mardi 31 décembre 2019

Exercice convenu un peu désuet des présidents de V eme république qui ne correspond plus à ce que les français attendent !


Retraites : Macron devrait réaffirmer son « ambition forte » lors de ses vœux

VIDÉO. Si Emmanuel Macron profitera de ses vœux aux Français pour défendre la réforme des retraites, il ne devrait pas pour autant entrer dans le détail de la réforme.

Au 27e jour de la grève SNCF et RATP, mardi 31 décembre, le président Emmanuel Macron devra se plier au traditionnel exercice des vœux aux Français. Un exercice d'autant plus compliqué cette année en raison du conflit social autour de la réforme des retraites qui paralyse une partie du pays depuis près d'un mois maintenant. L'allocution du chef de l'État suscite de fortes attentes des syndicats comme de l'opposition qui espèrent clarifications ou concessions alors que le mouvement reste soutenu par une majorité de Français (51 %). Mais ils pourraient être déçus : Emmanuel Macron, en retrait depuis des semaines, paraît décidé à laisser Édouard Philippe en première ligne, tout en tenant bon sur les principes du projet le plus ambitieux de son quinquennat.
Lors de sa courte allocution enregistrée, il devrait réaffirmer son « ambition forte » pour une réforme des retraites qui « corrige de nombreuses inégalités », a affirmé l'Élysée lundi à l'Agence France-Presse. Il devrait aussi se « redire ouvert au dialogue », mais « sans entrer dans le détail ». Pas question apparemment de modifier ou moduler l'âge-pivot, ce qui aurait pu rallier au moins la CFDT. Plus globalement, il devrait rappeler sa volonté de poursuivre les réformes en « invitant les Français à résister à la tentation de l'immobilisme », tout en appelant à « l'apaisement, pas l'affrontement ».
Julien Damon – La France aime les régimes… spéciaux

« Mener une réforme qui est nécessaire »

« Apaiser le débat » : ce fut aussi le message dès lundi du ministre de l'Intérieur Christophe Castaner. Mais, a-t-il ajouté, « le dialogue, ce n'est pas d'exiger le retrait » du texte. « Nous ne cherchons pas le conflit pour le conflit, nous cherchons à mener une réforme qui est nécessaire », a abondé mardi sur France Inter la secrétaire d'État auprès du ministre de l'Économie, Agnès Pannier-Runacher.
Reste que durant le week-end, le gouvernement et la CGT ont continué leurs joutes verbales : le secrétaire d'État aux Transports Jean-Baptiste Djebbari a accusé le syndicat de pratiquer un syndicalisme « de blocage », voire « d'intimidation » envers les non-grévistes, le numéro un de la CGT Philippe Martinez accusant lui le gouvernement d'organiser « le bordel » et de jouer « le pourrissement » du conflit.
Emmanuel Macron ne touchera pas sa retraite de président de la République
Et depuis la présentation du projet de réforme par Jean-Paul Delevoye cet été, les questions se multiplient sur une réforme dont l'impact pour chacun est incertain, faute de connaître comment sera fixée la valeur du point qui régentera le futur système. « Il est grand temps d'appuyer sur le bouton stop », a répété lundi le patron de FO Yves Veyrier. Les simulateurs succincts et optimistes du gouvernement ne convainquent pas plus que les calculs anxiogènes de la gauche qui prédit de nombreux perdants ou un boulevard ouvert aux fonds de pension. Les différents volets suscitent de nouvelles incompréhensions, comme la cotisation qui sera réduite pour les plus hauts salaires.

Les multiples concessions

Autre source d'interrogations : les concessions accordées par le gouvernement ces derniers jours à une dizaine de catégories, allant des policiers aux pilotes de ligne en passant par les marins et les danseurs de l'opéra qui conserveront pour longtemps des régimes spéciaux. De quoi faire dire à la droite que la réforme, vidée de son contenu, redevient catégorielle. Le gouvernement, qui veut négocier sur la pénibilité, admet lui-même désormais la nécessité de prendre en compte les cas individuels.
« Il y a eu des avancées très claires le 19 décembre, montrant que le système universel peut être dans une certaine mesure individualisé. C'est notamment le cas pour la prise en compte de la pénibilité ou le départ en retraite progressif. C'est de tout cela qu'on discutera en janvier. Le gouvernement a bien compris qu'on reprochait au système de points d'être trop mécanique », résume un conseiller ministériel.
Lire aussi Pierre-Henri Tavoillot : comment gouverner un peuple-roi ?
Quoi que dise le chef de l'État mardi, la grève dans les transports pourrait se poursuivre jusqu'à la reprise des négociations. En ce cas, elle atteindra le 2 janvier, avec 29 jours, le record de la plus longue grève connue en France depuis 30 ans. L'an dernier, Emmanuel Macron avait déjà dû faire face à la colère sociale avec les Gilets jaunes. Il avait alors lâché 10 milliards d'euros d'aides et renoncé à la taxe contestée sur le carburant.
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Si ce n'est que faire un discours alambiqué de 15 minutes dont il a le secret, car en fait ce n'est qu'une tradition de cette V eme république obsolète vieillissante dont on n'a rien à attendre, il n'a rien à craindre au chaud à l'abri dans son palais de l’Élysée notre monarque sans couronne et le lendemain, il essuiera des critiques médiatiques habituelles décortiquées par des spécialistes qui n'ont rien à faire d'autres en 2020...

