mercredi 31 mai 2017

Il n'y a pas d'enquêtes judiciaires sérieuses diligentées contre ces élus déjà trop protégés par un système fait pour eux et par eux !

Une majorité de Français veut la démission de Ferrand et de De Sarnez

Les deux ministres sont dans la tourmente après des accusations concernant une affaire immobilière ou bien des soupçons d'emplois fictifs.

Selon un sondage Harris Interactive pour RMC et Atlantico publié mercredi, une large majorité de Français estime que les ministres Richard Ferrand et Marielle de Sarnez devraient démissionner en raison des soupçons pesant sur eux. D'après cette enquête, 73 % des personnes interrogées jugent que les faits reprochés à Richard Ferrand sont graves, 27 % étant d'un avis contraire. Pour 70 %, le ministre de la Cohésion des territoires doit démissionner, contre 30 % qui estiment qu'il peut rester en place. Le député du Finistère est dans la tempête depuis une semaine et les premières révélations du Canard enchaîné concernant une location immobilière des Mutuelles de Bretagne impliquant sa compagne. Le Premier ministre Édouard Philippe, lui, a une nouvelle fois apporté son soutien mardi soir sur France 2, « malgré l'exaspération des Français » devant ce type de pratiques. Il a répété que tout ministre mis en examen devrait quitter le gouvernement.
Le sondage, réalisé après l'intervention télévisée du chef du gouvernement, porte également sur le cas de la ministre des Affaires européennes Marielle de Sarnez, visée avec 18 autres députés européens de tous bords par une enquête préliminaire pour des soupçons d'emplois fictifs de collaborateurs au Parlement européen. Pour 65 % des Français, les faits reprochés à Marielle de Sarnez sont graves, contre 35 % d'un avis opposé. Et 62 % estiment qu'elle devrait démissionner (contre 38 %). La vice-présidente du MoDem a déposé une plainte pour « dénonciation calomnieuse » contre l'eurodéputée du Front national Sophie Montel, qui a envoyé une lettre à l'origine de la procédure.

Moralisation de la vie publique

Enfin, 67 % des sondés pensent que le gouvernement d'Édouard Philippe « souhaite vraiment moraliser la vie politique », contre 33 % d'un avis contraire. Mais seuls 43 % estiment qu'il y parviendra (57 % pensant qu'il échouera). Emmanuel Macron a fait de la moralisation de la vie publique le premier chantier de son quinquennat.


Bienvenue en FRANCE pays des polémiques et passe-droits en tous genres !

Là, on voit le degré de protection de nos élus qui ne peuvent être inquiétés par le peuple, même si celui-ci le désire à juste titre ?!

De plus, notamment quand il s’agit de campagne électorale imminente ou en cours cela n’arrange pas les choses, on a vu avec l’affaire FILLON !

Parallèlement à cela, les français dans ce type d’affaires n’ont pas la parole et on ne leur demande pas leurs avis !?

Alors les médias souvent comme le « canard enchaîné » en rajoute en faisant le relai, jetant de l’huile sur le feu, ce qui déplait au président bien sûr, car souvent empêcheurs de tourner en rond, le mettant en « porte à faux » !

Donc il ne reste que les urnes aux citoyens pour dire s’ils veulent que l’élu pris en faute soit sanctionné, à condition que ce ministre se présente à une élection notamment pour les législatives, ce qui est le cas, car là s’il n’est pas élu, il devra démissionner ?!

Seule la justice ou alors nos dirigeants au plus haut de l’état peuvent démettre ces ministres ou les empêcher de continuer à exercer leurs mandats !

Donc, c’est seulement aux bretons du Finistère de sa circonscription électorale de pardonner à Mr FERRAND pour ses affaires si lucratives douteuses bien que régulières soit disant envers la loi?! (Heureusement pour lui peut être, car si c’était tous les français qui votaient, là, sa chance serait moindre ?!)

Alors la probité et moralisation de la politique voulue par Mr LE PRESIDENT MACRON est déjà écornée !

Il faut souhaiter que cette loi dans l’avenir soit stricte et bien ficelée et surtout appliquée !


Jdeclef 31/05/2017 14h19

C'est évident, mais l'égo et l'orgueil démesuré de ces politiciens élus est trop fort !

Coignard - Les ministres (aussi) doivent savoir démissionner

Richard Ferrand, soutien de la première heure du président, a été confirmé à son poste malgré les révélations sur son inclination au "mélange des genres".

C'est une des nombreuses exceptions françaises. Les ministres en poste s'accrochent avec les dents, une fois acquise leur place au gouvernement. Qu'ils se nomment Gaymard, Alliot-Marie, Cahuzac, Thévenoud ou Le Roux, pour ne citer que quelques-uns d'entre eux, il faut quasiment leur envoyer les gendarmes pour qu'ils condescendent à quitter leur poste après un début de scandale ou de controverse. Ils gênent l'ensemble de l'action gouvernementale, mais continuent de se considérer comme indispensables.
Pas besoin d'être ministre en exercice d'ailleurs. François Fillon a montré, récemment, jusqu'où pouvait mener l'obstination d'un candidat à la présidentielle.
Aujourd'hui, c'est Richard Ferrand qui est sur sa sellette pour donner le sentiment d'avoir confondu, comme directeur général d'une mutuelle puis comme député, l'intérêt général avec sa convenance personnelle. Le ministre de la Cohésion des territoires n'est sous le coup d'aucune mise en examen, pas même d'une enquête préliminaire, mais il reconnaît l'ensemble des faits qui lui sont imputés, pour en nier le caractère problématique. La stratégie qu'il a choisie ? Pas démissionnaire parce que pas coupable. Le chef du gouvernement Édouard Philippe a renouvelé ce mardi au JT de France 2 son soutien à son ministre.
Affaire Ferrand : de nouvelles révélations accablent le ministre

Dans la tête de Richard Ferrand

Mettons-nous un instant dans la tête de Richard Ferrand. Il y a dix ans, celui-ci était vice-président du conseil général du Finistère. Un poste à visibilité médiatique nulle, ouvrant sur des perspectives politiques plus qu'incertaines. Il y a cinq ans, nouvel élu à l'Assemblée nationale, il faisait partie des centaines de députés inconnus au bataillon. Et voilà que le destin lui fait un cadeau royal. Rapporteur de la loi Macron, ce parlementaire socialiste apprécie le ministre de l'Économie au point de devenir le premier de ses grognards au sein du mouvement En marche !. Des mois de dissidence, d'efforts accomplis face au scepticisme de ses pairs le conduisent jusqu'au gouvernement, où il est sixième dans le rang protocolaire. Inespéré !
Gouvernement : Richard Ferrand, le premier des fidèles
Hier encore, pendant la campagne, il se montrait impitoyable. Il a dit et écrit tout le mal qu'il fallait penser des députés qui rémunèrent un membre de leur famille, dans une schizophrénie qui lui a fait oublier qu'il avait lui-même embauché son fils pendant quelques mois à l'Assemblée nationale. « Il était normal qu'il démissionne », dit-il du ministre de l'Intérieur Bruno le Roux quand il est révélé que celui-ci a employé ses filles, très jeunes, comme assistantes parlementaires.

