dimanche 31 mai 2020

Attention à ne pas crier victoire trop tôt en croyant que les confinements et déconfinements laisse croire à un regain de vie normale ?!


Coronavirus : 57 morts en 24 heures dans les hôpitaux en France

D'après les chiffres communiqués par la Direction générale de la santé samedi soir, le nombre de patients en réanimation continue de baisser.


Alors que le déconfinement se poursuit ce samedi 30 mai, notamment avec la réouverture des parcs et des jardins, l'épidémie de coronavirus a fait 57 nouveaux décès en 24 heures dans les hôpitaux français. Par ailleurs, le nombre de patients en réanimation continue de baisser, selon le bilan communiqué samedi par la Direction générale de la santé.
Cela porte le bilan total de morts à 28 771, dont 18 444 à l'hôpital, mais les chiffres des décès dans les établissements sociaux et médico-sociaux (Ehpad) ne seront actualisés que mardi, a précisé le communiqué. « 1 325 malades atteints d'une forme sévère de Covid-19 sont hospitalisés en réanimation », selon le communiqué, soit 36 de moins par rapport au bilan de vendredi. Quatre régions (Île-de-France, Grand Est, Auvergne-Rhône-Alpes, Hauts-de-France) regroupent 73 % des patients hospitalisés en réanimation.

« Pas de reprise de l'épidémie » à ce stade, mais prudence…
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Trop d'optimiste gouvernemental pour ne pas inquiéter les français lambda !

Car le Covid 19 est toujours là !

Confinement, déconfinement progressif peut être trop rapide, mesures barrières, lavage de mains avec solution hydroalcoolique, prise à la rigueur de Doliprane, sans compter le port des masques pour la population qui a été un fiasco, puisque diffusé trop tard avec un flou sur les prescriptions pour ou compte leur utilisation au public par nos autorités et même des scientifiques car manquant au début dans notre pays !

Donc si nos dirigeants veulent être honnêtes ce qui changera, il n’y a pas grand-chose de positif contre cette pandémie mondiale !?

Car le facteur économique à l’arrêt, va faire autant, sinon plus de mal que le virus lui-même et cela va être comme une douche froide à la rentrée de septembre et même avant, d’ailleurs, certains salariés qui ont perdu leurs emplois et d’autres déjà dans la mélasse en ressentent les effets et comme notre gouvernement en matière d’emploi ne sait jamais quoi faire, car le patronat ne bouge pas et n’apporte pas de solutions, mais ne prend pas de risque en appelant au secours l’état comme d’habitude, qui est déjà englué dans un tonneau des Danaïdes sans fond par ses dettes qui augmente chaque jour exponentiellement !

Pour résumer les français qui pourront profiter du soleil sur les plages, bronze bien, car ils auront après un coup de froid, car pour le reste, reprise et éradication ou arrêt de la diffusion de ce Covid 19, pour les scientifiques, on est encore aux hypothèses, à moins d’un miracle et qu’il s’évapore et surtout qu’il ne réapparaisse pas après !?

Jdeclef 31/05/2020 13h33LP

samedi 30 mai 2020

Cette élection municipale du maire de PARIS est essentiellement politique !


Municipales à Paris : Dati rejette toute idée de « fusion » avec LREM

La candidate LR tacle au passage « les hésitations et les états d'âme » de sa rivale LREM Agnès Buzyn. Il n'y aura pas d'alliance dans le 5e arrondissement.


Non, Rachida Dati et Agnès Buzyn ne finiront pas ensemble. Ce vendredi 29 mai, la candidate Les Républicains à la mairie de Paris Rachida Dati a en effet assuré à L'Express qu'il n'y aura « pas de fusion » avec la liste LREM de la maire sortante du 5e arrondissement, Florence Berthout, issue des rangs LR mais ralliée pour ces municipales à LREM pour le second tour des municipales prévu le 28 juin.
Municipales : avec le coronavirus, un premier tour pour rien

Une révélation qui contredit alors les nombreuses supputations sur une future alliance que des sources concordantes disaient en préparation. Les Parisiens « veulent un changement profond à Paris » et « ce confinement a accentué cette volonté de changement », a ajouté Rachida Dati, arrivée deuxième le 15 mars derrière la maire socialiste Anne Hidalgo. Elle a vilipendé « les hésitations et les états d'âme » de sa rivale LREM Agnès Buzyn (arrivée troisième), qui « ne sont pas un projet pour Paris et n'intéressent pas les Parisiens ».

« Toute abstention favorisera le déclin de Paris »

Elle a également critiqué Anne Hidalgo, la qualifiant de « maire du béton ». « Je veux des espaces de respiration et d'apaisement pour les Parisiens », a-t-elle assuré. « La dynamique est pour notre équipe et notre projet », a ajouté Rachida Dati, en reprenant ses thématiques de campagne sur la propreté, la lutte contre la délinquance et le maintien des familles à Paris. Mais « toute abstention ou dispersion des voix favorisera l'immobilisme et même le déclin de Paris », a-t-elle averti.
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Quant aux administrés parisiens, ces politiciens de tous bords s’en fichent !

Surtout avec les propositions de programmes quelquefois « abracabrantesques » et utopiques de certains candidats !

C’est pour cela que peu ce déplace pour aller voter et comme pour le 1er tour qui n’aurait pas dû être maintenu malgré la pandémie en pleine progression par notre président indécisif qui s’est dégonflé !

Pour ce 2eme tour le président et son parti la REM à peu de chance de le remporter avec une candidate transfuge du gouvernement et ex ministre de la santé qui s’est dégonflée comme une baudruche du fait de la mauvaise gestion du Covid 19 qui la dépassait comme pour le gouvernement !

