figaro, qui a assuré que les comptes étaient « clairs ».

Deuxième candidat le plus dépensier

Il faut dire que les 15,2 millions dépensés pour cette présidentielle ne sont pas passés inaperçus, ni dans la presse ni au sein de l'ex-parti de Benoît Hamon (qui vient de fonder son propre mouvement, NDLR), dont l'état des finances est aujourd'hui catastrophique. Selon les chiffres déposés auprès de la commission nationale des comptes de campagne et publiés le 3 août dernier, la somme utilisée par le socialiste est à peine inférieure aux 16,8 millions dépensés par Emmanuel Macron, candidat victorieux. Le candidat PS a dépensé 3 millions de plus que Marine Le Pen (12,5 millions), qui a, elle, atteint le second tour.
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Ce ne sera pas le seul des mauvais perdants qui n'ont pas digéré leur défaite à la présidentielle !

Mais ce pauvre HAMON et sa mauvaise campagne et ses propositions utopiques avait peu de chance d’être élu, les français lui ont fait comprendre dans les urnes !

Et en plus qui n’a pas été soutenu par ses ex collègues du PS en déconfiture maintenant !

Il ne sera que comme d’autres inutiles, à baver sur leurs ex adversaires, ce qui ne sert à rien, car les français en avaient marre de tous ces politiciens médiocres dont il fait partie et de l’ancienne politique sclérosée qu’ils subissaient !

Il veut s’attaquer au passé politique de F.HOLLANDE et S.ROYAL qui sont maintenant hors-jeux, peine perdue et inutile !

Car ils se sont tous fait avoir par un jeune opportuniste plus malin qu’eux E.MACRON qui a su se servir de tous ces français au bon moment qui réclamaient du changement par un grand coup de balai chez ces politiciens de tous bords !

Et nos compatriotes maintenant sont focalisés sur ce nouveau président et son gouvernement rien d’autre et c’est logique qui devra si possible faire ce qu’ils attendent (sans trop tarder..!)

Alors que Mr HAMON se cherche une autre occupation que de faire de la politique et un vrai travail pour lui et sa famille cet ex ministre médiocre !


Jdeclef 31/08/2017 09h38 LP

mercredi 30 août 2017

Après tout si "JUPITER" ce croit invincible, cela le regarde...!

Emmanuel Macron a-t-il désarmé ses CRS ?

Les consignes sont claires : les CRS doivent patrouiller en armes lors des missions sensibles. Sauf ceux qui assurent la sécurité de Macron


La note datée du 14 juin 2017 signée de Philippe Klayman, préfet et patron des CRS, que Le Point s'est procurée, est claire : « Chaque patrouille pédestre devra évoluer munie du HK G36 ou, à défaut, de l'AMD 5.56. » Sur le document de 4 pages, la phrase est soulignée et en gras.
Cependant, lorsqu'ils assurent la sécurité du président de la République, les CRS doivent désormais être désarmés.
Les consignes écrites du préfet ne souffrent pourtant d'aucune ambiguïté : « Le fusil d'assaut HK G36 répond directement aux situations d'acte de terrorisme ou de tuerie de masse. (...) Cette arme sera systématiquement déployée (...) afin d'accomplir toutes les missions à caractère sensible. Elle sera également portée de manière obligatoire lors des missions de gardes statiques... Chaque échelon d'intervention doit être en mesure, d'une part, d'assurer sa propre sécurité, mais aussi d'être en capacité de délivrer l'armement afin de neutraliser dans les meilleurs délais tout acte terroriste. »
Selon nos informations, le retrait de l'armement des CRS émane d'une demande du groupe de sécurité de la présidence de la République (GSPR), dirigé par le colonel de gendarmerie Lionel Lavergne, qui en a pris les commandes à la toute fin du quinquennat de François Hollande. Les gendarmes qui composent le GSPR à parts égales avec les policiers s'étaient sentis méprisés et dévalorisés sous le commandement de la commissaire de police Sophie Hatt. L'actuel patron du GSPR, le colonel Lavergne, a-t-il voulu marquer le monopole du GSPR sur la sécurité du président de la République en s'affranchissant de la consigne générale et en réclamant le désarmement des CRS qui protègent Emmanuel Macron lorsqu'il rentre chez lui au Touquet ?

