dimanche 30 mai 2021

Qu'il le fasse on est englué dans ce MALI depuis 2013 et avant dont on n’arrive pas s'en aller !

 

Mali : Macron menace de retirer les troupes françaises

Le chef de l’État assure dans « Le Journal du dimanche » que la France retirera ses troupes au Mali si le pays va « dans le sens » d’un islamisme radical.

 

Emmanuel Macron a affirmé que la France retirerait ses troupes si le Mali allait « dans le sens » d'un islamisme radical, dans un entretien au Journal du dimanche diffusé dimanche, après un deuxième coup d'État en neuf mois. La France, avec environ 5 100 hommes au sein de Barkhane, soutient le Mali qui fait face depuis 2012 à une poussée djihadiste partie du Nord, ayant plongé le pays dans une crise sécuritaire avant de s'étendre au centre du pays. Mais Paris, comme l'Union européenne, a dénoncé mardi un « coup d'État inacceptable » après l'arrestation du président Bah N'Daw et du Premier ministre Moctar Ouane décidée par l'homme fort du pays, le colonel Assimi Goïta.

« Au président malien Bah N'Daw, qui était très rigoureux sur l'étanchéité entre le pouvoir et les djihadistes, j'avais dit : L'islamisme radical au Mali avec nos soldats sur place ? Jamais de la vie ! Il y a aujourd'hui cette tentation au Mali. Mais si cela va dans ce sens, je me retirerai », a mis en garde le président français, dans un entretien au JDD à l'occasion d'un voyage au Rwanda et en Afrique du Sud.

Sahel : « L'urgence, c'est de revoir l'ordre des priorités »

Le chef d'État français affirme également avoir « passé le message » aux dirigeants d'Afrique de l'Ouest qu'il « ne resterait pas aux côtés d'un pays où il n'y a plus de légitimité démocratique ni de transition ». Il rappelle avoir dit depuis trois ans, « au sein de plusieurs conseils de défense, que nous devions penser à la sortie ». Les dirigeants ouest-africains se réunissent dimanche pour trancher la question épineuse de leur réponse au double putsch des militaires maliens en neuf mois. Au sommet du G5 Sahel à Pau en janvier 2020, « j'ai préparé un chemin de sortie. Je suis resté à la demande des États, parce que je pensais que la sortie était un point de déstabilisation. Mais la question se pose, et nous n'avons pas vocation à rester éternellement là-bas », a-t-il répété.

Mali : un coup d'État dans le coup d'État ?

Un long échange avec Mahamat Déby

Concernant le Tchad, où un Conseil militaire de transition (CMT) est présidé par l'un des fils d'Idriss Déby, Mahamat, après sa mort brutale en avril, Emmanuel Macron estime que « les choses sont claires ». « Nous venons au secours et en soutien d'un État souverain pour qu'il ne soit pas déstabilisé ou envahi par des groupements rebelles et armés. Mais nous demandons la transition et l'inclusivité politique », assure-t-il. Il explique que lorsqu'il s'est rendu aux obsèques d'Idriss Déby, il a eu « un long échange » avec Mahamat Déby à la veille du G5 Sahel. « Le lendemain matin, avec les autres chefs d'État, nous sommes allés le voir pour lui demander cette ouverture politique avec le soutien de l'Union africaine. »

« Le piège africain de Macron va au-delà de cette actualité »

Emmanuel Macron met aussi en garde contre un échec d'une politique de développement en Afrique. « Je le dis avec lucidité, si on est complices de l'échec de l'Afrique, on aura des comptes à rendre, mais on le paiera cher aussi, notamment sur le plan migratoire », estime-t-il. Il réaffirme qu'il faut donc « investir massivement » au sortir de la pandémie de Covid-19 « avec l'équivalent d'un plan Marshall » et que la communauté internationale doit avoir « la générosité de dire qu'on efface une partie de la dette pour aider les Africains à bâtir leur avenir ».

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Les maliens ne veulent plus d’ex colonisateurs européens chez eux, tout comme le reste de cette Afrique francophone, ex AOF/AEF alors qu’E.MACRON fasse preuve de courage et de décision pour enfin tourner la page que ses prédécesseurs n’ont pas voulu faire ou pas réussi par manque de volonté !

La majorité de ces pays africains colonisés par les français et les européens, anglais belges, allemands, portugais sont indépendants depuis environ 60 ans, certains ont réglés ces indépendances drastiquement, mais fermement notamment les anglais avec leur Commonwealth !

D’autres ont des accords d’états et commerciaux corrects entre pays devenus étrangers, seule la France traine comme un boulet cette décolonisation dont on n’arrive pas à se séparer à cause de mauvaises politiques menées par tous nos gouvernements et dirigeants français et d’ailleurs ces peuples et ethnies si différentes ne veulent plus des français de leur ingérence qu’ils jugent de blancs voire esclavagistes style IXX eme siècle du temps de nos empires coloniaux !

Ce qui est étonnant c’est que l’on subit une forte immigration africaine en France, de famille entière, car bien sur les avantages sociaux n’existent plus dans leurs pays !?

Donc si le président veut quitter le Mali ce sera une bonne décision ?!

Car il faut cesser de faire les gendarmes dans cette Afrique francophone et notamment au MALI/SAHEL qui nous coute une fortune (comme nos DOM/TOM !)

Jdeclef 30/05/2021 13h48


Encore un fait divers dans cette violence et délinquance diverses dans notre France par des individus qui veulent régler Comptes à l’aide d’armes à feux !

 



L’homme a ouvert le feu sur des gendarmes appelés pour un différend familial. Il est actuellement cerné dans les rues du village de Lardin-Saint-Lazare.

Une chasse à l'homme était engagée dimanche matin en Dordogne pour retrouver un ancien militaire lourdement armé, recherché après avoir tiré sur des gendarmes appelés pour des violences familiales au Lardin-Saint-Lazare, un village à une trentaine de kilomètres de Sarlat.

