Il faut arrêter de plaindre ces élus qui ont voulu faire de la politique et qui ne sont pas à plaindre, car pas dans le besoin, on ne les a pas forcés !

Les galères d'Emmanuelle Cosse pour retrouver un emploi

Depuis la fin de sa mission de ministre du Logement, Emmanuelle Cosse connaît une période de chômage. Pour le moment, elle ne voit rien venir, confie-t-elle au "Figaro".

De nombreuses personnalités politiques ont changé d'horizon, avec la fin de leur mandature ou après leurs échecs aux dernières élections. François Fillon rejoint, par exemple, le secteur de la finance, tandis que Jean-Pierre Raffarin devient chroniqueur à la télévision. Emmanuelle Cosse, elle, n'a toujours pas de nouveau point de chute. Une situation pour le moment sans issue qui pèse sur l'ancienne ministre du Logement, en poste pendant un peu plus d'un an dans la précédente équipe gouvernementale.
À la recherche d'un emploi dans le secteur du bâtiment, Emmanuelle Cosse postule auprès de dirigeants qu'elle a côtoyés lorsqu'elle était ministre. Ce changement dans le rapport de force ne facilite pas les choses. «  C'est compliqué de m'avoir comme employée quand on m'a eue comme ministre  », a-t-elle avoué au Figaro . «  Il est difficile de retrouver sa place  », a-t-elle ajouté à propos du chômage qui guette à la fin d'une mission gouvernementale. Emmanuelle Cosse souhaite ainsi la création d'un statut d'ancien élu «  afin de permettre des va-et-vient entre le public et le privé  ».

Elle siège toujours au conseil régional d'Île-de-France

L'ancienne ministre, militante chez Act Up à 25 ans, a aussi exercé le métier de journaliste, notamment pour le magazine Têtu. Mais elle n'imagine pas revenir en arrière. «  Le métier a beaucoup changé… Vous [les journalistes, NDLR] avez un rapport différent avec le digital. Et puis, je devrais arrêter mon mandat électoral  », a expliqué celle qui siège toujours au conseil régional d'Île-de-France.
En attendant une opportunité, Emmanuelle Cosse ne se dit «  pas amère. Ça ne servirait à rien de l'être, d'ailleurs  ». Son mandat au conseil régional lui permet de rester à jour sur les dossiers importants. «  Ce n'est pas parce que vous n'êtes plus ministre que vous perdez vos engagements, assure l'ancienne secrétaire nationale d'EELV. Contrairement à Benoît Hamon, je ne l'ai pas oublié.  » Un tacle qui montre qu'elle n'a pas perdu les réflexes de la politique.

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Elle était une militante associative, journaliste et femme politique française ?!

Mais hélas avec un parti presque inexistant EELEV (écologiste les verts) spécialiste des empêcheurs de tourner en rond réduit à la portion congrue dans le paysage politique français !

Devenue ministre, elle a déjà eu beaucoup de chance !

Son indemnité de chômage et de conseillère régionale, cela devrait lui permettre de survivre tout de même, elle n’a qu’à se remuer, elle s’est laissée assez longtemps vivre comme inutile, quand elle était au gouvernement, mais elle a bien vue la défaite arriver, surtout après la défection du président (il lui fallait prévoir et préparer son avenir, surtout quand on n’est pas une politicienne de renom !)

Mais semble-t-il, elle ne sait rien faire d’autre que de la politique, comme d’autres, et elle n’a pas de relation peut être, il faut dire que son incompétence en tant que ministre médiocre l’a desservi, s’en parler des histoires douteuses de son mari !

Il ne faut pas la comparer avec tous ces chômeurs ou ceux ayant des emplois précaires nombreux qui ont du mal à s’en sortir pour simplement vivre décemment et s’acharne à trouver du travail pérenne depuis longtemps, car cela ne leur fait pas honneur !

Jdeclef 27/08/2017 14h46