« Une faute tactique majeure »

Selon l'Élysée, contacté par Le Point, « c'est la préfecture qui a géré ce dispositif ». « Nous avons adapté le dispositif au besoin en sécurité et à l'acceptabilité locale comme à chaque déplacement du président. Dans chaque véhicule, un CRS dispose d'un HK G36 pendant que les deux autres sont en patrouille. Notre préoccupation est la sécurité des fonctionnaires, c'est la raison pour laquelle l'équipement en HK a été récemment déployé. Les CRS n'ont jamais été désarmés. »
Pourtant, la fiche de mission des CRS affectés à la sécurité du président, que Le Point s'est également procurée, indique en toutes lettres et en caractères gras « Agents pieds à terre en tenue de maintien de l'ordre sans arme longue ». Emmanuel Macron a demandé à sa sécurité de respecter « la circulation des piétons » et d'« éviter toute nuisance du voisinage ». Une consigne qui indigne un ancien patron de la sécurité présidentielle : « En période de risque terroriste élevé, désarmer les CRS quand ils sont en mission auprès du président de la République relève d'une faute tactique majeure. »
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Mais dans ce cas ce n'est pas la peine de mobiliser des CRS armés de fusils d'assauts des gardes du corps doivent être suffisants (selon lui !?)


Jdeclef 30/08/2017 16h42

Le titre est bien vu mais qui sont les couillons ?

FOG - L'islamisme et les couillons d'Occident

Alors que le président turc Erdogan transforme son pays en voyoucratie et le noie dans un bain de sang, la complaisance occidentale s'accroît, estime FOG.

Face aux islamistes, les Occidentaux font preuve de légèreté, d'inculture ou de naïveté, c'est selon. Dernier épisode : la déconvenue essuyée par Mme Merkel avec Recep Tayyip Erdogan, le président voyou de la Turquie. Souvenez-vous. Il n'y a pas si longtemps, c'était le meilleur ami de l'Allemagne. Le partenaire historique. Plus Mme Merkel cédait, comme M. Obama, aux objurgations en tout genre d'Erdogan, plus le président turc revoyait ses prétentions à la hausse.
Le courage de l'Occident lui commandait de passer sous la table, et c'est ce qu'il a fait. Nous avons laissé Erdogan transformer son pays en prison, traquer les intellectuels, fermer les journaux, fournir des armes à l'État islamique, persécuter la minorité kurde, emprisonner systématiquement tous ceux qui, dans sa «  dictamocratie  », prétendaient penser par eux-mêmes.
La comparaison avec Hitler ne tient certes pas, mais Erdogan, personnage ubuesque et mégalomane, est pareillement arrivé au pouvoir par les urnes pour imposer par la force sa loi d'airain, son islamisation forcée, son obscurantisme viscéral qui l'a amené à bannir Charles Darwin et sa théorie de l'évolution des programmes des lycées. Sans parler de son grotesque palais présidentiel (plus de mille pièces). Avec ce mirliflore, le pire est toujours possible, face aux couillons d'Occident.
Céline a écrit : «  Pour que, dans le cerveau d'un couillon, la pensée fasse un tour, il faut qu'il lui arrive beaucoup de choses et de bien cruelles.  » Nous y sommes. Ne respectant jamais ses engagements, le président turc n'a cessé de nous ridiculiser. Le comble : l'arrestation à sa demande, samedi, par la police espagnole, de l'écrivain allemand d'origine turque Dogan Akhanli, coupable d'avoir critiqué Erdogan ou évoqué dans des livres le génocide arménien. Les autorités turques ont réclamé son extradition. On hallucine.
La vieille Europe n'est-elle plus qu'une province soumise de l'«  erdoganie  »  ? L'Allemagne a tout de suite pris la défense de Dogan Akhanli, qui a finalement été «  libéré  », à condition de rester à Madrid, le temps que l'Espagne examine la demande d'extradition. Mais, sans la diplomatie allemande, lucide et offensive depuis peu, l'Union européenne aurait sombré dans le déshonneur. C'est sans doute pourquoi Erdogan, professionnel de l'intimidation, a carrément appelé les Turcs d'Allemagne à voter contre Mme Merkel aux prochaines législatives. Bouffre  ! Aujourd'hui, il n'y a guère que Vladimir Poutine à savoir mater le président turc, l'empêchant d'un côté d'exterminer les Kurdes de Syrie et lui vendant, de l'autre, les systèmes de défense antiaérienne et antimissile S400 qui permettent de détecter n'importe quel avion à 600 kilomètres.
Quand cesserons-nous enfin de penser avec nos jambes  ? Il ne s'agit pas de tomber dans la politique du moulinet et de la tartarinade, à la manière de Donald Trump, mais de s'inspirer de la méthode d'Erdogan lui-même, maître chanteur émérite, qui, jusqu'à présent, a obtenu de nous à peu près ce qu'il voulait. Les deux attentats islamistes de Catalogne, la semaine dernière, ont encore montré à nous autres Européens l'inanité de notre stratégie antiterroriste.
«  Collabo  » dans l'âme, loin du terrain et frénétiquement antilaïque, la presse bien-pensante qui a pris le contrôle du cerveau de tant d'élites et de bonnes consciences feint de croire que tous les Arabes sont musulmans et que tous les musulmans sont islamistes. D'où les pincettes et les circonlocutions alambiquées qu'elle utilise après chaque attentat, sans imaginer que beaucoup de musulmans se sentent insultés par ce confusionnisme. Il y a là une chape de plomb qu'il est urgent de faire sauter, pour le bien de la communauté musulmane : le salafisme est à l'islam ce que Moon est à la chrétienté. Une blague qui a mal tourné.
Les salafistes qui répandent un islamisme mortifère, cryptoterroriste, prétendent vivre comme au temps du Prophète, au VIIe siècle, mais ces tristes bouffons ne crachent ni sur les voitures ni sur les portables ni sur Internet dont ils se servent sans vergogne tous les jours de la semaine. Pourquoi ne pas leur demander des comptes, comme c'est le cas pour toutes les sectes dangereuses  ? Qu'attend-on pour traiter comme ils le méritent ces zélotes qui infectent les têtes des conducteurs de fourgon bélier et des autres  ?