Jdeclef 31/12/2019 13h07LP-

A force d'en avoir rajouté du coté japonais par une incarcération sévère et trop longue peut être ?!


Carlos Ghosn au Liban : ce que l'on sait de sa fuite du Japon

VIDÉO. Il était assigné à résidence à Tokyo. Il affirme s'être « libéré de l'injustice et de la persécution politique » du système judiciaire japonais.

Coup de tonnerre dans l'affaire Carlos Ghosn ! L'ex-PDG du groupe Renault-Nissan est arrivé à Beyrouth (Liban) lundi soir en provenance de Turquie, à bord d'un jet privé. Il a confirmé mardi se trouver au Liban, d'où il promet de parler librement à la presse, laissant abasourdie son équipe de défense nipponne. « Je suis à présent au Liban. Je ne suis plus l'otage d'un système judiciaire japonais partial où prévaut la présomption de culpabilité », a écrit Carlos Ghosn, détenteur des nationalités libanaise, française et brésilienne, selon un communiqué transmis par ses porte-parole. « Je n'ai pas fui la justice, je me suis libéré de l'injustice et de la persécution politique. Je peux enfin communiquer librement avec les médias, ce que je ferai dès la semaine prochaine », ajoute l'homme d'affaires, qui possède notamment une maison à Beyrouth.
« C'est une surprise totale, je suis abasourdi », a déclaré aux médias son principal avocat japonais, Junichiro Hironaka, affirmant ne pas avoir été contacté par Carlos Ghosn et avoir appris « par la télévision » qu'il avait fui le Japon, où il est sous le coup de quatre inculpations pour malversations financières. Il s'agit d'un développement inattendu pour le magnat déchu de l'automobile, jusque-là assigné à résidence à Tokyo. Carlos Ghosn est arrivé lundi à l'aéroport de Beyrouth, selon une source sécuritaire libanaise.
La secrétaire d'État auprès du ministre de l'Économie Agnès Pannier-Runacher a indiqué mardi sur France Inter être, elle aussi, « très surprise » par l'information. Elle a précisé avoir appris « par la presse » lundi soir ce rebondissement inattendu. Il faut qu'on comprenne exactement ce qu'il s'est passé », a-t-elle ajouté. L'ex-patron de l'alliance Renault-Nissan « n'est pas au-dessus des lois », a souligné Agnès Pannier-Runacher. « C'est un ressortissant libanais, brésilien et français et le soutien consulaire lui est acquis comme (à) tous les Français », a-t-elle ajouté.
Carlos Ghosn, une tragédie (très) française

Un avion en provenance de Turquie

« La manière dont il a quitté le Japon n'est pas claire », a précisé à l'Agence France-Presse une autre source au Liban, pays secoué par un mouvement de contestation inédit qui a entraîné une grave crise politique. Selon le journal libanais al-Joumhouriya, qui a dévoilé l'information, le patron déchu de l'alliance Renault-Nissan-Mitsubishi est arrivé à Beyrouth dans un avion en provenance de Turquie.
Rien dans son attitude ces derniers jours ne laissaient supposer qu'il allait quitter le Japon, ont indiqué à l'Agence France-Presse des personnes qui l'ont récemment côtoyé. « Il continuait à préparer son procès lors de nos réunions régulières », a également assuré son avocat. Après son arrestation, le 19 novembre 2018 à Tokyo, ses avocats et sa famille ont vivement dénoncé ses conditions de détention et la façon dont la justice japonaise mène la procédure dans ce dossier.
Il avait été libéré sous caution fin avril, mais sous de strictes conditions : il lui était notamment interdit de voir ou de contacter sa femme Carole. Mi-novembre, il avait pu lui parler à distance, par vidéoconférence, pour la première fois depuis près de huit mois. Les enfants de Carlos Ghosn avaient rédigé une tribune, fin novembre, sur le site de la radio publique Franceinfo, pour dénoncer un système judiciaire « cruel » et « injuste », jugeant leur père victime d'une « guerre économique » et demandant aux autorités japonaises « de mettre un terme à l'interdiction qui l'empêche de rentrer en contact avec son épouse ».
Affaire Ghosn, un an après : Hari Nada, le tombeur tombé

Quatre inculpations au Japon

Selon ses défenseurs et son équipe de communication, Carlos Ghosn demandait « la levée totale » des différentes interdictions qui pesaient sur lui, les jugeant « excessives, cruelles et inhumaines, et afin que soient respectés ses droits fondamentaux ainsi que ceux de son épouse ». Celui qui avait été salué comme « le sauveur de Nissan » après son arrivée dans le groupe japonais en 1999 a passé au total 130 jours en prison entre novembre 2018 et avril 2019, en cumulant garde à vue et détention provisoire.
Ghosn, un an après : que sont devenus les protagonistes de l'affaire ?
Carlos Ghosn, qui fut le chef d'entreprise le mieux payé au Japon, fait l'objet de quatre inculpations dans ce pays : deux pour des revenus différés non déclarés aux autorités boursières par Nissan (qui est aussi poursuivi sur ce volet), et deux autres pour abus de confiance aggravé. Le dirigeant franco-libano-brésilien a été éjecté de ses sièges de président de Nissan et de Mitsubishi Motors (3e membre de l'alliance) dans les jours suivant son interpellation il y a 13 mois. Il a ensuite démissionné de la présidence de Renault, avant même que d'autres investigations ne soient menées en France à son encontre.