Selon la gendarmerie, le GIGN de Toulouse est en intervention sur les lieux, 2 hélicoptères et 210 gendarmes sont engagés. Deux négociateurs sont sur place. « C'est un ancien militaire qui est armé, qui se déplace rapidement, qui fait usage de son arme », a précisé le préfet de Dordogne, Frédéric Périssat, sur BFMTV. « La manœuvre conduite [avec les gendarmes] est bien de figer la situation pour pouvoir après l'interpeller et bien sûr éviter tout drame humain », a-t-il poursuivi. « Au-delà des militaires du groupement de gendarmerie départementale, il a été fait appel à un escadron de gendarmerie mobile en proximité du département de la Corrèze. D'autres renforts viennent », notamment du GIGN depuis Toulouse et depuis Paris, a-t-il ajouté.

« Son ex-compagne et ses enfants sont indemnes. »

Selon les informations de France Info, l'homme s'était rendu au domicile de son ancienne conjointe pour s'en prendre à son nouveau compagnon. Celui-ci aurait pris la fuite avant d'être pris pour cible par le forcené à coups d'arme à feu. Il aurait ensuite ouvert le feu en direction des gendarmes en intervention, endommageant deux véhicules.

Selon une source proche du dossier, « son ex-compagne et ses enfants sont indemnes, récupérés par la gendarmerie et placés en sécurité ». Le préfet de Dordogne Frédéric Périssat avait lancé, tôt dimanche matin, un appel sur les ondes de France Bleu Dordogne, invitant la population de la commune à « rester chez elle enfermée, et à ne pas se déplacer ». Un appel relayé par la maire de Lardin-Saint-Lazare, Francine Bourra, qui a évoqué sur BFMTV « un homme très lourdement armé et violent », précisant qu'il était « porteur d'un bracelet électronique ».

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Dont on constate que beaucoup en possèdent malgré que se soit interdit dans notre pays et sans autorisation de posséder des armes à feux voire les utiliser sauf pour faire du tir sportif !

De plus dans la France campagnarde il est courant pour les paysans de posséder des armes pour chasser, notamment fusil de chasse !

Les armes contrôlées et répertoriées ne sont pas forcément dangereuses, car seules les utilisations contre autrui sont dangereuses voire criminelles pour certains qui s’en servent pour tuer des êtres humains donc c’est bien les hommes qui sont responsables lors de drames qui sont hélas devenus trop fréquents !

Homme qui semble-t-il, veut s'en prendre forces de l'ordre par bravache ou cherchant à se faire abattre par le GIGN spécialiste !?

Jdeclef 30/05/2021 11h05


samedi 29 mai 2021

Les médias par leurs communications déjantées pour faire du scoop : C'est aussi cela la France "des bobo" !?

 

Stars antivaccin : des coups d’éclat aux polémiques

Ces derniers mois, plusieurs célébrités ont pris position ouvertement contre le vaccin contre le Covid-19. À leurs risques et périls…

 

Brigitte Bardot, Anny Duperey, Juliette Binoche… Elles sont peu nombreuses, mais connues pour leurs convictions et leur caractère : une poignée de célébrités ont fait le choix de se positionner contre le vaccin anti-Covid, face à une grande majorité d'artistes qui se sont en revanche affichés en train de se faire vacciner – comme Line Renaud – ou signant des pétitions pour convaincre les Français encore hésitants – Julie Gayet, Gérard Jugnot, Nagui, Nicolas Bedos, Grand Corps malade… Sans oublier François Berléand qui est allé jusqu'à taxer les antivaccins de « crétins ».

Dans ces conditions, seules celles qui ont les épaules solides sont descendues dans l'arène, le plus souvent en dénonçant le juteux business à venir des labos et le manque de recul sur des vaccins trop vite sortis sur le marché à leurs yeux… À l'image d'Anny Duperey, qui est plus que jamais méfiante vis-à-vis des groupes pharmaceutiques depuis qu'elle s'est mobilisée contre les effets indésirables de la nouvelle formule du Levothyrox, en 2017. « Je pense qu'il est urgent d'attendre devant un produit complètement expérimental », lançait-elle en février, estimant qu'on ne connaissait par les effets à long terme des nouveaux vaccins. En avril dernier, elle était toujours sur la même position. « Je vais attendre prudemment. Mais pour les gens que ça rassure, il faut y aller, bien sûr, précisait-elle dans Gala. De mon côté, je fais attention, je respecte les gestes barrières… »

Même avis pour Brigitte Bardot, qui, dès janvier dernier, montait au créneau avec véhémence, malgré son âge qui la place d'office dans les personnes à risque. « Me faire vacciner ? Certainement pas ! expliquait la star octogénaire dans Ici Paris. On ne connaît pas les effets secondaires. Ce vaccin risque d'être inutilisable, car le virus va muter. Il a déjà commencé, et ce n'est que le début d'une course au pognon pour les laboratoires et aux sacrifices par milliers pour les animaux cobayes… » Et de dériver ensuite vers une analyse toute personnelle : « Le virus est là pour remettre les pendules à l'heure ! Il faut une prise de conscience profonde de ce que l'humain fait subir aux animaux », expliquant au passage que le Covid-19 n'était qu'un « phénomène envoyé par la nature pour rééquilibrer la chaîne écologique saccagée par la puissance dominatrice humaine ».

Brigitte Bardot ravie de son confinement à Saint-Tropez

Complotisme

De là à tomber dans les propos dits complotistes, il n'y a qu'un pas, franchi allègrement par Juliette Binoche il y a un an, quand elle relayait sur Instagram des théories pour le moins farfelues sur les vaccins : « Ce sont des opérations organisées par des groupes financiers internationaux (principalement américains) depuis longtemps, expliquait-elle dans un commentaire. Ils manipulent (sans être parano !) : les vaccins qu'ils préparent en font partie : mettre une puce sous-cutanée pour tous, c'est NON. NON aux opérations de Bill Gates. NON à la 5G. » L'actrice oscarisée reprenait ainsi à son compte les délires qui ont agité les réseaux il y a un an, soupçonnant Bill Gates d'avoir carrément financé la création du virus pour contrôler et tracer la population mondiale via un vaccin qui placerait une puce sous la peau… Quant à la 5G, dont l'installation fait polémique, certains militants sont convaincus qu'elle affaiblirait le système immunitaire, facilitant ainsi la propagation du virus.

