jeudi 30 avril 2020

Je ne suis pas le dernier à critiquer le gouvernement sur ces erreurs ou laxisme ou manquements divers passés ou présent !


Respirateurs : la CGT parle de « scandale d'État »

« Le Point » a révélé l'achat par l'État de 8 500 respirateurs inadaptés pour lutter contre le Covid-19. La CGT ne veut pas en rester là et demande des comptes.

Voici une communication inédite de la part de la CGT : quatre de ses syndicats d'entreprises ont pris la plume, mardi 28 avril, pour dénoncer « le scandale d'État des respirateurs médicaux produits par le consortium Air Liquide, PSA, Schneider Electric et Valeo ». Leur communication fait suite aux révélations du Point et à celles de nos confrères de Radio France. Dans une longue enquête, nous expliquions que, sur les 10 000 respirateurs commandés par l'État, dans le cadre de la crise sanitaire actuelle, 8 500 étaient inadaptés. Il s'agit de modèles de type Osiris, qui sont, d'après le catalogue d'Air Liquide qui commercialise ces produits, des « ventilateurs de transport légers et simples d'utilisation », dont les domaines d'application sont « l'urgence, le transport, le réveil postopératoire ».
À quoi servent les respirateurs achetés par l'État ?



En temps normal, les Osiris sont plutôt utilisés par les ambulanciers, des Samu en intervention. Techniquement trop frustes, limités dans leurs capacités de réglage, dotés d'un seul tube pour l'inspiration et l'expiration quand les appareils de catégories supérieures disposent de deux circuits différents, exigeant une vigilance continue, puisqu'une valve peut facilement se boucher, les Osiris peuvent même être délétères pour les patients Covid+ atteints d'un syndrome de détresse respiratoire aiguë.
Le gouvernement réagit à l'enquête du Point



Sécuriser notre position
Les syndicats CGT d'Air Liquide, PSA, Schneider Electric et Valeo expliquent avoir pris langue avec leurs collègues de la CGT-Santé, avant de prendre officiellement position sur ce sujet. « Comme le confirment les témoignages de nombreux médecins et personnels de la CGT-Santé, ces respirateurs ne sont d'aucune utilité en réanimation hospitalière », insiste la CGT. L'organisation syndicale va plus loin. « En laissant croire que la fabrication de ces respirateurs était essentielle et stratégique, l'État et ses complices industriels ont délibérément organisé le hold-up de l'argent public dont les otages sont les travailleurs, les soignants, les malades et l'ensemble de la population. »
Comme nous l'avons raconté dans notre enquête, c'est fin mars que le gouvernement a noué ce partenariat industriel, à grand renfort de communication. Réagissant aux révélations du Point et de Radio France, il avait publié un communiqué de presse, tentant une justification : « Cela permet de sécuriser notre position, de renouveler et d'augmenter le stock stratégique de respirateurs d'urgence et d'envisager demain de mobiliser un certain nombre de respirateurs au profit des partenaires de la France à l'international. »

Production en cours

D'après un grossiste en fournitures médicales, contacté par Le Point, un respirateur bas de gamme coûte, en temps normal, 1 600 euros. Un directeur d'hôpital de l'Ouest nous précisait : « Si je souhaite me procurer un Osiris 3, plutôt destiné à une salle de surveillance post-interventionnelle, il m'en coûtera 7 000 euros. » Ce prix inclut les marges d'Air Liquide et des intermédiaires, qui ne devraient pas avoir cours dans le contrat présent passé par l'État.
« Des comptes doivent être rendus ! Les travailleurs engagés dans la production face à l'épidémie, sans compter leurs heures ni leurs efforts, sont aujourd'hui floués. Force est de constater que, même en pareille situation, il ne faut jamais croire aux sirènes et belles intentions du capitalisme, qui n'a d'autre projet que de trahir la confiance de ceux qui les écoutent », écrit encore la CGT. Pour l'heure, la production de ces respirateurs est en cours.

Mais que cette CGT syndicat le plus mauvais qui puisse exister en France fasse la leçon, et qui ne fait que de la mauvaise politique politicienne là, le trop c’est trop et n’apporte rien aux solutions à mettre pour lutter contre ce Covid19 et soigner au mieux les malades !

Que les leaders cégétistes et autres se cantonnent à gérer leurs syndicats, ce qu’ils font si mal, et arrêtent de semer la zizanie en essayant de faire tomber le gouvernement qui serait vite remplacé par d’autres tout aussi médiocres (mais pas le Covid 19, toujours bien présent) que tous ses aboyeurs de foire n’arrivent pas à éradiquer en priant qu’il s’évapore comme par miracle ?!

Il y a déjà beaucoup trop de personnages qui pour se faire entendre et mousser inutilement, qui disent tout et le contraire !

Pauvre France qui traine des boulets élus ou non de tous poils qui soule, le bon peuple gogos !

Jdeclef 30/04/2020 14h11LP

La voiture reine qui a perdu sa couronne à cause d'un virus et cela ne va peut-être pas s'améliorer pour les français lambda ?!

La voiture redevient une alternative face aux transports en commun (la pire des choses qui peut arriver) suite !

ENTRETIEN. Crainte de prendre le RER, covoiturage, « annus horribilis » pour le marché auto, déprime des loueurs… 
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On continuera à se déplacer, mais avec des boulets gouvernementaux aux pieds !

La société du chacun pour soi est déjà sinistre, car de moins en moins de personnes ne respectent les autres, ouvrez les yeux dans simplement la vie courante et le quotidien de cette crise qui nous met en face de nos responsabilités, personnellement ma vie est derrière moi qui en est tant vu et subit depuis que cette V eme république existe avec maintenant nos dirigeants bienpensant donneurs de leçons qui n'ont pas été capables de prévoir et gérer correctement notre pays « qui courent après leurs queues comme des chiens perdus » mais attention, c'est de notre faute, car nous les élisons et votons toujours si mal en faisant de mauvais choix, alors il ne faut pas se plaindre après !

jdeclef 30/04/2020 13h16

Et ceux qui ne conduisent pas, sont trop vieux, handicapés ou simplement libres de marcher ou de vivre comme ils veulent qu'en fait-on ?!


La voiture redevient une alternative face aux transports en commun

ENTRETIEN. Crainte de prendre le RER, covoiturage, « annus horribilis » pour le marché auto, déprime des loueurs… L'analyse de l'économiste Bernard Jullien.

On croyait la voiture condamnée à disparaître peu à peu. Et voilà que l'épidémie de coronavirus, quelques mois après le mouvement des Gilets jaunes, vient nous rappeler à quel point la « bagnole » reste un élément essentiel, un symbole de liberté. Cela signifie-t-il pour autant que tout le monde se précipitera dans les concessions lors du déconfinement, le 11 mai prochain ? Pas sûr, explique au Point l'un des plus grands spécialistes français de l'industrie automobile, Bernard Jullien, maître de conférences à l'université de Bordeaux, spécialisé en économie industrielle. Entretien.

Le Point : Avec la crise du coronavirus, va-t-on assister à la revanche de la voiture individuelle ?