Il serait plus logique pour les parisiens que ce soit les deux sortants qui s’opposent en tant qu’ex maires en place HIDALGO et DATI !

Pour le reste ces élections municipales représentent bien les gabegies gouvernementales macronistes, depuis le début de cette pandémie et même avant depuis plus de 2 ans à l’initiative du président !

Jdeclef 30/05/2020 10h26LP

vendredi 29 mai 2020

L'exécutif a voulu cacher l'arbre qui cache la forêt par le chômage partiel panacée qui ne résout rien !


Le nombre de chômeurs a augmenté de plus de 22 % en avril !!

Selon les chiffres communiqués jeudi par Pôle emploi, la France comptait en avril 843 000 demandeurs d'emploi de catégorie A de plus qu'en mars.


Le nombre de chômeurs (catégorie A) a enregistré une hausse exceptionnelle sur un mois en avril (+ 843 000, soit + 22,6 %), mais qui s'explique aux trois quarts par le transfert, du fait du confinement, de demandeurs d'emploi précédemment inscrits en activité réduite (B et C), a annoncé Pôle emploi jeudi. Au total, l'effectif des catégories A, B et C ne s'accroît que de 209 300, soit + 3,6 %, ce qui constitue néanmoins « la plus forte hausse mensuelle jamais enregistrée » depuis la création de ces statistiques en 1996 et il franchit pour la première fois la barre des six millions à 6,064 millions.
Du fait du confinement intégral en avril, beaucoup de salariés en contrats courts (intérim ou CDD), qui étaient déjà inscrits en catégorie B (activité réduite de moins de 78 heures) ou C (plus de 78 heures) n'ont plus travaillé du tout et ont basculé en A. En conséquence, après une hausse déjà historique de 7,1 % le mois précédent, le nombre de demandeurs d'emploi en catégorie A a augmenté de 22,6 % pour s'établir à 4,575 millions, un nouveau record. Mais le nombre de ceux en activité réduite (B, C) a, lui, diminué fortement (- 29,9 %).

Des « entrées sur le marché du travail » différées

« Ainsi, trois quarts de la hausse en catégorie A est liée à des demandeurs d'emploi en activité réduite (catégories B et C) le mois précédent et qui ont cessé toute activité », explique Pôle emploi. Le quart restant est le résultat de la différence entre les entrées directes en catégorie A de personnes non inscrites en mars et les sorties de Pôle emploi. Or, avec une chute de 35 %, les sorties de Pôle emploi ont atteint « leur minimum historique » selon l'opérateur, du fait d'une chute des embauches, des entrées en stage ou en formation. Bien qu'elles restent supérieures aux sorties, les inscriptions à Pôle emploi ont elles aussi fortement diminué (- 19 %).
« Certaines personnes ont sans doute, compte tenu de la situation, différé leur entrée sur le marché du travail », souligne Pôle emploi. Les entrées pour fin de mission d'intérim ou fin de contrat reculent (- 18 000 et - 4 600) « mais restent à des niveaux élevés ». Dans un communiqué, le ministère du Travail a jugé que cette hausse du chômage « était prévisible, car avril est le premier mois intégralement marqué par le confinement » qui a conduit « à des non-renouvellements de missions d'intérim ou de contrats courts ainsi qu'à une baisse des embauches en contrats de courte durée ». « Le chômage augmente donc parce que les entreprises, dans le contexte actuel, n'embauchent plus, mais pas parce qu'elles licencient massivement », en conclut le ministère.
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Car avec cette crise du Covid 19 sanitaire qui en fait est loin d’être jugulée, car ces déconfinements ne sont qu’un pis-aller qui ne supprime pas ce virus et le freine simplement de la contamination entre français et encore selon les régions, car au niveau de la pandémie les scientifiques n’ont rien de probant et pataugent dans leurs hypothèses diverses sans compter les essais pour d’éventuels vaccins, ou certains laboratoires qui ne rêvent que de les découvrir pour faire des profits habituels et être les 1ers ?!

Ce qui est presque plus important et les français ne semble pas s’en rendre compte c’est le poids de cette la crise économique, car seulement depuis environ 2 mois, elle a été bloquée et n’est toujours pas repartie, et à la rentrée de septembre qui même en temps normal est difficile, risque d’être catastrophique, car il y a comme habituellement les nouveaux jeunes entrant sur le marché du travail,et la période de congés d’été n’est pas propice aux emplois pérennes, avec un chômage qui a déjà augmenté comme on n’avait jamais vu à ce point et qui continue à grimper, car le patronat frileux ne propose pas d’emploi du tout ?!

Donc le réveil de beaucoup de français lambda risque d’être un mauvais cauchemar et il ne faut pas compter sur un gouvernement et nos dirigeants de tous bords qui ont déjà montré dans le passé leur incapacités à régler ces problèmes d’emplois et qui en plus se réfugierons derrière l’excuse du Covid 19 cause de tout ?!

Jdeclef 29/05/2020 12h50

Bon mais le 1er ministre souffle le chaud et le froid et même si les français aiment être semble-t-il « satisfait » ou moins inquiet, mais autosatisfaction habituelle de nos dirigeants !


