vendredi 31 juillet 2015

CELA CONSOLERA UN PEU LES FAMILLES DES VICTIMES ET PERMETTRA AUX MEDIAS DE FAIRE ENCORE DES HYPOTHÈSES ENTOURÉES DE PSEUDO SPÉCIALISTES DE L’AVIATION CIVILE SUR LES PLATEAUX TÉLÉ !

 
MONDE La pièce va être acheminée en métropole pour y être examinée par des experts du BEA...

VIDEO. Débris d'avion à la Réunion: Les indices convergent vers le vol MH370 disparu

Les enquêteurs tiennent-ils enfin un élément concret qui permettra de comprendre ce qui est arrivé au vol MH370 de Malaysia Airlines? Le fragment d'aile d'avion découvert sur une plage de la côte est de l'île de la Réunion, dans l'océan Indien, correspond à une pièce de Boeing 777 et pourrait bien provenir du vol disparu en 2014 avec 239 personnes à bord, selon des sources proches de l'enquête française.
Des experts ont déjà estimé, au vu de son apparence, qu'il pourrait s'agir d'un flaperon, un volet bordant les ailes d'avion, que les pilotes actionnent au décollage ou à l'atterrissage. Il va être acheminé vers un laboratoire d'analyse à Toulouse, experte dans les investigations techniques après des accidents d'avions, dépendant du ministère de la Défense. Sauf imprévu, il doit partir vendredi de la Réunion pour arriver samedi à Toulouse, et il sera expertisé «dans le courant de la semaine prochaine».
Dès jeudi matin, le Premier ministre malaisien, Najib Razak, avait jugé que des informations préliminaires» suggéraient «que le débris venait très probablement d'un Boeing 777. «Mais nous avons besoin de vérifier s'il vient du vol MH370», a-t-il dit.
Les responsables australiens des recherches se sont dits vendredi «de plus en plus convaincus que les débris sont ceux du MH370». «Il y a de grandes chances que le débris retrouvé à La Réunion soit bien un morceau du Boeing 777 de Malaysia Airlines», a pour sa part estimé Joël Sudre, un expert océanographe français.

L'appareil aurait pu dériver depuis l'Australie

La région a connu des crash aériens impliquant d'autres appareils mais aucun n'impliquant un Boeing 777. Le débris devrait être rapidement identifié car chaque pièce dans un avion est numérotée.
Découverte de débris à La Réunion: «J'ai vu un truc bizarre sur la rive»
Un hélicoptère de la gendarmerie française a survolé la zone dans la journée pour explorer le littoral et la surface de l'océan, sans repérer d'autres pièces. «La Réunion est très loin de la région où se sont déroulées les recherches mais est cohérente avec ce que nous savons sur les courants et les informations données par les satellites», a relevé Joël Sudre.
Selon lui, des débris de l'appareil ont pu dériver de l'ouest de l'Australie jusqu'à La Réunion au gré du Courant équatorial sud (SEC). Dans un tel scénario, des images satellite de ce courant maritime peu profond pourraient permettre de localiser «en quelques jours» la zone du crash.

L'anxiété des familles des disparus

L'annonce de la découverte du fragment d'aile, et d'un morceau de valise marron retrouvé au même endroit, a suscité une vive émotion parmi les proches des 239 disparus du vol, replongés dans une intense anxiété. «Tout a de nouveau recommencé, regarder constamment le téléphone portable dans l'attente de nouvelles», a déclaré Jacquita Gonzales, épouse du chef de cabine, Patrick Gomes.
«Nous ne voulons pas entendre de nouveau certains responsables dire qu'ils sont sûrs à 99%. Ce que nous voulons, c'est une confirmation à 100%», ont déclaré des proches de victimes chinoises, les plus nombreuses, sur la messagerie Wechat.
«J'espère qu'il va se confirmer qu'il s'agit bien du MH370. Je veux en finir avec ce mystère», a renchéri le Malaisien G. Subramanian, dont le fils était dans l'avion. Si le débris provient bien de l'avion, «notre deuil commence vraiment», a confié le Français Ghyslain Wattrelos, qui a perdu sa femme et deux de ses enfants.