Un « complot »

Depuis le début de l'affaire, Carlos Ghosn dénonce un « complot » de la part de Nissan pour empêcher un projet d'intégration plus poussée avec Renault. Lors d'une audience préliminaire en octobre, sa défense a demandé l'annulation des poursuites intentées contre lui au Japon, accusant les procureurs de collusion avec son ancien employeur japonais pour le faire tomber.
Les inculpations sont « politiquement motivées depuis le début, fondamentalement biaisées », dénonçaient-ils. Les conditions de liberté de l'ex-PDG de Renault-Nissan précisaient que ses passeports étaient gardés par ses avocats, garants du respect des règles imposées par la justice à son égard. Son assignation à résidence à Tokyo lui laissait la liberté de voyager à l'intérieur du Japon, mais la durée d'absence de son domicile était réglementée.
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Surtout qu'en France, il n'aurait jamais subi cela, comme quoi quand on travaille avec l'étranger, il faut bien comprendre que la justice et code pénal appliqué au JAPON est bien plus rigide que celle appliquée dans notre pays pour de tels faits reprochés !

Et comme ce personnage est fortuné, çà aide, a le bras long et donc a fait jouer ses relations, c'est même étonnant qu'il ne l'ait pas fait plus tôt, croyant plutôt être jugé plus équitablement au JAPON du fait de son implantation professionnelle de son entreprise importante sur le marché automobile de ce pays qui faisait travailler les japonais, mais qui leur faisait un peu trop de d'ombre, comme concurrence trop importante !

Car le monde l'industrie mondiale et notamment, celui des automobiles n'est pas un long fleuve tranquille qui brasse beaucoup d'argent et puissance indirecte sur les états concernés !

Jdeclef 31/12/2019 10h38LP

Bien qu'elle connaissait les risques qu'elle encourait ce n'est pas une raison d'abandonner cette médecin humanitaire à son triste sort !


Sophie Pétronin, enlevée au Mali, a été « oubliée », estime son mari

Alors que sa femme a disparu le 24 décembre 2016, il regrette que les négociations soient « au point mort » et de ne pas avoir été reçu par Emmanuel Macron.

Cela fait plus de trois ans que la Française Sophie Pétronin a été enlevée au Mali. Dans un entretien à la radio Europe 1, son mari, Jean-Pierre Pétronin, déplore le silence qui règne concernant sa situation. « On ne sait pas si elle est vivante. Cela fait un an que nous n'avons plus de nouvelles du tout », a lancé le mari de la médecin humanitaire septuagénaire enlevée à Gao par des hommes armés. « On a l'impression, quand même, qu'elle est oubliée », a-t-il dit.
« Il y a 4 000 hommes là-bas, s'ils savent où aller, pourquoi ne pas faire une tentative [de libération] ? » a-t-il demandé, en faisant référence aux 4 500 soldats français déployés au Sahel. « De toute façon, actuellement, elle est sacrifiée… » a-t-il ajouté. Concernant d'éventuelles négociations en vue de sa libération, pour lui, « c'est au point mort ». « C'est peut-être top secret ou quoi que ce soit, mais si quelqu'un du gouvernement nous entend, est-ce qu'il peut dire [quelque chose] à mon fils ou à moi ? Est-ce qu'il peut nous donner un peu de réconfort ? » a-t-il plaidé. « Notre président, M. Macron, aurait pu nous recevoir, mais depuis trois ans absolument rien… » a-t-il aussi regretté.
Qui est Sophie Pétronin, l'humanitaire française enlevée au Mali  ?

« Nous ne l'oublions pas »

En mai, lors d'un hommage à Paris à deux soldats français tués au Burkina Faso lors d'une opération de libération d'otages, le président Emmanuel Macron avait spécifiquement évoqué Sophie Pétronin, « aux mains de ses ravisseurs » : « Nous ne l'oublions pas. Ceux qui attaquent un Français doivent savoir que jamais notre nation n'abandonne ses enfants, quelles que soient les circonstances et fût-ce à l'autre bout de la planète », avait-il affirmé.
Mali : quand les djihadistes travaillent à bâtir l'ignorance
De son côté, le chef d'état-major français, le général François Lecointre, avait indiqué sur la radio RTL ne pas avoir « d'éléments sur l'endroit » où elle était détenue.

