Coronavirus : 57 morts
en 24 heures dans les hôpitaux en France
D'après
les chiffres communiqués par la Direction générale de la santé samedi soir, le
nombre de patients en réanimation continue de baisser.
Alors que le déconfinement se poursuit ce samedi 30 mai,
notamment avec la réouverture des parcs et des jardins, l'épidémie de coronavirus
a fait 57 nouveaux décès en 24 heures dans les hôpitaux
français. Par ailleurs, le nombre de patients en réanimation continue de
baisser, selon le bilan communiqué samedi par la Direction générale de la
santé. Cela porte le bilan total de morts à 28 771, dont 18 444
à l'hôpital, mais les chiffres des décès dans les établissements sociaux et
médico-sociaux (Ehpad) ne seront actualisés que mardi, a précisé le communiqué.
« 1 325 malades atteints d'une forme sévère de Covid-19 sont
hospitalisés en réanimation », selon le communiqué, soit 36 de
moins par rapport au bilan de vendredi. Quatre régions (Île-de-France,
Grand Est, Auvergne-Rhône-Alpes, Hauts-de-France) regroupent 73 % des
patients hospitalisés en réanimation.
« Pas de reprise de l'épidémie » à ce stade,
mais prudence…
Trop
d'optimiste gouvernemental pour ne pas inquiéter les français lambda !
Car le Covid
19 est toujours là !
Confinement,
déconfinement progressif peut être trop rapide, mesures barrières, lavage de
mains avec solution hydroalcoolique, prise à la rigueur de Doliprane, sans
compter le port des masques pour la population qui a été un fiasco, puisque
diffusé trop tard avec un flou sur les prescriptions pour ou compte leur
utilisation au public par nos autorités et même des scientifiques car manquant
au début dans notre pays !
Donc si nos dirigeants
veulent être honnêtes ce qui changera, il n’y a pas grand-chose de positif contre
cette pandémie mondiale !?
Car le
facteur économique à l’arrêt, va faire autant, sinon plus de mal que le virus
lui-même et cela va être comme une douche froide à la rentrée de septembre et
même avant, d’ailleurs, certains salariés qui ont perdu leurs emplois et d’autres
déjà dans la mélasse en ressentent les effets et comme notre gouvernement en matière
d’emploi ne sait jamais quoi faire, car le patronat ne bouge pas et n’apporte
pas de solutions, mais ne prend pas de risque en appelant au secours l’état
comme d’habitude, qui est déjà englué dans un tonneau des Danaïdes sans fond par
ses dettes qui augmente chaque jour exponentiellement !
Pour résumer
les français qui pourront profiter du soleil sur les plages, bronze bien, car
ils auront après un coup de froid, car pour le reste, reprise et éradication ou
arrêt de la diffusion de ce Covid 19, pour les scientifiques, on est encore aux
hypothèses, à moins d’un miracle et qu’il s’évapore et surtout qu’il ne réapparaisse
pas après !?
Municipales
à Paris : Dati rejette toute idée de « fusion » avec LREM
La
candidate LR tacle au passage « les hésitations et les états d'âme »
de sa rivale LREM Agnès Buzyn. Il n'y aura pas d'alliance dans le 5e
arrondissement.
Non, Rachida
Dati et Agnès Buzyn ne finiront pas ensemble. Ce vendredi 29 mai, la
candidate Les Républicains à la mairie de Paris Rachida Dati a en effet
assuré à L'Express qu'il n'y aura « pas de fusion » avec la liste LREM de
la maire sortante du 5e arrondissement, Florence Berthout,
issue des rangs LR mais ralliée pour ces municipales à LREM pour le
second tour des municipales prévu le 28 juin. Municipales :
avec le coronavirus, un premier tour pour rien Une
révélation qui contredit alors les nombreuses supputations sur une future alliance
que des sources concordantes disaient en préparation. Les Parisiens
« veulent un changement profond à Paris » et « ce confinement a
accentué cette volonté de changement », a ajouté Rachida Dati, arrivée
deuxième le 15 mars derrière la maire socialiste Anne Hidalgo. Elle a
vilipendé « les hésitations et les états d'âme » de sa rivale LREM
Agnès Buzyn (arrivée troisième), qui « ne sont pas un projet pour Paris et
n'intéressent pas les Parisiens ».
« Toute
abstention favorisera le déclin de Paris »
Elle a
également critiqué Anne Hidalgo, la qualifiant de « maire du béton ».
« Je veux des espaces de respiration et d'apaisement pour les
Parisiens », a-t-elle assuré. « La dynamique est pour notre équipe et
notre projet », a ajouté Rachida Dati, en reprenant ses thématiques de
campagne sur la propreté, la lutte contre la délinquance et le maintien des
familles à Paris. Mais « toute abstention ou dispersion des voix
favorisera l'immobilisme et même le déclin de Paris », a-t-elle averti.
Quant aux administrés
parisiens, ces politiciens de tous bords s’en fichent !
Surtout avec
les propositions de programmes quelquefois « abracabrantesques »
et utopiques de certains candidats !
C’est pour
cela que peu ce déplace pour aller voter et comme pour le 1er tour
qui n’aurait pas dû être maintenu malgré la pandémie en pleine progression par
notre président indécisif qui s’est dégonflé !
Pour ce 2eme
tour le président et son parti la REM à peu de chance de le remporter avec une
candidate transfuge du gouvernement et ex ministre de la santé qui s’est
dégonflée comme une baudruche du fait de la mauvaise gestion du Covid 19 qui la
dépassait comme pour le gouvernement !