Bernard Jullien, maître de conférences à l'université de Bordeaux. © DR

Bernard Jullien : Dans les mois qui viennent, tout le monde se méfiera des transports en commun. Cela risque de conférer une prime aux transports individuels, comme l'automobile. La voiture est un choix de liberté. Cependant, il faudra voir si les comportements sont transitoires ou résilients. Dans les zones denses, avec des transports en commun surchargés qui posent un problème sanitaire, il y aura un transfert vers l'automobile dans un premier temps. Mais si le déconfinement est total, l'expérience voiture risque rapidement de devenir défavorable, avec une congestion accrue. Les métropoles ont promu les transports en commun et créé un environnement défavorable à l'automobile, en organisant la congestion et en renchérissant le coût de parking. Je pense qu'aucune autorité territoriale n'aura la volonté de rendre la vie plus facile aux automobilistes.


Toyota : « Le made in France reprend des couleurs »
Si madame ou monsieur ne prend plus le RER, cela profitera d'abord aux voitures d'occasion


Les Français s'empresseront-ils d'acheter une voiture neuve à la fin du confinement ?
Pas sûr. La part de leur budget consacrée à l'achat d'une automobile n'a cessé de décroître depuis 30 ans, de 5 % à 2 %. Cela signifie que, même s'il y avait une appétence accrue vers l'automobile, il n'est pas garanti que cela constitue un débouché pour l'industrie. Car, tout simplement, les ménages s'équipent 5 fois sur 6 via des véhicules d'occasion. Grosso modo, seuls les vieux et les riches achètent des voitures neuves. Concrètement, si madame ou monsieur ne va plus prendre le RER, cela devrait profiter plus au marché de l'occasion qu'au marché du neuf.
Pour avoir une bonne vision du marché automobile, il faut aussi regarder du côté des entreprises et des loueurs. Les sociétés, avec des comptes détériorés, ne se précipiteront pas pour renouveler leur flotte. Ni en véhicule particulier ni en véhicule utilitaire. Les loueurs qui travaillent pour les entreprises vont recevoir des appels téléphoniques des directions financières de sociétés pour passer les contrats avec option d'achat de 36 mois à 48 ou 60 mois. Enfin, pour la location courte durée, les Avis, Hertz, etc., qui sont complètement dépendants du trafic dans les aéroports et les gares, cela s'annonce compliqué, avec un redémarrage progressif. Il n'y a donc pas de raisons de voir la demande automobile se tenir sur l'exercice en cours.

Coronavirus : « L'Argus » confine sa cote des véhicules d'occasion
Si la chute du PIB français est de 10 % cette année, elle atteindra 40 % pour l'automobile
À combien chiffrez-vous la chute du marché français cette année ?

La méthode Coué consiste à penser qu'il suffirait de redémarrer les usines et rouvrir les concessions pour que les gens se précipitent afin d'acheter des voitures. Dans ce « scénario de la parenthèse », on rêve de retrouver dès septembre les niveaux de 2019. Il y en a un autre plus plausible, pour nous, les économistes, qui regardons les grands mouvements du passé. À chaque récession, une chute d'un point du PIB s'accompagne d'une baisse de trois à quatre fois plus des immatriculations automobiles. Pour la France, si la chute du PIB est de 10 % cette année, elle atteindrait donc 40 % pour l'automobile. La chute serait du même ordre dans les autres grands pays européens. Pour les véhicules particuliers dans l'Europe des 15, cet annus horribilis signifierait une baisse de 5 millions de voitures.
C'est plus facile de monter en voiture avec 3 personnes dont on peut s'assurer du carnet de santé qu'avec 500 inconnus dans un train
Quid du covoiturage. Peut-il encore se développer ?
Le fait que les gens n'aient pas très envie de se précipiter dans des RER bondés peut donner un coup de fouet à ces pratiques. C'est moins problématique de monter en voiture avec 3 personnes dont on peut s'assurer du carnet de santé qu'avec 500 inconnus dans un train. Il peut donc y avoir un effet covoiturage sur de courtes distances.
Sur la longue distance, c'est-à-dire avec des pratiques de type BlaBlaCar, il peut y avoir le même effet positif. C'est moins cher et moins risqué de monter dans un équipage de covoiturage plutôt que dans un train chargé avec des mesures barrières difficiles à appliquer, même si la SNCF assure qu'elle ne chargera ses TGV qu'à moitié.
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Les voitures particulières étaient devenues une plaie polluante et trop nombreuses coûtant une fortune aux utilisateurs lambda et manquant de place pour se garer dans les grandes villes ou cela était devenu irrespirable et une source de revenus pour l'état qui pressure de toutes les façons les conducteurs gogos !

Pourtant on a vu le bien que cela faisait de ne plus avoir trop de voitures dans les rues plus de pollution plus de calme, moins d'agressivité de certains conducteurs, plus de sécurité pour les piétons, etc., la liste est longue !

Si ce Covid 19 a forcé les français à laisser au garage leurs voitures ce n’est pas si mal, ils ont fait des économies d’essence entre autres alors il faudrait en profiter pour interdire vraiment le centre-ville des grandes agglomérations aux voitures particulières et améliorer drastiquement les transports en commun la circulation piétonne et les 2 roues vélos ou autres, après la fin de cette pandémie, si elle arrive et de toute façon apprendre à vivre autrement, que ce virus persiste ou disparaisse, on a tiré sur la ficelle de toutes les libertés, elle a cassée, ce ne sera plus jamais pareil qu’avant et le chacun pour soi, il faut oublier pour le bien de tous, car nous courons à la catastrophe, si on ne fait rien et surtout si on oublie après la fin de cette crise !

Car nos chers dirigeants qui se prenaient déjà comme des pseudos rois sans couronne viennent de nous fermer la porte au visage déjà de pour pas mal de nos libertés et glissent sans en avoir l’air vers des démocratures déjà en place dans d’autres pays connus sous prétexte facile de protéger la santé des français, qu’ils n’ont pas été capables de prévoir tout en serrant la vis économique !

Jdeclef 30/04/2020 11h28LP

mercredi 29 avril 2020

Il est désolant de voir tous ces petits esprits qui s'excite sur la toile dans ces Forums pour dire tout et n'importe quoi !


Coronavirus : 367 nouveaux décès en 24 heures en France

Le bilan en France est désormais de 23 660 personnes décédées en raison du Covid-19. 129 859 cas ont été confirmés depuis le début de l'épidémie.

  Nous allons devoir vivre avec le virus », a déclaré, mardi après-midi, le Premier ministre, Édouard Philippe, alors qu'il présentait le plan de déconfinement devant l'Assemblée nationale. Le gouvernement prévoit des tests massifs et un isolement pour les personnes contaminées pour endiguer l'épidémie.
 
  Le déconfinement se fera par étape de trois semaines, en lien avec les autorités locales, sur la base de la circulation du virus. Les écoles vont rouvrir progressivement. Tous les commerces (sauf les restaurants et les cafés) pourront accueillir du public dès le 11 mai, si la circulation du virus le permet. L'attestation de déplacement ne sera plus obligatoire, sauf pour les déplacements de plus de 100 kilomètres. Le port du masque sera obligatoire dans les transports.
 