Coignard – Édouard Philippe, un Premier ministre « assoupli »

CHRONIQUE. Le chef du gouvernement a annoncé de « bonnes nouvelles » et a joué la « confiance », jeudi. Mais chassez le naturel, il revient au galop…

Ce n'est pas tous les jours, en temps d'épidémie et de confinement, qu'un chef du gouvernement peut retrouver le sourire. Édouard Philippe a eu cette grâce, ce jeudi, pour ce rendez-vous qu'il avait donné aux Français afin d'évoquer la « phase 2 » dans la levée du confinement.
« Les nouvelles sont plutôt bonnes », a-t-il annoncé d'emblée, flanqué des ministres de la Santé et de l'Éducation nationale. « Nous en sommes là où nous espérions nous trouver, et c'est même un peu mieux que cela ». Le docteur « Tant pis » s'est changé en docteur « Tant mieux ». Il annonce aux Français qu'ils sont libérés de ce bracelet électronique virtuel, qui restreignait leur liberté de circuler à cent kilomètres seulement de leur domicile. Cette règle inapplicable est donc supprimée, et c'est heureux.

Merci pour ce moment

Le Premier ministre savoure le moment. Tous les indicateurs sont au vert à l'exception de quelques zones qui ne sont plus rouges, mais seulement orange. Et partout, sans distinction de couleur, les parcs et les jardins peuvent rouvrir leurs portes dès ce week-end. Bref, le virus, à ce stade, est sous contrôle.
100 kilomètres, vacances, bars, écoles… Les annonces d'Édouard Philippe
Il ne s'en attribue pas le mérite, mais félicite les soignants, bien entendu, les élus locaux, cela va de soi, les ARS et la Caisse d'assurance maladie, c'est plus inattendu. Surtout, il nous félicite tous, nous citoyens, pour notre civisme… Il a même trouvé un mot d'ordre pour caractériser le moment présent, une expression qui pourrait marquer les esprits : la « rigueur tranquille », tout un programme !

Vigilance et désinvolture, le couple infernal

« Ma plus grande histoire d'amour, c'est vous », chantait Barbara. Le Premier ministre pourrait presque paraphraser la chanteuse inspirée. Le ton n'est plus punitif mais laudatif. Il avait prononcé déjà le 7 mai à plusieurs reprises ce mot dont il était auparavant si chiche : confiance. Il va plus loin en évoquant le premier terme de la trilogie républicaine : « La liberté va enfin redevenir la règle et l'interdiction constituera l'exception. » Et promet un grand bol d'air : « Notre vie culturelle, sociale, sportive va pouvoir reprendre plus largement. »
Lire aussi Déconfinement : « Les résultats sont bons sur le plan sanitaire », selon Philippe
Tout redevient comme avant, donc ? Pas tout à fait puisque chacun, c'est la moindre des choses, doit continuer le combat contre le virus à la place qui est la sienne, avec masque, distanciation physique et esprit de responsabilité. Et de nommer ces deux ennemis invisibles contre lesquels il n'a cessé de nous mettre en garde, ce couple infernal qu'il dénonce sans cesse : « Nous savons tous que le début du relâchement, la désinvolture, pourraient faire repartir le virus. » Même « assoupli », Édouard Philippe ne baisse jamais la garde.
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On a l’impression qu’après la grande explication détaillée D’E.PHILIPPE tout va mieux il a fait en sorte intelligemment de le faire croire ?!

Attention, à un optimisme trop rapide car le Covid 19 est toujours là et les déconfinements divers surtout en cette période de congé d’été qui débute peut nous revenir dans la figure comme un boomerang !?

Et puis il n’y a que cela comme palliatif pour le reste nos scientifiques en sont encore à des hypothèses...

Mais surtout il semble que les français lambda n’ont pas pris la mesure de la crise économique liée à cette pandémie, car « la tête à la plage » pour ceux qui peuvent prendre des vacances, car les entreprises et leurs dirigeants n’embauchent pas du tout, et il est très difficile aux chômeurs dont le nombre augmentent exponentiellement de trouver du travail, avant cette crise on trouvait du travail assez facilement et même dans les emplois précaires comme on les appelle intérim ou CDD vont se retrouver rapidement dans la misère !?

On est encore enfermé par des contraintes diverses dans notre pays par ces mesures sanitaires qui freinent l’exercice des professions diverses et pour les grandes entreprises du style usines d’automobiles dont notre gouvernement comme d’habitude met la production en avant (comme toujours et dans le passé) on voit bien qu’elles sont fragiles exemple RENAULT mais il n’y a pas que celle-ci, car quand on n’a pas d’acheteur pour vendre des voitures, ils licencient !

Même si ce Covid 19 disparaissait comme par miracle, il serait temps de se diversifier et que le gouvernement relance cette économie fermement autrement que par l’automobile en lançant des programmes d’investissement dans les structures publiques dont le pays à besoin qui donnerait du travail à tout le monde comme les USA avait fait lors de la grande dépression de 1929 !

Dans les services de santés par les fabriques de médicaments et services médicaux et diverses recherches scientifiques et surtout ne plus délocaliser, en fabriquant en France, tirons en les leçons et bon sens si possible !

Que nos dirigeants apprennent à prévoir au lieu de vivre au jour le jour, en cessant de faire de la mauvaise politique politicienne ?!

Jdeclef 29/05/2020 10h14

jeudi 28 mai 2020

On ne peut nier que de GAULLE est marqué l'histoire de la France pendant la guerre et même du monde du XX eme siècle après au début de la V eme république !


De Gaulle : un exemple dans la crise ?