« Une dame âgée et malade »

Ces derniers mois, son fils Sébastien Chabaud-Pétronin a néanmoins plusieurs fois déploré que, selon lui, l'État ne veuille pas négocier la libération de sa mère, « une dame âgée et malade ». « Je suis inquiet parce que, de toute façon, ça doit être des conditions difficiles et puis, du fait qu'il n'y a plus de vidéo, nous, on ne sait pas quelle maladie elle a », a déclaré Jean-Pierre Pétronin. « On nous dit cancer, on n'en sait rien. Parce qu'il y a trois ans, quand on était en contact par mail, elle ne nous a jamais parlé de maladie », a-t-il poursuivi.
La dernière vidéo où apparaissait Sophie Pétronin avait été reçue mi-juin 2018. Elle y semblait très fatiguée, le visage émacié, et en appelait à Emmanuel Macron. Dans une autre vidéo en novembre 2018, où elle ne figurait pas, ses ravisseurs affirmaient que son état de santé s'était dégradé.
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Elle ne faisait pas du tourisme ?!

Surtout après les belles paroles de notre président toujours prompt à faire des discours, car selon lui « notre nation n'abandonne pas ses enfants », quelles que soient les circonstances !

C'est d'autant plus déplorable du fait que cette femme est âgée, mais peut être décédée et nos autorités n'osent peut-être pas dire la vérité !

Car dans de précédents enlèvements d'otages notamment par exemple pour des journalistes celle-ci se sont remuées et autrement montrées plus performantes car naturellement des reporters çà parle et on des rédactions des médias qui les soutiennent et se charge de motiver le quai d'Orsay et la présidence pour agir !

Ça ce n'est pas l'honneur de la France des biens pensants donneurs de leçons, ou alors en disant la vérité exacte sur les faits de cet enlèvement et la suite des investigations plutôt que de se taire car trop attendre ne peut que nuire à l'otage et inquiéter inutilement sa famille !

Jdeclef 31/12/2019 10h03LP

lundi 30 décembre 2019

La France vit dans une atmosphère de peur rampante même en ces périodes de fêtes?!


31 décembre : 100 000 membres des forces de l'ordre mobilisés

VIDÉO. Christophe Castaner a annoncé un dispositif renforcé par la présence « de militaires et de pompiers » sur tout le territoire pour la Saint-Sylvestre.

C'est un déploiement conséquent des forces de l'ordre qui est annoncé pour la nuit de mardi à mercredi en France. Pour la soirée de la Saint-Sylvestre, le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner a dévoilé que près de 100 000 policiers et gendarmes seront mobilisés. Ce dispositif sera « renforcé par la présence de militaires et de pompiers » sur tout le territoire, a précisé le ministre. L'an dernier, 140 000 membres des forces de sécurité étaient mobilisés.La nuit de la Saint-Sylvestre est l'une des plus meurtrières sur les routes avec en moyenne 15 à 20 décès comptabilisés ces dernières années, contre une quarantaine au début des années 2000. « Nous serons présents en matière de contrôles et de sécurité routière (…), nous serons totalement mobilisés », a-t-il ajouté. L'an dernier, au moins 568 véhicules avaient été incendiés. Selon Christophe Castaner, « il n'y a pas de menace particulière » en matière terroriste actuellement, même s'il existe un « haut niveau de risque […] permanent ». Chaque année, entre 250 000 et 300 000 personnes se rassemblent sur les Champs-Élysées pour célébrer le passage à la nouvelle année.Damon – Un délit spécial pour les incendies de voitures à la Saint-SylvestreÀ Paris, où le métro est habituellement ouvert toute la nuit de la Saint-Sylvestre, seules les lignes automatisées 1 et 14 circuleront le 31 décembre, en raison de la grève, et uniquement jusqu'à 2 h 15 du matin, a annoncé la RATP. Les lignes de tramways 2, 3, 3a et 3b fonctionneront toute la nuit et les autobus Noctilien seront « fortement renforcés », a ajouté la régie.En ce qui concerne le trafic ferroviaire, la SNCF prévoit de faire circuler « entre 45 % et 50 % » des TGV en moyenne lundi 30 et mardi 31 décembre. 35 % des TGV circuleront le 1er janvier et 50 % le 2 janvier.









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Depuis maintenant plusieurs années cela s'intensifie, et ces derniers temps avec ces mouvements sociaux exemple « gilets jaunes » et maintenant ces grèves à répétition qui s’enchaîne n'arrange pas les choses et notamment une insécurité toujours présente, car le risque de terrorisme est toujours là comme on l’a subi en 2019 !

Ce qui fait se crisper les autorités de l'état en musclant ces forces de l'ordre et police pour essayer de juguler trop de dérapages latents difficile à contrôler !

Le président lui-même par ses erreurs est pris entre le marteau et l'enclume et semble dépassé par les événements présents et à venir, car il n'est pas sûr de pouvoir mener à terme sa politique, car les français ne sont pas faciles à manœuvrer comme il le voudrait en croyant pouvoir tout réformer à marche forcée
Et que ses discours alambiqués ne passent pas pour convaincre les français et ces réformes des retraites et les services spéciaux s’entrechoquent et produisent moult désaccords !

