lundi 28 février 2022

C'est peut-être une pause et reculer pour mieux faire sauter KIEV !?


 

« Les Russes ne semblent pas rechercher activement le combat de contact »

ENTRETIEN. Alors que l’on commence à parler d’enlisement russe, le stratégiste Benoist Bihan détaille la spécificité de l’invasion de l’Ukraine.

Stratégiste, Benoist Bihan est l'auteur de La guerre : la penser & la faire. Il est aussi le conseiller sur les affaires de stratégie militaire de la revue Guerres et Histoire. Il est notamment spécialisé dans l'analyse de la pensée militaire russe. Quatre jours après le début de l'offensive russe en Ukraine, Benoist Bihan répond aux questions du Point.

Le Point : Comment, après quatre jours, analysez-vous la stratégie russe de l'invasion de l'Ukraine ?

Benoist Bihan : Elle ne répond pas exactement au script prévu d'une offensive brutale, massive, qui aurait correspondu au concept central de l'armée russe, en continuité du reste avec l'URSS : agir simultanément sur toute la profondeur d'un terrain opérationnel. On le voit à plusieurs indices. D'abord, le faible usage du complexe reconnaissances-frappes (drones, satellites, radars), dont les Américains se sont inspirés à partir des années 1980. Les Russes n'ont pas fait usage de tout leur arsenal, en particulier, ils ne semblent pas recourir à des bombardements d'artillerie massifs. Ils se sont contentés, les deux premiers jours, d'employer des missiles de croisière de précision très ciblés, auxquels ils ont recouru avec retenue – il est vrai que leur réserve est assez limitée –, à l'encontre des aéroports, des ports, avant tout pour isoler les Ukrainiens au niveau de leur approvisionnement.

C'est la stratégie principale : montrer aux Ukrainiens qu'ils sont seuls, que l'Otan ne pourra pas venir à leur aide. Mais les Russes, on le remarque sur les cartes, n'ont pratiquement pas touché à la partie ouest du pays, laissant une énorme zone tampon, à l'ouest du Dniepr, avec la Roumanie et la Pologne. Certes, c'est à l'Est que se situe le gros des troupes ukrainiennes, mais cette concentration russe se retrouve dans le faible usage de l'infanterie, un gros tiers pour l'instant des groupes de bataillons à disposition. On le remarque aussi à la faible intensité des mouvements russes, ce qui peut donner l'impression, à mon avis fausse, d'un début d'enlisement. On le remarque enfin au faible emploi des chars : les Russes n'ont pas (encore) engagé un combat de très haute intensité, ils ne semblent pas rechercher activement le combat de contact. En conclusion, la ligne russe apparaît être de mettre une pression progressive sur les Ukrainiens afin de les obliger à prendre la porte de sortie de la négociation. D'où les propositions, émises dès vendredi, de pourparlers.

Guerre Ukraine-Russie : Washington dénonce une escalade « inacceptable »

Les pays occidentaux, les médias commencent à parler d'enlisement. Prend-on nos rêves pour la réalité ?

Dans toute guerre, il y a plusieurs perceptions. Depuis plusieurs décennies domine la perception médiatique, amplifiée par l'information en continu, qui propose un récit linéaire, du déclenchement des opérations à la victoire sans solution de continuité : dès lors, tout ralentissement est vu comme un enlisement. Or, dans une opération militaire, il y a des moments de pause, de réévaluation, d'attente de la réaction de l'adversaire, de redéploiement. Souvenons-nous de l'invasion américaine de l'Irak. Au bout d'une semaine, les Américains, sur la route de Bagdad, ont marqué une pause. Les médias, aussitôt, ont parlé d'enlisement. Or il s'agissait juste d'une décision d'ordre principalement logistique, assumée des Américains. Donc, méfions-nous. Le ministère de la Défense britannique évoque des soucis logistiques des Russes, sur le territoire ukrainien, pour l'acheminement motorisé entre les points d'appui et les unités de pointe, soucis qui seraient notamment provoqués par une guérilla ukrainienne. À voir. Il ne s'est écoulé que quatre jours. Quel rythme les Russes ont-ils prévu ? On l'ignore. Mais une chose est certaine, le tempo médiatique n'est pas le tempo militaire.

Pourquoi, si les Russes souhaitent pousser l'Ukraine à négocier, n'ont-ils pas d'emblée fait usage du maximum de force avec brutalité ?

Je suis frappé de constater le faible nombre de pertes civiles. Les Russes, à cet égard, sont prudents, non pas tant pour l'opinion occidentale que pour les opinions publiques russe et ukrainienne. Les Ukrainiens sont les cousins des Russes, on s'efforce de ne pas tuer les cousins. En revanche, les Russes ne feront pas de quartier avec ceux qu'ils appellent les « nazis », les ultranationalistes, le régiment Azov notamment. L'Ukraine a beaucoup communiqué sur la liquidation de ses 13 gardes-côtes sur la petite île des Serpents au large d'Odessa, or, les autorités russes se sont empressées de démentir en prétendant qu'ils avaient été seulement capturés. Ce genre de rectification est significative : les Russes veulent signifier leur retenue – toute relative, bien sûr.

Si elle avait voulu marquer le coup, elle aurait anticipé un déploiement avant l’invasion de jeudi matin.

À partir de quand bascule-t-on dans une guerre d'enlisement ?

Dès lors qu'on s'installera dans un combat urbain caractérisé. C'est du reste le pari que fait l'Otan, ou certains pays, comme l'Allemagne ou la Belgique, en livrant des lance-roquettes, des mitrailleuses, matériel adapté à ce type de combat. Ce que débloquent ces pays, c'est un armement d'infanterie, antiaérien (hélicoptère), antichar. Les jours à venir seront bien sûr essentiels : les Ukrainiens vont-ils craquer ? Ou vont-ils entraîner les Russes dans un type de guerre où ceux-ci ne seront pas à l'aise, une guerre plus longue du type Irak, Afghanistan, avec des zones d'insécurité permanentes, des patrouilles en danger… 

Vladimir Poutine annonce mettre en alerte la « force de dissuasion » nucléaire russe. Faut-il s'en inquiéter ?

La mise en alerte des forces nucléaires russes s'inscrit, me semble-t-il, dans la même logique de pression graduelle et d'isolement politique de l'Ukraine : c'est une réaction à l'annonce de livraison d'armes, mesure visible de soutien des pays de l'Otan et en particulier des pays européens. Les Russes rappellent qu'ils ne tolèreront pas d'ingérence plus directe dans le conflit ; ils soulignent qu'ils peuvent empêcher l'Otan d'aider l'Ukraine directement, car la confrontation intègrerait alors une dimension nucléaire. Le message est toujours destiné en premier lieu à Kiev : accédez à nos demandes tant qu'il en est encore temps… Quant aux Occidentaux, Moscou leur signifie que l'affaire est trop sérieuse pour que leurs efforts d'assistance à l'Ukraine aient une chance d'altérer l'issue.

Comment analysez-vous l'engagement de l'Otan ?

