samedi 31 mars 2018

Ses soutiens diminuent, mais il lui en reste tellement de ses gogos...


Sarkozy : l'étau se resserre, les soutiens se font rares

VIDÉO. L'ex-président est lâché par Les Républicains à en juger par les réactions prudentes, voire les silences, de la direction du parti.


(LR) apportent officiellement « soutien » et « amitié » à Nicolas Sarkozy, mais peu de responsables sont montés au créneau après l'annonce de son renvoi en correctionnelle dans l'affaire des « écoutes », une semaine après sa mise en examen dans le dossier libyen. La semaine dernière, malgré la pluie de réactions qui avait suivi la garde à vue puis la mise en examen de l'ancien chef de l'État, une certaine réserve était de mise. Mais Laurent Wauquiez avait tout de même dénoncé une garde à vue « inutile et humiliante » quand le patron des députés LR Christian Jacob fustigeait un « acharnement incompréhensible ».
Tout en appelant au respect de la présomption d'innocence, le parti avait aussi exprimé le « sentiment » prêté à ses « adhérents et sympathisants » selon lequel « tous les élus ou anciens élus ne subissent pas le même traitement selon qu'ils appartiennent à telle ou telle famille politique ».
 Financement libyen : où est passé le « fan-club » de Nicolas Sarkozy ?
Depuis jeudi, le lâchage est flagrant. Aucun des plus hauts dirigeants de LR n'a produit le moindre tweet sur le sujet, la plupart préférant relayer un sondage favorable aux propositions de Laurent Wauquiez dans la lutte antiterroriste. « Présomption d'innocence et soutien amical. Ce qui a été dit la semaine dernière reste valide. Nul besoin de le répéter à chaque acte judiciaire », a simplement indiqué vendredi à l'AFP l'entourage de M. Wauquiez.
M. Sarkozy a été renvoyé devant le tribunal correctionnel dans l'affaire des « écoutes », aux côtés de son avocat, Me Thierry Herzog, et de l'ex-magistrat Gilbert Azibert, pour « corruption active » et « trafic d'influence ». MM. Herzog et Azibert le sont aussi pour « violation du secret professionnel », selon des sources proches du dossier. Il est reproché à l'ex-président d'avoir tenté d'obtenir en 2014, via son avocat, des informations secrètes auprès de M. Azibert, alors haut magistrat à la Cour de cassation, dans une procédure où il demandait la restitution de ses agendas saisis dans l'affaire Bettencourt, dans laquelle il a finalement bénéficié d'un non-lieu.

Dernier carré

Les avocats de l'ancien président ont annoncé qu'ils feraient appel de ce renvoi en correctionnelle et dénoncé une « incongruité judiciaire » alors qu'une procédure - un recours en nullité contre le réquisitoire du Parquet national financier - est encore pendante dans ce dossier.
Cette annonce accentue la pression judiciaire sur Nicolas Sarkozy, mis en examen la semaine dernière dans l'enquête sur des soupçons de financement libyen de sa campagne électorale de 2007 et par ailleurs renvoyé en correctionnelle - il a fait appel - dans l'affaire dite « Bygmalion » sur le financement de sa campagne de 2012.
Seuls quelques rares membres du premier carré de fidèles sont de nouveau montés au créneau comme la semaine précédente. L'eurodéputée Nadine Morano a dénoncé un « triste acharnement », de même que l'ex-conseiller spécial Henri Guaino qui a évoqué « l'ivresse de la toute-puissance » qui, selon lui, saisit certains magistrats.

« On écrit une nouvelle page »

Le ton était plus mesuré parmi les rares LR présents sur les antennes vendredi. Le secrétaire général délégué Geoffroy Didier s'est dit « serein sur l'innocence de Nicolas Sarkozy », un « honnête homme ». Mais « je ne connais pas le dossier » et « il faut évidemment laisser la justice faire son travail ». « Il n'y a aucune ambiguïté sur le sujet », mais « nous ne commentons pas les enquêtes en cours », a renchéri l'une des porte-parole du parti, Laurence Sailliet, pour qui « les liens entre Les Républicains et Nicolas Sarkozy sont des liens très forts, rien ne peut les altérer ».
Ce n'est pas l'avis d'un membre de la direction du parti, qui lâche, en off : « Ce n'est pas mon affaire. On écrit une nouvelle page. Il faut avancer. »
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Pourquoi plaindre cet ex président beau parleur qui a raté sa réélection et même en 2017 aux primaires de cette droite LR ?!

Les français l'on assez entendu et vu, il faut qu'il le comprenne !

Il y a des choses plus importantes que la vie future de ce bobo bling-bling nanti à s'occuper dans notre pays !

Il traîne tellement de casseroles que forcement  certaines vont rester accrochées à ses basques, il qu'il ne peut passer à travers toutes ses mises en examens ou renvoi en correctionnel il n'y a pas de fumée sans feu !

Et puis  que ce politicien qui donne encore tant de leçon avec sa langue bien pendue se fasse rabattre son caquet ce ne serait pas mal et moral en fait!

Et cela lui permettra de compter ses vrais amis !?

Jdeclef 31/03/2018 10h35

vendredi 30 mars 2018

L’U.E. n'a pas de quoi être fière et ne pas s’étonner que certains ne l’aime pas !


Massacre des Kurdes, Macron a-t-il du cœur ?

Au nom de la realpolitik, l'Europe, à l'exception d'Angela Merkel, ne condamne pas la liquidation des Kurdes syriens par l'armée turque.


Objets inanimés, avez-vous donc une âme ? C'est la première question qui vient à l'esprit quand on observe la grande masse molle et flasque des gouvernants européens d'où aucune voix ou presque ne s'élève contre l'immense tragédie en cours : le massacre des Kurdes de Syrie par l'armée turque.
Qu'ont donc leurs panses de si lourd à digérer pour qu'ils dorment d'un sommeil de plomb devant l'infamie d'un génocide programmé ? Comme souvent, c'est Angela Merkel qui a sauvé – un peu tard – l'honneur du Vieux Monde en condamnant « de la manière la plus ferme » l'offensive « inacceptable » de la Turquie dans l'enclave kurde d'Afrine, où « des milliers et des milliers de civils sont réprimés, meurent ou sont forcés de fuir ».