Il serait
plus logique pour les parisiens que ce soit les deux sortants qui s’opposent en
tant qu’ex maires en place HIDALGO et DATI !
Pour le
reste ces élections municipales représentent bien les gabegies gouvernementales
macronistes, depuis le début de cette pandémie et même avant depuis plus de 2
ans à l’initiative du président !
Le
nombre de chômeurs a augmenté de plus de 22 % en avril !!
Selon
les chiffres communiqués jeudi par Pôle emploi, la France comptait en
avril 843 000 demandeurs d'emploi de catégorie A de plus qu'en mars.
Le nombre de
chômeurs (catégorie A) a enregistré une hausse exceptionnelle sur un mois en
avril (+ 843 000, soit + 22,6 %), mais qui s'explique aux
trois quarts par le transfert, du fait du confinement, de demandeurs d'emploi
précédemment inscrits en activité réduite (B et C), a annoncé Pôle emploi
jeudi. Au total, l'effectif des catégories A, B et C ne s'accroît que de
209 300, soit + 3,6 %, ce qui constitue néanmoins « la plus
forte hausse mensuelle jamais enregistrée » depuis la création de ces
statistiques en 1996 et il franchit pour la première fois la barre
des six millions à 6,064 millions. Du fait du
confinement intégral en avril, beaucoup de salariés en contrats courts (intérim
ou CDD), qui étaient déjà inscrits en catégorie B (activité réduite de moins de
78 heures) ou C (plus de 78 heures) n'ont plus travaillé du tout et
ont basculé en A. En conséquence, après une hausse déjà historique de
7,1 % le mois précédent, le nombre de demandeurs d'emploi en catégorie A a
augmenté de 22,6 % pour s'établir à 4,575 millions, un nouveau
record. Mais le nombre de ceux en activité réduite (B, C) a, lui, diminué
fortement (- 29,9 %).
Des
« entrées sur le marché du travail » différées
« Ainsi,
trois quarts de la hausse en catégorie A est liée à des demandeurs d'emploi en
activité réduite (catégories B et C) le mois précédent et qui ont cessé toute
activité », explique Pôle emploi. Le quart restant est le résultat de
la différence entre les entrées directes en catégorie A de personnes non
inscrites en mars et les sorties de Pôle emploi. Or, avec une chute de
35 %, les sorties de Pôle emploi ont atteint « leur minimum
historique » selon l'opérateur, du fait d'une chute des embauches, des entrées
en stage ou en formation. Bien qu'elles restent supérieures aux sorties,
les inscriptions à Pôle emploi ont elles aussi fortement diminué
(- 19 %). « Certaines
personnes ont sans doute, compte tenu de la situation, différé leur entrée sur
le marché du travail », souligne Pôle emploi. Les entrées pour fin de
mission d'intérim ou fin de contrat reculent (- 18 000 et
- 4 600) « mais restent à des niveaux élevés ». Dans
un communiqué, le ministère du Travail a jugé que cette hausse du chômage
« était prévisible, car avril est le premier mois intégralement marqué par
le confinement » qui a conduit « à des non-renouvellements de
missions d'intérim ou de contrats courts ainsi qu'à une baisse des embauches en
contrats de courte durée ». « Le chômage augmente donc parce que les
entreprises, dans le contexte actuel, n'embauchent plus, mais pas parce
qu'elles licencient massivement », en conclut le ministère.
Car avec cette
crise du Covid 19 sanitaire qui en fait est loin d’être jugulée, car ces déconfinements
ne sont qu’un pis-aller qui ne supprime pas ce virus et le freine simplement de la
contamination entre français et encore selon les régions, car au niveau de la pandémie
les scientifiques n’ont rien de probant et pataugent dans leurs hypothèses diverses
sans compter les essais pour d’éventuels vaccins, ou certains laboratoires qui
ne rêvent que de les découvrir pour faire des profits habituels et être les
1ers ?!
Ce qui est
presque plus important et les français ne semble pas s’en rendre compte c’est
le poids de cette la crise économique, car seulement depuis environ 2 mois, elle
a été bloquée et n’est toujours pas repartie, et à la rentrée de septembre qui
même en temps normal est difficile, risque d’être catastrophique, car il y a
comme habituellement les nouveaux jeunes entrant sur le marché du travail,et la
période de congés d’été n’est pas propice aux emplois pérennes, avec un chômage
qui a déjà augmenté comme on n’avait jamais vu à ce point et qui continue à
grimper, car le patronat frileux ne propose pas d’emploi du tout ?!
Donc le réveil
de beaucoup de français lambda risque d’être un mauvais cauchemar et il ne faut
pas compter sur un gouvernement et nos dirigeants de tous bords qui ont déjà
montré dans le passé leur incapacités à régler ces problèmes d’emplois et qui
en plus se réfugierons derrière l’excuse du Covid 19 cause de tout ?!
Coignard –
Édouard Philippe, un Premier ministre « assoupli »
CHRONIQUE.
Le chef du gouvernement a annoncé de « bonnes nouvelles » et a joué
la « confiance », jeudi. Mais chassez le naturel, il revient au galop…
Ce n'est pas tous les jours, en temps
d'épidémie et de confinement, qu'un chef du gouvernement peut retrouver le
sourire. Édouard Philippe a eu cette grâce, ce jeudi, pour ce rendez-vous qu'il
avait donné aux Français afin d'évoquer la « phase 2 » dans la levée
du confinement. « Les nouvelles sont plutôt
bonnes », a-t-il annoncé d'emblée, flanqué des ministres de la Santé et de
l'Éducation nationale. « Nous en sommes là où nous espérions nous trouver,
et c'est même un peu mieux que cela ». Le docteur « Tant pis »
s'est changé en docteur « Tant mieux ». Il annonce aux Français
qu'ils sont libérés de ce bracelet électronique virtuel, qui restreignait leur
liberté de circuler à cent kilomètres seulement de leur domicile. Cette règle
inapplicable est donc supprimée, et c'est heureux.