Jdeclef 30/12/2019 18h24

Grandeur et décadence de ce pauvre Mr BALKANY réduit à séjourner dans un grand hôpital public comme tout français lambda !


Patrick Balkany est désormais hospitalisé à la Pitié-Salpêtrière

VIDÉO. Isabelle Balkany s'est fendue d'un message sur Twitter où elle dénonce les conditions du transfert du maire de Levallois-Perret, a repéré « Le Parisien ».

« C'est un truc de fou ! » Isabelle Balkany a exprimé sa colère dimanche dans une déclaration publiée sur son compte Twitter et repérée par Le Parisien. Elle y révèle que son mari, Patrick Balkany, hospitalisé à l'hôpital Cochin depuis le 12 décembre, a été transféré « subitement » à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière vendredi dernier. Le maire de Levallois-Perret, incarcéré à la prison de la Santé depuis le 13 septembre, avait été admis à l'hôpital pour d'importants problèmes intestinaux au lendemain du premier jour de son procès en appel pour fraude fiscale.
Et les policiers emmenèrent Patrick Balkany à la Santé…
L'actuelle maire par intérim de la ville des Hauts-de-Seine pointe du doigt les conditions de transfert de son mari. Elle assure qu'il a été conduit à la Pitié-Salpêtrière « en fourgon et non en ambulance ». Patrick Balkany aurait été admis dans un « service sécurisé pénitentiaire » qui ne comporterait pas de spécialistes médicaux comme ce fut le cas à l'hôpital Cochin. « Les professeurs de gastro-entérologie et de cardiologie qui lui ont, je leur répète, sauvé la vie, veulent impérativement le suivre'et le revoir », affirme encore Isabelle Balkany.

« Il a failli claquer ! »

Elle évoque également les problèmes de dos de Patrick Balkany qui ne seraient pas « calmés par les médicaments » et qui le font toujours souffrir. Une photo qui avait fuité dans la presse le montrait notamment très amaigri et avec une apparence très frêle. Il y a deux jours, Isabelle Balkany avait déjà critiqué la justice qui n'a pas accordé de remise en liberté. Elle assure que son mari aurait été victime d'un « infarctus de l'intestin ».
Au Parisien, elle donne plus de détails : « Il a failli claquer ! Il a eu un infarctus digestif, rétrospectivement ça me fait frémir. Il avait entre 60 et 80 % de chance d'y rester à cause de l'accumulation de médicaments. » Elle dénonce l'absence d'expertise médicale au moment du procès et lors des trois demandes de remise en liberté rejetées par la justice.
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Car on sait toujours quand on entre dans un hôpital pas comment on en sort...

Je sais de quoi je parle juste avant NOËL, je suis entré pour une énième angioplastie et la pose d'un 8 eme stent et j'en suis sorti !

Ceci pour dire, que je lui souhaite bonne hospitalisation qui si elle peut lui permettre de gommer son arrogance habituelle sera toujours ça de gagné pour lui !

Et puis là, il n'est plus en prison qui ne lui faisait pas peur semble-t-il, selon lui pourtant il ne semblait pas satisfait de sa cellule VIP de la prison de la santé rénovée!

Surtout qu'il a commencé à retrouver la raison en disant qu'il ne briguait plus sa succession à la mairie de Levallois, ainsi que sa s'y charmante épouse...

Comme quoi la justice peut quelquefois être utile pour ces genres d'élus douteux pour ne pas dire autre chose !

Mais pour les administrés de Levallois, il était temps que le cas de ses deux profiteurs soient réglés, c'est surement mieux !

Jdeclef 30/12/2019 15h08LP

dimanche 29 décembre 2019

Dans notre monde qui glisse vers un mysticisme d'un autre âge, c'est une erreur de se moquer d'une religion, quel qu'elle soit !


Pays-Bas : Geert Wilders relance son concours de caricatures de Mahomet

Le dirigeant d'extrême droite avait annulé ce projet en 2018 après avoir été la cible de menaces de mort. Il invoque la liberté d'expression.

La polémique et les incidents de l'année dernière ne l'arrêtent pas. Geert Wilders, le député néerlandais d'extrême droite, a annoncé samedi soir qu'il voulait relancer un concours de caricatures du prophète Mahomet. Il avait été contraint de l'annuler en 2018 à la suite de menaces de mort et de manifestations. Geert Wilders, connu pour ses positions anti-islam, a invité ses abonnés sur son compte Twitter à lui « envoyer des caricatures-Mahomet », des dessins satiriques mettant en scène le prophète. Le député souhaite organiser le concours dans les locaux du Parlement néerlandais, à La Haye, invoquant la liberté d'expression. Geert Wilders, chef du Parti pour la liberté (PVV), avait déjà annoncé en juin 2018 son intention d'organiser un tel concours, avant de l'annuler après avoir été la cible de menaces de mort.
L'initiative avait suscité de vives critiques au sein de la communauté musulmane, particulièrement au Pakistan, où plusieurs manifestations avaient eu lieu, et des incidents s'étaient produits dans la foulée aux Pays-Bas.
Phébé – Pourquoi le populisme n'est pas le nouveau fascisme