Si elle avait voulu marquer le coup, elle aurait anticipé un déploiement avant l'invasion de jeudi matin. Les Américains n'avaient déplacé qu'une brigade de parachutistes, quelques avions, et repositionné des forces depuis l'Allemagne et l'Italie : mouvements symboliques, pas très sérieux face au déploiement russe. Depuis, il est question de la force d'intervention rapide, qui regroupe du terrestre, de l'aérien, de la logistique. Cette force peut monter à 30 000 hommes sur un mois – c'est bien peu vu le contexte. Trois cents Belges, 500 Français viennent de partir dans les pays baltes ; en Roumanie, les Américains sont en train de mettre en place une brigade blindée : tout cela relève de la gesticulation diplomatique, sans grand effet militaire.

Pour l'heure, la seule arme de l'Occident, ce sont les sanctions. Depuis quand déploie-t-on ce type de représailles ?

Le tournant récent a été paradoxalement le lendemain d'une opération militaire très réussie, après la guerre du Golfe en 1991. Les Américains n'ont pas voulu aller jusqu'à Bagdad, laissant Saddam Hussein massacrer les Kurdes et les chiites révoltés : l'Occident a sanctionné sur le plan économique. Par la suite, dans l'administration de Bill Clinton, des théoriciens libéraux, internationalistes, persuadés que les États tiers ne pouvaient se passer de la richesse occidentale, ont eu l'idée d'une contrainte qui passait par des leviers économiques. Cela a duré jusqu'en 2003 et cela a eu zéro effet sur le régime de Saddam Hussein. On reprenait la vieille idée du blocus, réanimée par Roosevelt en 1940, quand il a gelé les avoirs japonais et leurs approvisionnements, notamment d'hydrocarbures, afin de les pénaliser dans leur guerre contre la Chine. Or la conséquence a été Pearl Harbor !

Cela fait trop longtemps que les Occidentaux n'ont que cette arme dans leur jeu et, depuis 2014, la Russie s'est mithridatisée, a entrepris de se débrancher en partie du réseau Swift, en régionalisant la mondialisation, notamment avec la Chine. Cela vaut notamment pour les constructions navales ou l'aéronautique. Autre exemple : depuis 2014, la Russie a entrepris de relocaliser toute la production de turbines pour les navires de guerre, située jusque-là en Ukraine. Elle cherche depuis à diversifier ses approvisionnements. Comme dans tout blocus, les réseaux économiques se réarticulent et, par ailleurs, il se met en place une économie grise, voire illégale ; comment croit-on que la Corée du Nord soit parvenue à l'arme nucléaire alors qu'elle est le pays le plus sanctionné au monde ? Il y a une internationale des pays victimes de sanctions : ces dernières sont donc soumises à la loi des rendements décroissants.

On commence à parler de la guerre numérique que mène la Russie depuis des semaines ? Faut-il la redouter ?

C'est une crainte qu'ont brandie les Américains qui parlaient encore il y a peu d'un possible « Cyber Pearl Harbor ». On joue à se faire peur. Ce type d'attaque est efficace si elle est très ciblée, on l'a vu avec Stuxnet mis au point par les Américains et les Israéliens pour désorganiser le nucléaire iranien. Les Ukrainiens, depuis 2014, sont l'objet de cyberattaques, or, le bilan de celles-ci est très mitigé. Une cyberattaque ne décide pas de l'issue d'une guerre, les Russes sinon n'auraient pas attaqué. Cela nous fait fantasmer, en même temps, cela nous rassure, car une cyberattaque est ennuyeuse, mais un black-out électrique ou une panne de système ne tuent pas.

Cyberguerre : « Pour l'instant, la Russie n'a pas mobilisé l'ensemble de ses capacités »

Vous évoquiez les pourparlers. Leur préalable est évidemment un cessez-le-feu. Peut-on anticiper les demandes russes ?

Tout dépendra d'elles. Remarquons d'abord que Poutine ne s'adresse plus diplomatiquement à l'Occident, comme il l'a fait pour tromper son monde avant jeudi. Il est trop tôt pour dire si Poutine, ou ses stratèges, comme Valeri Guerassimov, le chef depuis 2012 de l'état-major général, ont une stratégie gagnante, mais l'effet de surprise a été parfaitement réussi malgré des mois de préparation au vu du monde entier. Désormais, Poutine ne s'adresse plus qu'aux Ukrainiens, une autre manière, diplomatique, de leur montrer qu'ils sont seuls. On peut prévoir qu'ils demanderont les « néonazis » ukrainiens, une satellisation des zones du Donbass, sur le modèle de l'Ossétie du Sud ou de la Biélorussie, une reconnaissance par l'Ukraine de l'annexion de la Crimée, et une finlandisation de l'Ukraine, à éloigner à jamais de l'Otan. C'est beaucoup…

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Le maitre du KREMLIN semble peut-être moins sûr de lui, c'est pourquoi il menace à demi-mot d’utiliser la dissuasion nucléaire. 

Car l’armée russe si puissante n’est pas rentrée comme dans une porte ouverte dans KIEV et ne semble pas très motivée pour se battre dans les rues ils ont déjà été stoppés car les Ukrainiens se défendent c’est logique et dans d’autres villes de leur pays !

Ils ont mobilisé tous les hommes en âges de se battre et voient bien que la communauté européenne et occidentale fait bloc pour les aider en matériel militaire et aides logistiques diverses même si elle ne veut pas s’engager à envoyer des soldats pour se battre contre l’armée russe pour éviter une guerre qui deviendrait mondiale avec les conséquences induites de tous les pays y ayant participé !

Mais attention aux fausses négociations à engager avec l’armée russe car c’est surtout POUTINE qui décide de tout il ne faut pas que les Ukrainiens ne tombent pas dans un piège de négociations qui ne profiteront qu’a la Russie Poutinienne

En , Oleksiy Danilov, secrétaire du Conseil de sécurité nationale et de défense de l'Ukraine, affirme que « le respect des accords de Minsk signifie la destruction du pays. Lorsqu'ils ont été signés sous la menace armée des Russes - et sous le regard des Allemands et des Français - il était déjà clair pour toutes les personnes rationnelles qu'il était impossible de mettre en application ces documents »

Donc POUTINE fait comme HITLER qui disait que les traités n’étaient que des chiffons de papier signés à l’époque qui a déclenché la 2eme guerre mondiale par l’invasion de la Pologne malgré les signataires des 1ers ministres de la France DALADIER et de l’Angleterre CHAMBERLAIN !

L’histoire se répétera tant qu’il y aura des dirigeants dictateurs et de gouvernements autoritaires partout dans le monde et ces genres de personnages ou individus instables que doivent surveiller nos dirigeants occidentaux des pays libres et démocratiques !

Et çà on ne le fait plus sérieusement de la part de nos dirigeants bienpensants qui ne pratiquent que le politiquement correct hypocrite et avec cette ONU inutile et inefficace car ils se croient dans un monde en paix depuis la fin de la guerre froide une erreur impardonnable !