  Le coronavirus a causé 367 nouveaux décès en 24 heures, portant le total à 23 660 morts depuis le 1er mars, mais 221 patients en moins sont dénombrés dans les services de réanimation, a annoncé mardi la Direction générale de la santé (DGS) dans un communiqué. Selon la DGS, 4 387 malades atteints de Covid-19 sont en réanimation, mais seulement 153 nouveaux cas graves y ont été admis au cours des 24 dernières heures, soit un solde négatif de 221 patients, précise-t-elle.
  Les États-Unis ont franchi mardi la barre du million de cas diagnostiqués de nouveau coronavirus, soit environ le tiers du nombre total de cas recensés dans le monde, selon le comptage de l'université Johns-Hopkins. Les États-Unis sont, déjà depuis fin mars, le pays qui compte le plus de cas dépistés d'infection. Ils avaient atteint les 500 000 cas déclarés il y a moins de trois semaines, le 10 avril. Le pays est également celui qui compte le plus grand nombre de victimes du Covid-19, avec plus de 57 200 décès liés à la maladie
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(Je republie car mon message était tronqué suite à bug sur mon PC !)

Qu’est-ce qu’importe le nombre de morts le plus importants en classant les pays comme dans un jeu olympique morbide ou on ne gagne rien plutôt perdre tout !

Les hommes et leurs dirigeants sont de pauvres idiots fats supérieurement égoïstes, car ils devraient s’unir pour combattre ces virus, mais bien au contraire, ils sont dispersés, c’est presque aussi déplorable que de compter ceux qui ont le plus de bombes atomiques en stock, alors qu’un virus plus petit de plusieurs millions, invisible à l’œil nu peut mettre à genoux le monde entier !

Et peut-être en plus à cause de certains peut être qui ont joué avec le feu en apprenti sorcier dans des laboratoires, les hommes sont fous depuis toujours, mais là, cela dépasse l’entendement !

Mais si l’on s’en sort par miracle car pour l’instant on n’en n’est pas là, il faut espérer que cela leur servira de leçon, car si l’espèce humaine en est réduite à combattre sans le vaincre l’infiniment petit, c’est déplorable dans un siècle que l’on disait moderne évolué à la pointe du progrès, qu’elle leçon de mère nature !

Cela fait penser à la « guerre des mondes de WELLS » ou des créatures venues de l’espace pour nous envahir meurent détruites par nos propres microbes, sauf que là, c’est le contraire, ce sont nos propres virus qui veulent nous détruire !


(Et cela ne sera plus de la science-fiction, si on n’arrive pas à l’éradiquer ce corona virus et ceux à venir, car on en a déjà laisser trop passer ...)

Je suis vieux, en fin de vie, alors certains diront, alors ce n’est pas grave, mais j’en veut vraiment à tous nos dirigeants, imprévoyants quels qu’ils soient arrogants bien-pensants et donneurs de leçons à qui on a eu le tort de confier nos destins !

N’est-ce pas l’homme, lui-même le plus dangereux ,car il manque d’humilité et a perdu son bon sens ?!

Jdeclef 29/04/2020 17h12

Ça, c'est une forme de terrorisme islamique, mais si marginal par rapport à la pandémie...


Terrorisme : un voisin du suspect de l'attaque de Colombes en garde à vue

INFO LE POINT. Repéré à l'occasion d'une perquisition dans l'immeuble de l'assaillant, un suspect a affirmé aux policiers « avoir » lui aussi « des projets ».


Lundi, à Colombes dans les Hauts-de-Seine, lors de la perquisition au domicile de Youssef Tihlah, 29 ans, mis en cause pour tentative d'assassinat au volant de sa voiture sur deux policiers à moto, un autre résident de l'immeuble a suscité l'intérêt des enquêteurs sur place.
Ce soir-là, malgré le quadrillage de la police judiciaire et des effectifs de police locaux, dans cette procédure classée terroriste par le Parquet national antiterroriste, un jeune homme de 20 ans n'a pas hésité à défier les forces de l'ordre. Selon une source proche de l'enquête, l'adulte aurait tenu son portable en main dans lequel on pouvait voir des images du crime perpétré par son voisin.

Il dit avoir les mêmes « projets » que le mis en cause

Alors que les policiers lui demandaient de déverrouiller son téléphone afin de vérifier s'il contenait des éléments pouvant intéresser l'enquête, le jeune homme a refusé d'obéir, alors même qu'il avait installé en fond d'écran la photo du motard de la préfecture de police, renversé quelques heures auparavant.
Il a fini par être interpellé, menotté et placé en garde à vue, ce qui ne l'a pas empêché, dans d'ultimes rodomontades, d'affirmer froidement qu'il avait lui aussi « des projets », sans s'étendre davantage.

De simples provocations ? Peut-être. L'enquête va cependant s'attacher à vérifier que d'autres photos ou vidéos prises au moment des faits n'ont pas été enregistrées dans son mobile, ce qui ferait de ce voisin un témoin clé de la scène…

Interpellation d'un martyr

Lundi vers 17 heures, deux motards de la direction de l'ordre public et de la circulation de la préfecture de police ont été percutés par un automobiliste qui a déclaré vouloir mourir en martyr. Outre ses déclarations spontanées, les enquêteurs de la police judiciaire du 92 ont rapidement trouvé des éléments le rattachant au terrorisme de l'État islamique. Inconnu des services de renseignements, Youssef Tihlah, 29 ans, avait par le passé connu des troubles psychiatriques.
Après un examen psy ce mardi, il a été déclaré pleinement responsable de ses actes, ce qui a abouti à la saisine du Parquet natonal antiterroriste. Il est désormais mis en cause pour tentative d'assassinat sur personne dépositaire de l'autorité publique (PDAP) et association de malfaiteurs terroriste criminelle. La police judiciaire parisienne (DRPJ) et la DGSI sont saisis de l'enquête. La Crim est chargée de coordonner les investigations.
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En temps normal, on en aurait parlé à grand renfort dans les unes des médias !

Le terrorisme ne fait plus recette à cause de cette pandémie, il faut dire que le virus covid 19 tue bien plus par jour, que ces illuminés islamistes !

Mais ça prouve que ce genre de virus bien humain lui, n'est pas mort ni éradiqué, car on a trouvé des éléments sur l’individu, le rattachant au terrorisme de l'État islamique!

On va peut-être le qualifier d'irresponsable comme d'habitude, par son passé connu des troubles psychiatriques ce qui arrangera nos autorités bien pensantes et tranquillisera peut-être les français lambda qui ont d’autres chats à fouetter en cette période de crise...

Jdeclef 29/04/2020 14h14

Forcement les sondages ne sont que des pièges à gogos et les français aiment ça !


Baromètre Ipsos-« Le Point » : Philippe résiste mieux que Macron

Dans notre baromètre mensuel Ipsos-« Le Point », le Premier ministre conserve son capital de confiance quand le président perd six points.


Dans la tempête Covid, l'exécutif garde le cap, selon notre baromètre Ipsos-Le Point. Alors que la difficulté à gérer cette situation inédite laisse, parfois, planer un parfum de tâtonnement, le chef de l'État et le chef du gouvernement se maintiennent. Avec 38 % d'opinions favorables, Emmanuel Macron affiche « un score qui reste satisfaisant », souligne Mathieu Gallard d'Ipsos. Et avec 41 %, Édouard Philippe obtient son deuxième meilleur résultat depuis son entrée à Matignon.
Le capital de confiance engrangé dans notre sondage de mars par les deux hommes (+ 14 points pour Macron, + 13 pour Philippe) ne fond pas comme neige au soleil. Même s'il s'amenuise, surtout pour le président qui perd 6 points d'opinions favorables. Quand son Premier ministre ne diminue que… d'un petit point.

