Législatives : Mélenchon devrait être candidat à
Marseille
Le feuilleton sur la candidature de Manuel Valls se
poursuit : il ne remplit pas "à ce jour" les critères fixés par
En marche ! Pour les législatives.
La
bataille pour les législatives est lancée. Le Parti socialiste, Les
Républicains et le FN se sont réunis pour définir chacun leur stratégie. Le PS
s'est accordé tant bien que mal sur un programme, sans Manuel Valls, qui va
briguer l'investiture En marche ! et a lancé : « Ce Parti
socialiste est mort. » Reste à voir si Manuel Valls sera investi. Le nom
des 577 candidats de La République en marche sera dévoilé avant jeudi
midi. Le bureau national du PS a lâché des propositions de Benoît Hamon et posé
certaines lignes rouges à l'égard de Macron, comme le refus du recours aux
ordonnances pour modifier le Code du travail, et de la suppression de l'ISF.À droite, l'effet Macron fait aussi des remous. Selon François Baroin, qui conduit la bataille des législatives pour la droite, seule une part « marginale » d'élus LR serait « tentée » de rejoindre En marche !. En coulisse, les tractations vont bon train entre l'entourage de M. Macron et une frange de la droite. Le nouveau président, désireux d'élargir sa base, souhaite adresser un signe à son électorat en intégrant au gouvernement des personnalités de droite, parmi lesquelles pourraient figurer le juppéiste Édouard Philippe ou Bruno Le Maire. En attendant, Les Républicains ont validé en bureau politique leur programme amendé pour les législatives, revenant sur des dispositions du programme présidentiel de François Fillon. Une idée générale : améliorer le pouvoir d'achat des Français, en proposant une baisse d'impôts. Enfin, à l'extrême droite, coup de tonnerre : Marion Maréchal-Le Pen annonce dans la presse quotidienne régionale qu'elle quitte son mandat de chef de l'opposition FN au conseil régional de Paca et qu'elle n'est finalement pas candidate à un nouveau mandat de députée du Vaucluse.
09 h 19
- Royal accuse Valls de "polluer une semaine extrêmement importante"
Ségolène
Royal s'en est prise à Manuel Valls, accusé de "polluer une semaine
extrêmement importante, qui est regardée dans le monde entier et qui fait
la fierté de la France". "Manuel Valls aurait dû attendre un
peu", a estimé la ministre de l'Écologie au micro de RTL, avant
d'ajouter : "Ce que je regrette, c'est que cette polémique surgisse
dans une semaine cruciale pour les institutions, c'est trop tôt. Il aurait
fallu attendre un peu avant de lancer ces polémiques. [...] Aujourd'hui, nous
en sommes à la publication officielle des résultats de l'élection
présidentielle. Dimanche, il y aura la passation des pouvoirs. Nous sommes
regardés dans le monde entier, il y a une forme de dégradation brutale du débat
politique avec ces disputes sur les étiquettes", a-t-elle encore
déploré.Valls : de la constance dans le revirement
Législatives : la marche tourmentée du PS
09 h 10
- Mélenchon sera candidat aux législatives, probablement à Marseille
Certains
s'attendaient à Toulouse. Mais Jean-Luc Mélenchon, candidat à la présidentielle
pour La France insoumise, annonce qu'il sera candidat aux législatives
probablement à Marseille. "La décision a été prise. En effet, je dois
l'être", a déclaré Jean-Luc Mélenchon sur BFM TV. Il a ajouté qu'il était
"assez probable" qu'il soit candidat à Marseille, une des villes où il
est arrivé en tête au premier tour de la
présidentielle.
08 h 36
- Manuel Valls ne remplit pas "à ce jour" les critères d'une
investiture En marche !
"À
ce jour, il n'est pas dans les critères d'acceptation de sa demande
d'investiture", a déclaré M. Delevoye sur Europe 1. "Et donc dans ce
cas très précis, la commission nationale d'investiture ne peut pas analyser la
candidature de M. Valls", a estimé Jean-Paul Delevoye, président de la
commission d'investiture de La République en marche, précisant qu'il y aurait
"aussi la lecture politique". À la question "quel critère
Manuel Valls ne remplit-il pas pour être un candidat d'En
marche ! ?", Jean-Paul Delevoye a répondu : "Il n'est
pas adhérent. C'est lui qui gère le temps." La commission d'investiture du
mouvement du président élu doit dévoiler jeudi vers midi la liste
des 577 candidats aux législatives. L'ancien Premier ministre a
explicitement annoncé, mardi matin sur RTL, son ralliement à La République en
marche, le mouvement de son ex-ministre de l'Économie devenu président.
08 h 01
- Marion Maréchal-Le Pen quitte temporairement la vie politique
La
nièce de Marine Le Pen a annoncé dans Vaucluse-Matin-Le
Dauphiné libéré qu'elle quittait son mandat de chef de l'opposition au
conseil régional de Paca et qu'elle n'était pas candidate à un nouveau mandat
de députée du Vaucluse. Elle avait exprimé à de nombreuses reprises son envie
de se lancer dans le monde du privé et de s'occuper de sa vie familiale, et
laissé poindre sa lassitude quant aux relations compliquées au sein du Front
national avec sa tante Marine Le Pen, sèchement battue dimanche au second tour
de la présidentielle, comme avec le vice-président du FN Florian
Philippot. --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Pour être pour ou contre le futur gouvernement MACRONIEN qui de toute façon sont pitoyables !
Le vieux MELENCHON qui ne courrait que pour lui et qui a capoté au poteau en ne donnant même pas en plus de consignes de votes à ses fans qui se sont trouvés perdus c'est une honte et qui maintenant se sépare des communistes qu'il rejette comme des mouchoirs en papier usagés !
Ces grands discours de tribun ont pu faire illusion sur une majorité de Français déçus faibles influençables mais plein d'espoir, une forme de malhonnêteté intellectuelle de cet aboyeur de foire ventant sa marchandise avariée !
Il devrait finir le travail en prenant sa retraite ce vieux politicien plutôt que de vouloir être député !
M.VALLS est plus jeune et c'est grandeur et décadence d'un 1er ministre qui s'accroche aux branches de ce nouveau parti la "république en marche macronien" qui ne veut pas semble-t-il l’accueillir et à qui il donne des boutons, tout en reniant ce PS qu'il dit fini !
Il oublie simplement le sermon sévère en pleine séance à l'assemblée nationale ou il avait passé un savon à E.MACRON (et même s'il n'est pas rancunier le nouveau président, il n'a surement pas oublié le caractère de ce 1er ministre de F.HOLLANDE!)
Jdeclef 10/05/2017 10h23LP
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