Jdeclef 28/02/2022 14h39

Ce personnage est peut-être le plus faux jeton que l'on puisse trouver dans cette ancienne classe politique sclérosée française : Se prenant peut être pour un saint mais gonflé d'orgueil comme d'autres !

 

Présidentielle : François Bayrou va parrainer Marine Le Pen

Le maire de Pau, président du MoDem, est à l’origine d’une initiative de « banque des parrainages » pour venir en aide aux candidats en retard.

Le président du MoDem François Bayrou, un proche allié du président sortant Emmanuel Macron, accordera son parrainage à la présidentielle à Marine Le Pen, au nom de la démocratie, a-t-il annoncé dimanche au Grand Jury RTL-LCI-Le Figaro. « Je ne peux pas défendre devant mes concitoyens de toutes opinions l'idée que le président de la République française serait élu dans une élection de laquelle les principaux candidats seraient exclus », a expliqué François Bayrou, qui est à l'origine d'une initiative de « banque des parrainages » regroupant selon lui près de 400 élus.

« C'est pour sauver la démocratie, mais notre signature ne vaut pas soutien », a-t-il insisté : « J'ai décidé de prendre ma part de cette charge et -cela ne correspond pas exactement au rêve que j'ai de l'engagement politique – je donnerai ma signature à Marine Le Pen », a-t-il révélé.

La course au parrainage s'achève le 4 mars

Les candidats à l'élection présidentielle ont jusqu'au 4 mars pour justifier de 500 parrainages. Selon le dernier décompte du Conseil constitutionnel publié jeudi, il en manque au moins entre 80 et 90 à Marine Le Pen et Éric Zemmour, alors que Jean-Luc Mélenchon, un temps à la peine, a finalement recueilli le nombre de signatures nécessaires.

Initialement prévu par François Bayrou pour « sauver » les candidats considérés comme légitimes, c'est-à-dire crédités d'au moins 10 % dans les intentions de vote, le mécanisme pourra bénéficier à d'autres candidats – Nicolas Dupont-Aignan, François Asselineau, Philippe Poutou ou Christiane Taubira sont notamment en difficulté –, à la discrétion des signataires, eu égard à leur grand nombre.

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Il a passé son temps à louvoyer depuis des décennies entre droite, gauche ou centre!

Sont rêve étant de devenir président de la République il s’y est essayer sans succès plusieurs fois car champion des tourneurs de veste dans le sens du vent politique du moment quelque soit le bord politique comme une girouette !

Ayant œuvré à l’élection de MACRON, tout comme lui, grand discoureur peut être meilleur dans cet exercice que lui ex-ministre de l’Éducation nationale sous BALLADUR !

Sa ténacité est récompensée par notre petit roi sans couronne comme ministre de la Justice très éphémère il est nommé dans le 1er gouvernement en 2017 mais ce Monsieur pas net donneur de leçons à ses heures et ne s’en privant pas mais là c’est son droit pour autant pas un saint loin de là !?

Le , à l’issue d’une audition de près de dix heures au tribunal de Paris, François Bayrou est mis en examen pour « complicité de détournement de fonds publics » dans l’affaire des assistants parlementaires européens du parti centriste.

Pour une fois que notre justice a été utile il faut le souligner !

Ce personnage à raté son chemin politique chaotique malgré ces voltes faces car « franc comme un âne qui recule » aurait été mieux à sa place comme nonce apostolique au Vatican à servir notre religion catholique car très croyant et participant voire bigot c’est son droit aurait été un bon ecclésiastique super donneur de leçons mais dans ce cas il faut être sans reproche semble-t-il ?

Il a 71 ans comme d’autres vieux politiciens français usés inutiles connus dans notre classe politique qu’il faut absolument renouveler çà c’est une certitude !

Jdeclef 28/02/2022 12h57


Si ses clowns tristes politiciens glissent tout seuls vers le fond de cette classe politique plus que médiocre ce ne seras pas une grande perte ! (Ce sera un début car il y en a d'autres...)

 

Coignard – Guerre Ukraine-Russie : Zemmour et Mélenchon sur une pente glissante

CHRONIQUE. En retard d’une guerre, les candidats situés aux extrêmes condamnent l’agression russe sur l’Ukraine, mais avec tant de « mais » !

Après tant d'erreurs […], je mets en garde le président de la République contre la tentation du cynisme, celle de s'agiter comme les garçons, petits comme grands, avec arc et flèches. » Ainsi s'exprimait Jean-Luc Mélenchon, samedi, lors d'un meeting sur l'île de La Réunion. Kiev venait de résister à son agresseur surarmé à l'issue d'une très longue nuit, mais le patron des Insoumis est en campagne électorale, et veut marquer sa différence dans le climat d'union nationale qui flotte sur la France.

Alors, il dégaine une solution miracle : « Au lieu d'envoyer du matériel de guerre, vous ne croyez pas que le plus urgent est le cessez-le-feu et les négociations ? »

Fautes de com – Le cas Jean-Luc Mélenchon

Éric Zemmour est, quant à lui, « le seul candidat qui accepte mot pour mot la proposition russe du 15 décembre d'un « traité consacrant la fin de l'élargissement de l'Otan », selon le politologue et expert en géopolitique Bruno Tertrais, qui commentait sur Twitter : « Troublant de voir un candidat se disant souverainiste se lier ainsi à un ultimatum de l'étranger. » Le sénateur et ancien ministre Claude Malhuret s'est montré encore plus direct jeudi à la tribune du palais du Luxembourg : « Tout ce que nous ont raconté l'extrême droite et l'extrême gauche, de Zemmour à Mélenchon et à Le Pen, était le mot à mot de la propagande russe. Maintenant, ils sont démasqués. Certains d'entre eux sont en train de faire marche arrière. Mais Zemmour continue de dire qu'on n'en serait pas là si nous n'avions pas été les agresseurs. […] C'est une folie de dire ça et c'est une attitude de collabo. Il n'y a pas d'autre mot. »

Le même Zemmour disait jeudi soir sur France 2 : « Quand on humilie un peuple, il ne faut pas s'étonner qu'il ait des réactions furibondes. On doit absolument rassurer les Russes sur l'Ukraine et, en échange, la Russie doit accepter l'intangibilité des frontières. » Comme si le problème était constitué par « les Russes », et non par leur président, que les observateurs avertis les plus nuancés décrivent désormais comme un dictateur paranoïaque. Dictateur ? Le mot n'arrive toujours pas à sortir de la bouche de Jean-Luc Mélenchon, pourtant assez créatif d'ordinaire quand il s'agit d'employer des noms d'oiseau.