Exclusif Emmanuel Macron : « Ce moment ébranle beaucoup de choses en moi »
Alors que les rumeurs font état de tensions entre l'Élysée et Matignon, le Premier ministre résiste à la pression. D'habitude, sa courbe de confiance suivait celle du président. Ce mois-ci, Édouard Philippe creuse l'écart, à son profit. C'est une première. Emmanuel Macron recule fortement (- 10 points à 31 %) chez les 35-59 ans, les plus actifs, quand Édouard Philippe ne perd que 4 points (33 %). Un effet d'une communication plus ajustée et concrète chez le chef du gouvernement, qui présente, ce mardi 28 avril, le plan de déconfinement devant la représentation nationale ? Le président-chef de guerre paye sans doute son exposition en première ligne. Mais aussi sa façon de « court-circuiter » ses ministres, y compris le premier d'entre eux, qui ajoute à l'impression de contradictions dans les annonces. En fixant le cap d'un déconfinement à partir du 11 mai, le président était dans son rôle, mais le « rétropédalage » des ministres qui a suivi a sans doute affecté la parole présidentielle.

Après le coronavirus, quel nouveau Macron ?

Olivier Véran, ministre le plus populaire

Le plus exposé des ministres, Olivier Véran, gagne en confiance. Dans un contexte de défiance, alors qu'il pourrait prendre des coups, celui qui a récupéré le portefeuille de la Santé au débotté et au début de la crise engrange du crédit. Il passe de la septième à la quatrième place de notre classement avec 34 % d'opinions positives. Il devient le ministre le plus apprécié. Il bondit en tête (+ 17) chez les sympathisants LREM et se place même au sixième rang des pro-LR avec 57 % d'opinions favorables (+ 12 points).
Olivier Véran, la quarantaine rugissante

Performance notable, d'autant que tous les ministres sont en baisse, y compris l'inamovible Jean-Yves Le Drian qui perd 5 points et se voit détrôner par son collègue de la Santé à la place qu'il occupait depuis des mois de ministre le plus populaire. Nouvelle venue dans notre classement, la porte-parole du gouvernement, Sibeth Ndiaye, émarge à la dernière place.

Valérie Pécresse est la personnalité qui progresse le plus

Pour se consoler, les membres du gouvernement n'ont qu'à observer les cotes de leurs rivaux. La quasi-totalité des personnalités politiques, qui avaient fortement progressé le mois dernier, sont à la baisse. Y compris les plus populaires : Nicolas Hulot reste de loin le préféré des Français interrogés pour nous par Ipsos recueillant 50 % d'opinions favorables, mais il perd trois points. Tout comme Jack Lang (37 %). Nicolas Sarkozy se hisse dans le trio de tête, tout en reculant de deux points (35 %).
Didier Raoult, homme (politique) providentiel ?

Présent dans la crise en tant que président de la région Auvergne-Rhône-Alpes, Laurent Wauquiez reprend un peu (+ 2) du poil de la bête, il gagne quatre places, mais se place au 28e rang avec 20 % d'opinions favorables. Loin derrière son homologue des Hauts-de-France Xavier Bertrand, classé en septième position, même s'il recule de deux rangs en perdant 3 points (32 %). À noter que la présidente de la région Île-de-France, Valérie Pécresse, en pointe elle aussi dans la crise (et elle aussi présidentiable à droite), est la personnalité qui progresse le plus dans notre classement, passant de la 17e à la 9e place avec 5 points d'opinions favorables en plus, recueillant 30 % de bonnes opinions.
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D'ailleurs lors des discours de nos deux dirigeants, c'est toujours le dernier qui parle qui récolte une montée dans ces sondages médiatiques médiocres !

Les français hélas, sont des girouettes, que les vents médiatiques divers font tourner, car ils aiment de beaux discours dont ils ne comprennent pas toujours le sens, car ne sachant pas toujours les interpréter et qui donc peuvent plaire ou déplaire à certains en fonction de la façon dont ils ont été faits, et diffusé par des champions du bla-bla politicien !

Souvent écris à l’avance par des spécialistes pour les discours du président, pour le 1er ministre, il a l’entrainement à la chambre des députés pour défendre ses décisions car il y est souvent présent, notamment aux questions au gouvernement !

Donc résumons, pour ce déconfinement annoncé d’abord par le président le 11/5 mais mal compris diront quelques-uns, car ce n’en n’est pas un, et pour l’instant un pétard mouillé foireux, qui déçoit les français qui y avaient crus, car le 1er ministre a refroidi leur petit optimisme !

Car,le Covid 19 est toujours bien là et à moins d’un miracle, n’est pas encore près de disparaître, car nos chers dirigeants beaux parleurs bien-pensants donneurs de leçons n’en savent rien, et le 1er ministre pessimiste a essayé de nous le faire comprendre !

Ce dont on est sûr, c’est que l’on paie cher l’imprévoyance de nos élus de tous bords jusqu’au plus haut de l’état dans le passé et présent et çà il faut leur dire avec force, car nous sommes mauvais en FRANCE dans cette lutte contre cette pandémie !

J.Declef 29/04/2020 13h20

On est mal parti avec des dirigeants qui ne savent pas où ils vont et instillent leur pessimiste à toute la population !


Michèle Cotta – Le discours d'Édouard Philippe dominé par le péril

Après les annonces du Premier ministre sur le déconfinement, l'angoisse l'emporte sur le réconfort, notamment sur la question de la reprise de l'économie.

La ligne de crête décrite par le Premier ministre mardi 28 avril est claire : le confinement a été nécessaire, efficace. Mais il ne peut pas l'être durablement sans « effets délétères ». Lesquels ? Les pires pour un pays, pour un gouvernement, pour les Français : dans l'écroulement de son système économique, dans l'effondrement de sa monnaie, dans l'arrêt de sa production.
Mais il est évident que, face aux députés, en son âme et conscience, Édouard Philippe ne pouvait pas aborder gaillardement le thème de la reprise, de l'activité, de l'avenir, tout bonnement. Tout ce qu'il a dit, le moindre détail ou la plus importante mesure, était dominé par un péril, qu'il a évoqué, bien sûr, mais en passant, entre deux phrases : celui de la deuxième vague. On le sentait bien pourtant à l'entendre, à le regarder, moins à l'aise que dans ses prestations précédentes, presque voûté, lui si droit d'habitude, sous le poids des éléments, sur lesquels il ne peut rien, et de ses propres responsabilités. Voilà pourquoi c'est la prudence qu'il faudra retenir de ce discours de déconfinement qui ressemble à s'y méprendre à une annonce de nouveau, ou d'un autre, si on veut, confinement.