Du poids lourd au boulet

Aujourd'hui, le fidèle compagnon du président est devenu son encombrant boulet. Parce qu'une loi sur la moralisation sur la vie politique est en cours de rédaction. Parce que la probité a été un des arguments de campagne les plus forts d'Emmanuel Macron. Parce que, pour sa défense, les arguments employés sont les mêmes que ceux, usés, qui ont servi à François Fillon : chasse à l'homme, hallali, rien d'illégal, climat de suspicion. Un plaidoyer inaudible.
La tête de l'exécutif a fixé le cap : ce sont les électeurs de la 6e circonscription du Finistère qui décideront de son sort. Il reste onze jours à tenir. Cela peut sembler très court, mais devenir très long.


En fait le montage financier de ce personnage entre la mutuelle et sa compagne pour faire une bonne affaire était fort intelligent, sans compter ce travail d’assistant parlementaire donné à son fils qui l’était moins (tout cela semble-t-il régulier au regard de la loi) mais il n’avait peut-être pas prévu être ministre à l’époque, de ce nouveau président MACRON prônant la probité et déclenchant une loi sur la moralisation en politique, (ce que demande les français depuis longtemps !)

Alors bien sûr, il n’a pas nié avoir fait cela pensant peut être que la vérité pardonnait les faits pour lui qu’il ne considérait pas répréhensibles ?!

Alors on rejoue l’affaire FILLON, (hormis le coté judiciaire) car, il n’y a pas pour l’instant d’affaire judiciaire, les bretons jugeront par leurs votes dans les urnes, car s’il est battu, là, il devra démissionner (mais néanmoins c’était au président à lui demander de la lui donner !)

Il semble qu’un homme comme cela, si prompt à faire des montages financiers pour s’enrichir, sujets à caution ne soit pas digne d’être ministre d’une république qui fait des efforts pour nettoyer les mauvaises habitudes politico/financières des élus de cette V eme république obsolète à assainir !

De plus, il fait indirectement du tort au 1er ministre obligé de le défendre et bien sûr au président dont le vernis commence déjà à s’écailler à cause de cela !

Car tout passe-droit quel qu’il soit chez les élus du gouvernement ne peut être compris des français, surtout quand le président brandit la probité en politique comme un étendard !


Jdeclef 31/05/2017 10h51LP

mardi 30 mai 2017

Déplorable panier de crabe de vieux politiciens qui profitaient d'avantages non déclarés et surtout non contrôlés depuis bien longtemps ! (Et ça continue..!)

Soupçons d'emplois fictifs : Sarnez, Hortefeux et Lavrilleux concernés par l'enquête

Après les dénonciations d'une élue Front national, des investigations sont en cours concernant les assistants parlementaires d'une vingtaine d'eurodéputés.

C'est une vaste affaire que révèle Le Parisien mardi, l'ouverture d'une enquête après des accusations du Front national sur d'éventuels emplois fictifs d'assistants au Parlement européen. Les députés européens de droite Brice Hortefeux et Jérôme Lavrilleux font partie des parlementaires concernés par l'enquête, a affirmé mardi une source proche du dossier, confirmant une information du Parisien. Une vingtaine d'élus de tous bords, dont la ministre des Affaires européennes Marielle de Sarnez, sont visés par cette enquête ouverte par le parquet de Paris le 22 mars à la suite du signalement d'une eurodéputée FN, dénonçant des emplois fictifs parmi des collaborateurs de députés européens d'autres partis.
Cette contre-attaque du FN était intervenue alors que le parti d'extrême droite et sa présidente Marine Le Pen sont eux-mêmes soupçonnés d'avoir eu recours à des emplois fictifs d'assistants au Parlement de Strasbourg. Marine Le Pen a été convoquée par les juges d'instruction en vue d'une possible mise en examen, mais elle a invoqué son immunité parlementaire pour refuser de répondre à la justice avant la fin des campagnes présidentielle et législative.

Toutes les formations

Parmi les élus signalés à la justice par le FN se trouvent des représentants de presque toutes les formations, notamment du PS, d'EELV, de LR et de l'UDI, selon une source proche du dossier. Le Parisien a révélé lundi soir que la ministre Marielle de Sarnez était concernée par l'enquête. L'élue du MoDem, proche du ministre de la Justice François Bayrou, a immédiatement démenti dans un communiqué toute irrégularité dans l'emploi d'une assistante payée par le Parlement européen. Mardi, Marielle de Sarnez a porté plainte pour « dénonciation calomnieuse » contre Sophie Montel, l'eurodéputée du FN à l'origine de ces accusations.
Comme dans l'enquête qui vise déjà des eurodéputés FN, il y a un long travail d'analyse à effectuer et les auditions n'ont pas encore débuté, a ajouté la source proche du dossier. Jérôme Lavrilleux, ex-bras droit de l'ancien patron de l'UMP Jean-François Copé, avait été le directeur adjoint de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2012. Il a quitté lui-même l'UMP (devenue Les Républicains) avant d'en être officiellement exclu à la suite de l'affaire Bygmalion. Proche de Nicolas Sarkozy, Brice Hortefeux (LR) avait retrouvé son siège d'eurodéputé en 2011 après avoir quitté le ministère de l'Intérieur.
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Par des français apathiques et conservateurs qui se sont réveillés peut être par dépit n'ayant plus rien à perdre !

Et en fait des politiciens sans scrupules qui se dénoncent à qui mieux mieux dans chaque parti mal en point, une honte pour la France qui montre leurs bassesses politiciennes !

Et surtout les français devraient voter pour eux ! Pourquoi ?

A ces législatives et si beaucoup de ceux-là ne sont pas élus ou réélus, ils le mériteront, et ils ne devraient pas s'étonner que nos concitoyens se tournent vers la nouveauté, tant ils ont gâché la politique de la France durant ces dernières décennies!

Ils se sont moqués des français les prenant pour des niais et un certain MACRON opportuniste est arrivé au bon moment  pour (essayer d'assainir ce marigot insalubre) tache pas facile, mais qui a le mérite de tenter le changement que non concitoyens attendaient !

On verra à l’usage, mais pas pire que ce qu’on abandonne semble-il ?!


Jdeclef 30/05/2017 14h10

Une ministre M.de SARNEZ de plus accrochée par la patrouille des emplois fictifs douteux ?!

Soupçons d'emplois fictifs : Marielle de Sarnez plaide la légalité ?