Accusés de « poutinite aiguë », les candidats souverainistes assument

Clientélisme complotiste

Comment ces hommes, réputés intelligents, ont-ils pu adopter une attitude poutinolâtre aussi dérangeante ? Comment se refusent-ils, quand le Kremlin menace du feu nucléaire, à manifester sans ambiguïté leur soutien à l'Ukraine et leur appartenance au camp occidental ? Par conviction profonde ou plutôt par calcul électoral ? Il suffit de faire un petit tour sur les réseaux sociaux pour découvrir que les Gilets jaunes les plus irréductibles, les anti-vaccins les plus complotistes, les zélateurs de Trump les plus observants, bref, une partie non négligeable de leur clientèle, sont aujourd'hui les plus fervents admirateurs de Poutine, convaincus que non seulement Emmanuel Macron mais l'Union européenne dans son ensemble se réduisent à une immense fabrique du mensonge. Même Marine Le Pen, pourtant longtemps poutinolâtre d'honneur, ne s'y risque pas.

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Et soit hors-jeu définitivement ce couple d'aboyeurs de foire un vieux politicien extrémiste de gauche MELENCHON atteint par la limite d’âge (il a le même âge que POUTINE) ce qui prouve que l’âge avancé ne veut pas dire qualité et que l’on ne se bonifie pas forcément avec l’âge comme le vin qui peut tourner au vinaigre !

Quant à ZEMMOUR ce soi-disant polémiste télévisuel médiatique extrémiste tout aussi « grande gueule » dit de droite il n’a fait que grossir la quantité de ces apprentis politiciens français qui se propagent comme la mauvaise herbe qu’il faudrait tondre car on en a trop de ces inutiles « empêcheurs de tourner en rond » !

Le monde politique français est en effet en mort cérébrale, comme a dit notre pauvre petit MACRON roitelet sans couronne qui n’est pas un foudre de guerre ayant peur de son ombre et dépassé depuis le début sur tous sujets ou problèmes intérieurs ou extérieurs depuis le début de son quinquennat alors celui-là international est forcément trop gros pour lui et s’est fait claquer le baigneur virtuellement par le maitre du Kremlin mais comme il n’a aucun amour propre comme d’autres cela n’a eu aucune importance pour lui!

Mais il a été assez fourbe par un opportunisme bien placé pour se glisser dans le fauteuil de son prédécesseur qui s’était dégonflé comme une baudruche percée spécialité de nos derniers présidents !

Mais à sa décharge ce bavard s’écoutant parler est ce qu’il fait de mieux et les Français aiment tant ses discours qui les enfument comme des idiots et incurables mauvais électeurs car ils avalent tout jusqu’à (peut être le réélire éventuellement et en reprendre pour 5 ans l’histoire des dernières guerres internationales l’ont démontrées pour d’autres chefs d’états US notamment !)

Jdeclef 28/02/2022 10h22


dimanche 27 février 2022

Alors si POUTINE est vraiment devenu fou il faut absolument l'arrêter avant qu'il ne soit trop tard, car il devient un danger pour l'humanité mondiale !

 

Guerre Ukraine-Russie : Poutine met en alerte la « force de dissuasion » de l'armée

Cette « force de dissuasion », annoncée par Vladimir Poutine à la télévision russe, peut notamment comprendre une composante nucléaire

L'essentiel

  • La bataille pour le contrôle de Kiev se poursuit dimanche, au quatrième jour de l'offensive lancée par Vladimir Poutine. Au moins 198 civils, dont trois enfants, ont été tués et 1 115 personnes blessées. Plus de 110 000 Ukrainiens auraient franchi la frontière avec la Pologne depuis le début du conflit. Selon l'ONU, il y aurait même plus de 368 000 réfugiés ukrainiens.
     

·         Alors que Moscou accuse l'Ukraine de « ne pas saisir l'opportunité » d'une discussion en Biélorussie, le président russe Vladimir Poutine a annoncé dimanche mettre en alerte la « force de dissuasion de l'armée russe, qui peut comprendre une composante nucléaire. Le chef d'État ukrainien, Volodymyr Zelensky, qui refusait le dialogue en Biélorussie, confirme des pourparlers avec Moscou à la frontière ukraino-biélorusse.

  • Les partenaires occidentaux ont décidé de restreindre davantage l'accès de la banque centrale russe aux marchés des capitaux et de paralyser ses actifs afin d'empêcher Moscou d'y recourir pour financer le conflit. Ils ont notamment prévu d'exclure de nombreuses banques russes de la plateforme interbancaire Swift, rouage essentiel de la finance mondiale. L'Italie, l'Allemagne et la France annoncent également la fermeture de leur espace aérien aux avions russes dès dimanche.

15 h 15 - Une délégation ukrainienne est en route pour des pourparlers

      "La délégation ukrainienne rencontrera la (délégation) russe sans fixer de conditions préalables sur la frontière ukraino-bélarusse, dans la région de la rivière Pripiat", a déclaré la présidence ukrainienne. La ville la plus proche dans ce secteur, côté ukrainien, est Pripiat, mondialement célèbre depuis l'accident de la centrale nucléaire voisine de Tchernobyl en 1986. Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a lui affirmé que la rencontre aura lieu dans la région de Gomel au Bélarus, sans plus de précisions. Cette région est frontalière notamment de la zone de Pripiat. La présidence ukrainienne n'a pas précisé la date de ces pourparlers, mais la Russie a indiqué qu'ils auraient lieu dimanche. Selon Vladimir Poutine, une délégation russe est déjà présente à Gomel.      

15 h 01 - Avec les Ukrainiens d'Italie qui partent se battre "pour la patrie"

      Ces derniers jours, quelques premières dizaines de volontaires ont mis le cap vers l'Ukraine pour rejoindre la résistance contre l'invasion russe.

Lire l'article de notre correspondant en Italie, Quentin Raverdy Avec les Ukrainiens d'Italie qui partent se battre « pour la patrie »       

14 h 52 - L'Ukraine confirme des pourparlers avec la Russie à la frontière ukraino-biélorusse

      La présidence de l'Ukraine a indiqué dimanche avoir accepté des pourparlers avec la Russie. Ils se dérouleront à la frontière avec le Bélarus, près de Tchernobyl, une décision après une médiation du président bélarusse Alexandre Loukachenko. "La délégation ukrainienne rencontrera la (délégation) russe sans fixer de conditions préalables sur la frontière ukraino-biélorusse, dans la région de la rivière Pripiat", a déclaré la présidence sur les réseaux sociaux.      

14 h 40 - Washington annonce l'envoi de 54 millions de dollars d'aide humanitaire

      Les États-Unis vont envoyer 54 millions de dollars d'aide humanitaire supplémentaire à l'Ukraine, a annoncé dimanche le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken, au quatrième jour de l'invasion russe. "C'est avec le bien-être des Ukrainiens ordinaires à l'esprit que nous annonçons la provision de près de 54 millions de dollars d'aide humanitaire à ceux touchés par la nouvelle invasion russe", a déclaré le secrétaire d'État dans un communiqué.      