La crainte d'une deuxième vague

Édouard Philippe est sûrement le premier à le déplorer, mais c'est ainsi : la France ne lui semble pas vraiment prête pour retrouver sa bonne humeur, pas plus que sa bonne santé dès le matin du 11 mai. La date avait été annoncée, on le sait, par Emmanuel Macron, sans doute alors plus confiant sur l'évolution du virus et les succès du confinement. Tout, au contraire, dans son discours d'une heure et une minute – le Premier ministre est souvent moins long que le président de la République –, Édouard Philippe a montré, en réalité, une préoccupation essentielle. Il ne s'agit pas de manque des masques, qui seront là le 11 mai, même s'ils ont beaucoup tardé. Il ne s'agit pas non plus de l'insuffisance des tests que lui reproche l'opposition : la montée en puissance de ces derniers, tant réclamés, permettra sûrement, après la date fatidique, de tester le nombre de Français souhaitable. Non, l'obsession du Premier ministre est bien celle d'une deuxième vague que tous les médecins annoncent à demi-mot à leurs patients (« Ne sortez pas trop tôt », « faites attention », « le petit peut attendre avant de retourner à l'école », etc.), dont les experts, à l'exception de l'optimiste professeur Raoult, parlent partout à mots couverts, et qu'Édouard Philippe ne peut pas ignorer.
Il n'a pas caché, tout en déclinant avec application les mesures prudentes et progressives envisagées, que les chiffres de ces derniers jours, aussi bien en matière de morts que de patients en réanimation, tels qu'ils lui avaient été transmis par le directeur de la Santé, sans doute avant qu'il ne monte à la tribune, marquaient un reflux plus lent qu'espéré et que la circulation du virus restait plus importante en France qu'on aurait pu le penser, à moins de quinze jours de la date annoncée. Au point que le Premier ministre a tout bonnement dit que si, dans les jours précédant le 11 mai, il y avait quelque relâchement dans le comportement des Français ou une remontée maligne des chiffres, cette date si chère au président serait reportée à un autre jour.
Le confinement fait craquer le duo Macron-Philippe
Protéger, tester, isoler : certes, ces trois actions s'imposent, elles vont de soi, même si elles ne sont pas commodes à mettre en œuvre. S'en remettre aux acteurs de terrain, maires et élus locaux, pour évaluer, d'un département « rouge » (celui où le virus est encore redoutablement présent) à un département « vert » (celui où le péril est plus lointain) la réouverture des marchés ou des maternelles, c'est nécessaire au moment où la situation en France est partout différente. Mais on le sent : si Édouard Philippe, tout en craignant l'« effondrement » de la France, n'a pas envisagé avec enthousiasme la reprise de la machine économique, c'est qu'il craint plus que tout, et d'autres avec lui, qu'une éventuelle deuxième vague ne pose des problèmes plus graves que la première.
On pourra peut-être reprocher au Premier ministre de faire passer la santé des Français avant la santé de la France. En tout cas, il a cette certitude, et on peut la partager : on ne remontera pas la pente économique avec une deuxième crise sanitaire.
On l'aura compris : il y avait plus, dans le propos d'Édouard Philippe, de crainte que d'espérance. Il faudra encore attendre un peu.
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Car si je prends mon cas et ma situation actuelle j’ai 73 ans et suis un patient à risque cardiaque coronarien et depuis le 06/03 je suis confiné, çà ce n’est pas grave, mais quand on ne voit pas le bout du tunnel car les annonces gouvernementales floues n’apportent aucunes réponses et l’on voit bien que l’on est très mal loti avec nos élus politiciens au pouvoir, car quand ils sont devant une crise majeure, ils sont totalement dépassés se soûlant de discours sans finalité !

J’espérais pouvoir poursuivre encore une vie normale sans plus, nous vivons n’ayant plus de famille, veuf, ma fille de 38 ans et moi ensemble dans mon appartement séparé en deux et elle seule à pouvoir sortir pour faire les courses pour vivre mais n’ayant plus de travail, qu’elle n’arrive pas à retrouver du fait du manque d’offre d’emploi !

Juste avant le début de cette crise, nous avions prévu de prendre 8 jours de vacances avec un tour opérateur en Turquie, inutile de dire que maintenant tout est tombé à l’eau avec la perte financière de 2000 euros que j’ai déjà payé et pas sur de récupérer !

Parallèlement à cela, je ne suis pas d’accord pour me faire tester, car pour l’instant je me porte correctement et ne risque pas d’infester autrui, car je ne sors plus et finir à l’hôpital ou dans une structure adaptée aux vilains porteurs dangereux pour finir par mourir d’ennui au mieux et annuler le reste de liberté qui nous reste, car ma fille et moi prenons depuis le début les protections barrières nécessaires dans mon appartement de 80 m² !

Et nous avons récupéré (enfin) 3 masques hier, du au scandale à ajouter à l’incurie gouvernementale !

J’en veux personnellement à ses politicards de tous bords qui ont mal gérés cette crise sanitaire par leur imprévoyance et laxisme habituel et souhaite maintenant pour les français et autres populations que ce virus s’évapore dans l’atmosphère car pour l’instant seul un miracle peut arriver !

Je continuerais à publier, car cela me fait exister, j’ai d’ailleurs aussi écrit au président qui n’a surement pas lu ma lettre, il pourra toujours aller à Brégançon pour se ressourcer car lui notre pseudo monarque sans couronne, il peut bouger (mais lui est jeune...)

JDECLEF 19/04/2020




mardi 28 avril 2020

La confiance n’est plus là, avec nos dirigeants qui pataugent lamentablement disant n’importe quoi et en n’ayant pas une ligne de conduite directe ferme et logique du pays et qui louvoie entre le pour et le contre sans se décider !


EN DIRECT. Coronavirus : plus de 210 000 morts dans le monde

Plus de 85 % des décès se trouvent en Europe et aux États-Unis. 3 027 853 cas ont été recensés dans le monde depuis l'apparition du coronavirus. 


  • Le bilan français est reparti à la hausse. L'épidémie de coronavirus a fait au total 23 293 morts dans le pays, dont 437 durant les dernières 24 heures, a annoncé la directeur général de la Santé Jérôme Salomon lundi soir. 4 608 personnes sont en réanimation, soit 74 de moins par rapport à dimanche.
     
·         Le Premier ministre Édouard Philippe présentera à 15 heures devant l'Assemblée nationale le plan du gouvernement pour faire redémarrer le pays par étapes à partir du 11 mai. Six domaines-clés seront abordés : écoles, commerces, entreprises, tests et isolement des malades, masques et rassemblements. Ce plan de déconfinement « progressif et adaptable  » sera voté dans la foulée par les parlementaires. 
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Le monde a franchi lundi le seuil symbolique des trois millions de cas recensés du nouveau coronavirus. Avec près d'un tiers des cas déclarés et plus de 56 000 des 210 000 décès enregistrés dans le monde, les États-Unis sont de loin le pays le plus touché. En Europe, le bilan humain reste très lourd : 26 977 décès en Italie, 23 521 en Espagne, 23 293 en France ou encore 21 092 au Royaume-Uni. Le président américain Donald Trump n'a pas exclu de demander à Pékin de payer des milliards de dollars de réparations pour les dommages causés par le virus, apparu dans la ville chinoise de Wuhan.

- Vers une reprise de la Ligue 1 et de la Ligue 2 en août ?