BRAVO (LOL) MME TAUBIRA SUPPRIMER UN DÉLIT DE DÉFAUT DE PERMIS EN POMPE À FRIC PAR UNE AMENDE CELA NE VA PAS DIMINUER LE NOMBRE DE CEUX QUI N’EN ONT PAS !

Société

REACTION Un texte est présenté par la ministre ce vendredi en conseil des ministres...

Simple amende pour défaut de permis: Taubira prête à renoncer si «la société» n'y est pas favorable

La ministre de la Justice Christiane Taubira s'est dite vendredi prête à revenir sur son projet de ne plus considérer la conduite sans permis comme un délit mais comme une simple contravention si «la société» n'y est pas favorable.
«S'il n'y a pas d'acceptabilité dans la société, nous en tirerons tous les enseignements», a déclaré la garde des Sceaux sur France Inter. L'annonce de ce texte, qui doit être présenté ce vendredi en conseil des ministres dans le cadre du projet de loi sur la justice du XXIe siècle a provoqué jeudi un tollé unanime des associations de sécurité routière.

«Sanction rapide et plus systématique»

Actuellement, le fait de rouler sans permis vous envoie devant le juge, et est puni d’un an d’emprisonnement et 15.000 euros d’amende. Selon ce projet de loi, le conducteur sans permis ou sans assurance s’acquittera d’une amende de 500 euros (minorée à 400 euros en cas de paiement dans les 15 jours, et majorée à 750 euros au-delà de 45 jours), précise jeudi La Croix.
En cas de récidive, ou s’il y a des circonstances aggravantes, le conducteur continuera à passer devant le juge et sa peine pourra être doublée par rapport à la législation actuelle.
Le ministère de la Justice justifie notamment ce texte par « une sanction plus rapide et plus systématique » et une « répression automatique ». 









jeudi 30 juillet 2015

DANS TOUTES LES GRANDES GUERRES DANS LE MONDE IL Y A EU DES VOLONTAIRES ISSUS D’AUTRES PAYS QUE CEUX DES BELLIGÉRANTS QUI VENAIENT COMBATTRE POUR DÉFENDRE UNE CAUSE JUSTE !

Société

TERRORISME Ils sont chrétiens ou athées, et ils veulent prendre les armes contre les djihadistes du groupe Etat Islamique. Ces ex-militaires ou simples citoyens français sont « recrutés » par « Dwekh Nawsha », une milice qui défend les chrétiens d'Orient. Explications...

Qui se cache derrière «Dwekh Nawsha», la milice qui va envoyer des Français combattre Daesh

Qui sont les « Dwekh Nawsha » ? Ces « futurs martyrs » (en araméen) forment une organisation en pleine expansion, lancée mi-mai 2014 en Irak, qui a compté dans ses rangs des vétérans américains et britainniques, dès l'été. Son objectif: défendre les chrétiens. En France, le groupe est né au lendemain des attentats de janvier. Depuis, plusieurs pages se sont créées sur Facebook.

Une branche créée en avril en France

Le site internet de la seule milice française « Dwekh Nawsha » apparue sur Facebook en avril assure : « De plus en plus de Français se renseignent sur les moyens de se rendre en Syrie et surtout en Irak combattre les extrémistes, notamment les miliciens ultraradicaux du groupe Etat islamique ». Une « antenne » a été créée pour la Belgique, ce mois de juillet. De même que « des représentations en Suisse et aux Antilles » se mettaient en place, en même temps. « Notre groupe a été initié de manière informelle et non officielle voici quatre mois environ, confirme Ian, l’un des responsables de la milice. Notre groupe compte le plus grand nombre de membres [1.772 au 28 juillet] et le moins de jeunes, que nous soupçonnons d’être des concurrents impatients de vouloir casser de l’islamiste. »