14 h 28 - Poutine met en alerte la "force de dissuasion" de l'armée russe

      Le président russe Vladimir Poutine a annoncé dimanche mettre en alerte la "force de dissuasion" de l'armée russe, qui peut comprendre une composante nucléaire, au quatrième jour de l'invasion de l'Ukraine par Moscou. "J'ordonne au ministre de la Défense et au chef d'état-major de mettre les forces de dissuasion de l'armée russe en régime spécial d'alerte au combat", a déclaré Vladimir Poutine lors d'un entretien avec ses chefs militaires retransmis à la télévision.

13 h 51 - La Russie exclue du prochain Mondial de foot ?

      La Fédération française de football, dont l'équipe est championne du monde en titre, "penche pour une exclusion de la Russie du prochain Mondial" en réaction à l'invasion de l'Ukraine, a affirmé dimanche son président Noël Le Graët au journal Le Parisien. "Le monde du sport, et en particulier du football, ne peut pas rester neutre. Je ne m'opposerai certainement pas à une exclusion de la Russie", a expliqué Le Graët, alors que plusieurs nations ont déjà prévenu qu'elles refuseraient d'affronter les Russes en barrage de la Coupe du monde.      

13 h 31 - Le Japon compte se joindre à certaines sanctions des Occidentaux

      Le Japon se joindra aux pays occidentaux pour exclure certaines banques russes de la plateforme Swift, rouage essentiel de la finance mondiale, a annoncé dimanche son Premier ministre, accentuant ainsi la pression sur Moscou après l'invasion de l'Ukraine. Les pays occidentaux ont annoncé des mesures "pour isoler la Russie du système financier international et de l'économie mondiale, notamment l'exclusion de certaines banques russes de Swift", et "ont demandé au Japon de participer. Le Japon se joindra à cette initiative", a déclaré le Premier ministre Fumio Kishida.      

13 h 23 - L'Ukraine annonce contrôler Kharkiv

      La deuxième ville d'Ukraine, Kharkiv (Nord-Est), est sous le contrôle des forces ukrainiennes, a indiqué dimanche le gouverneur régional Oleg Sinegoubov, quelques heures après avoir annoncé une percée de l'armée russe et des combats de rue. "Kharkiv est sous notre contrôle total", a écrit Oleg Sinegoubov sur les réseaux sociaux, assurant qu'une "élimination des ennemis dans la ville" était en cours.      

13 h 08 - Zelensky dit s'être entretenu avec Loukachencko

      Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dit dimanche avoir discuté avec son homologue bélarusse Alexandre Loukachenko, un allié de Moscou et dont le territoire du pays est utilisé comme base arrière par la Russie. "J'ai discuté avec Alexandre Loukachenko", a-t-il indiqué sur Facebook sans d'autres précisions, alors que la Russie insiste sur la tenue d'éventuels pourparlers dans ce pays qui lui est soumis.      

12 h 59 - La propriété de l'ex-femme de Poutine taguée près de Biarritz

      De nouveaux messages anti-Poutine et les couleurs du drapeau ukrainien ont été peints dans la nuit de samedi à dimanche sur l'extérieur d'une propriété d'Anglet, près de Biarritz, connue comme appartenant à l'ex-épouse du président russe et à son mari, un homme d'affaires russe. Des messages "Fuck Poutine" ont été peints à la bombe bleue sur les portails et le mur d'enceinte de cette demeure de style Art déco, la "villa Suzanna", bâtie face à l'océan, près de la dune. Le petit mur d'enceinte de couleur claire a été recouvert d'une multitude d'inscriptions ("fuck"), toujours peintes en bleu, et deux drapeaux ukrainiens ont été peints sur l'un des principaux portails d'entrée.      

12 h 47 - La France n'enverra pas de soldats en Ukraine

      Invité sur France Info dimanche, Gabriel Attal a rappelé que la France ne mobiliserait pas ses soldats en Ukraine. "Ç'a été exclu. Nous accompagnons les Ukrainiens en envoyant des équipements", a fait savoir le porte-parole du gouvernement, précisant que le président ukrainien avait transmis à Emmanuel Macron "une liste très claire" d'équipements dont il avait besoin.      

12 h 31 - L'Italie va donner 110 millions d'euros à l'Ukraine

      L'Italie a donné plusieurs dizaines de millions d'euros d'aide au gouvernement ukrainien. "J'ai communiqué à mon collègue Dmytro Kuleba que je viens de signer une résolution qui dispose le versement immédiat de 110 millions d'euros au gouvernement de Kiev, un signe concret de solidarité et de soutien de l'Italie à un peuple avec lequel nous entretenons un rapport fraternel", a annoncé le ministre italien des Affaires étrangères, Luigi Di Maio, sur son compte Twitter.      

12 h 29 - L'Allemagne augmente significativement ses dépenses militaires

      L'Allemagne a annoncé dimanche une nette augmentation de ses dépenses militaires dans les années à venir et le déblocage immédiat d'une enveloppe de 100 milliards d'euros pour moderniser son armée, sous-équipée. "Nous allons à partir de maintenant, d'année en année, investir plus de 2 % de notre produit intérieur brut dans notre défense", a déclaré le chancelier Olaf Scholz lors d'une séance exceptionnelle à la chambre des députés. Cette annonce va au-delà de l'objectif que se sont fixé les pays de l'Otan, à savoir tendre vers 2 % du PIB national. Il s'agit d'un revirement de taille pour l'Allemagne, qui ces dernières années traînait des pieds pour se conformer aux engagements de l'Alliance atlantique dans ce domaine, s'attirant régulièrement les foudres des États-Unis.      

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Les bavardages style MACRON et CIE ne sont plus de plus de mise ne dit-on pas « fou comme un Russe » dans le langage courant !?

Sa menace est de fait une déclaration de guerre au monde démocratique libre qui ne l’a en aucun cas menacé, car c’est lui qui envahi l’UKRAINE pas les Européens et occidentaux et l’OTAN n’est pas une menace offensive mais défensive des frontières des pays libres de l’Europe occidentale et donc de la France et pays limitrophes et avait justement été mis en place lors de la guerre froide pour se protéger de l’ex URSS !

Et Poutine ne menace pas seulement BIDEN et les USA, mais s’il continue sur sa lancée alors tous les alliés de l’occident qui devront agir pour le stopper notamment ceux qui ont l’arme nucléaire pas éloignés des frontières russes et possédant l’arme nucléaire Angleterre France et bien sûr USA par les alliances d’après-guerre froide que l’on croyait oubliée après la chute du mur de BERLIN et la réunification des 2 Allemagne !

C’est extrêmement grave comme situation si l’on attend de savoir qui tirera le 1er puisse qu’il a dit qu’il activait sa dissuasion nucléaire car quoi qu’il arrive Poutine est dangereux pour la paix du monde çà c’est un fait et on sera toujours dans la crainte de ses réactions incontrôlées et il n’est pas possible de vivre comme cela !

Car HITLER n’avait pas cette force frappe et on a mis 5 ans à l’éliminer !

Il faut que nos bienpensants donneurs de leçons se réveillent de leur léthargie cela devient très urgent car cet individu fait un chantage de voyou inacceptable !