Passons sur les autres dirigeants européens, y compris le nôtre, qui, à voix basse, avec un air de raseur de murs, se dit « préoccupé », c'est bien le moins. Ils auront été, avec constance, au-dessous de tout. Leur silence assourdissant vaut acceptation. Devant tant de cynisme et de pleutrerie, il ne reste plus, pour se consoler ou se remonter, qu'à se remémorer la superbe formule de Winston Churchill en 1938 après la signature des accords de Munich par son prédécesseur au 10, Downing Sreet, Neville Chamberlain, et l'homologue français de ce dernier, Édouard Daladier.
« Vous avez eu à choisir entre le déshonneur et la guerre, prophétisait Churchill. Vous avez choisi le déshonneur, vous aurez la guerre. » Force est de constater que nous assistons, ces temps-ci, face à la Turquie, à une chamberlainisation des esprits. Comparaison n'est pas raison mais comme les Munichois avaient abandonné les Tchèques à Hitler, nous laissons aujourd'hui tomber les Kurdes de Syrie, au nom de la realpolitik, après qu'ils ont bien servi dans notre combat contre l'État islamique, celui-ci ayant été soutenu en sous-main par le président turc Recep Tayyip Erdogan, notre faux allié.
Même s'il n'a pas donné son blanc-seing à cette opération de nettoyage ethnique, l'Occident a commis une haute trahison en se couchant devant le soi-disant nouveau sultan de l'Empire ottoman qui se croit maintenant autorisé à liquider les Kurdes de Syrie. Pensez ! Selon l'expression malheureuse de Macron reprenant mot à mot la logomachie erdoganienne, ces Kurdes constitueraient « un potentiel terroriste menaçant la frontière turque ». La bonne excuse ! Ils essaient seulement de vivre, excusez du peu, mais aux yeux du pouvoir turc, c'est déjà un crime. Obsessionnellement nationaliste, il ne supporte pas la proximité géographique, culturelle, des Kurdes de Syrie avec les Kurdes de Turquie qui représentent entre 16 et 20 % de la population de son pays. C'est pourquoi il chasse les premiers de leurs terres syriennes et les repousse toujours plus loin. Quand ils seront acculés dans leurs derniers retranchements, que fera-t-il des centaines de milliers d'entre eux qui, à l'heure actuelle, fuient l'armée turque en longues cohortes affolées ?
Erdogan est un maître chanteur de haut vol qui a certes de quoi nous faire peur. Membre de l'Otan, la Turquie héberge une base militaire américaine à laquelle les États-Unis tiennent comme à la prunelle de leurs yeux. D'où les affreuses contorsions d'Obama, puis de Trump, sur le dossier kurde. Ensuite, la Turquie reçoit des milliards de l'Union européenne pour retenir sur son territoire le flot des réfugiés syriens qu'elle menace de lâcher à tout moment.
Enfin, pour ne rien arranger, la Turquie disposera bientôt d'un troisième moyen de pression que nos dirigeants à courte vue n'ont pas encore perçu mais que leur couardise permet à Erdogan de mettre en place : quand son armée aura « remplacé » partout en Syrie les Kurdes par des islamistes, comme elle a commencé à le faire, elle pourra y établir des élevages de djihadistes qui viendront chez nous commettre des attentats pour nous rappeler à l'ordre si, pour notre grand malheur, nous ne marchons pas droit.
Nouveaux Munichois et islamo-gauchistes défendent une politique d'apaisement avec Erdogan pendant qu'il extermine sans vergogne les Kurdes de Syrie avec le concours des anciens de Daech. Contrairement à ce qu'ils prétendent, il ne s'agit pas de déclarer la guerre à la Turquie. Mais ne peut-on pas au moins lui parler vrai, fort, cru ? Appeler enfin un chat un chat ? Faire notre métier d'humain et ne plus se taire devant l'ignominie à l'œuvre ? Participer en première ligne au combat humanitaire ?

L'Occident a déjà fait preuve de la même lâcheté, il y a plus d'un siècle, lors du génocide arménien perpétré par la Turquie. Quand l'Histoire bégaie à ce point, elle est à vomir. Dans Le Cid, de Corneille, Don Diègue demande à son fils : « Rodrigue, as-tu du cœur ? » Si Emmanuel Macron en a, il n'a plus guère de temps pour nous le prouver.
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Macron fait une annonce de bla-bla de soutien pour montrer son désaccord  timide qui ne coûte rien (bien et mieux que rien) à l’exemple de cette diplomatie d'hypocrites fait par beaucoup de nos dirigeants qui nous gouvernent hélas !

Mais le pire de tous est JUNKER et sa real politik qui se met à dos la majorité des peuples démocratiques européens dont il a cure !

Et sans complexe appuie l'entrée de la TURQUIE dans l'union européenne de ce pays gouverné par un autocrate qui se prend pour un sultan de l'ancien empire Ottoman qui a nivelé la majorité des libertés dans son pays et transforme celui-ci en état islamique extrémiste !

Mon grand père est mort en 1915 en tant que militaire d'active pendant la grande guerre 14/18 au détroit des DARDANELLES justement contre les turcs allié des allemands, mais cela ne dit plus rien à personne sauf aux familles de ceux qui sont tombés dans cette région!

Je suis vieux et moi-même grand père aussi j’espère que je ne verrais pas cette entrée de cette Turquie dans l'U.E. et surtout de son président pour mes enfants et petits-enfants !

Il faut croire que nous sommes très mal gouvernés dans nos pays libres et démocratiques, car devenus pleutres de par nos dirigeants que nous élisons qui croient que certains pays anti démocratiques et rejetant les droits de l'homme, que d'autres appliquent déjà à minima puissent changer avec de tel pseudo dictateurs qui  emprisonnent tout ceux qu'ils leurs résistent, même simplement en parole !

