samedi 2 mai 2020

Pour ceux qui aiment la liberté, c'est fini, le pseudo monarque décide par peur de son ombre et qu'on lui reproche de n'avoir pas fait ce qu'il fallait !


Prolongation de l'état d'urgence : ce qu'il faut retenir (C’est que chaque jour, on n’en rajoute une couche...!)

L'état d'urgence sanitaire est prolongé jusqu'au 24 juillet. Certaines modifications ont été apportées par le gouvernement.


Alors que le coronavirus a tué 24 594 personnes en France depuis début mars, dont 218 au cours des dernières 24 heures, le gouvernement a annoncé la prolongation de deux mois de l'état d'urgence sanitaire, jusqu'au 24 juillet. Une annonce effectuée par Olivier Véran ce samedi 2 mai. « Si vous deviez relâcher tous nos efforts à compter du 11 mai, il y a fort à parier que tous ces efforts, réalisés admirablement, auront été vains », s'est-il justifié au sujet de cette prolongation.
Le Sénat doit examiner ensuite ce texte dès le lundi 4 mai, puis ce sera au tour de l'Assemblée nationale de s'exprimer, avec une adoption définitive dans le courant de la semaine. Le projet de loi indique que la mise en quarantaine et le placement à l'isolement, afin de lutter contre la propagation du virus, pourront intervenir « lors de l'arrivée sur le territoire national ». « Le gouvernement a fait le choix de la confiance et de la responsabilité, il n'a pas pris de dispositif législatif pour imposer l'isolement à quelqu'un qui le refuserait et qui serait malade sur le territoire national », a détaillé le ministre. Les Français sont néanmoins invités à rester vigilants. « Nous allons devoir livrer ensemble une course de fond. Je sais que des efforts colossaux ont déjà été demandés aux Français », qui se sont montrés « à la hauteur de ce qui semblait impossible il y a deux mois à peine », a encore estimé le ministre de la Santé, Olivier Véran.

Il a également précisé les dispositifs de collecte d'informations sur les malades, qui ne seront « pas récoltées aux fins d'une application », mais permettront aux « brigades d'anges gardiens » d'identifier les cas contacts des personnes testées positives. « Au 11 mai, non, il n'y aura pas d'application StopCovid disponible dans notre pays », a-t-il précisé au sujet de ce projet d'application de traçage controversée.
L'état d'urgence était entré en vigueur le 24 mars et devait être levé le 23 mai. Une date « prématurée », d'après ce qu'indique ce projet de loi qui s'appuie sur le fait que « les risques de reprise épidémique » seraient « avérés en cas d'interruption soudaine des mesures en cours ».

Olivier Véran a également annoncé dans son allocution l'adoption d'« une ordonnance qui porte création d'un dispositif d'aide à destination des professionnels de santé libéraux et des structures de soins ambulatoires qui ont été fortement impactés dans leur exercice habituel depuis le début de l'épidémie ». Une compensation est proposée permettant de « couvrir les charges de manière à éviter toute fermeture d'activité et de leur permettre de reprendre une activité normale dans les meilleures conditions ».
Alors que le gouvernement a dévoilé les cartes de déconfinement progressif, Emmanuel Macron a prévenu encore vendredi, lors d'une réception à l'Élysée, que le 11 mai serait « une étape importante », mais pas le passage « à une vie normale ». En tête des préoccupations, la réouverture des écoles qui s'annonce très périlleuse. La « majorité des écoles » maternelles et primaires seront au rendez-vous du 11 mai, a affirmé Jean-Michel Blanquer au Figaro, avec un maximum de 15 enfants par classe. Mais certains édiles ne veulent pas en entendre parler.
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Protocole sanitaire strict dans les écoles Ainsi, huit maires centristes de Seine-Saint-Denis (Bobigny, Drancy, Saint-Ouen, Coubron, Livry-Gargan, Noisy-le-Sec, Le Raincy et Le Bourget) avaient déjà exprimé, avant même le discours du Premier ministre mardi, leur intention de ne pas rouvrir leurs établissements scolaires. Ces édiles, comme beaucoup d'autres, s'inquiètent de la possible mise en cause de leur responsabilité pénale en cas de contamination d'enfants, d'enseignants ou de personnel.
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À Paris, la réouverture des écoles sera réservée, au moins dans un premier temps, « à un public prioritaire », c'est-à-dire aux enfants de certaines professions et aux élèves décrocheurs, a indiqué, vendredi, à l'Agence France-Presse l'adjoint de la mairie chargé de l'éducation. Pour accueillir des élèves, les écoles devront respecter un protocole sanitaire très strict, dont les grandes lignes ont été dévoilées jeudi : lavage répété de mains, jeux proscrits, désinfection du matériel, sens de circulation marqué au sol…

