mercredi 2 février 2022

Ce président qui se moque des Français depuis le début de son parcours chaotique de son quinquennat : Il serait temps que les Français s'en rendent compte !?

 


Présidentielle : Macron prolonge le vrai-faux suspense sur sa candidature

Auprès de « La Voix du Nord », le chef de l’État a cité la crise sanitaire et celle liée à l’Ukraine comme étant des freins à l’annonce de sa candidature.

Une interrogation dont la réponse ne fait que peu de doute. Emmanuel Macron a confirmé mardi 1er février que le temps de sa candidature à la présidentielle n'était pas encore venu. Néanmoins, la question n'est pas de savoir si le chef de l'État, favori des sondages depuis des mois avec environ 25 % des intentions de vote au premier tour, est candidat mais quand il va l'annoncer et comment.

Ce qui, assurément, relancera une campagne qui, pour l'instant, peine à mobiliser les Français. Cette heure est-elle venue ? « J'ai d'abord l'obsession que la phase aiguë de l'épidémie et le pic de la crise géopolitique actuelle soient derrière nous », a indiqué mardi soir le président dans une interview à La Voix du Nord. « Je ne peux pas, raisonnablement, expliquer aux Français que je vais m'adonner à ce temps démocratique important, alors que je leur ai dit que je serai président jusqu'au bout et que nous avons une crise à la frontière ukrainienne qui menace notre sécurité collective », a-t-il fait valoir.

Pour Emmanuel Macron, l'exercice est délicat : trop tôt et il se voit reprocher de confondre les rôles, comme l'en accusent déjà ses adversaires, ne manque pas de souligner une ministre. Mais attendre trop longtemps, c'est prendre le risque d'entrer tardivement dans l'arène et de se voir accuser par les oppositions d'avancer masqué. Son entourage évoque une « fenêtre de tir entre le 10 et le 20 février », à condition que « la question sanitaire soit passée et qu'on ne soit ni dans une crise internationale ni en pleine séquence européenne ».

Présidentielle 2022 : Macron « sur des sables mouvants »

Emmanuel Macron largement en tête de la course aux parrainages

Ces 40 dernières années, les déclarations de candidature de président sortant varient de 70 jours (Jacques Chirac en 2002) avant le premier tour à seulement 33 jours (François Mitterrand en 1988). En attendant, Emmanuel Macron arrive largement en tête du sésame des parrainages d'élus avec 105 à son compteur, selon une première liste mis en ligne mardi par le Conseil constitutionnel.

Coignard – Parrainages en rafale pour Macron : les gros sabots !

Il devance la socialiste Anne Hidalgo (48), la candidate des Républicains Valérie Pécheresse (34) et le communiste Fabien Roussel (30). Derrière, l'Insoumis Jean-Luc Mélenchon et le candidat d'extrême droite Éric Zemmour en recueillent tous deux 14, tandis que l'écologiste Yannick Jadot en a 11 et la dirigeante du Rassemblement national Marine Le Pen 2.

Agapes à tous les étages, en attendant Macron !

Les candidats ont jusqu'au vendredi 4 mars à 18 heures pour réunir les 500 parrainages nécessaires à leur participation au scrutin. Si la candidature du chef de l'État se fait attendre, les élus macroéconomistes se sont mis en ordre de marche. Après le lancement du site de campagne avecvous2022.fr la semaine dernière, plusieurs élus de la majorité présidentielle ont affiché sur les réseaux sociaux leur parrainage, souvent avec des hashtags comme #avec vous, #5planeuses ou #Macron2022. À chaque fois, la scénographie, adoptée aussi par de nombreux élus d'opposition, semble obéir à des figures imposées, du cliché avec le formulaire dans la main, stylo entre les doigts, prêt à parapher ou devant la boîte aux lettres.

« Avec vous » : le site de la future campagne de Macron est lancé

Un dirigeant aux multiples casquettes

Le patron de LREM, Stanislas Guerini, est également dans les starting-blocks. Il a souhaité mardi sur LCI une campagne « qui ne soit pas contre les autres » et qui « propose un projet positif pour le pays ». Ce qu'il « ne voit pas du tout aujourd'hui dans le débat public ». Les rivaux d'Emmanuel Macron critiquent vivement la confusion selon eux entre les fonctions de président et de candidat.

« Il a la tête ailleurs » : Macron prépare sa guerre éclair

Comme le président de LR Christian Jacob qui l'a accusé fin janvier de faire campagne « avec les moyens de l'État », une situation « pas loin du détournement de fonds publics ». Il a saisi le 11 janvier la commission des comptes de campagne, ainsi que l'Arcom (ex-CSA) pour les alerter sur les dépenses liées aux déplacements présidentiels. Emmanuel Macron sera justement mercredi dans les Hauts-de-France avec ses multiples casquettes : président, futur candidat et chef en exercice du conseil de l'UE.

Macron, le temps des « emmerdes »

Il défendra une réforme européenne de l'espace Schengen, mais aussi sa propre stratégie sur l'immigration, l'un des enjeux de la campagne présidentielle, particulièrement au sein de l'électorat de droite et d'extrême droite, dont les candidats rassemblent près de 50 % des intentions de vote. La candidate d'extrême droite Marine Le Pen, au coude-à-coude dans les sondages avec Valérie Pécresse pour décrocher la deuxième place au premier tour, a pris les devants mardi en fustigeant lors d'un déplacement à Brest « quarante ans de laxisme » en matière de sécurité qu'elle associe notamment à « l'immigration incontrôlée ».

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Il continue, car n'a plus d'argument alors en vient à se servir de l’alibi de la crise sanitaire ou celle de L’UKRAINE qu’il subit comme tout le monde indirectement sans pouvoir ni puissance ou idées nouvelles pour régler celles-ci voire les amenuiser !

Jusqu’à subir une humiliation par ce rejet des troupes françaises du MALI par cette petite junte qu’il ne peut mettre au pas car le peuple malien lui-même ne veut plus d’étrangers sur son sol !

Mr MACRON ne réussit rien en bavardant pour s’écouter parler ce qu’il sait faire de mieux pour essayer d’éblouir le peuple des Français lambda et quand les situations économiques (qui ne sont que du rattrapage sur le déficit lié à la crise sanitaire mais pas terminée ses ministres font de cocoricos retentissant mais l’on était tombé bien bas car l’étant déjà avant près du fond !)

En ce qui concerne sa réélection avec cette profusion de candidats trop nombreux de tous bord dont on nous soule par les plateaux télés, émissions diverses sur toutes chaines nationales ou privées en continu sans compter les sondages médiatiques orientés !

Depuis de Gaulle et que je vote à ses élections nationales je n’ai jamais vu une campagne électorale aussi déplorable en qualité et choix des prétendants trop nombreux à cette candidature à la présidence de notre Vème république obsolète et monarchique !

Certains électeurs français diront que ce n’est pas sa faute à ce pauvre président parvenu élu par défaut par suite de la défection du précédent et qu’il n’avait pas prévu la crise sanitaire mais comme il ne sait pas prévoir ni décider ni gérer correctement les problèmes divers cela ne change pas grand-chose (seulement 5 ans de plus à le supporter !?)

C’est aussi la faute des Français ils l’ont élu même si on n’est pas allé le chercher, il est arrivé comme les cheveux sur la soupe par opportunisme !

J Declef 02/02/2022 10h48

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