Jdeclef 30/03/2018 14h21

jeudi 29 mars 2018

La suite logique des casseroles que traîne N.SARKOZY dans ses multiples affaires douteuses ?!


Affaire des écoutes : Sarkozy renvoyé en correctionnelle

L'ancien chef de l'État est renvoyé devant le tribunal correctionnel pour « corruption active » et « trafic d'influence » dans l'affaire dite « des écoutes ».

L'ancien président Nicolas Sarkozy, son avocat Thierry Herzog et l'ex-magistrat Gilbert Azibert ont été renvoyés devant le tribunal correctionnel dans « l'affaire des écoutes », a indiqué jeudi à l'Agence France-Presse une source proche du dossier, confirmant une information du Monde.
Selon le journal, tous trois sont renvoyés pour « corruption active » et « trafic d'influence ». Thierry Herzog et Gilbert Azibert le sont également pour « violation du secret professionnel ». Dans cette affaire, il est reproché à Nicolas Sarkozy d'avoir tenté d'obtenir en 2014, via son avocat, des informations secrètes auprès de Gilbert Azibert, alors haut magistrat à la Cour de cassation, dans une procédure où il demandait la restitution de ses agendas saisis dans l'affaire Bettencourt.
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Il ne peut passer éternellement entre les gouttes et comme il a raté sa réélection en 2012, ce qui risque de lui couter cher, car plus d’immunité présidentielle qu’il espérait peut être ?!

Confirmé indirectement par les primaires de la droite plus tard lors de la présidentielle de 2017, par le rejet des Français des ex présidents de la république de droite comme de gauche, de la part des français qui voulaient du changement et qui ont amené l’élection d’un nouveau président E.MACRON, (hors vieux partis droite/gauche/vert ou extrêmes !)


jdeclef 29/03/2018 17h57

Les malades déjantés sont de plus en plus nombreux dans notre pays où nous avons trop de liberté, car sans garde-fou raisonnable !


Trèbes : une végane se réjouit du meurtre du boucher, une enquête est ouverte

Une plainte et une enquête visent une internaute végane qui s'est félicitée du meurtre de Christian Medvès, le boucher du Super U de Trèbes dans l'Aude.

« Ben quoi, ça vous choque un assassin qui se fait tuer par un terroriste ? Pas moi, j'ai zéro compassion pour lui, il y a quand même une justice ! » Ces propos, qui visent Christian Medvès, le boucher du Super U de Trèbes qui a été abattu par le djihadiste Redouane Lakdim, ont été publiés sur Facebook par une militante de la cause animale, rapporte La Dépêche du Midi . Après les attaques dans l'Aude, ces mots ont outré la Confédération française de la boucherie-charcuterie et traiteurs (CFBCT). Cette dernière a déposé une plainte ce mercredi pour « apologie de crime ou délit par parole, écrit, image ou moyen de communication au public par voie électronique », indique BFM TV. Dans un communiqué, la CFBCT a tenu à dénoncer « les ignobles propos tenus sur Facebook par une militante végane sur l'assassinat de Christian Medvès ».
« C'est tout simplement honteux. Je crois que la profession tout entière est complètement atterrée par ce genre de propos », s'est insurgé auprès de BFM TV, Jean-François Guihard le président de la CFBCT. « Ce message a été très rapidement repéré par les services de l'État et a été aussitôt retiré », explique à La Dépêche du Midi, Karline Bouisset, la procureur de la République de Foix qui avait ouvert une enquête pour « apologie du terrorisme », avant de s'en dessaisir au profit du procureur de la République de Saint-Gaudens. L'internaute résiderait en effet en Haute-Garonne contrairement à ce que semblait indiquer son compte Facebook.
Une enquête qui s'ouvre au lendemain de la condamnation à un an de prison avec sursis et une interdiction des droits civils et civiques pour sept ans, de Stéphane Poussier, un ancien candidat de La France insoumise aux élections législatives. Il avait également été poursuivi pour apologie du terrorisme, après s'être félicité de la mort du lieutenant-colonel Arnaud Beltrame sur Twitter.
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Cela commence à devenir insupportable !

On va surement la déclarer dérangée ou irresponsable et elle va se réfugier derrière la liberté d'expression qui permet à peu près tout dans notre société subissant notre justice laxiste de bien-pensant hypocrite ?!

Jdeclef 29/03/2018 17h01LP

Depuis le temps que nos concitoyens demandent que l'on appelle ces terroristes islamiques par leur nom et les lieux où ils vivent sans faux fuyant de bien-pensant partisan du politiquement correct hypocrite ?!


Terrorisme : nommer l'ennemi !

Emmanuel Macron, pour la première fois, a dénoncé l'« islamisme souterrain », cet « ennemi insidieux » qui se déploie sur notre sol. Un immense progrès.

« Il faut toujours dire ce que l'on voit : surtout, il faut toujours, ce qui est plus difficile, voir ce que l'on voit », écrit Charles Péguy dans Notre jeunesse. Emmanuel Macron, durant la campagne présidentielle, s'est déjà inspiré de cet écrivain qui rejetait la politique politicienne. Ce mercredi 28 mars, dans la cour des Invalides, il a, sans hésiter, nommé l'ennemi comme aucun président ne l'avait fait avant lui : « Ce ne sont pas seulement les organisations terroristes, les armées de Daech, les imams de haine et de mort que nous combattons. Ce que nous combattons, c'est aussi cet islamisme souterrain, qui progresse par les réseaux sociaux, qui accomplit son œuvre de manière invisible, qui agit clandestinement sur des esprits faibles ou instables, trahissant cela même dont il se réclame, qui, sur notre sol, endoctrine par proximité et corrompt au quotidien. C'est un ennemi insidieux, qui exige de chaque citoyen, de chacun d'entre nous, un regain de vigilance et de civisme. »
Au lendemain des attentats de novembre 2015, François Hollande s'en était tenu à des généralités devant les parlementaires réunis à Versailles : « Nous ne sommes pas engagés dans une guerre de civilisation parce que ces assassins n'en représentent aucune. » « Assassins » ? Non ! Terroristes islamistes !