Une enquête a été ouverte pour "abus de confiance" sur des soupçons d'emplois fictifs d'une trentaine d'assistants parlementaires d'eurodéputés.

Le gouvernement d'Emmanuel Macron voit surgir la crainte des affaires. Après Richard Ferrand, c'est Marielle de Sarnez qui se trouve mise en accusation. La ministre des Affaires européennes a démenti lundi soir toute irrégularité dans l'emploi d'une assistante payée par le Parlement européen alors que Le Parisien de mardi fait état de l'ouverture d'une enquête sur le sujet. Selon Le Parisien, le parquet de Paris a ouvert le 22 mars une enquête préliminaire pour "abus de confiance" sur des soupçons d'emplois fictifs visant des assistants d'eurodéputés.
D'après le quotidien, cette enquête a démarré à la suite d'une dénonciation d'une eurodéputée Front national, Sophie Montel, demandant à la justice de se saisir du cas de 19 eurodéputés de droite, de gauche et écologistes, parmi lesquels Marielle de Sarnez, et d'une trentaine d'assistants. Une enquête similaire vise déjà des eurodéputés FN, dont Marine Le Pen, accusés par le Parlement européen d'avoir versé frauduleusement des salaires d'un montant de près de cinq millions d'euros à des assistants parlementaires entre 2012 et 2017.

"Validé et approuvé"

Marielle de Sarnez a affirmé lundi soir dans un communiqué transmis à l'Agence France-Presse que le contrat de travail de son assistante parlementaire a été, "comme celui de tous (ses) assistants, validé et approuvé par le Parlement européen, encadré par des règles européennes bien plus strictes que les règles en vigueur en France". Cette assistante basée en circonscription étant par ailleurs élue locale, "sa situation a été déclarée et vérifiée par le Parlement européen", a ajouté Marielle de Sarnez qui assure que le travail en question "a été accompagné de rapports d'activité réguliers et consultables".
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Tous les matins ? Quand on lit ou on ouvre les médias de nouvelles affaires similaires d’arrangements douteux divers, pour ne pas dire autre chose chose de plus grave pour nos élus se ramenant à des avantages financiers pas toujours licites?!

Mais aussi :

Les attaques contre Richard Ferrand ne tarissent pas, à droite comme à gauche !

Ou encore :

Législatives : une candidate REM accusée d'avoir loué un logement insalubre etc. etc..?


Certains diront que c’est en périodes électorales (que « les boules puantes » se font sentir) comme avait dit un ex candidat à l’élection présidentielle qui en a payé l’addition !

Mais là, le trop c’est trop, peut-être à cause de cette loi « de moralisation de la politique » qui sera peut-être « un pétard mouillé » habituel comme d’autres avant elle, mais qui fait déjà peur à nos futurs élus, mais qui montre la veulerie de notre classe politique de trop de nantis ou l’argent roi et les avantages ne sont que le but recherché ?!


Jdeclef 30/05/2017 10h51

Toujours la même chose ce n'est pas cher payé pour ces élus politiciens véreux ?!

Thomas Thévenoud condamné à 3 mois de prison avec sursis et un an d'inéligibilité

VIDÉO. L'ancien secrétaire d'État au Commerce extérieur a été sanctionné, ainsi que sa femme, pour des retards et des oublis de déclarations d'impôts.


L'éphémère secrétaire d'État Thomas Thévenoud a été condamné lundi à trois mois de prison avec sursis et un an d'inéligibilité pour avoir déclaré en retard ses revenus entre 2009 et 2013. Député (ex-PS) sortant de Saône-et-Loire, Thomas Thévenoud, 43 ans, a récemment annoncé qu'il ne se représentait pas aux prochaines législatives et qu'il arrêtait la politique.
Son épouse Sandra, qui était chef de cabinet du président du Sénat, a elle aussi été condamnée à trois mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Paris. Le couple a ainsi été sanctionné par la justice pour avoir déclaré en retard ses revenus entre 2009 et 2013, et même pour ne pas les avoir déclarés du tout en 2012. Ils avaient régularisé leur situation en 2014 et se sont acquittés de 20 000 euros de pénalités. Présents au délibéré, ni Thomas Thévenoud ni son avocat, Martin Reynaud, n'ont souhaité s'exprimer.

Carrière brisée

Le parquet avait requis un an de prison avec sursis et cinq ans d'inéligibilité contre Thomas Thévenoud, et six mois de prison avec sursis contre son épouse. L'ascension politique de Thomas Thévenoud a été brisée net par cette affaire. Avec neuf jours au gouvernement, il est le ministre le plus éphémère de la Ve République, avec Léon Schwartzenberg en 1988, ministre délégué à la Santé du gouvernement Rocard.
Quelques jours après sa démission début septembre 2014, Le Canard enchaîné avait révélé en outre des impayés de loyer de l'ancien secrétaire d'État dans son appartement parisien. Le parlementaire avait dit à l'hebdomadaire souffrir d'une « phobie administrative ». Une « bêtise » qui a fait rire la France entière, « mais ça existe », avait-il déclaré à son procès, racontant avoir reçu des dizaines de témoignages de gens pour qui les démarches administratives sont difficiles. L'affaire Thévenoud avait atteint une nouvelle fois la « République exemplaire » prônée par François Hollande, après le scandale des comptes cachés à l'étranger de l'ex-ministre du Budget Jérôme Cahuzac.
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3 mois de prison (naturellement avec sursis…) et un an d’inéligibilité (alors que le procureur avait requis 1 an de prison et 5 ans d’inéligibilité ?)

Tout est dit, alors la fameuse loi sur la moralisation en politique devra être vraiment stricte avec des peines adéquates incompressibles effectivement appliquées !

On pourra juger de la valeur de cette loi, ou si comme d’autres, car elle risque d’être inefficace, car trop laxiste ?

Si l’on veut que ceux de ces magouilleurs politiciens élus de tous poils ne soient pas tentés de fraude ou corruption, prévarication ou pire encore !

Car déjà on note que chez certains élus du gouvernement ne sont pas nets et que d’autres sur les listes pour les élections législatives ne le sont pas non plus !

Ce qui montre bien que « le laissé aller » dans le monde politique français et ses institutions sont à assainir et qu’une fois de plus, il y a un gros travail à faire, car on veut comme d’habitude exiger encore plus de rigueur aux français et de discipline dans tous les domaines !

Donc, c’est à nos dirigeants au plus haut de l’état de montrer l’exemple et être sanctionné à la mesure des dérapages commis, quels qu’ils soient en cas de faute avec rigueur !


Jdeclef 30/05/2017 10h01

dimanche 28 mai 2017

Inutile de mettre une étiquette politique sur un acte lamentable ?!