Jdeclef 27/02/2022 15h58


Pauvre ATTAL aboyeur présidentiel on n’en attendait pas plus de lui si obéissant ! Ce pauvre petit minet servile mais totalement inutile !

 


Guerre Ukraine-Russie : la France « exclut » de mobiliser ses soldats

« Nous accompagnons les Ukrainiens en envoyant des équipements », a répondu le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, sur France Info dimanche.

L'essentiel

  • La bataille pour le contrôle de Kiev se poursuit dimanche, au quatrième jour de l'offensive lancée par Vladimir Poutine. Au moins 198 civils, dont trois enfants, ont été tués et 1 115 personnes blessées. Plus de 110 000 Ukrainiens auraient franchi la frontière avec la Pologne depuis le début du conflit. Selon l'ONU, il y aurait même plus de 368 000 réfugiés ukrainiens.
     
  • Le Kremlin a assuré dimanche être prêt à négocier avec l'Ukraine, proposant comme lieu de rencontre Gomel, en Biélorussie, tandis que le président russe a salué « l'héroïsme » de ses forces armées. De son côté, son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky a accepté ces négociations, mais pas en Biélorussie. Dimanche, il a saisi la Cour internationale de justice contre Moscou. 
     
  • Les partenaires occidentaux ont décidé de restreindre davantage l'accès de la banque centrale russe aux marchés des capitaux et de paralyser ses actifs afin d'empêcher Moscou d'y recourir pour financer le conflit. Ils ont notamment prévu d'exclure de nombreuses banques russes de la plateforme interbancaire Swift, rouage essentiel de la finance mondiale.
     
  • Les sirènes d'alarme anti-aérienne ont retenti à Kiev dans la nuit de samedi à dimanche. Des tirs russes ont aussi touché la clôture d'un centre de stockage de déchets radioactifs. L'armée russe, qui dit avoir bloqué deux grandes villes du sud du pays (Kherson et Berdiansk), a reçu l'ordre d'élargir son offensive sur l'Ukraine. 

12 h 47 - La France n'enverra pas de soldats en Ukraine

      Invité sur France Info dimanche, Gabriel Attal a rappelé que la France ne mobiliserait pas ses soldats en Ukraine. "Ç'a été exclu. Nous accompagnons les Ukrainiens en envoyant des équipements", a fait savoir le porte-parole du gouvernement, précisant que le président ukrainien avait transmis à Emmanuel Macron "une liste très claire" d'équipements dont il avait besoin.      

12 h 31 - L'Italie va donner 110 millions d'euros à l'Ukraine

      L'Italie a donné plusieurs dizaines de millions d'euros d'aide au gouvernement ukrainien. "J'ai communiqué à mon collègue Dmytro Kuleba que je viens de signer une résolution qui dispose le versement immédiat de 110 millions d'euros au gouvernement de Kiev, un signe concret de solidarité et de soutien de l'Italie à un peuple avec lequel nous entretenons un rapport fraternel", a annoncé le ministre italien des Affaires étrangères, Luigi Di Maio, sur son compte Twitter.      

12 h 29 - L'Allemagne augmente significativement ses dépenses militaires

      L'Allemagne a annoncé dimanche une nette augmentation de ses dépenses militaires dans les années à venir et le déblocage immédiat d'une enveloppe de 100 milliards d'euros pour moderniser son armée, sous-équipée. "Nous allons à partir de maintenant, d'année en année, investir plus de 2 % de notre produit intérieur brut dans notre défense", a déclaré le chancelier Olaf Scholz lors d'une séance exceptionnelle à la chambre des députés. Cette annonce va au-delà de l'objectif que se sont fixé les pays de l'Otan, à savoir tendre vers 2 % du PIB national. Il s'agit d'un revirement de taille pour l'Allemagne, qui ces dernières années traînait des pieds pour se conformer aux engagements de l'Alliance atlantique dans ce domaine, s'attirant régulièrement les foudres des États-Unis.      

12 h 28 - VIDÉO. À la frontière moldave, les réfugiés ukrainiens affluent

      
Au poste frontière de Palanca, en Moldavie, les réfugiés ukrainiens arrivent à pied ou en voiture, principalement depuis la région d'Odessa. Le point sur la situation, sur place, avec notre journaliste Clément Pétreault.

      

12 h 09 - La Cour internationale de justice saisie contre Moscou

      L'Ukraine a saisi la Cour internationale de justice à La Haye contre la Russie, afin que la juridiction ordonne à Moscou de cesser les hostilités. "Nous demandons une décision urgente ordonnant à la Russie de cesser son activité militaire, et nous attendons que les audiences débutent la semaine prochaine", a écrit Volodymyr Zelensky, le président ukrainien, sur Twitter.      

11 h 55 - Plus de 368 000 réfugiés ukrainiens, un chiffre en augmentation constante

      Quelque 368 000 réfugiés ont fui les combats en Ukraine depuis l'invasion russe déclenchée jeudi pour les pays voisins. Selon le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés, leur nombre continue à augmenter. Plus de 156 000 personnes venant d'Ukraine sont entrées en Pologne. La Pologne, qui abritait déjà environ 1,5 million d'Ukrainiens et a exprimé son soutien indéfectible à l'Ukraine, a jusqu'à présent vu une grande partie de ceux qui fuient l'Ukraine entrer sur son territoire. Mais des milliers de personnes ont aussi fui l'Ukraine vers d'autres pays voisins, comme la Hongrie, la Moldavie, la Slovaquie et la Roumanie.      

11 h 42 - Barrages du Mondial 2022 : la sélection de foot tchèque refuse d'affronter la Russie

      La République tchèque refusera d'affronter la Russie si les deux équipes devaient se retrouver en barrage qualificatif pour le Mondial 2022, pour protester contre l'invasion de l'Ukraine, imitant ainsi la Pologne et la Suède. "L'équipe nationale tchèque ne jouera en aucun cas un éventuel match contre la Russie en barrage pour la Coupe du monde", écrit la fédération dans un communiqué. La Pologne, qui devait affronter les Russes à Moscou le 24 mars en demi-finale de ce barrage, et la Suède, qui aurait pu affronter les Russes après l'autre demi-finale l'opposant à la République tchèque, avaient déjà annoncé samedi une décision similaire.      

11 h 32 - "Une nouvelle ère" depuis l'invasion de la Russie

      Le monde est entré "dans une nouvelle ère" avec l'invasion russe de l'Ukraine. "Les gens ne défendent pas seulement leur patrie. Ils se battent pour la liberté et leur démocratie. Pour des valeurs que nous partageons avec eux", a estimé le chancelier allemand Olaf Scholz dimanche, lors d'une séance extraordinaire du Bundestag. Selon le successeur d'Angela Merkel, la chute des marchés russes montre que les sanctions européennes contre Moscou "produisent des effets". Les Occidentaux "se réservent le droit d'imposer de nouvelles sanctions", a-t-il précisé.      