Les ravages du « politiquement correct »

Ne pas nommer, au nom d'un improbable politiquement correct, afin de ne pas « stigmatiser », c'est entretenir la confusion, encourager les turpitudes du communautarisme et favoriser les extrêmes. Pendant longtemps en effet, à quelques exceptions près, dont celle de Manuel Valls, les discours officiels se sont contentés de dénoncer les « assassins » ou la « barbarie ». Mais de quoi cette barbarie est-elle le nom ? Tout le monde peut « voir ce qu'il voit », pour reprendre la formule de Péguy : des attentats terroristes, mais aussi des meurtres antisémites, commis par des islamistes. Comment les citoyens peuvent-ils se satisfaire de dirigeants incapables de dire ce qu'ils voient, ce que tout le monde voit ?
Serait-ce là le résultat, de la part des responsables politiques, d'un calcul clientéliste visant à ne pas fâcher une « communauté » prompte à dénoncer la « stigmatisation » ? Mais répondre à ces injonctions supposées, c'est accepter, voire officialiser, le communautarisme. C'est aussi favoriser les extrêmes qui n'ont pas leur langue dans leur poche. Ce même mercredi 28 mars, quand Marine Le Pen veut rejoindre le cortège de la marche blanche en mémoire de Mireille Knoll, l'octogénaire assassinée parce qu'elle était juive, elle déclare qu'elle a toute sa place dans cette manifestation puisqu'elle dénonce depuis longtemps « l'antisémitisme islamiste ». Désormais, elle n'a plus le monopole du franc-parler.
Dans ce domaine, il reste encore un effort à fournir de la part de Jean-Luc Mélenchon. Lui aussi contraint de quitter le cortège, à cause de quelques dizaines d'attardés qui l'ont bruyamment insulté, il a rendu hommage, devant micros et caméras, à « cette femme assassinée par les barbares ». Les barbares ! C'est, comme les « assassins », une formulation qui permet de ne pas nommer donc de ne pas voir. Un aveuglement désormais impossible.
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C’est un progrès qu'il faut souligner !

Le président fait preuve de courage en parole, plus que ses prédécesseurs pleutres ou timorés !

Mais pas en n’en restant que là, il faut que cela soit suivi d’actes efficaces et notamment dans les lieux connus supposés ou on peut les déloger et les trouver pour les empêcher de nuire en resserrant la législature habituelle (qui doit être d’exception contre les actes de pré terrorisme islamique !)

Car il vaut mieux anticiper, que subir et donc prévenir, plutôt que guérir ou se lamenter en regrettant la mort de héros ou de simples français lambda innocents !

Il y a encore trop de terrorisme islamique latent en France et après une fausse période de calme qui a pu faire baisser la garde de prudence liée à ce fléau à consonance religieuse, ainsi que parallèlement à cela un antisémitisme rampant mais toujours présent !

Le président l’a souligné à juste titre, il faut donc lutter avec force contre ces fléaux qui sont toujours trop présents et les violences liées à ceux-ci par une délinquance dont sont issus ces criminels !

Le constat (semble fait) par ce nouvel attentat de terrorisme islamique avéré, par un individu radicalisé, et certains de ses proches radicalisés soupçonnés être en accord avec celui-ci, il faut donc agir fermement avec les moyens adéquats qu’il faut encore renforcer pour la sécurité des français qui le réclament à juste titre !

Jdeclef 29/03/2018 12h21

mercredi 28 mars 2018

JUNKER ne dit pas ce qu'il pense personnellement il fait simplement de la réal politique : négligeant les programmes abstraits et les jugements de valeur, et dont le seul objectif est l'efficacité.


Juncker reste ouvert à une adhésion de la Turquie

Le sommet UE-Turquie qui avait lieu lundi à Varna, en Bulgarie, n'a abouti à aucune avancée, mais Jean-Claude Juncker ménage encore le président Erdogan.


Jean-Claude Juncker et Donald Tusk ont joué à front renversé au sortir de leur dîner avec le président turc Recep Tayyip Erdogan, lundi soir, à Varna, en Bulgarie. D'habitude sans détour, le président de la Commission a pris des formes pour ménager la Turquie, tandis que le président du Conseil européen, Donald Tusk, a été direct en déclarant que ce sommet UE-Turquie n'avait abouti à aucune « avancée concrète ».
Les sujets de contentieux étaient nombreux et ont tous été abordés lors de ce dîner sous tension, qu'il s'agisse de la conquête d'Afrine, de la capture de deux soldats grecs, des violations répétées des eaux territoriales chypriotes, de l'embastillement par Ankara de nombreux journalistes... Bref, de multiples accrocs aux valeurs européennes qui compromettent grandement la procédure – en cours – d'adhésion de la Turquie à l'Union européenne.

Préalable 

Sur ce dernier point crucial, Jean-Claude Juncker refuse pourtant d'enterrer le processus. « Je suis contre cette idée simple, superficielle, parfois démagogique et populiste qui voudrait que nous rompions les négociations d'adhésion avec la Turquie, a-t-il déclaré à Varna. Non, moi, je suis le garant de la poursuite des engagements qui furent ceux de l'Union européenne à l'égard de la Turquie. » Le président de la Commission pose cependant un préalable : l'amélioration des relations diplomatiques entre Ankara, la Grèce et Chypre. Juncker a indiqué qu'il serait « souhaitable » que la libération des deux soldats grecs intervienne « avant la fête de Pâques grecque », soit le 8 avril. 
Ce faisant, Juncker prend le risque de contredire ouvertement deux des plus puissants dirigeants de l'Union européenne, à savoir Angela Merkel et Emmanuel Macron. En octobre 2017, la chancelière allemande s'était exprimée lors d'un sommet européen pour la fin des négociations d'adhésion de la Turquie. Dans un contexte de vives tensions, Erdogan avait, en effet, nommément accusé Merkel de « pratiques nazies » pour avoir annulé deux meetings d'Erdogan en Allemagne... Emmanuel Macron s'était aligné sur la position allemande en considérant qu'il fallait mettre fin à cet illusoire et long feuilleton (cinquante-quatre ans) de l'adhésion turque à l'UE et avait proposé, en lieu et place, un « partenariat privilégié » afin d'ancrer la Turquie à l'Europe. « Je pense que l'Union européenne n'a pas toujours bien fait avec la Turquie parce qu'elle a laissé croire que des choses étaient possibles alors qu'elles ne l'étaient pas totalement, » avait affirmé le président français.