« Sauveur », le Général l'a été en 1940 comme en 1958. Dans les situations critiques, il était à son meilleur. Quelle leçon nous donnerait-il aujourd'hui 


Mais ce que ce numéro spécial rappelle aussi, c'est que de Gaulle était également un écrivain. Lyrique, amoureux de la formule bien sentie, qui avait lu son Tacite et qui, de l'avis de son biographe britannique Julian Jackson, aurait bien mérité le prix Nobel (mais c'est Churchill qui l'a eu). Un écrivain qui était aussi un penseur politique de haute tenue, ce dont témoignent des pages magnifiques que Le Point vous propose de retrouver. Celles du Fil de l'épée, chef-d'œuvre de réflexion sur le courage, le leadership (déjà), sur la grandeur que peut atteindre un homme, celles surtout des Mémoires, récit d'un destin remarquablement mis en scène, philosophie de l'action que ce hors-série vous propose de découvrir, en même temps que sa vie et son héritage.. 

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Comme d'autres grands hommes depuis notre révolution de 1789 ou de l'empire avec NAPOLEON par exemple qui nous a donné entre autres notre code civil !

Et mêmes comme certains de nos monarques de l’ancien régime qui ont créé notre pays, la France, CLOVIS, CHARLEMAGNE, ST LOUIS, LOUIS XIV et dont mêmes certains de nos présidents de notre XXI eme qui se prennent pour eux avec leurs égos démesurés ?!

Mais notre société a changé depuis 1958 avec notre V eme république et le Général de Gaulle est décédé depuis 1970 après avoir abandonné le pouvoir en 1969 sur un échec a un référendum qu’il avait proposé et donc le résultat négatif l’avait contraint à démissionner rejeté par les français !

Ceci pour dire que tous ces politiciens de tous bords qui se recommande du général de Gaulle en prenant soi-disant exemple sur lui, mais qui ne l’ont pas connu devraient se motiver pour essayer de gérer au présent notre pays et pas au passé, car la France a changé, ainsi que ses habitants et le monde entier !

Ou alors qu’ils changent de métier, si on peut appeler cela un métier « la politique » car ils sont inutiles, souvent nuls et semble-il, ils sont encore nombreux !?

jdeclef 28/05/2020 13h55

Les impôts et taxes ont toujours été le carburant à mettre dans les véhicules de l'état et de tous nos gouvernements et dirigeants de tous bords !


Coignard – Macron, l'ISF et la malédiction du sparadrap

CHRONIQUE. Supprimé en 2018, cet impôt – à faible rendement mais à forte connotation politique – n'a jamais disparu du débat public. Le voilà qui resurgit.


Tous les tintinophiles connaissent cet épisode de L'Affaire Tournesol dans lequel le capitaine Haddock, assis dans un avion, ne parvient pas à se défaire —« Tonnerre ! Mille sabords ! » — d'un pansement adhésif. L'impôt de solidarité sur la fortune (ISF) risque de prendre la même place dans la mémoire collective quant au quinquennat d'Emmanuel Macron.
Dans sa première année de règne, le président, fort d'une popularité satisfaisante, applique tout son programme, rien que son programme. Il remplace un impôt qui ne rapporte guère par un autre qui fait entrer trois fois moins d'argent dans les caisses de l'État. Il explique que c'est pour la bonne cause, celle de l'attractivité économique et fiscale du pays. Seule la fortune immobilière, qu'il assimile à de la rente, est désormais taxée. Le jeune chef de l'État y gagne un surnom autrefois attribué à Nicolas Sarkozy, celui de « président des riches ». Il feint d'y être indifférent.
Pierre-Antoine Delhommais – Le président des pauvres ?
La deuxième année voit toutefois émerger les Gilets jaunes, dont une revendication récurrente est le rétablissement de cet impôt, au nom de l'équité. Mais le chef de l'État, bien que moins populaire qu'un an auparavant, se montre inflexible. D'accord pour évaluer les effets de la suppression de l'ISF, mais pas question de revenir dessus. D'accord pour lâcher plus de 15 milliards d'euros afin de rétablir l'ordre et la paix sociale, mais pas pour faire financer ce cadeau budgétaire par les plus aisés. C'est alors une question de principe et d'autorité politique.

Une goutte d'eau dans l'océan des déficits

Une année passe encore quand surgit l'épidémie de Covid-19. Cette fois, il ne s'agit plus de 15, 16 ou 17 milliards d'euros. L'addition à payer pour la crise sanitaire et le confinement qu'elle a engendré est beaucoup plus lourde. Revient alors l'idée de faire payer les riches. « S'il y a une possibilité de rétablir l'ISF, faisons-le », dit Esther Duflo, Prix Nobel d'économie, dans une interview au JDD. « Face au Covid, il faut un nouvel ISF », renchérit Thomas Piketty. Même Richard Ferrand, proche parmi les proches d'Emmanuel Macron, déclare publiquement qu'il est légitime de « s'interroger sur une contribution des plus aisés ».
Face à cette réapparition du sparadrap ISF, Emmanuel Macron n'a le choix qu'entre des solutions qui lui sont défavorables. S'il cède à la pression, il fait une croix sur une de ses réformes phares, après avoir été contraint d'oublier la transformation de l'État, l'évolution des institutions et le changement du régime des retraites. La gauche de son électorat ne lui en saura pas gré, tandis que la droite ne l'oubliera pas.
Les inégalités explosent-elles vraiment ?
S'il reste droit dans ses bottes, il peut toujours essayer d'expliquer que les quelque 3 milliards récupérés chaque année seraient une goutte d'eau dans l'océan des déficits engendrés par le virus. Il aurait arithmétiquement raison. Mais politiquement ? Alors que se fait entendre, chaque jour un peu plus, la demande d'une justice sociale accrue, le piège de l'ISF se referme une nouvelle fois sur l'Élysée.
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Pour faire soi-disant avancer le pays, mais il n'en n'a jamais assez, alors il en crée de nouveaux, car il n’y a jamais assez de fonds financiers pour essayer de boucher les trous de sa trésorerie courante !