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Le prix des masques plafonné

Autre source de tension en prévision du 11 mai : la vente des masques, dont le port sera obligatoire dans les transports publics. À dix jours du déconfinement, le gouvernement a décidé de plafonner le prix de vente des masques chirurgicaux à 95 centimes l'unité, mais pas celui des masques en tissu, en raison de la diversité des modèles et de leur provenance. On trouve sur Internet des masques vendus 20 ou 30 euros pièce. Face au risque d'abus, la secrétaire d'État Agnès Pannier-Runacher a promis des enquêtes de la DGCCRF « chaque semaine, avec des relevés de prix, circuit de distribution par circuit de distribution », pour garantir l'accès à des prix raisonnables.
Le prix des masques chirurgicaux plafonné, pas celui des textiles
L'objectif est « qu'une offre abondante de masques lavables et réutilisables à filtration garantie soit mise à disposition du public à un coût de l'ordre de 20 à 30 centimes d'euros à l'usage », a précisé le ministère de l'Économie dans un communiqué. Face à l'abondance de l'offre après une période de rareté, les ordres des professions de santé se sont offusqués dans un texte cinglant du nombre « sidérant » de masques annoncés à la vente par la grande distribution. Celle-ci a répliqué qu'elle n'avait pas de « stocks cachés » et que les commandes n'allaient être livrées que « très progressivement ». « Il n'y avait pas de stocks de masques cachés en France », a également assuré vendredi soir le directeur de la Santé, Jérôme Salomon, interrogé sur le sujet.
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Une commission d'enquête sur les masques ?

La grande distribution, qui pourra vendre des masques à partir du 4 mai, « s'investit dans la distribution de masques grand public. [...] Ils ont aussi commandé des masques sanitaires, comme c'est autorisé en tenant compte des règles strictes de la réquisition qui, effectivement, s'appliquent. Ce sont de petits volumes », a-t-il ajouté. La sénatrice de Gironde Nathalie Delattre (Mouvement radical) a demandé la constitution d'une commission d'enquête sur le sujet, dans un courrier au président du Sénat, Gérard Larcher, et transmis à l'Agence France-Presse. Et le chef de file des Insoumis, Jean-Luc Mélenchon, s'est dit, vendredi, « écœuré » face au nombre de masques annoncés à la vente par la grande distribution.
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Mais il n’a rien fait, le mal est fait, puisqu’il n’a pas été capable de prévoir ce qui est arrivé tout comme ces prédécesseurs bien que de nombreux avant que ces corona virus sont passés sur notre pays dans les dernières décennies venant d’ailleurs de ces mêmes régions d’Asie auxquels on n’a rien fait pour les stopper, car le domaine de la santé ça coûte cher et ne rapporte pas aux pays de l’argent roi !

Donc prolongation de cette urgence sanitaire bien plus contraignante que l’état d’urgence pendant les attentats, prolongés jusqu’au 24 juillet donc fini les congés d’été, comme on les a connus et le tout assorti de mesures policières à tout va et brigades sanitaires diverses, gendarmes, police municipale ou mêmes bénévoles qui traqueront les soi-disant malades ou peut être les soupçonnés de l’être, comme des pestiférés dont ceux âgés seront la cible, comme au moyen-âge avec la lèpre ou la peste !

Et on se dit pays de la liberté et des droits de l’homme, on devrait avoir honte de notre état faillible et nos dirigeants qui nous gouvernent, j’ai honte, il ne restera plus que la délation, comme on n’a connu dans des périodes noires de guerres de notre histoire !

Je me croyais dans un pays libre comme d’autres français, là, le trop c’est trop on régresse avec un état policier qui veut tracer tout le monde, on est passé au stade de la démocrature sous prétexte de protection sanitaire et après si ce COVID 19 disparait ou aura pris le pli et on ne reviendra pas en arrière, çà convient trop à nos dirigeants que nous avons mis au pouvoir comme des idiots !

Pauvre France dite des lumières qui s'éteignent à cause d'incapables bornés kafkaïens, car le pire semble à venir !
Jdeclef 02/05/2020 18h32 LP

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