Des volontaires non rémunérés, pas des mercenaires

L’homme appelle en numéro masqué et ne fournit que des noms de code. Ian ne dira rien de la logistique ni du parcours géographique que vont emprunter les 50 « soldats » déjà opérationnels pour septembre. Par précaution. En effet, le sujet est très sérieux, car si d’aventure l’un des sympathisants se qualifiait de mercenaire, il, ainsi que les responsables du groupe, pourraient être poursuivis en justice. C'est pourquoi Ian affirme que les futurs soldats sont des volontaires non rémunérés. Mais la campagne de recrutement a payé. « Un groupe d’une quinzaine d’éclaireurs seront en tête de pont. Ce sont principalement des anciens de l’armée, âgés de 25 à 45 ans. Nos contacts avec les Assyro-Chaldéens [les chrétiens d’Irak] sont réguliers et se passent bien. Vous savez, pour l’instant, ils restent assez méfiants vis-à-vis des Français, qu’ils considèrent être plus proches des djihadistes… »

Des réservistes triés sur le volet, au budget minimal de 2.500 dollars

Cette « force d’appoint symbolique viendrait épauler les peshmergas (combattants) kurdes et serait stationnée non loin d’Erbil, la capitale du Kurdistan irakien », précise le site. Mais il ne suffit pas de vouloir pour être sélectionné, via un questionnaire à remplir en ligne. En effet, le groupe a des exigences. Ian explique également que le dossier de quelque 200 réservistes « est actuellement à l’étude. Les profils sont sérieux : nous recherchons d’abord la motivation, la maturité, des personnes avec un casier judiciaire vierge et… si cette personne est un ex-militaire, c’est encore mieux », reconnaît l’interlocuteur qui veut éviter toute « infiltration » d'imposteurs. D’où le recrutement de ces « triés sur le volet » ainsi que l’engagement moral et surtout financier qui leur est demandé : au moins 2.500 dollars pour s'équiper et vivre sur place. Le but étant de jauger si le volontaire souhaite simplement passer « des vacances à risques, en vivant sur le dos de populations qui n’ont déjà plus rien… Il faut un minimum d’argent pour vivre là-bas : abonnements internet, achat de munitions… Il faut de 2.500 à 3.000 dollars. Concernant les armes, évidemment, ce n’est pas en France que nous nous les procurons, c’est clair et net », affirme Ian. Une cagnotte a été créée pour l’occasion et des appels aux dons ont été lancés pour financer l'opération.

Des imposteurs, des dissidents

Une initiative qui ne passe pas très bien chez certains... qui se revendiquent également comme des Dwekh Nawsha France « Officiel ». Sur cette interface, un inconnu répond dans la messagerie privée : « Nous, sommes les vrais Dwekh Nawsha. Ne lisez pas l’autre compte, où un imposteur demande jusqu’à 3.000 dollars aux futurs combattants pour s’armer. Il ne faut rien, pour venir ici ». Au terme d’un long tchat,  découvrira que ce Français se trouve à Kobané en Syrie avec cinq autres compatriotes. La page en question a été supprimée deux jours après la conversation, sans plus d'explication.
Le Dwekh Nawsha (« futurs martyrs » en araméen) est une organisation militaire créé à la mi-2014 afin de défendre les communautés chrétiennes ; assyriennes et chaldéennes d'Irak et pour reprendre leurs terres actuellement contrôlées par l'État islamique.
Contrairement au NPU le Dwekh Nawsha est indépendant du Gouvernement régional du Kurdistan et des peshmergas, ils opèrent en coordination avec eux.






LA CENSURE UNE MÉTHODE UTILISÉE PAR DE PETITS ESPRITS ÉTRIQUÉS QUI NE SERT PLUS À NOTRE ÉPOQUE D’INFORMATIONS ÉCLAIR TOUT AZIMUT !

TÉLÉVISION Selon Mediapart, il aurait passé un coup de fil pour faire déprogrammer le documentaire initialement prévu le 18 mai dans « Spécial Investigation »…

Bolloré aurait fait censurer une enquête sur le Crédit mutuel sur Canal+

Vincent Bolloré, patron de Vivendi, aurait personnellement fait censurer, d’un coup de fil, une enquête sur le Crédit mutuel, banque dont il est proche, qui devait être diffusée en mai sur Canal +, filiale de Vivendi, rapporte Mediapart ce mercredi.

