Valls veut être "candidat de la majorité
présidentielle"
La bataille des législatives est lancée. L'ex-Premier
ministre a dit sur RTL qu'il voulait s'inscrire dans le mouvement de Macron, La
République en marche.
Au surlendemain de sa victoire avec 66,1 % des voix, le
président Emmanuel Macron prépare déjà les élections législatives grâce
auxquelles il espère obtenir une majorité absolue à l'Assemblée nationale.- Lundi, Emmanuel Macron a démissionné de la présidence d'En marche !, qui doit aussi changer de nom pour devenir La République en marche !. Il est remplacé par Catherine Barbaroux, qui est nommée présidente par intérim.
- On connaîtra les 577 candidats aux législatives du mouvement d'Emmanuel Macron avant jeudi midi.
- À droite comme à gauche, on prépare aussi les scrutins des 11 et 18 juin prochains.
- Un bureau politique des Républicains doit se tenir ce mardi en fin d'après-midi au siège du parti.
- De son côté, le PS réunit ses candidats aux législatives à la Mutualité à Paris. Le parti se trouve à l'heure des choix : doit-il appartenir à la majorité d'Emmanuel Macron ? à l'opposition ?
- Côté gouvernement, les spéculations vont bon train, alors qu'un Premier ministre de droite n'est pas exclu.
- Bruno Le Maire (LR) s'est dit disponible, tandis que Christian Estrosi a relancé les spéculations en démissionnant dans la soirée de la région Paca pour redevenir maire de Nice
- La passation des pouvoirs entre Hollande et Macron aura lieu dimanche 14 mai au matin, vers 10 heures. François Hollande a effectué lundi soir sa dernière visite à l'international. Il est allé rendre visite à Angela Merkel à Berlin, qui avait aussi eu les honneurs de sa première visite en 2012.
09 h 16
- Étienne Gernelle : "Il rôde dans les esprits l'impression qu'il s'agit
là d'une dernière chance"
Pour
Étienne Gernelle, directeur du Point,
la révolte du penseur italien Machiavel contre la procrastination des sages
florentins, prompts à "jouir du bénéfice du temps", doit inspirer le
président Macron.: Machiavel et le "petit prince"
09 h 09
- François Hollande entame sa semaine d'adieux
François
Hollande a dédié son dernier déplacement international à Angela Merkel, lundi
soir, cinq ans après lui avoir consacré sa première visite, le soir même de son
investiture le 15 mai 2012. "La chancelière voulait saluer ce
que nous avions fait ensemble lors de la crise de l'euro, sur la Grèce,
l'Ukraine ou le climat, autant d'événements qui nous avaient considérablement
rapprochés", a confié le président sortant à l'Agence France-Presse dans
le Falcon qui le ramenait à Paris. La semaine prochaine, ce sera au tour
d'Emmanuel Macron de consacrer, tout comme François Hollande en 2012, sa
première visite à un dirigeant étranger à la chancelière allemande. : Hollande et Merkel : un dîner d'adieu "amical" à Berlin
08 h 41
- Éric Ciotti : "Le parti socialiste est en marche"
Le
député des Alpes-Maritimes Éric Ciotti a déclaré sur BFM TV ne pas faire
confiance à Emmanuel Macron sur sa capacité à rompre avec François Hollande.
Chez nous, on nous prédisait une fracture, voire une explosion ou implosion,
mais aujourd'hui on est là, il n'y a pas eu d'implosion, pas de départ, et
notre famille a choisi à l'unanimité que François Baroin soit notre leader aux
législatives." Et d'ironiser : "Le Parti socialiste est en
marche."Éric Ciotti a également rappelé son opposition à Bruno Le Maire, l'ancien candidat à la primaire de droite qui multiplie les déclarations bienveillantes à l'égard d'Emmanuel Macron : "Ce que propose Bruno Le Maire, c'est la confusion. Je ne veux pas la confusion, que la vie politique se résume à une coalition hétérogène et le FN."
08 h 28
- Christophe Castaner rappelle que l'investiture de Manuel Valls n'est pas
encore actée
Christophe
Castaner, député et porte-parole du mouvement En marche ! d'Emmanuel
Macron, a réagi sur Twitter à l'annonce de Manuel Valls selon laquelle il est
candidat de la majorité présidentielle : "J'ai beaucoup de respect
pour Valls, mais l'investiture n'est pas automatique. Il devra faire acte de
candidature, comme moi."