Merci pour ce moment
Le Premier ministre savoure le moment.
Tous les indicateurs sont au vert à l'exception de quelques zones qui ne
sont plus rouges, mais seulement orange. Et partout, sans distinction de
couleur, les parcs et les jardins peuvent rouvrir leurs portes dès ce week-end.
Bref, le virus, à ce stade, est sous contrôle. 100 kilomètres, vacances, bars,
écoles… Les annonces d'Édouard Philippe Il ne s'en attribue pas le mérite,
mais félicite les soignants, bien entendu, les élus locaux, cela va de soi, les
ARS et la Caisse d'assurance maladie, c'est plus inattendu. Surtout, il nous
félicite tous, nous citoyens, pour notre civisme… Il a même trouvé un mot
d'ordre pour caractériser le moment présent, une expression qui pourrait
marquer les esprits : la « rigueur tranquille », tout un
programme !
Vigilance et désinvolture, le couple
infernal
« Ma plus grande histoire
d'amour, c'est vous », chantait Barbara. Le Premier ministre pourrait
presque paraphraser la chanteuse inspirée. Le ton n'est plus punitif mais
laudatif. Il avait prononcé déjà le 7 mai à plusieurs reprises ce mot dont
il était auparavant si chiche : confiance. Il va plus loin en évoquant le
premier terme de la trilogie républicaine : « La liberté va enfin
redevenir la règle et l'interdiction constituera l'exception. » Et
promet un grand bol d'air : « Notre vie culturelle, sociale, sportive
va pouvoir reprendre plus largement. » Lire aussi Déconfinement :
« Les résultats sont bons sur le plan sanitaire », selon Philippe Tout redevient comme avant,
donc ? Pas tout à fait puisque chacun, c'est la moindre des choses, doit
continuer le combat contre le virus à la place qui est la sienne, avec masque,
distanciation physique et esprit de responsabilité. Et de nommer ces deux
ennemis invisibles contre lesquels il n'a cessé de nous mettre en garde, ce
couple infernal qu'il dénonce sans cesse : « Nous savons tous que le
début du relâchement, la désinvolture, pourraient faire repartir le virus. »
Même « assoupli », Édouard Philippe ne baisse jamais la garde.
On a l’impression
qu’après la grande explication détaillée D’E.PHILIPPE tout va mieux il a fait
en sorte intelligemment de le faire croire ?!
Attention, à
un optimisme trop rapide car le Covid 19 est toujours là et les déconfinements
divers surtout en cette période de congé d’été qui débute peut nous revenir
dans la figure comme un boomerang !?
Et puis il n’y
a que cela comme palliatif pour le reste nos scientifiques en sont encore à des
hypothèses...
Mais surtout
il semble que les français lambda n’ont pas pris la mesure de la crise
économique liée à cette pandémie, car « la tête à la plage » pour
ceux qui peuvent prendre des vacances, car les entreprises et leurs dirigeants
n’embauchent pas du tout, et il est très difficile aux chômeurs dont le nombre
augmentent exponentiellement de trouver du travail, avant cette crise on
trouvait du travail assez facilement et même dans les emplois précaires comme
on les appelle intérim ou CDD vont se retrouver rapidement dans la misère !?
On est encore
enfermé par des contraintes diverses dans notre pays par ces mesures sanitaires
qui freinent l’exercice des professions diverses et pour les grandes entreprises
du style usines d’automobiles dont notre gouvernement comme d’habitude met la
production en avant (comme toujours et dans le passé) on voit bien qu’elles
sont fragiles exemple RENAULT mais il n’y a pas que celle-ci, car quand on n’a pas
d’acheteur pour vendre des voitures, ils licencient !
Même si ce Covid
19 disparaissait comme par miracle, il serait temps de se diversifier et que le
gouvernement relance cette économie fermement autrement que par l’automobile en
lançant des programmes d’investissement dans les structures publiques dont le
pays à besoin qui donnerait du travail à tout le monde comme les USA avait fait
lors de la grande dépression de 1929 !
Dans les services
de santés par les fabriques de médicaments et services médicaux et diverses recherches
scientifiques et surtout ne plus délocaliser, en fabriquant en France, tirons
en les leçons et bon sens si possible !
Que nos
dirigeants apprennent à prévoir au lieu de vivre au jour le jour, en cessant de
faire de la mauvaise politique politicienne ?!
« Sauveur »,
le Général l'a été en 1940 comme en 1958. Dans les situations
critiques, il était à son meilleur. Quelle leçon nous donnerait-il
aujourd'hui
Mais ce que ce numéro spécial rappelle aussi, c'est que de Gaulle était également un écrivain. Lyrique, amoureux de la formule bien sentie, qui avait lu son Tacite et qui, de l'avis de son biographe britannique Julian Jackson, aurait bien mérité le prix Nobel (mais c'est Churchill qui l'a eu). Un écrivain qui était aussi un penseur politique de haute tenue, ce dont témoignent des pages magnifiques que Le Point vous propose de retrouver. Celles du Fil de l'épée,
chef-d'œuvre de réflexion sur le courage, le leadership (déjà), sur la
grandeur que peut atteindre un homme, celles surtout des Mémoires,
récit d'un destin remarquablement mis en scène, philosophie de l'action
que ce hors-série vous propose de découvrir, en même temps que sa vie
et son héritage.. --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Comme
d'autres grands hommes depuis notre révolution de 1789 ou de l'empire avec
NAPOLEON par exemple qui nous a donné entre autres notre code civil !