« Nombreux liens d’intérêt » avec le Crédit Mutuel

Initialement programmé le 18 mai dans Spécial Investigation, « ce film contient plusieurs révélations embarrassantes » pour le Crédit mutuel, banque avec laquelle Vivendi a de « nombreux liens d’intérêt », écrit Mediapart, partenaire de l’enquête.
Selon Mediapart, Vincent Bolloré a appelé le directeur général de Canal + d’alors, Rodolphe Belmer (évincé depuis), pour « faire valoir ses liens d’amitié avec Michel Lucas, le patron du Crédit mutuel » et la décision a été prise de ne pas diffuser le film. Au même moment, Vivendi annonçait (le 12 mai) le lancement d’une OPA amicale pour prendre le contrôle total de Canal +, opération copilotée et garantie par le Crédit mutuel, via sa filiale CM-CIC Securities.

« Aucune négociation n’a été possible »

Cité par Mediapart, Jean-Pierre Canet, rédacteur en chef du documentaire et membre de la société de production KM Prod, a dénoncé cette censure.
« En quinze ans, je n’avais encore jamais vécu une censure aussi franche et brutale », a-t-il déclaré. « Aucune concertation ni aucune négociation n’a été possible avec la direction ou l’actionnaire principal de Canal + », poursuit-il. Interrogés, ni le porte-parole de Vincent Bolloré, ni Vivendi, ni également le Crédit mutuel n’ont fait de commentaires.
L’enquête, intitulée Évasion fiscale, une affaire française, portait sur le Crédit mutuel, soupçonné à l’instar de ses consoeurs étrangères UBS ou HSBC d’avoir organisé un vaste système d’évasion fiscale via ses filiales suisse et monégasque. Une enquête judiciaire pour soupçons de fraude fiscale a été ouverte fin 2014 contre le groupe bancaire français, par ailleurs propriétaire de nombreux quotidiens régionaux (Le Progrès, Le Dauphiné libéré, L’Est républicain…), rappelle Mediapart.




UN FAIT DIVERS SIMPLE QUI SEMBLE CE COMPLIQUER AU FIL D’INFORMATIONS NÉBULEUSES ET UNE JUSTICE SEMBLANT DÉPASSÉE ?

Société

JUSTICE Le jeune homme aurait incité le conducteur de la voiture à forcer un cordon de sécurité alors que le Tour de France arrivait quelques heures plus tard…

Barrage forcé à la Concorde: Karim D., 30 ans, était déjà connu pour des délits routiers

Le parquet a demandé à un juge parisien de mettre en examen ce mercredi soir Karim D., 30 ans, soupçonné d’avoir été le passager d’une voiture qui a forcé un cordon de sécurité près de la place de la Concorde le week-end dernier à Paris, a appris 20 Minutes de source judiciaire. Il était connu des services de police pour dix faits inscrits à son casier judiciaire, dont certains, selon nos informations, concernent de précédents délits routiers.
Dans ses réquisitions, le ministère public a recommandé de poursuivre cet homme originaire des Yvelines pour complicité de tentative d’homicide volontaire sur dépositaire de l’autorité publique. Le procureur de la République a requis son placement sous écrou.

Le mineur relâché

Quatre individus étaient en garde à vue depuis lundi dans cette affaire. Un autre jeune homme de 16 ans qui s’était présenté comme le conducteur du véhicule a été relâché sans faire l’objet de poursuites. « Il a raconté qu’il s’était constitué prisonnier à la demande d’un tiers. Ce dernier lui aurait proposé de l’argent en échange de déclarations auprès de la police selon lesquelles il était le conducteur de la voiture. Il n’a donné aucun nom de commanditaire », raconte une source judiciaire.
« Personne, ni les policiers, ni les témoins qui étaient sur place n’ont reconnu cet homme », poursuit-elle. Ce jeune homme de 16 ans, né en Turquie, était selon nos informations lui aussi originaire des Yvelines, précisément de Mantes-la-Jolie.

Deux frères interpellés

Les deux autres individus placés en garde à vue étaient deux frères, l’un présenté comme l’utilisateur du véhicule, l’autre comme le réel propriétaire du certificat d’immatriculation du véhicule. « Ils n’ont rien à voir avec l’affaire », souligne notre source. Tous deux ont été relâchés.
Une cinquième personne, une femme, a été entendue par les policiers. Cette dernière, qui se serait trouvée à l’intérieur du véhicule, avait été opérée dans la nuit de dimanche à lundi au thorax, sans doute blessée par des tirs des policiers. Cette dernière, qui « n’a rien dit aux policiers », a été laissée » libre.