Les «  idiots utiles  » de l'islamisme oublient aussi de s'interroger sur l'intrusion en France de pays qui, comme le Qatar, achètent tout ce qui est à vendre chez nous, les clubs de foot comme les parts dans les groupes de médias, en continuant à entretenir des relations plus que troubles avec le salafisme et le terrorisme. Nous faisons montre, là encore, d'une incroyable passivité.
Faut-il désespérer de la démocratie  ? Le retournement stratégique de Mme Merkel à propos d'Erdogan est la preuve que non. Il y a toujours en nous, tapie dans l'ombre, une force qui se réveille in extremis.
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Surement pas les français lambda qui avec leur bon sens savent bien voir ou est le mal !

Mais hélas, ils subissent et se résignent trop facilement bien qu’étant dans des pays libres, c’est dommage peut-être parce qu’ils sont encore dans un confort de pays riches habitués en fait à la facilité et pratiquant le chacun pour soi !

Mais qu’on empêche indirectement, de dire tout haut ce qu’ils pensent tout bas, depuis trente ans par des bien-pensants bobos hypocrites partisans du politiquement correct si dévastateur qui érode la libre pensée !

En effet nos dirigeants français européens et occidentaux en général sont en partie responsables de cette hypocrisie savamment entretenue, car cela les arrange, mais jusqu’à quand et pourquoi ?!

Les évènements et drames mondiaux divers ont pourtant donné des signaux d’alarme que personne ne veut ou ne semble pas entendre ou voir ?!

Merci à FOG de le dire, avant qu’il ne soit trop tard ou irréversible, car le ver est dans le fruit !


Jdeclef 30/08/2017 14h51

Et alors c'est comme d'habitude l'ONU condamne la COREE DU NORD en protestant : Et après ?!

L'ONU condamne fermement le tir nord-coréen

Le leader nord-coréen Kim Jong-un a promis de nouveaux tirs de missiles, après celui qui a survolé le Japon mardi. La tension reste vive dans la région.