Coronavirus : le virus « fake news » galope

La sortie de Juliette Binoche, connue pour ses engagements écologiques, lui valut évidemment une volée de bois vert dans les médias. À tel point qu'elle a tenu à s'en expliquer des mois plus tard dans L'Express, niant être « une complotiste ». « J'ai écrit un commentaire, peut-être un peu maladroitement, mais je pense que mes doutes et mes questions étaient légitimes, confiait-elle avec le recul en mars dernier. Je pense que nous vivons dans un monde de la pensée unique. Tous ceux et celles qui osent poser des questions sont rangés dans la case “complot”, ce qui est une manière de les faire taire. » Et qui expliquerait aussi pourquoi beaucoup de célébrités préfèrent se taire sur un sujet où il n'y a que des coups à prendre.

Jeu politique

Il y a ceux enfin qui en font un enjeu politique, assumant pleinement la polémique pour mieux surfer sur la colère citoyenne, comme un prolongement du ras-le-bol porté par les Gilets jaunes en 2018. C'est le cas de Francis Lalanne, bouillant partisan des sans-masques, et surtout de Jean-Marie Bigard, toujours au créneau pour donner de la voix avec la délicatesse qu'on lui connaît… En janvier, l'humoriste publiait une photo d'un sosie au visage bouffi sur son compte Twitter à l'attention de ses fans : « Bigard vacciné, tout va bien ! » pouvait-on lire, en décalage complet avec le visuel inquiétant. Avec ce commentaire ironique : « C'est bon, tout le monde est rassuré ? »

Dénonçant le business des labos, estimant que le vaccin ne sert à rien, Bigard avance dans le show-biz en franc-tireur, forçant volontairement le trait en franchissant les lignes blanches les unes après les autres, comme lorsqu'il a comparé récemment le pass sanitaire au port de l'étoile jaune, provoquant un véritable tollé. Pour l'humoriste, gueulard et râleur professionnel, l'affaire des vaccins, après la gronde des Gilets jaunes, est un moyen comme un autre de continuer à exister sur le terrain politique : il s'est dit tenté un temps par la présidentielle avant de renoncer… pour l'instant.

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Ont pourri certaines informations raisonnables !

Ainsi (hélas) que nos gouvernements et dirigeants totalement dépassés et désemparés au sujet de la lutte contre cette Covid virus et variants !

Et surtout dont la vaccination semble-t-il (pour l’instant) est la seule solution pour se sortir de cette crise sanitaire !

Donc parallèlement la vaccination qui aurait dû, être de masse a été aussi mal organisée car par (exemples des patients à risques et de plus de 75 ans ne sont pas encore vaccinés car beaucoup de ceux-ci n’ont pu le faire parce que simplement trop compliqué, alors que la sécurité sociale pouvait intervenir rapidement comme elle le fait pour le vaccin de la grippe saisonnière !?)

Cela reflète la gestion déplorable de la pandémie par notre gouvernement et ses dirigeants avec leurs administrations kafkaïennes et ses kyrielles de fonctionnaires bornés, ce qui ne peut pas rassurer les antivaccins qui doutent de l’utilité de se faire vacciner de par l’incompétence des biens pensants donneurs de leçon qui nous gouvernent !

Pourtant les vaccins sont utiles, on en a des preuves depuis des décennies dans le passé qui ont stoppé ou guérit de graves pandémies et éradiqué, virus qui ont fait des ravages !

Jdeclef 29/05/2021 16h12


vendredi 28 mai 2021

Blessée mais grièvement blessée, pronostic vital n'est plus engagée mais c’est horrible !

 

Loire-Atlantique : une policière agressée, le suspect interpellé

Une policière municipale a été agressée au couteau à La Chapelle-sur-Erdre. Des coups de feu ont été échangés et trois policiers ont été blessés.

 

Une policière municipale a été poignardée à plusieurs reprises par un individu dans le commissariat de La Chapelle-sur-Erdre, une commune située à trois kilomètres de Nantes. Elle a été touchée aux membres inférieurs et se trouve dans un état d'urgence absolue, rapporte BFMTV. Selon l'information d'une source proche du dossier donnée à l'Agence France-Presse, le pronostic vital de la policière est engagé. Le suspect lui a arraché son arme de service et a pris la fuite à pied avant d'être interpellé, a annoncé la gendarmerie. Trois gendarmes ont été blessés pendant l'intervention.

Les écoles aux alentours ont été sécurisées, selon la gendarmerie. « Les enfants sont confinés dans les écoles et collèges de la ville », a confirmé un responsable municipal à l'Agence France-Presse. Quatre-vingts gendarmes, dont l'antenne du GIGN de Nantes, ont été déployés pour retrouver l'auteur des faits, ainsi que deux hélicoptères, trois équipes cynophiles et un escadron de gendarmes mobiles. La section de recherches de la gendarmerie de Nantes est chargée de l'enquête. « Évitez le secteur et respectez strictement les consignes des #gendarmes », a prévenu sur Twitter la gendarmerie nationale. Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin se rendra sur place dans l'après-midi.

Rambouillet : « une peur omniprésente » pour les femmes policières

« Mes pensées vont à la policière attaquée ce matin à La Chapelle-sur-Erdre et à sa famille. L'horreur de cette nouvelle agression doit conduire à un sursaut national pour protéger ceux qui nous protègent », a réagi sur Twitter Bruno Retailleau, président du groupe LR au Sénat. « De tout cœur avec cette policière municipale grièvement blessée. Courage à nos policiers mobilisés pour arrêter l'auteur de cet acte lâche et barbare », a réagi sur Twitter la présidente (LR) de la région Pays de la Loire Christelle Morançais.

Éric Dupond-Moretti demande plus de fermeté aux juges contre les auteurs de violences contre les policiers

Avant ce drame, le garde des Sceaux, Éric Dupond-Moretti, avait enjoint dans une circulaire l'ensemble des magistrats à faire preuve « de fermeté » à l'encontre des personnes reconnues coupables d'attaques contre des policiers. Le ministre de la Justice a souhaité que « les faits les plus graves, dont notamment les violences, commis à l'encontre des forces de sécurité intérieure », fassent « systématiquement » l'objet d'un défèrement au tribunal. « Les rappels à la loi sont en tout état de cause à proscrire », a-t-il ajouté.

Le suspect donc l’individu a été interpellé et s’est défendu en tirant sur les policiers et en blessant trois !