« Vas-y fonce ! »

Les policiers soupçonnent Karim D. d’avoir incité le conducteur à foncer sur le barrage de police. L’un d’entre eux présents sur place, l’a entendu crier : « Vas-y fonce ! ». Dimanche matin, vers 8h, une voiture avait percuté un autre véhicule avant de prendre la fuite pour éviter un contrôle. Des policiers déployés pour l’arrivée du Tour de France avaient tiré sur le véhicule.
L’Inspection générale de la police nationale (IGPN), la « police des polices » a été saisie, comme c’est systématiquement le cas lorsque des policiers font usage de leur arme. L’enquête judiciaire, elle, a été confiée au 1er district de police judiciaire (DPJ). Un temps, les enquêteurs ont pensé qu’il pouvait y avoir un lien avec l’arrivée du Tour de France, avant de reconsidérer l’affaire comme un banal délit de fuite.






QUE M.LE PEN OUBLIE SON PÈRE DANS SON BUREAU ET FERME LA PORTE, COMME, ON MET CERTAINS CADRES AU PLACARD DANS DES STES, CAR PRÉSIDENT D’HONNEUR TITRE RONFLANT SANS POUVOIR C’EST BIDON !

Politique

FRONT NATIONAL Ce vote a été rendu public ce mercredi alors que la justice a confirmé son invalidité la veille...

FN: 94% des adhérents approuvent la suppression de la présidence d'honneur de Jean-Marie Le Pen

Le score est sans appel. 94 % des adhérents du Front national ont approuvé les nouveaux statuts de leur parti, qui suppriment la présidence d’honneur. Les résultats de ce vote postal, clos le 10 juillet, a été rendu public ce mercredi par le FN, au lendemain de la confirmation par la justice de son invalidité.
Pourquoi le FN ne devrait pas décider d'organiser un nouveau congrès pour exclure Jean-Marie Le Pen
« Jean-Marie Le Pen perd aujourd’hui devant ce choix incontestable fait par le peuple du Front national toute légitimité politique à rester président d’honneur. S’acharner à se maintenir, via des artifices juridiques, face à une réalité aussi implacable, n’est ni respectable ni raisonnable ; c’est l’essence et l’honneur d’un démocrate que de s’incliner, quel que soit son statut, devant la volonté populaire », affirme le parti dans un communiqué.

Jean Marie Le Pen dénonce une « publication hors la loi»

Le fondateur du FN, qui avait appelé à l’abstention, a quant à lui dénoncé sur son blog une « publication hors la loi et une opération de communication politicienne au pire sens du terme ». Jean-Marie Le Pen s’est aussi exprimé via Twitter en écrivant, en latin : « Quand Jupiter veut perdre un homme, il lui ôte la raison ».
 

Le parti présidé par Marine Le Pen estime que « si les récentes décisions de justice rendues en référé privent temporairement ce vote de portée juridique, la consultation en elle-même, incontestable, effectuée sous contrôle d’un huissier et d’un expert judiciaire, garde cependant une valeur et une autorité politiques sans appel ».
Ces 94,08 % représentent 26.717 voix sur les 28.399 exprimées, et 28.664 votants, « soit une majorité absolue sur les 51.552 membres du corps électoral », précise le Front national.
Selon le FN, ces résultats donnent « une indéniable légitimité aux décisions politiques et disciplinaires que les instances dirigeantes du FN ont prises et prendront dans les prochaines semaines. Ce vote massif révèle le très haut niveau de confiance porté par les adhérents à la direction du Front national ». Ce que Florian Philippot, vice-président du parti résume en 120 signes :






mercredi 29 juillet 2015

CE « MINABLE » COMME AVAIT DIT UN EX 1ER MINISTRE, IL FERAIT MIEUX DE RESTER À SA PLACE (MÊME S’IL NE SAIT PLUS OÙ ELLE SE TROUVE ?!)

Monde

CINEMA Cette décision pourrait avoir été motivée par des déclarations pro-russes de l'acteur...