La tombe du général de Gaulle vandalisée, deux personnes recherchées

Au cimetière de Colombey-les-Deux-Églises, la croix surmontant la sépulture de Charles de Gaulle a été brisée. L'acte politique est "peu probable".

En cette Journée nationale de la Résistance, un bien piètre hommage à celui qui en fut le héros. La tombe du général Charles de Gaulle, décédé le 9 novembre 1970 à l'âge de 79 ans, a été profanée samedi dans l'après-midi, a révélé France 3 Champagnes-Ardennes. La sépulture du général de Gaulle, qui se trouve au cimetière de Colombey-les-Deux-Églises (Haute-Marne), a été vandalisée. Un individu s'est hissé sur la croix sépulcrale et l'a brisée. Le cimetière a rouvert au public ce dimanche.
Deux individus sont recherchés, a déclaré Frédéric Nahon, le procureur de Chaumont. « La personne a agi seule, mais elle aurait été accompagnée par un autre individu qui était resté dans la voiture », a précisé le procureur. L'enquête se poursuivait dimanche et aucune piste n'était privilégiée, mais l'acte politique est « peu probable étant donné qu'aucune revendication n'a été faite », avait-il souligné samedi. « La tombe, filmée en permanence, a été dégradée à 17 h 14 par un individu seul qui est monté dessus et a donné deux grands coups de pied sur le socle de la croix de la tombe, provoquant la chute de celle-ci. Mais le socle de la tombe est resté intact », a décrit le magistrat. La gendarmerie a confirmé les faits. Aucune autre dégradation n'est à déplorer. Le vandale n'a par ailleurs laissé aucun tag, ni aucune inscription sur la tombe.

Moins d'une minute

La gendarmerie a confirmé que la croix d'environ 1,50 m surplombant la tombe avait été brisée, confirmant l'information de France 3 Champagnes-Ardennes. La dégradation s'est produite très rapidement, « en moins d'une minute », selon le procureur de la République, qui précise que l'auteur des faits, âgé d'une trentaine d'années, n'a pas commis d'autres dégradations avant de quitter le cimetière. « L'individu, que nous recherchons, aurait agi seul et n'avait pas le visage dissimulé. Il n'a fait aucune revendication, selon des témoins, bien qu'il semble qu'il ait craché sur la tombe », a-t-il ajouté.
La brigade de recherche de Chaumont et la communauté de brigades de Bologne ont été saisies alors que sur place, les constatations sont faites par les techniciens de l'identification criminelle de Chaumont. Ce site est accessible au public et surveillé par des « patrouilles physiques en cas d'affluence attendue », a expliqué la gendarmerie. Cette tombe renferme la dépouille du général de Gaulle depuis son décès en 1970 dans cette petite ville où il possédait une propriété. Il repose aux côtés de son épouse Yvonne et de sa fille Anne.

De nombreuses réactions

De nombreuses réactions, notamment de personnalités politiques se réclamant du gaullisme, ont très vite envahi les réseaux sociaux. « Profaner la tombe du Général de Gaulle le jour national de célébration de la Résistance est une provocation indigne », a écrit Valérie Pécresse, présidente de la région Île-de-France. « La tombe du général de Gaulle vandalisée... c'est la France qui est attaquée, souillée. Que ceux qui ont fait cela soient sévèrement punis », s'est indignée Nadine Morano, eurodéputée LR. Michèle Alliot-Marie, eurodéputée du Parti populaire européen. « N'oublions jamais que la France lui doit sa liberté. Quelle honte ! » a déploré Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la France.
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Une honte pour la France et les français et même pour le monde historique de par son passé européen !

Cela montre hélas, le fait que dans notre pays, on ne respecte rien, ni personne, ni la moralité, ni le vivre ensemble !

Que fera-t-on à ces individus si on les arrête ont les diras irresponsables, de toute façon on tolère tout, même l’intolérable dans notre société qui dérape depuis plus de trente ans !?

Ce grand homme a marqué notre histoire contemporaine, alors cela choque c’est bien normal, mais c’est l’éducation générale de notre population française qui se dégrade notamment depuis le début à l’école et par des parents qui n’encadre pas leurs enfants dès leur prime jeunesse!

C’est déplorable, les valeurs morales et l’histoire de notre pays que l’on enseigne déjà mal et de plus qui sont trop laissés de côté « allant à vau l’eau » favorisant le chacun pour soi et l’égoïsme, nos dirigeants et nos élus de tous bords souvent bien-pensant hypocrites ne font rien de probant pour améliorer cette situation qui se dégrade !


Jdeclef 28/05/2017 13h36 LP

jeudi 25 mai 2017

Martine AUBRY aboie, mais c'est fini comme « les chiens qui hurlent et la caravane passe » !

Législatives : Martine Aubry attaque Mélenchon et Macron

Entourée des candidats des cinq circonscriptions lilloises, l'ex-première secrétaire a accusé Emmanuel Macron de vouloir un parlement "à sa botte".

Sa parole se fait rare. Mais l'enjeu des législatives lui a paru trop lourd pour rester silencieuse. À Lille, comme dans d'autres grandes villes de France, Jean-Luc Mélenchon est arrivé en tête au premier tour de la présidentielle, avec 29,9 % des voix. En juin, la victoire des aubrystes est loin d'être assurée, notamment pour la députée sortante et conseillère municipale, Audrey Linkenheld, candidate dans la 2e circonscription. Le fidèle François Lamy pourrait bien échouer à emporter la première face à Christophe Itier, référent national d'Emmanuel Macron sur l'économie sociale et solidaire et dont le nom avait été évoqué pour entrer au gouvernement d'Édouard Philippe.
Autant de menaces qui ont conduit Martine Aubry à tenir, ce mercredi 24 mai, une conférence de presse à la fédération du PS de Lille. Entourée des candidats des cinq circonscriptions lilloises, elle a d'abord rappelé que « la vraie gauche est là ». « J'ai compris la colère des électeurs de Jean-Luc Mélenchon, mais là, c'est autre chose : le vote utile et efficace, c'est le PS. Je n'ai aucun doute sur le fait que Mélenchon soit un homme de gauche, mais la politique du rêve, ce n'est pas ce qu'il convient de défendre, ce n'est pas comme ça qu'on change la vie des gens », a martelé Martine Aubry.