Sous protection permanente

Un tribunal néerlandais a condamné en novembre dernier un Pakistanais à 10 ans de prison pour avoir préparé un « attentat terroriste » contre le député. Arrêté à La Haye, le Pakistanais avait publié une vidéo sur Facebook dans laquelle il déclarait vouloir envoyer Geert Wilders « en enfer » et appelait les autres musulmans à le soutenir. Le député avait décidé deux jours plus tard d'annuler le concours.
Pays-Bas : Geert Wilders à qui gagne perd
Le lendemain, un jeune Afghan avait attaqué au couteau deux touristes américains dans la gare centrale d'Amsterdam. Condamné en octobre à 26 ans de prison, cet Afghan a déclaré avoir mené cette attaque pour « protéger le prophète Mahomet », évoquant notamment le nom de Geert Wilders. Geert Wilders, 56 ans, bénéficie d'une protection constante de la part de l'État néerlandais.
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Car dans le monde, il y a déjà assez de multiples conflits à cause de religions qui divisent les hommes au point de les rendre fanatiques et dont certains se servent pour terroriser ou avilir les plus faibles pour qu'ils commettent des actes irréparables, voire barbares sur des innocents et aliéner leurs plus simples libertés de vivre !

Si ce n'est simplement que de croire à rien !

La liberté d'expression qu’il faut défendre ne doit pas servir d'alibi à des actes ou propos malfaisants, voire dangereux à terme !

Ce député néerlandais ne fait que de « jeter de l’huile sur le feu » et fait le lit des extrémistes religieux qui sèment le terrorisme dans le monde, ce n’est pas comme cela que l’on combattra efficacement cet obscurantisme terrorisme islamique, car lui-même est un extrémiste qui devrait être désavoué par l’état des pays-bas démocratique, car il se sert de cette soi-disant liberté d’expression pour semer la discorde dans son pays, cela ne peut que produire l’effet contraire !

On se plaint en France de nos autorités justice ou autres sur ce type de sujets, mais il semble que celui-ci soit la plaie en Europe de nos sociétés démocratiques dont les libertés sont mal encadrées par manque de garde fous !

Jdeclef 29/12/2019 13h24

Ce personnage continue à faire parler de lui c'est déjà vraiment inconcevable... !


Alexandre Benalla renonce à briguer la mairie de Saint-Denis

L'ancien garde du corps d'Emmanuel Macron préfère se consacrer à sa famille et à ses nouveaux projets, détaille « Le Journal du dimanche ».


Après avoir côtoyé de très près de nombreux hommes politiques, Alexandre Benalla s'était sans doute dit qu'il pourrait lui aussi s'y mettre. L'ancien garde du corps avait, ces dernières semaines, laissé planer le doute sur une hypothétique candidature à la mairie de Saint-Denis. Finalement, le personnage clé des événements de la place de la Contrescarpe renonce à se présenter aux prochaines municipales, dans la sous-préfecture de Seine-Saint-Denis, révèle Le Journal du dimanche.
Benalla au « Point » : « Je suis borderline, c'est vrai »

Pourtant, Alexandre Benalla avait multiplié les sorties et les petits signes en ce sens. Début octobre, il avait confié à L'Obs : « Pour l'instant, je réponds simplement à des sollicitations. Mais je ne m'interdis rien. » Une déclaration qu'il avait accompagnée sur Twitter d'un montage où il apparaît en habits de maire avec la mention « Mars 2020… not Le Gorafi ».

Beaucoup de bruit pour rien

Le 13 novembre dernier, l'ancien collaborateur d'Emmanuel Macron avait été pris à partie dans un bar de Saint-Denis par trois individus. Après l'incident, il avait lâché sur son compte Twitter : « Cette ville a vraiment besoin d'ordre, et on va en mettre. » Une phrase qui vient s'ajouter aux nombreuses insinuations. Sur ce même compte Twitter, Alexandre Benalla y avait ajouté une biographie pour le moins mystérieuse : « Être Dyonisien, ce n'est pas être né à Saint-Denis, c'est y renaître. » Une description depuis supprimée.
EXCLUSIF. Alexandre Benalla : les extraits chocs de son livre surprise
Au JDD, il explique vouloir se consacrer à sa famille et à son deuxième enfant qui s'apprête à naître. Ses activités dans le domaine de l'intelligence économique et la gestion de risque semblent prendre une place importante dans son quotidien. Il souhaite ainsi se mettre « plus en retrait de la sphère publique ». À Saint-Denis, la rumeur Benalla avait quelque peu déconcerté les candidats aux municipales. Certains pointaient du doigt ses différents ennuis judiciaires. Alexandre Benalla est en effet toujours mis en examen pour « immixtion dans l'exercice d'une fonction publique », « violences volontaires en réunion » et « port et détention non autorisée d'armes ».
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Bien qu'il soit difficile de parler vrai sur le point quand on parle de ce personnage douteux pour n'en pas en dire plus :

Car, il n'est toujours pas jugé pour ses frasques qui ont déstabilisé un temps le pays avec cette déplorable affaire touchant la sphère présidentielle qui n'a pu être étouffée et a mis à mal jusqu'à la marche du pays et jusqu'au président de la république intouchable bien qu'impliqué à l'abri de son immunité, suite à sa fonction et à son mandat !