Et mêmes comme
certains de nos monarques de l’ancien régime qui ont créé notre pays, la France,
CLOVIS, CHARLEMAGNE, ST LOUIS, LOUIS XIV et dont mêmes certains de nos
présidents de notre XXI eme qui se prennent pour eux avec leurs égos démesurés ?!
Mais notre société
a changé depuis 1958 avec notre V eme république et le Général de Gaulle est décédé
depuis 1970 après avoir abandonné le pouvoir en 1969 sur un échec a un référendum
qu’il avait proposé et donc le résultat négatif l’avait contraint à démissionner rejeté
par les français !
Ceci pour
dire que tous ces politiciens de tous bords qui se recommande du général de
Gaulle en prenant soi-disant exemple sur lui, mais qui ne l’ont pas connu devraient
se motiver pour essayer de gérer au présent notre pays et pas au passé, car la France
a changé, ainsi que ses habitants et le monde entier !
Ou alors qu’ils
changent de métier, si on peut appeler cela un métier « la politique »
car ils sont inutiles, souvent nuls et semble-il, ils sont encore nombreux !?
Coignard –
Macron, l'ISF et la malédiction du sparadrap
CHRONIQUE.
Supprimé en 2018, cet impôt – à faible rendement mais à forte connotation
politique – n'a jamais disparu du débat public. Le voilà qui resurgit.
Tous les tintinophiles connaissent cet épisode de L'Affaire Tournesol dans
lequel le capitaine Haddock, assis dans un avion, ne parvient pas à se défaire
—« Tonnerre ! Mille sabords ! » — d'un pansement adhésif.
L'impôt de solidarité sur la fortune (ISF) risque de prendre la même place dans
la mémoire collective quant au quinquennat d'Emmanuel Macron. Dans sa première année de règne, le président, fort d'une
popularité satisfaisante, applique tout son programme, rien que son programme.
Il remplace un impôt qui ne rapporte guère par un autre qui fait entrer trois
fois moins d'argent dans les caisses de l'État. Il explique que c'est pour la
bonne cause, celle de l'attractivité économique et fiscale du pays. Seule la
fortune immobilière, qu'il assimile à de la rente, est désormais taxée. Le
jeune chef de l'État y gagne un surnom autrefois attribué à Nicolas Sarkozy,
celui de « président des riches ». Il feint d'y être indifférent. Pierre-Antoine Delhommais – Le président des pauvres ? La deuxième année voit toutefois émerger les Gilets jaunes, dont
une revendication récurrente est le rétablissement de cet impôt, au nom de
l'équité. Mais le chef de l'État, bien que moins populaire qu'un an auparavant,
se montre inflexible. D'accord pour évaluer les effets de la suppression de
l'ISF, mais pas question de revenir dessus. D'accord pour lâcher plus
de 15 milliards d'euros afin de rétablir l'ordre et la paix sociale,
mais pas pour faire financer ce cadeau budgétaire par les plus aisés. C'est
alors une question de principe et d'autorité politique.
Une goutte d'eau dans l'océan des déficits
Une année passe encore quand surgit l'épidémie de Covid-19.
Cette fois, il ne s'agit plus de 15, 16 ou 17 milliards d'euros.
L'addition à payer pour la crise sanitaire et le confinement qu'elle a engendré
est beaucoup plus lourde. Revient alors l'idée de faire payer les riches. « S'il
y a une possibilité de rétablir l'ISF, faisons-le », dit Esther Duflo,
Prix Nobel d'économie, dans une interview au JDD. « Face au Covid, il faut un
nouvel ISF », renchérit Thomas Piketty. Même Richard Ferrand, proche parmi
les proches d'Emmanuel Macron, déclare publiquement qu'il est légitime de
« s'interroger sur une contribution des plus aisés ». Face à cette réapparition du sparadrap ISF, Emmanuel Macron n'a le
choix qu'entre des solutions qui lui sont défavorables. S'il cède à la
pression, il fait une croix sur une de ses réformes phares, après avoir été
contraint d'oublier la transformation de l'État, l'évolution des institutions
et le changement du régime des retraites. La gauche de son électorat ne lui en
saura pas gré, tandis que la droite ne l'oubliera pas. Les inégalités explosent-elles vraiment ? S'il reste droit dans ses bottes, il peut toujours essayer
d'expliquer que les quelque 3 milliards récupérés chaque année
seraient une goutte d'eau dans l'océan des déficits engendrés par le virus. Il
aurait arithmétiquement raison. Mais politiquement ? Alors que se fait
entendre, chaque jour un peu plus, la demande d'une justice sociale accrue, le
piège de l'ISF se referme une nouvelle fois sur l'Élysée.
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Pour faire
soi-disant avancer le pays, mais il n'en n'a jamais assez, alors il en crée de
nouveaux, car il n’y a jamais assez de fonds financiers pour essayer de boucher
les trous de sa trésorerie courante !
Cela ne serait
pas si grave si l’on n’empruntait pas, car il y a la dette publique, « au sens de Maastricht
» estimée par l'Insee, s'élevait à 2 415 milliards d'euros à la fin de septembre 2019, soit
100,4 % du PIB, contre
55,8 % à la fin de 1995 et 66,8 % à la veille de la crise de 2008.et qui monte à 115% suite à la crise du
Covid 19 et celle économique induite !