Macron va « casser cinquante ans de progrès social »

Sa conférence de presse s'est très rapidement transformée en réquisitoire contre Emmanuel Macron. « Je ne le déteste pas, mais le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il connaît mal la France : il a grandi dans un milieu privilégié à Amiens, a fait carrière dans la finance… Je ne souhaite pas son échec et je serai dans une opposition constructive. La France va trop mal pour être dans la contestation permanente, mais nous serons vigilants. » La maire de Lille s'est dite très inquiète sur les réformes annoncées par Emmanuel Macron, en particulier sur la refonte du Code du travail : « C'est casser cinquante ans de progrès social. »
L'ex-premier secrétaire du PS, qui a lancé avec Anne Hidalgo et Christiane Taubira, le mouvement Dès Demain !, ne dit pas encore comment elle compte concrètement contribuer au redressement du PS. Mais elle affirme vouloir continuer à défendre « les valeurs de la gauche, qui ne sont pas mortes », taclant au passage Manuel Valls, qui a récemment annoncé la mort du PS. Elle a aussi mis en garde les électeurs contre ceux qui appellent à donner une majorité au nouveau président : « On a besoin d'avoir des oppositions républicaines. Avoir un parlement à sa botte, ce n'est pas être démocrate, c'est être dans l'autoritarisme. Et si nous en sommes là, c'est parce que la politique a reculé, parce qu'on ne parle plus des valeurs. Or, on ne gère pas un pays avec un taux d'endettement, mais avec un projet », a lancé Martine Aubry, manifestement très ébranlée par la recomposition politique en cours. « J'ai 66 ans et j'ai l'impression que tout ce que j'ai fait est abîmé, cassé. Mais je donne six mois à Macron pour se rendre compte de la difficulté des choses. »
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M.AUBRY bouffie d'orgueil passé, ex éléphante d'un parti PS moribond, quel a contribué indirectement à faire perdre, frondeuse d'un socialisme dogmatique dépassé devrait enfin passer la main comme F.HOLLANDE et prendre sa retraite, elle est finie !

D'ailleurs, crise qui  touche tous ces partis ringards PS/LR/extrême gauche et droite figé dans leurs conservatismes débiles idéologiques, ce regardant le nombril que les français rejettent avec leurs politiciens médiocres trop vieux et ringards !


Jdeclef 25/05/2017 13h18

C'est mal connaitre le monde des affaires (dit civiles) et le monde politique de ces dernières années !

Affaire Ferrand : une première épine dans le pied d'Emmanuel Macron

Alors que le président et François Bayrou travaillent à une opération de moralisation de la vie politique, les révélations du Canard Enchaîné tombent mal.

Richard Ferrand est l'un des premiers et des plus fervents soutiens d'Emmanuel Macron. Mais son implication dans une affaire immobilière révélée par Le Canard enchaîné, ainsi que l'embauche de son fils comme collaborateur parlementaire pendant un temps, constitue une première épine dans le pied du président, estime la presse jeudi.
« En pleine opération de moralisation de la vie politique, qui est fragilisée, cet accroc est un coup dur bien réel. C'est une véritable épine dans le pied d'Emmanuel Macron », affirme ainsi Olivier Pirot de La Nouvelle République du Centre-Ouest. Dans La Voix du Nord, Hervé Favre rappelle de son côté que « la mise en cause touche un pilier du nouveau pouvoir, compagnon de la première heure du président et ministre en charge du logement ». Avant d'ajouter : « Pour Emmanuel Macron, qui a mis tout en haut de son agenda la moralisation de la vie publique, ce cadeau-là est donc très mal venu. »
« Il intervient au moment où le gouvernement nous joue la petite musique de la République propre », note également Yann Marec dans le Midi libre, qui se demande si « ce couac » ne va pas « se transformer en boulet » pour le chef de l'État. En tout cas, « l'affaire tombe très mal pour Macron », reconnaît Nathalie Raulin de Libération. Pour la journaliste, « elle brouille la volonté de moralisation de la vie publique que le mouvement macronien a placée au cœur de sa campagne législative ». Le ministre de la Cohésion des territoires, secrétaire général de La République en marche, « pris à son tour dans la tourmente des affaires », écrit de son côté Le Figaro.

Pris au piège

Certes, « sur le papier, rien d'illégal, mais cette révélation fait mauvais genre concernant une des pièces maîtresses de l'équipe de Macron qui a fait de la transparence et de la probité son cheval de bataille », écrit pour sa part Le Parisien, qui y voit une « embarrassante affaire ». Didier Rose, des Dernières Nouvelles d'Alsace, parle lui de « déconvenue pour Macron, qui se présente en chevalier blanc de la République », et d'une affaire qui constitue un « soupçon qui s'invite au gouvernement ». « Pour un mouvement pressé de tourner la page des affaires, c'est beaucoup », déplore-t-il.
Dans Le Journal de la Haute-Marne, Patrice Chabanet préfère ironiser. Pour lui, Richard Ferrand est « rattrapé par la patrouille ». Avant d'analyser : « On saura très vite si c'est un simple couac de démarrage pour l'équipe gouvernementale ou un premier accroc sérieux. » « Moins de 15 jours après la formation du gouvernement, un ministre se retrouve sur la sellette et Emmanuel Macron voit tanguer un maillon fort de son dispositif », s'inquiète pour sa part Christophe Lucet, dans Sud-Ouest. « Il est pour le moins gênant qu'il soit mis en demeure de répondre à ses détracteurs sur le thème aussi emblématique que prioritaire de la moralité publique », conclut l'éditorialiste.

(De toute façon ce gouvernement est provisoire avant les législatives ?!)

L'argent roi étant le nerf de la guerre en tout genre, que ce soit le show byz ou le sport avec magouilles en tous genre, alors la politique aussi y a cour, il est difficile de trouver des politiciens totalement innocents comme « l’agneau qui vient de naitre » !

Peut-être qu'avec cette nouvelle loi de moralisation, si elle bien appliquée avec rigueur et surtout efficace améliorera ces pratiques de privilèges divers, bien que semble-t-il incomplète et surtout qu’elle sera bordée de contrôles indépendants des élus de tous bords !

Mais pour le passé semble-t-il, les nouvelles lois ne sont pas rétroactives ?!

En ce qui concerne FERRAND le « Canard Enchainé  journal spécialisé a du grain à moudre » avec les histoires diverses de nos chers élus et n’a surement pas eu trop de mal à remonter dans le passé de certains, surtout quand ils se croient dans la toute légalité de ce qu’ils font !

Pour ce nouveau ministre, le parquet financier a dit ne pas déclencher d’information judiciaire contre lui à ce jour ?!

Donc la sanction, s’il y en avait une à l’encontre de Mr FERRAND appartient s’il y a lieu à son 1er ministre de patron et surtout au président MACRON !

Et surtout pas aux aboiements de l’opposition droite ou droite extrême, et  extrême gauche ou socialiste en l’absence de décisions judiciaires !


JDECLEF 25/05/2017 11h41LP

Bien sûr aux médias en général et humoristes, il manquera, tellement il y avait matière à écrire sur ce président que ce soit sur sa vie privée ou sur sa façon de gérer le pays !

François Hollande : "Les journalistes me regretteront"

L'ancien chef de l'État s'est laissé aller à quelques confidences sur le rapport à la presse du nouveau président, raconte "Le Canard enchaîné".