Il est décédé car abattu par les gendarmes  !

(Surement de même profil que ceux des attentats précédents similaires !)

Mais ce problème d'agressions est loin d'être réglé contre les personnes dépositaires de l'ordre public qui semble-t-il, sont ciblées par des malfaisants criminels !

Ceci étant, c’est l’ordre public et sa sécurité qui est de plus en plus mis à mal, car certains ne respectent plus rien, ni la vie d’autrui et qui tuent ou agressent sans vergogne, car ne craignant rien des forces de l’ordre et de notre justice !

Bien sur un attentat délibéré par un seul individu n’a pas la même portée que ceux 2015 de masse mais le résultat tout aussi dramatique !

Mais prouve simplement que le problème de fond n’est pas réglé, car des individus de tout âges veulent régler leurs comptes de n’importe quelle façon en n’hésitant pas à tuer et surtout n’ayant pas peur du tout, de ces hommes ou femmes portant l’uniforme de l’état, allant jusqu’à agression violente criminelle !

Car notre justice n’est plus à la hauteur des faits en matière de sanction ainsi que son code pénal inadapté ou nos dirigeants bien-pensants de tous bords donneurs de leçon préfèrent minimiser ces actes criminels !?

En montrant leur compassion et en versant des larmes de crocodiles et en décorant les cercueils des victimes, quand elles perdent la vie lors de leur travail en plus pour essayer de nous protéger !?

Notre pays doit être repris en main fermement, car il dérape partout en France en matière de sécurité !

Jdeclef 28/05/2021 13h34


Cette justice française par sa lenteur pour essayer de faire oublier ces justiciables de politiciens ex-élus de tous bords :

 

Bygmalion : la demande de l’UMP qui est venue « gâcher la fête »

Sébastien Borivent, un des cadres de Bygmalion lors de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2012, a raconté au tribunal le jour où tout s’est effondré…

 

Bastien Millot, un des patrons de Bygmalion avec Guy Alvès, se ratatine sur sa chaise ; devenant toujours plus rouge au fur et à mesure qu'un de ses anciens employés, Sébastien Borivent, se lâche à la barre du tribunal judiciaire de Paris. Il faut dire que Borivent, qui avait posé sa démission en juin 2012 après avoir découvert – et couvert – le système de fausses facturations alors en vigueur à l'UMP pendant la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy, ne mâche pas ses mots quand il s'agit de décrire son ancien patron.

« Bastien aime les atours et l'exercice du pouvoir, relate-t-il. Je me souviens d'une anecdote : il était dans son bureau et il me dit : “Tu souris trop.” Je suis un peu surpris. Il me répond : “Tu souris trop, quand les gens entrent dans ton bureau, ils doivent avoir peur.” Sa manière d'envisager le pouvoir était extrêmement claire : son pouvoir devait se sentir à chaque étage, dans chaque bureau. »

La demande de l'UMP qui est venue « gâcher la fête »

Renvoyé devant le tribunal correctionnel de Paris au milieu des autres prévenus du procès Bygmalion, Sébastien Borivent ne semble en tout cas plus avoir très peur de Bastien Millot. Calme, posé, il accepte ses responsabilités, mais hors de question qu'il endosse celles des autres. Alors, il raconte. Cette journée où une « demande de l'UMP » est venue « clairement gâcher la fête », mettre un terme à un « moment assez excitant », celui de la préparation, en coulisses, d'une campagne présidentielle. Ces quelques semaines enivrantes où tout s'active, tout se met en place, les meetings, les manifestations, les grandes sonos et les éclairages, les salles toujours plus grandes qu'il faut louer pour permettre la victoire du candidat de la droite.

EXCLUSIF. Affaire Bygmalion : le document qui contredit Jean-François Copé

C'est un après-midi de la fin du mois de mars 2012. Franck Attal, l'opérationnel d'Event et Cie, une filiale de Bygmalion, est la personne chargée des relations clients. C'est donc lui qui côtoie les politiques et les permanents du parti, Jérôme Lavrilleux, Éric Cesari ou encore Fabienne Liadze, la trésorière. Et c'est lui qui, comme il l'a raconté mercredi, se présente dans le bureau de Sébastien Borivent avec une « demande de l'UMP » un peu particulière. « Franck arrive dans mon bureau et me fait part de la demande de l'UMP, poursuit Borivent. Il m'explique qu'il y a un plafond à ne surtout pas dépasser et que l'idée est de positionner les factures sur le parti plutôt que sur l'association de financement de la campagne. »

Le « feu vert » de Bastien Millot

« Ce sont les informations que Franck me transmet quand il revient de sa réunion à l'UMP. La demande de l'UMP, c'est de ne plus facturer l'association de campagne, mais l'UMP, de manière à ne pas dépasser le plafond. J'ai un souvenir bien précis de mon entrevue avec Franck, et un souvenir bien précis de l'entretien avec Bastien dans la foulée… »

Car le directeur général adjoint de Bygmalion assure être allé ensuite immédiatement dans le bureau de son patron. « Je vais voir Bastien pour lui transmettre exactement la même demande que celle communiquée par Franck. L'entretien dure quelques minutes à peine. Je n'ai même pas eu le temps de m'asseoir. Je lui ai communiqué la demande de l'UMP et le montant que nous avions déjà engagé auprès de nos fournisseurs. Sur cette base-là, il me donne son feu vert. Je suis surpris, d'abord par l'absence de surprise et par la rapidité de la décision, alors que je m'attendais qu'on en débatte un peu, qu'un coup de téléphone soit passé à des contacts à l'UMP, qu'une réunion soit organisée, enfin, j'en sais rien… »

Une démission mais pas de dénonciation

À ce moment de l'histoire, assure Borivent, « personne ne sait le montant qui va être déporté de l'association de financement de la campagne vers le parti. J'imagine qu'il y a eu ensuite des ajustements du parti pendant toute la campagne pour rester dans les clous. » Lui jure n'en avoir rien su et n'avoir fait qu'ordonner au comptable la conservation d'un « tableau qui viendrait faire le lien entre les dépenses et les recettes » afin d'avoir un « suivi et une justification de tout ce qui allait être fait. Je souhaitais qu'on puisse suivre [les mouvements financiers, NDLR] des factures fournisseurs jusqu'à la facturation UMP. […] Je me dis qu'il va falloir ménager des preuves. »