Les différents
dirigeants de tous bords ont laissé filer celle-ci, depuis 1978, solution
simple,la fuite en avant devenant impossible à rembourser !?
En espérant que
le pays ne soit pas déclaré en vraie faillite ?!
Quant à l’ISF impôt
totalement politique serpent de mer qui resurgit sous différents noms
il ne
rapporte pas tant que çà en fait et seulement 342942 foyers de contribuables l’ont
payé en 2015...
L'impôt de solidarité sur la fortune (ISF) est l'ancien impôt sur la fortunefrançais payé par les personnes physiques et les couples détenant un patrimoine net taxable strictement supérieur à
un certain seuil d'entrée au 1er janvier de l'année considérée. Il est créé en 1989, et
remplacé le par l'impôt sur la fortune immobilière (IFI).
Il fait couler
beaucoup d’encre médiatique et palabres de nos politiciens médiocres, mais nos taxes
indirectes font rentrer bien plus d’argent et par rapport au :
Système fiscal français qui comporte 214 taxes indirectes et impôts différents
pour un total de 992,7 milliards d'euros prévus en 2018, et
Bercy à son imagination fertile pour en créer d’autres, alors l’IFI c’est :
peanuts !
VIDÉO.
Après un départ tumultueux, la candidate LREM tente de se relancer pour les
municipales dans la capitale. Pari courageux mais à haut risque.
Silencieuse et indécise durant le confinement, Agnès Buzyn a enfin
annoncé mardi à ses troupes qu'elle serait bien la candidate LREM à la Mairie
de Paris. C'est au cours d'une visioconférence, organisée à la dernière minute
avec une soixantaine de colistiers, que l'ex-ministre de la Santé a mis fin au
suspense. « Je suis pleinement engagée, déterminée, combative, résolue à
faire entendre la voix de la majorité présidentielle », leur a-t-elle
déclaré sur le même ton résolu que celui qu'elle avait eu en février, quand
elle avait remplacé au pied levé Benjamin Griveaux, qui avait dû renoncer à la
capitale après la publication d'une vidéo intime. Depuis cette annonce, certains respirent dans l'équipe d'Agnès
Buzyn. « Elle a servi de boucs émissaires, mais elle va avoir l'occasion désormais
de se défendre, explique Pierre-Yves Bournazel, tête de liste dans le 18e
et devenu porte-parole de la candidate. N'étant pas élue au Conseil de Paris,
elle ne pouvait jusqu'à présent s'exprimer. Ses détracteurs en ont profité
alors même qu'elle faisait son devoir de médecin ». Telle sera la ligne de
défense.
Municipales : Agnès Buzyn s'excuse d'avoir parlé de
« mascarade » Ce qui n'empêche pas certains de serrer les dents, convaincus de
vivre avec cette deuxième phase de campagne un véritable chemin de croix.
D'abord parce que la détermination clamée haut et fort par la candidate est
loin d'avoir convaincu tout le monde… Beaucoup craignent qu'elle ne craque à
nouveau, comme elle l'a fait à l'issue du premier tour. Dépitée et déstabilisée
par sa troisième position (17,3 % des voix) loin derrière l'actuelle maire
de Paris (29,3 %) lors du premier tour, Agnès Buzyn s'était alors
effondrée. Au lendemain du confinement, elle avait déclaré à une journaliste du
Monde
qu'elle avait quitté le ministère de la Santé en « sachant que les
élections n'auraient pas lieu ». Surtout, dans cette même interview, elle
se demandait ce qu'elle allait faire de sa vie…
Ce gouffre que révèle l'aveu d'Agnès Buzyn On nous vole notre élection. Autant de confidences qui n'ont pas fini de la poursuivre :
l'ex-ministre de la Santé devra s'expliquer sur son départ du ministère au tout
début de la crise auprès des citoyens, mais aussi de la commission d'enquête du
Sénat et de l'Assemblée nationale. D'ici au second tour, il lui faudra aussi
convaincre ses partenaires de la sincérité de sa détermination et dissiper les
doutes sur sa capacité à encaisser les coups. Des coups qui ne manqueront pas
de pleuvoir…
Agnès Buzyn a été placée sous protection policière « Cela ne va pas être une campagne facile, confirme dans un
doux euphémisme Gaspard Gantzer, ex-conseiller du président François Hollande, tête
de liste dans le 6e. La candidate sera fortement
exposée. » Tous le reconnaissent : dans cette élection presque
déjà pliée, il y a beaucoup de coups à prendre. « Même si ce n'est pas
juste, Agnès Buzyn cristallise les erreurs du gouvernement. Résultat : le
vote parisien se transforme en un scrutin national, pour ou contre Emmanuel
Macron. On nous vole notre élection », s'agace une tête de liste.
Vers des négociations à la carte ?
Quoi qu'il en soit, les chefs de file des arrondissements
entendent mener leur barque comme ils le souhaitent et nouer des accords en
fonction des résultats obtenus dans leur arrondissement. Il est vrai que, de ce
point de vue, Agnès Buzyn s'est montrée souple, lors de la visioconférence
scellant les retrouvailles de ses troupes. Selon l'un des participants, elle
n'a fait aucune objection à ce que chaque tête de liste mène ses propres
négociations pour construire une majorité où cela est possible.