Les migrants comme monnaie d'échange

Juncker ne l'entend pas de cette oreille. Il persiste et signe, et poursuit cette politique d'adhésion. Le président de la Commission se lamente, du reste, que les relations turco-européennes soient systématiquement présentées sous un jour négatif. Juncker insiste notamment sur les intérêts géostratégiques communs en matière d'approvisionnement énergétique. Un « corridor gazier sud », branché sur les réserves gazières de l'Azerbaïdjan, devrait approvisionner la Turquie d'ici à l'été 2018 et l'Europe d'ici à 2020, selon Juncker, lequel se félicite de ce projet commun.
Le président de la Commission souligne également la « solidarité internationale » dont la Turquie a fait preuve en acceptant de recevoir sur son territoire de 3,5 à 4 millions de réfugiés, soulageant ainsi la pression migratoire sur l'Europe. L'Union européenne a promis de verser 3 nouveaux milliards d'euros pour prolonger cet accord. Sur le premier versement, le président Erdogan proteste de l'absence de paiement complet de la part de l'UE. « Il y a des règles comptables en Europe, répond Juncker. Ça peut surprendre les autres, mais il y a des règles comptables. Nous avons déboursé 1,8 milliard d'euros, nous nous sommes engagés à débourser 1,2 milliard d'euros, [à] affecter aux projets – il y en a 72, si je ne m'abuse – le jour où ces projets auront trouvé une application vérifiable. »
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Les relations entre les Européens et Erdogan se sont notoirement tendues lors du « coup d'État » du 15 juillet 2016 qui a conduit le président turc à durcir le régime. Juncker lui a assuré qu'il n'avait aucunement souhaité sa chute, que l'Europe avait toujours exprimé sa solidarité cette nuit-là, y compris lorsque l'issue de la tentative de putsch n'était pas certaine et qu'il ignorait la « tentative d'assassinat » dont le président turc aurait fait l'objet. Toutefois, le président de la Commission estime que, désormais, le régime est fort et peut mettre fin à l'état d'urgence et porter un « nouveau regard » sur l'emprisonnement des journalistes
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Comportement qui fait passer au second plan les considérations de doctrine, de principe ou de morale.

Car ERDOGAN est le contraire des valeurs de l’Europe, contre les droits l’homme, basculement vers un état islamique extrémiste, suppression de la liberté d’expression muselant la presse et aliénation d’un maximum de liberté en enfermant tout opposant à son régime totalitaire, quel qui soit !

Et en se prenant pour un sultan OTTOMAN dont il regrette l’empire !

Mais voilà la Turquie fait partie l’OTAN (organisation militaire US occidental et européen) et en plus le président turc fait du chantage au trop plein de  migrants syriens qu’il retient en contre parti de plusieurs milliards versés par l’Union Européenne pour qu’il restent en Turquie, un piège ou est tombée Mme MERKEL qui l’avait négociée en son temps  !

A part cela l’opinion publique des peuples l’union européenne ne veulent pas de la TURQUIE dans l’Europe, car contraire à leur culture occidentale et leurs valeurs de liberté, mais çà Mr JUNKER s’en fiche !

Cela peut prêter à sourire car on n’accepte le brexit de l’Angleterre qui n’avait pas de tels défauts ?!

Le mieux en fait serait peut-être de se débarrasser de Mr JUNKER ?!

Car si la TURQUIE entrait dans l’Europe ? Cela contribuerait à faire détester l’union européenne par ses peuples et sa perte et qui la critiquent déjà assez comme cela !

Jdeclef 28/03/25018 16h06

Exemple parfait de l'hypocrisie internationale et sa fausse diplomatie convenue…


Affaire Skripal : la réaction forte et unanime des Occidentaux

Les Occidentaux vont expulser massivement des diplomates russes, après l'empoisonnement d'un ex-agent double, un « tournant » dans les relations avec Moscou.

La réaction de la communauté internationale est unanime. L'expulsion massive de diplomates russes par des pays occidentaux après l'empoisonnement d'un ex-agent double au Royaume-Uni pourrait constituer un « tournant » dans les relations avec Moscou, selon Londres, alors que la Russie prépare sa riposte après l'annonce de nouvelles représailles de l'Otan, qui a annoncé mardi qu'elle avait décidé de retirer leurs accréditations à sept membres de la mission russe et de rejeter trois demandes d'accréditation supplémentaires. « Un message clair est ainsi adressé à la Russie : les comportements dangereux et irresponsables ont un coût et des conséquences », a déclaré le secrétaire général de l'organisation, Jens Stoltenberg.
Ces mesures s'ajoutent aux 120 expulsions déjà décrétées depuis lundi par 25 pays, dont les États-Unis et 17 membres de l'Union européenne, dans le cadre de représailles coordonnées du camp occidental, sans précédent même du temps de la guerre froide. « Jamais auparavant autant de pays ne se sont unis pour expulser des diplomates russes », a souligné mardi le ministre britannique des Affaires étrangères Boris Johnson dans le quotidien The Times. Il a salué ensuite devant le Parlement britannique « une réponse internationale sans précédent et robuste à cet acte irresponsable de la Russie ».