Le nouveau tir de missile réalisé par la Corée du Nord mardi a été fermement condamné par le Conseil de sécurité de l'ONU. Kim Jong-un, le leader nord-coréen, a confirmé ce nouvel essai, dont l'engin a survolé le Japon avant de s'abîmer dans le Pacifique. Il a aussi promis de nouveaux lancements. Le survol de l'archipel nippon par un Hwasong-12 de portée intermédiaire a constitué une nouvelle escalade dans la crise. La tension a atteint des sommets ces dernières semaines, après deux tirs par Pyongyang de missiles balistiques intercontinentaux (ICBM) qui mettent apparemment une bonne partie du continent américain à sa portée. Le président Donald Trump a menacé de déchaîner le « feu et la colère » sur le Nord, qui a promis en retour d'envoyer une salve de missiles à proximité de Guam, territoire américain du Pacifique. Mardi, le président américain a averti dans un ton plus diplomatique que « toutes les options étaient sur la table ». Le tir nord-coréen a été condamné « fermement » par le Conseil de sécurité de l'ONU, qui avait récemment imposé à Pyongyang une septième volée de sanctions. Pékin et Moscou, les deux alliés-clés de Pyongyang, ont soutenu le texte, qui ne prévoit pas dans l'immédiat un renforcement des sanctions contre le Nord.
Le Rodong Sinmun, organe du parti unique au pouvoir en Corée du Nord, a publié mercredi une vingtaine de photos du tir, dont une montrant Kim Jong-un hilare entouré de ses conseillers, une carte du nord-ouest du Pacifique posée sur son bureau. Un autre cliché le montre observant le missile qui a été tiré de Sunan, près de Pyongyang. L'engin a parcouru 2 700 kilomètres à une altitude maximum d'environ 550 kilomètres avant de s'abîmer dans le Pacifique. Dans une dépêche publiée mercredi, l'agence officielle nord-coréenne KCNA cite Kim Jong-un annonçant « davantage d'exercices de tirs de missiles balistiques à l'avenir avec le Pacifique pour cible ». Le tir de mardi a été « un prélude important pour contenir Guam, base avancée de l'invasion », a-t-il dit, et un « lever de rideau » à des « contre-mesures résolues » contre les manœuvres militaires que mènent actuellement les armées américaine et sud-coréenne en Corée du Sud. Pyongyang considère ces exercices militaires réguliers entre Séoul et Washington comme la répétition générale d'une invasion.

De nouvelles sanctions contre Pyongyang ?

C'est la première fois que Pyongyang déclare avoir envoyé un missile au-dessus du territoire japonais. Deux projectiles avaient déjà survolé l'archipel en 1998 et 2009. Pyongyang les avait alors présentés comme des engins civils destinés au lancement de satellites, alors que selon Washington, Séoul et Tokyo il s'agissait de tests déguisés de missiles à destination militaire. Des millions d'habitants du nord du Japon, qui n'ont pas cédé à la panique, avaient reçu au réveil par texto un message d'alerte du gouvernement tandis que les sirènes retentissaient dans le nord du pays : « Tir de missile. Veuillez vous abriter ! »
Le tir a également entraîné un déluge de condamnations dans les capitales étrangères. « Les actions menaçantes et déstabilisantes ne font qu'accentuer l'isolement du régime nord-coréen dans la région et dans le monde, a déclaré Donald Trump dans un communiqué. Toutes les options sont sur la table. » Son ambassadrice à l'ONU, Nikki Haley, a réclamé peu après « quelque chose de fort », sans préciser ce que cela pourrait être. Dans sa déclaration, écrite par les États-Unis, le Conseil de sécurité « demande à tous les États membres d'appliquer strictement et pleinement » les résolutions de l'ONU, dont celles imposant des sanctions économiques à la Corée du Nord. La septième salve de sanctions adoptée en août vise à priver la Corée du Nord d'un milliard de dollars de recettes tirées de ses exportations de charbon, de fer, de minerai de fer et de sa pêche. Selon des sources diplomatiques, l'ONU garde en réserve d'autres possibilités de sanctions, comme le renvoi en Corée du Nord des travailleurs nord-coréens employés à l'étranger ou des mesures touchant au secteur du pétrole.
Pour Washington, l'enjeu à l'ONU était d'afficher le maintien de l'unité internationale, avec Moscou et Pékin, face à Pyongyang. Il s'agissait aussi d'aboutir à une réponse très rapide après le tir de missile, souligne une source diplomatique. Pour la Chine, « les pressions et les sanctions » contre Pyongyang « ne peuvent fondamentalement résoudre le problème ». La Russie est un peu sur la même ligne, dénonçant régulièrement une « tendance » à « l'escalade » des tensions. Dans sa déclaration, le Conseil de sécurité réaffirme son engagement à une solution pacifique, diplomatique et politique à la crise avec la Corée du Nord. Mais toute discussion est gelée depuis plusieurs années et aucune perspective de la relancer n'apparaît aujourd'hui. Pyongyang avait menacé de tirer quatre missiles aux abords de l'île américaine de Guam. Un tir vers Guam aurait été pour Washington « une ligne rouge », selon Euan Graham, de l'Institut Lowy en Australie, qui juge que Pyongyang s'est montré « plutôt malin » en choisissant « une demi-mesure 
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Une organisation internationale inefficace, voir à peu près inutile dont certains membres du conseil de sécurité entre autres, se serve même d’alibi en utilisant leur veto sur des résolutions que de toute façon, ils n’appliqueraient pas !

Le problème qui est plus sérieux et préoccupant c’est que le monde occidental civilisé et démocratique fait les mêmes erreurs de la dernière guerre en laissant perdurer des dictateurs dangereux ou fous !