Cela ne serait pas si grave si l’on n’empruntait pas, car il y a la dette publique, « au sens de Maastricht » estimée par l'Insee, s'élevait à 2 415 milliards d'euros à la fin de septembre 2019, soit 100,4 % du PIB, contre 55,8 % à la fin de 1995 et 66,8 % à la veille de la crise de 2008.et qui monte à 115% suite à la crise du Covid 19 et celle économique induite !

Les différents dirigeants de tous bords ont laissé filer celle-ci, depuis 1978, solution simple,la fuite en avant devenant impossible à rembourser !?

En espérant que le pays ne soit pas déclaré en vraie faillite ?!
Quant à l’ISF impôt totalement politique serpent de mer qui resurgit sous différents noms

il ne rapporte pas tant que çà en fait et seulement 342942 foyers de contribuables l’ont payé en 2015...

L'impôt de solidarité sur la fortune (ISF) est l'ancien impôt sur la fortune français payé par les personnes physiques et les couples détenant un patrimoine net taxable strictement supérieur à un certain seuil d'entrée au 1er janvier de l'année considérée. Il est créé en 1989, et remplacé le  par l'impôt sur la fortune immobilière (IFI).

Il fait couler beaucoup d’encre médiatique et palabres de nos politiciens médiocres, mais nos taxes indirectes font rentrer bien plus d’argent et par rapport au :


Système fiscal français qui comporte 214 taxes indirectes et impôts différents pour un total de 992,7 milliards d'euros prévus en 2018, et Bercy à son imagination fertile pour en créer d’autres, alors l’IFI c’est : peanuts !

Jdeclef 28/05/2020 11h50LP

Pari courageux, mais où est le courage pour Mme BUZYN ?!


À Paris, la mission kamikaze d'Agnès Buzyn

VIDÉO. Après un départ tumultueux, la candidate LREM tente de se relancer pour les municipales dans la capitale. Pari courageux mais à haut risque.

Silencieuse et indécise durant le confinement, Agnès Buzyn a enfin annoncé mardi à ses troupes qu'elle serait bien la candidate LREM à la Mairie de Paris. C'est au cours d'une visioconférence, organisée à la dernière minute avec une soixantaine de colistiers, que l'ex-ministre de la Santé a mis fin au suspense. « Je suis pleinement engagée, déterminée, combative, résolue à faire entendre la voix de la majorité présidentielle », leur a-t-elle déclaré sur le même ton résolu que celui qu'elle avait eu en février, quand elle avait remplacé au pied levé Benjamin Griveaux, qui avait dû renoncer à la capitale après la publication d'une vidéo intime.
Depuis cette annonce, certains respirent dans l'équipe d'Agnès Buzyn. « Elle a servi de boucs émissaires, mais elle va avoir l'occasion désormais de se défendre, explique Pierre-Yves Bournazel, tête de liste dans le 18e et devenu porte-parole de la candidate. N'étant pas élue au Conseil de Paris, elle ne pouvait jusqu'à présent s'exprimer. Ses détracteurs en ont profité alors même qu'elle faisait son devoir de médecin ». Telle sera la ligne de défense.

Municipales : Agnès Buzyn s'excuse d'avoir parlé de « mascarade »
Ce qui n'empêche pas certains de serrer les dents, convaincus de vivre avec cette deuxième phase de campagne un véritable chemin de croix. D'abord parce que la détermination clamée haut et fort par la candidate est loin d'avoir convaincu tout le monde… Beaucoup craignent qu'elle ne craque à nouveau, comme elle l'a fait à l'issue du premier tour. Dépitée et déstabilisée par sa troisième position (17,3 % des voix) loin derrière l'actuelle maire de Paris (29,3 %) lors du premier tour, Agnès Buzyn s'était alors effondrée. Au lendemain du confinement, elle avait déclaré à une journaliste du Monde qu'elle avait quitté le ministère de la Santé en « sachant que les élections n'auraient pas lieu ». Surtout, dans cette même interview, elle se demandait ce qu'elle allait faire de sa vie…

Ce gouffre que révèle l'aveu d'Agnès Buzyn
On nous vole notre élection.
Autant de confidences qui n'ont pas fini de la poursuivre : l'ex-ministre de la Santé devra s'expliquer sur son départ du ministère au tout début de la crise auprès des citoyens, mais aussi de la commission d'enquête du Sénat et de l'Assemblée nationale. D'ici au second tour, il lui faudra aussi convaincre ses partenaires de la sincérité de sa détermination et dissiper les doutes sur sa capacité à encaisser les coups. Des coups qui ne manqueront pas de pleuvoir…

Agnès Buzyn a été placée sous protection policière
« Cela ne va pas être une campagne facile, confirme dans un doux euphémisme Gaspard Gantzer, ex-conseiller du président François Hollande, tête de liste dans le 6e. La candidate sera fortement exposée. » Tous le reconnaissent : dans cette élection presque déjà pliée, il y a beaucoup de coups à prendre. « Même si ce n'est pas juste, Agnès Buzyn cristallise les erreurs du gouvernement. Résultat : le vote parisien se transforme en un scrutin national, pour ou contre Emmanuel Macron. On nous vole notre élection », s'agace une tête de liste.

Vers des négociations à la carte ?