Le risque ? Au-delà du manque de cohérence, c'est
de laisser penser que les candidats ne cherchent qu'à sauver leur tête en
devenant conseillers de Paris. « Notre enjeu est de préserver un groupe
modéré au conseil de Paris », note Éric Azière, tête de liste dans le 14e,
qui refuse pour sa part de mener des négociations avec qui que ce soit. Il
n'est pas le seul : arrivée en troisième position loin derrière le
candidat soutenu par Anne Hidalgo, Frédérique Calandra, la maire du 20e,
a déjà décidé avec ses colistiers de redéposer la même liste. « Il est
hors de question de faire de la tambouille politique. Notre liste, qui réunit
des gens de gauche, de droite et des écologistes, est une liste de
conviction », dit-elle. Pour les autres, le temps presse. « Nous devons déposer les
listes lundi », rappelle Gaspard Gantzer désormais en charge de la
communication de la candidate. Il a lui-même entamé les négociations avec la
liste soutenue par le candidat dissident Cédric Villani. Dans le 18e,
Pierre-Yves Bournazel, discute aussi avec Lucas Elalouf, tête de liste pour le
mathématicien. Ils sont quelques-uns à rêver d'un accord global avec Villani
qui leur faciliterait la vie et les mettrait dans une dynamique.
Le chemin sera long
De son côté, Florence Berthout est entrée en négociation avec la
candidate LR, Anne Biraben. « La maire du 5e, qui a obtenu
28,5 % des voix, n'a pas le choix si elle veut être réélue, explique un
fin connaisseur de la carte électorale parisienne. Ses seules réserves de voix
sont à droite. Anne Biraben a totalisé 17,2 % des voix tandis que
Marie-Christine Lemarley, tête de liste de Paris en commun (portée par Anne
d'Hidalgo, NDLR), a récolté 25,4 % et qu'EELV est à 11,4 %. »
Florence Berthout quittera-t-elle le navire LREM pour rentrer au bercail ?
L'ancienne présidente du groupe LR au Conseil de Paris garde pour
l'instant le silence. « Il n'est pas question de fusionner, mais
d'accueillir des gens de la liste LR », assure une autre tête de liste.
Tenir cette ligne de défense, qui a tout de la ligne de crête, ne sera pas
simple pour les partisans d'Agnès Buzyn. Et le chemin est encore long
jusqu'au 28 juin.
Si ce n'est
que perdre cette élection municipale de PARIS, ce qui sera, semble-t-il le cas
!?
On ne l'a
pas forcée (à moins que le monarque sans couronne ait exigé sa candidature?)
Cette
élection municipale à la mairie de Paris est une fumisterie politicienne de
plus dans cette V eme république avec ce scrutin des 20 arrondissements et l’élection
de leurs maires devant être aux ordres du Maire élu définitivement au 2eme tour
avec un nombre des conseillers municipaux à venir désignés, suivant le nombre d’habitants
par arrondissement, (ce qui ressemble un peu à l’élection présidentielle US)
Tout cela
pour démontrer que cette élection est totalement politique, les administrés en
fait ne compte pas beaucoup et comme c’est la capitale ou le pouvoir est dans
le pays donc le président en place voudrait avoir une maire portant son étiquette
politique !
Quant à Mme BUZYN
elle n’a pas surement pas la compétence pour être maire et comme elle a raté
son mandat de ministre de la santé et la gestion du Covid 19 ne mérite pas ce
poste si envié par nos politiciens élus de tous bords !
Et l’on voit
ce que donne la basse politique politicienne, car dans cette élection
parisienne, les candidats oublient leurs futurs administrés au profit d’un marche
pied dans leurs carrières pour monter plus haut, alors tant pis pour les
parisiens et franciliens qui dépendent indirectement de la gestion à venir de
la capitale !
Mais pour
notre pays et cette V eme république, il faut plus d’une vie pour que cela change
(c’est mon anniversaire aujourd’hui) et ayant tout connu de cette V eme
république je ne me fait plus d’illusion...
Condamnation
des Balkany : c'est Dallas à Levallois-Perret
Les époux
Balkany, condamnés en appel à 5 et 4 ans de prison, règlent
depuis des semaines leurs comptes politiques à Levallois, en public et en
famille !