Borivent ne croyait pas si bien dire. En 2014, Libération révèle le scandale, l'enquête tant redoutée est ouverte. Lui est déjà loin de Bygmalion. Il a posé sa démission en juin 2012. « Clairement, les faits dont il est question dans ce procès m'ont poussé à démissionner. Je suis parti dès que j'ai eu une opportunité professionnelle, et que j'ai cherché à partir de mars. Je n'ai pas démissionné instantanément, car il fallait bien que je vive, mais j'ai cherché extrêmement activement un travail. »

Sébastien Borivent poursuit : « Je me souviens à l'époque d'avoir réfléchi à ce que je pouvais faire. Démissionner était la moins mauvaise des situations. Le juge Tournaire [le juge d'instruction qui a renvoyé les prévenus devant le tribunal, NDLR] m'a dit que j'aurais dû adresser une lettre au procureur. C'est pas une solution que j'ai énormément envisagée à l'époque. Ça me paraissait assez théorique. »

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Est vraiment une institution qu'il faudrait enfin vraiment réformer pour déjà qu'elle soit juste et utile aux français lambda et totalement indépendante du pouvoir en place  !

Car le monde judiciaire français est le pire que l’on puisse trouver chez ces fonctionnaires qui ont l’art de couper les cheveux en quatre faire trainer les affaires douteuses quand elles touchent des élus de tous bords jusqu’au plus haut de l’état car déjà protégés par des mesures spécifiques dû à leurs mandats pendant leurs fonctions !

Pour faire simple il y a plusieurs justices inégales en France, celle pour le peuple lambda et une autre pour les nantis ou élus ou ex élus divers dont la machine judiciaire si compliquée fait trainer les affaires, le tout aidé par des juges pas impartiaux et naturellement quand cela touche ces politiciens de tous bords c’est flagrant dans ce monde de juristes : avocats, magistrats et juges divers de cours aussi diverses que d’assises ou correctionnelles et ce fameux parquet inféodé au pouvoir sur lequel on glisse en fonction des affaires et des prévenus surtout si ce sont des politiciens !

Le plus bel exemple étant les ministres de la justice « garde des sceaux », nommé par le président de la république le dernier exemple actuel en étant la preuve !

Les français bien sûr se plaignent de leur justice laxiste ou la faiblesse des sanctions qu’elle décide en matière de jugement de coupable, mais personne ne les écoute chez nos dirigeants de tous bords, l’affaire politique BIGMALION en est un exemple de plus !

Jdeclef 28/05/2021 12h14


jeudi 27 mai 2021

Ce pays est dangereux pas seulement pour la France mais pour les occidentaux !

 

Déchaînement anti-Français au Pakistan

Les islamistes du TLP, le parti islamiste antiblasphème, ont pris la France pour cible depuis l’affaire des caricatures de Mahomet dans « Charlie Hebdo ».

 

« Dégagez d'ici ! » éructe le vieil homme avant d'appeler une bande d'individus faisant office de police locale. Après une fouille, un long interrogatoire et de multiples appels aux autorités régionales, nous sommes expulsés manu militari jusqu'à la route la plus proche. Il ne fait pas bon être journaliste français à Kotli Qazi. Cette bourgade nichée dans la fertile région du Pendjab, au Pakistan, ne s'accommode pas de sa nouvelle notoriété. Bercés d'habitude au rythme des récoltes de blé, de riz et de canne à sucre, les quelques centaines de paysans qui y résident ont reçu, le 25 septembre 2020, une nouvelle fracassante en provenance de Paris, l'infiniment lointaine capitale française : Zaheer Hassan Mehmood, fils d'une famille bien connue de la rue principale, venait d'y commettre un attentat. Avant de passer à l'acte, le jeune homme de 25 ans, fraîchement émigré, a enregistré une vidéo dans laquelle il se déclare scandalisé par la nouvelle publication par Charlie Hebdo des caricatures du prophète Mahomet, lors de l'ouverture du procès des attentats de janvier 2015. Ignorant le déménagement de l'hebdomadaire, il se rend, armé d'un tranchoir de boucher, devant ses anciens locaux. Il y blesse grièvement deux employés d'une agence de presse voisine avant d'être appréhendé.

Les terroristes vénérés. Craignant l'image peu reluisante que renverrait l'opinion de la population locale sur l'affaire, les autorités font régner l'omerta. Elles vont jusqu'à poster une sentinelle dans la maison du terroriste afin d'empêcher ses parents de répondre aux médias. À l'abri des regards, certains habitants de Kotli Qazi se disent néanmoins fiers que l'enfant du pays ait défendu l'honneur du prophète de l'islam. Peu importe que la cible n'ait pas été la bonne. « Les actions de Son Excellence Zaheer m'ont été rapportées par les anciens du village, et je sais que beaucoup de gens de la région le vénèrent », confie son cousin, Ali Mehmood, qui se définit lui-même comme un pauvre paysan illettré. Même son de cloche chez un quinquagénaire occupant la maison mitoyenne de celle des Mehmood, qui préfère garder l'anonymat. « J'ai une excellente opinion de ce qu'il a fait en France. Il a pris la bonne décision et il me semble que tout le village partage mon avis. »

Prosélytisme islamiste. La teneur des propos recueillis dans le paisible village rappelle celle des slogans des centaines de milliers de manifestants du Tehreek-e-Labbaik Pakistan (TLP), le parti islamiste à l'origine d'émeutes antifrançaises à travers le Pakistan ces derniers mois. Dans les environs de Kotli Qazi, les affiches de propagande du TLP ornent de nombreux bâtiments ainsi que l'entrée de certaines mosquées, soulignant son ancrage populaire ; les militants ont quadrillé cette zone rurale ces dernières années, y tenant des dizaines de réunions publiques. « Le TLP vient ici très régulièrement », confirme un voisin de Zaheer Mehmood à Kotli Qazi.