Quoi qu'il en soit, les chefs de file des arrondissements entendent mener leur barque comme ils le souhaitent et nouer des accords en fonction des résultats obtenus dans leur arrondissement. Il est vrai que, de ce point de vue, Agnès Buzyn s'est montrée souple, lors de la visioconférence scellant les retrouvailles de ses troupes. Selon l'un des participants, elle n'a fait aucune objection à ce que chaque tête de liste mène ses propres négociations pour construire une majorité où cela est possible.

Le risque ? Au-delà du manque de cohérence, c'est de laisser penser que les candidats ne cherchent qu'à sauver leur tête en devenant conseillers de Paris. « Notre enjeu est de préserver un groupe modéré au conseil de Paris », note Éric Azière, tête de liste dans le 14e, qui refuse pour sa part de mener des négociations avec qui que ce soit. Il n'est pas le seul : arrivée en troisième position loin derrière le candidat soutenu par Anne Hidalgo, Frédérique Calandra, la maire du 20e, a déjà décidé avec ses colistiers de redéposer la même liste. « Il est hors de question de faire de la tambouille politique. Notre liste, qui réunit des gens de gauche, de droite et des écologistes, est une liste de conviction », dit-elle.
Pour les autres, le temps presse. « Nous devons déposer les listes lundi », rappelle Gaspard Gantzer désormais en charge de la communication de la candidate. Il a lui-même entamé les négociations avec la liste soutenue par le candidat dissident Cédric Villani. Dans le 18e, Pierre-Yves Bournazel, discute aussi avec Lucas Elalouf, tête de liste pour le mathématicien. Ils sont quelques-uns à rêver d'un accord global avec Villani qui leur faciliterait la vie et les mettrait dans une dynamique.

Le chemin sera long

De son côté, Florence Berthout est entrée en négociation avec la candidate LR, Anne Biraben. « La maire du 5e, qui a obtenu 28,5 % des voix, n'a pas le choix si elle veut être réélue, explique un fin connaisseur de la carte électorale parisienne. Ses seules réserves de voix sont à droite. Anne Biraben a totalisé 17,2 % des voix tandis que Marie-Christine Lemarley, tête de liste de Paris en commun (portée par Anne d'Hidalgo, NDLR), a récolté 25,4 % et qu'EELV est à 11,4 %. » Florence Berthout quittera-t-elle le navire LREM pour rentrer au bercail ? L'ancienne présidente du groupe LR au Conseil de Paris garde pour l'instant le silence. « Il n'est pas question de fusionner, mais d'accueillir des gens de la liste LR », assure une autre tête de liste. Tenir cette ligne de défense, qui a tout de la ligne de crête, ne sera pas simple pour les partisans d'Agnès Buzyn. Et le chemin est encore long jusqu'au 28 juin.
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Si ce n'est que perdre cette élection municipale de PARIS, ce qui sera, semble-t-il le cas !?

On ne l'a pas forcée (à moins que le monarque sans couronne ait exigé sa candidature?)

Cette élection municipale à la mairie de Paris est une fumisterie politicienne de plus dans cette V eme république avec ce scrutin des 20 arrondissements et l’élection de leurs maires devant être aux ordres du Maire élu définitivement au 2eme tour avec un nombre des conseillers municipaux à venir désignés, suivant le nombre d’habitants par arrondissement, (ce qui ressemble un peu à l’élection présidentielle US)
Tout cela pour démontrer que cette élection est totalement politique, les administrés en fait ne compte pas beaucoup et comme c’est la capitale ou le pouvoir est dans le pays donc le président en place voudrait avoir une maire portant son étiquette politique !

Quant à Mme BUZYN elle n’a pas surement pas la compétence pour être maire et comme elle a raté son mandat de ministre de la santé et la gestion du Covid 19 ne mérite pas ce poste si envié par nos politiciens élus de tous bords !

Et l’on voit ce que donne la basse politique politicienne, car dans cette élection parisienne, les candidats oublient leurs futurs administrés au profit d’un marche pied dans leurs carrières pour monter plus haut, alors tant pis pour les parisiens et franciliens qui dépendent indirectement de la gestion à venir de la capitale !

Mais pour notre pays et cette V eme république, il faut plus d’une vie pour que cela change (c’est mon anniversaire aujourd’hui) et ayant tout connu de cette V eme république je ne me fait plus d’illusion...    

Jdeclef 28/05/2020 10h04LP

mercredi 27 mai 2020

Ils faisaient partie de cette caste UMP/LR sarkoziste classe politique sclérosée de tous bords !


Condamnation des Balkany : c'est Dallas à Levallois-Perret

Les époux Balkany, condamnés en appel à 5 et 4 ans de prison, règlent depuis des semaines leurs comptes politiques à Levallois, en public et en famille !