      Selon Le Parisien, Edouard Philippe pourrait annoncer ce mardi que les manifestations sportives, même lorsqu'elles sont organisées à huis clos, ne pourront pas reprendre en France avant le mois d'août. De son côté, l'UEFA pourrait décider de boucler la Ligue des champions et la Ligue Europa au mois d'août.       

- Wizz Air reprend partiellement ses vols depuis Vienne

      La compagnie hongroise à bas coût Wizz Air, à l'arrêt depuis plus d'un mois en raison de la crise du coronavirus, compte desservir à nouveau dès le 1er mai cinq destinations européennes au départ de Vienne, a-t-elle indiqué mardi dans un communiqué à l'Agence France-Presse. Elle entend élargir courant mai sa reprise d'activité à une vingtaine de liaisons en Europe, dont l'Italie et l'Espagne, et en Israël, en adaptant son activité aux règles sanitaires en vigueur. Wizz Air avait annoncé ce week-end une reprise des rotations au départ de sa base de Luton, au nord de Londres.      

- Plus de 210 000 morts dans le monde

      La pandémie du nouveau coronavirus a fait plus de 210 000 morts dans le monde, dont plus de 85 % en Europe et aux États-Unis, depuis son apparition en Chine en décembre, selon un bilan établi par l'Agence France-Presse à partir de sources officielles mardi à 8 h 45 GMT. Au total, 210 930 décès ont été recensés dans le monde (pour 3 027 853 cas), dont 126 793 en Europe (1 404 171 cas), continent le plus touché. Les États-Unis sont le pays ayant enregistré le plus de morts (56 253), devant l'Italie (26 977), l'Espagne (23 822), la France (23 293) et le Royaume-Uni (21 092).      

- 301 morts ces 24 dernières heures en Espagne, bilan en baisse

      L'Espagne a recensé mardi 301 morts dus à la pandémie du nouveau coronavirus, un chiffre en baisse par rapport au bilan de lundi et qui porte le nombre de décès à 23 822, a annoncé le ministère de la Santé. Alors que l'Espagne est soumise depuis le 14 mars à un confinement très strict, qui a été prolongé jusqu'au 9 mai, le gouvernement de Pedro Sanchez doit adopter mardi son plan de déconfinement, qu'il compte lancer à partir de la mi-mai.      

- Damien Abad : "La droite ne votera pas" le plan de déconfinement

      Le chef de file des députés LR Damien Abad a affirmé mardi que "la droite ne votera(it) pas" et s'abstiendrait "massivement" sur le plan de déconfinement présenté à l'Assemblée nationale par le Premier ministre dans l'après-midi. Certains députés LR "voteront contre", a-t-il ajouté sur France Info.
Damien Abad a évoqué "deux raisons" : d'une part "parce que nous regrettons sur la forme qu'on n'ait pas eu un moment de débat et d'échange entre nous, entre les 104 députés du groupe, pour pouvoir analyser la déclaration du Premier ministre et ce plan de déconfinement". La présentation du plan sera suivie d'un débat puis d'un vote, mais les partis d'opposition réclamaient davantage de temps avant de se prononcer.
Le député de l'Ain a en outre fustigé "un déconfinement qui est dans le flou, dans l'incertitude, avec beaucoup d'injonctions contradictoires". "Nous nous interrogeons clairement sur la stratégie du gouvernement et sa capacité à gérer ce déconfinement", a-t-il avancé. "Nous nous abstiendrons massivement et certains d'entre nous voteront contre", a détaillé M. Abad. "Depuis le début, nous sommes dans la même ligne politique (...) contre la désunion nationale. Mais l'unité nationale, ce n'est pas mettre la poussière sous le tapis", a-t-il poursuivi, souhaitant avec le plan de déconfinement de son parti être "utile au débat".      

- Le déconfinement débute mercredi en Polynésie française

      Tahiti, l'île la plus peuplée de Polynésie française, et Moorea, l'île voisine, verront leur confinement allégé à partir de mercredi. Confinée depuis le 20 mars, la collectivité, qui dispose d'une relative autonomie, ne recense que 58 cas de Covid-19, essentiellement concentrés sur les deux principales îles, et ne déplore aucun décès.
L'impact économique est en revanche majeur. "On estime aujourd'hui à environ 130 à 140 milliards de francs Pacifique (1 à 1,2 milliard d'euros) le manque à gagner" et la Polynésie va devoir recourir "à un emprunt massif pour faire face à cette baisse du PIB", a déclaré à l'AFP le président de la Polynésie française Édouard Fritch.
Le secteur touristique, moteur de l'économie locale, est le plus affecté. Mais il ne pourra pas redémarrer pour le moment, les liaisons aériennes étant arrêtées.
M. Fritch encourage la reprise du travail dès mercredi à chaque fois que c'est possible. Le couvre-feu est maintenu mais débutera plus tard, à 21 heures, afin que les restaurants puissent rouvrir. Pour permettre le retour au travail des parents, les crèches et garderies rouvriront mercredi. Les établissements scolaires, en revanche, ne rouvriront que le 18 mai, et seulement pour les élèves dont les parents ne parviennent pas à assurer la continuité pédagogique à la maison.      

- Le taux de chômage grimpe à 14,4 % au 1er trimestre en Espagne

      L'Espagne a vu son taux de chômage augmenter à 14,4 % de la population active au premier trimestre en raison de l'impact de la pandémie de coronavirus, selon les chiffres publiés mardi par l'Institut national de la statistique (INE).
Fin décembre, le chômage atteignait 13,8 %, le pire score de la zone euro après la Grèce. La destruction d'emplois au premier trimestre est particulièrement forte dans les services, le tourisme, pilier de l'économie espagnole, étant frappé de plein fouet par le confinement décrété le 14 mars.
Le nombre total de chômeurs atteint 3,31 millions de personnes, soit une hausse de 121.000 personnes, mais l'INE souligne qu'"il est probable que de nombreux salariés ayant perdu leur emploi aient été classifiés comme inactifs" car les conditions de l'enquête statistique habituelle ont été perturbées par le confinement.      

- Le duo Macron-Philippe à l'épreuve du coronavirus

      Alors que le Premier ministre présente ce mardi « son » plan de déconfinement à l'Assemblée, les tensions sont vives avec le président.
> Le confinement fait craquer le duo Macron-Philippe       

- Le moral des ménages chute en France

      L'indice de confiance des ménages en France a subi en avril une chute historique après la mise en place des mesures de confinement pour lutter contre le coronavirus, a indiqué mardi l'Insee. L'indicateur, calculé sur la base de soldes d'opinion (différence entre proportion de réponses positives et négatives), a perdu 8 points par rapport à mars, la chute la plus brutale depuis la création de cet indicateur en 1972, a précisé l'institut dans un communiqué. Il est ainsi passé à 95 points, sous sa moyenne de longue période (100). Pour expliquer cette dégringolade, l'Insee souligne que son enquête du mois d'avril a été menée du 27 mars au 18 avril 2020, soit après la mise en place du confinement.

Dans le détail, le solde d'opinion des ménages sur le niveau de vie futur en France a connu la plus forte baisse jamais enregistrée sur un mois pour se situer à - 71, le niveau le plus bas "jamais atteint depuis le début de l'enquête". Les craintes des ménages concernant l'évolution du chômage ont augmenté, pour leur part, "très fortement en avril", gagnant 42 points pour atteindre "un niveau inégalé depuis juillet 2015", a souligné l'Insee.       