Donc, s'il ne se présente pas à l'élection municipale de Saint Denis et renonce à cet énième coup d'éclat médiatique et politique, c'est préférable !

D'ailleurs, s'il est jugé enfin par une justice lente qu'on dit indépendante, mais qui traîne à le juger, le condamnait à une peine d'inéligibilité au moins, ce serait une bonne chose utile pour ne plus risquer de l'entendre et de le voir ?!

De toute façon cet individu joue les conseillers à l’étranger, qu'il y reste, ce serait mieux, car c'est un semeur de trouble !

Jdeclef 29/12/2019 11h56

MELENCHON dit tout et n'importe quoi, un politicien usé par des critiques stériles à l'encontre de ceux qui ne disent pas comme lui ?!


Michel Richard – La déchéance intellectuelle de M. Mélenchon

CHRONIQUE. En critiquant le « renoncement » d'Emmanuel Macron à sa retraite, le leader de La France insoumise a abdiqué tout bon sens.

E.MACRON ne mérite évidemment aucune félicitation particulière quand il renonce par avance au bénéfice du régime de retraite réservé aux anciens présidents de la République. Difficile de faire plus spécial et plus avantageux que celui-là, tel qu'il fut fixé en 1955 : 5 200 euros net par mois, à vie, sans conditions d'âge, de durée, de revenus ou d'activités autres !
Giscard en bénéficie depuis trente-neuf ans, qu'est-ce que ça aurait été pour un Macron, plus précoce retraité encore, en 2022 ou 2027 ? Il eût été extravagant – et honteux – qu'il perpétue pour lui-même un de ces régimes spéciaux qu'il entend supprimer pour les autres. Son futur régime sera donc celui de tous, si du moins sa réforme va jusqu'au bout, à savoir universel et à points !
Pas de quoi l'en féliciter, certes. Mais pas de quoi l'en blâmer non plus. C'est pourtant, contre toute raison, ce qu'ont fait quelques opposants plus poussés par une animosité rabique que par un esprit de logique élémentaire. Et parmi eux, un récidiviste, quelle déchéance intellectuelle, Jean-Luc Mélenchon.
Federico Vacas : « Mélenchon a un boulevard, mais il a pris un mauvais virage »
À croire que le leader de La France insoumise a abdiqué tout bon sens et qu'il cherche à s'autodétruire, ce serait plus fort que lui. À le suivre, donc, la renonciation de Macron à son privilège futur serait « insupportable ». Ses propos valent d'être lus : « Il n'y a que les grands seigneurs, les très riches qui peuvent se permettre ce genre de libéralités. Il a les moyens de se passer d'une retraite de 6 000 euros, mais la plupart des gens n'ont pas ses moyens. Je ne les ai pas. » On ne sait par quel bout prendre ce charabia bêtement idéologique.
Mélenchon serait-il, lui, généreux mais le président, pour la même démarche, démagogue et hautain ? On s'y perd.
Exprime-t-il une certaine jalousie financière, ce que peut laisser croire ce « je ne les ai pas » ? Ce serait bien inapproprié. Des candidats à la présidentielle de 2017, Mélenchon était l'un des mieux pourvus : quelque 1,2 million d'euros en patrimoine immobilier, constitué au cours d'une longue carrière politique, conseiller général, sénateur (pendant vingt ans), député, député européen, ministre. Mélenchon n'a pas à se plaindre.
Met-il en cause, chez Macron, l'arrogance des riches qui jouent aux grands seigneurs ? C'est ce qu'il fait, oui, ce qui est bien maladroit. Car lui-même assure ne pas toucher sa retraite au titre d'ancien sénateur, « car [il] estime avoir un revenu suffisant ». Serait-il, lui, généreux mais le président, pour la même démarche, démagogue et hautain ? On s'y perd.

Duel passionnel et personnel

Mélenchon aussi, faut croire, qui introspecte le cerveau de Macron avec cette question hautement psychanalytique : « Qu'est-ce que ça veut dire ? Je renonce à ma retraite donc vous pouvez aussi y renoncer ? » Non, ça veut dire que Macron renonce à sa retraite exceptionnelle, mais pas à son droit à la retraite comme tout le monde. C'est trop simple pour Mélenchon.
On aurait pu attendre de lui qu'il s'en prenne aux régimes spéciaux des parlementaires, dont il fait partie, ou qu'il exige des anciens présidents, Giscard, Sarkozy et son ancien camarade de parti Hollande de renoncer à des privilèges dont ils jouissent mine de rien. Mais non, la justice semble moins lui importer qu'un duel autrement plus personnel et passionnel : contre Macron, cet intrus à la place duquel il ne se résout pas à ne pas être. Ses armes ne sont que ce qu'elles peuvent être : haineuses, colériques, toujours basses et volontiers fausses. Ce qu'est devenu Mélenchon, perdu
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Ou ne pensent pas comme lui, car figé dans des anciennes doctrines pseudo communiste d’extrême gauche obtus d'une autre époque !