À Levallois-Perret, les élections municipales ont pris un air de règlement de comptes filial et familial. Selon l'hebdomadaire Marianne, Agnès Pottier-Dumas aurait commis un crime de lèse-majesté en refusant aux époux Balkany un poste une fois élue. Une place à la direction de la communication de la mairie pour madame, une autre à la société d'aménagement de Levallois-Perret pour monsieur. Ils la soutiennent malgré tout pour le premier tour, qu'elle remporte avec 34,6 % des voix. Sans doute espèrent-ils alors qu'elle se ravise. Mais elle ne change pas d'avis. En avril, l'épidémie due au coronavirus éveille un espoir chez Patrick Balkany : une annulation des élections. Il change son fusil d'épaule. Il veut désormais faire battre celle qu'il considère comme une félonne en tentant de liguer contre elle ses adversaires. Parmi ceux-ci, Arnaud de Courson, rival de toujours de Balkany, que le maire prenait comme tête de Turc en conseil municipal.
On range les rancœurs au placard. Balkany invite même, dans son moulin de Giverny, Courson, ainsi que Maud Bergeon, la candidate LREM (qui refuse de s'y rendre) et Lies Messafta, un jeune candidat centriste. Le calcul de Balkany est arithmétique, à défaut d'être cohérent. C'est Isabelle Balkany qui, une fois encore, l'expose sur Facebook : « Il est clair que s'il y a un rassemblement des quatre autres candidats, cette liste représentera 70 % des votes des Levalloisiens au premier tour et quel que soit son leader, elle comprendra des élus de valeur qui feront d'excellents élus. »
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Agnès Pottier-Dumas ne mériterait d'ailleurs pas le fauteuil de maire, insiste Isabelle Balkany : « Sans aucune légitimité puisqu'elle n'est ni élue ni agent communal, ce qui pose problème pour son compte de campagne, elle a, depuis le début de la pandémie, été présente en permanence à la mairie, "pilotant" personnellement le maire intérimaire et, après une inertie sidérale et une absence totale de réponse aux questions et attentes des Levalloisiens, elle a pris des décisions incohérentes et absurdes, dépourvues de tout bon sens et pragmatisme, démontrant ainsi une incompétence évidente. »

Réponse cinglante À Levallois, le spectacle ne s'arrête jamais vraiment. L'affaire, déjà cocasse, prend un tour familial avec l'entrée en scène de la fille du couple Balkany, Vanessa, et du demi-frère de Patrick, Julien Balkany (ils ont le même père). Les deux ont le tort de suivre le premier avis familial, en se rangeant derrière Agnès Pottier-Dumas, et de s'y tenir. Écrivant sur les réseaux sociaux à la candidate, Vanessa Balkany dit ainsi : « Je suis de tout cœur et soutien total avec toi et avec toute ton équipe soudée et dynamique pour LEVALLOIS. »
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La réponse de sa mère, cinglante, est quasi immédiate : « Ma chérie, comme je suis contente de voir que tu as attendu 43 ans pour te préoccuper de Levallois, toi qui a (sic) toujours détesté cette ville, prétendant que notre amour pour les Levalloisiens nous aurait empêché (re-sic) d'être suffisamment attentifs avec vous ! Au point, de ne pas m'adresser la parole, pendant le confinement, à ma sortie de l'hôpital, mais de passer ton temps à hurler sur tes enfants ! Mais tu es ma fille et je te pardonne, même si je constate avec peine que mes "lutins" de Levallois m'offre (re-sic) davantage d'amour que toi ! Comme je suis navrée que tu te serves des réseaux sociaux pour étaler en public tes aigreurs et tes rancœurs ! Bisous. »

« Mon cher beau-frère » Julien Balkany en prend aussi pour son grade. L'homme d'affaires, qui s'est déjà présenté, sans succès, aux élections législatives à Levallois-Perret en 2012, publie à son tour un message de soutien à la candidate LR : « En cette période tourmentée, je réitère mon indéfectible soutien et mon amitié fidèle à Agnès qui fera un très bon maire et sera une élue exemplaire avec un engagement sans faille au service de ses administrés. »
Lui aussi a droit à la colère ironique d'Isabelle Balkany : « Mon cher beau-frère, comme nous sommes heureux d'avoir de tes nouvelles ! Il est vrai que ta vie entre New York, les Émirats et Londres ne t'a jamais donné l'occasion, depuis des mois, de mettre les pieds à Levallois et d'apprécier le travail d'une équipe ! Tu devrais savoir que la politique n'est pas simple, toi qui, aux législatives, as voulu représenter les Français des États-Unis et qui, malgré ta grande intelligence, a été laminé par les électeurs ! Penses-tu vraiment que ton frère prend des décisions sans raisons profondes et majeures ? Ce serait bien mal le connaître ! Bisous. » « Mamisa » a dû, ensuite, retourner à ses fleurs de Giverny, à ses « kids » et à ses « lutins ».



Ils ne sont pas à plaindre du tout, même si on leur rogne les dents ces BALKANY, ils continuent à mordre comme des rottweiler...

Ils sont quand même tombés, mais, çà été dur avec notre justice qui protège trop nos élus et les pires en plus de cette V eme république obsolète qui a montré ses limites!

Mais ce n’est pas fini, au suivant, inutile de le citer vous voyez qui ?!

Que la justice ne change pas de main, elle tient le bon bout pour redorer son blason !

Car les prévaricateurs divers, eux, ne sont pas au chômage et on a fait de la place dans les prisons, ça tombe bien et le pays a grand besoin d’argent, alors il faut le prendre dans la poche de ses profiteurs indélicats sans hésiter !

Jdeclef 27/05/2020 15h52

C'est à qui donnera plus de « fric » (mais pris dans quelles poches) en U.E.?!


La Commission européenne propose un plan de relance de 750 millions d'euros

Sur l'enveloppe totale, 500 millions devraient être redistribués sous forme de subventions. Le reste devrait être alloué sous forme de prêts.


L'Union européenne passe la vitesse supérieure pour relancer son économie : la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, dévoile mercredi un plan d'aide exceptionnelle, très attendu par les États éprouvés par la crise. Elle devrait présenter un fonds de relance de 750 milliards d'euros pour soutenir l'économie européenne. L'Italie et l'Espagne se taillent la part du lion dans ce plan de relance, ont souligné des sources européennes.
Le fonds de relance repose sur un projet révisé du budget à long terme de l'UE, auquel est adossé un nouveau fonds de relance qui serait alimenté par des emprunts à grande échelle de la Commission au nom de l'UE, d'une ampleur sans précédent. La Commission a proposé un fonds d'un montant de 750 milliards d'euros, selon le commissaire européen à l'Économie, l'Italien Paolo Gentiloni. Sur cette somme, 500 milliards seraient redistribués sous forme de subventions, un montant préconisé dans le projet franco-allemand présenté la semaine passée. Le reste serait redistribué en prêts aux États membres, selon des sources européennes concordantes. Si elle est acceptée, cette proposition serait le plus gros plan de relance jamais lancé par l'UE.