8 h 22
- Valls : "Je serai candidat de la majorité présidentielle" pour les
législatives
L'ancien
Premier ministre socialiste Manuel Valls a annoncé mardi qu'il serait
"candidat de la majorité présidentielle" aux élections législatives
de juin, souhaitant s'"inscrire" dans le mouvement du président élu
Emmanuel Macron. "Comme j'invite d'ailleurs tous les députés sortants, les
progressistes, ceux qui ont appelé à voter Emmanuel Macron avant le premier
tour, ceux qui souhaitaient sa victoire, moi, je serai candidat de la majorité
présidentielle, et souhaite m'inscrire dans ce mouvement qui est le sien, La
République en marche", a-t-il déclaré sur RTL. Le Parti socialiste
"c'est une histoire pour moi (...). Mais ce Parti socialiste est mort, il
est derrière nous. Pas son histoire et ses valeurs.", a notamment estimé
Manuel Valls.
8 h 13
- Que pensent les principaux dirigeants syndicaux du nouveau président ?
Jean-Claude
Mailly, secrétaire général de Force ouvrière, décrit Emmanuel Macron comme un
homme qui "écoute" mais "entend beaucoup moins". Philippe
Martinez, le numéro 1 de la CGT, confie quant à lui au Point.fr son
scepticisme face à un quinquennat Macron. : Jean-Claude Mailly : "Macron peut accentuer la fracture sociale"
Martinez : "À la CGT, on maîtrise nos sujets, mais Macron..."
08 h 10
- Les femmes et les hommes du président
Compagnons
de la première heure, fidèles, conseillers, ralliés, soutiens, comment la garde
rapprochée du président élu se compose-t-elle ?Emmanuel Macron : les femmes et les hommes du président
07 h 54
- Comment le nouveau président va-t-il franchir le mur des législatives ?
La
marche vers l'Élysée du nouveau président a été triomphale, mais son élection
reste le résultat d'une conjoncture électorale plus que singulière, avec pour
adversaire une candidate d'extrême droite qui fait toujours peur à une majorité
de Français et qui s'est autodissoute lors de sa choquante prestation du
« débat » de second tour. Si le « vote républicain » a joué
en faveur d'Emmanuel Macron, le soutien du vote populaire reste très modéré.
Cela augure une difficile bataille législative pour obtenir la majorité qu'il
désire pour conduire ses réformes. Président Macron : un premier mois décisif
07 h 51
- Une France coupée en deux
Dépassant
les 80 %, Emmanuel Macron réalise des scores considérables dans les
grandes villes. La candidate du FN lui tient tête dans les territoires ruraux
et les régions ouvrières du Nord.Présidentielle : Macron des villes, Le Pen des champs
07 h 25
- Qui est Brigitte Macron, la nouvelle première dame ?
Brigitte
Macron a vécu toutes les métamorphoses, affronté aussi toutes les médisances.
Brigitte Macron à l'Élysée, que restera-t-il de sa liberté si chèrement
conquise ?
7 h 11
- La stratégie du PS : s'allier ou non avec Macron ?
Encore
sonné par la défaite de son candidat Benoît Hamon avec un peu plus
de 6 % des voix au premier tour de la présidentielle, le Parti
socialiste rassemble ce mardi ses candidats aux législatives à la Mutualité à
Paris. Le parti se trouve à l'heure des choix : doit-il appartenir à la
majorité d'Emmanuel Macron ? À l'opposition ? Pour Bernard Cazeneuve,
qui doit conduire la bataille des législatives pour le PS, et a dit lundi
exclure "totalement" d'entrer au prochain gouvernement, pas question
de se draper dans une posture d'opposant face à Emmanuel Macron. Mais Benoît
Hamon, qui semble vouloir disputer à Jean-Luc Mélenchon le costume de premier
opposant de gauche, appelle à un "maximum de candidatures d'union à
gauche" pour les législatives, mélenchonistes comprises.De son côté, Manuel Valls et son fidèle lieutenant, Jean-Marie Le Guen, ont multiplié les appels au rassemblement avec Emmanuel Macron.
Coignard - À la soupe, soupe, soupe…
07 h 10
- Bureau politique des Républicains
À
droite, Les Républicains sont partagés. François Baroin, qui mènera la campagne
des législatives, a averti Bruno Le Maire qu'il affronterait un candidat LR
dans sa circonscription s'il intègre le gouvernement d'Emmanuel Macron. Un
bureau politique doit se tenir ce mardi en fin d'après-midi au siège du parti.
La droite divisée face à Macron
La droite divisée face à Macron
Il est forcément plus près du président MACRON dans la même tranche d’âge et dynamique
et libéral, son choix n’est pas illogique, il a une expérience du pouvoir !
Mais avec son caractère s’entendra-t-il avec ce nouveau président pas si sûr ?
Il est vrai qu’il a perdu son temps avec HOLLANDE le pleutre qui tergiversait sans cesse et qui lui a mis des bâtons dans les roues !
Mais peut être un poste de ministre ( à l’intérieur peut être) mais pas de 1er ministre, mais ne rêvons pas si E.MACRON ne veut pas s’entourer de trop d’anciens (PS de gauche en plus) ce n’est pas le meilleur choix.. ?
Jdeclef 09/05/2017 10h23
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