L'un adorait la presse, l'autre semble s'en méfier. Quinze jours après la passation des pouvoirs, François Hollande s'est laissé aller à quelques confidences. « Vous verrez, les journalistes me regretteront bientôt », relate dans un entrefilet Le Canard enchaîné, qui prête à l'ex-chef de l'État ce commentaire lancé devant des visiteurs.
La relation de François Hollande avec les journalistes a fait jaser pendant tout son quinquennat. Il a été reproché à l'ancien président de passer trop de temps avec des journalistes et de se montrer trop prodigue en confidences. En témoignent les réactions qui ont accompagné la sortie d'Un président ne devrait pas dire ça, un livre d'entretiens avec deux journalistes du Monde.
Son successeur à l'Élysée, lui, n'emprunte pas le même chemin, ce qui semble tendre les relations entre la presse et le Château. Emmanuel Macron souhaite en effet une sorte de « retour aux sources » avec un président qui intervient moins dans les médias. Et il aura fallu moins d'une semaine de gouvernance pour qu'une vingtaine de rédactions se fendent d'une lettre ouverte pour dire leurs « inquiétudes quant à l'organisation de la communication présidentielle ».
« On a dit que je parlais trop à la presse, que je faisais trop de off. Mais, en me faisant ce procès, les journalistes ont scié la branche sur laquelle ils étaient assis, décrypte l'ex-chef de l'État. Ils vont très vite le constater : Macron ne leur parlera que très rarement et tentera de tout maîtriser. » Heureusement pour eux, ils pourront toujours compter sur François Hollande.
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Une manne d’informations « ses confidences diverses » et autres plus sérieuses qu’il aurait fallu cacher et sur son attitude puérile et son égo tournant au ridicule, car il ne semblait pas s’en rendre compte, tellement il était bavard parlant pour ne rien dire !

Cet homme arrivé président, élu par défaut ne méritait pas cette fonction, et n’était pas fait pour celle-ci, les français lui ont fait comprendre, mais bien sûr, il ne les écoutait pas (comme d’autres avant lui, car tous nos présidents se prenant comme des monarques !)

Et pour finir son quinquennat médiocre en jetant l’éponge pour ne pas se représenter, çà montrait bien son personnage pleutre, pas à la hauteur de la situation de son pays ?!

Si c’est dans la catégorie des présidents médiocres de cette V eme république qu’il voulait être, il a parfaitement réussi, et maintenant continue à pérorer dans le vide pour essayer encore d’exister pitoyablement à travers les médias..!


Jdeclef 25/05/2017 09h51LP

mercredi 24 mai 2017

Si on avait le temps on les plaindrait ces professionnels PS profiteurs de la politique !

Le PS redoute aussi une déroute... financière

En cas de large défaite aux législatives, le PS perdra une grande partie des aides publiques de l'État. À Solférino, plusieurs scénarios sont à l'étude...


Et voici la grande trouille de 1993 qui point à nouveau. Cette année-là, le groupe socialiste à l'Assemblée se réduit à 57 députés. Évidemment, d'un point de vue politique, les socialistes perdent beaucoup de poids. Mais les finances en prennent aussi un coup, puisqu'une partie du budget du parti est alimentée par les aides publiques et les cotisations des parlementaires. Près d'un quart de siècle plus tard, l'inquiétude gagne à nouveau Solférino. Secoué par la lourde défaite à la présidentielle, pris en tenaille entre En marche ! et La France insoumise de Mélenchon, le Parti socialiste risque d'être balayé aux législatives. Un sondage Opinion Way, publié au début du mois dans Les Échos, évalue le futur groupe socialiste à l'Assemblée dans une fourchette comprise entre 28 et 43 élus... Un résultat qui signifierait une petite saignée dans les finances du parti.
« C'est pénible d'entendre dans tous les médias qu'on est déjà mort », s'énerve un peu Jean-François Debat, maire de Bourg-en-Bresse et trésorier du PS. L'homme refuse, comme on s'en doute, de céder à la panique. Il reste trois semaines environ avant le deuxième tour des législatives et le PS entend bien faire mentir les mauvais augures. Mais la menace d'un fiasco financier est réelle. Comme tout parti, le PS est financé, pour environ 40 %, par l'aide publique. Son montant est déterminé, pour cinq ans, par le nombre de voix obtenues lors du scrutin législatif, et par le nombre d'élus (Assemblée nationale et Sénat). Grâce à son résultat obtenu en 2012, le PS a reçu chaque année un peu plus de 10 millions d'euros grâce aux voix qui se sont portées sur ses candidats, et près de 15 millions grâce à ses élus.

Évaluer le trou

C'est donc au lendemain du deuxième tour, le 19 juin, que les argentiers du PS sortiront les calculettes pour évaluer le trou. Si le nombre de députés est divisé par quatre (il compte aujourd'hui  287 élus), la manne financière sera réduite dans les mêmes proportions. Certes, le PS n'est pas au bord de la faillite, loin de là. « Contrairement à nos « collègues » des Républicains, nous n'avons pas de dette et nous sommes propriétaires de notre siège. Nous ne sommes pas démunis pour affronter une période de vaches maigres », précise Jean-François Debat. Mais il faut bien, malgré tout, anticiper la diminution des aides financières. « Nous ferons comme tout agent économique qui voit ses recettes se réduire, nous ajusterons d'autant les dépenses », explique le trésorier.
Le budget, d'environ 55 millions d'euros, sera réduit. « Depuis plusieurs semaines, nous évaluons trois scénarios, un négatif, un moyen et un positif. Je vous avoue que je ne regarde plus beaucoup le positif, qui se fonde sur le fait que nous conserverons la majorité à l'Assemblée ! », confie Jean-François Debat. Avec le premier secrétaire, Jean-Christophe Cambadélis, et le secrétaire général du PS, le trésorier passe en revue les différentes fonctions et les différents postes du parti, afin d'évaluer ceux qui seront ou non réduits. Il n'est pas impossible qu'en fonction de la gravité de la situation, certains postes soient supprimés. « Aucun n'est exempt par principe », explique Jean-François Debat.

L'attitude des ténors

Encore une fois, il est trop tôt pour connaître l'effet des élections sur les finances du parti. On ne connaît pas exactement, par exemple, l'attitude des ténors socialistes qui font campagne en taisant leur appartenance au PS, comme Manuel Valls, Marisol Touraine ou Myriam El Khomri. S'ils se sont revendiqués du PS lors du dépôt de leur candidature en préfecture, les voix qu'ils engrangeront — et donc l'argent public — iront à Solférino. « J'ose espérer que nos camarades l'ont fait », prie Jean-François Debat sans trop y croire. De même, s'ils se rattachent ensuite au groupe socialiste à l'Assemblée — ce qui paraît peu probable —, ils permettront au PS de toucher les subsides publics. Au PS, on en est réduit à croiser les doigts. 
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Mais ils devraient faire comme pour SARKOZY et son « sarkoton » pour l’UMP en appeler aux militants, en organisant une quête, l’argent n’a pas d’odeur n’y l’amour propre !