Cet activisme inquiète les autorités pakistanaises. À Lahore, capitale du Pendjab, Raghib Naeemi, le directeur de la Jamia Naeemia, l'une des écoles coraniques les plus progressistes du pays, s'alarme. « Un nombre croissant de prédicateurs vont de village en village diffuser une interprétation rigoriste des textes sacrés. Ce phénomène est en pleine expansion », fait remarquer le religieux, rencontré dans l'imposante bibliothèque de son campus, cible d'un attentat suicide en 2009.

Le procès d'Asia Bibi. Après avoir longtemps toléré ce prosélytisme islamiste, le gouvernement pakistanais a fini, le 14 avril, par taper du poing sur la table. Rendu furieux par les images de policiers molestés et pris en otage lors de manifestations, le Premier ministre, Imran Khan, a invoqué une loi antiterroriste pour dissoudre le TLP et assigner à résidence son chef, Saad Rizvi, 26 ans. Il n'empêche, en forçant la France à enjoindre à ses ressortissants de quitter le territoire et le Parlement pakistanais à inscrire à son ordre du jour un débat - ajourné depuis - sur l'opportunité d'expulser l'ambassadeur français, ce petit parti fondé il y a seulement quatre ans a démontré son pouvoir de nuisance bien au-delà des frontières nationales. L'exploit n'est pas mince pour la formation politique poussée sur le terreau de l'affaire Mumtaz Qadri, un spectaculaire assassinat qui a marqué un tournant dans l'histoire du Pakistan. En 2010, le pays vit au rythme du procès d'Asia Bibi, une chrétienne condamnée à mort au titre d'une loi sur le blasphème introduite en 1986 par le dictateur Zia, alors en plein effort de réislamisation du pays. Le puissant gouverneur du Pendjab, Salman Taseer, prend fait et cause pour la jeune femme. Las, accusé de blasphème à son tour, il est assassiné de 27 balles de kalachnikov par son propre garde du corps, Mumtaz Qadri. Ce dernier, condamné à mort et exécuté en 2016, devient un héros pour des millions de ses concitoyens. Une marée humaine accompagne ses funérailles. Sa tombe, qui trône au centre d'une mosquée de marbre blanc flambant neuve financée grâce aux centaines de milliers de dollars de dons levés par sa famille, est devenue un lieu de pèlerinage, au nord d'Islamabad. « Les visiteurs ne viennent pas seulement du Pakistan, affirme le frère du défunt, Aamir, qui veille sur l'édifice. Nous avons aussi beaucoup de visiteurs et de donateurs européens, notamment du Royaume-Uni. L'argent récolté nous permet de finaliser la construction d'une école coranique attenante à la tombe. » Asia Bibi, elle, a quitté le Pakistan pour le Canada en 2019 après avoir été acquittée par la Cour suprême d'Islamabad.

« Scandalisé »

Le 25 septembre 2020, le Pakistanais Zaheer Hassan Mehmood, fraîchement émigré en France, a gravement blessé, avec un tranchoir de boucher, deux salariés de l’agence de presse Premières Lignes qui se trouvaient devant les ex-locaux de Charlie Hebdo. L’islamiste pensait s’en prendre à des collaborateurs du journal satirique.

Naissance du TLP. Illustration de la ferveur populaire pour Mumtaz Qadri, un obscur fonctionnaire de l'administration du Pendjab, Khadim Rizvi, fonde un petit parti, le TLP, et instrumentalise la question du blasphème. Le moindre fait divers est exploité. Ainsi de la volonté du gouvernement, en 2017, de modifier marginalement le texte de la déclaration de foi des élus pakistanais. Les islamistes du TLP provoquent des manifestations monstres se soldant par 6 morts et plus de 200 blessés. Jusqu'à obtenir gain de cause et la démission du ministre de la Justice. Fort de ce succès, le parti politique essaime sur tout le territoire et envahit les réseaux sociaux. Les discours enflammés de son fondateur et ses appels au meurtre y engrangent des millions de vues. Lorsque Charlie Hebdo publie à nouveau les caricatures, le 1er septembre 2020, Rizvi hurle : « Le blasphème ne mérite qu'un seul châtiment : la décapitation (…). Le Pakistan aurait dû lancer une attaque nucléaire contre la France. »

Boycott. Quelques semaines plus tard, le TLP publie un communiqué félicitant l'assassin tchétchène de l'enseignant Samuel Paty. Et appelle au boycott des produits français, après qu'Emmanuel Macron a soutenu la publication des caricatures. Depuis, les entreprises françaises présentes au Pakistan ont surmonté le choc. « Les marques grand public comme L'Oréal, Total ou Carrefour ont été exposées un temps, car identifiées comme françaises par les consommateurs, explique Hidayat Hussain, responsable de l'association commerciale Pakistan-France. Mais au bout du compte, peu de produits ont été retirés. Carrefour n'a pas fermé ses magasins une seule journée. » Beaucoup d'entreprises moins connues sont passées entre les mailles du filet. Ironie de l'histoire, le Pakistan pourrait être la principale victime du rafraîchissement bilatéral. Car ce pays, qui exporte vers la France 600 millions d'euros de plus qu'il importe, est menacé de rétorsions commerciales de la part de l'UE, qui a peu goûté la campagne antifrançaise. Le défi pour les entreprises de l'Hexagone est donc plus sécuritaire que commercial et les expatriés se font discrets, même si peu de Français ont finalement quitté le pays. « L'appel du Quai d'Orsay aux Français du Pakistan à quitter le pays était surtout une mesure de rétorsion destinée à présenter le Pakistan comme incapable d'assurer la sécurité des Occidentaux, avance une source diplomatique française. Dans les faits, ce sont surtout les diplomates qui ont plié bagage. »

Les barelvis, intransigeants quant au prophète. Créé en 1947, lors de la partition de l'Inde, pour accueillir les musulmans du sous-continent, le Pakistan a été la proie de convulsions identitaires depuis ses origines. Cependant, la progression de la radicalité islamiste au sein du barelvisme, un groupe religieux longtemps cité comme un exemple de modération et d'ouverture, surprend. Ce courant est une branche de l'islam sunnite fondée en Inde au XIXe siècle en réaction à l'oppression coloniale britannique. Elle rassemble la majorité des 600 millions de musulmans du sous-continent et accorde une grande place au soufisme, la pratique mystique de l'islam. Longtemps jugés imperméables à l'islamisme, les barelvis révèlent pourtant une pulsion radicale à l'occasion de l'affaire Mumtaz Qadri. « Ce qui distingue les barelvis du reste des musulmans pakistanais est leur rapport au prophète Mahomet, explique Jean-Luc Racine, directeur émérite au CNRS et spécialiste de l'Asie du Sud. Mahomet est le dernier des prophètes, celui qui clôt la révélation du message de Dieu, et qui doit donc recevoir le plus grand respect. C'est à ce titre que les plus radicaux des barelvis se sont saisis de la question du blasphème pour mieux réaffirmer leur défense du prophète. »