Un « tournant » dans les relations avec Moscou

Ces expulsions « pourraient constituer un tournant », selon Boris Johnson. « L'alliance occidentale a pris des mesures décisives et les partenaires du Royaume-Uni se sont unis contre l'ambition irresponsable du Kremlin. » Après l'expulsion de 23 diplomates russes par le Royaume-Uni – à laquelle Moscou a réagi en expulsant à son tour des diplomates britanniques –, il s'agit d'un « nouveau coup dur pour les services de renseignements russes qui mettront des années à s'en remettre », a-t-il poursuivi.
Lors d'un échange téléphonique, les présidents français Emmanuel Macron et américain Donald Trump ont « salué la forte réaction internationale après l'attaque de Salisbury », selon un communiqué de l'Élysée. Donald Trump s'est également entretenu au téléphone avec la chancelière allemande Angela Merkel, et les deux dirigeants se sont également félicités de cette réponse collective « à l'usage irresponsable d'armes chimiques par la Russie », selon la Maison-Blanche.

« La Russie doit se rendre compte qu'elle est seule »

Cette action coordonnée est une réponse à l'empoisonnement à l'agent innervant de Sergueï Skripal et de sa fille Ioulia le 4 mars à Salisbury (sud-ouest de l'Angleterre), attribué par Londres à la Russie. Les deux victimes sont toujours hospitalisées dans un état critique et « leur condition ne semble pas s'améliorer », a indiqué le secrétaire d'État britannique aux Affaires étrangères Alan Duncan. La Première ministre britannique Theresa May a indiqué mardi à son gouvernement que les alliés de Londres ne réagissaient pas seulement « par solidarité avec le Royaume-Uni, mais aussi parce qu'ils reconnaissent la menace » représentée par la Russie, entre annexion de la Crimée, interférence dans des élections étrangères, cyberattaques et soutien au régime syrien.
Selon des propos rapportés par son porte-parole, elle a précisé travailler avec ses partenaires « sur une réponse à long terme au défi posé par la Russie ». « La Russie doit se rendre compte qu'elle est seule » désormais, a souligné Alan Duncan, tandis que Paul Ryan, le président de la Chambre des représentants américaine, a affirmé que « la Russie ne partage pas [leurs] intérêts ou [leurs] valeurs » mais « au contraire, elle cherche à saper ces valeurs ». « L'attaque à Salisbury n'était pas seulement une attaque contre le Royaume-Uni mais un affront au système international fondé sur des règles dont nous dépendons tous pour notre sécurité et bien-être », a déclaré le ministre irlandais des Affaires étrangères Simon Coveney en annonçant mardi l'expulsion d'un diplomate russe.

« Nous allons riposter »

Moscou, qui nie être à l'origine de l'empoisonnement, a promis de contre-attaquer. « Nous allons riposter, n'en doutez pas ! Parce que personne ne souhaite tolérer une telle muflerie et nous n'allons pas le faire », a prévenu mardi le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov. Selon lui, ces expulsions sont le « résultat des pressions colossales » de Washington, qui mène le mouvement avec l'expulsion de 60 diplomates russes considérés comme des « agents de renseignements » et la fermeture du consulat de Russie à Seattle. L'analyste Fiodor Loukianov a estimé mardi dans les pages du quotidien russe Vedomosti que ces expulsions, « particulièrement destructrices pour les relations russo-américaines », plongeaient les relations entre Moscou et les Occidentaux dans une nouvelle « période de guerre froide ».
« Ce n'est pas la fin de l'escalade, il est clair qu'elle va s'aggraver, on s'attend à des mesures encore plus sévères qu'avant, des sanctions économiques contre la Russie », prévient-il. La France, l'Allemagne et la Pologne ont demandé chacune lundi à quatre diplomates russes de partir, suivies notamment par les pays baltes, la Hongrie et l'Espagne. L'Ukraine, en guerre avec des séparatistes pro-russes depuis 2014, en a chassé 13. L'Islande a de son côté annoncé, à l'instar de Londres, un boycott diplomatique de la Coupe du monde de football en Russie.
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Car ces gesticulations occidentales ne font pas peur à V.POUTINE rodé à l'exercice !

Que d’hypocrisie et on ira quand même à la coupe de monde de football en Russie, car les jeux du cirque moderne calme le peuple et lui fait penser à autre chose !

On a vu avec l’annexion de la CRIMÉE, la crise en UKRAINE ou le tir de missile sur cet avion civil MH 17 néerlandais et les nombreux passagers totalement innocents qui ont perdus la vie à cause de la Russie poutinienne !

Ce qui est bien plus préoccupant, c'est que les peuples concernés par ces gesticulations vindicatives guerrières subissent ces dictateurs ou autocrates qu'ils ont mis au pouvoir pour certains massivement, mais qui passent leur temps à se faire peur depuis la guerre froide avec des hauts et bas !

A cause de malades à égo démesurés dont on espère qu'ils ne déraperont pas car tous ont des bombes ou bombinettes pour s'auto détruire !

Jusqu’à KIM JUNG UN le dictateur coréen du nord qui va s’auto protéger chez le grand frère chinois XI JIMPING qui s’est fait nommer à vie dirigeant de la Chine ?!

Et quand on voit E.MACRON dire et notamment par exemple au sujet du terrorisme islamique que la sécurité des français est sa priorité, alors qu'il ne veut pas augmenter certaines mesures drastiquement pour lutter efficacement contre ce fléau en se réfugiant derrière ce "sacro-saint droit de l'homme" que encore bien de pays ne respectent même pas, il faut cesser de donner des leçons de bien-pensant hypocrite !

Jdeclef 28/03/2018 09h57

mardi 27 mars 2018

Cette jeune femme semble vraiment dangereuse et vindicative !


Attentat de l'Aude : les propos glaçants de la compagne de Radouane Lakdim

VIDÉO. Selon les informations de RTL, la compagne du terroriste, âgée de 18 ans et également fichée S, a regretté de ne pas avoir pris part à son action.