11 h 15 - La carte à jour des frappes et combats entre forces russes et ukrainiennes

      L'armée russe a effectué dimanche une percée à Kharkiv, deuxième ville d'Ukraine où des combats de rue ont lieu. À une trentaine de kilomètres au sud-ouest de Kiev, des combats se poursuivent pour le contrôle de la base aérienne de Vassylkiv. Le ministère russe de la Défense a affirmé avoir encerclé deux grandes villes du Sud, Kherson et Berdiansk, qui comptent respectivement 290 000 et 110 000 habitants, ainsi que la ville de Guenitchesk et l'aérodrome de Tchernobaïevka près de Kherson. Au total, l'armée russe assure avoir détruit 975 installations militaires ukrainiennes, dont des systèmes de défense anti-aérienne S-300. 

> Retrouvez ci-dessous la carte actualisée des explosions, frappes et combats entre forces armées russes et ukrainiennes.
      

10 h 56 - La situation est "calme" à Kiev, la capitale

      À Kiev, sous couvre-feu jusqu'à lundi 8 heures (6 heures GMT), la matinée était calme et ensoleillée. Le bruit des bombardements et des raids aériens a fortement diminué après 1 heure du matin. Des soldats patrouillaient nerveusement dans les rues avec leurs armes sorties et des avions sillonnaient le ciel. "La situation à Kiev est calme et totalement sous le contrôle de l'armée ukrainienne et de la défense territoriale", a déclaré le bureau du maire, qui a précisé dimanche que plusieurs affrontements avec des groupes subversifs avaient eu lieu dans la nuit.      

10 h 42 - La Finlande ferme à son tour son espace aérien à la Russie

      Dimanche matin, le Danemark a annoncé la fermeture de son ciel aux avions russes, dont les jets privés. "Nous pousserons pour une fermeture à l'échelle de l'UE" lors de la réunion prévue dimanche des ministres des Affaires étrangères de l'Union européenne, a déclaré sur Twitter le chef de la diplomatie danoise Jeppe Kofod. Selon lui, l'invasion russe de l'Ukraine "doit être contrée par les sanctions internationales les plus fortes possible".      

10 h 34 - La guerre en Ukraine pourrait durer "quelques années"

      Le conflit en Ukraine pourrait durer "plusieurs années" en raison des "forces importantes" de la Russie, selon la ministre britannique des Affaires étrangères, Liz Truss. "Le Royaume-Uni soutient absolument l'Ukraine durant ce très long et difficile conflit", a-t-elle déclaré sur la chaîne télévisée Sky News, tout en soulignant la détermination des Ukrainiens à défendre "leur souveraineté".

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Logique nos dirigeants qui préfèrent envoyer notre armée au MALI et SAHEL (voire au Niger pour protéger ses mines d'uranium utiles à la fabrication d'armes nucléaires!)

Et ne pas les laisser tomber aux mains de Wagner les mercenaires supplétifs de la Russie poutinienne !

Et moins compliqué que de rapatrier nos soldats vers un front aléatoire européen pour défendre les frontières de l'Europe ou d'empêcher l'Ukraine de tomber prochainement cueilli comme un fruit mur par POUTINE !

Désolante réalité géopolitique mondiale !

Jdeclef 27/02/2022 13h19


À croire que les peuples lambda occidentaux lambda se sont endormis dans leurs petits conforts étriqués ?!

 

Guerre Ukraine-Russie : le monde est entré « dans une nouvelle ère »

En Ukraine, « les gens ne défendent pas seulement leur patrie. Ils se battent pour la liberté et leur démocratie », a estimé le chancelier allemand Scholz.

L'essentiel

  • La bataille pour le contrôle de Kiev se poursuit dimanche, au quatrième jour de l'offensive lancée par Vladimir Poutine. Plus de 110 000 Ukrainiens auraient franchi la frontière avec la Pologne depuis le début du conflit. Au moins 198 civils, dont trois enfants, ont été tués et 1 115 personnes blessées. 
     
  • Le Kremlin a assuré dimanche être prêt à négocier avec l'Ukraine, proposant comme lieu de rencontre Gomel, en Biélorussie, tandis que le président russe a salué « l'héroïsme » de ses forces armées. De son côté, son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky a accepté ces négociations, mais pas en Biélorussie. 
     
  • Les partenaires occidentaux ont décidé de restreindre davantage l'accès de la banque centrale russe aux marchés des capitaux et de paralyser ses actifs afin d'empêcher Moscou d'y recourir pour financer le conflit. Ils ont notamment prévu d'exclure de nombreuses banques russes de la plateforme interbancaire Swift, rouage essentiel de la finance mondiale.
     
  • Les sirènes d'alarme anti-aérienne ont retenti à Kiev dans la nuit de samedi à dimanche. Des tirs russes ont aussi touché la clôture d'un centre de stockage de déchets radioactifs. L'armée russe, qui dit avoir bloqué deux grandes villes du sud du pays (Kherson et Berdiansk), a reçu l'ordre d'élargir son offensive sur l'Ukraine. 

11 h 32 - "Une nouvelle ère" depuis l'invasion de la Russie

      Le monde est entré "dans une nouvelle ère" avec l'invasion russe de l'Ukraine. "Les gens ne défendent pas seulement leur patrie. Ils se battent pour la liberté et leur démocratie. Pour des valeurs que nous partageons avec eux", a estimé le chancelier allemand Olaf Scholz dimanche, lors d'une séance extraordinaire du Bundestag. Selon le successeur d'Angela Merkel, la chute des marchés russes montre que les sanctions européennes contre Moscou "produisent des effets". Les Occidentaux "se réservent le droit d'imposer de nouvelles sanctions", a-t-il précisé.      

11 h 15 - La carte à jour des frappes et combats entre forces russes et ukrainiennes

      L'armée russe a effectué dimanche une percée à Kharkiv, deuxième ville d'Ukraine où des combats de rue ont lieu. À une trentaine de kilomètres au sud-ouest de Kiev, des combats se poursuivent pour le contrôle de la base aérienne de Vassylkiv. Le ministère russe de la Défense a affirmé avoir encerclé deux grandes villes du Sud, Kherson et Berdiansk, qui comptent respectivement 290 000 et 110 000 habitants, ainsi que la ville de Guenitchesk et l'aérodrome de Tchernobaïevka près de Kherson. Au total, l'armée russe assure avoir détruit 975 installations militaires ukrainiennes, dont des systèmes de défense anti-aérienne S-300. 

> Retrouvez ci-dessous la carte actualisée des explosions, frappes et combats entre forces armées russes et ukrainiennes.
      

10 h 56 - La situation est "calme" à Kiev, la capitale

      À Kiev, sous couvre-feu jusqu'à lundi 8 heures (6 heures GMT), la matinée était calme et ensoleillée. Le bruit des bombardements et des raids aériens a fortement diminué après 1 heure du matin. Des soldats patrouillaient nerveusement dans les rues avec leurs armes sorties et des avions sillonnaient le ciel. "La situation à Kiev est calme et totalement sous le contrôle de l'armée ukrainienne et de la défense territoriale", a déclaré le bureau du maire, qui a précisé dimanche que plusieurs affrontements avec des groupes subversifs avaient eu lieu dans la nuit.      