À
Levallois-Perret, les élections municipales ont pris un air de règlement de
comptes filial et familial. Selon l'hebdomadaire Marianne, Agnès Pottier-Dumas aurait
commis un crime de lèse-majesté en refusant aux époux Balkany un poste une fois
élue. Une place à la direction de la communication de la mairie pour madame,
une autre à la société d'aménagement de Levallois-Perret pour monsieur. Ils la
soutiennent malgré tout pour le premier tour, qu'elle remporte avec 34,6 %
des voix. Sans doute espèrent-ils alors qu'elle se ravise. Mais elle ne change
pas d'avis. En avril, l'épidémie due au coronavirus éveille un espoir chez
Patrick Balkany : une annulation des élections. Il change son fusil
d'épaule. Il veut désormais faire battre celle qu'il considère comme une
félonne en tentant de liguer contre elle ses adversaires. Parmi ceux-ci, Arnaud
de Courson, rival de toujours de Balkany, que le maire prenait comme tête de
Turc en conseil municipal. On range
les rancœurs au placard. Balkany invite même, dans son moulin de Giverny, Courson,
ainsi que Maud Bergeon, la candidate LREM (qui refuse de s'y rendre) et Lies
Messafta, un jeune candidat centriste. Le calcul de Balkany est arithmétique, à
défaut d'être cohérent. C'est Isabelle Balkany qui, une fois encore, l'expose
sur Facebook : « Il est clair que s'il y a un rassemblement des
quatre autres candidats, cette liste représentera 70 % des votes des
Levalloisiens au premier tour et quel que soit son leader, elle comprendra des
élus de valeur qui feront d'excellents élus. » « Grain
de riz » : accusée de racisme, Isabelle Balkany se défend Agnès
Pottier-Dumas ne mériterait d'ailleurs pas le fauteuil de maire, insiste
Isabelle Balkany : « Sans aucune légitimité puisqu'elle n'est ni élue
ni agent communal, ce qui pose problème pour son compte de campagne, elle a,
depuis le début de la pandémie, été présente en permanence à la mairie,
"pilotant" personnellement le maire intérimaire et, après une
inertie sidérale et une absence totale de réponse aux questions et attentes des
Levalloisiens, elle a pris des décisions incohérentes et absurdes, dépourvues
de tout bon sens et pragmatisme, démontrant ainsi une incompétence
évidente. »
Réponse
cinglanteÀ Levallois,
le spectacle ne s'arrête jamais vraiment. L'affaire, déjà cocasse, prend un
tour familial avec l'entrée en scène de la fille du couple Balkany, Vanessa, et
du demi-frère de Patrick, Julien Balkany (ils ont le même père). Les deux ont
le tort de suivre le premier avis familial, en se rangeant derrière Agnès
Pottier-Dumas, et de s'y tenir. Écrivant sur les réseaux sociaux à la
candidate, Vanessa Balkany dit ainsi : « Je suis de tout cœur et soutien
total avec toi et avec toute ton équipe soudée et dynamique pour
LEVALLOIS. » « Je
pensais que j'étais en fin de vie » : Patrick Balkany se livre après
sa libération La réponse
de sa mère, cinglante, est quasi immédiate : « Ma chérie, comme je
suis contente de voir que tu as attendu 43 ans pour te préoccuper de
Levallois, toi qui a (sic) toujours détesté cette ville, prétendant que notre
amour pour les Levalloisiens nous aurait empêché (re-sic) d'être suffisamment
attentifs avec vous ! Au point, de ne pas m'adresser la parole, pendant le
confinement, à ma sortie de l'hôpital, mais de passer ton temps à hurler sur
tes enfants ! Mais tu es ma fille et je te pardonne, même si je constate
avec peine que mes "lutins" de Levallois m'offre (re-sic) davantage
d'amour que toi ! Comme je suis navrée que tu te serves des réseaux
sociaux pour étaler en public tes aigreurs et tes rancœurs !
Bisous. »
« Mon
cher beau-frère »Julien
Balkany en prend aussi pour son grade. L'homme d'affaires, qui s'est déjà
présenté, sans succès, aux élections législatives à Levallois-Perret en 2012,
publie à son tour un message de soutien à la candidate LR : « En
cette période tourmentée, je réitère mon indéfectible soutien et mon amitié
fidèle à Agnès qui fera un très bon maire et sera une élue exemplaire avec un
engagement sans faille au service de ses administrés. »
Lui aussi a droit à la colère ironique d'Isabelle Balkany :
« Mon cher beau-frère, comme nous sommes heureux d'avoir de tes
nouvelles ! Il est vrai que ta vie entre New York, les Émirats et Londres
ne t'a jamais donné l'occasion, depuis des mois, de mettre les pieds à
Levallois et d'apprécier le travail d'une équipe ! Tu devrais savoir que
la politique n'est pas simple, toi qui, aux législatives, as voulu représenter
les Français des États-Unis et qui, malgré ta grande intelligence, a été laminé
par les électeurs ! Penses-tu vraiment que ton frère prend des décisions
sans raisons profondes et majeures ? Ce serait bien mal le
connaître ! Bisous. » « Mamisa » a dû, ensuite,
retourner à ses fleurs de Giverny, à ses « kids » et à ses
« lutins ».
Ils ne sont
pas à plaindre du tout, même si on leur rogne les dents ces BALKANY, ils
continuent à mordre comme des rottweiler...
Ils sont
quand même tombés, mais, çà été dur avec notre justice qui protège trop nos
élus et les pires en plus de cette V eme république obsolète qui a montré ses
limites!
Mais ce n’est
pas fini, au suivant, inutile de le citer vous voyez qui ?!
Que la
justice ne change pas de main, elle tient le bon bout pour redorer son blason !
Car les
prévaricateurs divers, eux, ne sont pas au chômage et on a fait de la place
dans les prisons, ça tombe bien et le pays a grand besoin d’argent, alors
il faut le prendre dans la poche de ses profiteurs indélicats sans hésiter !
La
Commission européenne propose un plan de relance de 750 millions d'euros
Sur
l'enveloppe totale, 500 millions devraient être redistribués sous
forme de subventions. Le reste devrait être alloué sous forme de prêts.
L'Union européenne passe la vitesse
supérieure pour relancer son économie : la présidente de la Commission
européenne, Ursula von der Leyen, dévoile mercredi un plan d'aide
exceptionnelle, très attendu par les États éprouvés par la crise. Elle devrait
présenter un fonds de relance de 750 milliards d'euros pour soutenir
l'économie européenne. L'Italie et l'Espagne se taillent la part du lion
dans ce plan de relance, ont souligné des sources européennes. Le fonds de relance repose sur un
projet révisé du budget à long terme de l'UE, auquel est adossé un nouveau
fonds de relance qui serait alimenté par des emprunts à grande échelle de la
Commission au nom de l'UE, d'une ampleur sans précédent. La Commission a proposé
un fonds d'un montant de 750 milliards d'euros, selon le commissaire
européen à l'Économie, l'Italien Paolo Gentiloni. Sur cette somme,
500 milliards seraient redistribués sous forme de subventions, un montant
préconisé dans le projet franco-allemand présenté la semaine passée. Le reste
serait redistribué en prêts aux États membres, selon des sources européennes
concordantes. Si elle est acceptée, cette proposition serait le plus gros plan
de relance jamais lancé par l'UE.
