mercredi 27 mai 2020

Ils faisaient partie de cette caste UMP/LR sarkoziste classe politique sclérosée de tous bords !


Condamnation des Balkany : c'est Dallas à Levallois-Perret

Les époux Balkany, condamnés en appel à 5 et 4 ans de prison, règlent depuis des semaines leurs comptes politiques à Levallois, en public et en famille !


À Levallois-Perret, les élections municipales ont pris un air de règlement de comptes filial et familial. Selon l'hebdomadaire Marianne, Agnès Pottier-Dumas aurait commis un crime de lèse-majesté en refusant aux époux Balkany un poste une fois élue. Une place à la direction de la communication de la mairie pour madame, une autre à la société d'aménagement de Levallois-Perret pour monsieur. Ils la soutiennent malgré tout pour le premier tour, qu'elle remporte avec 34,6 % des voix. Sans doute espèrent-ils alors qu'elle se ravise. Mais elle ne change pas d'avis. En avril, l'épidémie due au coronavirus éveille un espoir chez Patrick Balkany : une annulation des élections. Il change son fusil d'épaule. Il veut désormais faire battre celle qu'il considère comme une félonne en tentant de liguer contre elle ses adversaires. Parmi ceux-ci, Arnaud de Courson, rival de toujours de Balkany, que le maire prenait comme tête de Turc en conseil municipal.
On range les rancœurs au placard. Balkany invite même, dans son moulin de Giverny, Courson, ainsi que Maud Bergeon, la candidate LREM (qui refuse de s'y rendre) et Lies Messafta, un jeune candidat centriste. Le calcul de Balkany est arithmétique, à défaut d'être cohérent. C'est Isabelle Balkany qui, une fois encore, l'expose sur Facebook : « Il est clair que s'il y a un rassemblement des quatre autres candidats, cette liste représentera 70 % des votes des Levalloisiens au premier tour et quel que soit son leader, elle comprendra des élus de valeur qui feront d'excellents élus. »
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Agnès Pottier-Dumas ne mériterait d'ailleurs pas le fauteuil de maire, insiste Isabelle Balkany : « Sans aucune légitimité puisqu'elle n'est ni élue ni agent communal, ce qui pose problème pour son compte de campagne, elle a, depuis le début de la pandémie, été présente en permanence à la mairie, "pilotant" personnellement le maire intérimaire et, après une inertie sidérale et une absence totale de réponse aux questions et attentes des Levalloisiens, elle a pris des décisions incohérentes et absurdes, dépourvues de tout bon sens et pragmatisme, démontrant ainsi une incompétence évidente. »

Réponse cinglante À Levallois, le spectacle ne s'arrête jamais vraiment. L'affaire, déjà cocasse, prend un tour familial avec l'entrée en scène de la fille du couple Balkany, Vanessa, et du demi-frère de Patrick, Julien Balkany (ils ont le même père). Les deux ont le tort de suivre le premier avis familial, en se rangeant derrière Agnès Pottier-Dumas, et de s'y tenir. Écrivant sur les réseaux sociaux à la candidate, Vanessa Balkany dit ainsi : « Je suis de tout cœur et soutien total avec toi et avec toute ton équipe soudée et dynamique pour LEVALLOIS. »
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La réponse de sa mère, cinglante, est quasi immédiate : « Ma chérie, comme je suis contente de voir que tu as attendu 43 ans pour te préoccuper de Levallois, toi qui a (sic) toujours détesté cette ville, prétendant que notre amour pour les Levalloisiens nous aurait empêché (re-sic) d'être suffisamment attentifs avec vous ! Au point, de ne pas m'adresser la parole, pendant le confinement, à ma sortie de l'hôpital, mais de passer ton temps à hurler sur tes enfants ! Mais tu es ma fille et je te pardonne, même si je constate avec peine que mes "lutins" de Levallois m'offre (re-sic) davantage d'amour que toi ! Comme je suis navrée que tu te serves des réseaux sociaux pour étaler en public tes aigreurs et tes rancœurs ! Bisous. »

« Mon cher beau-frère » Julien Balkany en prend aussi pour son grade. L'homme d'affaires, qui s'est déjà présenté, sans succès, aux élections législatives à Levallois-Perret en 2012, publie à son tour un message de soutien à la candidate LR : « En cette période tourmentée, je réitère mon indéfectible soutien et mon amitié fidèle à Agnès qui fera un très bon maire et sera une élue exemplaire avec un engagement sans faille au service de ses administrés. »
Lui aussi a droit à la colère ironique d'Isabelle Balkany : « Mon cher beau-frère, comme nous sommes heureux d'avoir de tes nouvelles ! Il est vrai que ta vie entre New York, les Émirats et Londres ne t'a jamais donné l'occasion, depuis des mois, de mettre les pieds à Levallois et d'apprécier le travail d'une équipe ! Tu devrais savoir que la politique n'est pas simple, toi qui, aux législatives, as voulu représenter les Français des États-Unis et qui, malgré ta grande intelligence, a été laminé par les électeurs ! Penses-tu vraiment que ton frère prend des décisions sans raisons profondes et majeures ? Ce serait bien mal le connaître ! Bisous. » « Mamisa » a dû, ensuite, retourner à ses fleurs de Giverny, à ses « kids » et à ses « lutins ».



Ils ne sont pas à plaindre du tout, même si on leur rogne les dents ces BALKANY, ils continuent à mordre comme des rottweiler...

Ils sont quand même tombés, mais, çà été dur avec notre justice qui protège trop nos élus et les pires en plus de cette V eme république obsolète qui a montré ses limites!

Mais ce n’est pas fini, au suivant, inutile de le citer vous voyez qui ?!

Que la justice ne change pas de main, elle tient le bon bout pour redorer son blason !

Car les prévaricateurs divers, eux, ne sont pas au chômage et on a fait de la place dans les prisons, ça tombe bien et le pays a grand besoin d’argent, alors il faut le prendre dans la poche de ses profiteurs indélicats sans hésiter !

Jdeclef 27/05/2020 15h52

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