10 h 42 - La Finlande ferme à son tour son espace aérien à la Russie

      Dimanche matin, le Danemark a annoncé la fermeture de son ciel aux avions russes, dont les jets privés. "Nous pousserons pour une fermeture à l'échelle de l'UE" lors de la réunion prévue dimanche des ministres des Affaires étrangères de l'Union européenne, a déclaré sur Twitter le chef de la diplomatie danoise Jeppe Kofod. Selon lui, l'invasion russe de l'Ukraine "doit être contrée par les sanctions internationales les plus fortes possible".      

10 h 34 - La guerre en Ukraine pourrait durer "quelques années"

      Le conflit en Ukraine pourrait durer "plusieurs années" en raison des "forces importantes" de la Russie, selon la ministre britannique des Affaires étrangères, Liz Truss. "Le Royaume-Uni soutient absolument l'Ukraine durant ce très long et difficile conflit", a-t-elle déclaré sur la chaîne télévisée Sky News, tout en soulignant la détermination des Ukrainiens à défendre "leur souveraineté".
 L'Allemagne se prépare à l'accueil de réfugiés
   

10 h 18 - Aux armes, Européens

      La guerre « à l'ancienne » que la Russie mène en Ukraine est un réveil douloureux. L'Europe entre dans un nouveau monde de fer, estime notre chroniqueur Gérard Araud, ancien ambassadeur de France aux États-Unis.
Gérard Araud – Aux armes, Européens


10 h 12 - L'UE cible la banque centrale de Russie

      L'Union européenne veut "paralyser" les actifs de la banque centrale russe, afin d'empêcher Moscou d'y recourir pour financer le conflit en Ukraine ou contrer l'impact des sanctions internationales, selon la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen. L'objectif est de "geler les transactions financières" de l'institution et donc de "rendre impossible la liquidation de ses actifs", a-t-elle expliqué dans une allocution vidéo après une réunion avec les dirigeants américain, français, allemand et italien.       

10 h 04 - Zelensky se réjouit de la coalition internationale

      Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a salué dimanche la formation d'une "coalition" internationale de pays fournissant une aide à l'Ukraine, au quatrième jour de l'invasion de son pays par la Russie. "Nous recevons des armes, des médicaments, de la nourriture, du carburant, de l'argent. Une coalition internationale forte s'est formée pour soutenir l'Ukraine, une coalition antiguerre", a dit le chef d'État dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux.      

09 h 52 - Starlink d'Elon Musk activé au-dessus de l'Ukraine

      En réponse à l'appel d'un responsable ukrainien, Elon Musk a affirmé que son groupe SpaceX avait activé le service Internet par satellite Starlink en Ukraine et que la société envoyait des équipements dans le pays. "Le service Starlink est maintenant en fonction. D'autres terminaux sont en route", a affirmé sur Twitter le patron de Tesla et du groupe astronautique SpaceX. Dix heures plus tôt, le vice-Premier ministre ukrainien Mykhailo Fedorov avait interpellé le milliardaire sur le réseau social, lui demandant de fournir à l'Ukraine des stations Starlink. SpaceX a lancé vendredi une deuxième cargaison d'une cinquantaine de satellites Starlink destinés à fournir une connexion Internet à des clients dans le monde entier. Samedi, savoir comment les utilisateurs en Ukraine avaient les capacités au sol de recevoir le service n'était pas clair.      

09 h 35 - Donald Trump fait l'éloge de "l'intelligent" Poutine

      Samedi soir à la grande convention annuelle des conservateurs américains, Donald Trump a fait l'éloge de l'"intelligent" Vladimir Poutine et critiqué les dirigeants occidentaux "si bêtes" à ses yeux. Selon l'ancien président américain, l'Otan "a l'air tout sauf intelligente" en frappant la Russie de sanctions au lieu de se décider à la "réduire en miettes - au moins psychologiquement". Il a aussi qualifié Volodymyr Zelensky d'"homme courageux", tout en affirmant la contrevérité selon laquelle le président ukrainien l'aurait disculpé du scandale qui a conduit à son premier procès en destitution. "Comme tout le monde le comprend, cet horrible désastre ne se serait jamais produit si notre élection n'avait pas été truquée", a aussi lancé l'ex-président au cours de son discours de 86 minutes à Orlando (Floride), en reprenant l'une de ses antiennes favorites mais sans apporter de preuve.      

09 h 26 - Les Occidentaux déclenchent l'arme Swift

      Les alliés occidentaux ont adopté une nouvelle volée de sanctions financières contre Moscou après l'invasion de l'Ukraine, en planifiant samedi d'exclure de nombreuses banques russes de la plateforme interbancaire Swift, rouage essentiel de la finance mondiale.
      

09 h 16 - La nuit de dimanche a été "dure" en Ukraine

      Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a indiqué dimanche que la nuit avait été "dure" en Ukraine, avec des bombardements russes ayant visé selon lui des zones habitées. Le chef d'État a évoqué "de nouveau des tirs, de nouveau des bombardements de quartiers habités, d'infrastructures civiles". "Il n'y a aujourd'hui rien que l'occupant ne considère pas comme une cible légitime", a-t-il ajouté dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux.

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Et sont-ils devenus des abrutis ou ont eu leurs cerveaux lavés par des poignées d’individus malfaisants dictateurs ou autres extrémistes voire mystiques beaux parleurs au mieux ou simplement criminels dangereux qui ne travaillent que pour eux !

Cela dure depuis la nuit des temps, et certains disent que notre monde change sauf que cette pseudo accalmie devient de plus en plus courte seulement 33 ans après la chute du mur de Berlin en 1989 et la fin de la guerre froide est assez courte même la fin de la 2eme guerre mondiale de 77 ans !

Car là on rejoue ce mauvais scenario à cause des hommes de nos pays qui ont la mémoire historique courte avec un regain de violence guerrière et instabilité dans beaucoup de pays dit démocratiques civilisés et encore libres  !

Déjà infesté aussi par ce terrorisme islamique que nos élites de tous bords n’ont pas pu éradiquer depuis plus de 20 ans « cerise sur ce gâteau de plus en plus empoisonné » car frappant toujours périodiquement en Europe et occident !

Car nos dirigeants depuis 40 ans notamment en France ne sont plus à la hauteur, devenus bienpensants donneurs de leçons quelque fois arrogants en plus, mais médiocres comme notre président sortant qui ne pense qu’à son éventuelle réélection et ne s’écoutant que parler pour ne rien dire et qui commet des erreurs !

Il faut que les Français comprennent qu’ils sont mal protégés et mal dirigés, on le voit bien avec cette crise entre la Russie et Ukraine qui touche indirectement à nos portes de l’Europe et l’occident !

Il faudrait que notre histoire moderne soit mieux enseignée à nos jeunes plutôt que « nos ancêtres les Gaulois » pour leur avenir !

Jdeclef 27/02/2022 12h20