Plan de relance : « La Commission européenne doit être à la hauteur de la crise »

Une nouvelle ligne de fracture (ou de facture ?)

« Nous voyons potentiellement un changement radical dans la politique macroéconomique européenne […]. Cela crée un précédent important », a commenté mercredi Philippe Lambers, coprésident du groupe des Verts au Parlement européen, dans l'attente de la présentation d'Ursula von der Leyen. La semaine passée, l'Allemagne avait surpris en annonçant, avec la France, un changement radical de doctrine : dans une proposition commune, Paris et Berlin soutenaient un plan de 500 milliards d'euros, via un mécanisme de mutualisation de la dette européenne, une option à laquelle Berlin était jusqu'à présent hostile. Mais obtenir l'unanimité des États membres, requise sur le budget, sera un exercice difficile.

Déjà avant la pandémie, les 27 avaient échoué en février à se mettre d'accord sur un budget de l'ordre de 1 000 milliards d'euros pour la période 2021-2027. La tempête économique n'a pas resserré les rangs entre pays du Nord et pays du Sud, les plus éprouvés par la crise sanitaire. Les différents camps se sont regroupés autour d'une nouvelle ligne de fracture : ceux, plus rigoristes (Pays-Bas, Autriche, Danemark et Suède), qui veulent un soutien uniquement via des prêts, qui devront donc être remboursés, et ceux qui ne veulent que des subventions.
Les « 4 frugaux » peuvent-ils résister au tandem Merkel-Macron ?

Déjà 2 130 milliards d'aides d'État validés comme par miracle ?

Le projet d'Ursula von der Leyen sera un panachage entre les deux options, et en cela « ne sera pas un copier-coller » de la proposition franco-allemande avancée la semaine passée par Angela Merkel et Emmanuel Macron, a assuré une source européenne. La somme allouée au fonds de relance ainsi que les conditions pour en bénéficier restent à finaliser et dépend de la capacité d'emprunt de Bruxelles. Ursula von der Leyen veut l'accroître en relevant les recettes théoriquement disponibles dans le budget, des sommes que l'UE peut légalement exiger des États membres, à 2 % du revenu national brut (RNB) de l'UE, contre 1,2 % actuellement, selon une source à la Commission.

À la veille de la présentation, un des vice-présidents de la Commission, Maros Sefcovic, a appelé à un accord politique rapide, lors du prochain sommet européen prévu le 18 juin. Par ailleurs, le nouveau budget n'entrera en vigueur qu'en 2021, il faudra donc trouver une solution pour disposer de financements dès l'automne pour soutenir les économies menacées de récession. Le prochain budget de relance devra aussi répondre aux engagements politiques de la Commission qui a placé le numérique et la transition énergétique au cœur de la croissance du Vieux Continent. Sans oublier de développer « l'autonomie stratégique » de l'UE, afin qu'elle soit plus résistante aux crises et moins dépendante de l'extérieur, notamment de la Chine.
Plan de relance : « La Commission européenne doit être à la hauteur de la crise »
L'instrument de relance et le budget viendraient s'ajouter aux 240 milliards d'euros de prêts du Mécanisme européen de stabilité (MES, fonds de secours de la zone euro), aux 200 milliards du fonds de garantie pour les entreprises et aux 100 milliards de l'instrument SURE créé pour soutenir le chômage partiel. La Commission a par ailleurs validé 2 130 milliards d'aides d'État depuis le début de la crise, dont près de la moitié débloquée par le gouvernement allemand pour soutenir ses entreprises.
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Excuser moi, mais ce Monopoly européen donne le tournis ?!

Et surtout il faudrait un mode d’emploi clair et encore si ces sommes astronomiques existent autrement que virtuelles et que ces plans nébuleux soient vraiment validés autrement qu’en paroles et par qui ?!

Car quand on connait le niveau de désunion des membres de l’Union Européenne et leurs 27 chefs d’état, rien n’est simple !

A moins de faire de la planche à billet d’euros, mais çà ce n’est pas bon ou comme font les USA avec leur billet vert qui ne vaux pas plus que la valeur du papier pour les imprimer ou s’en servir pour aller aux toilettes ou au restroom comme on dit aux US ?!

Cela ressemble aux années 20 avec l'hyperinflation de la république de Weimar en Allemagne qui est la période de très forte augmentation des prix que connaît l'Allemagne entre juin 1921 et janvier 1924 et plus précisément durant l'année 1923... Ou on achetait son pain avec une brouette de MARK et la crise de 1929...

Mais on est déjà entraîné à faire la queue aux supermarchés à rayon partiellement vides ?!

Alors ces plans de trésoreries à tous va n’inspire pas confiance, car semblant bien trop nombreux pour être réalistes et tout cela à cause d’un petit virus Covid 19 qui a mis le monde entier par terre et commence petit à petit à les rendre fou, nos dirigeants de tous pays qui sont totalement dépassés et pataugent réduit à faire de hypothèses !

Et les français lambda qui ne pensent qu’aux vacances d’été, alors qu’à la rentrée si rien n’a changé, cela risque d’être catastrophique en terme économique ?!


Jdeclef 27/05/2020 14h34