Sauf qu’avec ce CAMBADELIS nul et aussi pleutre que F.HOLLANDE (qui lui profite d’une retraite dorée), il ne fait pas le poids, et en plus, il risque de disparaître aux législatives dans le flux de la « République En Marche » vers le caniveau des perdants, après que l’on est tiré la chasse d’eau !

Mais après avoir eut ses divisions au PS et à gauche d’ailleurs et les égos de ses éléphants vieillissants, « ce n’est pas quand on a le nez dedans de dire maintenant que ça sent mauvais » ?!

Le PS devra se rénover s’il veut survivre mais ne pas attendre trop longtemps, car ils méritent cette situation, qu’ils ont laissé venir en se regardant le nombril, alors ils en paient l’addition, mais n’en n’ont plus les moyens !


Jdeclef 24/05/2017 14h40

Un attentat de plus, en Europe et on prolonge l'état d'urgence en France mais on ne l’applique pas assez sévèrement !

L'Élysée demande au Parlement la prolongation de l'état d'urgence jusqu'au 1er novembre

"Pour concrétiser ses engagements", le président Emmanuel Macron souhaite également une nouvelle loi pour lutter contre le terrorisme.

Emmanuel Macron a présidé ce mercredi 24 mai le deuxième Conseil de défense de son quinquennat, deux jours après l'attentat-suicide à Manchester qui a fait 22 morts. Le nouveau chef de l'État demandera au Parlement la prolongation de l'état d'urgence, qui devait arriver à échéance le 15 juillet, jusqu'au 1er novembre. « Le président de la République a décidé que le Parlement serait saisi d'une prolongation de l'état d'urgence [instauré après les attentats de novembre 2015 et déjà prolongé à cinq reprises] jusqu'au 1er novembre », a déclaré la présidence dans un communiqué publié à l'issue du Conseil de défense.
Emmanuel Macron souhaite également une nouvelle loi pour lutter contre la « menace terroriste » et a demandé « au gouvernement de proposer des mesures de renforcement de la sécurité hors état d'urgence afin qu'un texte législatif soit préparé dans les prochaines semaines ». « Pour concrétiser ses engagements », le président a « donné des instructions pour la mise en place du centre de coordination des services engagés dans la lutte contre le terrorisme, dont l'organisation sera arrêtée, sous son autorité, par le Conseil de défense et de sécurité d'ici au 7 juin », poursuit la présidence.
Toujours selon l'Élysée, Emmanuel Macron a une nouvelle fois « souligné la solidarité qui unit la France et le Royaume-Uni dans la lutte contre le terrorisme » après l'attentat qui a fait 22 morts, dont des enfants, à la sortie d'un concert lundi soir à Manchester (Grande-Bretagne). « Le Conseil a examiné les moyens d'apporter toute l'assistance possible à l'enquête menée par les autorités britanniques », poursuit la présidence, précisant qu'il « a étudié les implications de cette nouvelle attaque terroriste sur les mesures de protection mises en œuvre pour assurer la sécurité de nos concitoyens et contribuer à celle de nos partenaires européens ».
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Une précaution plus morale qu’autre chose, car cela ne change rien dans la vie quotidienne des français depuis qu’il est en place ?!

Surtout dans les grandes métropoles PARIS, MARSEILLE, NICE etc…

Les français ont appris à comprendre que ces fous terroristes criminels frappent partout ou ils veulent et quand ils veulent et n’ont aucune pitié pour la vie humaine !

Seules des enquêtes d’investigations pointues sur le terrain des grandes villes ou régions et départements sensibles dans des lieux connus pouvant abriter ce type d’individus malfaisants peut donner des résultats en matière de renseignement, mais ils faut des effectifs formés pour et plus nombreux !

Et une justice très ferme qui laisse travailler la police et services de renseignements au mieux sans freiner leurs actions par des arguties juridiques protégeant trop les criminels (quand on les arrête plutôt que les victimes !)

Le terrorisme doit être traité à part de tout autres délits ou crimes avec une sévérité exemplaire !

Car ceci en passant car malgré l’état d’urgence celui-ci n’empêche en rien les malfrats et la délinquance de tous poils de sévir et perdurer et ne semble pas les gêner dans leurs petites affaires au quotidien !


Jdeclef 24/05/2017 12h33 LP

NICOLAS HULOT ministre populaire (écologiste) mais cela suffit-il ..?

Bruckner : à quoi sert Nicolas Hulot ?

Emmanuel Macron vante le progrès. Mais c'est un prophète de la catastrophe qui entre au gouvernement, selon le philosophe.