- Inquiétude en Allemagne

      Les premiers signes d'aggravation de l'épidémie de nouveau coronavirus apparaissent en Allemagne, alors qu'elle vient tout juste de débuter le déconfinement et que la chancelière Angela Merkel s'inquiète d'un retour trop rapide à la normale. Le taux d'infection ou taux de reproduction, très surveillé par les autorités, a de nouveau atteint le seuil de 1,0, selon des chiffres publiés lundi soir par l'Institut Robert Koch, chargé de surveiller l'évolution de la pandémie dans le pays. Cela signifie que chaque malade contamine une autre personne. C'est la première fois depuis mi-avril que ce taux d'infection atteint le seuil de 1,0. Il était alors descendu à 0,7, avant de progressivement remonter. Par ailleurs, le taux de létalité des cas de Covid-19 continue jour après jour de progresser. Il s'établit à 3,8 % selon les derniers chiffres de l'Institut, ce qui reste malgré tout inférieur aux pays voisins de l'Allemagne. L'Allemagne comptait mardi 156 337 cas pour 5 913 décès. 
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Nos dirigeants depuis le début qui ne savent toujours pas ou ils vont et sont perdus et dépassés se noyant dans leurs discours fumeux d’où il ne ressort rien de concret avec des différents entre eux car pas en accord et leurs ministres, disant tout et son contraire avec les couacs habituels qui vont avec sans compter bien sur le monde scientifique qui embrouille aussi les décisions à prendre en matière sanitaire, car compliquées et évolutives au fil du temps et de la progression du covid 19 !

Alors, changer de 1er ministre comme on fait d’habitude, quand cela ne va pas dans les gouvernements des quinquennats présidentiels, ça sert à quoi, c’est le président MACRON qui est aux commandes et qui choisit ses collaborateurs, d’ailleurs c’est un spécialiste des mauvais choix depuis le début de son quinquennat !

Cette V eme république et notamment depuis les quinquennats de ces dernières décennies a donné trop de pouvoir à un seul homme le pseudo monarque président, c’est de notre faute, c’est ça, qu’il faut changer ou alors ne pas se plaindre !

Cette crise, si elle devait servir à quelque chose, devrait enfin faire réfléchir les français gogos qui élisent ces kyrielles de politiciens de tous bords médiocres et reformer nos institutions kafkaïennes lourdes pilotées par des fonctionnaires bornés!

Car ces élus de tous bords se moquent des français sans vergognes sans états d’âmes !

Jdeclef 28/04/2020 11h57

Ce virus mondial et même ce confinement les français semble le supporter et ils s'adaptent comme ils peuvent !


Le confinement fait craquer le duo Macron-Philippe

Alors que le Premier ministre présente ce mardi « son » plan de déconfinement à l'Assemblée, les tensions sont vives avec le président. Récit en coulisse.

Dimanche soir. Il est tard, mais Emmanuel Macron est soucieux. Il attrape son téléphone et pianote. Lui qui avait abandonné – non sans peine – cette fâcheuse habitude de bombarder de textos ses nombreuses relations dans le silence de la nuit change de stratégie. Cette fois, c'est un petit groupe de journalistes choisis qu'il contacte.
Depuis vingt-quatre heures, les oppositions fulminent contre la décision d'Édouard Philippe de soumettre au vote des députés le plan de déconfinement dès ce mardi. Pris de court, les députés exigent un délai supplémentaire pour avoir le temps d'étudier le texte. Le Premier ministre refuse. Dans son bureau élyséen, Emmanuel Macron, qui s'efforce à tout prix de ménager les oppositions, fustige par SMS « la rigidité » (sic) du locataire de Matignon : « Dans une période comme celle-ci, il y a un besoin impérieux d'unité nationale. Il faut faire attention aux oppositions, leur laisser du temps. Je suis favorable à un report, mais c'est à Richard Ferrand (le président de l'Assemblée nationale, NDLR) de voir si le délai de vingt-quatre heures demandé est possible. »
Mais à quoi joue Emmanuel Macron ? Visiblement, il veut la baston, mais pas Édouard Philippe.
Au petit matin, en entendant à la radio les bribes de ces « confidences » élyséennes, plusieurs ministres en recrachent leur café. Quelques heures plus tard, dans la matinée, le chef de l'État interroge de nouveau Édouard Philippe sur la possibilité de reporter ce vote. Le Premier ministre, stoïque, tient bon : « L'opposition a demandé un débat, elle l'a. L'opposition a demandé un vote, elle l'a. Nous avons répondu à ses inquiétudes. » Fermez le ban.
Alors, Emmanuel Macron reprend son téléphone et rappelle les mêmes journalistes, histoire de leur préciser sa propre façon de penser : « Moi, je suis favorable au report, mais ce n'est pas au président de trancher cela. » Le désaccord entre le chef de l'État et son Premier ministre est maintenant exposé en place publique : le non-report du vote, il n'y est pour rien ; c'est Édouard Philippe, qu'on se le dise ! De mémoire de macroniste, la manœuvre est inédite. « Mais à quoi joue Emmanuel Macron ? » suffoque un confident de Matignon. Visiblement, il veut la baston, mais pas Édouard Philippe. On ne comprend plus le président de la République. L'Élysée est en roue libre. »
C'est la fin, Édouard Philippe va dégager avant l'été.
Dans l'après-midi, sans surprise, alors que les deux hommes s'enferment dans une pièce de l'Élysée avec le ministre de la Santé, Olivier Véran, et le « Monsieur Déconfinement » du gouvernement, Jean Castex, pour rendre les derniers arbitrages qui seront annoncés mardi, le Tout-Paris confiné bruisse de rumeurs frénétiques. « C'est la fin, Édouard Philippe va dégager avant l'été, s'il ne part pas de lui-même avant », croit savoir l'un. « Macron consulte à tout-va pour lui chercher un remplaçant », affirme l'autre. Tout au long du week-end, il a testé plusieurs hypothèses auprès de quelques « confidents », leur demandant même des noms. « Confidents » qui se sont empressés de répandre la rumeur.
Vers un gouvernement d'union ou de débauche nationale ?
« L'Élysée cherche quelqu'un de confiance pour sortir de cette séquence et affronter une situation sociale qui va tanguer. Un profil de médecin, de réparateur, pour rassurer les Français », assure un ancien ministre de poids proche de l'exécutif. « J'ai rarement vu Édouard Philippe si éreinté », confie un ministre proche du chef du gouvernement. « Pendant la crise des Gilets jaunes, il tenait, il était combatif. Là, on lit le ras-le-bol sur son visage, l'agacement. Il est au bout du rouleau. Les méthodes de la macronie le déçoivent tellement. Il en prend plein la gueule depuis quatre ans, et là, il prend des coups par Emmanuel Macron himself. Qui pourrait supporter ces comportements ? »
Ici, on bosse. On a autre chose à faire que d'être perturbés par des rumeurs de presse.
Qui, c'est vrai ? Sinon Édouard Philippe, justement ! Maire du Havre, juppéiste humilié lors de la primaire de la droite, et auquel Emmanuel Macron, en l'appelant à Matignon en 2017, a offert le Graal ? « Il fait un boulot admirable à gérer un truc infernal », tempérait lundi soir un conseiller de l'Élysée, s'efforçant d'éteindre l'incendie. « Depuis trois ans, les journalistes cherchent les failles, mais vous passez à côté de l'essentiel : la singularité de ce couple exécutif, unique sous la Ve République, institutionnellement, politiquement, humainement. Ils ont des désaccords, mais le Premier ministre est d'une très grande loyauté et le président a pour lui un profond respect et une totale confiance. »
Un conseiller d'Édouard Philippe, enseveli sous l'écheveau complexe des défis du déconfinement, s'agace : « Ici, on bosse. Nous allons faire des annonces qui sont lourdes pour le pays. On a autre chose à faire que d'être perturbés par des rumeurs de presse. » Et d'ajouter : « Vous les avez lus, vous, ces messages ? Les seuls qui voient le président et le Premier ministre, ce sont leurs directeurs de cabinet, Benoît Ribadeau-Dumas et Alexis Kohler. » Et eux le jurent : tout se passe à merveille.