Faut-il oublier HITLER ou le nationalisme impérialisme du JAPON qui a mené ce pays à subir l’arme atomique, et ces autres dictateurs qui sévissent comme BACHAR AL HASSAD ou ERDOGAN qui enfle dangereusement ?!

Sans compter bien sur le terrorisme islamique ?!

Le monde va mal il serait temps que les pays libres occidentaux et leurs dirigeants se réveillent au lieu de palabrer pour rien !

Car KIM JUNG UN se fiche totalement de la communité internationale et surtout à une aversion des USA et surtout de D.TRUMP !


Jdeclef 30/08/2017 10h00

mardi 29 août 2017

C'est évident le laxisme des dernières années ne s'est pas amélioré de par une politique carcérale mal organisée tout comme celle de la justice avec les sanctions diverses peu sévères !

Portables, armes, drogues : ces prisons qui sont des passoires

L'introduction d'objets illicites dans les établissements pénitentiaires est en forte hausse, alors que les dispositifs de sécurité manquent d'efficacité.


Mardi 15 août dernier, au centre pénitentiaire de Valence, s'est déroulée une scène peu commune. Radioguidé depuis l'extérieur, un drone est passé au travers des mailles du filet anti-hélicoptère couvrant la cour de promenade, avant de s'y poser pour livrer le paquet qu'il transportait. Les surveillants ont immédiatement lancé l'alerte, trop tard. Les détenus s'étaient saisis du paquet.
Si la livraison d'objets illicites par drone n'est pas un phénomène très répandu, il est « très préoccupant », soutient Christopher Dorangeville, secrétaire général de la CGT pénitentiaire. « Le problème risque de se développer dans un futur proche, car l'administration pénitentiaire met toujours un peu de temps à s'adapter aux nouvelles technologies », renchérit-il. L'administration pénitentiaire, quant à elle, relativise et affirme que « l'arrivée des drones n'est pas le principal problème : [elle ]représente une part minime des problématiques en termes d'introduction d'objets dans l'enceinte des établissements pénitentiaires ».

20 000 portables retrouvés en 6 mois

Et celle-ci est en forte hausse. L'année dernière, pas moins de 33 520 téléphones portables ont été retrouvés sur l'ensemble des établissements de France, et déjà 19 339 pour le premier semestre 2017. Et effectivement, les drones n'en sont pas la cause principale. « On compte majoritairement trois façons de faire entrer ces objets, qui sont souvent des téléphones portables, des armes, ou des stupéfiants, explique Christopher Dorangeville. Le transfert d'objet lors des parloirs, la projection de colis par-dessus le mur de l'établissement, et le trafic avec les personnes de l'extérieur. »
Les dispositifs de sécurité mis en place ne suffisent pas pour bloquer cet afflux d'objets illicites. L'un des principaux problèmes ? « L'article 57 du code de procédure pénale, répond le secrétaire général. Il a mis un terme aux fouilles systématiques des détenus au retour de parloir. Cela ne permet pas d'assurer la sécurité du personnel de l'administration pénitentiaire, et des détenus. Nous demandons la remise en place de ces fouilles. » Le syndicat réclame en outre un renforcement des moyens matériels et humains (renforcement des filets, assurer une sécurité périmétrique…).

Surpopulation carcérale et manque d'effectifs

L'administration pénitentiaire entend partiellement ces requêtes. « Le principal problème est celui des projections, déclare cette dernière. Les syndicats ont raison, certains filets sont en fin de vie. Un remplacement progressif est prévu, mais nous ne pouvons pas prendre en charge les 187 établissements d'un coup, c'est aussi une question de budget. »
Sur la question des drones, un groupe de travail a été mis en place afin de déterminer quelle technologie sera à même de lutter durablement contre le survol de drone, et d'anticiper aussi les évolutions technologiques. Deux techniques majeures sont actuellement testées dans différents établissements français. Mais, comme souvent, cela prendra du temps.
Le budget est l'un des principaux freins à une évolution rapide de ces dispositifs de sécurité, mais il n'est pas le seul. Comme l'indique l'administration pénitentiaire, « la hausse de la population carcérale n'a jamais été aussi importante ». Et le constat est inverse pour le nombre de surveillants, qui, lui, diminue drastiquement. « Nous faisons face à des carences d'effectifs importantes », souligne Christopher Dorangeville. « La question du recrutement pose un gros problème », reconnaît l'administration pénitentiaire. En octobre prochain sera d'ailleurs lancée une campagne de recrutement pour attirer le plus de candidats possible, et tenter de résoudre les problèmes d'effectifs et de sécurité.
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On sait enfermer les condamnés enfin (quand ils font effectivement leurs peines) ou délinquants, voir même ceux en détention provisoire avant jugement !