Le Point : L'écologie ne semblait pas une préoccupation majeure d'Emmanuel Macron. Nicolas Hulot numéro trois du nouveau gouvernement, est-ce un simple trophée ?
Pascal Bruckner : Nicolas Hulot est une prise de guerre qui dérobe à la gauche un de ses thèmes de prédilection. Figure sympathique et populaire, inapte au cynisme, Hulot, avec son air de Tintin triste qui aurait endossé l'habit de Philippulus (le fou qui prophétise la fin du monde dans L'Étoile mystérieuse), n'a jamais varié dans ses convictions depuis vingt ans. L'occasion lui est donnée de mettre en application une partie de son programme et donc de quitter la posture de la dénonciation pour celle de la proposition.
Que vous inspire le changement d'appellation de ministère de l'Écologie, de l'Énergie et de la Mer à ministère de la Transition écologique et solidaire ?
Les mots ont leur sens : la transition, c'est encore le mouvement, la marche vers un avenir meilleur, et l'adjectif solidaire rajoute une petite touche sociale qui ne nuit pas, même parachuté là de façon arbitraire. Cela veut dire que le souci environnemental rejoint le combat en faveur des plus faibles.
Déjà les dames de la Cour, sous l'Ancien Régime, s'entouraient de confesseurs austères qui leur promettaient les feux de l'enfer si elles persistaient dans leur vie de plaisirs...
Le Premier ministre, Édouard Philippe, a été lobbyiste pour Areva, tandis qu'Hulot souhaite sortir du nucléaire à moyen terme. Quelle cohérence dans tout ça ?
La nomination d'Hulot a un double but : lui permettre d'assurer la fermeture de Fessenheim et d'entériner l'abandon du chantier de Notre-Dame-des-Landes, que François Hollande n'a pas osé mettre en oeuvre durant son quinquennat. Le nouveau président a mieux à faire que de rouvrir un foyer de tension avec les zadistes et les agriculteurs de Loire-Atlantique. Hulot pourra dire qu'il a mis un terme à l'existence d'une centrale nucléaire en fin de parcours et qu'il a définitivement enterré la construction d'un aéroport jugé démesuré par de nombreux habitants. Ne nous payons pas de mots : Notre-Dame-des-Landes n'aura pas lieu. Les néo-primitifs violents (écoguerriers, Black Blocs), les éleveurs et les défenseurs des tritons ont gagné. À méditer pour les prochains chantiers. Il est très étrange de voir que l'écologie, grande critique des illusions du progrès, continue à parler le langage du progressisme classique, celui du monde d'hier et du monde de demain. Elle reste prisonnière du cadre théorique et historique qu'elle remet en cause. Par ailleurs, je ne suis pas certain qu'on puisse enterrer le nucléaire d'une simple pirouette, pas plus que le pétrole ou le gaz de schiste. Pour l'instant, les énergies alternatives n'assurent qu'un tout petit pourcentage de nos besoins.
Un gouvernement libéral, qui défend la croissance, est-il philosophiquement compatible avec un ministre qui, comme son ami Pierre Rabhi, prône la « sobriété heureuse » ?
Sobriété heureuse était déjà, je crois, le mot d'ordre du régime de Pétain, qui voulait punir la France d'avoir trop joui. Quant à Pierre Rabhi, dont je ne conteste pas la sincérité, il est la coqueluche des stars mondiales et du CAC 40. Le système a besoin d'un contrepoids médiatique et philosophique pour se donner un supplément d'âme. Déjà les dames de la Cour, sous l'Ancien Régime, s'entouraient de confesseurs austères qui leur promettaient les feux de l'enfer si elles persistaient dans leur vie de plaisirs...
Comment voyez-vous l'homme Hulot ? Surnommé « commandant couche-tôt » par ses proches, il a des airs de janséniste à mille lieues de l'insouciance de ses années d'aventures en ULM dans Ushuaia...
Hulot est la contradiction faite homme : ses adversaires l'appellent « l'hélicologiste », car il a beaucoup voyagé en hélicoptère. Il expie par sa mine grave son passé d'animateur télé. Il est riche, sa fondation est financée par EDF et L'Oréal, mais il s'obstine à contester le monde qui l'a fait roi et se veut « anticapitaliste ». Il adopte la mine grave de celui qui prédit l'Apocalypse pour demain matin. Il a été nommé « délégué spécial à la planète » par Hollande. Rien que ça ! À quand les délégués au cosmos ? Parler au nom de la nature ou de la planète peut engendrer une certaine fatuité. On peut leur faire dire n'importe quoi, car elles ne viendront jamais vous contredire. Le catastrophisme est inséparable d'une certaine mégalomanie et de la pose prophétique.
L'écologie, étant devenue le souci de tous, a périmé les partis écologiques
Nicolas Hulot impute à l'homme des typhons et autres fléaux météorologiques. Lors de la COP21, il est allé jusqu'à évoquer une sécheresse en Syrie qui aurait contribué à la guerre dans ce pays...
On est là dans un mythe moderne et un délire interprétatif qui voudrait relier le réchauffement climatique et l'élévation du niveau de la mer avec le djihadisme ou la guerre. C'est la thèse de l'Allemand Harald Welzer. On prend des causes indirectes pour des causes premières. Pour l'instant, les migrations sont dues essentiellement à la violence, au fanatisme religieux et à la misère. L'idée que la nature se vengerait de l'insouciance humaine en déclenchant des tempêtes relève de la fantasmagorie : par un curieux retour de bâton, on anthropomorphise Gaïa au moment ou l'on conteste la suprématie de l'homme.
En 2011, il a échoué à la primaire écologiste et s'est vu reprocher, par la frange gauchiste des Verts, ses liens avec des multinationales. N'est-ce pas pour vous une bonne nouvelle que l'écologie redevienne transpartisane ?
La manière dont les partisans de Mme Joly ont traité Nicolas Hulot en 2011 est scandaleuse, puisqu'on est allé jusqu'à lui déverser une poubelle sur la tête en Bretagne. Ces staliniens verts ont gardé les pires méthodes de l'ultragauche. La vérité, c'est que l'écologie, étant devenue le souci de tous, a périmé les partis écologiques. Ils sont désormais inutiles. La preuve : leur absence du scrutin présidentiel. En plus, ils se détestent entre eux et forment comme autant de sectes.
Vous défendez une « écologie de la raison ». Quelles seraient pour vous les priorités d'un nouveau ministre chargé de ce dossier ?
Trois choses : cesser de criminaliser le genre humain comme si nous étions coupables d'exister et de vouloir améliorer notre sort. L'écologie de la raison tente de penser ensemble le développement et la protection de l'environnement. Ensuite, encourager l'innovation à tout prix : seule la recherche « sauvera » la planète, si tant est que cette dernière ait besoin d'être sauvée. En d'autres termes, le remède est dans le mal, dans cette civilisation industrielle honnie, cette science qui effraie. Il faut transformer la raréfaction des ressources en richesse des inventions. Enfin, il est un projet qui me paraît contraire à tous les enseignements de l'écologie : faire de Paris une ville olympique en 2024. Entreprise ruineuse, contraire aux engagements de campagne de Mme Hidalgo en 2014, qui va contribuer à engorger un peu plus la capitale, nous endetter pour des décennies. Paris est déjà magnifique, il n'a nul besoin d'être olympique. Si Nicolas Hulot pouvait arrêter cette course folle, motivée par la démesure et la volonté de puissance, il aurait bien mérité de la patrie.
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E.MACRON l’opportunisme machiavélique l’a-t-il piégé ?!

Cela semble plus à un mariage de raison avec "le Macronisme" ou à un faux cadeau pour faire plaisir au bon peuple gogo !

Car depuis que les écolos (apprentis politique, « empêcheurs de tourner en rond ») existent les différents gouvernements les ont courtisés en leur donnant des postes importants aux gouvernements pour des raisons essentiellement électorales et les résultats après ont été médiocres ?!

Mais celui-ci a une aura envers le peuple par son passé télévisuel de documentaires spectacles qui l’on fait connaitre, un vernis qui pourrait craquer!

Pour le reste, « c’est au pied du mur que l’on voit le maçon », car quand on voit ses prédécesseurs notamment Ségolène royal pour la nommer, on avait déjà un fiasco ou d’autres connus inutile de les nommer qui se sont succédés, une galerie de pattes cassées plus médiocres les uns que les autres !

Alors on est réduit à ce dire pour ce brave HULOT avec son caractère entier, écologiste semblant pur jus bio, combien de temps tiendra-t-il, car quand même en opposition avec les idées générales d’E.MACRON et de son 1er ministre ?!


Jdeclef 24/05/2017 09h44 LP