Prolongation
de l'état d'urgence : ce qu'il faut retenir (C’est que chaque jour, on n’en
rajoute une couche...!)
L'état
d'urgence sanitaire est prolongé jusqu'au 24 juillet. Certaines
modifications ont été apportées par le gouvernement.
Le Sénat doit examiner ensuite ce texte dès le lundi 4 mai, puis ce sera au tour de l'Assemblée nationale de s'exprimer, avec une adoption définitive dans le courant de la semaine. Le projet de loi indique que la mise en quarantaine et le placement à l'isolement, afin de lutter contre la propagation du virus, pourront intervenir « lors de l'arrivée sur le territoire national ». « Le gouvernement a fait le choix de la confiance et de la responsabilité, il n'a pas pris de dispositif législatif pour imposer l'isolement à quelqu'un qui le refuserait et qui serait malade sur le territoire national », a détaillé le ministre. Les Français sont néanmoins invités à rester vigilants. « Nous allons devoir livrer ensemble une course de fond. Je sais que des efforts colossaux ont déjà été demandés aux Français », qui se sont montrés « à la hauteur de ce qui semblait impossible il y a deux mois à peine », a encore estimé le ministre de la Santé, Olivier Véran.
L'état d'urgence était entré en vigueur le 24 mars et devait être levé le 23 mai. Une date « prématurée », d'après ce qu'indique ce projet de loi qui s'appuie sur le fait que « les risques de reprise épidémique » seraient « avérés en cas d'interruption soudaine des mesures en cours ».
Alors que le gouvernement a dévoilé les cartes de déconfinement progressif, Emmanuel Macron a prévenu encore vendredi, lors d'une réception à l'Élysée, que le 11 mai serait « une étape importante », mais pas le passage « à une vie normale ». En tête des préoccupations, la réouverture des écoles qui s'annonce très périlleuse. La « majorité des écoles » maternelles et primaires seront au rendez-vous du 11 mai, a affirmé Jean-Michel Blanquer au Figaro, avec un maximum de 15 enfants par classe. Mais certains édiles ne veulent pas en entendre parler.
Tests : et si le déconfinement n'avait pas lieu le 11 mai ?
Parents, profs, maires…, un retour à l'école qui inquiète
À Paris, la réouverture des écoles sera réservée, au moins dans un premier temps, « à un public prioritaire », c'est-à-dire aux enfants de certaines professions et aux élèves décrocheurs, a indiqué, vendredi, à l'Agence France-Presse l'adjoint de la mairie chargé de l'éducation. Pour accueillir des élèves, les écoles devront respecter un protocole sanitaire très strict, dont les grandes lignes ont été dévoilées jeudi : lavage répété de mains, jeux proscrits, désinfection du matériel, sens de circulation marqué au sol…
Le prix des masques plafonné
Autre source de tension en prévision du 11 mai : la
vente des masques, dont le port sera obligatoire dans les transports publics. À
dix jours du déconfinement, le gouvernement a décidé de plafonner le prix de
vente des masques chirurgicaux à 95 centimes l'unité, mais pas celui
des masques en tissu, en raison de la diversité des modèles et de leur
provenance. On trouve sur Internet des masques vendus 20 ou
30 euros pièce. Face au risque d'abus, la secrétaire d'État Agnès
Pannier-Runacher a promis des enquêtes de la DGCCRF « chaque semaine, avec
des relevés de prix, circuit de distribution par circuit de
distribution », pour garantir l'accès à des prix raisonnables.Le prix des masques chirurgicaux plafonné, pas celui des textiles
L'objectif est « qu'une offre abondante de masques lavables et réutilisables à filtration garantie soit mise à disposition du public à un coût de l'ordre de 20 à 30 centimes d'euros à l'usage », a précisé le ministère de l'Économie dans un communiqué. Face à l'abondance de l'offre après une période de rareté, les ordres des professions de santé se sont offusqués dans un texte cinglant du nombre « sidérant » de masques annoncés à la vente par la grande distribution. Celle-ci a répliqué qu'elle n'avait pas de « stocks cachés » et que les commandes n'allaient être livrées que « très progressivement ». « Il n'y avait pas de stocks de masques cachés en France », a également assuré vendredi soir le directeur de la Santé, Jérôme Salomon, interrogé sur le sujet.
Déconfinement : la course aux masques a commencé
Une commission d'enquête sur les masques ?
La grande distribution, qui pourra vendre des masques à partir du 4 mai,
« s'investit dans la distribution de masques grand public. [...] Ils ont
aussi commandé des masques sanitaires, comme c'est autorisé en tenant compte
des règles strictes de la réquisition qui, effectivement, s'appliquent. Ce sont
de petits volumes », a-t-il ajouté. La sénatrice de Gironde Nathalie
Delattre (Mouvement radical) a demandé la constitution d'une commission
d'enquête sur le sujet, dans un courrier au président du Sénat, Gérard Larcher,
et transmis à l'Agence France-Presse. Et le chef de file des Insoumis, Jean-Luc
Mélenchon, s'est dit, vendredi, « écœuré » face au nombre de masques
annoncés à la vente par la grande distribution.
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Mais il n’a
rien fait, le mal est fait, puisqu’il n’a pas été capable de prévoir ce qui est
arrivé tout comme ces prédécesseurs bien que de nombreux avant que ces corona
virus sont passés sur notre pays dans les dernières décennies venant d’ailleurs
de ces mêmes régions d’Asie auxquels on n’a rien fait pour les stopper, car le
domaine de la santé ça coûte cher et ne rapporte pas aux pays de l’argent
roi !
Donc prolongation
de cette urgence sanitaire bien plus contraignante que l’état d’urgence pendant
les attentats, prolongés jusqu’au 24 juillet donc fini les congés d’été, comme
on les a connus et le tout assorti de mesures policières à tout va et brigades
sanitaires diverses, gendarmes, police municipale ou mêmes bénévoles qui traqueront
les soi-disant malades ou peut être les soupçonnés de l’être, comme des pestiférés
dont ceux âgés seront la cible, comme au moyen-âge avec la lèpre ou la peste !
Et on se dit
pays de la liberté et des droits de l’homme, on devrait avoir honte de notre
état faillible et nos dirigeants qui nous gouvernent, j’ai honte, il ne restera
plus que la délation, comme on n’a connu dans des périodes noires de guerres de
notre histoire !
Je me
croyais dans un pays libre comme d’autres français, là, le trop c’est trop on régresse
avec un état policier qui veut tracer tout le monde, on est passé au stade de la démocrature
sous prétexte de protection sanitaire et après si ce COVID 19 disparait ou aura
pris le pli et on ne reviendra pas en arrière, çà convient trop à nos
dirigeants que nous avons mis au pouvoir comme des idiots !
Pauvre
France dite des lumières qui s'éteignent à cause d'incapables bornés kafkaïens,
car le pire semble à venir !
Jdeclef 02/05/2020
18h32 LP
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