Mais on ne sait pas les garder ou les surveiller correctement, car les droits des détenus ont trop évolués vers trop de liberté interne bien qu’incarcérés pendant leur détention !

Le manque de surveillance est dû au manque d’effectif des gardiens et en ce qui concerne les fouilles, elles ne sont plus effectuées régulièrement, alors il faut pas s’étonner que certains objets divers sortent et entrent facilement
De plus les visites sont faites sans vraie séparation entre les détenus et leurs visiteurs famille ou autres !

Parallèlement certains détenus font la loi et les gardiens ont un grand déficit d’autorité car les détenus ont trop de protections juridiques !

En termes de politique carcérale, il faut tout revoir sur le fond et la séparer du ministère de la justice qui la laisse péricliter, car c’est le parent pauvre et pourtant elle a une grande utilité et est un besoin dans le contexte actuel d’insécurité grandissante !


Jdeclef 29/08/2017 19h19 

Il faudrait que nos gouvernants de tous bords arrêtent de lancer de nouveaux mots pour essayer de faire de la bonne politique ou de la meilleure communication !

"Transformation", le mot magique de la rentrée

Ne dites plus "réformes", mais "transformation", le nouveau terme à la mode au sein de l'exécutif. Le président, lui, l'utilise depuis longtemps.

C'est le mantra de la rentrée, répété par Emmanuel Macron et ses ministres. « Réformes » est désormais un mot banni dans le vocabulaire gouvernemental, au profit de la « transformation ». Le président a donné le ton depuis Bucarest, jeudi 24 août, dans un discours devant la communauté française où il avait retrouvé le ton de sa campagne : « La France n'est pas un pays réformable, les Françaises et les Français détestent les réformes. Dès qu'on peut éviter les réformes, on ne les fait pas. C'est un peuple qui déteste cela. Il faut lui expliquer où on va, et il faut lui proposer de se transformer en profondeur. »
Message reçu. Ce lundi 28 août au matin, sur RTL, le ministre de l'Économie et des Finances Bruno Le maire évoque l'« impatience des Français qui veulent une transformation en profondeur ». « C'est un budget de transformation pour le pays », commente au même moment son collègue Gérald Darmanin sur Europe 1.
Et l'après-midi, à la sortie du séminaire gouvernemental qui marque la rentrée de l'exécutif, c'est au tour du Premier ministre Édouard Philippe : « Je veux dire aux Français que ce que nous préparons, c'est une transformation discutée, pensée et nécessaire pour le développement de l'économie française, dit-il. Le pays a besoin de transformation et les Français le savent. »

Un terme qui vient de loin

S'il est utilisé sans modération depuis quelques jours, le mot n'a pas été sorti du chapeau par l'Élysée seulement pour répondre aux courbes descendantes des sondages de popularité. Le président l'a employé avant les vacances. Lors du dîner qui a précédé le dernier conseil des ministres, il a conseillé à ses ministres de profiter de leurs congés pour « se réapproprier le projet de transformation ». Déjà, le 3 juillet, devant le Congrès réuni à Versailles, il évoquait l'obligation qui est la sienne, « celle d'une transformation résolue et profonde, tranchant avec les années immobiles ou avec les années agitées, toutes aux résultats également décevants ». En remontant encore dans le temps, arrêtons-nous au 9 mars 2017. Ce jour-là, le candidat Macron donne une grande conférence de presse au Pavillon Gabriel, à Paris, devant quelque 400 journalistes. Il promet solennellement une « transformation sans révolution » s'il est élu.
Cette idée qu'il ne suffit pas d'aligner les réformes mais de les ordonnancer dans un dessein plus vaste est donc présente depuis longtemps. Mais les trois premiers mois d'exercice du pouvoir l'ont dissipée à l'épreuve des dures réalités budgétaires et des annonces intempestives, telle celle de la baisse de 5 euros de l'aide personnalisée au logement (APL). Désormais, il est urgent de l'expliquer et de la mettre en œuvre aussi clairement que possible.
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Et cesse de s’écouter parler, le président en tête !

Il ne faut plus parler de réformes mot tabou, selon le président qui dit que les français n’aiment pas celui-ci, ni celles-ci !

(Exemple : comme la fameuse « feuille de route » dont on nous a rebattu les oreilles, parmi tant d'autres !)