Depardieu interdit d'entrée en Ukraine pour cinq ans

L’acteur français Gérard Depardieu est interdit d’entrée en Ukraine, après avoir déclaré que le pays faisait « partie de la Russie », a annoncé mardi le service de sécurité ukrainien, le SBU.
Gérard Depardieu apprend à faucher les foins avec Loukachenko, dirigeant autoritaire du Bélarus
Devenu citoyen russe il y a plus de deux ans sur ordre du président russe Vladimir Poutine, Gérard Depardieu est interdit d’entrée en Ukraine « pour cinq ans sur demande du ministère ukrainien de la Culture », a expliqué la porte-parole du SBU, Olena Guitlianska.
Bien que la porte-parole n’a pas donné davantage de précisions, plusieurs médias estimaient mardi que la demande du ministère ukrainien a pu être motivée par certaines déclarations prorusses de l’acteur.

«J'aime la Russie»

En août 2014, alors que des combats entre séparatistes prorusses et soldats ukrainiens faisaient rage dans l’est de l’Ukraine, Gérard Depardieu avait ainsi remis en cause la souveraineté de l’Ukraine, déclarant : « J’aime la Russie et l’Ukraine, qui fait partie de la Russie ».
Depardieu veut tourner un film sur la Tchétchénie de son «ami» Kadyrov
L'acteur français avait également pris la défense de la Russie en septembre 2014, se déclarant « très fier » de la Serbie qui avait refusé de s’associer aux sanctions européennes prises contre Moscou pour son rôle dans le conflit ukrainien.

«Je n'aime pas la guerre»

Interrogé en mai à Cannes, sur la situation en Ukraine, l’acteur français avait cependant déclaré ne rien comprendre à la situation ukrainienne. « Je n’aime pas la guerre, je n’aime pas les conflits, car ça fait des morts », avait-il dit.
Les relations entre l’Ukraine et la Russie sont au plus bas après l’annexion par Moscou de la péninsule ukrainienne de Crimée en mars 2014, suivie par la rébellion prorusse dans l’est de l’Ukraine que Kiev et les Occidentaux accusent le Kremlin de soutenir.
Ce conflit a fait plus de 6.500 morts en quinze mois.


NON CONTENT DE DEVOIR PROTÉGER CE ROI ENVAHISSANT, IL IMPOSE SES DIRECTIVES OU DÉSIRS DE MONARQUE MOYENÂGEUX DANS UNE RÉPUBLIQUE LAÏQUE LIBRE ET DÉMOCRATIQUE !?

Nice
POLEMIQUE Le dignitaire saoudien aurait fait passer des consignes aux autorités françaises...

Vallauris: Deux policières écartées de la plage du roi d'Arabie Saoudite

Pas de femme assurant la sécurité sur sa plage. Le roi Salmane d’Arabie Saoudite aurait demandé, par le biais d’un émissaire, qu’une femme CRS chargée de la surveillance soit éloignée de la plage. « A la prise de service, la consigne a été passée de ne pas mettre de femmes sur la plage », explique Sylvain Martinache, délégué Unsa-CRS pour la zone Sud, confirmant une information de Marianne.
En tout, trois « points » de sécurité mobilisent environ 40 CRS qui se relaient 24h/24. La femme CRS a donc été déplacée sur les deux autres postes en amont de la villa du roi, notamment à l’entrée, en bordure de la nationale et sur un passage piéton menant à la plage. Selon nos informations, une autre policière, celle-ci issue du commissariat de Vallauris, a elle aussi été écartée du dispositif de sécurisation de la plage, le commissaire de la ville préférant prendre les devants.

Surveillance de la villa

La recrue féminine des CRS appartient à la compagnie de CRS n°3. « C’est surprenant car nous n’avons eu aucune explication. Est-ce parce que le roi ou ses invités ne veulent pas voir de femmes assurant leur sécurité ? Est-ce parce qu’ils veulent se baigner à l’abri des regards des femmes ? », questionne Sylvain Martinache.
« C’est assez choquant. Mais c’est de la diplomatie. Il y a tous les soirs près d’un millier de personnes dans cette villa. Ça fait vivre l’économie locale », conclut-il.