C'est l'archétype de vieux politicien borné qui dit tout ou son contraire, faisant feu de tout bois à son profit, mais rien d'autre qui ont pu leurrer certains esprits simples à se faire piéger par ses diatribes de tribun bonimenteur de foire à grand spectacle lors de la campagne présidentielle de 2017 !

D'ailleurs, malgré ces changements d'opinion pour gagner des voix pour son ascension utopique au pouvoir, beaucoup de ces fans de première heure ne lui ont pas renouvelé leur confiance, heureusement !

Mais, il a semé la discorde, même au sein de son parti LFI ou il reste encore quelques trublions excités incurables tout aussi inutiles que lui, c'est désespérant pour la marche de notre pays, qui indirectement du fait de notre démocratie de cette V eme république obsolète avec son système électoral à deux tours favorise le pouvoir en place, macronien, car les français ne sont pas encore enclins à verser vers les extrêmes gauche/droite !

Mélenchon, le chantre du dégagisme (mais, pas pour lui bien sûr) n’a fait que semer le souk dans un pays qui n’a pas besoin de cela, encore plus maintenant ou l’on se débat depuis plus d’un an environ dans des mouvements sociaux divers, manifestations de protestations et grèves à répétition !

Alors bonne année, car pour 2020, on repart pour un tour ou plus, c’est tout ce qui nous attend semble-t-il !

Le seul souhait pour les français, pour cette nouvelle année, c’est qu’ils apprennent enfin à voter correctement au lieu de se disperser, comme ils le font depuis des lustres !

 Jdeclef 29/12/2019 10h02LP

samedi 28 décembre 2019

Il ne manquerait plus qu'elle soit déboutée, cette pauvre politicienne qui s'ennuie quand elle ne fait pas de politique !


Attaquée sur son rôle d'ambassadrice, Royal porte plainte pour diffamation

Nommée au poste d'ambassadrice des pôles par Emmanuel Macron, l'ancienne ministre de l'Environnement s'est défendue au micro de RTL.

Ségolène ROYAL ne compte pas rester sans rien faire. Accusée d'utiliser ses moyens d'ambassadrice des pôles à d'autres fins, la candidate socialiste à la présidentielle 2007 a révélé sur RTL qu'elle était en train de déposer une plainte pour diffamation. « Les responsables politiques ne sont pas au-dessus des citoyens, mais ils ne sont pas en dessous non plus. Je ne peux pas laisser dénigrer des salariés qui font leur travail, qui peuvent m'accompagner dans des activités militantes en dehors du travail, parce que ma parole dérange », a-t-elle notamment déclaré.
Le Figaro a révélé, le soir du réveillon, que Ségolène Royal allait prochainement recevoir une convocation devant l'Assemblée nationale pour répondre de son bilan d'ambassadrice des pôles, un poste pour lequel elle a été nommée par Emmanuel Macron. Elle assure être « tout à fait disponible à venir, y compris devant la commission des Affaires étrangères et la commission du Développement durable. »

« Je ne vais pas aux réunions qui ne sont pas utiles »

Deux députés, Christophe Naegelen (UDI) et Éric Girardin (LREM), veulent en effet entendre ses explications sur « son absence à l'ensemble des réunions officielles au Conseil de l'Arctique qui se sont tenues depuis sa nomination » il y a deux ans et « ses interventions médiatiques quasiment hebdomadaires sur la politique nationale ». « C'est assez curieux de subir des attaques en plein jour de Noël, alors que l'Assemblée nationale n'est pas réunie. Je ne vais pas aux réunions qui ne sont pas utiles », a tenté de se justifier l'ancienne ministre de l'Environnement au micro de RTL.
Ségolène Royal, la surenchère démago
« La prise de parole politique est ma responsabilité, parce que ce qui se passe en France fait mal aux Français », poursuit-elle. Déjà mise en cause mi-novembre pour l'utilisation de ses moyens d'ambassadrice à des fins personnelles, Ségolène Royal avait déjà assuré que « tout est faux », en promettant d'aller « porter plainte pour diffamation ». Une menace en passe donc d'être mise à exécution.
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Elle nous ferait « un caca nerveux » et se mettrait à pleurer !

Car elle se croit indispensable comme d’autres hélas...
Qu'est-ce qu'on traîne comme politiciens inutiles de cette ancienne classe politique en France ...

Mais cela ne s'arrange pas, même chez les nouveaux venus ?!

Néanmoins, il faut que les français votent mieux, car c'est eux qui les élisent et quelque fois, les réélisent et çà ils n'ont pas encore compris comment faire, semble-t-il ?!

Car à par râler, manifester ou faire la grève depuis des lustres, il faudrait enfin changer cette démocratie inefficace de cette V eme république obsolète qui ne profite qu'à quelques uns, mais pas à tout le monde loin de là...

Jdeclef 28/12/2019 16h25