Reprise bien sûre par des médias qui font le jeu de ces politiciens élus au plus haut de l’état !

Tout ça, c’est comme vouloir changer les noms des partis politiques inutiles, si c’est pour faire comme avant (après !)

Alors on change artificiellement, mais sur le fond, c’est toujours le même discours du bla-bla pour soûler le bon peuple lambda qui n’écoute plus d’ailleurs, car il a d’autres soucis !

Mais néanmoins, les français le font sentir au nouveau président élu par une fausse majorité importante au départ, (mais mathématique qui ne correspondait pas à la réalité, système éculé de la V eme république !)

Mais par des sondages à la baisse, car en fait de nouveauté espérée, ils ne voient encore rien de probant !

Alors certains diront qu’en 3 mois le président ne peut encore montrer le sens de sa politique dans le détail, soit, mais c’est la rentrée et il va devoir le prouver rapidement car nos compatriotes ont fait le ménage dans l’ancienne classe politique pour ça !


Jdeclef 16h26 29/08/2017

Ce dictateur déjanté semble vraiment se moquer de la communauté mondiale et de l’ONU?!

Japon : la nouvelle provocation de la Corée du Nord

VIDÉO. Un missile nord-coréen a survolé l'île de Hokkaido, dans le nord du Japon. Une réunion en urgence du Conseil de sécurité de l'ONU est prévue ce mardi.

La Corée du Nord a effectué mardi un tir de missile qui est passé au-dessus du Japon, ont indiqué les militaires sud-coréens ainsi que le gouvernement japonais. Le Conseil de sécurité de l'ONU se réunira en urgence à la demande de Washington et de Tokyo, le Premier ministre japonais Shinzo Abe dénonçant une « menace grave et sans précédent ». Les sirènes ont retenti dans le nord du Japon et des millions d'habitants ont reçu par texto un message d'alerte du gouvernement leur demandant de se mettre à l'abri. Le trafic ferroviaire a été temporairement suspendu. « Toutes les lignes sont perturbées. Motif : tir de missile balistique », pouvait-on ainsi lire à Sapporo, principale cité de l'île de Hokkaido, dans le nord de l'archipel.
Inquiètes après le tir nord-coréen, les Bourses européennes se repliaient toutes en fin de matinée. À 9 h 30, Francfort lâchait 1,93 %, Paris perdait 1,55 % et Londres reculait de 1,37 %. De son côté, l'euro grimpait à son plus haut niveau depuis janvier 2015 face à un dollar affaibli. La monnaie européenne valait 1,2062 dollar vers 9 heures GMT, contre 1,1978 dollar lundi vers 21 heures GMT. La dernière fois qu'un engin nord-coréen a survolé le Japon remonte à 2009. C'était un tir de satellite, assurait Pyongyang. Mais, d'après Washington, Séoul et Tokyo, il s'agissait d'un test déguisé de missile intercontinental balistique (ICBM).

La Russie préoccupée

C'est au grand jour que Pyongyang a mené le mois dernier deux tests d'ICBM qui semblent avoir mis une bonne partie du continent américain à sa portée. Le président américain Donald Trump a alors promis de déchaîner « le feu et la colère » sur la Corée du Nord. Ce à quoi Pyongyang répliquait en promettant de tirer une salve de missiles à proximité de Guam, territoire américain dans le Pacifique. Le dernier missile a été tiré de Sunan, près de Pyongyang, à 5 h 57, et a survolé le Japon, a expliqué l'état-major sud-coréen. L'engin a parcouru 2 700 kilomètres à une altitude maximum d'environ 550 km avant de s'abîmer dans le Pacifique. Il a été tiré vers l'est, et non en direction de Guam, avant-poste stratégique de l'armée américaine sur la route de l'Asie, à environ 3 500 km de la Corée du Nord.
Shinzo Abe a dénoncé un « tir inacceptable » qui « nuit considérablement à la paix et la sécurité de la région », précisant que Tokyo avait protesté auprès de Pyongyang. Le Premier ministre a ajouté s'être entretenu avec Donald Trump pendant quarante minutes au téléphone. Les deux alliés sont convenus, a-t-il dit, d'« augmenter la pression sur la Corée du Nord ». Mais la Chine, principal allié et partenaire commercial de la Corée du Nord, a appelé toutes les parties à la retenue. Si la situation est à un « tournant », « les pressions et les sanctions » contre Pyongyang « ne peuvent fondamentalement résoudre le problème », selon la porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères Hua Chunying. La Russie s'est dite « extrêmement préoccupée », dénonçant une « tendance » à « l'escalade » des tensions. Le Nord s'est vu infliger début août une septième volée de sanctions, visant à le priver d'un tiers de ses recettes d'exportations. Tout missile lancé vers Guam survolerait le Japon et les analystes expliquent que ce dernier tir constitue un énorme défi à la fois pour Tokyo et pour Washington.