Démenti du DDSP

Selon Marianne, c'est un émissaire du roi qui a spécifiquement demandé à la policière en question de ne plus surveiller la plage. Cette version a été démentie auprès de l'AFP par le directeur départemental de la sécurité publique des Alpes-Maritimes Marcel Authier. «La famille royale ou son entourage n'a jamais demandé à ce que soit écarté du dispositif un personnel féminin. Des femmes policières sont régulièrement envoyées sur ce dispositif, sans aucune remarque de la famille royale ou de son entourage. J'ai demandé à ce que le dispositif soit reculé lorsque le roi et sa famille viennent se baigner, pour protéger leur intimité», a assuré Marcel Authier.







mardi 28 juillet 2015

LE COTÉ PERVERS DE LA TÉLÉRÉALITÉ POUBELLE POUR FAIRE DE L’AUDIMAT ET DE L’ARGENT EN AUSTRALIE !

Télévision

TÉLÉRÉALITÉ Un programme australien a emmené ses candidats en Syrie où ils ont été pris sous le feu des djihadistes du groupe Etat islamique...

VIDEO. Les candidats d’une émission de téléréalité face à Daesh

Jusqu'où iront les producteurs d'émissions de téléréalité? Des gens ordinaires, des caméras, et une zone de conflit. Un programme australien a emmené ses candidats en Syrie où ils ont été pris sous le feu des djihadistes du groupe Etat islamique (EI).

«Escortée sous protection jusqu'aux lignes de front syriennes»

La chaîne publique SBS devait diffuser mardi soir le premier de trois volets de l'émission Go Back to Where You Came From («Retourne d'où tu viens») qui consiste à suivre des «Australiens ordinaires» dans des camps de réfugiés en Syrie, en Irak ou en Birmanie.
L'équipe de tournage a été «escortée sous protection jusqu'aux lignes de front syriennes par des combattants kurdes défendant un village menacé par l'EI (...) et s'est retrouvée sous le feu d'insurgés de l'EI situés non loin», a expliqué SBS dans un communiqué.

«Bon, ce sont des tirs. Baissez-vous, d'accord ?»

La bande-annonce de l'émission montre trois des six participants, encadrés par des hommes armés et munis de gilets pare-balles, courant, tête baissée, se réfugier derrière des bâtiments tandis que résonnent des tirs de mortier.
«Bon, ce sont des tirs. Baissez-vous, d'accord ?», conseille en anglais un guide invisible à l'écran. «Baissez-vous, très bas. Accroupissez-vous derrière ce mur. On ne veut pas qu'ils détectent notre présence. Ils sont juste en face de nous».
Vivement critiquée par des experts militaires selon qui SBS a mis ses employés et les participants en danger, la chaîne a affirmé avoir pris un maximum de précautions.
La sécurité des techniciens et des candidats est «primordiale» et les participants étaient accompagnés par une agence privée de sécurité, a assuré SBS alors qu'aucune des personnes apparaissant sur la vidéo ne porte de casque.
«L'équipe de sécurité armée était préparée pour un incident de cette nature et a rapidement réagi pour mettre les participants et l'équipe de tournage en sécurité», a-t-elle insisté.

Faire découvrir le quotidien des civils dans la guerre 

 
L'émission a déjà été tournée en Afghanistan, en Somalie et en Indonésie.L'idée, selon ses créateurs, est de faire découvrir aux Australiens le quotidien des civils dans la guerre dont des milliers tentent chaque année de gagner des pays en paix, en Europe mais aussi en Australie. Or l'accueil de réfugiés dans ce pays fait débat depuis des années.
En échange d'un relèvement du quota d'arrivants légaux, le gouvernement conservateur a décidé de refouler tous les migrants arrivant par la mer depuis l'Indonésie: ils sont systématiquement envoyés dans des centres de rétention sur des territoires isolés du Pacifique en attendant le traitement de leur demande d'asile.
Pour son épisode syrien, SBS a choisi deux personnalités emblématiques de ce débat: d'un côté Nicole, une jeune femme pro-immigration qui a travaillé dans un centre de rétention, de l'autre Kim, qui milite pour l'immigration zéro.
Le troisième candidat, Andrew, enseignant d'école primaire, est lui aussi partisan du service minimum en matière d'accueil des étrangers.