Influence étrangère ? Le TLP a joué un rôle majeur dans l'effondrement du rempart barelvi contre la radicalisation. Dès les régionales de 2018, le nouveau parti emporte plus de deux millions de suffrages. Un choc pour la classe politique pakistanaise, qui jugeait jusqu'ici les islamistes plus doués pour bloquer les autoroutes que pour gagner les scrutins. Cette poussée radicale ne semble pas suivre le schéma classique du financement par un pays extérieur, comme ce fut le cas pour les déobandis, l'autre grande communauté musulmane instrumentalisée par l'Arabie saoudite et les États-Unis dans les années 1980 pour contrer les Soviétiques embourbés en Afghanistan, pays frontalier. Pour autant, les islamistes du TLP sont-ils réellement libres de toute influence étrangère ? « C'est bien possible, concède Aditi Bhaduri, rédactrice en chef de la revue géopolitique indienne International Affairs Review. Mais réaliser une poussée politique de cette ampleur nécessite d'importants moyens financiers. Cette apparente autonomie est donc sujette à caution. »

Un mouvement interdit. La mort du fondateur du TLP, le 19 novembre 2020, aura donné un nouvel indicateur de ce réveil identitaire et de l'ancrage populaire des barelvis désormais radicalisés : plus de 200 000 personnes se massent dans le parc Iqbal de Lahore pour saluer la mémoire du tribun Khadim Rizvi, emporté à 54 ans par des difficultés respiratoires. De mémoire de Pendjabi, on n'avait pas assisté à un regroupement aussi important depuis 1929, lors du rassemblement panindien contre la colonisation britannique.

Le fils de Rizvi, Saad, a repris le flambeau. Toutefois, le TLP peut-il survivre à son interdiction par le gouvernement, sans son fondateur et sans appuis extérieurs ? « Son idéologie est durablement enracinée chez des millions de Pakistanais, il est donc impossible que ce mouvement disparaisse d'un claquement de doigts, pronostique Asad Hashim, correspondant pakistanais de la chaîne qatarienne Al-Jazira. Le gouvernement a peut-être réussi à supprimer le TLP en tant que parti politique, mais il réapparaîtra sous un autre nom et avec un nouveau chef. » Telle est bien l'intention du cofondateur du TLP, Ijaz Ashrafi, qui compte malgré tout continuer la lutte pour « imposer l'islam au pays » : « Chaque musulman dans le monde est prêt à embrasser le martyre pour garder l'honneur de notre prophète. La vie humaine est sans importance, le monde est temporaire, mais la lumière de notre prophète est éternelle. » Comme en témoignent les réactions des habitants de Kotli Qazi, la lame de fond radicale semble durablement installée dans le 2e plus grand pays musulman du monde 

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Population : 216,6 millions (2019) ce n'est pas rien !

Et avec nos dirigeants bienpensants donneurs de leçon et Macron « le sentiment d'insécurité » est bien présent par ce terreau de terroristes islamiste, d'ailleurs, c'est aussi là que se trouve les talibans dans leurs zones dites tribales !

Alors leur manifestions contre la France pays judéo chrétien, sont un signe qui ne trompe pas, car ce ne sont pas les premières !

Sans compter cet attentat au hachoir en 2020 près des anciens locaux de Charlie Hebdo !?

Et ce n’est pas avec nos dirigeants qui croient à un monde de bisounours comme grand-père LE DRIAN ministre de nos affaires étrangères fort sympathique et nos dirigeants Macron Castex que l’on peut se sentir serein avec cette bombe islamique à retardement !?

De plus ils possèdent l'arme nucléaire !

Curieusement d’ailleurs nos autorités ne parlent pas du Pakistan pourtant : En 1998, le Pakistan est devenu officiellement la septième puissance nucléaire mondiale en effectuant une série d'essais nucléaire et disposerait en 2011 de plus d'une centaine d'armes atomiques !

Les forces armées du Pakistan représentent la sixième puissance militaire mondiale en termes d'effectif. Leur quartier général est situé à Rawalpindi !

On parle beaucoup plus de l’IRAN et pourtant !?

Jdeclef 27/05/2021 15h26


Les français ou tout moins l’état français n'a pas réagi lors de ses horribles tueries :

 

Emmanuel Macron au Rwanda : « Je viens reconnaître nos responsabilités »

Le chef de l’État a prononcé ce jeudi un discours hautement symbolique au mémorial du génocide, à Kigali, vingt-sept ans après cette tragédie.

 

Ceux qui réclament des excuses devront encore attendre. En visite hautement symbolique au Rwanda ce jeudi 27 mai, Emmanuel Macron s'en est tenu dans un ton sombre et solennel à la position traditionnelle de la France sur le génocide de 1994, reconnaissant des « responsabilités », mais refusant toute repentance.

Quels que soient les mots, le président Macron a été toutefois plus loin que ses prédécesseurs, en particulier Nicolas Sarkozy, le seul président à s'être rendu à Kigali depuis le génocide de 1994. Ce dernier avait alors reconnu de « graves erreurs » et « une forme d'aveuglement » des autorités françaises ayant eu des conséquences « absolument dramatiques ». Ces propos n'avaient pas réussi à normaliser les relations entre Paris et Kigali, qui ont connu depuis d'intenses périodes de tension.