Plan de relance :
« La Commission européenne doit être à la hauteur de la crise »
Une nouvelle ligne de fracture (ou de
facture ?)
« Nous voyons potentiellement un
changement radical dans la politique macroéconomique européenne […]. Cela
crée un précédent important », a commenté mercredi Philippe Lambers,
coprésident du groupe des Verts au Parlement européen, dans l'attente de la
présentation d'Ursula von der Leyen. La semaine passée, l'Allemagne avait
surpris en annonçant, avec la France, un changement radical de doctrine :
dans une proposition commune, Paris et Berlin soutenaient un plan de
500 milliards d'euros, via un mécanisme de mutualisation de la dette
européenne, une option à laquelle Berlin était jusqu'à présent
hostile. Mais obtenir l'unanimité des États membres, requise sur le
budget, sera un exercice difficile.
Déjà avant la pandémie,
les 27 avaient échoué en février à se mettre d'accord sur un budget
de l'ordre de 1 000 milliards d'euros pour la période
2021-2027. La tempête économique n'a pas resserré les rangs entre pays du
Nord et pays du Sud, les plus éprouvés par la crise sanitaire. Les
différents camps se sont regroupés autour d'une nouvelle ligne de
fracture : ceux, plus rigoristes (Pays-Bas, Autriche, Danemark et Suède), qui
veulent un soutien uniquement via des prêts, qui devront donc être remboursés,
et ceux qui ne veulent que des subventions. Les « 4 frugaux »
peuvent-ils résister au tandem Merkel-Macron ?
Déjà 2 130 milliards d'aides
d'État validés comme par miracle ?
Le projet d'Ursula von der Leyen sera
un panachage entre les deux options, et en cela « ne sera pas un
copier-coller » de la proposition franco-allemande avancée la semaine
passée par Angela Merkel et Emmanuel Macron, a assuré une source
européenne. La somme allouée au fonds de relance ainsi que les conditions
pour en bénéficier restent à finaliser et dépend de la capacité d'emprunt de
Bruxelles. Ursula von der Leyen veut l'accroître en relevant les recettes
théoriquement disponibles dans le budget, des sommes que l'UE peut légalement
exiger des États membres, à 2 % du revenu national brut (RNB) de l'UE,
contre 1,2 % actuellement, selon une source à la Commission.
À la veille de la
présentation, un des vice-présidents de la Commission, Maros Sefcovic, a appelé
à un accord politique rapide, lors du prochain sommet européen prévu le
18 juin. Par ailleurs, le nouveau budget n'entrera en vigueur qu'en
2021, il faudra donc trouver une solution pour disposer de financements dès
l'automne pour soutenir les économies menacées de récession. Le prochain
budget de relance devra aussi répondre aux engagements politiques de la Commission
qui a placé le numérique et la transition énergétique au cœur de la croissance
du Vieux Continent. Sans oublier de développer « l'autonomie
stratégique » de l'UE, afin qu'elle soit plus résistante aux crises et
moins dépendante de l'extérieur, notamment de la Chine. Plan de relance : « La
Commission européenne doit être à la hauteur de la crise » L'instrument de relance et le budget
viendraient s'ajouter aux 240 milliards d'euros de prêts du Mécanisme
européen de stabilité (MES, fonds de secours de la zone euro), aux
200 milliards du fonds de garantie pour les entreprises et aux
100 milliards de l'instrument SURE créé pour soutenir le chômage
partiel. La Commission a par ailleurs validé 2 130 milliards
d'aides d'État depuis le début de la crise, dont près de la moitié débloquée
par le gouvernement allemand pour soutenir ses entreprises.
Excuser moi,
mais ce Monopoly européen donne le tournis ?!
Et surtout
il faudrait un mode d’emploi clair et encore si ces sommes astronomiques existent
autrement que virtuelles et que ces plans nébuleux soient vraiment validés
autrement qu’en paroles et par qui ?!
Car quand on
connait le niveau de désunion des membres de l’Union Européenne et leurs 27
chefs d’état, rien n’est simple !
A moins de
faire de la planche à billet d’euros, mais çà ce n’est pas bon ou comme font
les USA avec leur billet vert qui ne vaux pas plus que la valeur du papier pour
les imprimer ou s’en servir pour aller aux toilettes ou au restroom comme on dit
aux US ?!
Cela
ressemble aux années 20 avec l'hyperinflationde larépublique de Weimar en Allemagne quiest la période de très forte augmentation des prix que
connaît l'Allemagne entre juin 1921 et janvier 1924 et plus précisément durant
l'année 1923... Ou on achetait son pain avec une brouette de MARK et la crise de 1929...
Mais on est
déjà entraîné à faire la queue aux supermarchés à rayon partiellement vides ?!
Alors ces
plans de trésoreries à tous va n’inspire pas confiance, car semblant bien trop
nombreux pour être réalistes et tout cela à cause d’un petit virus Covid 19 qui
a mis le monde entier par terre et commence petit à petit à les rendre fou, nos
dirigeants de tous pays qui sont totalement dépassés et pataugent réduit à
faire de hypothèses !
Et les français
lambda qui ne pensent qu’aux vacances d’été, alors qu’à la rentrée si rien n’a changé,
cela risque d’être catastrophique en terme économique ?!