Les enquêteurs la considèrent comme très radicalisée. La compagne de Radouane Lakdim, terroriste auteur de l'attaque qui a fait quatre morts dans l'Aude vendredi 23 mars, a été placée en garde à vue et est entendue par les enquêteurs. Dans le cadre des investigations, qui cherchent à savoir si Radouane Lakdim a agi seul ou avec des complices, deux personnes - sa jeune compagne et l'un de ses amis, un jeune homme de 17 ans - ont été interpellées respectivement vendredi soir et dans la nuit de vendredi à samedi. Tous deux nient avoir été au courant des projets terroristes de Radouane Lakdim. Leurs gardes à vue ont été prolongées et la jeune compagne du terroriste a été transférée à Paris, dans les locaux de la DGSI.
La jeune femme, âgée de 18 ans, a déclaré aux enquêteurs qu'elle soutenait les attentats en France, d'après les informations de RTL. Elle a par ailleurs indiqué s'être convertie en 2016, explique François Molins, procureur de la République, lors d'une conférence de presse donnée ce lundi 26 mars. Elle a également crié « Allah akbar » lors de son interpellation par les forces de l'ordre, ajoute-t-il.

Connue des services de police pour radicalisation et fichée S depuis 2017, cette dernière va même plus loin puisqu'elle exprime, avec une attitude « très froide » et même « presque arrogante », explique la radio, sa tristesse pour son conjoint, tué par les forces de l'ordre à l'issue de la prise d'otages dans le Super U de Trèbes.
Elle était également connue par la police pour des faits de droit commun, précise LCI, qui explique qu'elle était suivie par la DGSI pour son profil islamiste sur les réseaux sociaux : « Elle se dit sympathisante EI sur Facebook. » Le vendredi 23 mars, quelques heures avant le passage à l'acte du terroriste, elle a posté sur Facebook une sourate disant que les mécréants étaient tous promis à l'enfer, détaille le procureur de la République.

Aucune compassion

La compagne de Radouane Lakdim aurait également expliqué aux enquêteurs qu'elle était « très contente de ce qui est arrivé », mais qu'elle « regrettait que cet attentat n'ait pas fait plus de morts ». Elle affirme par ailleurs que, s'il le lui avait demandé, elle aurait participé à la course meurtrière de son compagnon. Toutefois, selon LCI, le terroriste « aurait coupé les ponts avec elle il y a quelques semaines ». L'examen de sa téléphonie confirme qu'ils n'étaient plus en contact depuis janvier 2018, ajoute François Molins lors de sa conférence de presse. Des expertises sont en cours pour retrouver la trace d'éventuelles communications entre les deux jeunes gens sur les réseaux sociaux cryptés.
De plus, lors de son audition par les enquêteurs de la DGSI, la jeune femme n'exprime aucune compassion pour le lieutenant-colonel Arnaud Beltrame, tué par Radouane Lakdim alors qu'il s'était substitué à une otage. Érigé en « héros » français, un hommage national sera rendu au gendarme mercredi 28 mars prochain aux Invalides.
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Elle est anti français et regrette ne pas avoir participé à cet attentat !

Elle déteste ce pays où elle vit, il ne faut surtout pas la relâcher sous prétexte qu’elle n’a rien fait, à cause de nos lois imparfaites pour ce type de fichier « S »

Car cela montre l’inefficacité de ces fichages non suivi d’effet une fois de plus qui sert qu’à renseigner, voir surveiller, mais pas à stopper de tels individus (homme ou femme) car corseté par des lois inadaptées pour de tels risques !

C’était un couple maudit qui allait bien ensemble !

Que faudra-t-il à Mr le président MACRON pour qu’il revoie ses jugements de bienpensant donneur de leçon une recrudescence de plus d’attentats islamiques  meurtriers fait par des fanatiques !

On ne raisonne pas des fanatiques, ce courageux LT COLONEL BELTRAME en a fait la triste expérience, il a été égorgé avec sauvagerie !

Et rappel à Mr MACRON il a promis la sécurité aux français, il est loin de compte car la violence augmente partout et pas seulement du fait des attentats islamiques !

Il a été élu pour le changement, mais coté sécurité des français, ça ne change pas !

Jdeclef 27/03/2018 12h02 LP

Un effet d'annonce ou de communication habituelle du gouvernement et de notre président qui aime se mettre en avant..!


Éducation : l'école maternelle devient obligatoire dès 3 ans

Cette mesure devra passer par une loi, mais ne concernera qu'environ 26 000 enfants puisque actuellement 97 % d'entre eux sont déjà scolarisés dès 3 ans.


La mesure était attendue. Dès la rentrée 2019, la scolarité deviendra obligatoire à l'âge de 3 ans, contre 6 ans actuellement. Le président Emmanuel Macron fera l'annonce ce mardi 27 mars lors de l'ouverture des Assises de l'école maternelle, a indiqué l'Élysée. Cette mesure, qui rendra la maternelle obligatoire et devra passer par une loi, ne concernera qu'environ 26 000 enfants puisque actuellement 97 % d'entre eux sont déjà scolarisés dès 3 ans, avec quelques disparités notamment en Guyane et à Mayotte, a précisé l'Élysée. « Cette décision traduit la volonté du président de faire de l'école le lieu de l'égalité réelle et une reconnaissance de la maternelle, qui ne doit plus être considérée comme un mode de garde ou une préparation à l'école élémentaire, mais comme une véritable école, tournée vers l'acquisition du langage et l'épanouissement de l'enfant », explique l'Élysée.