Un remaniement avant l'été, pour un nouveau souffle ?

Il n'empêche : ces désaccords au sein de l'exécutif, aussi assumés soient-ils, rejaillissent sur le travail du gouvernement. Et sur la crise actuelle. Le chef de cabinet de Jean-Michel Blanquer se fera sévèrement recadrer, mardi dernier, par celui de Matignon, reprochant au ministre de l'Éducation de s'être trop avancé en fixant des dates de réouverture de classes alors que rien n'était encore arrêté. « En annonçant, lors de son allocution le 13 avril, une date de déconfinement le 11 mai, Emmanuel Macron a voulu planter un couteau dans le dos de l'administration et des ministres en les obligeant. Mais il a mis tout le monde dans la mouise », constate le conseiller d'un ministre influent.
À Matignon, l'exigence soudaine de présenter un plan complet en à peine deux semaines a donné des sueurs froides. Depuis, Édouard Philippe, épaulé du haut fonctionnaire Jean Castex, enchaîne les réunions. Rarement gouvernement aura eu à affronter tâche plus ingrate, et plus périlleuse, que celle d'élaborer un plan de déconfinement tenant compte à la fois des pénuries actuelles et futures de masques et de tests, des spécificités de chaque territoire (certains étant à peine touchés par le virus), et des risques politiques inhérents à chaque décision, la raison sanitaire se heurtant parfois à la raison économique ou sociale.

Édouard Philippe, coupable idéal

« Il est naturel qu'il y ait des incertitudes, des tâtonnements », concède le président de l'Assemblée nationale Richard Ferrand dans Libération. Le problème est qu'ils s'exposent au grand jour, ajoutant au sentiment de confusion générale. « Le Premier ministre doit être précis, il doit être clair », s'est emporté lundi sur CNews le socialiste Olivier Faure. Désignant en creux qui, en cas d'échec, serait tenu pour responsable. « Édouard Philippe sait qu'il joue son avenir, et pas seulement dans ce gouvernement », persifle un député de la majorité excédé par les « ratés » de l'exécutif.
La menace d'une instruction judiciaire sur la gestion de crise attise les règlements de comptes. Quel que soit le verdict, l'ancien maire du Havre, qui a poussé pour maintenir le premier tour des élections municipales, fait figure de coupable idéal pour endosser la responsabilité politique des mauvaises décisions. « Un remaniement avant l'été est inévitable », martèle le député, pour donner un « nouveau souffle ». « Quand le président a dit le 13 avril qu'il faudrait nous "réinventer" après la crise, c'est à Édouard Philippe qu'il pensait ! »
L'ombre du grand procès post-virus
C'est d'ailleurs bien ainsi que Matignon l'a perçu. À l'issue de l'intervention, le sujet a été évoqué entre Édouard Philippe, une poignée de conseillers et Sébastien Lecornu, ministre chargé de la Cohésion des territoires. « Ils étaient en colère. Surtout dans ce contexte de tensions avec l'Élysée : ils perçoivent qu'ils sont sur la sellette. »

Compte à rebours

Aujourd'hui, sans doute. Mais demain ? « Emmanuel Macron est obsédé par l'après, comment donner un nouveau souffle à son projet, par sa réélection », décrypte un habitué de Matignon. « Édouard Philippe, lui, est dans l'opérationnel. Sa seule obsession, c'est que le déconfinement soit un succès. » Comment, dès lors, accepter un report du plan de déconfinement, même de seulement vingt-quatre heures ?
« Les maires sont impatients, ils subissent les pressions des familles », confie Éric Verlhac, directeur général de l'Association des maires de France. Car les pièges du déconfinement se cachent dans les détails : le Haut Conseil de la santé publique préconise, par exemple, dans un avis de 40 pages rendu dimanche soir, d'équiper les enseignants et les élèves du secondaire de masques grand public, ou la « mise à disposition de distributeurs de produits hydroalcooliques dans les transports en commun ou dans les abribus ».
Emmanuel Macron chouchoute les maires, en première ligne pour le déconfinement
Mercredi, les détails du plan seront discutés avec les élus locaux. Auxquels il restera cinq jours ouvrés, pas un de plus (les 1er et 8 mai étant fériés), pour nettoyer et adapter leurs locaux, acquérir et distribuer masques et gels, informer leurs administrés, recruter du personnel…
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Mais par contre ils supportent de moins en moins l’exécutif (comme on dit) qui exécute mal, donc nos dirigeants et le gouvernement avec ces ministres médiocres incompétents pour certains !

Car en ce qui concerne l’action du gouvernement attendu par les français de nos dirigeants depuis le début qui ne savent toujours pas, ou ils vont et sont perdus et dépassés se noyant dans leurs discours fumeux d’où il ne ressort rien de concret car des différents entre eux car pas en accord et leurs ministres tout et son contraire avec les couacs habituels qui vont avec, sans compter bien sur le monde scientifique qui embrouille aussi les décisions à prendre en matière sanitaire car compliquées et évolutives au fil du temps et de la progression du covid 19 !

Donc cela donne des erreurs et de mauvaises appréciations de la crise et des solutions depuis le début que pour l’instant ils ne trouvent pas ou sont inefficaces, car bien sûr ils ne peuvent admettre qu’ils n’en n’ont pas, et manquent d’amour propre habituel en faisant de la mauvaise politique politicienne qui maintenant inquiète les français !

A çà, il faut ajouter les médias habituels et réseaux sociaux qui n’arrange pas la situation et nos institutions kafkaïennes lourdes avec leur lot de fonctionnaires bornés !

Le 1er ministre va annoncer un déconfinement pour le 11/5, mais le virus est toujours là, et il faut vivre avec et les solutions battardes ne seront pas faciles à appliquer car on ne sait pas faire simple, mais plutôt compliqué en France !

Conséquences : il faudra patienter ou attendre que ce virus s’évapore dans l’atmosphère avec la belle saison par miracle, mais surtout en espérant qu’il ne reviendra pas, reste les masques hypothétiques qui arrivent enfin, pauvres politiciens élites inutiles qui gouvernent si mal notre pays !?

Jdeclef 28/04/2020 09h51LP