Emmanuel Macron au Rwanda : les enjeux d'une visite historique

Macron convoque l'Histoire

« Seul celui qui a traversé la nuit peut la raconter. » Le chef de l'État français a choisi d'emblée de convoquer l'Histoire dans ce discours très attendu au Mémorial du génocide à Kigali, où les horreurs du drame vécu par le Rwanda il y a 27 ans sont toujours visibles. Implanté sur la colline de Gisozi, d'où l'on aperçoit les tours du Kigali moderne, le sobre bâtiment blanc est le principal des quelque 200 lieux de souvenir qui entretiennent la mémoire de la période la plus sombre du petit pays de l'Afrique des Grands Lacs. Après s'être recueilli, le président français a déposé une gerbe de fleurs dans ce décor de lettres géantes : « Ibuka », qui signifie « Souviens-toi ».

« En me tenant, avec humilité et respect, à vos côtés, ce jour, je viens reconnaître nos responsabilités », a déclaré Emmanuel Macron dans une allocution empreinte de solennité. « Reconnaître ce passé, c'est aussi et surtout poursuivre l'œuvre de justice. En nous engageant à ce qu'aucune personne soupçonnée de crimes de génocide ne puisse échapper au travail des juges », a-t-il ajouté.

Rwanda-France : « Éduquer les jeunes à penser autrement »

La France « n'a pas été complice »

Le président français a toutefois estimé que la France « n'a pas été complice ». « Les tueurs qui hantaient les marais, les collines, les églises, n'avaient pas le visage de la France, a-t-il déclaré. Le sang qui a coulé n'a pas déshonoré ses armes ni les mains de ses soldats, qui ont eux aussi vu de leurs yeux l'innommable, pansé des blessures et étouffé leurs larmes. » Mais « au lendemain, alors que des responsables français avaient eu la lucidité et le courage de le qualifier de génocide, la France n'a pas su en tirer les conséquences appropriées », a-t-il poursuivi.

La France « a un devoir : celui de regarder l'Histoire en face et de reconnaître la part de souffrance qu'elle a infligée au peuple rwandais en faisant trop longtemps prévaloir le silence sur l'examen de la vérité », a-t-il estimé.

« En voulant faire obstacle à un conflit régional ou une guerre civile, elle restait de fait aux côtés d'un régime génocidaire. En ignorant les alertes des plus lucides observateurs, la France endossait une responsabilité accablante dans un engrenage qui a abouti au pire, alors même qu'elle cherchait précisément à l'éviter », a-t-il poursuivi.

France-Rwanda : ces « pas en avant » qui peuvent tout changer

La normalisation en marche

La question du rôle de la France avant, pendant et après le génocide des Tutsis du Rwanda a été un sujet brûlant pendant des années, conduisant même à une rupture des relations diplomatiques entre Paris et Kigali entre 2006 et 2009.

Un rapport d'historiens publié en mars et dirigé par Vincent Duclert a conclu à des « responsabilités lourdes et accablantes » de la France et à l'« aveuglement » du président socialiste de l'époque, François Mitterrand, et de son entourage face à la dérive raciste et génocidaire du gouvernement hutu que soutenait alors Paris. Le président rwandais Paul Kagame avait alors salué un « important pas en avant vers une compréhension commune de ce qu'il s'est passé ».

Auparavant, Emmanuel Macron a visité le musée, où se succèdent panneaux pédagogiques, vidéos de témoignages, vitrines présentant crânes, ossements et habits déchirés. « Je crois que personne ne comprendra vraiment ce qui s'est passé en 1994 », témoigne, dans un film ouvrant la visite, l'un des rescapés de ce génocide qui a provoqué la mort de plus de 800 000 personnes, principalement des Tutsis, et fait du Rwanda « une nation de tueurs brutaux et sans pitié et de victimes innocentes ». Inauguré en 2004, le musée comprend une partie mémorielle organisée à l'extérieur, au milieu de fleurs et d'arbustes, autour de trois larges dalles recouvrant les restes de plus de 250 000 victimes tuées entre avril et juillet 1994 dans la région de Kigali. Un musée adjacent, géré par Aegis Trust, une ONG britannique de prévention des crimes contre l'humanité, retrace l'histoire officielle du génocide jusqu'à la mise en place de la politique « d'unité et réconciliation » par le régime actuel.

Pour concrétiser cette normalisation, Macron et Kagame, qui tiendront une conférence de presse commune à la mi-journée, devraient annoncer le retour d'un ambassadeur français à Kigali, où le poste est vacant depuis 2015. Pour les deux chefs d'État, solder le passé permettrait d'ouvrir enfin « une nouvelle page », alors qu'Emmanuel Macron souhaite voir la France peser davantage en Afrique de l'Est, essentiellement anglophone, et non plus seulement en Afrique de l'Ouest. « J'ai une conviction profonde : au cours des prochaines heures, nous allons écrire ensemble une page nouvelle de notre relation avec le Rwanda et l'Afrique », a tweeté mercredi soir le président français, avant de décoller pour Kigali.

Rwanda : le français en quête d'un nouveau souffle

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Mais ce que l'on a nommé génocide à juste titre a bien été fait par deux ethnies africaines les Hutus et Tutsis au Rwanda qui se sont entretuées !?

L'armée française n'est pas intervenue pour empêcher cela et prendre parti pour l'un ou l'autre des belligérants et si cela avait et le cas, on n'aurait pas manqué aussi de lui reprocher !

Sauf que là, cela a pris une ampleur sur la population civile sans commune mesure qui a subi des horreurs !

Mais rappelons quand même que ce sont des africains et deux ethnies de ce pays qui se battus entre eux !?

Et 27 ans après on reproche encore ce drame dont la France n'est pas responsable !

En montrant que la France n’est plus là, sauf quelque fois pour faire les gendarmes de cette Afrique ex coloniale AOF AEF que l’on traine comme un boulet depuis que ces pays sont indépendants et qu’on a du mal à vraiment quitter définitivement !

Surtout qu’actuellement on est encore trop impliqué en Afrique, avec nos bienpensants de donneurs de leçon comme notre président qui nous coutent très cher depuis l’indépendance de ces pays qui devraient s’assumer pour ne pas dépendre de ses ex colonisateurs du fait d’une histoire ancienne que l’on ne peut effacer, tout comme l’esclavage, cette polémique napoléonienne qui renait !

D’ailleurs certains africains nombreux qui continuent à immigrer en France, alors qu’ils semblent souvent nous critiquer, pourquoi continuent-ils à venir chez nous avec leurs familles ?!

Jdeclef 27/05/2021 13h06