Repenser l'école

La réforme de la maternelle en préparation succède à toute une série d'initiatives gouvernementales dans le domaine éducatif, après les classes de CP dédoublées dans les zones défavorisées, la modification de la procédure d'accès à l'université, la réforme du bac et de la formation professionnelle C'est l'objet des Assises qui réunissent mardi et mercredi chercheurs et experts du développement de l'enfant au Centre national des arts et métiers, dans le centre de Paris. L'allocution du chef de l'État sera précédée de celles du ministre de l'Éducation Jean-Michel Blanquer et du neuropsychiatre Boris Cyrulnik, sollicité pour préparer la réforme.
Une dictée par jour : la formule Blanquer pour remonter le niveau
Emmanuel Macron se rendra ensuite dans une école du 19e arrondissement qui a mis en place un enseignement innovant du langage. Il se fera présenter une activité de phonologie (étude des sons de la langue) dans une classe de moyenne section avant d'échanger avec des enseignants, des parents et des agents territoriaux spécialisés. Cette école s'appuie sur la musique et les arts visuels pour l'apprentissage du vocabulaire, en partenariat avec la Philharmonie de Paris voisine, a expliqué l'Élysée, soulignant que dans les milieux défavorisés un enfant entend des millions de mots de moins que dans un milieu plus favorisé.
Ça ne méritait même pas une loi mais on aime tellement çà en France qu’on est noyé sous la masse de celles si non appliquées et elle recadrera les réfractaires (car il y en a toujours…)

Cela ne fait que confirmer un fait déjà acquit, car une grande majorité de parents mettait déjà en maternelle leurs enfants dès l’âge de 3 ans ne serait-ce que par soucis de ne plus mettre ceux-ci à la crèche ou les faire garder chez une nourrice pour ceux dont les couples travaillent !

Seul avantage pour les parents on ne pourra refuser leurs enfants de 3 ans pour manque de place à l’école maternelle, ce qui arrivait quelquefois !

De plus les enfants actuels sont plus éveillés que nous et mêmes nos enfants à pareils âges et peuvent apprendre plus facilement et plus tôt !

Cette mesure est utile et peu onéreuse, car peu de parents ne mettaient pas leurs enfants à l’école après 3 ans !

Il faut que nos dirigeants au plus haut de l’état cessent de prendre les français pour des idiots ou niais  (ils sont loin de l’être !)

Jdeclef 27/03/2018 11h25 LP

C’est un fait divers comme on n'en voit trop chaque matin en regardant nos médias !


Octogénaire tuée à Paris : le parquet retient le caractère antisémite

Le corps de Mireille Knoll, 85 ans, a été retrouvé lardé de coups de couteau et en partie brûlé dans son appartement incendié dans le 11e arrondissement.

le parquet de Paris a retenu lundi le caractère antisémite dans l'enquête sur le meurtre d'une octogénaire à Paris, qui suscite une forte émotion de la communauté juive un an après l'assassinat de Sarah Halimi. Trois jours après la mort de Mireille Knoll, 85 ans, dont le corps lardé de coups de couteau et en partie brûlé a été retrouvé dans son appartement incendié à Paris, le parquet de Paris a ouvert une information judiciaire pour « assassinat à raison de l'appartenance vraie ou supposée de la victime à une religion et sur personne vulnérable », a indiqué une source judiciaire.
Un suspect est en garde à vue depuis samedi et un deuxième y a été placé dans la nuit dimanche. Les deux hommes doivent être présentés à un juge d'instruction en vue de leur éventuelle mise en examen, selon cette source. Le parquet a requis leur placement en détention provisoire.
Cette affaire suscite l'émotion au sein de la communauté juive française, déjà mobilisée ces derniers mois après le meurtre de Sarah Halimi, une juive orthodoxe de 65 ans tuée à Paris par son voisin en avril 2017. La juge d'instruction en charge de cette enquête avait mis près d'un an à retenir le caractère antisémite, au grand dam de la communauté.
En visite à Jérusalem, le ministre français des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian a fait part de son « émotion » après le meurtre de Mireille Knoll jugeant la piste antisémite « plausible ». Son corps a été retrouvé en partie carbonisé vendredi peu avant 19 heures dans son appartement du 11e arrondissement où elle vivait seule. Les pompiers avaient été alertés par une voisine après le début de l'incendie. Les policiers se sont rapidement orientés vers la piste criminelle, après la découverte de plusieurs départs de feu dans l'appartement, puis de traces de coups de couteau sur le corps de la victime, selon une source proche du dossier.

Le mobile encore inconnu

À la police, un membre de la famille de Mireille Knoll a dit soupçonner un voisin qui avait l'habitude de venir la voir et était passé dans l'appartement dans la journée. C'est cet homme, né en 1989, qui a été placé samedi en garde à vue. « Apparemment, ma mère le connaissait très bien et le considérait comme un fils », a déclaré à l'Agence France-Presse le fils de la victime. Selon une source policière, il était connu des services de police pour des affaires de viol et d'agression sexuelle. Selon cette source, le second suspect, âgé de 21 ans et connu pour des faits de vols avec violence, se trouvait dans l'immeuble de Mireille Knoll le jour du meurtre.
Le mobile reste pour l'heure inconnu. « Nous sommes vraiment tous sous le choc. Je ne comprends pas comment on peut tuer une femme qui n'a pas d'argent, et vit dans un HLM », a ajouté le fils de la victime.
Le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), qui attend « des autorités la plus totale transparence dans l'enquête en cours », a appelé à une « marche blanche » en hommage à la victime mercredi après-midi à Paris.
Mireille Knoll, née en 1932 à Paris, avait échappé de justesse à la rafle du Vel » d'Hiv de juillet 1942 en s'enfuyant de Paris juste avant avec sa mère, a raconté à l'AFP son fils. Réfugiée au Portugal, elle est revenue à Paris après la guerre, et a épousé un homme rescapé du camp d'Auschwitz, décédé au début des années 2000.
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C’est un fait divers comme on n'en voit trop chaque matin en regardant nos médias !

Bien que cette personne âgée soit de confession juive ne serait-il pas plutôt un vulgaire crime crapuleux pour la voler avec lâcheté bien sur étant donné son âge et du fait qu’elle était seule ?

Car le mobile n’est pas défini et les éventuels suspects sont déjà connus de la police pour des faits de vols avec violence etc.

Le 11 eme arrondissement est populaire et de mixité sociale avec diverses communautés !

Il ne faut pas faire de conclusion hâtive comme on n’en a trop l’habitude quelque fois ?!

A moins que notre justice et le parquet aient plus d’éléments qui n’ont pas été communiqués aux médias ?!

Jdeclef 27/03/2018 10h28LP