« Bluff », « ligne rouge » et « demi-mesure »

Lorsque le Nord avait tiré ses deux ICBM en juillet - un « cadeau » aux « salauds d'Américains », selon le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un -, ceux-ci avaient adopté une trajectoire en cloche, permettant d'éviter le Japon. Avant le tir de 2009, un engin nord-coréen n'avait survolé l'espace aérien du Japon qu'en 1998. Pyongyang avait aussi affirmé qu'il s'agissait d'un lancement spatial, Washington parlant d'un missile Taepodong-1. Pyongyang avait semblé mettre sur pause son projet de tirer quatre missiles sur Guam, ce qui avait fait dire à Donald Trump que le Nord commençait à « respecter » les États-Unis.
« On aurait dit que la Corée du Nord avait reculé au jeu de qui est le plus fort », estime Cha Du-hyeogn de l'Institut Asan des études politiques de Séoul. « Mais Pyongyang montre que ce n'est pas cela qui se passe. Il montre qu'il ne s'est pas dégonflé et que c'est Washington qui bluffe sans projet concret. » Pour Euan Graham, de l'Institut Lowy en Australie, un tir vers Guam aurait été pour Washington « une ligne rouge », si bien que Pyongyang s'est montré « plutôt malin » et a choisi « une demi-mesure ».
Le Japon a affirmé par le passé qu'il détruirait en vol tout engin nord-coréen qui menacerait de frapper son territoire. Mais il n'a rien fait de tel mardi. Selon les explications du ministre de la Défense Itsunori Onodera, Tokyo a estimé que le missile, qui a survolé Hokkaido pendant deux minutes, ne risquait pas de chuter sur son territoire. Pyongyang justifie ses ambitions militaires par la nécessité de se protéger des États-Unis. Ce tir, qui s'ajoute à ceux de trois engins de courte portée samedi, survient au même moment que les manœuvres militaires conjointes annuelles menées par Séoul et Washington dans la péninsule.
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On peut comprendre l’inquiétude du JAPON légitime, mais souvenons-nous de l’IRAN et sa course à l’armement nucléaire qui a été mis en sommeil par des accords difficiles avec la communauté internationale, pour autant, que le risque ne soit pas totalement définitivement écarté !

Le risque supplémentaire étant que KIM JUNG UN ne semble pas un dirigeant équilibré qui a une haine viscérale contre les USA et la venue de D. TRUMP au pouvoir comme président US n’a pas minimisé le risque par ses diatribes et menaces revanchardes indirectes, mais attisé le feu nucléaire qui couve en Corée du nord !

Car en 1945 c’est bien les USA qui ont ouvert la boite de pandore en utilisant cette arme de destruction massive sur HIROSHIMA et NAGASAKI au JAPON !

Ajoutez à cela, cet antagonisme de la Corée du sud depuis 1953 et des USA qui ne diminue pas, il faudrait trouver une solution plus radicale pour empêcher le dictateur coréen du nord de « jouer avec ses pétards éminemment dangereux » avant que cela ne termine en catastrophe !

Mais ce n’est pas à D.TRUMP car « éléphant dans un magasin de porcelaine » mais au reste des pays civilisés libres et démocratiques de mettre à la raison KIM JUNG UN !

JDECLEF 29/08/2017 13H04

lundi 28 août 2017

Encore hélas une grande dame si jolie du cinéma qui disparait :

Mireille Darc : la vie malgré tout

VIDÉOS. À l'âge de 79 ans, "la grande sauterelle" nous quitte. Bien que marquée par de nombreux accidents de santé, elle nous laisse une belle leçon de vie.

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Et surtout une époque où la France parlait vraie et ne se cachait pas derrière des bobos bien-pensant qui polluent notre société en se regardant le nombril !

Un passé qui nous rend nostalgique d'une société plus heureuse que maintenant merci à elle "la grande sauterelle" comme surnommée dans un de ses nombreux films!

Elle nous manquera dans un cinéma moderne actuel (mais moins distrayant) ce qu'il devrait pourtant être son premier but, ou l'on ne voit plus de ces grands acteurs actrices françaises qui crevaient l'écran et nous donnaient l'envie d'aller plus souvent au cinéma avec de bons films français !


Jdeclef 28/08/2017 13h12 LP